Situation relationnelle du M5 par Stella Le G, FI de l IFAS du CFSM de Malestroit

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1 Situation relationnelle du M5 par Stella Le G, FI de l IFAS du CFSM de Malestroit Introduction Actuellement élève aide soignante à l'école de Malestroit, je vous présente mon module 5 dans le cadre de ma formation d'aide soignante. L'aide soignante exerce son activité sous la responsabilité de l'infirmier, réalise des soins liés aux fonctions d'entretiens et de continuités de la vie visant à compenser partiellement ou totalement un manque ou une diminution de l'autonomie de la personne ou d'un proche de la personne. Son rôle s'inscrit dans une approche globale de la personne soignée et prend en compte la dimension relationnelle des soins. Le module 5 me conduit à établir une communication adaptée à la personne et à son entourage. En étant capable : d'écouter la personne et son entourage et prendre en compte les signes non verbaux de communication sans porter de jugement. C'est exprimer et échanger en adaptant son niveau de langage avec discrétion, en expliquant le soin réalisé, les raisons d'un geste professionnel et identifier les limites de son champ d'intervention dans des situations de crises en prenant du recul par rapport à la personne et à sa situation. En conséquence, je vous présente ma situation de communication retenue et qui me touche particulièrement tant au niveau relationnel qu'humainement. Présentation du service Ce stage où je décris ma situation de communication se déroule au service de la maternité à la Clinique Océane à Vannes. Ce service comprend différents professionnels comme : des sages femmes, des pédiatres, des gynécologues, des auxiliaires de puéricultures, des aides soignantes, des agents hospitaliers, d'une psychologue, d'une assistante sociale si besoin, d'un kinésithérapeute, d'une cadre de santé, des anesthésistes, d'une infirmière hygiéniste, d'une infirmière puéricultrice, d'une photographe pour les mamans désireuses de faire photographier leur nouveau-né et d'une secrétaire. Il peut accueillir jusqu'à 30 lits, et se réparti en 2 espaces : - un espace côté bloc ; salles d'accouchements, un bloc césarienne et salle de réanimation bébé. - un espace appelé côté suite de couches ; pour recevoir les mamans après l'accouchement et les accompagner dans leurs chambres. - Il y a aussi des chambres spécifiques : pour accueillir des mamans qui vont avoir une césarienne car le lit est plus adapté à leurs besoins, des chambres pour les menaces d'accouchements prématurés, et des chambres seules et doubles. Puis, d'une nurserie où les mamans peuvent faire le bain des bébés accompagnés des auxiliaires de puéricultures et de l'infirmière puéricultrice. Je prends en charge avec l'aide soignante du service une maman ayant eu une césarienne en urgence et dont le bébé a été transféré au Centre Hospitalier de Bretagne Atlantique à Vannes, pour tenter de le réanimer et qui est décédé peu de temps après. Je choisis cette situation car elle m'interpelle particulièrement pour ses difficultés et pour ses émotions ressenties par moi même et l'équipe médicale. Présentation de la personne Je vous présente Madame X, qui est âgée d'une trentaine d'années à peu près, brune aux yeux marrons, d'une silhouette mince et qui mesure 1,70cm pour 55kg environ. La patiente est mariée et a déjà une grande fille de quatre ans qui se trouve à l'école le jour où se produit le drame. 1

2 Description de la situation de communication Nous sommes le Mardi 19 Novembre 2013, je suis à mon deuxième jour de stage, avec joie à l'idée de découvrir un peu plus le métier et le rôle de l'aide soignante dans le service de maternité. Ce jour là, je suis avec Joselyne une aide soignante qui travaille dans le service depuis plusieurs années. Nous arrivons ensemble à 7h45 dans le service pour prendre connaissance des transmissions : des sorties, des entrées, des soins particuliers à faire, surveillance particulière. Mais, non, rien de particulier. Nous commençons donc notre tour pour prendre les paramètres vitaux de chaque patiente en leur proposant la réfection du lit, si elles ont besoin d'autres produits comme les protections ou autres.. A 10h30, nous nous arrêtons pour prendre un café moi et Jocelyne. Tout à coup, Corinne la secrétaire du service vient vers nous et nous fait savoir qu'il y a une maman qui s'est présentée à 10h car elle ne sentait plus son bébé bouger depuis deux jours et que cette personne est allée faire une échographie