Pantxica De Paepe, directrice du musée d Unterlinden à Colmar.
|
|
- Henriette Marion
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Pantxica De Paepe, directrice du musée d Unterlinden à Colmar. Accompagnée de Catherine Assemat, architecte conseil à la Direction des Musées de France, en charge du projet d extension du musée. Le musée d Unterlinden 1 est célèbre dans le monde entier pour le retable d Issenheim. Cette œuvre peinte par Matthias Grünewald et sculptée par Nicolas de Haguenau au début du XVIe siècle est considérée comme l un des chefs d œuvre de l art occidental. Dans le cadre du projet d extension, s est posée la question de la présentation de ce retable et de sa place par rapport aux autres collections du musée. Cependant, la raison première de ce projet était, pour la société Schongauer (société de droit 1908, locale, alsacienne, créée en 1847) qui gère le musée d Unterlinden, de doter le musée d espaces fonctionnels tels qu un auditorium, une cafétéria, un restaurant pour les visiteurs, des ateliers pédagogiques, jusque là inexistants. L autre ambition pour le musée était d étendre la présentation des collections d art moderne et d art contemporain qui se sont récemment enrichies grâce à de nombreuses donations et des legs. Il fallait trouver de l espace pour les présenter en sachant que les salles d art moderne et contemporain sont régulièrement décrochées pour permettre l organisation de grandes expositions temporaires, l espace originellement dédié à ces expositions étant très réduit. Finalement, la question du retable d Issenheim est passée en arrière plan. En 2009, le cabinet bâlois Herzog & De Meuron a gagné le concours du projet d extension et l avant-projet sommaire a été remis récemment. Depuis son ouverture en 1853 le musée est installé dans un ancien couvent de sœurs dominicaines datant du XIIIe siècle. Au XIXe siècle, il risquait d être démoli et la société Schongauer a proposé à la Ville de Colmar d y installer le musée. Ce dernier n était au départ que dans l une des ailes du cloître et dans la chapelle. Petit à petit le musée s est étendu sur les quatre galeries autour du cloître qui est aujourd hui l élément central du musée. Les collections se déploient sur trois niveaux : sous-sol, rez-de-chaussée et premier étage. Sur le site internet, une vidéo montre toutes les salles. Le jardin et le cloître sont des espaces importants. Les visiteurs pénètrent dans le musée par une partie saillante du XVIIIe siècle qui s ouvre sur une galerie du cloître à partir de laquelle ils peuvent circuler dans les différentes salles. En 1987, a été créé un double circuit : les visiteurs peuvent déambuler dans le musée librement et découvrir chronologiquement les collections avant d atteindre le retable mais les visiteurs peuvent aussi aller directement voir le retable, un très grand nombre de groupes ne venant au musée que pour lui. La muséographie est très datée et hétérogène. On devine les années de création des différentes salles, restaurées à diverses époques. La cave est une reconstitution totale réalisée dans les années 1930 par l un des conservateurs du musée, Jean- Jacques Waltz, qui a recréé le dallage, les poutres, les petites lucarnes et les toiles d araignée! C est évidemment l un des points qui posent problème aux architectes. 1
2 En 1987, quand le rez-de-chaussée a été refait en partie, la volonté du conservateur de l époque était de séparer les peintures des sculptures. Le circuit des peintures menait alors au retable et montrait les peintures depuis le début du XVe siècle jusqu au XVIe siècle, sur des murs en toile peinte en gris clair. Le retable lui-même n est plus présenté dans sa forme originale depuis longtemps. Effectivement, la caisse, qui maintenait en place les panneaux et les sculptures et en faisait un ensemble monumental, a été perdue en Le musée montre donc le retable par strates : d abord le retable fermé avec l extraordinaire crucifixion, ensuite les deuxièmes panneaux et enfin les sculptures présentées au fond du chœur de l église. Depuis 1996, l organisation a changé. Ce qu il faut comprendre c est que le musée, né au XIXe siècle, à une vocation encyclopédique et propose des collections d archéologie, d arts et traditions populaires, d arts décoratifs et d histoire aussi bien que de Beaux-Arts. Par ailleurs, Colmar est à la frontière de l Allemagne et de la Suisse où les musées historiques sont très développés. Ainsi, le premier étage du musée propose une présentation historique des collections. Seule la tribune de l église (au-dessus de la chapelle) est entièrement consacrée aux sculptures du XVIe siècle. D une manière générale, l idée a été de mettre en scène les œuvres et de reconstituer leur présentation d origine. Par exemple, les sculptures étaient à l origine présentées dans des caisses de retable bleu foncé, évoquées aujourd hui par certains murs peints en bleu azurite sur une sous-couche noire. La couleur rose de la salle Renaissance est un choix des années 1930, la salle d armes, conçue dans les années 1950, n a pas évolué, les salles d orfèvrerie et du trésor datent de 2004, la salle de musique et celle des arts et traditions populaires, dont certains costumes présentés alors sur des mannequins ont été altérés, furent créées dans les années Au premier étage on trouve aussi la salle de peinture XIXe siècle, alors qu au sous-sol, il n y a que des salles consacrées à l archéologie (ancienne cave des religieuses aménagée dans les années 1980) ou à l art moderne et contemporain (extension de 450m² creusée sous une aile du couvent en ). Au total, le musée compte 26 salles. C est finalement le manque d une grande salle d exposition qui est à l origine du nouveau projet d extension. Dès le départ, il a fallu tenir compte du caractère urbain de l emplacement du musée. La vieille ville est un secteur touristique qui accueille 1,5 millions de touristes uniquement pour les marchés de Noël de décembre. Le musée se trouve dans le secteur nord-ouest, face aux anciens bains publics, un bâtiment extraordinaire datant de Entre les bains et le musée se trouve une gare routière. Lorsqu en 2004 le musée a commencé à travailler sur un programme architectural et muséographique, on envisageait une extension de 800 à 900 m² en sous-sol pour les salles d exposition temporaires. Mais fin décembre 2003, les bâtiments des anciens bains et la piscine avaient été libérés et ce fut l occasion pour le musée d imaginer un autre type d extension. Ainsi, le projet envisage désormais d intégrer véritablement le musée à l espace urbain et d inscrire le bâtiment dans le paysage quotidien de la population de Colmar et de ses visiteurs.
