Chapitre 7 : l évolution des paysages
|
|
- Georgette Lefèvre
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Chapitre 7 : l évolution des paysages Où que l on soit sur Terre, sous le sol, se trouvent des roches du sous-sol. DEFINITION : Erosion = dégradation, usure des roches. Qu est-ce qui peut éroder les roches et ainsi faire évoluer les paysages? I/ L érosion des roches par l eau modifie les paysages. Voir sortie et activité 1. L eau est le principal agent d érosion des roches. L érosion des roches par l eau fait évoluer les paysages Les roches résistent plus ou moins à l action de l eau. Que deviennent les particules de différentes tailles issues de l érosion des roches? II/ Les produits de l érosion s accumulent dans un sol ou sont transportés par l eau. Voir activité 2. Les particules issues de l érosion des roches peuvent s accumuler sur place et participer à la formation d un sol Elles peuvent aussi être transportées par les cours d eau. Dans ce cas les plus petites particules pourront être transportées le plus loin et rejoindre les océans. Les plus grosses se déposeront le long du cours d eau.
2 Que deviennent les particules issues de l érosion qui se déposent dans la mer? III/ Les particules qui se déposent dans la mer se déposent puis se transforment en roches sédimentaires. Voir activité 3. DEFINITIONS : Sédimentation = dépôt de sédiments issus de l érosion. Sédiments = particules déposées lors de la sédimentation Roches sédimentaires = roches issues de la transformation de sédiments Fossiles = traces ou restes d êtres vivants ayant vécu dans le passé. Après leur transport, les particules se déposent lors de la sédimentation Les sédiments se transforment ensuite en roches sédimentaires Ces roches sédimentaires peuvent contenir des fossiles.
3 Comment les roches sédimentaires peuvent-elles nous renseigner sur les paysages anciens? IV/ Les roches sédimentaires, témoins de milieux de sédimentation anciens. Un milieu de sédimentation est une zone où se déposent des sédiments. La connaissance des milieux de sédimentation actuels permet de reconstituer les milieux de sédimentation anciens. Les géologues admettent en effet que les évènements passés se sont déroulés en suivant les mêmes lois que les évènements actuels. Par exemple : les rides de courants peuvent témoigner de la présence d une plage disparue. V/ La reconstitution de paysages anciens. En plus de nous informer sur les conditions de dépôts et les milieux de vie, l empilement des matériaux sédimentaires successifs rend possible la reconstitution d une suite de paysages. Comment l exploitation des roches modifie-t-elle les paysages? VI/ L exploitation des roches et ses conséquences sur les paysages. L homme prélève dans son environnement des roches (sable, graviers, calcaire ) afin de construire des ponts, des tunnels, des routes, des maisons Ces prélèvements sont réalisés dans des carrières qui sont des lieux où les paysages sont fortement modifiés. La loi oblige le réaménagement des anciennes carrières. L homme reboise parfois des pentes rocheuses afin de réduire l érosion et ainsi limiter les risques de glissements de terrain.
4 Sortie géologie NOM : Prénom : Classe : Travail autour de l affleurement de St Vigor : 1. Donne la définition d un affleurement (I) : 2. Explique pourquoi les roches sont bien souvent peu visibles dans les paysages (Rai) : 3. A ton avis, que trouverait-on si nous creusions sous nos pieds (Rai): 4. Réalise un croquis de cet affleurement et de son environnement (Ré) : 5. Après discussion avec la classe sur les différents éléments du paysage, rajoute sur ton croquis les légendes importantes établies en commun. (Ré) Zoom sur les roches de l affleurement de St Vigor : 6. Légende les photos ci-dessous à l aide des mots : bloc, couche calcaire, couche de silex, fissure. (Ré)
5 7. Décris la disposition des couches de roches les unes par rapport aux autres (I, C) : 8. Propose une explication pour les couches plus inclinées visibles sur la photo ci-dessous (Rai). 9. Propose une hypothèse pour l origine des fissures dans les roches (Rai) : 10. Quelles pourraient être les conséquences des fissures sur l évolution de la falaise (Rai) : 11. En Normandie, il pleut souvent selon toi, que va devenir l eau de pluie qui tombe sur le haut de la falaise? (Rai) 12. Indique quelles sont les couches les plus en relief, et propose une explication. (I, Rai) 13. Dans la falaise, on ne retrouve que des fossiles d origine marine. Propose une explication. (Rai) 14. Selon toi quelle peut être l utilisation de ces roches par l Homme. (Rai)
6 Activité 1 : l érosion des roches modifie les paysages. Au cours de cette activité, tu vas étudier l action de l érosion sur quelques paysages. Passe pour cela sur les différents postes de travail pour y lire les documents, réaliser le travail demandé et compléter le tableau ci-dessous. PAYSAGE AGENT RESPONSABLE DE L EROSION DES ROCHES ROCHES LES PLUS RESISTANTES A L EROSION MODIFICATION DU PAYSAGE. CHEMINEES DE FEE. FALAISE DES VACHES NOIRES. FALAISE DE ST- VIGOR Tableau de synthèse sur l érosion des roches dans différents paysages. Correction activité 1 : PAYSAGE AGENT RESPONSABLE DE L EROSION DU PAYSAGE ROCHES LES PLUS RESISTANTES A L EROSION MODIFICATION DU PAYSAGE. CHEMINEES DE FEE. Eau de pluie Celles situées au sommet des cheminées. Les colonnes deviennent de plus en plus hautes. FALAISE DES VACHES NOIRES. Eau de pluie Recul des falaises FALAISE DE ST- VIGOR Eau de pluie Le silex Recul des falaises, apparition de fissures.
