LES PROGRAMMES DE TRANSFERT MONÉTAIRE EN SITUATION D'URGENCE

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1 LES PROGRAMMES DE TRANSFERT MONÉTAIRE EN SITUATION D'URGENCE LES 5 e ACTIVITÉS D'APPRENTISSAGE MONDIALES DU CASH LEARNING PARTNERSHIP Analyse de marché, nouvelles technologies et interventions à grande échelle novembre 2011, Nairobi, Kenya RAPPORT FINAL

2 SOMMAIRE Contexte... 3 Objectifs... 4 Programme... 4 Enseignements mondiaux et régionaux... 5 Les nouvelles technologies dans les programmes humanitaires d argent et de coupons... 5 L'analyse de marché dans les programmes de transfert monétaire... 7 Réaliser des transferts monétaires et de coupons en situation d'urgence, à grande échelle... 8 Conclusion... 9 Évaluation des activités d'apprentissage Annexes Annexe 1 : Programme Annexe 2 : Participants P a g e

3 CONTEXTE Ces activités d'apprentissage ont été organisées par le Cash Learning Partnership (CaLP) en partenariat avec la Fédération internationale des sociétés du comité international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FISCR), et elles ont été subventionnées par la Direction générale de l'aide humanitaire et de la protection civile (DG ECHO) et par Visa Inc. À propos du Cash Learning Partnership Le Cash Learning Partnership vise à améliorer la qualité des transferts monétaires et de coupons en situation d'urgence à travers tout le secteur humanitaire. Conçu, à l'origine, dans l'optique de tirer les enseignements de l'intervention d'urgence suite au tsunami de 2005, le CaLP est aujourd'hui composé d'oxfam GB, de la Croix-Rouge britannique, de Save the Children, du Conseil norvégien pour les réfugiés et d'action contre la Faim/ACF International. Ces cinq organisations membres du comité de pilotage se sont unies afin de soutenir le renforcement des capacités, la recherche et le partage d'informations, dans le domaine des programmes de transfert monétaire, en prenant ce type d'action comme un outil efficace de mise en œuvre de l'aide humanitaire en temps de crise. En 2010, le CaLP s'est associé à la Fédération internationale des sociétés du comité international de la Croix- Rouge et du Croissant-Rouge (FISCR) afin d'accroître son soutien envers une meilleure compréhension et un meilleur emploi des programmes de transfert monétaire adéquats. Dans le cadre de sa mission de promotion du partage des connaissances, le CaLP a organisé cinq sessions d'activités d'apprentissage sur les programmes de transfert monétaire en situation d'urgence. Les quatre événements précédents se sont déroulés à Londres (2009), à Genève (2010), à Washington (2010) et en Thaïlande (2011). Les activités d'apprentissage mondiales constituent, pour les professionnels humanitaires, une occasion de se réunir pour débattre, discuter et partager leurs expériences en matière de transfert monétaire. Le but est de contribuer à une préparation et à des interventions humanitaires qui soient plus efficaces pour satisfaire les différents besoins des personnes affectées par des catastrophes et pour assurer la promotion du relèvement. Les 5 e activités mondiales d'apprentissage ont constitué un forum qui permettait de rassembler des organisations humanitaires, des chercheurs et des bailleurs de fonds afin qu'ils puissent réseauter et partager leurs preuves, leurs outils ainsi que leur expérience du terrain, dans le domaine des programmes de transfert monétaire. Ces activités ont compté plus de 80 participants. La communauté des ONG ainsi que le Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge étaient particulièrement bien représentés, et l'on a également recensé des représentants des agences de l ONU, du secteur privé et des bailleurs de fonds. Cet événement a été l'occasion de rassembler des participants aux responsabilités diverses, notamment : des cadres supérieurs, des responsables de l'élaboration des politiques générales, des analystes, ainsi que des membres du personnel des programmes, mais aussi des finances et de la logistique. Tandis que la plupart des participants avaient déjà eu une expérience en programmes de transfert monétaire, plusieurs d'entre eux étaient relativement peu expérimentés dans l utilisation de cet outil ; toutefois, ils étaient impatients d'en apprendre plus. Voir l'annexe 2 pour la liste complète des participants. 3 P a g e

