Int égrat ion des syst èm es c lient /serveur

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Int égrat ion des syst èm es c lient /serveur"

Transcription

1 Int égrat ion des syst èm es c lient /serveur Les t ransac t ions DAVID EUDELINE CELAR

2 LES TRANSACTIONS Objectifs et bases Mesure des performances Propriétés des transactions linéaires Modèles étendus Cas des systèmes répartis Conclusion 2

3 Le t ransac t ionnel (OLTP) Les systèmes transactionnels fournissent un cadre pour le support des applications critiques en terme de sûreté et de performance. Opérations typiques mises à jour ponctuelles de ligne par des écrans prédéfinis, souvent répétitive, sur les données les plus récentes Exemple Mise à jour d un compte bancaire en débit/crédit Réservation d un billet de train SNCF etc. 3

4 Le t ransac t ionnel (OLTP) Caractéristiques des applications OLTP Opérations typiques: Mise à jour, ajout de record Type d'accès: Lect/ Ecr Niveau d'analyse: Opérations simples Ecrans: Fixe, fonctionnement répétitif Les quantités d'info échangées sont faibles Haute disponibilité et haute performances Le taille de la est BD est proportionnelle à la production Les données sont récentes Grand nombre d utilisateurs Scalabilité, équilibrage de charge, parallélisme lors de l exécution des requêtes 4

5 Mesure des perform anc es Benchmark : Banc de Performances Mesurer les performances d un système (matériel / logiciel) sous une charge de travail caractérisant une application type. Cette application peut être définie selon des spécifications écrites par des organismes compétents (ie: modèle TPC) Intérêts: fournir un indicateur fiable et global de qualité des produits comparer les produits entre eux (avec d acheter) fournir des arguments commerciaux Dimensionner son système en fonction de ses besoins ATTENTION à l écart entre Application Réelle et Application «Modèle» 5

6 Mesure des perform anc es TPC: Transaction Processing Performance Council Groupement de constructeurs, d éditeurs et d utilisateurs né dans les années 1980 pour établir des étalons fiables. Objectifs du groupement Définir des métriques de performances en: tps (transactions par seconde) tpm (transactions par minute) et des coûts par transactions ($/ tps) Spécification du «benchmark» indépendante des systèmes et des logiciels Les propriétés des transactions doivent être conservées. 6

7 Mesure des perform anc es TPC: Plusieurs types de Benchmarks: TPC-A (1989): Transaction simple de type débit/crédit bancaire. TPC-B (1990): TPC-A réduit à la base de données. Ces deux outils peu représentatif des applications réelles ont été abandonnés au profit d étalon plus représentatif des systèmes modernes TPC-C (1992): Transactions complexes orientées gestion. TPC-D (1995): Outil pour mesurer les performances des applications d aide à la décision.(olap), requêtes complexes et taille des données importante. TPC-D a été revu et corrigé en 1999 par deux nouveaux modèles: TCP-H et TPC-R, toujours orienté décisionnel Applications de type WEB: TPC-W, modèle apparu en

8 Mesure des perform anc es La base TPC-A/B : modèle à simuler $JHQFHV &RPSWHV &DLVVLHUV +LVWRULTXH 7DLOOHSRXUWHUPLQDX[DYHFUqJOHGpFKHOOHVFDOLQJ UXOH 8

9 Mesures des perform anc es La transaction Débit - Crédit TPC/A et TPC/B 90 % des transactions doivent avoir un temps de réponse inférieur à 2 secondes Chaque terminal génère une transaction toute les 60 secondes (temps de réflexion moyen du caissier) Performance = Nb transactions commises / temps passé Ce modèle est dépassé, il est aujourd hui remplacé par le modèle TPC-C plus complet et plus représentatif TPC-C: Simulation d une application de prise de commande et de gestion de stock (5 transactions différentes) 9

10 Mesures des perform anc es TPC-W: Applications de commerce sur le WEB Interrogation d une base via des navigateurs (BtoC) Transactionnel sur le Web Commerce électronique (sécurité, paiement ) (BtoB) Benchmarks WebMark :orienté requête HTTP/GET sur des documents statiques SPECWeb: Performance des serveurs (nb de connexion supportées) en statique/dynamique TPC-W :orienté transactionnel: BtoB et BtoC (consultation et achat en ligne) = > Cinq transactions «classiques» 10

11 Cohabit at ion avec le déc isionnel Les transactions doivent souvent cohabiter avec des requêtes décisionnelles, traitant un volume important de données en lecture. Les architecture matérielles et logicielles doivent trouver un compromis pour satisfaire les contraintes OLAP et OLTP. 11

12 Les m enac es Problèmes de concurrence pertes d opérations introduction d incohérences verrous mortels (deadlock) Panne de transaction erreur en cours d'exécution du programme applicatif nécessité de défaire les mises à jour effectuées Panne système reprise avec perte de la mémoire centrale toutes les transactions en cours doivent être défaites Panne disque perte de données de la base 12

13 Propriét és des t ransac t ions Atomicité Unité indivisible : toutes les mises à jour doivent être effectuées ou aucune. Cohérence La transaction doit faire passer le système d'un état cohérent à un autre. Isolation Les résultats d'une transaction ne sont visibles aux autres transactions qu'une fois la transaction validée. Durabilité Les modifications d une transaction validée ne seront jamais perdue 13

14 Com m it et Abort INTRODUCTION D ACTIONS ATOMIQUES Commit (fin avec succès) et Abort (fin avec échec) Ces actions s'effectuent en fin de transaction COMMIT Validation de la transaction Rend effectives toutes les mises à jour de la transaction ABORT Annulation de la transaction Défait toutes les mises à jour de la transaction 14

15 Transac t ion sim ple Fin avec succès ou échec Begin_Transaction update update... Commit ou Abort - Provoque l'intégration réelle des mises à jour dans la base - Relâche les verrous - Provoque l'annulation des mises à jour - Relâche les verrous - Rep rend la transaction 15

16 Effet logique 8SGDWH 8SGDWH 0pPRLUH GH OD WUDQVDFWLRQ &RPPLW $ERUW %DVHVGHGRQQpHV 3RXEHOOH 16

17 Modèles ét endus Les transactions linéaires répondent bien à des besoins simples qui exigent des réponses de type «tout ou rien» dans des délais rapides. Néanmoins dans certains cas ce modèle se trouve inadapté et il devient alors nécessaire de définir d autres modèles de transaction qui: garantissent les propriétés transactionnelles offrent plus de souplesse dans l exécution Exemple: Transactions passant par l Internet... 17

18 Modèles ét endus Les critères sont les suivants: Volume des données traitées. durée de la transaction. Interactivité avec l utilisateur. Répartition de la transaction entre plusieurs machines. Tous ces cas de figures supporte mal un comportement «tout ou rien» propre aux transactions linéaires. 18

19 Point s de sync hronisat ion Introduction de points de sauvegarde intermédiaires (savepoint, commitpoint) Begin_Trans update update VDYHSRLQW update update Commit unité d'œuvre Conservation d u contexte unité d'œuvre 19

20 Transac t ions Im briquées OBJECTIFS Obtenir un mécanisme de reprise multi-niveaux Permettre de reprendre des parties logiques de transactions Faciliter l'exécution parallèle de soustransactions SCHEMA Reprises et abandons partiels Possibilité d'ordonner ou non les sous-transactions Begin(t 1) Com m it(t 1) %HJLQ7 &RPPLW7 Begin(t1) Commit(t1) &RPPHWW Begin(t2) Begin(t21) Com m it(t21) Abort(t2) $QQXOHWHWW 20