3 Le deuxième point névralgique de la réflexion était évidemment le retable. Dans les années 1900, le musée se limitait à la chapelle. Étaient entassés dans cet espace, des copies d antiques en plâtre qui donnaient le goût du dessin et du beau, des mosaïques gallo-romaines trouvées dans les localités proches, le retable d Issenheim, les collections de peinture et les tapisseries. Petit à petit, une galerie a été annexée pour pouvoir présenter les enseignes et les sculptures lapidaires. Mais au fond de la nef, on voyait toujours cohabiter une peinture de Rembrandt, un retable champenois du début du XVIe siècle et des plâtres du XIXe siècle. Le retable d Issenheim n était pas mis en valeur, sa présence était quasiment niée. Dans les années 1930, le sol a été carrelé, les verrières ont été rétablies, les peintures murales de l église du XVe ont été masquées. Depuis 1987, une présentation historique du retable est privilégiée. Ce retable était à l origine dans l église de la commanderie des Antonins d Issenheim, créée vers 1300 et totalement reconstituée. Le bâtiment a brûlé mais on connaît tous les plans et la disposition des éléments architecturaux et ornementaux. Ainsi, sous le jubé qui cachait le retable se trouvaient deux autres retables et le gisant du chevalier de Hus datant du XIVe siècle. Ces œuvres, conservées par le musée, sont exceptionnelles, mais personne ne les voit puisque les visiteurs pénètrent par l arrière et se dirigent directement vers le retable. Cela devait absolument être changé. Ainsi, le programme architectural vise à redonner au retable une dimension artistique et contemplative. Le cabinet Herzog & De Meuron propose de casser des petits bâtiments de la cour intérieure et d adjoindre au bâtiment de la piscine une nef contemporaine pour y déployer l art moderne et contemporain. Une ferme jouxtait le couvent et on y accédait par un porche. Le pignon toujours existant serait repris pour créer une petite maison et offrir une symétrie de volumes. L importance du retable serait soulignée par sa place, toujours dans la chapelle, mais au cœur d une véritable symétrie axiale. L ensemble se déploie dans un rapport à l eau évident : le canal souterrain va être, en partie, découvert et des passerelles permettront son franchissement. Quant au jardin du cloître, qui a une grande importance dans le bâtiment actuel, il va trouver son contrepoint avec le jardin des sculptures, qui sera aussi une cour fermée. L office du tourisme sera installé au rez-de-chaussée, en lien étroit avec le musée. Une fonction nouvelle émerge à l ouest avec l ancienne gare routière qui va devenir un espace public. Grâce à une verrière, les promeneurs pourront voir la galerie souterraine qui reliera les deux bâtiments. Cette galerie souterraine passera sous le canal et permettra aux visiteurs d aller dans la nouvelle aile consacrée à l art moderne et aux expositions temporaires. Tout cela à partir du noyau dur du musée, c est-à-dire, de la partie ancienne avec le retable et les collections anciennes déployées. Le cabinet d architectes Herzog & De Meuron a proposé que l entrée se fasse par la façade nord refaite en 1891, c est-à-dire par l ancien couvent. Une manière de montrer l importance de l aspect historique des collections et de l art ancien qui assurent la célébrité du musée. Ils ont imaginé un grand sas d orientation pour permettre aux visiteurs de choisir leur parcours et un salon pédagogique, à la manière de l Espacio Zero du musée Guggenheim de Bilbao.
4 En 1852, la chapelle du couvent a été classée au titre des Monuments Historiques. qui seront maîtres d œuvre pour la chapelle ; le cabinet Herzog & De Meuron n interviendra que pour la présentation et l éclairage du retable. Il se dégage de la muséographie un esprit très suisse avec les murs blancs contrastant avec l architecture sombre. Dans le chœur de l ancienne chapelle, il n y aura que le retable. Les éléments pédagogiques et les aides à la visite (cartels et grands panneaux) seront remplacés par des informations sur support multimédia présentées uniquement sur la tribune d où l on peut voir le retable. Dans la nef, il est envisagé de présenter des œuvres contemporaines du retable pour que les visiteurs comprennent son aspect novateur. Le premier étage, c est-à-dire la partie historique du couvent, va peu changer. Sa muséographie est étudiée, au sein du cabinet Herzog & De Meuron, par Jean-François Chevrier et Élia Pijollet. La cave de Jean-Jacques Waltz va être descendue petit à petit au sous-sol de la partie moderne. Une salle sera consacrée à Martin Schongauer, peintre colmarien. Dans la galerie souterraine, les architectes ont crée trois salles : l une consacrée à l histoire du musée, les deux autres permettront de faire une transition avec le XIXe et le début du XXe siècle. La salle médiane profitera de l éclairage naturel de la verrière de la maison juste audessus. Les visiteurs accèderont depuis la galerie à la nef contemporaine grâce à des escaliers. Une première salle de 230 m² sera dédiée à la collection d art moderne et une deuxième salle de 400 m² sera consacrée aux expositions temporaires. Vers l ancienne piscine municipale, un passage sera créé entre les niveaux 1 et 2 et permettra d accéder à un espace mixte, à la fois auditorium et utilisable pour des accrochages ou des commandes à des artistes contemporains. Au rez-de-chaussée de cet espace se trouvera une cafétéria. Blandine Chavanne : Le bâtiment des bains ne servira-t-il pas au musée? Pantxica De Paepe : Il servira pour l administration du musée et l ancienne piscine servira d espace mixte. Comme nous avons un problème de budget, nous ne pouvons pas aménager cet espace ancien de façon muséographique en traitant l acoustique et le climat donc, nous ne pouvons pas l utiliser pour les collections. Catherine Assemat : Ce projet est intéressant parce qu il montre les difficultés pour installer un musée contemporain dans des bâtiments historiques. C est d autant plus complexe que le bâtiment médiéval a déjà vécu comme musée. Maintenant on sait à peu près comment les collections réagissent à leur environnement. Le bâtiment des bains, qui est Art Nouveau, n a aucune qualité d inertie thermique. Le diagnostic a prouvé qu il ne serait pas adapté pour une transformation en musée comme Jean- Paul Philippon l a fait à la piscine de Roubaix. C était pourtant l idée de tout le monde : une piscine signifiait une exposition de sculptures dans une grande nef. Quand les architectes ont travaillé sur le sujet, ils se sont aperçus que l on ne pouvait pas transformer cet espace en espace muséographique avec des conditions de conservation correspondant aux œuvres que l on avait l intention d y exposer. C est pour cela que finalement cette grande nef est transformée en espace événementiel dans lequel il y aura des collections peu fragiles (à déterminer), exposées peu de temps. Cet espace est appelé à accueillir d autres activités que des activités