4 Bien que ces activités rentrent dans le domaine des meilleures pratiques internationales, elles revêtent malgré tout une forte identité régionale. Le calendrier et la situation de cet événement étaient particulièrement adéquats. L'importante expérience régionale récemment acquise dans la Corne de l'afrique, lors de l'utilisation de transferts monétaires et de coupons pour intervenir face à la crise, a permis d'enrichir ces 5 e activités mondiales d'apprentissage. Alors que l'intervention d'urgence se poursuit, les débats ont également contribué à la conception et à la mise en œuvre des interventions d'urgence. OBJECTIFS Le but général de la réunion était de «constituer, pour les professionnels humanitaires, une occasion de se réunir pour débattre, discuter et partager leurs expériences en matière de transfert monétaire en situation d'urgence». Ce but a été précisé à l'aide des objectifs suivants : promouvoir un usage adéquat des programmes de transfert monétaire (au niveau de la région) : en partageant les preuves, les outils et l'expérience (notamment les recherches du CaLP) ; en préconisant l utilisation des programmes de transfert monétaire par les décideurs ; ainsi qu'en promouvant et en animant des actions collaboratives de soutien envers les programmes de transfert monétaire, parmi la «communauté de pratique» régionale. promouvoir la sensibilisation au partenariat CaLP et à l'usage des services fournis par les parties prenantes. encourager les parties prenantes régionales à émettre des commentaires afin de peaufiner la stratégie ainsi que les activités du CaLP. PROGRAMME Le programme comportait volontairement un nombre de thèmes restreint. Une grande partie de ce programme était structurée autour de trois problématiques clés, qui ont été au centre des récents débats au sujet des transferts monétaires. Ces thèmes étaient les suivants : nouvelles technologies et PTM ; analyse de marché ; et préparation à la réalisation de transferts monétaires à grande échelle. Chacune des sessions a bénéficié des résultats provenant des recherches mondiales en cours, commanditées par le CaLP 1. Ces résultats ont été complétés et contextualisés par des études de cas plus approfondies. Un résumé de chaque session est disponible ci-dessous et le programme complet est cité dans l'annexe 1. 1 Le CaLP finance également un document de recherche sur les programmes de transfert monétaire dans des contextes urbains. 4 P a g e

5 Les commentaires émis à propos des activités organisées à Bangkok ont permis de tirer des enseignements et ils sont à l'origine d'un effort conscient visant à adopter un format participatif et interactif. Ce dernier est conçu de telle sorte que les présentations soient pondérées par des temps de partage de connaissances et de réseautage formels et informels adéquats. Les présentations en séance plénière étaient intercalées avec des créneaux réservés au réseautage. Les tables rondes ont permis d'examiner des problématiques controversées au sujet de l utilisation des transferts monétaires dans les opérations humanitaires. De plus, des discussions en petits groupes structurés ont été utilisées pour définir les prochaines étapes de l'institutionnalisation des transferts monétaires dans les stratégies régionales et mondiales. Ce format mixte semble avoir été efficace pour satisfaire les attentes des participants. Enseignements mondiaux et régionaux Cette réunion a débuté par des introductions de la part de la FISCR et du CaLP. Cela a permis de rappeler au public régional les services de soutien disponibles à l'échelle mondiale, principalement dans le domaine du renforcement des capacités, de la recherche et du maintien d'une communauté de pratique. S'en suivirent des présentations du statut des programmes de transfert monétaire au niveau mondial (par l'odi) et au niveau régional (par le point focal CaLP). Une première discussion a permis de reconnaître que le dialogue a progressé d'un débat initial sur la validité même des distributions de l argent, vers une acceptation générale de leur valeur ajoutée. Cela a mené à une seconde étape dans le dialogue, qui portait sur les pré-requis pour l'utilisation des transferts monétaires. Cette réunion a vu émerger la suggestion que l'on avance désormais au-delà du débat initial et qu'on le recentre sur l'amélioration de la qualité des programmes, sans distinction de la modalité de transfert employée parmi celles disponibles. La réflexion sur l'analyse générale était renforcée par cette étude de la situation régionale. De grands progrès ont pu être constatés en termes d'échelle des PTM et de diversité des objectifs, ces derniers allant au-delà d'une thématique centrée sur l'alimentation ou sur les moyens de subsistance. Les principaux défis actuels qui ont été identifiés portaient sur le besoin d'une meilleure coordination, d'une meilleure compréhension du moment opportun pour employer les PTM et d'un travail de plaidoyer renforcé. Les nouvelles technologies dans les programmes humanitaires d argent et de coupons Les dernières décennies ont vu se développer rapidement toute une gamme de nouvelles technologies qui ont le potentiel de faciliter la mise en œuvre de l'aide humanitaire. Ces progrès, et en particulier les changements fondés sur la programmation, l'encodage, le transfert, la gestion et l'analyse des données, sont de plus en plus présents au niveau mondial et représentent une ressource de plus en plus viable pour le travail humanitaire, même dans les environnements les plus difficiles. 5 P a g e