21 Sagas Groupe de transactions avec transactions compensatrices En cas de panne du groupe, on exécute les compensations Q 7 7 &7 &7 21

22 Transac t ions répart ies OBJECTIF Garantir que toutes les mises à jour d'une transaction sont exécutées sur tous les sites ou qu'aucune ne l'est. EXEMPLE Transfert de la somme X du compte A vers le compte B DEBUT FIN PROBLEME site 1: A = A - X site 2: B = B + X PANNE --> INCOHERENCE DONNEES Le contrôle est réparti : chaque site peut décider de valider ou d annuler sa transaction 22

23 Transac t ions répart ies plusieurs composantes sur des sites distincts sous le contrôle d'un système transactionnel local avec ses propres procédures de journalisation et de validation. L'atomicité d'une transaction répartie s'applique à l'ensemble des actions de ses agents. L'application directe à chaque agent des procédures locales de validation ne suffit pas Synchronisation des procédures de validation = > "protocole de validation" (compromis entre l'autonomie d'un site (synchro. lâche) et la cohérence des données (synchro forte). 23

24 Transac t ions répart ies 9DOLGDWLRQjSKDVHV: Phase 1 : envoi par le nœud de validation d'une commande de prévalidation à tous les nœuds subordonnés Phase 2 : attente par le nœud de validation du retour de l'acquittement des pré-validations. Ce retour signifie que toutes les opérations du nœud subordonné ont été correctement effectuées Phase 3 : après le retour de toutes les pré-validation, le nœud de validation envoie l'ordre de validation à tous les nœuds subordonnés Phase 4 : une fois que tous les acquittements de validation sont revenus, le nœud principal valide la transaction Si une erreur est remontée, une non-validation est transmise par le nœud de validation pour effectuer une opération de rollback. 24

25 Transac t ions répart ies 9DOLGDWLRQjSKDVHV: RMQ: Le protocole nécessite la journalisation des mises à jour préparées et des états des transactions dans un journal local à chaque participant. Performance : ce procédé génère de nombreux messages entre les systèmes qui viennent ralentir la transaction globale Complexité : le procédé repose sur 2 niveaux transactionnels. La complexité de gestion des erreurs s'en trouve donc augmentée 25

26 Cas Favorable 6,7(&225',1$7(85 6,7(3$57,&,3$17 6,7(3$57,&,3$17 35(3$5( 35(3$5( 2. &200,7 $&. 2. &200,7 $&. 26

27 Cas Défavorable (1) 6,7(&225',1$7(85 6,7(3$57,&,3$17 6,7(3$57,&,3$17 35(3$5( 35(3$5( 2..2 $%257 $%257 $&. $&. 27

28 Cas Défavorable (2) 6,7(3$57,&,3$17 6,7(&225',1$7(85 6,7(3$57,&,3$17 35(3$5( 35(3$5( 2. &200,7 $&. 2. &200,7 67$786 &200,7 $&. 28

29 Transac t ions bloquées Que faire en cas de doute? Demander l état aux autres transactions : STATUS conservation des états nécessaires message supplémentaire Forcer la transaction locale : ABORT toute transaction annulée peut être ignorée cohérence garantie avec un réseau sans perte de message Forcer la transaction locale : COMMIT toute transaction commise ne peut être ignorée non garantie de cohérence avec le coordinateur 29

30 Prot oc ole arboresc ent TP TP est le standard proposé par l ISO dans le cadre OSI Protocole arborescent Tout participant peut déclencher une sous-transaction Un responsable de la validation est choisi Un coordinateur est responsable de ses participants pour la phase 1 collecte les PREPARE demande la validation Le point de validation est responsable de la phase 2 envoie les COMMIT &RRUGLQDWHXUJOREDO &RRUGLQDWHXUORFDO &RRUGLQDWHXUORFDO 3RLQWGHYDOLGDWLRQ 1RHXGFULWLTXH 30

31 Transac t ions répart ies Distibution Facteur de complexité pour la mise en œ uvre de l'atomicité (validation et reprise). Nécessiter d'un protocole entre les gestionnaires de transactions pour synchroniser leurs actions. Performance: Pénalisée par les msg et par les mécanismes de validation/ reprise. 31

32 Conc lusion La complexité et la diversité des besoins des applications client/serveur peuvent rendre difficile la mise en œ uvre des transactions. Les transactions sont fondamentales car elles permettent de garantir les propriétés ACID des échanges client/serveur sans développement supplémentaire. Néanmoins pour ce faire elles doivent s appuyer sur des systèmes permettant d assurer «l acidité» des échanges, ce sont les moniteurs TP (7UDQVDFWLRQ 3URFHVVLQJ). 32

33 Int égrat ion des syst èm es c lient /serveur Les m onit eurs t ransac t ionnels DAVID EUDELINE CELAR

34 Int roduc t ion Les moniteurs transactionnels sont spécialisés dans la gestion des transactions. Situés entre les clients et le serveur, ils gèrent les communications en interceptant les échanges. Souvent invisible et méconnu ils sont présents dans la plupart des applications client/ serveur. Les moniteurs TP, après une brillante carrière sur les systèmes propriétaires, se refont une seconde jeunesse avec les systèmes client/ serveur. 34

35 Int roduc t ion Définition: «Système d exploitation pour le traitement des transactions». Fonctions assurées par les moniteurs TP: Gestion des transactions : Les moniteurs TP garantissent les propriétés ACID des échanges entre le client et le serveur. Gestion des processus : Les moniteurs TP gèrent les processus serveurs, les lancent, les surveillent et équilibrent la charge entre les différents processus. Gestion des communications : Les moniteurs TP assurent la transparence du point de vue du serveur (et du client) sur les middlewares utilisés. /HVPRQLWHXUV73VpFXULVHQWIRQFWLRQQHOOHPHQW OHVFRPPXQLFDWLRQVFOLHQWVHUYHXU 35

36 Int roduc t ion Pour quel besoins? FOLHQWV FRQQH[LRQV SURFHVVXV 0RGH5$0 ILFKLHUV RXYHUWV / 26V pfurxoh FRQQH[LRQV / 26WLHQW FOLHQWV 7 3 SURFHVVXV 0RGH5$0 ILFKLHUVRXYHUWV 36

37 Le m odèle : DTP Les moniteurs TP nécessitent des standards car ils interagissent avec des plate formes hétérogènes. Les standards L OSI/ TP de l ISO (Protocole arborescent) Le modèle DTP de l X/OPEN L OTS (Object Transaction Service) de l OMG L X/OPEN a défini un standard de moniteur permettant de gérer les transactions: DTP ('LVWULEXWHG 7UDQVDFWLRQ3URFHVVLQJ) Support de la validation à deux phases Ensemble de spécifications qui permettent d assurer les trois fonctions principales des moniteurs TP. Interfaces: RM, TX, XA. Interfaces de communication propre à chaque type de middleware sous jacent: XATMI (messages), TxRPC( DCE RPC), etc. 37

38 Le m odèle : DTP Modèle DTP de l X/OPEN Programme d application AP Gestionnaire de transactions TM Gestionnaire de communication CRM Gestionnaire de ressources RM Interfaces standards TX = interface du programme (AP) et du TM XA = interface du RM et du TM intégration de TP Types de RM gestionnaire de fichiers SGBD périphérique 38

