Davantage de sport pour la Suisse!

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1 Davantage de sport pour la Suisse! Position sur le sport de loisir et l exercice physique Adopté par la présidence du parti le 18 juin 2015 à Berne

2 Les six principales exigences du PDC suisse 1. Trois leçons d éducation physique hebdomadaires obligatoires! Le PDC s oppose à la réduction des leçons d éducation physique. 2. Davantage de moyens pour Jeunesse+Sport en 2016! (Motion Lohr ) La compensation financière doit être effectuée au sein du DDPS. 3. Davantage de jeunes entraîneurs! La formation de coordinateur de sport doit être possible à partir de 20 ans et une formation d aide-moniteur J+S à partir de 14 ans. 4. L école obligatoire est valable pour toutes les branches! Cela vaut pour le sport, mais aussi et en particulier pour les cours de natation. 5. Un Centre national de sports de neige pour la Suisse! Le centre de sports de neige mettra à disposition les infrastructures et les services pour les sports de neige et de glace comme c est déjà le cas pour les centres existants surtout axés sur les sports d été. 6. L employeur : promoteur et modèle sportif! Une douche au bureau, des pauses-midi prolongées pour le sport ou la promotion et l autorisation de congés-jeunesse pour des activités de bénévolat ; l employeur peut faire beaucoup de choses pour le bien-être de ses employés! 1

3 Situation initiale La Suisse est un pays sportif. Près de la moitié de la population fait du sport plusieurs fois par semaine. 1 C est une bonne chose. Le sport c est protéger la santé et offrir davantage de bien-être un élément central de l éducation, du développement humain et de la vie sociale l intégration : tous les sexes, âges et nationalités se rencontrent en faisant du sport des sensations. Le sport fait partie de notre société et c est l une des rares choses exercées par toutes les générations. Mais il a aussi ses mauvais côtés. Raison pour laquelle le sport a besoin d être encouragé, ce qu il est pour l heure insuffisamment. C est précisément la politique qui doit faire davantage en faveur du sport. Dans cette prise de position, le PDC aborde le sujet du sport pour tous et de la société, en se concentrant surtout sur les familles, les écoles et les personnes issues de l immigration. 2 Le PDC respecte l indépendance du sport et la responsabilité individuelle des sportifs. C est précisément dans ce domaine que le fédéralisme et la subsidiarité constituent des principes indispensables de la politique suisse. 1 Conformément à l étude «sport Suisse 2014», coordonnée et financée par l OFSPO et l OFS, Swiss Olympic, le bpa et la Suva. 2 Cette prise de position ne traite pas le sport d élite et de performance. 2

4 1. Réduire les entraves au sport et à l exercice C est un fait : les gens font de moins en moins d exercice au quotidien. En conséquence : la santé et le bien-être en pâtissent et les coûts de la santé augmentent. La solution : faire du sport, ou de l exercice, durant toute la vie. Le PDC veut pour cela réduire les entraves et promouvoir les expériences positives ainsi que la perception du sport à titre de prévoyance-santé. Les cinq obstacles majeurs à l activité sportive sont les suivants : 1. le coût, notamment pour les familles et pour certains sports 2. un accès insuffisant, notamment dans les régions rurales (accès en transports publics) et pour les personnes handicapées 3. l absence d une structure, en particulier pour les sports qui requièrent une infrastructure particulière (sports aquatiques, sur gazon, sur glace) 4. le manque de temps, en particulier pour les personnes confrontées à une double charge de travail 5. les différences socioculturelles. Le PDC demande : à des structures pour le sport accessibles à toutes les familles, toutes les écoles et toutes les communes grâce à : un accès au sport pour tous, y compris les personnes handicapées, à un prix abordable, notamment pour les familles ; une amélioration de l information correspondante et une promotion des associations et de leurs infrastructures ; un renforcement du soutien octroyé aux initiatives et aux activités innovatrices dans les domaines du sport pour tous et du sport pour les personnes handicapées (manifestations sportives dans la commune, joggings collectifs, etc.). 3