6 Les programmes de transfert monétaire ont été au premier plan pour intégrer l'utilisation des nouvelles technologies par des mécanismes de transfert électronique dans un but de distribution de l argent et de coupons. Une première présentation faite par VISA International a souligné l'intérêt croissant du secteur privé pour un travail orienté vers les groupes non bancarisés de la population. La valeur ajoutée du secteur privé est évidente dans le soutien aux mécanismes efficaces de réalisation des programmes monétaires. Malgré tout, il reste encore à examiner les questions plus difficiles qui concernent le degré de chevauchement ainsi que les divergences entre le programme du secteur humanitaire et celui du secteur privé. Un dialogue continu entre ces parties prenantes est nécessaire. Une série de progrès technologiques a le potentiel d'influencer tout le cycle de projet. Par exemple, de récentes avancées en matière de nouvelles technologies ont également contribué à la définition des besoins, au processus d'enregistrement, au suivi, à l'évaluation et à une redevabilité améliorée, ainsi qu'à l'apprentissage des enseignements du passé. Cette réunion a constitué un forum servant à montrer une sélection de nouvelles technologies parmi les plus prometteuses. Les participants avaient la possibilité de s'informer, à partir d'études de cas, sur l'application de ces technologies, ainsi que de tester certains de ces outils de façon directe et pratique. Un salon des technologies a introduit un certain nombre d'innovations en lien avec différents stades du cycle de projet : l'utilisation d'applications SMS pour l'évaluation des besoins (Frontline SMS) ; les systèmes d'enregistrement électronique, notamment «Last Mile Mobile Solution» (WVI) ; les distributions d argent grâce aux téléphones portables (Safaricom) ; les distributions d argent via le système bancaire (Equity Bank) ; les coupons pour téléphones portables (Frontline SMS) ; le suivi via des stylos numériques (UNICEF) 2. Une présentation des recherches du CaLP a ensuite montré un examen rigoureux des preuves, des défis et des opportunités concernant l'adoption de ces technologies. La conclusion générale a été très positive : les nouvelles technologies ont eu un fort impact positif sur l'optimisation et l'efficacité de l'aide, tout en réduisant les possibilités de corruption et de détournement. Toutefois, plusieurs contraintes relatives à l'adoption de ces technologies ont été définies ; elles concernent souvent les processus plutôt que les technologies en elles-mêmes, comme par exemple le manque de connaissances sur les nouvelles possibilités au sein des organisations. D'autres questions portaient, d'une part, sur les risques et impacts majeurs possibles suite à l'intégration des nouvelles technologies dans les programmes, entre autres, en termes de législation sur la vie privée ; et d'autre part, sur les conséquences sociales de l'introduction, chez les bénéficiaires, de ces technologies qui leur sont inconnues. La technologie présente toutefois, elle aussi, des limites et 2 Voir pour télécharger le plan de suivi et d'évaluation, ainsi que la gamme complète d'outils développés par l'odi dans le cadre de cette initiative. 6 P a g e