39 Modèle DTP AP (Application) API RM API TX XATMI TxRPC CPI-C RM XA TM CRM Communication entre moniteurs Gestionnaire de Ressources (ex. SGBD) Moniteur de Transactions OSI TP Autres moniteurs 39

40 Les t rois t iers TP... Les moniteurs TP sont un exemple d architecture client/ serveur à trois niveaux. Découpage fonctionnel de l application: Interface homme machine (IHM ou GUI) Logique applicative Gestionnaire des ressources d arrière plan Les moniteurs TP se placent au niveau de la logique applicative car ils traitent les échanges indépendamment de l interface ou de la ressource. Le moniteur TP permet d isoler la ressource des clients potentiels. 40

41 Les t rois t iers TP... De fait le moniteur TP: contrôle le trafic en terme de débit (connexions simultanées) gère les processus serveur permettant de traiter les demandes (lancement de nouveaux processus, répartition dans les architectures multi-processeurs, gestion d un pool de serveurs) garantissent les propriétés ACID des échanges. Les communications sont de type «une et une seule fois». Analyse les performances et «marque» les transactions. Équilibre la charge entre les différents processus. Supervise les communications. Permet de faire de la reprise sur panne. Etc. 41

42 Les t rois t iers TP... Client/ serveur trois tiers, façon moniteur TP MOM Moniteur TP Appli SGBD RPC Appli Appli Domino Niveau 1 : Niveau 2 : Niveau 3 : GUI Logique applicative Données 42

43 Les t rois t iers TP selon M$ 43

44 TP léger ou TP lourd? Deux types de moniteurs transactionnel s affrontent sur le marché des applications client/ serveur. Moniteur TP léger ou «73/LWH», initié par Sysbase (1986) pour améliorer les performances de son SGBD. Moniteur TP lourd ou «73+HDY\» Transactionnel léger : Intégration de fonctions transactionnelles au sein du moteur de la base de données. Transactionnel lourd : «Système d exploitation permettant de gérer les transactions».

45 TP léger ou TP lourd? Transactionnel léger : Les fonctions intégrées dans les moteurs de bases de données s appuient essentiellement sur les procédures stockées. On trouve les fonctions suivantes: Transport de fonctions. La répartition des demandes clients sur un pool de processus (mais les mécanismes sont limités). Mécanisme de RPC propriétaires. Mécanisme de validation ACID pour une procédure stockée donnée. Ces fonctions sont relativement limitées et sont loin de couvrir l ensemble des services rendus par un véritable moniteur transactionnel. Néanmoins les procédures stockées permettent d améliorer les performances.

46 TP léger ou TP lourd? Caractéristiques du TP léger Gestion des transactions à l aide de procédures stockées écrites avec des langages propriétaires, pas d imbrications, la portée de la validation est limitée (validation à une phase dans la plupart des cas) Pas de portabilité entre les différents SGBD. Incapacité à gérer des ressources hétérogènes (SGBD multi éditeurs) Pas de contexte d exécution robuste. Les appels ne sont pas normalisés (RPC propriétaires)

47 TP léger ou TP lourd? Performances : Les procédures stockées et les déclencheurs contiennent des ordres SQL pré compilés et chargés en mémoire, amélioration des benchmarks par rapport au SGBD classiques. MAIS le TP léger est beaucoup moins performant que le TP lourd, surtout pour les applications critiques. le TP lourd fournit un contexte d exécution et d optimisation global. Les procédures stockées sont écrites à l aide d outil peu performant car interprétés. (L4G) Le code optimisé du moniteur TP lourd permet d alléger les ressources nécessaires au fonctionnement du SGBD car celui ci se trouve déchargé de certaines tâches. Le TP lourd permet d améliorer les performances sans toucher au matériel.

48 TP léger ou TP lourd? 73OLWH Grands services pour des SGBD mono éditeurs et des applications de faible criticité avec peu de connexions simultanées. Plus simple à mettre en œ uvre, il fait partie intégrante des offres commerciales des éditeurs de SGBD. Néanmoins il enferre l entreprise dans un système monolithique. 73KHDY\ Bien adaptés aux gros volumes, aux applications critiques nécessitant des temps de réponse contraints. Permet d apparier des composants hétérogènes si ils respectent les standards. Plus difficile à déployer il offre la transparence à l hétérogénéité. Tout dépend du besoin..

49 Transac t ion et WEB HTTP ne gère pas de session : Les informations utilisateurs ne sont pas gérées nativement part le protocole. Des standards et protocoles sont en cours d élaboration BTP: (Business Transaction Protocol) Proposé par BEA (démonstrateur) Indépendant des protocoles de transport et s appuyant sur XML BizTalk de Microsoft Workflow et transactions plates Rien de mur aujourd hui!!! 49

50 Princ ipaux m onit eurs (1) Encina de Transarc (renommé TXSeries) issu de CMU (1992), racheté par IBM construit sur DCE (OSF) pour la portabilité et la sécurité transactions imbriquées conformité DTP : Xa, CPI-C, TxRPC CICS de IBM Reprise du moniteur CICS des systèmes OS/ 390 reprise de l existant CICS (API et outils) conformité DTP : Xa, CPI-C Porté sur UNIX et Windows NT (base ENCINA) API : ECI (External Call Interface) pour les RPC, EPI (External Presentation Interface) pour les émulations 3270.

51 Princ ipaux m onit eurs (1) CICS sur l Internet! :&,&6,QWHUQHW*DWHZD\ HTTP CGI EPI Appli ECI Appli Niveau 1 : Niveau 2 : Niveau 3 : Niveau 4 : Navigateur WEB Serveur WEB Passerelle Serveur CICS 51

52 Princ ipaux m onit eurs (2) Tuxedo de BEA Éprouvé (depuis 1984), à la base de DTP Issu d un développement d AT&T sous UNIX pour ses besoins propres Supporte l asynchronisme, les priorités et le routage dépendant des données Conformité DTP: Xa, Tx, XaTMI, CPI-C, TxRPC Supporte la majeure partie des plates formes Transactions distribuées, sécurité (API spécifique) Support des middlewares à messages (MessageQ) API:(langages: C, C+ +, COBOL, JAVA, VB) ATMI: clients classiques CORBA: Couplage aux ORB CORBA JOLT: Couplage aux clients JAVA ou aux serveurs d EJB

53 Tux edo 53

54 MTS de Mic rosoft Microsoft Transaction Server Intégré à DCOM Partage de grappes de NT (cluster) Les disques sont supposés partagés Allocation des ressources en pool aux requêtes : pool de connexion aux ressources (SQL Server) pool de transactions (support) pool de machines Ne suit pas les standards! 54

55 MTS de Mic rosoft 55

56 Conc lusion Trois éditeurs s affrontent :,%0 : L éditeur historique qui traite le transactionnel OLTP depuis vingt ans. %($ : Un jeune en pleine croissance et un rival sérieux. 0LFURVRIW qui offre des solutions pour les composants COM et les produits WIndows Les moniteurs TP sont sur la voie du renouveau... Enjeu essentiel pour le commerce électronique validation fiable reprise et copies partage de connexions partage de charge 56

Module BDR Master d Informatique (SAR)

Module BDR Master d Informatique (SAR) Module BDR Master d Informatique (SAR) Cours 9- Transactions réparties Anne Doucet Anne.Doucet@lip6.fr Transactions réparties Gestion de transactions Transactions dans un système réparti Protocoles de