7 PAYSAGES AVEC CHEMINEES DE FEE Les cheminées de fée sont des colonnes de roches visibles dans les paysages. Repère les cheminées de fée sur les photos ci-dessous. Pour comprendre comment elles se forment, clique sur l animation nommée «chapitre 7» sur le bureau de l ordinateur puis complète ton tableau.
8 PAYSAGE DE LA FALAISE DE ST-VIGOR La falaise de St Vigor présente des alternances de couches de calcaire (claires) et de silex (plus sombres). Les couches de calcaire sont plus creusées en surface de la falaise que les couches de silex. L agent responsable de cette érosion est l eau de pluie qui tombe le long de la falaise. Ceci s explique par le fait que les couches de calcaire sont plus faciles à éroder que les couches de silex. Pour le vérifier, compare l usure d une roche calcaire et d un silex lorsque tu grattes ces roches avec ton ongle. Cette falaise présente de nombreuses fissures qui s agrandissent par l action de l eau entraînant parfois l effondrement de pans entiers de falaise et son recul. Pour expliquer cela, dépose une goutte d eau en surface d une roche calcaire et observe ce qu il se passe. Le calcaire est poreux, c'est-à-dire que l eau est absorbée par la roche. En cas de gel, l eau augmente de volume dans la roche, ce qui la fait éclater, créant ainsi des fissures. L eau de pluie va ensuite facilement circuler dans les fissures, dissoudre la roche et ainsi agrandir les fissures. N oublie pas de compléter ton tableau.
9 PAYSAGE DES «VACHES NOIRES» La falaise des vaches noires est essentiellement constituée de roches argileuses de couleur noire. Ces roches peuvent être facilement érodées par l eau. Repère ces roches argileuses sur la photographie ci-dessus. L eau de pluie est guidée par le modelé du paysage vers les ravins, qui vont se creuser davantage grâce à l action mécanique de l eau. Repère les ravins sur la photographie ci-dessus. L eau entraîne avec elle de fines particules d argile extraites de la roche, formant des coulées de boue. Repère les coulées de boue sur la photographie ci-dessus. Ce processus d érosion fait progressivement reculer la falaise des vaches noires. Pour simuler l action érosive de l eau sur des roches argileuses, gratte avec un stylo une telle roche et observe qu elle se creuse facilement. N oublie pas de compléter ton tableau.
10 Activité 2 : le transport des particules issues de l érosion. L objectif de cette activité est de mieux comprendre comment les cours d eau transportent les particules issues de l érosion des roches. Un torrent de montagne La Seine proche de son estuaire Les cours d eau prennent naissance dans les montagnes et se jettent dans les mers et les océans. Ils sont très pentus et à forts courants dans les montagnes et sont de moins en moins pentus et à courants de plus en plus faibles en allant vers la mer. Ils récupèrent tout au long de leur parcours les eaux de pluie qui ont érodé les roches. 1. Compare en complétant le tableau à double entrée ci-dessous les caractéristiques des torrents de montagne et des fleuves proches de la mer (I) Pente Courant torrent de montagne fleuve proche de la mer Pour étudier ce que peuvent transporter ces différents cours d eau, tu vas réaliser et utiliser une maquette de cours d eau composée : D une gouttière jouant le rôle de rivière. D une bouteille d eau pour faire couler de l eau dans la rivière. De particules de différentes tailles représentant les produits d érosion des roches. 2. Teste, à l aide de la maquette, l influence de la pente sur le transport des particules, puis complète le tableau ci-dessous (Rai, Ré) : Taille des particules transportées Pente faible Pente forte 3. Teste, à l aide de la maquette, l influence de la vitesse du courant sur le transport des particules, puis complète le tableau cidessous (Rai, Ré) : transportées Taille des particules Courant faible Courant fort 4. Déduis-en les tailles de particules transportées par les torrents de montagne et par les fleuves près de la mer (Rai) : Indique ce que deviennent les grosses particules transportées par les torrents de montagne (Rai) : Indique ce que deviennent les plus fines particules transportées par les torrents de montagne (Rai) :...