7 l'accès à ces innovations ainsi que leur portée restent des contraintes dans de nombreux contextes d'urgences. L'une des principales contraintes pratiques semble être l'importance des coûts initiaux associés à l'adoption de nouvelles technologies. Même si ces dernières entraînent souvent une optimisation des coûts à moyen, voire à long terme, le financement par le biais de bailleurs de fonds sert habituellement à réduire les coûts à court terme. Par conséquent, l'utilisation des technologies innovantes requiert des dispositions de travail qui sont elles-mêmes innovantes, notamment des façons de travailler plus collaboratives. De la même manière, les technologies ne sont rien de plus qu'un outil, elles ne constituent pas une fin en soi. L'attention devrait surtout être portée aux besoins des bénéficiaires. L'analyse de marché dans les programmes de transfert monétaire Afin de sélectionner la forme d'aide la plus appropriée (intervention avec des distributions en nature, d argent ou autres), les organisations mettant en œuvre des interventions doivent appréhender les capacités des marchés locaux. Ces organisations doivent savoir si les pré-requis des marchés sont en place, prêts à appuyer la forme de distribution choisie, et elles doivent également anticiper l'impact des distributions à grande échelle sur ces marchés. Mais tandis qu'un consensus émerge au sujet de ce principe, les détails concernant la manière la plus adaptée de conduire cette analyse sont moins clairs. Cette session a permis aux différents acteurs de tirer des enseignements à partir des analyses de marché qui portaient sur divers programmes récents de transfert monétaire. Cela a également permis d'étudier une partie de la controverse inhérente à l'évaluation de marché, ainsi que de souligner les meilleures pratiques visant à s'assurer que l'analyse de marché contribue aux programmes fondés sur les besoins. La session a débuté par une présentation des recherches en cours du CaLP, qui étudiaient les outils et méthodologies d'évaluation de marché disponibles, ainsi que le rôle que joue l'analyse de marché lors des étapes critiques des interventions fondées sur les transferts monétaires. Cette session a présenté les principes fondamentaux des marchés et de l'évaluation de marché. Puis, les usages de l'évaluation de marché ont été exposés, ainsi que la manière dont cette analyse est reliée à la prise de décision. Bien que des applications existent à travers le cycle de programme, la discussion était principalement centrée sur le processus d'analyse des interventions : comment faire le choix initial entre les différentes formes de transfert de ressources? Les recherches portaient également sur les défis actuels de l'institutionnalisation des évaluations de marché. Comment l'analyse de marché peut-elle être mieux intégrée dans les systèmes d'information humanitaires existants? Le CaLP s'est engagé à commanditer à ce sujet des recherches plus poussées, qui déboucheraient sur des outils pratiques d'intégration des recherches de marché dans les transferts d'urgence. Ce processus de consultation a apporté d'importantes contributions à la conception de la phase de recherches suivante. Cette perspective mondiale a été complétée par des études de cas portant sur les expériences régionales récentes en matière d'analyse de marché, sur la manière dont ce type d'analyse a été mené et utilisé (ou non), et sur les principaux enseignements tirés. Il était question, entre autres, de 7 P a g e

8 l'expérience de Mercy Corps dans l'application des évaluations EMMA au Kenya et au Soudan, ainsi que du travail de la FSNAU et de FEWS NET en Somalie, dans le domaine de l'analyse de marché à l'échelle nationale. Les présentations et les discussions ont été suivies d'un temps de travail en groupes visant à définir les étapes suivantes dans l'institutionnalisation des évaluations de marché en Somalie, au Kenya ainsi que de façon plus générale. Il a été conclu, de manière globale, qu'il existait un besoin d'aborder beaucoup plus tôt la faisabilité des interventions fondées sur les transferts monétaires. Les mécanismes de partage d'informations sont actuellement incohérents. On observe un fort besoin d'établir une base collective forte pour l'évaluation et l'analyse. Sur le plan technique, il manque un outil d'évaluation synchronisée, de même qu'un cadre de travail pour une analyse de marché holistique portant sur de multiples secteurs. Il était évident qu'une compréhension sophistiquée des marchés existe bien dans cette région. La mesure dans laquelle cette analyse avait influencé la prise de décision était, en revanche, moins évidente. L'une des lignes de discussion, par conséquent, consistait à définir nos besoins minimum d'information et à éviter une complexité excessive dans l'analyse de marché. De plus, d'autres questions influaient sur la prise de décision au sein des organisations, notamment : les questions de mandats, les niveaux de tolérance aux risques (inflation, sécurité, etc.) et les capacités actuelles de réalisation des PTM. L'analyse des interventions est un processus plus complexe que ne l'est l'analyse de marché seule. Le format et les responsabilités institutionnelles de ce processus complet restent tous deux à définir. Réaliser des transferts monétaires et de coupons en situation d'urgence, à grande échelle Le secteur humanitaire reconnaît de plus en plus le fait que les transferts monétaires et de coupons peuvent soutenir les populations affectées par des catastrophes sans dégrader leur dignité humaine, en leur fournissant un accès à la nourriture et à un abri, et en les aidant à reconstruire ou à protéger leurs moyens de subsistance. Comme l'indique la dernière Revue des bonnes pratiques de l'odi, la question n'est plus de savoir si l argent est un moyen adéquat de répondre aux besoins des personnes accablées par une crise, mais plutôt comment les organisations, les bailleurs de fonds et les gouvernements peuvent employer au mieux les transferts monétaires. Le défi pratique consiste à considérer les transferts monétaires non pas comme une activité pilote mais comme une option envisagée de façon systématique et pouvant être employée à grande échelle. Cette session a permis d'examiner l'étendue de la préparation parmi les bailleurs de fonds humanitaires, agences de l ONU, ONG et gouvernements clés en vue de mettre en oeuvre les programmes de transfert monétaire à grande échelle en situation d'urgence. Des recherches du CaLP ont été présentées à cette occasion ; elles portaient sur la préparation du secteur à la mise en œuvre des programmes de transfert monétaire à travers une étude des outils, principes directeurs, systèmes, procédures et capacités des acteurs principaux. L'étude menée à l'échelle mondiale a été complétée par une table ronde qui regroupait les parties prenantes clés (ONG, agences de l ONU et bailleurs de fonds) pour un débat sur l'expérience vécue par chacune en s'efforçant d'employer les transferts monétaires à grande échelle en réaction à la 8 P a g e