5 muséales. Il pourrait également être dédié aux scolaires pour des activités plus ludiques et pour des actions de communication ou de pédagogie ponctuelles. On va avoir l histoire d un musée sur une grande période et trois types d architectures très présentes dans un seul et même parcours. L autre intérêt de la galerie souterraine est d assurer une seule entrée, un seul système de contrôle par lequel les visiteurs entreront et sortiront. Les contraintes du programme induisaient une liaison entre les espaces par le dessous ou le dessus. Comme ce projet est dans un site classé très sensible, il a été placé devant la Commission Nationale des Monuments Historiques qui se sont prononcés de façon très claire en préférant les liaisons souterraines, ce qui a orienté les propositions des quatre cabinets d architecture. Ce choix engendre cependant des problèmes, notamment à cause du cours d eau qui surplombera une galerie dans laquelle il pourrait y avoir des œuvres (ce qui va à l encontre des préceptes de la Direction des musées de France). Mais avec le séquençage qui est fait dans les espaces, et la présentation de l histoire du musée dans la partie sensible, on peut imaginer n avoir que très peu de collections dans cet espace et rendre cela acceptable. Je trouve que ce projet rentre dans votre problématique du musée du XXIe siècle puisque c est un musée qui racontera son histoire et son développement dans la partie contemporaine. Auditeur 1 : Qu avez-vous fait de la gare routière? Pantxica De Paepe : Elle est supprimée et déplacée dans plusieurs lieux. Le maire de la ville de Colmar a fait cela de façon très fine, puisqu il a commencé le détournement de la gare routière depuis plus d un an. Au conseil municipal, personne ne s est élevé contre le changement d emplacement de la gare routière et cela a curieusement été accepté par tous les colmariens. Catherine Assemat : Cela a été accepté parce que cela fait partie d une réflexion d ensemble cohérente sur les déplacements dans la ville de Colmar. On peut regretter que cette réflexion sur les transports n ait pas été entreprise dès le démarrage des études. Si on avait eu cette chance, nous aurions travaillé différemment et surtout nous aurions gagné du temps dans la programmation de ce musée. Le musée de Colmar est un cas d école exemplaire pour l insertion d un musée dans la ville, à la fois sur l espace touristique et sur l espace résidentiel. Auditeur 2 : Il aurait peut-être été intéressant d intégrer la gare routière dans le musée? J ai récemment visité un musée au Brésil où des trains passent au milieu du musée. Je me demandais si en France, nous étions capables d une telle audace. Pantxica De Paepe : Nous sommes dans de petits volumes. Avant que la commission des Monuments Historiques ne préconise la solution souterraine, la plupart des projets pensaient une liaison extérieure ouverte aux piétons pendant la journée. Catherine Assemat : Ajoutons que le centre ville de Colmar a été terriblement démoli et assez mal reconstruit. Les espaces extérieurs, comme ici, sont terriblement déqualifiés. Il s agit d un lieu intermédiaire qui n est ni un espace, ni une rue. Les bâtiments sont relativement bas, et à l époque où la gare routière était à l intérieur de
6 ce petit espace, c était un corridor. Si on avait conservé la gare, il y aurait eu un conflit, au détriment du musée. Auditeur 3 : Que représente la surface globale de l extension? Pantxica De Paepe : La superficie totale de l ancien bâtiment était de 4500 m², et nous allons atteindre 7900 m². Auditeur 4 : Qui finance? Pantxica De Paepe : L État, la Région, le Conseil Général, la Ville de Colmar, la société Schongauer (qui gère le musée) et des mécénats privés. Catherine Assemat : Le coût objectif du concours était de 17,35 millions. L ensemble des candidats a explosé le budget dans ses propositions. Le lauréat l explosait d autant plus. Le travail de Pantxica De Paepe et de la Ville de Colmar était d essayer de faire rentrer les architectes dans les clous. C est pourquoi le projet évolue et gagne en simplicité. Pantxica De Paepe : Dans l avant-projet sommaire, la proposition du cabinet d architectes se monte à 17,5 millions. De plus, les Monuments Historiques n offrent plus que 2,4 millions alors qu ils avaient proposé initialement une subvention de 4 millions. Pour arriver à rentrer dans le budget, il a fallu faire des choix. Pour l instant, sont inscrits en missions complémentaires la création de réserves et l aménagement muséographique du sous-sol et du rez-de-chaussée. Le budget définitif serait de 20,5 millions auxquels il faut ajouter pour les résultats des diagnostics des maîtres d œuvre, et 3,5 millions pour les abords extérieurs. Auditeur 5 : Et au niveau du personnel? Il devrait y avoir du personnel supplémentaire, pour l entretien, la médiation? La Ville s est-elle engagée? Pantxica De Paepe : Nous avons fait une nouvelle proposition, sachant que la gestion du musée est très complexe. Il existe une convention entre la société Schongauer et la Ville de Colmar. Les bâtiments appartiennent à la Ville, et sont mis à disposition à la société Schongauer. La Ville paie les 17 adjoints du patrimoine et rémunère les 3,5 agents d entretien. Pour l extension, il faudra signer une nouvelle convention, nous avons prévu, mais ce n est pas validé, 27 adjoints du patrimoine et 6 agents d entretien. Pour l équipe de la conservation, il n y aura pas d augmentation du personnel.