11 Correction activité 2 : 1. Compare en complétant le tableau à double entrée ci-dessous les caractéristiques des torrents de montagne et des fleuves proches de la mer. torrent de montagne fleuve proche de la mer Pente forte faible Courant fort faible 2. Teste, à l aide de la maquette, l influence de la pente sur le transport des particules, puis complète le tableau ci-dessous : Taille des particules transportées Pente faible Petites uniquement Pente forte Petites à grosses. 3. Teste, à l aide de la maquette, l influence de la vitesse du courant sur le transport des particules, puis complète le tableau ci-dessous : Taille des particules transportées Courant faible Petites uniquement Courant fort Petites à grosses. 4. Déduis-en les tailles de particules transportées par les torrents de montagne et par les fleuves près de la mer : les courants de montagne peuvent transporter toutes tailles de particules, tandis que les fleuves proches de la mer ne peuvent transporter que les plus petites particules. 5. Indique ce que deviennent les grosses particules transportées par les torrents de montagne : Elles se déposent dans les cours d eau lorsqu ils ne peuvent plus les transporter. 6. Indique ce que deviennent les plus fines particules transportées par les torrents de montagne : Elles sont transportées jusqu à la mer.
12 Activité 3 : le devenir des particules issues de l érosion. L eau érode les roches et transporte les particules issues de l érosion. Les plus grosses particules ne sont pas transportées bien loin, tandis que les plus petites, comme le sable ou l argile, sont transportées sur de grandes distances jusqu à la mer. Que deviennent les fines particules qui se déposent dans la mer? A/ EXPERIENCE : 1. Dans le tube contenant de l eau, verse de la craie blanche puis réalise un schéma de ce que tu obtiens. (Ré, C) 2. Ajoute de la craie bleue dans le tube contenant l eau et la craie blanche puis complète le schéma précédent. (Ré, C) 3. Ajoute de la craie rose dans le tube contenant l eau, la craie blanche et la craie bleue puis complète ton schéma. (Ré, C) 4. Résultats (I, Rai): - Quelle est la disposition des couches de craie les unes par rapport aux autres? - Quelle est la craie au fond du tube? - Quand a-t-elle été déposée? - Quelle craie est la plus haute dans le tube? - Quand a-t-elle été déposée? - Quel est le lien entre le moment du dépôt et sa profondeur? B/ ANIMATION : 1. Note l épaisseur de la première couche de sédiments qui s est déposée au fond de la mer en 1000 ans : a. Avant le dépôt de la deuxième couche : (I) b. Après le dépôt de la deuxième couche : (I) 2. Déduis-en un phénomène subi par les sédiments : (Rai) 3. Indique ce que l on observe entre les particules de la première couche de sédiments avant le dépôt de la troisième couche : (I), et après le dépôt de la troisième couche : (I) 4. Déduis-en un autre phénomène subi par les sédiments : (Rai) 5. Indique combien de temps a-t-il fallu pour transformer nos sédiments en roches sédimentaires? (I)
13 Activité 4 : faire parler les fossiles trouvés aux vaches noires mais aussi ailleurs. Complète, en t aidant d une clé de détermination des fossiles, les tableaux ci-dessous. Image 5 cm Nom du fossile Mode de vie Lieu de vie Climat Age du fossile Image 2 orifices sur les faces opposées Lisse Nom du fossile Mode de vie Lieu de vie Climat Age du fossile
14 Activités du livre p Le béton a beaucoup d importance pour l homme car il l utilise pour la construction des ponts, des tunnels, des maisons, ou encore des autoroutes (doc. 1). De plus, la construction de béton nécessite chaque année, par habitant, 50 kilogrammes de ciment ainsi qu une tonne de granulats. (doc 2 et 3) 2. Roche exploitée Matériau obtenu Calcaire ciment Sable et graviers granulats L utilisation par l homme de différentes roches (doc 4 et 5) L exploitation des roches modifie fortement les paysages. Dans certaines carrières, on peut voir les paysages creusés et la roche mise à nu, tandis que dans d autres, on peut voir des tas de roches. (doc 4 et 5) 3. La réhabilitation des sites exploités par l homme permet de limiter les dégâts sur les paysages. Ces sites peuvent de plus trouver une utilité (bases de loisir ). C est le texte de loi de 2001 sur la réglementation sur les carrières qui oblige cette réhabilitation. (doc 6 et 7). 4. Pour conclure, l homme prélève les roches dont il a besoin pour ses constructions dans des carrières. Cela dégrade les paysages, mais lorsque l exploitation est terminée, il doit réhabiliter les sites utilisés.
Chapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux
Chapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux Comment font les végétaux pour s installer dans un nouveau milieu alors qu ils ne peuvent pas se déplacer? I/ L installation des végétaux dans un nouveau milieu
Plus en détailEtude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau
Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine
Plus en détailProjet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H
Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Page 1 DES CONFERENCES QUI ENRICHISSENT LES PROGRAMMES SCOLAIRES : Objectifs principaux : Acquérir et approfondir des
Plus en détailReprésenter un pays : la carte de France
séquence 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 séance 1 De la photo à la carte. Je découvre Avec l aimable autorisation de la Mairie de l Ile d Arz - www.iledarz.fr Emma va passer quelques jours de vacances à Bilhervé,
Plus en détailInterprétation de l'affleurement 3: a: argilites compactes, b: niveaux oxydés, a: argilites shistées, riches en charbon (bitumineuses)
L' approche de la complexité; Un exemple de démarche en classe de seconde. Bulletin officiel spécial n 4 du 29 avril 2010 L approche de la complexité et le travail de terrain Le travail de terrain est
Plus en détailRELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.
RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes
Plus en détailLE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE
LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE 1 La mairie de Ressons-le-Long souhaite restaurer le lavoir de la Montagne. L opération fait l objet d une souscription «Fondation
Plus en détailChangement du trait de côte et images satellites. Tempêtes 2014, plage de la Salie, côte atlantique française
Les tempêtes L expert Avec la crise climatique, les rivages subissent plus durement les assauts de la mer et les crues de fleuves. Pour anticiper et prévenir des risques d érosion et d inondation, il est
Plus en détailActivité 45 : La responsabilité de l Homme sur son environnement géologique
1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie : Géologie externe, évolution des paysages (16 heures) Notions. contenus Compétences Exemples d activités L procure à l Homme des ressources. [Thèmes : Environnement,
Plus en détailChapitre 5 Mesures géophysiques
Chapitre 5 Mesures géophysiques Plan 5.1 Introduction 5.2 Sismique réfraction 5.3 Prospection électrique 5.4 Radar géologique 5.1 Introduction Pour tous les projets de construction connaissance préalable
Plus en détailSéquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?
Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment
Plus en détailL E BILAN DES ACTIVITÉS
L E BILAN DES ACTIVITÉS Activité 1 Des volcans en éruption Mots-clés Il existe deux types d éruptions volcaniques : les éruptions explosives, caractérisées par des explosions plus ou moins importantes,
Plus en détailParois industrielles préfabriquées. Willy Naessens 61
Parois industrielles préfabriquées Willy Naessens 61 Dans le domaine de la préfabrication, les parois préfabriquées en béton offrent une solution efficace pour toutes façades extérieures et cloisonnements
Plus en détailMaçonneries. Guide pratique du patrimoine bâti du Vexin français. Les différents types de roches. La localisation
Maçonneries Guide pratique du patrimoine bâti du Vexin français Territoire de calcaire, c est tout naturellement que le choix des matériaux pour ériger les constructions dans le Vexin français s est porté
Plus en détailCHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE
1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES
Plus en détailProjet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer
ÉOLIENNES OFFSHORE DU CALVADOS avril 2013 Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer Synthèse d étude relative à la protection des câbles Sommaire 1. CONTEXTE ET OBJECTIF DE L ETUDE...
Plus en détailMISAPOR verre cellulaire
MISAPOR verre cellulaire Remblai allégé pour ouvrage en génie civile 2015-03 Suisse: Allemagne: France: MISAPOR AG Löserstrasse 2 CH-7302 Landquart Téléphone +41 81 300 08 08 Fax +41 81 300 08 09 info@misapor.ch
Plus en détailArchivistes en herbe!
Les archives c est quoi? Un archiviste travaille avec des archives. Oui, mais les archives c est quoi? As-tu déjà entendu ce mot? D après toi, qu est-ce qu une archive? 1. Les archives ce sont des documents
Plus en détailUNE MEILLEURE CONNAISSANCE
CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions
Plus en détailLes dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97)
Préliminaires Les dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97) Ces obligations assurent la sécurité dans les escaliers
Plus en détailCHAPITRE. Le mouvement en une dimension CORRIGÉ DES EXERCICES
CHAPITRE Le mouvement en une dimension CORRIGÉ DES EXERCICES Exercices. Le mouvement rectiligne uniforme SECTION. 5. Le graphique suivant représente la vitesse d une cycliste en fonction du temps. Quelle
Plus en détail5.2. EVOLUTION DU TRAIT DE COTE SUR LES PHOTOGRAPHIES AERIENNES DE L'IGN ET LES CARTES ANCIENNES DU SHOM
5.2. EVOLUTION DU TRAIT DE COTE SUR LES PHOTOGRAPHIES AERIENNES DE L'IGN ET LES CARTES ANCIENNES DU SHOM La digitalisation des traits de côte (pied de falaise) a été réalisée pour les cartes anciennes
Plus en détailÉvolution du trait de côte et conséquences sur les ouvrages maritimes: Application au Phare de la Coubre (17)
Évolution du trait de côte et conséquences sur les ouvrages maritimes: Application au Jérôme REVEL Laboratoire de Bordeaux Page 1/22 sommaire Introduction Analyse historique du trait de côte Analyse naturaliste
Plus en détailLogiciel pavages drainants mode d emploi
Logiciel pavages drainants mode d emploi FEBESTRAL a développé, en collaboration avec le Centre de Recherches Routières (CRR), un logiciel de calcul pour pavages drainants. Ce programme vous guide lors
Plus en détailQuestionnaire Lycée SALLE DES EAUX DU MONDE
Questionnaire Lycée Ce musée vous offre une approche de l Eau dans toute sa grandeur. A vous de faire connaissance avec cet élément naturel. 1) Origine de l eau SALLE DES EAUX DU MONDE Vous vous aiderez
Plus en détailEric Chaumillon UMR CNRS 7266 Littoral Environnement et Sociétés LIENSs Université de la Rochelle
Eric Chaumillon UMR CNRS 7266 Littoral Environnement et Sociétés LIENSs Université de la Rochelle 7ème Journée de restitution des résultats de l Observatoire du Patrimoine Naturel Marais poitevin jeudi
Plus en détailGOOGLE EARTH Quelques méthodes d utilisation et pistes d activités
GOOGLE EARTH Quelques méthodes d utilisation et pistes d activités Google Earth est un logiciel, permettant une visualisation de la Terre (et d autres astres!) avec un assemblage de photographies aériennes
Plus en détailZA SUD - RUE PASCAL - 14700 FALAISE - Tél. 02 31 40 80 50 - Mobile 06 30 99 78 77 Mail : info@dynapneu.fr - Site : www.dynapneu.fr
LeTélégonflage ZA SUD - RUE PASCAL - 14700 FALAISE - Tél. 02 31 40 80 50 - Mobile 06 30 99 78 77 Mail : info@dynapneu.fr - Site : www.dynapneu.fr LeTélégonflage Qu est est-ce que le TELEGONFLAGE? C est
Plus en détailAvant d aller à la recherche d un terrain
Choisir un terrain Bien choisir un terrain pour construire une maison solide Ce document est édité par l Agence Qualité Construction, association dont la mission est d améliorer la qualité de la construction.