Plus en détail

Transactionnel et transactionnel réparti. Source R.CHEVANCE G.Gardarin

Transactionnel et transactionnel réparti. Source R.CHEVANCE G.Gardarin 1 Transactionnel et transactionnel réparti Source R.CHEVANCE G.Gardarin Plan Concept de transaction - Propriétés ACID Transactionnel réparti Moniteur transactionnel Modèle X/Open Exemple de moniteur transactionnel:

Plus en détail

Implémentation des SGBD

Implémentation des SGBD Implémentation des SGBD Structure générale des applications Application utilisateur accédant à des données d'une base Les programmes sous-jacents contiennent du code SQL Exécution : pendant l'exécution

Plus en détail

Le modèle client-serveur

Le modèle client-serveur Le modèle client-serveur Olivier Aubert 1/24 Sources http://www.info.uqam.ca/~obaid/inf4481/a01/plan.htm 2/24 Historique architecture centralisée terminaux passifs (un seul OS, systèmes propriétaires)

Plus en détail

Intégration de systèmes client - serveur Des approches client-serveur à l urbanisation Quelques transparents introductifs

Intégration de systèmes client - serveur Des approches client-serveur à l urbanisation Quelques transparents introductifs Intégration de systèmes client - serveur Des approches client-serveur à l urbanisation Quelques transparents introductifs Jean-Pierre Meinadier Professeur du CNAM, meinadier@cnam.fr Révolution CS : l utilisateur

Plus en détail

4. Utilisation d un SGBD : le langage SQL. 5. Normalisation

4. Utilisation d un SGBD : le langage SQL. 5. Normalisation Base de données S. Lèbre slebre@unistra.fr Université de Strasbourg, département d informatique. Présentation du module Contenu général Notion de bases de données Fondements / Conception Utilisation :

Plus en détail

Urbanisme du Système d Information et EAI

Urbanisme du Système d Information et EAI Urbanisme du Système d Information et EAI 1 Sommaire Les besoins des entreprises Élément de solution : l urbanisme EAI : des outils au service de l urbanisme 2 Les besoins des entreprises 3 Le constat

Plus en détail

Programme scientifique Majeure ARCHITECTURE DES SYSTEMES D INFORMATION. Mentions Ingénierie des Systèmes d Information Business Intelligence

Programme scientifique Majeure ARCHITECTURE DES SYSTEMES D INFORMATION. Mentions Ingénierie des Systèmes d Information Business Intelligence É C O L E D I N G É N I E U R D E S T E C H N O L O G I E S D E L I N F O R M A T I O N E T D E L A C O M M U N I C A T I O N Programme scientifique Majeure ARCHITECTURE DES SYSTEMES D INFORMATION Mentions

Plus en détail

Software Engineering and Middleware A Roadmap

Software Engineering and Middleware A Roadmap Software Engineering and Middleware A Roadmap Ecrit par: Dr. Wolfgang Emmerich Présenté par : Mustapha Boushaba Cours : IFT6251 Wolfgang Emmerich Enseignant à University College London: Distributed Systems

Plus en détail

Disponibilité et fiabilité des services et des systèmes

Disponibilité et fiabilité des services et des systèmes Disponibilité et fiabilité des services et des systèmes Anthony Busson Introduction Un site Web commercial perd de l argent lorsque leur site n est plus disponible L activité d une entreprise peut être

Plus en détail

SGBDR. Systèmes de Gestion de Bases de Données (Relationnelles)

SGBDR. Systèmes de Gestion de Bases de Données (Relationnelles) SGBDR Systèmes de Gestion de Bases de Données (Relationnelles) Plan Approches Les tâches du SGBD Les transactions Approche 1 Systèmes traditionnels basés sur des fichiers Application 1 Gestion clients

Plus en détail

NFP111 Systèmes et Applications Réparties

NFP111 Systèmes et Applications Réparties NFP111 Systèmes et Applications Réparties 1 de 34 NFP111 Systèmes et Applications Réparties Cours 7 - CORBA/Partie 1 Claude Duvallet Université du Havre UFR Sciences et Techniques 25 rue Philippe Lebon

Plus en détail

Module BD et sites WEB

Module BD et sites WEB Module BD et sites WEB Cours 8 Bases de données et Web Anne Doucet Anne.Doucet@lip6.fr 1 Le Web Architecture Architectures Web Client/serveur 3-tiers Serveurs d applications Web et BD Couplage HTML-BD

Plus en détail

Julien MATHEVET Alexandre BOISSY GSID 4. Rapport RE09. Load Balancing et migration

Julien MATHEVET Alexandre BOISSY GSID 4. Rapport RE09. Load Balancing et migration Julien MATHEVET Alexandre BOISSY GSID 4 Rapport Load Balancing et migration Printemps 2001 SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 SYNTHESE CONCERNANT LE LOAD BALANCING ET LA MIGRATION... 4 POURQUOI FAIRE DU LOAD BALANCING?...

Plus en détail

Services OSI. if G.Beuchot. Services Application Services Présentation - Session Services Transport - Réseaux - Liaison de Données - Physique

Services OSI. if G.Beuchot. Services Application Services Présentation - Session Services Transport - Réseaux - Liaison de Données - Physique Services OSI Services Application Services Présentation - Session Services Transport - Réseaux - Liaison de Données - Physique 59 SERVICES "APPLICATION" Architecture spécifique : ALS (Application Layer

Plus en détail

PROGRAMME DU CONCOURS DE RÉDACTEUR INFORMATICIEN

PROGRAMME DU CONCOURS DE RÉDACTEUR INFORMATICIEN PROGRAMME DU CONCOURS DE RÉDACTEUR INFORMATICIEN 1. DÉVELOPPEMENT D'APPLICATION (CONCEPTEUR ANALYSTE) 1.1 ARCHITECTURE MATÉRIELLE DU SYSTÈME INFORMATIQUE 1.1.1 Architecture d'un ordinateur Processeur,

Plus en détail

Cours Bases de données

Cours Bases de données Informations sur le cours Cours Bases de données 9 (10) séances de 3h Polycopié (Cours + TD/TP) 3 année (MISI) Antoine Cornuéjols www.lri.fr/~antoine antoine.cornuejols@agroparistech.fr Transparents Disponibles

Plus en détail

Fiche de l'awt Intégration des applications

Fiche de l'awt Intégration des applications Fiche de l'awt Intégration des applications Aujourd'hui, plus de 40 % des budgets de développement en informatique sont liés à l'intégration de données dans les systèmes d'information. Il s'agit donc d'une

Plus en détail

Les nouvelles architectures des SI : Etat de l Art

Les nouvelles architectures des SI : Etat de l Art Les nouvelles architectures des SI : Etat de l Art Objectif Mesurer concrètement les apports des nouvelles applications SI. Être capable d'évaluer l'accroissement de la complexité des applications. Prendre

Plus en détail

Les transactions 1/46. I même en cas de panne logicielle ou matérielle. I Concept de transaction. I Gestion de la concurrence : les solutions

Les transactions 1/46. I même en cas de panne logicielle ou matérielle. I Concept de transaction. I Gestion de la concurrence : les solutions 1/46 2/46 Pourquoi? Anne-Cécile Caron Master MAGE - SGBD 1er trimestre 2014-2015 Le concept de transaction va permettre de définir des processus garantissant que l état de la base est toujours cohérent