Projet pour la création de nouveaux ateliers d artistes à Marseille, Association ART 13. I Etat des lieux
1 Projet pour la création de nouveaux ateliers d artistes à Marseille, Association ART 13 I Etat des lieux Le parc d ateliers «publics» loués aux artistes contemporains à Marseille est de : - 10 ateliers
Plus en détailLe Château de Kerjean est classé monument historique
restauration du château 7/06/06 18:13 Page 1 restauration du château 7/06/06 18:14 Page 2 Le Château de Kerjean est classé monument historique Ce classement a été effectué en 1911, lorsque le château a
Plus en détailNoël Bleu 6 30 novembre - 27 décembre 2014 www.noelbleu-alsace.eu
dossier de presse Noël Bleu 6 29 novembre - 27 décembre 2014 www.noelbleu-alsace.eu Un Noël en Alsace, entre tradition et modernité Samedi 29 et dimanche 30 novembre Samedis et dimanches 6-7, 13-14, 20-21
Plus en détailLe château de Versailles Architecture et décors extérieurs
Le château de Versailles Architecture et décors extérieurs Les rois de France viennent régulièrement chasser à Versailles à partir du XVI ème siècle. Henri IV y amène son fils, le futur Louis XIII. Devenu
Plus en détailPROJET DE RESTAURATION DE L ANCIEN COUVENT DE LA VISITATION. Monument Historique. Place de la République 72000 LE MANS
PROJET DE RESTAURATION DE L ANCIEN COUVENT DE LA VISITATION Monument Historique Place de la République 72000 LE MANS 01 PRÉSENTATION DE LA VILLE Le Mans Paris Rennes Nantes Le Mans À seulement 50 minutes
Plus en détailPrésentation renouveau école Georges Pamart
MAIRIE DE QUERENAING DEPARTEMENT DU NORD REPUBLIQUE FRANCAISE LIBERTE EGALITE FRATERNITE Arrondissement de Valenciennes - Canton de Valenciennes Sud www.querenaing.fr Présentation renouveau école Georges
Plus en détailChâteau des Ducs de Bretagne, France : l accessibilité permet la réappropriation par les habitants de Nantes du château-musée
Château des Ducs de Bretagne, France : l accessibilité permet la réappropriation par les habitants de Nantes du château-musée Thierry Mezerette FICHE D IDENTITÉ Type d établissement : château - musée Localisation
Plus en détailTechnique de la peinture
Supports pédagogiques: Fiches de travail n 1, 2 et 4 (lycée), fiche de travail n 3 (école primaire et collège). ENSEIGNANT E : Michel Haider (retable de Hohenlandenberg), Triptyque de la Crucifixion, panneau
Plus en détailUN ÉQUIPEMENT DU GRAND NANCY LE CENTRE DE CONGRÈS PROUVÉ OUVERTURE ÉTÉ 2014
UN ÉQUIPEMENT DU GRAND NANCY LE CENTRE DE CONGRÈS PROUVÉ OUVERTURE ÉTÉ 2014 NIVEAU 3 MEZZANINE NIVEAU 3 NIVEAU 2 ENTRESOL NIVEAU 2 NIVEAU 1 MEZZANINE NIVEAU 1 ENTRESOL NIVEAU 0 REZ-DE-CHAUSSÉE NIVEAU -1
Plus en détailLe Confidentiel. 0 805 405 485 Appel gratuit depuis un poste fixe. LNC.fr
Accès en voiture : Par l autoroute A620 / E72 / E9 : Sortie 31B (Les Minimes) A 10 minutes du Capitole EN TRANSPORTS EN COMMUN : Métro : station Barrière de Paris, ligne B Bus : arrêt Amat Massot, bus
Plus en détailentreprises, une aventure exceptionnelle vous attend à dijon musée rêvé, musée en chantier
entreprises, une aventure exceptionnelle vous attend à dijon Guido Reni donner site prestigieux au cœur de la Côte des Vins valorisation d image ouverture sur la ville soif de culture Claude Monet moteur
Plus en détailDécouvrez les Artisans d Art qui vous entourent
Découvrez les Artisans d Art qui vous entourent Contact Roland Le Joliff-Service communication 06.69.22.44.92 roland.lejoliff@cma-var.fr www.cma-var.fr Avril 2014 2 / 10 1 er avril 2014 En avant première
Plus en détailLa Villa Arnaga lauréat du Prix de 10 000 euros de la Fondation du Patrimoine. Communiqué de synthèse
La Villa Arnaga lauréat du Prix de 10 000 euros de la Fondation du Patrimoine Communiqué de synthèse La à Cambo-les-Bains a reçu lundi 25 juin 2012 à Lyon, le prestigieux prix de la Fondation du Patrimoine
Plus en détailVilles et pays d art et d histoire. Raconte-moi. le Centre. autour de la place du Théâtre. Livret-découverte
Villes et pays d art et d histoire Raconte-moi le Centre autour de la place du Théâtre Livret-découverte onjour! Nous te proposons de découvrir la Place du Théâtre de Lille! Bonne visite! Polichinelle
Plus en détailContact presse : Émilie LEDUC Attachée de presse du Conseil général d Indre-et-Loire Tél. : 06 88 60 78 74 / 02 47 31 43 21 eleduc@cg37.
Contact presse : Émilie LEDUC Attachée de presse du Conseil général d Indre-et-Loire Tél. : 06 88 60 78 74 / 02 47 31 43 21 eleduc@cg37.fr La forteresse royale de Chinon, propriété du Conseil général d
Plus en détailaxel schoenert architectes
HALL ADMINISTRATIF hôtel de ville de puteaux axel schoenert architectes l hôtel de ville de puteaux L agence Axel Schoenert architectes a livré la restructuration partielle de l hôtel de ville de Puteaux.
Plus en détailMaisons de Victor Hugo. Paris / Guernesey
Dans l intimité d un écrivain, place des Vosges Ouvrant sur l un des plus beaux sites parisiens, la Place des Vosges, le Maison de Victor Hugo a pour mission de maintenir vivante la mémoire de ce génie,
Plus en détaildevenez mécène Soutenez la Fondation pour le rayonnement du Musée de Montmartre DE MONTMARTRE JARDINS RENOIR fondation pour le rayonnement du
devenez mécène Soutenez la Fondation pour le rayonnement du Musée de Montmartre MUSÉE fondation pour le rayonnement du DE MONTMARTRE JARDINS RENOIR Le Musée de Montmartre Le Musée de Montmartre en quelques
Plus en détailLes Éditions du patrimoine présentent La tenture de l Apocalypse d Angers Collection «Sensitinéraires»
é Les Éditions du patrimoine présentent La tenture de l Apocalypse d Angers Collection «Sensitinéraires» >Un ouvrage conçu en collaboration avec l IRAG (Institut pour la recherche d applications gravées),
Plus en détailGuide des autorisations d urbanisme
Guide des autorisations d urbanisme de Service Urbanisme Villenoy 2014 TABLE DES MATIERES QUEL DOSSIER DEPOSER POUR MON PROJET?... 2 QUELQUES NOTIONS POUR BIEN DEMARRER.... 2 MON PROJET EST-IL SOUMIS A