5 2. Concilier activité professionnelle, vie familiale et sport En comparaison, les enfants et les jeunes adultes sont ceux qui pratiquent le plus de sport. C est à partir de la 25 e année que l activité sportive diminue. Ce qui entraîne entre autres une diminution du nombre de membres dans les associations et un affaiblissement de la santé les adultes. Mais ce sont surtout les femmes qui, à partir de 25 ans, pratiquent moins de sport que les hommes du même âge (généralement parce qu elles fondent une famille). Sans compter que les mères exerçant une activité professionnelle pratiquent plus de sport que celles qui n en exercent pas. Cela signifie que, pour les mères, la quantité de sport pratiqué dépend de l offre disponible. Cette offre dépend avant tout du travail bénévole fort louable des associations. Les associations et l exercice pratiqué dans la nature permettent un accès au sport souvent plus facile que par le biais d onéreux abonnements fitness. En bref, quiconque fait du sport est moins souvent malade, et cela à peu de frais. Des collaborateurs en bonne santé sont un gain économique pour chaque entreprise. Le PDC s est fixé pour objectif de maintenir l activité sportive régulière des adultes. Le PDC demande aux employeurs davantage de flexibilité et des concessions, lorsque leurs collaborateurs expriment le souhait de pratiquer une activité sportive. Des offres et des infrastructures en termes de sport peuvent être des arguments décisifs lorsqu il s agit de choisir un employeur. Quelques mesures possibles : des pauses-midi flexibles, une infrastructure (vestiaires, salle de sport, garage à vélo), des réductions notamment sur les abonnements de sport. L exemple prêché par l entreprise : les événements sportifs internes ou la participation de l entreprise à une manifestation sportive sont rentables tant pour l entreprise (son image, sa visibilité) que pour les collaborateurs (conciliation entre activités professionnelle et sportive). Les enfants ne doivent pas être un obstacle à la pratique d un sport. Les centres de fitness et les manifestations sportives (tournoi de tennis de foot, course à pied) devraient, dans la mesure du possible, proposer des activités ou un encadrement pour les enfants, afin qu il soit possible d avoir des enfants et de faire du sport. En même temps, l Etat ne doit pas entraver inutilement l accueil organisé des enfants par le biais de charges inutiles. Les parents dont les enfants sont membres d associations sportives ou autres sont dépendants d une bonne coordination. Les lieux et les horaires d entraînement pour les enfants et les jeunes doivent être compatibles avec la vie de famille. Il est donc inacceptable que des écoliers ne puissent s entraîner qu après 20 heures. Le PDC enjoint donc aux communes et les associations d adapter les horaires d ouverture des installations sportives aux besoins des familles. 4

6 Le PDC enjoint aux entreprises de soutenir leurs jeunes collaborateurs lorsqu ils demandent un congé-jeunesse 3 et de le leur octroyer. Un refus du congé-jeunesse demandé est extrêmement démotivant pour le travail bénévole et se solde généralement par une cessation de ladite activité. Le PDC demande que les écoles professionnelles et cantonales fassent preuve d une plus grande acceptation et d une plus grande flexibilité à l égard de l engagement sportif. Le congé-jeunesse (voir ci-dessus) constitue certes un instrument approprié, mais la promotion et l information par les cantons, les associations, les écoles et les entreprises professionnelles doivent être améliorées. La Confédération par exemple soutient les efforts entrepris par ses unités administratives en vue d obtenir le label «Entreprise formatrice favorable au sport de performance» décerné par Swiss Olympic. Cela encourage les conditions d embauche qui permettent de concilier activités professionnelle et sportive. Sport et armée : le PDC veut examiner une imputabilité des cours de formation J+S aux cours de répétition. Il convient d ailleurs d augmenter le nombre des options de service civil dans le domaine du sport. Les associations doivent avoir la possibilité d embaucher leurs propres jeunes membres pour le service civil. 3 Art. 329e Code des obligations : «Chaque année de service, l employeur accorde au travailleur jusqu à l âge de 30 ans révolus un congé-jeunesse représentant au plus et en tout une semaine de travail, lorsque ce dernier se livre [ ] à des activités de jeunesse extra-scolaires [ ] ou qu il suit la formation et les cours de perfectionnement nécessaires à l exercice de ces activités.» 5