d'urgence auprès de son gynécologue qui se trouve juste à côté de la maternité. De notre côté, nous ne savons rien. Du coup, nous informons rapidement la sage femme pour lui raconter ce que nous a dit la secrétaire. Effectivement, elle venait d'apprendre que la maman allait avoir une césarienne d'urgence car le bébé se trouvait en souffrance. Par conséquent, nous décidons d'aller préparer la chambre 11 pour recevoir la maman et son bébé après la césarienne et commander un repas léger pour la maman. Vers 12h, je commence à servir les repas et à ce moment là, Joselyne et moi entendons dire la sage femme que la cadre de santé, le pédiatre, et le gynécologue tentaient de réanimer le nourrisson qui était en souffrance. A cet instant, je me sentis mal à l'aise, pas bien, je ne pensais pas entendre des paroles comme celle-ci, d'être face à cette situation au bout de mon deuxième jour de stage. Puis, vers 13h30, je vis la patiente dans son lit, accompagné d'un brancardier qui l'emmenait jusqu'à sa chambre. Je fus triste pour elle, pour son mari et sa famille. Je me mis en retrait comme pour me protéger de quelque chose. A ce moment là, Jocelyne qui avait accueillie Madame X et installée le scope m'appela pour l'aider. Lorsque que j'entre dans la chambre, je vois un homme penché sur la barrière du coté gauche du lit se tenant à la hauteur de sa femme qui était allongée sur son lit. Tout en avançant, j'entends un sifflement bruyant et saccadé, puis je m'approche au bord du lit au dessus de la barrière du coté droit, à sa hauteur. Là, je vois une femme ayant un regard figé et fuyant, en pleurs, son visage pâle, en sueur avec une polypnéique et ses membres inférieurs tendus. Lorsque que je détourne mon regard, je regarde le scope avec le pouls et la tension. Les paramètres vitaux n'étaient pas dans les normes avec un pouls élevé et une tension basse. Elle était en état de choc. Un instant après, je pris le relais de l'aide soignante pour rafraîchir le visage de la patiente. Je commence à mettre le gant sur son visage doucement en lui faisant comprendre par ce geste que je suis là pour l'accompagner dans ce moment difficile. Pendant ce geste, j'observe son visage qui ne grimaçait pas qui avait l'air au contraire d'apprécier mon geste. Puis, je continue mon aide de réconfort, d'accompagnement dans sa douleur. J'écoute son mari qui prenait sa main droite, molle, sans muscle en lui chuchotant "respire doucement, calmement". Je n'entends aucune réponse venant de sa femme. Je ne sais pas à cet instant, si son mari lui avait annoncé le mal être ou le décès de leur bébé. Ce qui me donne envie de faire la même chose aussi, pour essayer de communiquer avec elle. Je regarde sur le scope, le pouls descend doucement et la respiration commence à revenir à la normale. Je décide à ce moment là, de sortir de la chambre pour les laisser dans leur intimité. En refermant la porte derrière moi, je me mis à soupirer, à ressentir une émotion lourde et pesante, et d'avoir une larme à l'oeil. Je commence à ressentir la douleur éprouvée par la famille, y compris par la petite fille de quatre ans. Je ne peux m'empêcher de compatir à leur chagrin. Un sentiment d'injustice m'envahit. Puis, une heure après, je me rends dans la salle de soins, le dossier de la patiente était là sur le bureau, j'ouvre le dossier pour avoir toutes les informations. A cet instant, je compris ce qui s'était passé et je lis que le gynécologue, la sage femme et la psychologue s'étaient entretenues avec elle et son mari. Tout à coup, la sage femme nous informe du transfert de Madame X au CHBA. Suite à cette information, nous 2

3 allons faire le soin de la patiente en accord avec la sage femme, avant qu'elle ne soit transférée à l'hôpital. Quelques minutes après, j'accompagne l'aide soignante, et nous entrons dans la chambre en demandant à son mari de sortir pour le soin. A cet instant, il n'y avait plus de bruits sifflants et le calme régnait dans la pièce. La maman me semblait plus apaisée. Avant de commencer, nous lui expliquons le déroulement du soin. La personne nous répond "oui" par la parole en hochant la tête et nos regards se croisent. Pendant le soin, j'ai envie de poser des questions, d'établir une communication mais sans le bébé dans la pièce je ne le fais pas. La patiente nous observe, et participe durant le soin à la toilette périnéale. Nous lui posons des questions et nous dit "oui" ou "non" sans phrase, comme absente, son esprit était surement auprès de son bébé. Mais le silence reste présent et