Plus en détail

Bases de Données. Stella MARC-ZWECKER. stella@unistra.u-strasbg.fr. Maître de conférences Dpt. Informatique - UdS

Bases de Données. Stella MARC-ZWECKER. stella@unistra.u-strasbg.fr. Maître de conférences Dpt. Informatique - UdS Bases de Données Stella MARC-ZWECKER Maître de conférences Dpt. Informatique - UdS stella@unistra.u-strasbg.fr 1 Plan du cours 1. Introduction aux BD et aux SGBD Objectifs, fonctionnalités et évolutions

Plus en détail

Mise en œuvre des serveurs d application

Mise en œuvre des serveurs d application Nancy-Université Mise en œuvre des serveurs d application UE 203d Master 1 IST-IE Printemps 2008 Master 1 IST-IE : Mise en œuvre des serveurs d application 1/54 Ces transparents, ainsi que les énoncés

Plus en détail

Entreprises Solutions

Entreprises Solutions ERP Entreprises Solutions Choisir un progiciel de gestion intégrée Questions de technologie? 1 Dans le choix d une solution de gestion intégrée de type PGI/ERP, les aspects fonctionnels sont clés. L entreprise

Plus en détail

Architectures web/bases de données

Architectures web/bases de données Architectures web/bases de données I - Page web simple : HTML statique Le code HTML est le langage de base pour concevoir des pages destinées à être publiées sur le réseau Internet ou intranet. Ce n'est

Plus en détail

Présentation du module Base de données spatio-temporelles

Présentation du module Base de données spatio-temporelles Présentation du module Base de données spatio-temporelles S. Lèbre slebre@unistra.fr Université de Strasbourg, département d informatique. Partie 1 : Notion de bases de données (12,5h ) Enjeux et principes

Plus en détail

SOA : une brique de la 4 ième génération de l architecture informatique? Hervé Crespel Président du club urba-ea

SOA : une brique de la 4 ième génération de l architecture informatique? Hervé Crespel Président du club urba-ea SOA : une brique de la 4 ième génération de l architecture informatique? Hervé Crespel Président du club urba-ea Gartner 1992 : styles of client-server computing L origine du SOA? Presentation Presentation

Plus en détail

Bases de données et sites WEB Licence d informatique LI345

Bases de données et sites WEB Licence d informatique LI345 Bases de données et sites WEB Licence d informatique LI345 Anne Doucet Anne.Doucet@lip6.fr http://www-bd.lip6.fr/ens/li345-2013/index.php/lescours 1 Contenu Transactions en pratique Modèle relationnel-objet

Plus en détail

Microsoft Dynamics AX. Solutions flexibles avec la technologie Microsoft Dynamics AX Application Object Server

Microsoft Dynamics AX. Solutions flexibles avec la technologie Microsoft Dynamics AX Application Object Server FLEXIBILITÉ Microsoft Dynamics AX Solutions flexibles avec la technologie Microsoft Dynamics AX Application Object Server Livre blanc Comment les entreprises peuvent-elles utiliser la technologie Microsoft

Plus en détail

W4 - Workflow La base des applications agiles

W4 - Workflow La base des applications agiles W4 - Workflow La base des applications agiles, W4 philippe.betschart@w4global.com Vous avez dit «workflow»? Processus : Enchaînement ordonné de faits ou de phénomènes, répondant à un certain schéma et

Plus en détail

Architecture N-Tier. Ces données peuvent être saisies interactivement via l interface ou lues depuis un disque. Application

Architecture N-Tier. Ces données peuvent être saisies interactivement via l interface ou lues depuis un disque. Application Architecture Multi-Tier Traditionnellement une application informatique est un programme exécutable sur une machine qui représente la logique de traitement des données manipulées par l application. Ces

Plus en détail

Virginie!SALAS Janvier!09! NFE107

Virginie!SALAS Janvier!09! NFE107 Introduction!au!Serveurs!d d applications Définition Deux!architectures!:!Java!et!.Net BEA!Weblogic d Oracle WebSphere d IBM Inprise de!borland DNA!de!Microsoft Comparatif Un!serveur!d application!est!un!environnement!

Plus en détail

Architectures n-tiers Intergiciels à objets et services web

Architectures n-tiers Intergiciels à objets et services web Plan pour aujourd hui Architectures n-tiers Intergiciels à objets et services web Clémentine Nebut Nebut LIRMM / Université de Montpellier 2 Clementine.nebut@lirmm.fr Introduction Architectures classiques

Plus en détail

Introduction à la B.I. Avec SQL Server 2008

Introduction à la B.I. Avec SQL Server 2008 Introduction à la B.I. Avec SQL Server 2008 Version 1.0 VALENTIN Pauline 2 Introduction à la B.I. avec SQL Server 2008 Sommaire 1 Présentation de la B.I. et SQL Server 2008... 3 1.1 Présentation rapide

Plus en détail

MODULE I1. Plan. Introduction. Introduction. Historique. Historique avant 1969. R&T 1ère année. Sylvain MERCHEZ

MODULE I1. Plan. Introduction. Introduction. Historique. Historique avant 1969. R&T 1ère année. Sylvain MERCHEZ MODULE I1 Plan Chapitre 1 Qu'est ce qu'un S.E? Introduction Historique Présentation d'un S.E Les principaux S.E R&T 1ère année Votre environnement Sylvain MERCHEZ Introduction Introduction Rôles et fonctions

Plus en détail

ERP Service Negoce. Pré-requis CEGID Business version 2008. sur Plate-forme Windows. Mise à jour Novembre 2009

ERP Service Negoce. Pré-requis CEGID Business version 2008. sur Plate-forme Windows. Mise à jour Novembre 2009 ERP Service Negoce Pré-requis CEGID Business version 2008 sur Plate-forme Windows Mise à jour Novembre 2009 Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025 Pré-requis Sommaire 1. PREAMBULE... 3 Précision

Plus en détail

4.2 Unités d enseignement du M1

4.2 Unités d enseignement du M1 88 CHAPITRE 4. DESCRIPTION DES UNITÉS D ENSEIGNEMENT 4.2 Unités d enseignement du M1 Tous les cours sont de 6 ECTS. Modélisation, optimisation et complexité des algorithmes (code RCP106) Objectif : Présenter

Plus en détail

Messagerie asynchrone et Services Web

Messagerie asynchrone et Services Web Article Messagerie asynchrone et Services Web 1 / 10 Messagerie asynchrone et Services Web SOAP, WSDL SONT DES STANDARDS EMERGEANT DES SERVICES WEB, LES IMPLEMENTATIONS DE CEUX-CI SONT ENCORE EN COURS

Plus en détail

Intranet et les Bases de Données

Intranet et les Bases de Données Intranet et les Bases de Données Concepts et Mise en oeuvre Michel Tuffery (tuffery@cict.fr) Le Client-Serveur de première génération Fin de la suprématie des gros serveurs Mode connecté uniquement Surcharge

Plus en détail

Cours Bases de données 2ème année IUT

Cours Bases de données 2ème année IUT Cours Bases de données 2ème année IUT Cours 12 : Concurrence d accès Anne Vilnat http://www.limsi.fr/individu/anne/cours Plan 1 Accès concurrents Définitions Verrous Collisions Niveaux de cohérence Blocage

Plus en détail

Environnements de Développement

Environnements de Développement Institut Supérieur des Etudes Technologiques de Mahdia Unité d Enseignement: Environnements de Développement BEN ABDELJELIL HASSINE Mouna m.bnaj@yahoo.fr Développement des systèmes d Information Syllabus