7 3. Les enfants, la jeunesse et le sport L humain est pétri d habitudes. Il est bien plus difficile de motiver les personnes qui ne pratiquent que sporadiquement du sport que celles qui font régulièrement de l exercice. Le PDC s engage pour que les bases favorables à une pratique sportive pérenne soient jetées le plus tôt possible. Encourager le sport pour tous ne doit pas se restreindre à un seul type de sport, mais amener les gens à pratiquer différentes activités sportives et à découvrir de nouveaux sports. Il faut pour cela y avoir accès. Un tel accès est souvent trouvé par le biais de la famille ou créé par les nombreuses heures de travail effectuées au sein des associations de sport et de jeunesse. A l école, les enfants acquièrent diverses aptitudes et facultés. L éducation physique pose les fondations pour d autres activités sportives. Elle permet de choisir un sport adapté à sa personne, et à pratiquer durant ses loisirs, garantissant un bien-être jusqu à la vieillesse. Le PDC s oppose à la diminution des cours de sport. Nous demandons aux institutions de formation de ne pas négliger les leçons de sport, de les considérer au contraire comme faisant partie intégrante d une formation holistique. L enseignement du sport, soit trois heures par semaine, c est plus que du sport, cela stimule les compétences personnelles et sociales. Il s agit d un apprentissage social, de discipline, de tester ses propres limites et de se réjouir de succès. Le PDC soutient l exigence d une heure quotidienne de sport, ou d une plage horaire quotidienne d exercice physique. L exercice physique augmente la capacité de concentration et réduit le potentiel d agressivité des écoliers. C est à chaque école de décider de la manière d organiser précisément cette heure. On sait que c est pendant les heures de sport à l école que sont posés l essentiel des jalons pour l exercice d une activité sportive la vie durant 4. La qualité du sport à l école a donc une énorme importance. Et partant, la formation du personnel enseignant est elle aussi très importante. Le PDC demande que les enseignants du niveau primaire suivent obligatoirement un cours de formation destiné aux moniteurs de sports pour enfants de J+S 5. Comme les Hautes écoles pédagogiques de toute la Suisse n offrent plus de possibilités de formation dans le domaine du sport à enseigner au niveau primaire, la fréquentation d une semaine de formation J+S donnerait à chaque futur enseignant la base pour apprendre l importance du mouvement dans le développement des enfants (projet «Enfants en mouvement»). Les jeunes sportifs devraient être encouragés à assumer des fonctions de moniteur ou d entraîneur (J+S). Présenter en temps voulu les possibilités et engager les jeunes 4 Sport Suisse 2014 : Rapport sur les enfants et les adolescents 5 Jeunesse + Sport (J+S) est un programme de la Confédération pour promouvoir le sport pour tous, qui a fait ses preuves sur le plan international. J+S organise aussi des cours pour les moniteurs. Sport des enfants J+S encourage des offres variées et adaptées aux enfants de 5 à 10 ans dans les fédérations sportives et les écoles. Les enfants y sont soutenus dans la découverte de leurs préférences sportives personnelles. L entraînement des formes de base du mouvement crée de bonnes conditions pour la pratique ultérieure d un sport spécifique. 6