lourd. Je me mets à la place de la maman, dans une chambre, vide, sans vie, sans cri, sans berceau ce qui accentue l'absence de son bébé. Je sors de la chambre avec l'aide soignante avec cette sensation de lourdeur, de tristesse ressenti par toute l'équipe et moi même. Quelques minutes plus tard, nous apprenons le départ de la patiente vers l'hôpital où le nourrisson est décédé peu de temps après. Analyse de la situation Dans le cas présent, je peux voir que Madame X souffre de la perte de son enfant, de la séparation brutale avec son bébé et d'un sentiment de culpabilité. Pendant la première prise de contact avec la patiente, j'observe qu'elle exprime un sentiment d'injustice, de malheur qui s'est abattu sur elle. Je ressens à cet instant de la compassion, de la tristesse. Etant maman moi même, je pense à mes propres enfants, je me mettais à la place de la patiente. Je remarque qu'au début du soin, lorsque nous tentons de la rassurer, elle ne répond pas mais son corps réagit en se détendant. Au soin suivant, elle commence à nous répondre. Lors du soin à mon deuxième passage, je me dis que la chambre me parait froide, blanche, à travers la fenêtre, je vois que le temps est gris, triste comme dans la chambre. Il n'y avait pas de bruit, pas de cri de nourrisson, pas de berceau, juste la maman allongée dans son lit immobile. Je me dis que la chambre est inadaptée pour accueillir une maman qui vient de perdre son bébé. Je pense que c'était traumatisant pour elle et pour moi aussi. Puis, la séparation avec son bébé n'a pas dû rassurer la mère. Pour la réanimation du bébé, transféré au CHBA, il y a eu une rupture maternelle, ils étaient séparés. La patiente a du se sentir impuissante face à ce moment là. Je pense qu'elle aurait dû suivre son bébé pour être à côté de son enfant. Mais, je sais qu'après une césarienne ou un accouchement par voie basse, il faut un temps de surveillance de deux heures, avant de pouvoir regagner sa chambre. Ou l'autre possibilité aurait été de la faire accoucher à l'hôpital. Dans un premier temps, l'échange s'est fait par une communication non-verbale par le regard, des gestes et des paroles douces, par l'attention donnée, par l'écoute et l'accompagnement de la personne. Puis on remarque, que Madame X nous écoute car elle essaye de respirer plus calmement mais cela reste quelque peu saccadé. La transmission s'établie et le pouls diminue progressivement. Elle nous répond, nous regarde bouge ses membres, on s'aperçoit que l'échange verbale devient interactive. Je me posais beaucoup de questions : comment la patiente allait surmonter ce cap? comment va t- elle annoncer la nouvelle à sa famille, à ses proches et à sa fille?. Face à ces questions, je me suis renseignée sur la douleur, la mort et le deuil. L'analyse de cette rencontre montre que la mère souffre de la perte de son nourrisson. La douleur s'inscrit parmi les craintes des patients, évoque un état émotionnel de souffrance. Seule la personne qui en est victime peut l'exprimer et la décrire. Elle peut être sensitive et affective. Je dirais que dans ce cas la douleur est affective car c'est une douleur angoissante et déprimante. De plus, les facteurs influençant l'exposition douloureuse sont les bruits, l'obscurité, la chaleur, le froid, le temps, le lieu, les horaires, le mouvement de la journée et l'entourage (la brusquerie ou la douceur). Enfin, la douleur peut dépendre également de l'état psychique de la personne: fatigue, fragilité, confiance en soi et capacité maternant. La communication est un échange, un partage, d'intérêt pour l'autre pour établir une relation de confiance. C'est un moment privilégié, qui comprend les émotions et les sentiments entre deux personnes. Â ce 3

4 moment là, le message non verbale s'est alternée avec l'annonce verbale de la situation. La distance s'est fait dans l'espace privé de la personne et je voyais son mari à une distance réservée (Cf. cours Catherine Janvier 2014). Dans un second temps, on remarque au début de la description que je me mets en retrait, j'évite ce qui se passe lorsque je vois Madame X arriver avec le brancardier. Comme pour me protéger de quelques chose. J'appréhende de faire face à cet instant de la rencontrer. Je me pose la question pourquoi? Mais avec du recul, et avec le cours, je compris les mécanismes de défense du soignant. C'est un processus développé par le "moi" afin de se protéger d'une exposition douloureuse tant sur le plan physique que psychologique. Elle s'instaure à mon insu lors de cette rencontre