Plus en détailLe chantier compte 4 étapes :
02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton
Plus en détailPour l environnement. Strength. Performance. Passion.
Strength. Performance. Passion. Pour l environnement Réduire les émissions de CO 2 en optimisant les matériaux de construction et les méthodes de production Holcim (Suisse) SA Les fondements de notre avenir
Plus en détailLa fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?
La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est
Plus en détailÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE
ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca
Plus en détailRèglement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011
Règlement numéro 346 LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT Avril 2011 VOS RESPONSABILITÉS LIÉES AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT DE VOTRE IMMEUBLE Protection
Plus en détailLes sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol?
Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Introduction La vie végétale et animale, telle que nous la connaissons, n'existerait pas sans la terre fertile qui forme à la
Plus en détailENTRETIEN DES SOLS VITRIFIÉS
ENTRETIEN DES SOLS VITRIFIÉS Le mortier de finition Ad Lucem est un revêtement poreux à base de ciment. Le vitrificateur professionnel Ad Lucem forme un film très résistant qui le protège des tâches, des
Plus en détailCOMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS?
COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? Par Philippe et Marie-Noëlle LENOIR Un couple du Volontaires du Progrès qui travaille à GALIM Département des Bamboutos, Province de l Ouest, nous adresse cette fiche
Plus en détail2.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid
Chapitre Les bétons courants.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid.7.1 - Le bétonnage par temps chaud 3 Granulats Les conditions climatiques lors de la mise en œuvre ont une grande influence sur
Plus en détailSéquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment.
Sommaire Séquence 6 Nous avons vu dans les séances précédentes qu au cours des temps géologiques des espèces différentes se sont succédé, leur apparition et leur disparition étant le résultat de modifications
Plus en détailSOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM
SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM Nouvelle solution en grès cérame grande épaisseur pour l aménagement extérieur. Dalles en grès cérame fin coloré pleine masse de 2 cm d épaisseur, obtenues par atomisation
Plus en détailCours de Structures en béton
Cours de Structures en béton Chapitre 12 DETAILS DE CONSTRUCTION Section 12.3 Les murs 12.3.1 Le mur extérieur en béton armé 12.3.2 Le mur extérieur en maçonnerie traditionnelle 12.3.3 Le mur extérieur
Plus en détailLes mesures à l'inclinomètre
NOTES TECHNIQUES Les mesures à l'inclinomètre Gérard BIGOT Secrétaire de la commission de Normalisation sols : reconnaissance et essais (CNSRE) Laboratoire régional des Ponts et Chaussées de l'est parisien
Plus en détailDrainage de maches anti-remontée à l humidité. Pour la pose de carreaux en céramique et de pierres naturelles/dalles sur des escaliers extérieurs.
Drainage de maches anti-remontée à l humidité Pour la pose de carreaux en céramique et de pierres naturelles/dalles sur des escaliers extérieurs. Goutte par goutte, le désastre prend forme. Comme ils ne
Plus en détail1. Introduction 2. Localiser un séisme 3. Déterminer la force d un séisme 4. Caractériser le mécanisme de rupture d un séisme
Partie II Les paramètres des séismes Séisme: libération d énergie destructrice à partir de la magnitude 5 Prévision sismique: déterminer l aléa sismique Étude du mécanisme de rupture de la faille 1. Introduction
Plus en détailALFABLOC murs autoporteurs ALFABLOC LA SOLUTION POUR LE STOCKAGE EN VRAC ÉLÉMENTS MOBILES DE STOCKAGE EN BÉTON ARMÉ
ALFABLOC murs autoporteurs ALFABLOC LA SOLUTION POUR LE STOCKAGE EN VRAC ÉLÉMENTS MOBILES DE STOCKAGE EN BÉTON ARMÉ ALFABLOC Notre société est la seule à proposer ce type de mur autoporteur révolutionnaire.