Plus en détail

C-JDBC. Emmanuel Cecchet INRIA, Projet Sardes. http://sardes.inrialpes.fr

C-JDBC. Emmanuel Cecchet INRIA, Projet Sardes. http://sardes.inrialpes.fr Emmanuel Cecchet INRIA, Projet Sardes http://sardes.inrialpes.fr Plan Motivations Idées principales Concepts Caching Perspectives /ObjectWeb 15 octobre 2002 Emmanuel.Cecchet@inrialpes.fr 2 - Motivations

Plus en détail

Développement d applications Internet et réseaux avec LabVIEW. Alexandre STANURSKI National Instruments France

Développement d applications Internet et réseaux avec LabVIEW. Alexandre STANURSKI National Instruments France Développement d applications Internet et réseaux avec LabVIEW Alexandre STANURSKI National Instruments France Quelles sont les possibilités? Publication de données Génération de rapports et de documents

Plus en détail

Oracle 8i sous Linux

Oracle 8i sous Linux Oracle 8i sous Linux Gilles Briard Éditions Eyrolles ISBN : 2-212-09135-4 2000 Avant-propos Linux est un système désormais éprouvé, comme son arrivée dans les entreprises l atteste. L engouement qu il

Plus en détail

CORBA. (Common Request Broker Architecture)

CORBA. (Common Request Broker Architecture) CORBA (Common Request Broker Architecture) Projet MIAGe Toulouse Groupe 2 1 CORBA, introduction (1/4) Les systèmes répartis permettent de créer des applications basées sur des composants auto-gérables,

Plus en détail

Qu'est-ce que le BPM?

Qu'est-ce que le BPM? Qu'est-ce que le BPM? Le BPM (Business Process Management) n'est pas seulement une technologie mais, dans les grandes lignes, une discipline de gestion d'entreprise qui s'occupe des procédures contribuant

Plus en détail

SQL Server, MySQL, Toad (client MySQL), PowerAMC (modélisation) Proxy SLIS

SQL Server, MySQL, Toad (client MySQL), PowerAMC (modélisation) Proxy SLIS ANNEXE VII-1 : modèle d attestation de respect du cahier des charges pour l épreuve E4 (parcours SISR) BTS SERVICES INFORMATIQUES AUX ORGANISATIONS Session 2015 CONTRÔLE DE L ENVIRONNEMENT TECHNOLOGIQUE

Plus en détail

Conception Exécution Interopérabilité. Déploiement. Conception du service. Définition du SLA. Suivi du service. Réception des mesures

Conception Exécution Interopérabilité. Déploiement. Conception du service. Définition du SLA. Suivi du service. Réception des mesures Software propose une offre d intégration unique, qui apporte l équilibre parfait entre investissements et performances pour les entreprises qui doivent sans cesse améliorer leurs processus. Des caractéristiques

Plus en détail

Java et les bases de données: JDBC: Java DataBase Connectivity SQLJ: Embedded SQL in Java. Michel Bonjour http://cuiwww.unige.

Java et les bases de données: JDBC: Java DataBase Connectivity SQLJ: Embedded SQL in Java. Michel Bonjour http://cuiwww.unige. : JDBC: Java DataBase Connectivity SQLJ: Embedded SQL in Java Michel Bonjour http://cuiwww.unige.ch/~bonjour Plan JDBC: API bas niveau pour l accès aux BD (SQL) - Introduction - JDBC et : Java, ODBC, SQL

Plus en détail

Bases de données cours 1

Bases de données cours 1 Bases de données cours 1 Introduction Catalin Dima Objectifs du cours Modèle relationnel et logique des bases de données. Langage SQL. Conception de bases de données. SQL et PHP. Cours essentiel pour votre

Plus en détail

NetCrunch 6. Superviser

NetCrunch 6. Superviser AdRem NetCrunch 6 Serveur de supervision réseau Avec NetCrunch, vous serez toujours informé de ce qui se passe avec vos applications, serveurs et équipements réseaux critiques. Documenter Découvrez la

Plus en détail

Les Architectures Orientées Services (SOA)

Les Architectures Orientées Services (SOA) Les Architectures Orientées Services (SOA) Ulrich Duvent Guillaume Ansel Université du Littoral Côte d Opale 50, Rue Ferdinand Buisson BP 699 62228 Calais Cedex Téléphone (33) 03.21.46.36.92 Télécopie

Plus en détail

MOBILITE. Datasheet version 3.0

MOBILITE. Datasheet version 3.0 DU PC PORTABLE AU PDA COMMUNICANT MOBILITE Datasheet version 3.0 IBELEM, SA au Capital de 147 815 Filiale d ITS Group - 3, boulevard des bouvets 92741 Nanterre Cedex Tèl : 01.55.17.45.75 Fax : 01.73.72.34.08

Plus en détail

Java pour le Web. Cours Java - F. Michel

Java pour le Web. Cours Java - F. Michel Java pour le Web Cours Java - F. Michel Introduction à JEE 6 (ex J2EE) Historique Qu'est-ce que JEE JEE : Java Entreprise Edition (ex J2EE) 1. Une technologie outils liés au langage Java + des spécifications

Plus en détail

CH.3 SYSTÈMES D'EXPLOITATION

CH.3 SYSTÈMES D'EXPLOITATION CH.3 SYSTÈMES D'EXPLOITATION 3.1 Un historique 3.2 Une vue générale 3.3 Les principaux aspects Info S4 ch3 1 3.1 Un historique Quatre générations. Préhistoire 1944 1950 ENIAC (1944) militaire : 20000 tubes,

Plus en détail

ORACLE 10G DISTRIBUTION ET REPLICATION. Distribution de données avec Oracle. G. Mopolo-Moké prof. Associé UNSA 2009/ 2010

ORACLE 10G DISTRIBUTION ET REPLICATION. Distribution de données avec Oracle. G. Mopolo-Moké prof. Associé UNSA 2009/ 2010 ORACLE 10G DISTRIBUTION ET REPLICATION Distribution de données avec Oracle G. Mopolo-Moké prof. Associé UNSA 2009/ 2010 1 Plan 12. Distribution de données 12.1 Génération des architectures C/S et Oracle

Plus en détail

Enterprise Intégration

Enterprise Intégration Enterprise Intégration Intégration des données L'intégration de données des grandes entreprises, nationales ou multinationales est un vrai cassetête à gérer. L'approche et l'architecture de HVR est très

Plus en détail

Les Entrepôts de Données

Les Entrepôts de Données Les Entrepôts de Données Grégory Bonnet Abdel-Illah Mouaddib GREYC Dépt Dépt informatique :: GREYC Dépt Dépt informatique :: Cours Cours SIR SIR Systèmes d information décisionnels Nouvelles générations

Plus en détail

Architectures Client-Serveur

Architectures Client-Serveur Architectures Client- Bernard ESPINASSE Professeur à l'université d'aix-marseille 2011 Introduction : pourquoi le Client-? Evolution des organisations : 1980-1990 1985-1995 1995-2000 Introduction : pourquoi

Plus en détail

Cursus Sage ERP X3 Outils & Développement. Le parcours pédagogique Sage ERP X3 Outils et Développement