Plus en détailDomaine. à Bayonne. Une nouvelle vie pour un nouveau quartier
Domaine du Moulin à Bayonne Une nouvelle vie pour un nouveau quartier ** * Ceci n est pas un label. Cet immeuble fera l objet d une demande de label BBC-effinergie, Bâtiment Basse Consommation, auprès
Plus en détailMonastère de Sant Pere de Rodes. Visiter
Monastère de Sant Pere de Rodes Visiter Synthèse historique Les origines du monastère de Sant Pere de Rodes se perdent dans la nuit des temps et dans les légendes. Il existe des preuves archéologiques
Plus en détailRegard sur le béton. Maison «Mannaz» à Wasseiges
Regard sur le béton Maison «Mannaz» à Wasseiges La maison «Mannaz» s implante dans la campagne de la Hesbaye, ouverte sur son paysage et ancrée dans son patrimoine bâti. L architecte Yves Delincé traduit
Plus en détailVilla Cavrois 3D, application de visite sur tablette tactile mobile
Dossier de presse du 12 juin 2015 Villa Cavrois 3D, application de visite sur tablette tactile mobile Une coproduction CMN-AGP Conçue par Robert Mallet-Stevens, terminée en 1932, la villa Cavrois est considérée
Plus en détailFILIPPINI architecture & patrimoine
FILIPPINI architecture & patrimoine PROJETS ET REALISATIONS ANNEES 2014 2009 2011-14 Mairie Illkirch-Graffenstaden (67) Restructuration et extension de l Hôtel de Ville d Illkirch-Graffenstaden combinée
Plus en détailRESTRUCTURATION DE LA BIBLIOTHEQUE DE TOURS
RESTRUCTURATION DE LA BIBLIOTHEQUE DE TOURS LIEU : SURFACE D INTERVENTION: COÛT : LIVRAISON : ARCHITECTES : ARCHITECTES ASSOCIES : B.E.T. : MAÎTRE DE L OUVRAGE : MISSION : TOURS 3 000 m² (SHON) 3 845 000
Plus en détailAnne Barrès «Poussées et équilibres»
DOSSIER DE PRESSE Anne Barrès «Poussées et équilibres» au Musée départemental de l Oise à Beauvais du 7 juillet au 31 octobre 2010 Contact Presse Marie-Laure Trouvé Tél. (33/0)3 44 10 40 63 Anne Barrès,
Plus en détail- 1 - Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les Conseillers généraux,
- 1 - Commune de Bevaix Conseil général Rapport du Conseil communal au Conseil général à l appui d une demande de crédit de Fr. 600'000.- pour la rénovation de l immeuble rue du Temple 4. Monsieur le Président,
Plus en détailMunicipalité de Saint-Marc-sur- Richelieu
Plania Municipalité de Saint-Marc-sur- Richelieu Chapitre 11 Dispositions particulières applicables à certaines zones P031607 303-P031607-0932-000-UM-0023-0A Municipalité de Saint-Marc-sur-Richelieu 102
Plus en détailGuide Tourisme et Handicap à Metz Lieux culturels accessibles
Guide Tourisme et Handicap à Metz Lieux culturels accessibles 2015 SOMMAIRE 1. Centre Pompidou-Metz... 2 2. Musée de la Cour d Or... 3 3. Arsenal... 3 4. Opéra-Théâtre... 4 5. Les Arènes... 4 6. Les Trinitaires...
Plus en détailUn état descriptif de 1776 nous permet de mesurer la qualité de la conservation du bâtiment conçu par Mathurin Cherpitel.
L Hôtel du Châtelet L Hôtel du Châtelet Dès le 18 ème siècle, l Hôtel du Châtelet est considéré comme une des plus belles demeures de Paris par les voyageurs qui en font la description à la fin du siècle.
Plus en détailAu printemps, les activités fleurissent au château du Haut-Kœnigsbourg!
Communiqué de presse Printemps 2015 Au printemps, les activités fleurissent au château du Haut-Kœnigsbourg! En cette saison printanière, accompagnés par une douce chaleur et de légères brises, les visiteurs
Plus en détailHôtel de Caumont. Centre d Art - Aix-en-Provence DOSSIER DE MÉCENAT
Hôtel de Caumont Centre d Art - Aix-en-Provence DOSSIER DE MÉCENAT Ouverture printemps 2015 Un nouveau centre d art au cœur du patrimoine aixois Aix-en-Provence, capitale culturelle de la Provence au rayonnement
Plus en détailInformations et inscriptions : Pèlerin Grand prix Pèlerin du patrimoine - 18 rue Barbès - 92128 Montrouge CEDEX www.pelerin-patrimoine.
Informations et inscriptions : Pèlerin Grand prix Pèlerin du patrimoine - 18 rue Barbès - 92128 Montrouge CEDEX www.pelerin-patrimoine.com Le Grand prix Pèlerin du patrimoine a pour but de valoriser notre
Plus en détailArrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative
Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative A n n e x e 1 Annexe 1 1.2.1 hauteur d un bâtiment La hauteur h d'un
Plus en détailSabine Collé-Balp formateur arts plastiques IUFM Célestin Freinet La Seyne sur mer Académie de NICE
L objet et l oeuvre 6 Statut de l objet Entrée Référence Caractéristiques Vocabulaire Illustration L objet comme constituant de l œuvre en 2D Schwitters Relief 1923 Centre G Pompidou Collage Collage L
Plus en détailEglise paroissiale Saint-Martin
Eglise paroissiale Saint-Martin place de la Mairie Armbouts-Cappel Dossier IA59002570 réalisé en 2005 Copyrights Copyrights Auteurs (c) Région Nord - Pas de Calais - Inventaire général Frémaux Céline Rédacteur
Plus en détailHistoire de charpente
Histoire de charpente Le 15 juin 2012 la restauration de la toiture de l église de Murtin a débuté. Malgré sa hauteur honorable, la grue installée sur la place s est retrouvée bloquée par le coq dominant
Plus en détailCi-après, la liste des masters proposés par les universités françaises pour se former, en 2 ans après la licence, à l un des métiers de la culture.
Masters culture Ci-après, la liste des masters proposés par les universités françaises pour se former, en 2 ans après la licence, à l un des métiers de la culture. activités culturelles anthropologie métiers
Plus en détailLe Centre Georges Pompidou, Paris.
Le Centre Georges Pompidou, Paris. 1- L OEUVRE : Titre de l œuvre Centre Georges Pompidou aussi surnommé Beaubourg d après le nom du quartier dans lequel il fut construit. Nom de l auteur ou de l artiste
Plus en détailORGANISER UNE EXPOSITION DE PRODUCTION D ELEVES OU DES REPRESENTATIONS EXPOSER QUOI?