8 dans les structures des fédérations permettraient de lutter contre la tendance à la diminution des effectifs de membres de ces associations. Le PDC soutient la création de passerelles entre la pratique d un sport et l enseignement de ce sport. Et il faut trouver le bon moment, afin que l enthousiasme des jeunes ne se perde pas et que ces derniers puissent transmettre leurs expériences. Par conséquent, l âge minimal de 18 ans pour effectuer une formation de moniteur est trop élevé et le PDC demande qu il soit ramené à 14 ans. Le PDC propose de créer une formation spéciale pour les jeunes de 14 à 18 ans afin que ces derniers puissent profiter d un engagement de moniteur avec un moniteur J+S chevronné en échange d une petite indemnité de moniteur. Des aidesmoniteurs de 14 ans et plus pourraient grandement contribuer à diminuer la part des abandons dans les fédérations et à garder les jeunes dans le sport. En fait, le passage au modèle actuel de formation des moniteurs a eu pour résultat qu il y a de moins en moins de moniteurs et que ceux-ci sont moins bien formés. Le principe incitatif qui voulait que «plus le degré de formation est élevé, plus il y a de moyens d encouragement» n existe plus. Aujourd hui, pour des raisons financières, peu importe qu il y ait sur le terrain de sport un débutant qui fréquente un cours de base ou un expert. Le PDC réclame la réintroduction d un système d incitation. Il est toujours plus difficile pour les fédérations de trouver le chemin d accès aux enfants. Notamment, parce qu il n est plus possible de faire de la publicité dans les écoles. Or, c est là précisément que les fédérations touchent l ensemble du public notamment les enfants issus de l immigration. Le PDC demande qu on ne place pas d obstacles inutiles devant les associations qui assurent leur propre publicité. Les écoles doivent aller à la rencontre des associations et créer des possibilités de mettre sur pied des offres proches de l école pour faciliter l entrée dans la vie associative. Et cela aussi dans le cadre du sport pour les enfants de J+S, que le PDC soutient dans son principe, mais qui ne doit pas faire concurrence aux fédérations. Dans ce sens, le PDC appuie l idée de sport volontaire/facultatif à l école. Chaque école devrait compter un coordinateur de sport scolaire (ou au minimum un coordinateur de sport dans la commune, cf. p. 11) qui organiserait, en collaboration avec les associations communales, un programme de sport en dehors des heures d école, s occuperait des inscriptions et assurerait le financement. Ces offres de sport de bas niveau représentent aussi une forme de garde des enfants après les heures d école obligatoires, ce qui favorise aussi la compatibilité entre travail et famille et complète le modèle des horaires continus. En outre, l infrastructure qui, sans cela, resterait inutilisée, est mise à la disposition de la population. Il importe, ce faisant, que le sport facultatif à l école ne fasse pas concurrence aux associations de la commune ni ne joue un rôle de ségrégation par rapport à certaines associations (associations pour enfants ou de jeunesse, p. ex.). Les parents ne rendent pas service à leurs enfants en les conduisant à l école en voiture. Si les enfants vont à l école à pied ou à bicyclette, non seulement ils font plus d exercice ce qui est un bénéfice pour leur santé mais ils développent aussi leur compétence sociale et leur autonomie. Le PDC appelle les communautés scolaires à prendre des mesures dans ce domaine, 7

9 au moyen de panneaux d interdiction de stationner notamment pour des raisons de sécurité. Le PDC voit dans le programme J+S un instrument crucial de la Confédération pour promouvoir le sport auprès des enfants et des jeunes, et soutient donc l extension prévue de la promotion J+S dans le concept général de la Confédération sur le sport. Le PDC s oppose à toute forme de coupe dans le budget. Les camps et les cours font l objet d une demande croissante ; ils doivent pouvoir être financés et planifiés. Le PDC demande donc une augmentation du budget pour 2016 (motion Lohr ). La compensation financière doit s effectuer au sein du DDPS. Le PDC demande aux fédérations, qui bénéficient de subventions de Swisslos ou de la Loterie Romande, de penser à long terme et d investir durablement dans la relève et en tout cas dans de nouvelles infrastructures, plutôt que de simplement utiliser ces fonds pour couvrir les dépenses ordinaires inscrites au budget. 8