Cursus Sage ERP X3 Outils & Développement. Le parcours pédagogique Sage ERP X3 Outils et Développement Cursus Outils & Développement Vous êtes Consultant, Chef de Projets, Directeur des Systèmes d Information, Directeur Administratif et Financier, Optez pour les «formations Produits» Nous vous proposons

Plus en détail

Architectures d'intégration de données

Architectures d'intégration de données Architectures d'intégration de données Dan VODISLAV Université de Cergy-ontoise Master Informatique M1 Cours IED lan Intégration de données Objectifs, principes, caractéristiques Architectures type d'intégration

Plus en détail

Cursus Sage ERP X3 Outils & Développement. CURSUS Sage ERP X3 Outils & Développement ADVANCED. Outils avancés. 2 jours X3A-ADM. Développement 1 &2

Cursus Sage ERP X3 Outils & Développement. CURSUS Sage ERP X3 Outils & Développement ADVANCED. Outils avancés. 2 jours X3A-ADM. Développement 1 &2 Cursus Outils & Développement Vous êtes Consultant, Chef de Projets, Directeur des Systèmes d Information, Directeur Administratif et Financier, Optez pour les «formations Produits» Nous vous proposons

Plus en détail

Description de l implantation dans le centre d examen (nom du service ou de l outil et caractéristiques techniques)

Description de l implantation dans le centre d examen (nom du service ou de l outil et caractéristiques techniques) ANNEXE VII-1 : modèle d attestation de respect du cahier des charges pour l épreuve E4 (parcours SISR) BTS SERVICES INFORMATIQUES AUX ORGANISATIONS Session 2014 CONTRÔLE DE L ENVIRONNEMENT TECHNOLOGIQUE

Plus en détail

Initiation aux bases de données (SGBD) Walter RUDAMETKIN

Initiation aux bases de données (SGBD) Walter RUDAMETKIN Initiation aux bases de données (SGBD) Walter RUDAMETKIN Bureau F011 Walter.Rudametkin@polytech-lille.fr Moi Je suis étranger J'ai un accent Je me trompe beaucoup en français (et en info, et en math, et...)

Plus en détail

Prise en compte des ressources dans les composants logiciels parallèles

Prise en compte des ressources dans les composants logiciels parallèles Prise en compte des ressources dans les composants logiciels parallèles Aperçus de l action RASC et du projet Concerto F. Guidec Frederic.Guidec@univ-ubs.fr Action RASC Plan de cet exposé Contexte Motivations

Plus en détail

Le Cloud Computing et le SI : Offre et différentiateurs Microsoft

Le Cloud Computing et le SI : Offre et différentiateurs Microsoft Le Cloud Computing désigne ces giga-ressources matérielles et logicielles situées «dans les nuages» dans le sens où elles sont accessibles via Internet. Alors pourquoi recourir à ces centres serveurs en

Plus en détail

INTERSYSTEMS CACHÉ COMME ALTERNATIVE AUX BASES DE DONNÉES RÉSIDENTES EN MÉMOIRE

INTERSYSTEMS CACHÉ COMME ALTERNATIVE AUX BASES DE DONNÉES RÉSIDENTES EN MÉMOIRE I N T E RS Y S T E M S INTERSYSTEMS CACHÉ COMME ALTERNATIVE AUX BASES DE DONNÉES RÉSIDENTES EN MÉMOIRE David Kaaret InterSystems Corporation INTERSySTEMS CAChé CoMME ALTERNATIvE AUx BASES de données RéSIdENTES

Plus en détail

2011 Hakim Benameurlaine 1

2011 Hakim Benameurlaine 1 Table des matières 1 UTILISATION DES OUTILS DE REQUÊTES... 2 1.1 Bases de données SQL Server... 2 1.2 Éditions de SQL Server... 3 1.3 Les outils de SQL Server... 4 2011 Hakim Benameurlaine 1 1 UTILISATION

Plus en détail

TP redondance DHCP. Gillard Frédéric Page 1/17. Vue d ensemble du basculement DHCP

TP redondance DHCP. Gillard Frédéric Page 1/17. Vue d ensemble du basculement DHCP Vue d ensemble du basculement DHCP Dans Windows Server 2008 R2, il existe deux options à haute disponibilité dans le cadre du déploiement du serveur DHCP. Chacune de ces options est liée à certains défis.

Plus en détail

Eric Bertrand ebertrand@ixis-cib.com. 08/11/06 Maître de conférence 1

Eric Bertrand ebertrand@ixis-cib.com. 08/11/06 Maître de conférence 1 Calcul parallèle des options MC. Eric Bertrand ebertrand@ixis-cib.com 1 Plan Contexte du calcul parallèle Qualités requises Architecture Outillage Problèmes rencontrés perspectives 2 Contexte du calcul

Plus en détail

Journée CUME 29 Mars 2012. Le déport d affichage. Vincent Gil-Luna Roland Mergoil. www.upmc.fr

Journée CUME 29 Mars 2012. Le déport d affichage. Vincent Gil-Luna Roland Mergoil. www.upmc.fr Journée CUME 29 Mars 2012 Le déport d affichage Vincent Gil-Luna Roland Mergoil www.upmc.fr Sommaire Contexte Le déport d affichage Conclusion et perspectives Le contexte Présentation Problématiques Résultats

Plus en détail

Urbanisation des SI. Des composants technologiques disponibles. Urbanisation des Systèmes d'information Henry Boccon Gibod 1

Urbanisation des SI. Des composants technologiques disponibles. Urbanisation des Systèmes d'information Henry Boccon Gibod 1 Urbanisation des SI Des composants technologiques disponibles Urbanisation des Systèmes d'information Henry Boccon Gibod 1 Plan de l'exposé Technologies à la mode disponibles. Bus de données, ETL et EAI

Plus en détail

Architecture JEE. Objectifs attendus. Serveurs d applications JEE. Architectures JEE Normes JEE. Systèmes distribués

Architecture JEE. Objectifs attendus. Serveurs d applications JEE. Architectures JEE Normes JEE. Systèmes distribués Architecture JEE. Objectifs attendus Serveurs d applications JEE Systèmes distribués Architectures JEE Normes JEE couches logicielles, n-tiers framework JEE et design patterns 2007/02/28 Eric Hébert.eheb@yahoo.fr

Plus en détail

Le "tout fichier" Le besoin de centraliser les traitements des fichiers. Maitriser les bases de données. Historique

Le tout fichier Le besoin de centraliser les traitements des fichiers. Maitriser les bases de données. Historique Introduction à l informatique : Information automatisée Le premier ordinateur Définition disque dure, mémoire, carte mémoire, carte mère etc Architecture d un ordinateur Les constructeurs leader du marché

Plus en détail

2 Chapitre 1 Introduction

2 Chapitre 1 Introduction 1 Introduction Ce livre présente les Enterprise JavaBeans 2.0 et 1.1 qui constituent la troisième et la deuxième version de la spécification des Enterprise JavaBeans. Tout comme la plate-forme Java a révolutionné

Plus en détail

Gestion des transactions et accès concurrents dans les bases de données relationnelles

Gestion des transactions et accès concurrents dans les bases de données relationnelles Gestion des transactions et accès concurrents dans les bases de données relationnelles Bernard ESPINASSE Professeur à Aix-Marseille Université (AMU) Ecole Polytechnique Universitaire de Marseille Fev.

Plus en détail

PaperCut MF. une parfaite maîtrise de vos impressions, copies et scans.