9 récente crise régionale. La table ronde comprenait des représentants de WFP, de la FISCR, de Horn Relief et de la DG ECHO. De multiples contraintes et, par là-même, des solutions possibles, ont été définies. La prévention des risques demeure une importante thématique sous-jacente avec un conservatisme inhérent qui est, dans l'ensemble, explicitement présent, ce qui va souvent à l'encontre des preuves existantes. Il est nécessaire d'expliciter les paliers de risques. On observe que les attitudes restent critiques envers l'utilisation des PTMs par les parties prenantes clés, notamment par les gouvernements et les bailleurs de fonds. De nombreuses politiques sont encore, de façon implicite, opposées aux transferts monétaires et elles doivent être réexaminées. Il est nécessaire d'élaborer des directives pratiques, par exemple en mettant en place des procédures opérationnelles standard ainsi que des procédures administratives associées, dans le but d'adapter l'utilisation des PTMs. D'autres mesures de préparation sont également à prévoir, telles que le renforcement des capacités techniques nécessaires. L'un des exemples mentionnés était celui de pré-accords avec les fournisseurs de services, tels que les banques et les sociétés de téléphonie mobile. Le manque de systèmes d'information et d'analyse se fait ressentir, et cela est vrai quelle que soit la forme de transfert. Il faut de la coordination, encore et toujours de la coordination. De vraies opportunités de relier les transferts d'urgence à une protection sociale à long terme sont apparues. Des recommandations ont été émises concernant les éléments qui nécessitent encore des solutions en vue d'améliorer les interventions à grande échelle fondées sur les transferts monétaires. On attend un processus de réflexion sur ces points, dans l'optique de contribuer aux actions futures des participants et des organisateurs. En fin de compte, la décision relève souvent d'une capacité de direction et même du courage individuel. Ceux qui sont chargés de la prise de décision seront-ils disposés à prendre les risques nécessaires? CONCLUSION De façon générale, la conclusion est que cet événement a bel et bien permis d'atteindre les principaux objectifs fixés. Il a promu et renforcé les actions collaboratives en faveur des programmes de transfert monétaire parmi les communautés de pratique mondiales et régionales. Les résultats spécifiques à ces activités ont également permis de contribuer aux domaines où un manque de recherches, de directives et de développement des capacités se fait ressentir. De plus, cela constituait l'occasion de rappeler à quel point certains aspects des pratiques humanitaires sont dynamiques. 9 P a g e