10 4. Le sport dans la commune L encouragement du sport à l échelle communale a des conséquences d une vaste portée. Le travail d utilité publique accompli par les associations sportives agit comme un facteur d intégration sociale et fait partie de notre culture. L engagement social dans une association sportive, ou à travers elle, génère des avantages économiques. De plus, sport et tourisme vont de pair. A cet égard, il n est pas nécessaire pour accroître les possibilités d exercer une activité physique de construire sans cesse de nouvelles infrastructures de pointe ; il suffit parfois d entretenir simplement la nature (par exemple, les forêts), les pistes cyclables, les espaces libres pour jouer dans les quartiers, les places de jeux et de sécuriser les chemins de l école. Davantage d espaces libres signifie davantage d activité physique. Au cours des dernières années, les tâches administratives et les prescriptions juridiques ont considérablement augmenté pour les associations sportives et les organisateurs de manifestations sportives : complexité des baux, assurances de responsabilité civile, vandalisme, systèmes de sécurité, de transport et d évacuation des déchets, taxe sur la valeur ajoutée, etc. Cela met bien des bâtons dans les roues des associations sportives et des organisateurs d événements sportifs. Nombre de ces groupements déclarent avoir des difficultés parce qu ils ne possèdent tout simplement pas le savoir-faire requis. Le PDC invite les cantons et les communes à réduire la bureaucratie et à faire preuve d une certaine tolérance en cas d erreurs (vices de forme) dans les demandes. En outre, de nombreuses associations fraîchement créées ignorent totalement qu elles ont la possibilité d obtenir des fonds d encouragement de la part des cantons. Sans oublier que les associations et fédérations sont aux prises avec toutes sortes de formalités (remplir correctement les bonnes demandes, attendre des autorisations, etc.). Le PDC invite les cantons à s efforcer de simplifier et d harmoniser à long terme les conditions en matière de fonds d encouragement et les dispositions y afférentes. En simplifiant l administration, en créant de bonnes conditions-cadres et une bonne infrastructure, et en soutenant la collaboration et la reconnaissance, il est possible d encourager publiquement et de valoriser davantage l activité bénévole. Le PDC demande à la Confédération, aux cantons et aux communes de soutenir les associations en leur attribuant des fonctions honorifiques, en examinant leur structure d affiliation ou en créant des offres spécifiques en faveur du renforcement de la culture associative qu il s agisse de logistique ou de finance. Une telle tâche pourrait aussi être confiée à l Office fédéral du sport OFSPO. Le PDC apporte son soutien inconditionnel à une infrastructure sportive moderne et durable, qui fait partie des atouts de chaque canton ou commune. Afin de maîtriser le coût de cette infrastructure sportive, il faut que les cantons et les communes tiennent compte de diverses synergies et possibilités de financement. Le PDC soutient les efforts entrepris dans le cadre de partenariats public-privé (PPP). 9

11 Lorsqu une commune investit dans un grand projet lié au sport, les communes voisines devraient y participer financièrement, ce qui permet de garantir à long terme des projets d infrastructure ainsi que leur entretien. Un projet réussi est celui du Parc sportif de Bergholz (Sportpark Bergholz) de Wil (SG), où neuf communes de la région s étaient déjà engagées, lors de la phase de planification ou de l étude générale, à participer aux coûts d exploitation annuels. En contrepartie, les habitants de ces communes voisines bénéficient de tarifs d entrée avantageux. Le PDC soutient le projet d extension des centres sportifs de Macolin et de Tenero gérés par l Office fédéral du sport OFSPO par un Centre national de sports de neige. Ce centre mettra des infrastructures et des services appropriés à disposition pour les sports de neige et de glace à l instar des centres équipés jusqu ici surtout pour divers sports d été. Les communes doivent renforcer les synergies entre le sport à l école et le sport dans les associations. A l ère de la densification des constructions, les écoles et les associations ont besoin de proximité réciproque. Elles se complètent non seulement en matière d installations sportives communes, mais aussi en ce qui concerne les places de stationnement, la desserte des transports publics, les nuisances sonores, etc. Le PDC soutient le concept de réseau local d activité physique et de sport. Ce réseau coordonne, au sein d une commune, d une ville ou d une région, tous les partenaires qui ont affaire à l activité physique et au sport. Cette coordination permet de gérer plus efficacement les infrastructures sportives, d étendre l offre de sports à toutes les catégories d âge et de créer davantage d espaces naturels où l on peut exercer une activité physique. Chaque commune définit elle-même les modalités de son propre réseau. Toutefois, le projet doit être «revitalisé» de toute urgence. Le PDC exige que l OFSPO lance une large campagne d information qui aura pour objectif d instaurer un tel réseau dans chaque commune d une certaine importance. Les communes de plus petite taille pourront se rallier à un réseau d activité physique et de sport. Les coordinatrices et coordinateurs de sport constituent le moteur qui anime les réseaux. Ils informent et surtout coordonnent, par exemple, des événements sportifs plus modestes (informations aux nouveaux arrivants, soirées sportives, La Suisse bouge, semaine d initiation à différents sports, excursion pour les seniors, concept d installations sportives communales, etc.). Ils contribuent au maintien à long terme d un réseau d activité physique et de sport et constituent, en leur qualité d interlocuteur pour tous les participants, un pendant au coordinateur scolaire de sport (voir p. 8). Le poste peut être occupé à temps partiel ou pour plusieurs communes. La nomination d un ou d une responsable (par exemple, au sein du conseil communal) constituerait déjà un préalable structurel important pour installer des coordinateurs de sport. De plus, le PDC invite les communes à promouvoir la formation appropriée des coordinateurs de sport et, surtout, à soutenir financièrement les jeunes qui seraient intéressés. 10