avec la patiente. Je me préserve d'une réalité vécue comme intolérable. Je me défends à cause de cette peur de rencontrer la personne surtout que je ne m'attendais pas à être confrontée à cette tragique drame. Je n'étais pas préparée physiquement ni émotionnellement. Puis, par l'identification projective, c'est à dire en me mettant à la place de la maman, je ressentais de la tristesse et cela me ramenait à ma difficulté rencontrée lors de ma première grossesse. J'en avais "gros sur le cœur" D'autre part, l'analyse de cette situation montre aussi le deuil psychologique. En effet, c'est l'affliction c'est à dire une douleur, une tristesse profonde que l'on éprouve à la mort de quelqu'un. Ce mot désigne la mort elle même. La mort est un arrêt complet et définitif des fonctions vitales d'un organisme vivant, avec disparition de l'activité électrique du cerveau. Nous voyons un corps immobile et froid qui ne réagit plus. La communication est à jamais interrompue (cf. livre cdi ifas Malestroit "l'accompagnement au quotidien, l'aide soignant face aux souffrances et aux deuils"). De plus, j'ai fais des recherches concernant le deuil pour l'enfant puisque que dans ma situation la grande fille sera confrontée à cette peine. L'enfant de quatre ans à six ans a une perception mythique de la mort, elle ressemble pour lui même à un jeu, à quelque chose de mystérieux, à l'envers du réel. Il l'imagine comme quelque chose de temporaire, de réversible, "vie et mort" ne sont pas contradictoire. Cependant, il peut être touché par la mort quand il s'agit de la perte d'un frère ou d'une sœur (cf. livre cdi Malestroit "l'accompagnement au quotidien, l'aide soignant face aux souffrances et aux deuils"). Par conséquent, la mort reste une réalité quotidienne que nous avons tendance de nos jours à vouloir occulter. C'est un drame muet, une catastrophe brutale et le plus souvent silencieuse (cf. livre cdi Malestroit "l'enfant perdu p143 chapitre 8"). Mais aussi, un état de perte d'un être cher qui s'accompagne de détresse et de douleurs morales pouvant entraîner des manifestations physiques, une véritable réaction dépressive et nécessitant un travail psychique dit "travail de deuil" pour être surmonté. Conclusion Dans ce contexte, le rôle du soignant est très important tant dans l'accompagnement : se joindre à l'autre pour faire route avec lui. Il s'agit de s'adapter au rythme, de partager des moments dans sa vie, en acceptant d'avoir le second rôle. C'est d'observer au delà des paroles, être sensible aux mimiques, savoir interpréter certains gestes, certaines positions, attitudes en veillant à rester dans l'objectivité c'est à dire à ne pas identifier ses propres sentiments à ceux du malade.(cf. livre ifas Malestroit "l'accompagnement au quotidien, l'aide soignant face aux souffrances et aux deuils"). Il est le témoin, le confident, l'accompagnateur pendant les différentes phases du deuil, ce que je me suis évertuée à faire durant son hospitalisation en maternité. C'est pourquoi, il faut se connaître soi-même, connaître ses propres limites, et pour cela il faut repérer ce qui se passe en soi, être à l'écoute de soi, mais ce genre de circonstance nous fait réfléchir, évoluer et nous interroger. Il faut prendre un temps de réflexion, essayer de comprendre pourquoi ces réactions surgissent. Â cet instant, je ressentais des émotions fortes comme la peur d'affronter ce moment qui me paraissait douloureux et angoissant de faire des mouvements inappropriés, ou de dire une parole déplacée. Puis à la sortie de la chambre, j'avais du mal à me détacher alors que le rôle du soignant est de savoir mettre de la distance par rapport à son rôle, c'est se préserver, rester professionnel sans complication affective importante (cf. cours sr Marylène Septembre 2013). Mais après tout le soignant 4

5 s'engage en tant qu'être humain, avec un vécu et des émotions. De plus, le rôle du soignant est important dans le prendre soin : c'est être à l'écoute, être attentif aux habitudes de la vie dans le but de contribuer à son bien être, à son harmonie. Comme la dimension spirituelle qui par du soin transforme l'acte en rencontre. C'est aider le malade à transformer la souffrance morale en une réconciliation avec la vie (cf. cours sr Roxane Septembre 2013). Enfin, j'ai vécue cette position très difficile sur le moment car je n'étais pas préparée physiquement et psychologiquement. Et au jour d'aujourd'hui, je me demande si j'aurais réagit différemment. 5

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