ORGANISER UNE EXPOSITION DE PRODUCTION D ELEVES OU DES REPRESENTATIONS EXPOSER QUOI? Des productions en maîtrise de la langue o A l écrit: suite/fin d album, critiques littéraires, carnets de lecture o
Plus en détailLUXOMAT Exemples d implantation pour électriciens et bureau d études
B.E.G. LUXOMAT d implantation LUXOMAT d implantation pour électriciens et bureau d études Indexe Profitez des nombreuses années d expérience de B.E.G. pour planifier et installer avec succès et en toute
Plus en détail«Source» - Elena PAROUCHEVA, installation monumentale, Amnéville-les-Thermes, Concours Européen Supélec Sciences et Technologies dans l'art Européen
Concours Européen Supélec Sciences et Technologies dans l'art Européen «Source» - Elena PAROUCHEVA, installation monumentale, Amnéville-les-Thermes, présentée par Frédéric LESUR, Supélec 92 Illustrations
Plus en détailDUBROVNIK. Hors les murs - un paysage en echo avec la ville - DOCUMENT SOUMIS AU DROIT D'AUTEUR
La ville de Dubrovnik prend part à l Europan 11 pour questionner la manière d inplanter un parking conséquent voué à subvenir aux nécéssités d accueil générées par une ville classée au patrimoine mondiale
Plus en détailun lieu d exception pour goûter l art de vivre en bretagne
un lieu d exception pour goûter l art de vivre en bretagne le château du grand val accueille séminaires et incentives haut de gamme Le Château du Grand Val, dont les origines remontent au XVème siècle,
Plus en détailLe financement du projet
Le financement du projet Comment financer mon projet? 14 Votre budget doit faire l objet d une étude approfondie. Pour vous aider à établir votre plan de financement, faites appel à l Association Départementale
Plus en détailÉcole doctorale 124. «Histoire de l art et Archéologie» (ED VI) Formation doctorale obligatoire
École doctorale 124 «Histoire de l art et Archéologie» (ED VI) Formation doctorale obligatoire 2014/2015 Présentation de la formation doctorale obligatoire L originalité de l École doctorale réside dans
Plus en détailLes objectifs de Rennes Métropole
12 Décembre 2012 Les objectifs de Rennes Métropole Se doter d une fonction métropolitaine nouvelle pour : Renforcer son attractivité internationale - favoriser le développement économique culturel et social
Plus en détailVous propose ses visites guidées animées par des artistes. adaptées en team-building
Vous propose ses visites guidées animées par des artistes adaptées en team-building Fort du succès populaire des Visites-Spectacles L Esprit de Montmartre et L Enigme des Passages Couverts, nous vous proposons
Plus en détailCONSOLIDATION des ESPACES OUVERTS
PPU Le Quartier Latin - Îlot Saint-Sulpice CONSOLIDATION des ESPACES OUVERTS NOVEMBRE 2012 LES TERRASES ST-SULPICE PPU Le Quartier Latin - Îlot Saint-Sulpice Plan d actions du Quartier Latin CONSOLIDATION
Plus en détailAGORA 2014 Appel à idées Habiter les toits à Bordeaux Et pour compléter
AGORA 2014 Appel à idées Habiter les toits à Bordeaux Et pour compléter 1 SOMMAIRE Vues générales des toits 3 Type de charpentes, de la plus simple à la plus sophistiquée quelques coupes transversales
Plus en détailVIVRE LA COULEUR DOSSIER PÉDAGOGIQUE. Musée des beaux-arts de Brest
VIVRE LA COULEUR DOSSIER PÉDAGOGIQUE Musée des beaux-arts de Brest 1 Les objectifs : - Comment percevons-nous les couleurs? Quel rôle joue le cerveau? - Comprendre les choix et les procédés de création
Plus en détailRestructuration des façades d un immeuble de bureau avenue Parmentier à Paris
Restructuration des façades d un immeuble de bureau avenue Parmentier à Paris Dossier de presse Novembre 2014 L agence PARC Architectes Démarche de l agence Les bâtiment livrés & à venir Réalisations de
Plus en détailACCESSOIRES ET TEMPORAIRES AUTORISÉS DANS LES COURS ET LES MARGES
TERMINOLOGIE (RÈGLEMENT 5001, ART.21) ABRI D AUTO PERMANENT (CAR-PORT) Construction accessoire reliée à un bâtiment principal formée d'un toit appuyé sur des piliers, dont un des côtés est mitoyen au bâtiment
Plus en détailFONDS CHARLES COURNAULT (1815-1904)
ARCHIVES MUNICIPALES DE NANCY 3 Z FONDS CHARLES COURNAULT (1815-1904) REPERTOIRE NUMERIQUE DETAILLE THIBAUD PETER SOUS LA DIRECTION DE DANIEL PETER, CONSERVATEUR, NANCY 2008 2 FICHE DESCRIPTIVE CHAMP DESCRIPTION
Plus en détailRéunion des musées nationaux Grand Palais. Musée & compagnie
Réunion des musées nationaux Grand Palais Musée & compagnie 2014 Musée & Cie, la billetterie des professionnels Un service personnalisé s adaptant à vos contraintes Une commande unique portant sur plus
Plus en détailUrbanisme 07-002. Introduction. (du 23 février 2007) Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs,
Urbanisme 07-002 Rapport du Conseil communal au Conseil général concernant une demande de crédit pour des travaux d entretien des annexes est et ouest du Musée d art et d histoire et pour des travaux de
Plus en détailRéforme des autorisations d Urbanisme
Réforme des autorisations d Urbanisme Entrée en vigueur le 1er octobre 2007 L essentiel de la réforme réside dans : - le regroupement des procédures fusionnées en 3 permis et une déclaration préalable
Plus en détailDOSSIER DE PARTENARIAT
DOSSIER DE PARTENARIAT A P R O P O S Art Contemporain & Antiquité à Villefranche-Sur-Mer du 3 au 6 septembre 2015 V i l l e f r a n c h e - s u r - Me r a toujours été une commune tournée vers la culture.
Plus en détailLE W, UN ÎLOT VIVANT DANS LA VILLE
LE W, UN ÎLOT VIVANT DANS LA VILLE Habitat, bureaux, commerces : le W conjugue les trois fondamentaux de l urbain. Dans cet esprit, Vauban Immobilier, Scharf Immobilier, GIPA et Rive Gauche CB Richard
Plus en détailALLONNES. 18 logements locatifs individuels et intermédiaires Rue de la Bujerie. Architecte : SELARL Laze & Petolat
ALLONNES 18 logements locatifs individuels et intermédiaires Rue de la Bujerie Architecte : SELARL Laze & Petolat Pose de première pierre Lundi 19 octobre 2009 à 16 h 1 Sommaire Qui est Sarthe Habitat?
Plus en détailLe futur musée dédié à la santé
Le futur musée dédié à la santé 1 I l s e r a u n e f o i s à L y o n...un lieu inédit et unique, implanté sur un site exceptionnel en bordure du Rhône. La reconversion de l Hôtel-Dieu, magnifique ensemble
Plus en détailBordeaux Palais de la Bourse 17 Place de la Bourse 33076 Bordeaux Cedex. www.bordeauxpalaisbourse.com palaisbourse@bordeauxpalaisbourse.