Plus en détailCREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN
REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE
Plus en détailLe présent, le passé, mon histoire
Représentation (début du XX e siècle) de la vie qui passe depuis l enfant jusqu au vieillard. RMN/Frank Raux Le présent, le passé, mon histoire séance 1 Je sais repérer ce qui est passé. séance 2 Je sais
Plus en détailGuide d utilisation des fichiers bonus accompagnant le guide «L Argent est une science exacte»
Guide d utilisation des fichiers bonus accompagnant le guide «L Argent est une science exacte» - Fichier «Gestion main de fer» Cet outil, à utiliser chaque semaine, permet de réaliser une synthèse de l
Plus en détailModule d apprentissage sur les déchets (cycle3)
Module d apprentissage sur les déchets (cycle3) Situations pédagogiques Points du programme 1) Situation déclenchante : Lecture d images : Support : «Affiche YAB : «réduire nos déchets» ( les titres et
Plus en détailPrincipe de fonctionnement des batteries au lithium
Principe de fonctionnement des batteries au lithium Université de Pau et des pays de l Adour Institut des Sciences Analytiques et de Physicochimie pour l Environnement et les Matériaux 22 juin 2011 1 /
Plus en détailDesclefs pour comprendre l océan : les traceurs chimiques et isotopiques. Catherine Jeandel Des clés pour comprendre l océan :
Desclefs pour comprendre l océan : les traceurs chimiques et isotopiques 1 Un cycle de la matière qui conditionne la chimie des océans et le climat La Terre, notre planète bleue (Figure 1), est constituée
Plus en détailwww.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances?
www.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances? 1 Contexte L effet de serre un phénomène naturel Contexte Le changement climatique en chiffres 2 Contexte Contexte Le climat en 2100
Plus en détailDéfi 1 Qu est-ce que l électricité statique?
Défi 1 Qu estce que l électricité statique? Frotte un ballon de baudruche contre la laine ou tes cheveux et approchele des morceaux de papier. Décris ce que tu constates : Fiche professeur Après avoir
Plus en détailPROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F)
PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F) LIGNES DIRECTRICES POUR LE PARCOURS À OBSTACLES VERSION 4.1 CANADIENNE-FRANÇAISE Les activités d entraînement et d évaluation du WSP-F 4.1 peuvent se dérouler
Plus en détailBALAIS Moteur (charbons)
BALAIS Moteur (charbons) 1/ Rôle a) Pour les machines électriques comportant des bagues (alternateur moteur asynchrone) : moteur universel Les balais doivent maintenir un contact constant avec la bague
Plus en détail2013 Pearson France Photoshop Elements 12 pour les photographes du numérique Loïc Olive
améliorer les PhOtOs L amélioration d une photo passe quasiment toujours par les mêmes étapes. On commence par la redresser, puis on s attelle à corriger ses dominantes de couleurs et sa tonalité. Vient
Plus en détailFiche technique n 1 : le logement construction des boxes.
Bâtiments d élevage : Pourquoi? Aspects climatiques : Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. - le porc est sensible aux brusques changements du climat, - surexposition au soleil : déshydratation
Plus en détailEtude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013
Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier
Plus en détailLe littoral des Bas-Champs (Picardie, France) soumis aux risques perpétuels d inondation
Le littoral des Bas-Champs (Picardie, France) soumis aux risques perpétuels d inondation JULIA BASTIDE 1, EDWARD ANTHONY 1, FRANCK DOLIQUE 2 1 GéoDal, EA 35 99-Université du Littoral Côte d Opale, 59 140
Plus en détailMETHODOLOGIE LE CAHIER EST UN OUTIL DE TRAVAIL, MIEUX IL SERA TENU, PLUS TU AURAS DE PLAISIR A L OUVRIR POUR RETRAVAILLER LE COURS
METHODOLOGIE I. Comment travailler et organiser son travail en histoire-géographie LE CAHIER EST UN OUTIL DE TRAVAIL, MIEUX IL SERA TENU, PLUS TU AURAS DE PLAISIR A L OUVRIR POUR RETRAVAILLER LE COURS
Plus en détailFonctionnement du système karstique en val d Orléans 2. La source le Bouillon au parc floral d Orléans La Source
Régionale Orléans Tours Visualiser cette sortie dans Google Earth Fonctionnement du système karstique en val d Orléans 2. La source le Bouillon au parc floral d Orléans La Source Position géographique
Plus en détailISOLER LA TOITURE INCLINÉE
Lisez aussi : Fiche 1 INTRODUCTION + Fiche 2 MAÎTRISER L ÉTANCHÉITÉ ET PROTÉGER L ISOLANT + Fiche 10 AMÉLIORER LA VENTILATION RÉNOVER POUR CONSOMMER MOINS D ÉNERGIE : GUIDE PRATIQUE ISOLER LA TOITURE INCLINÉE