PaperCut MF. une parfaite maîtrise de vos impressions, copies et scans. PaperCut MF TM une parfaite maîtrise de vos impressions, copies et scans. TM PaperCut MF PaperCut MF est une application logicielle simple qui vous permet de contrôler et de gérer l ensemble des fonctionnalités

Plus en détail

Solution de Mobilité SAP SUP & AFARIA. Meltz Jérôme

Solution de Mobilité SAP SUP & AFARIA. Meltz Jérôme Solution de Mobilité SAP SUP & AFARIA Meltz Jérôme 01 Agenda PRÉSENTATION D AUGUSTA REEVES Augusta Reeves Création en 1998 Société de service d Intégration SAP fondé en 1998 CA 2011 : 14,8 M Effectif :

Plus en détail

La surveillance réseau des Clouds privés

La surveillance réseau des Clouds privés La surveillance réseau des Clouds privés Livre blanc Auteurs : Dirk Paessler, CEO de Paessler AG Gerald Schoch, Rédactrice technique de Paessler AG Publication : Mai 2011 Mise à jour : Février 2015 PAGE

Plus en détail

Gestion répartie de données - 1

Gestion répartie de données - 1 Gestion répartie de données - 1 Sacha Krakowiak Université Joseph Fourier Projet Sardes (INRIA et IMAG-LSR) http://sardes.inrialpes.fr/~krakowia Gestion répartie de données Plan de la présentation Introduction

Plus en détail

Présentation d HyperV

Présentation d HyperV Virtualisation sous Windows 2008 Présentation d HyperV Agenda du module Présentation d Hyper-V Installation d Hyper-V Configuration d Hyper-V Administration des machines virtuelles Offre de virtualisation

Plus en détail

Assises Métallerie 2013. ERP GPAO en métallerie: quelle offres, comment bien choisir son outil de gestion?

Assises Métallerie 2013. ERP GPAO en métallerie: quelle offres, comment bien choisir son outil de gestion? Assises Métallerie 2013 ERP GPAO en métallerie: quelle offres, comment bien choisir son outil de gestion? ERP dans une PME de métallerie ERP dans une PME de métallerie OBJECTIF DE LA PRESENTATION DEFINITION

Plus en détail

Qu'est-ce que c'est Windows NT?

Qu'est-ce que c'est Windows NT? Qu'est-ce que c'est Windows NT? Que faire en cas de blocage d'une station NT? Profils «errants» avec win NT : des éclaircissements Echange de fichiers entre les deux environnements PC/Mac Blocage réseau

Plus en détail

COMPOSANTS DE L ARCHITECTURE D UN SGBD. Chapitre 1

COMPOSANTS DE L ARCHITECTURE D UN SGBD. Chapitre 1 1 COMPOSANTS DE L ARCHITECTURE D UN SGBD Chapitre 1 Généralité 2 Les composants principaux de l architecture d un SGBD Sont: Les processus Les structures mémoires Les fichiers P1 P2 Pn SGA Fichiers Oracle

Plus en détail

Moderniser. le système d information et le portefeuille applicatif. www.bull.com

Moderniser. le système d information et le portefeuille applicatif. www.bull.com Moderniser le système d information et le portefeuille applicatif L évolution technologique des plates-formes, l ouverture du système d information et la modernisation du portefeuille applicatif sont des

Plus en détail

Yann BECHET 32 ans 8 ans d expérience yann@bechet.org http://www.bechet.org/cv

Yann BECHET 32 ans 8 ans d expérience yann@bechet.org http://www.bechet.org/cv 32 ans 8 ans d expérience yann@bechet.org http://www.bechet.org/cv Chef de projets Conception Orientée Objets Réseaux et systèmes distribués Formation 1999 Diplôme d Etudes Approfondies «réseaux et systèmes

Plus en détail

Introduction à la conception de systèmes d information

Introduction à la conception de systèmes d information Introduction à la conception de systèmes d information 2008-2009 M1 MIAGE SIMA / M1 Informatique MIF17 Yannick Prié UFR Informatique - Université Claude Bernard Lyon 1 Objectifs de ce cours Présentation

Plus en détail

//////////////////////////////////////////////////////////////////// Administration bases de données

//////////////////////////////////////////////////////////////////// Administration bases de données ////////////////////// Administration bases de données / INTRODUCTION Système d informations Un système d'information (SI) est un ensemble organisé de ressources (matériels, logiciels, personnel, données

Plus en détail

Réplication des données

Réplication des données Réplication des données Christelle Pierkot FMIN 306 : Gestion de données distribuées Année 2009-2010 Echange d information distribuée Grâce à un serveur central Une seule copie cohérente Accès à distance

Plus en détail

Introduction aux applications réparties

Introduction aux applications réparties Introduction aux applications réparties Noël De Palma Projet SARDES INRIA Rhône-Alpes http://sardes.inrialpes.fr/~depalma Noel.depalma@inrialpes.fr Applications réparties Def : Application s exécutant

Plus en détail

Bases de données Cours 1 : Généralités sur les bases de données

Bases de données Cours 1 : Généralités sur les bases de données Cours 1 : Généralités sur les bases de données POLYTECH Université d Aix-Marseille odile.papini@univ-amu.fr http://odile.papini.perso.esil.univmed.fr/sources/bd.html Plan du cours 1 1 Qu est ce qu une

Plus en détail

PICRIS. Le progiciel des métiers de la Retraite, de la Santé, de la Prévoyance et du Social

PICRIS. Le progiciel des métiers de la Retraite, de la Santé, de la Prévoyance et du Social PICRIS Le progiciel des métiers de la Retraite, de la Santé, de la Prévoyance et du Social Comment construire un seul et même système d information pour supporter la gestion de différents produits d épargne

Plus en détail

D une part, elles ne peuvent faire table rase de la richesse contenue dans leur système d information.

D une part, elles ne peuvent faire table rase de la richesse contenue dans leur système d information. PACBASE «Interrogez le passé, il répondra présent.». Le Module e-business Les entreprises doivent aujourd hui relever un triple défi. D une part, elles ne peuvent faire table rase de la richesse contenue

Plus en détail

Smart Notification Management

Smart Notification Management Smart Notification Management Janvier 2013 Gérer les alertes, ne pas uniquement les livrer Chaque organisation IT vise à bien servir ses utilisateurs en assurant que les services et solutions disponibles

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES D IMPLANTATION

CAHIER DES CHARGES D IMPLANTATION CAHIER DES CHARGES D IMPLANTATION Tableau de diffusion du document Document : Cahier des Charges d Implantation EVRP Version 6 Etabli par DCSI Vérifié par Validé par Destinataires Pour information Création

Plus en détail

SQL Server 2012 et SQL Server 2014

SQL Server 2012 et SQL Server 2014 SQL Server 2012 et SQL Server 2014 Principales fonctions SQL Server 2012 est le système de gestion de base de données de Microsoft. Il intègre un moteur relationnel, un outil d extraction et de transformation

Plus en détail

Bénéficiez d'un large choix d'applications novatrices et éprouvées basées sur les systèmes d'exploitation i5/os, Linux, AIX 5L et Microsoft Windows.

Bénéficiez d'un large choix d'applications novatrices et éprouvées basées sur les systèmes d'exploitation i5/os, Linux, AIX 5L et Microsoft Windows. 1. Le nouveau eserver i5 en bref Gérez plusieurs systèmes d'exploitation et environnements d'applications sur un seul serveur pour simplifier votre infrastructure et réduire les frais de gestion Simplifiez

Plus en détail