Bordeaux Palais de la Bourse 17 Place de la Bourse 33076 Bordeaux Cedex www.bordeauxpalaisbourse.com palaisbourse@bordeauxpalaisbourse.com Rejoignez nous sur Facebook et Twitter : www.facebook.com/espacecongres
Plus en détailISTRES ET LE HANDICAP
ISTRES ET LE HANDICAP Contexte : La situation des handicapés est à l ordre du jour. Les médias se penchent sur les problèmes généraux, mais qu en est-il de la vie au quotidien chez nous? L enquête : Elle
Plus en détailLes murs ont des voix PROJET NUMERIQUE D IMMERSION DANS LE PATRIMOINE INDUSTRIEL PAR LA LITTERATURE
Les murs ont des voix PROJET NUMERIQUE D IMMERSION DANS LE PATRIMOINE INDUSTRIEL PAR LA LITTERATURE Un endroit unique à faire parler Notre projet est né d une frustration : l impossibilité de pénétrer
Plus en détailAPPEL A PROJETS «ITINERAIRES DE DECOUVERTE DANS LE VIGNOBLE ALSACIEN»
APPEL A PROJETS «ITINERAIRES DE DECOUVERTE DANS LE VIGNOBLE ALSACIEN» La création d itinéraires thématiques qui permettent, sous une forme renouvelée, la découverte du vignoble alsacien et apportent une
Plus en détailSOMMAIRE. Des dallages de caractère pour des piscines très exclusives RUSTIQUE BULLÉE 04 ABBAYE 12 PIERRE DU LOT 10 COLLÉGIALE 16
2011 Des dallages de caractère pour des piscines très exclusives De l atmosphère restituée des anciennes bâtisses à l esprit de modernité des maisons contemporaines, les dallages et margelles PIERRA signent
Plus en détailImmeuble, Le Square Duvernay
Immeuble, Le Square Duvernay rue Duvernay rue Comte-de-Loche Quartier de la gare Aix-les-Bains Dossier IA73002041 réalisé en 2012 Copyrights Copyrights Auteurs Région Rhône-Alpes, Inventaire général du
Plus en détailBilan de mission. Au collège : «Les clés de la culture»
Bilan de mission Au collège : «Les clés de la culture» La co-intervention en 6 e La formation des Assistants pédagogiques Dans le R.A.R. : Accompagner le projet «chorale» par l histoire Histoire de Montpellier
Plus en détailStratégie et développement du groupe SOGARIS en logistique urbaine pour l agglomération parisienne
Stratégie et développement du groupe SOGARIS en logistique urbaine pour l agglomération parisienne Christophe RIPERT, Directeur immobilier, SOGARIS Cette présentation porte sur des exemples concrets d
Plus en détailPORTFOLIO ETUDES D ARCHITECTURE LOUISE LEONARD
PORTFOLIO ETUDES D ARCHITECTURE LOUISE LEONARD Mail : leonardlouisearchitecte@yahoo.fr Site Web : www.leonardlouisearchitecte.sitew.com BI-CURSUS, DESS, MATERIAUX POUR L ARCHITECTURE 2003-2004 École d
Plus en détailBienvenue à Rennes Métropole.... médiévale, royale, festive, créative, champêtre, gourmande, culturelle...
Bienvenue à Rennes Métropole... médiévale, royale, festive, créative, champêtre, gourmande, culturelle... Rennes au fil du patrimoine La tradition du pan-de-bois Les fortifications de plus de 2000 ans
Plus en détailCONNAISSANCE DU PATRIMOINE ARCHITECTURAL ET URBAIN RAPPORT DE PRÉSENTATION
ARCHITECTURAL ET URBAIN ZPPAUP Montpellier Gambetta Clemenceau Figuerolles Rapport de présentation Juillet 2006 Page 73 Zone de Protection du Patrimoine Architectural, Urbain et Paysager SECTEUR GAMBETTA
Plus en détailMusée Jacquemart-André
Musée Jacquemart-André Paris U N MUSÉE UNIQUE À PARIS POUR DES RECEPTIONS DE PRESTIGE L e Salon de Musique L a Salle à Manger L e Jardin d Hiver L e Grand Salon L e Grand Salon L a Salle à Manger Grande
Plus en détailMusées et paysages culturels
La Charte de Sienne Musées et paysages culturels Proposée par l ICOM Italie le 7 juillet 2014 à la Conférence internationale de Sienne 1. Le paysage italien Le paysage italien est le pays que nous habitons,
Plus en détailles escaliers La pose Guide d installation pour bricoleurs Préparation des outils Prêt à installer Moulé à votre style de vie
les escaliers La pose Guide d installation pour bricoleurs Préparation des outils Prêt à installer Moulé à votre style de vie Guide d installation d un escalier pour bricoleurs L escalier représente souvent
Plus en détailMONTRABÉ. Résidence LIZZI SQUARE. construit au cœur des villes
MONTRABÉ Résidence LIZZI SQUARE construit au cœur des villes "Une belle opération que la résidence Lizzi Square. Un terrain qui se prête à une architecture en cascade épousant au mieux ce versant dégagé
Plus en détailFiche de préparation. Intitulé de séquence : le portrait
Fiche de préparation Cycle III Niveau de classe : CM Intitulé de séquence : le portrait Domaines étudiés : arts du langage, arts visuels Champs disciplinaires : français/ langage oral, lecture, écriture
Plus en détailété 1914 dans la guerre 15/02-21/09/2014 exposition au Musée Lorrain livret jeune public 8/12 ans
été 1914 Nancy et la Lorraine dans la guerre exposition 15/02-21/09/2014 au Musée Lorrain livret jeune public 8/12 ans 1 3 2 4 5 6 7 9 8 1870-1914 : une guerre attendue? Août 1914 : partis pour un été
Plus en détailThéâtre - Production théâtrale Description de cours
Théâtre - Production théâtrale Description de cours SESSION 1 (TRONC COMMUN) Histoire de l'architecture L objectif du cours est de cerner les principaux styles de l histoire de l architecture. Le contenu
Plus en détaille futur centre des congrès de Rennes Métropole Illustrations Labtop / Jean Guervilly Couvent des Jacobins
le futur Illustrations Labtop / Jean Guervilly e x p o s i t i o n Couvent des Jacobins du 16 novembre au 18 décembre 2010 Illustrations Labtop / Jean Guervilly 1. histoire Le couvent des Jacobins dans
Plus en détailProthésistes dentaires. Aide au cahier des charges d un nouveau laboratoire