Plus en détailFiche technique CONSTRUCTION D UNE LAVOGNE SUR LA COMMUNE DE COLLIAS
Fiche technique CONSTRUCTION D UNE LAVOGNE SUR LA COMMUNE DE COLLIAS Lavogne : abreuvoir pour les troupeaux établi sur une couche d'argile imperméable. Naturelles à l'origine, elles sont souvent empierrées
Plus en détailFiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti
.0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des
Plus en détailLPP SAINT JOSEPH BELFORT MODE OPERATOIRE ACTIVINSPIRE. Bonne utilisation à toutes et tous! UTILISATION DES TBI LE LOGICIEL ACTIVINSPIRE
LPP SAINT JOSEPH BELFORT MODE OPERATOIRE ACTIVINSPIRE Utilisation des TBI UTILISATION DES TBI LE LOGICIEL ACTIVINSPIRE T B utoriel de base, ce mode d emploi a pour objectif de vous présenter les principales
Plus en détailMuret Laurentien MC. Classique et Versatile
Muret Laurentien MC Classique et Versatile Le muret Laurentien par son look classique s agence à toutes nos gammes de pavé. Qualités et caractéristiques Intégration particulièrement harmonieuse du muret
Plus en détailINFOFICHE EB001 NETTOYAGE ET ENTRETIEN DES PAVÉS ET DES DALLES DE RUE EN BÉTON
EBEMA NV Dijkstraat 3 Oostmalsesteenweg 204 B-3690 Zutendaal B -2310 Rijkevorsel T +32(0)89 61 00 11 T +32(0)3 312 08 47 F +32(0)89 61 31 43 F +32(0)3 311 77 00 www.ebema.com www.stone-style.com www.megategels.com
Plus en détail4.2 C.C.T.P. GROUPE SCOLAIRE LES GENETS RENOVATION DES SANITAIRES INTERIEURS. Cahier des Clauses Techniques Particulières LOT 2 : PLOMBERIE
MAITRE D OUVRAGE / MAITRE D OEUVRE : VILLE DE NICE DIRECTION GENERALE DES SERVICES TECHNIQUES, DE L AMENAGEMENT, DES TRAVAUX, ET DU DEVELLOPEMENT DURABLE DIRECTION DES BATIMENTS COMMUNAUX SERVICE MAINTENANCE
Plus en détailPrésenté par : Dr Asmae Nouira. Novembre Hanoi -2007. Journées Scientifiques Inter-Réseaux AUF
Efficacité du semis direct à contrer l érosion hydrique en milieu agricole : mise en évidence à l'aide des techniques de radioéléments, de modélisation et de mesures aux champs (MAROC-CANADA) Présenté
Plus en détailNi tout noir, ni tout blanc Consignes Thème I - Observer
Ni tout noir, ni tout blanc Consignes Thème I - Observer BUT : Etudier les synthèses additives et soustractives Comprendre la notion de couleur des objets COMPETENCES : Rechercher et trier des informations
Plus en détailLes probabilités. Chapitre 18. Tester ses connaissances
Chapitre 18 Les probabilités OBJECTIFS DU CHAPITRE Calculer la probabilité d événements Tester ses connaissances 1. Expériences aléatoires Voici trois expériences : - Expérience (1) : on lance une pièce
Plus en détailÉtude de la carte de Vézelise. Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique
Étude de la carte de Vézelise Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique Double objectif de la séance Étude d un paysage lorrain de côte Apprentissage de la lecture du relief sur une
Plus en détailVoile à l école : développer le sens marin
Voile à l école : développer le sens marin Météo Activités possibles Sujets d étude Compétences visées Dans le centre nautique Pour et à l école Température Nuages Bulletin météo Différencier la température
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailInstallez votre paroi remplie Zenturo et Zenturo Super pour un beau mur décoratif
Installez votre paroi remplie Zenturo et Zenturo Super pour un beau mur décoratif Lors de l installation de la clôture Zenturo ou Zenturo Super en tant que mur décoratif, vous devez tenir compte de quelques
Plus en détailPassons aux épreuves pratiques : Après avoir défini le terme «Fossile», nous passons à leur observation à la loupe binoculaire.
Du Saucats au Lissandre : Une histoire d eau Projet mené par des cinquièmes du Collège Paul Emile Victor de Branne. Dès notre arrivée, nous découvrons un musée et tentons de définir le terme «Réserve»
Plus en détailAteliers «mobiles» en GS Initiés par Sylvie Benest
Ateliers «mobiles» en GS Initiés par Sylvie Benest Professeure des écoles GS, école maternelle Suzanne Kleiber Circonscription de Tours-centre D un usage libre de Montessori initiative autonomie «Des tiroirs
Plus en détailInrap / Les étapes de l archéologie préventive
Les étapes de l archéologie préventive LE DIAGNOSTIC Lorsque l on aménage un terrain à des fins publiques ou privées (pour construire une route ou un immeuble par exemple), le sol est remanié. Bien avant
Plus en détail2x 9 =5 c) 4 2 x 5 1= x 1 x = 1 9
Partie #1 : La jonglerie algébrique... 1. Résous les (in)équations suivantes a) 3 2x 8 =x b) Examen maison fonctions SN5 NOM : 2x 9 =5 c) 4 2 x 5 1= x 1 x d) 2 x 1 3 1 e) x 2 5 = 1 9 f) 2 x 6 7 3 2 2.