12 Afin que les jeunes gens impliqués dans les sports et les activités physiques puissent rester dans le circuit à la fin de leur carrière active, le PDC demande que l âge minimum des conditions d admission pour la formation de coordinateur de sport passe de 25 à 20 ans. Le PDC invite les communes qui financièrement ne peuvent pas se permettre un coordinateur de sport, ou qui n en veulent pas, à créer au moins une sorte de «fédération des associations» dotée d une plate-forme en ligne permettant de se renseigner sur toutes les offres sportives de la région. Sur cette plate-forme du sport, les habitants pourraient par exemple coordonner des co-voiturages, organiser des bourses d équipements de sport ou signaler des événements, voire mettre eux-mêmes quelque chose sur pied. A travers cette plate-forme, les associations sportives pourraient communiquer leurs propres manifestations. 11

13 5. Le sport et la migration La politique du sport est également une politique d intégration et réciproquement. A cet égard, la Confédération, les cantons et les communes sont sollicités de la même manière. Les associations ont une fonction sociale et offrent une multitude d ouvertures et de possibilités d intégration. En sport, l activité physique est au premier plan et les barrières linguistiques n existent guère. Les personnes issues de l immigration consolident leur estime de soi. Le sport peut transmettre des valeurs positives à ces jeunes gens, les libérer de certaines pressions, leur ouvrir de nouvelles voies et leur offrir des contacts sociaux. Le PDC souhaite davantage utiliser le sport comme vecteur d intégration, qui exige aussi acceptation et volonté de part et d autre tant du côté des autochtones que des migrants. Par encourager et exiger, le PDC entend, d une part, permettre l intégration par le biais du sport et, d autre part, développer la responsabilité individuelle des personnes issues de l immigration de s informer, de s investir et de prendre des initiatives. Souvent, ce sont précisément les familles issues de l immigration qui sont les moins bien informées des multiples offres de sports. Le PDC incite les associations et fédérations sportives à s ouvrir à ces personnes-là et à les orienter d une manière ciblée vers les diverses offres et possibilités. La scolarité obligatoire est valable pour toutes les disciplines! 6 Le PDC invite les instances compétentes à ne tolérer aucune absence et à poursuivre strictement l enseignement favorable à l intégration. Cela vaut aussi bien pour l enseignement du sport en général que pour celui de la natation en particulier. Le PDC s oppose à ce que des filles et des jeunes femmes aient le droit de refuser l enseignement d un sport ou soient en privées en raison de leur religion. Dans cet esprit, la notion d «intégration dans et par le sport» doit également être revisitée, car certains groupes de migrants pratiquent toujours moins d activités physiques que les Suisses et ont moins facilement accès aux sports. Par conséquent, leur santé pâtit davantage de ce manque d activité physique. Cela concerne en particulier les jeunes migrantes. Le PDC exige de l OFSPO une réévaluation de l «intégration dans et par le sport» et la relance de l échange personnel et du réseautage des acteurs des domaines intégration et immigration, sport et activité physique, santé et formation. Le PDC approuve les mesures favorisant l intégration grâce à des affiliations dans des associations, donc le développement des affiliations de femmes étrangères dans les associations locales. En s intégrant dans un club sportif, notamment les mères issues de l immigration pourront apporter une certaine diversité et une certaine régularité dans leur quotidien. Elles amélioreront leurs connaissances linguistiques et culturelles, élargiront leur cercle d amitié, etc. 6 Art. 12 alinéa 2 LESp: «L éducation physique est obligatoire à l école obligatoire et au degré secondaire supérieur.» 12

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