Prothésistes dentaires Aide au cahier des charges d un nouveau laboratoire Carsat Centre Ouest Assurance des risques professionnels 37, avenue du Président René Coty 87048 LIMOGES CEDEX LOCAUX DE TRAVAIL
Plus en détailICF La Sablière réalise 70 logements sociaux dans des immeubles haussmaniens au cœur du 8 ème arrondissement de Paris
ICF La Sablière réalise 70 logements sociaux dans des immeubles haussmaniens au cœur du 8 ème arrondissement de Paris Dossier de presse, 23 février 2011 1 SOMMAIRE Page 3-5 : présentation de l opération
Plus en détailDossier de Presse 5 juin 2008 20. L Oeuvre de Vauban à Besançon
Dossier de Presse 5 juin 2008 20 L Oeuvre de Vauban à Besançon Dossier de Presse 5 juin 2008 21 Besançon : des défenses façonnées par un méandre dominé > 21 27 La citadelle Historique La position stratégique
Plus en détailÉtienne-Martin. 25 juin 16 septembre 2014. www.mba-lyon.fr
Étienne-Martin 25 juin 16 septembre 2014 www.mba-lyon.fr DOSSIER DE PRESSE En couverture Étienne-Martin (Loriol, 1913 Paris, 1919) Hommage à Brown, 1988-1990 Bois (frêne) peint Cet hommage monumental à
Plus en détailStatistique des permis d'urbanisme. Modèle II
MINISTERE DES AFFAIRES ECONOMIQUES INSTITUT NATIONAL DE STATISTIQUE Statistique des permis d'urbanisme Rue de Louvain, 44 1000 Bruxelles Tél : 02/548.62.48 Statistique des permis d'urbanisme Modèle II
Plus en détailAVIS. Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Réf. : CWEDD/05/AV.276. Liège, le 14 mars 2005
AVIS Réf. : CWEDD/05/AV.276 Liège, le 14 mars 2005 Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Avis du CWEDD portant sur une demande de permis de lotir à Franc-Waret (FERNELMONT) L avis
Plus en détailVENTE DE PRESTIGE D ART DECO. 28 mai 2013
Communiqué VENTE DE PRESTIGE D ART DECO 28 mai 2013 La vente, qui se tiendra le 28 mai sous le marteau de François Tajan, propose un vaste panorama des Arts décoratifs, de l Art nouveau à la grande décoration
Plus en détail2014-2015. Animations pédagogiques TANINGES. - Ecoles primaires - Cycles 2 et 3. Arcade MAISON du PATRIMOINE
Animations pédagogiques 2014-2015 TANINGES - Ecoles primaires - Cycles 2 et 3 «Située à Taninges, au cœur de la vallée du Giffre, la Maison du Patrimoine vous emmène dans une rue reconstituée pour découvrir,
Plus en détailSAINT-PETERSBOURG EN PETIT GROUPE MEILLEUR TARIF GARANTI 2015/2016
SAINT-PETERSBOURG EN PETIT GROUPE MEILLEUR TARIF GARANTI 2015/2016 Vous n'aimez pas les voyages en groupe? Le voyage sur mesure vous paraît trop cher? Vous n êtes pas rassurés à l idée de voyager seul?
Plus en détailSchréder partenaire des villes et communes. Nivelles grand place
Schréder partenaire des villes et communes Nivelles grand place Une réalisation Schréder où convivialité de l espace public rime avec économie d énergie Mise en lumière de la Grand Place de Nivelles Nivelles,
Plus en détailALAIN-DOMINIQUE GALLIZIA
ALAIN-DOMINIQUE GALLIZIA est un architecte français, mécène urbain et curateur-collectionneur œuvrant à la RECONNAISSANCE DE L ART DU GRAFFITI. L atelier de Boulogne Billancourt appelé «La Ruche du Tag»
Plus en détailOù et quand cette photo a-t-elle été prise? Comment le devinez-vous?
Les textes de l exposition «Dictature et démocratie» et le questionnaire pédagogique sont assez longs. Nous vous conseillons donc de répartir les fiches de travail entre vos élèves et de mettre les réponses
Plus en détailPrix Duo@Work. 2 ème édition. Excellence partagée entre architecte et industriel. Appel à candidature
Duo@Work 2 ème édition 1 Excellence partagée entre architecte et industriel Appel à candidature Un prix créé par l Unsfa Ile-de-France, en partenariat avec ARCHITECT@WORK Paris Excellence partagée entre
Plus en détailANGLE RUE LÉOPOLD, 6 RUE DU FOSSÉ AUX LOUPS, 29 CET ÎLOT EST AFFECTÉ AU LOGEMENT : NON À L AUDITORIUM - RADIATEUR
Boulevard Adolphe Max, 55 1000 Bruxelles T. 02 219 33 45 F. 02 219 86 75 info@arau.org ww.arau.org Conférence de presse du lundi 16 février 2009 ANGLE RUE LÉOPOLD, 6 RUE DU FOSSÉ AUX LOUPS, 29 CET ÎLOT
Plus en détailVenez tourner aux Gobelins
enez ourner ux obelins Le site du Mobilier national se compose de deux ensembles architecturaux distincts, disposés de chaque côté de la rue Berbier-du-Mets dont le tracé suit celui de la Bièvre recouverte
Plus en détailDécret 2002-628 du 25 Avril 2002 modifié pris pour l application de la loi 2002-5 du 4 Janvier 2002 relative aux musées de France
Décret 2002-628 du 25 Avril 2002 modifié pris pour l application de la loi 2002-5 du 4 Janvier 2002 relative aux musées de France TITRE I er : HAUT CONSEIL DES MUSEES DE FRANCE Art. 1 er. - Le Haut Conseil
Plus en détailMédiation traduction. De la matière aux langages. 1/ Au fait, les Arts plastiques, qu est-ce que c est? 2/ Pourquoi traduire une œuvre?
1/ Au fait, les Arts plastiques, qu est-ce que c est? Médiation traduction De la matière aux langages 2/ Pourquoi traduire une œuvre? 3/ La rencontre avec une œuvre : une «enquête» en 3 étapes 4/ Et maintenant
Plus en détailL Espace Urbain de Distribution de Chapelle International Paris 18 ème arrondissement
L Espace Urbain de Distribution de Chapelle International Paris 18 ème arrondissement SAGL Architectes Associés Août 2014 P A R I S SOGARIS : un acteur référence en logistique urbaine Activité Acteur de
Plus en détailRéunion de présentation. Avril 2015
Réunion de présentation Avril 2015 Points abordés 1. L environnement 2. L équipe 3. La pédagogie et le fonctionnement de l établissement 4. Après la 3 ème? 5. Questions L environnement 12, chaussée Jules
Plus en détail