Plus en détailProblèmes sur le chapitre 5
Problèmes sur le chapitre 5 (Version du 13 janvier 2015 (10h38)) 501 Le calcul des réactions d appui dans les problèmes schématisés ci-dessous est-il possible par les équations de la statique Si oui, écrire
Plus en détail1. Titre du contrat. (si les travaux de montage se font en plusieurs tranches, indiquer quelle est la tranche ou les tranches à assurer)
FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE ASSURANCE TOUS RISQUES MONTAGE - ESSAI 1. Titre du contrat (si les travaux de montage se font en plusieurs tranches, indiquer quelle est la tranche ou les tranches à
Plus en détailLa base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace
3 outils complémentaires pour connaître les sols en Alsace La base de données régionale sur les sols d Alsace Le guide des sols d Alsace La base de données régionale sur les sols Le réseau de mesure de
Plus en détailISOLER LES MURS PAR L EXTÉRIEUR
Lisez aussi : Fiche 1 INTRODUCTION + Fiche 2 MAÎTRISER L ÉTANCHÉITÉ ET PROTÉGER L ISOLANT + Fiche 10 AMÉLIORER LA VENTILATION RÉNOVER POUR CONSOMMER MOINS DÉNERGIE : GUIDE PRATIQUE ISOLER LES MURS PAR
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailVII Escaliers et rampes
VII Escaliers et rampes 1. Généralité et terminologie des escaliers Les escaliers permettent de franchir une dénivellation et de relier les différences de niveaux d une construction ou d un jardin. A son
Plus en détailRampes, marches et escaliers
Rampes, marches et escaliers Marches et escaliers représentent un obstacle à la mobilité de nombreuses personnes, même si certaines solutions techniques telles que mains courantes et paliers - permettent
Plus en détailGUIDE PRATIQUE DE L INDEXEUR : LES PRINCIPES DE L INDEXATION COLLABORATIVE
GUIDE PRATIQUE DE L INDEXEUR : LES PRINCIPES DE L INDEXATION COLLABORATIVE Qu est-ce que l indexation ou annotation- collaborative? Ce procédé permet aux internautes de participer directement à l indexation
Plus en détail- Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants - Lecture de textes documentaires
Titre de l atelier : Les vers de terre Domaines d activité Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants Lecture de textes documentaires Motsclés Vers de terre Vie du sol Compétences
Plus en détailAugmentation de la portance des pieux existants du Data Center à Pantin Serge Lambert
Augmentation de la portance des pieux existants du Data Center à Pantin Serge Lambert www.keller-france.com Keller Fondations Spéciales 1 Présentation du projet Avenue du Général Leclerc Data Center de
Plus en détailBACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE STD ARTS APPLIQUÉS
BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE STD ARTS APPLIQUÉS SESSION 2014 ÉPREUVE : PHYSIQUE-CHIMIE Durée : 2 heures Coefficient : 2 La calculatrice (conforme à la circulaire N 99-186 du 16-11-99) est autorisée. La clarté
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détailStyrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.
Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale
Plus en détailPORTFOLIO ETUDES D ARCHITECTURE LOUISE LEONARD
PORTFOLIO ETUDES D ARCHITECTURE LOUISE LEONARD Mail : leonardlouisearchitecte@yahoo.fr Site Web : www.leonardlouisearchitecte.sitew.com BI-CURSUS, DESS, MATERIAUX POUR L ARCHITECTURE 2003-2004 École d
Plus en détailMes premiers diaporamas avec Open Office Impress?
Mes premiers diaporamas avec Open Office Impress? Courage! Tu vas y arriver 1 Sommaire I. Les bons gestes avant de lancer Open Office (page 3) II. Créer un dossier Open Office. (page 4) III. Les 5 zones
Plus en détailLivret fiches méthodes SVT
Livret fiches méthodes SVT NOM : Prénom : _ 6 ème 5 ème 4 ème 3 ème Le livret de SVT contient : * les fiches méthodes pour l apprentissage de compétences développées en SVT, et adaptées au niveau de l
Plus en détailaccessibilité des maisons individuelles neuves
accessibilité des maisons individuelles neuves Conseil d Architecture, d urbanisme et de l environnement du Gard 2012 Depuis la loi de Février 2005, toutes les constructions neuves de type logement individuel
Plus en détail2012-2013 GRAND CONCOURS. des jeunes reporters. Pour les 8-10 ans. Photos : Istockphoto. Remise des prix le. Les mammifères marins!
2012-2013 GRAND CONCOURS des jeunes reporters Pour les 8-10 ans Photos : Istockphoto Les mammifères marins! Remise des prix le 23 MARS 2013 au Tu adores la nature et les animaux? Tu veux protéger les baleines
Plus en détailUTILISATION D'UN RADIOCHRONOMETRE POUR DATER DES GRANITES
Fiche sujet-candidat Les géologues s interrogent sur la chronologie de mise en place de deux granites du Massif Central. On cherche à savoir si une méthode de radiochronologie permettrait de déterminer
Plus en détailLe coin du vide 2014 Dessin, Vidéo, Photo, Jumelles
Yukari Hara À travers des gestes simples comme regarder une autre direction, lancer une chaussure ou passer d une pièce à une autre, je m interroge sur ma place dans l espace et le temps où je suis. Je
Plus en détail