10 Les principales «conclusions» de l'événement, récapitulées dans le résumé final, comprenaient un certain nombre d'observations essentielles. Premièrement, le débat général devrait être formulé au sein d'un objectif global de promotion de la forme d'aide la plus adéquate et opportune. L'objectif n'est pas de «faire de la pub» aveuglément pour les transferts monétaires sans tenir compte du contexte. Comme l'indiquait la présentation de l'odi, le débat sur les transferts monétaires a rapidement progressé ces dernières années. Sans rentrer dans les détails, il n'est plus question de savoir si l argent est une forme d'intervention valide, puisqu'un grand nombre de preuves démontrent que, dans le bon contexte, il constitue un mécanisme de transfert rentable et efficace lors des interventions. Bien qu'au niveau individuel, notamment en dehors du secteur de l'alimentation et des moyens de subsistance, cette question se pose toujours, le débat principal a évolué. Il est clair que, dans le contexte de ces activités, le défi majeur qui a été abordé était de s'assurer que l'option de l argent est envisageable et de savoir comment garantir que les pré-requis sont en place afin d'en faire une alternative réalisable dans les contextes adéquats. De plus, on a remarqué que cela se résume habituellement aux problématiques fondamentales concernant la qualité des programmes. Les transferts monétaires ont sonné l'alarme : il est en effet nécessaire de garantir la redevabilité en respectant, de façon générale, des normes supérieures de qualité des programmes. Le programme de ces activités sur les transferts monétaires a mis en relief un nombre important de problématiques, qui ne sont toutefois pas spécifiques à ce domaine : la préparation aux urgences, l'analyse des modalités de transfert de ressources, les risques, les implications en termes de genre, le ciblage, l'impact et la redevabilité, etc. Par conséquent, on a reconnu un besoin collectif de passer d'un débat autour de ces problématiques qui serait centré sur les transferts monétaires, à un débat plus général à propos de la qualité des programmes. La façon dont on formule les problématiques est importante en soi. Cela fournit une occasion de faire le lien avec d'autres ressources contribuant au travail sur ces thèmes et d'en tirer avantage. Il est irréaliste, voire même contre-productif, de prévoir un programme trop étendu sous l'égide d'un réseau de transfert monétaire ; il est nécessaire d'élaborer un programme ciblé. La région a fourni des preuves du progrès important et rapide dans l'adoption de l utilisation des PTM, à la fois en termes de répartition au-delà du secteur de l'alimentation et des moyens de subsistance, et en termes d'échelle. De nombreux exemples provenant de cette région et au-delà ont été présentés ; ils ont prouvé l utilisation des PTMs à grande échelle, notamment lorsque le gouvernement soutien ce type d'intervention. L'un des enseignements clés est que nul obstacle à l utilisation des PTM à grande échelle n'est insurmontable. Cependant, de la même manière, il a souvent été rappelé que ces exemples restent l'exception plutôt que la norme. Les transferts monétaires demeurent relativement minoritaires dans l'ensemble des interventions humanitaires, ils restent ainsi une opportunité sous-utilisée. La réunion a permis de définir les différentes problématiques qui sous-tendent cette situation. Les opportunités et défis majeurs ont été regroupés comme suit : 10 P a g e

11 Plaidoyer Des progrès significatifs et concrets sont à signaler dans le travail de plaidoyer réalisé en faveur de l utilisation des PTMs. Toutefois, des efforts restent à fournir. On a mentionné, lors de la réunion, un besoin permanent de changement dans la «culture» humanitaire. Tandis que les PTM sont de mieux en mieux acceptés dans certains secteurs, tels que l'alimentation, les moyens de subsistance et l'abri, cela est beaucoup moins le cas dans d'autres secteurs, tels que la santé. On observe également des différences saisissantes en termes d'attitude, entre les différentes agences de l ONU, ONG et organisations de bailleurs de fonds prises individuellement. Le défi consiste à développer une stratégie de plaidoyer plus pointue, avec des objectifs, cibles et messages plus clairs. Les opportunités mentionnées comprenaient : le plaidoyer à destination des bailleurs de fonds, visant à changer leur perception des risques associés à l utilisation des PTM et à décomposer les «doubles standards» des mesures d'atténuation des risques comparées aux projets qui emploient des ressources en nature ; le plaidoyer visant à encourager des lignes de conduite plus cohérentes dans les organisations, entre le siège et les bureaux sur le terrain ; et le plaidoyer visant à promouvoir le financement des coûts initiaux associés à l'adaptation des systèmes pour l utilisation des PTMs. Analyse et prise de décision Il existe un manque permanent d'information et d'analyse qui puissent soutenir la prise de décision concernant le contexte le plus propice à l utilisation des PTM, et le besoin en investissements plus importants se fait ressentir. Même lorsque les PTM sont utilisés, la base analytique sur laquelle repose cette décision souvent aussi obscure que les raisons sous-jacentes de l'emploi de ressources en nature. Les discussions menées au cours de ces activités d'apprentissage ont permis d'émettre un certain nombre de messages clairs. Le premier est qu'il ne s'agit pas d'une thématique spécifique aux PTMs. Le défi consiste à mettre en place des mécanismes en vue de guider le choix de la modalité de transfert de ressources la plus adéquate. Il est nécessaire d'apporter des changements dans les processus en les introduisant comme des normes à suivre et non pas seulement comme des mesures accompagnant les PTM. On a observé un grand pas en avant dans l'analyse de marché, dans la région. Dans plusieurs pays, ce n'est plus considéré comme un facteur contraignant pour la prise de décisions réfléchies. Les développements positifs dans l'analyse de marché (toujours dans cette région) mais n'ont pas systématiquement été traduits en une meilleure analyse des interventions. Il a même été suggéré que l'on investit parfois dans des formes d'analyse inutilement compliquées, en comparaison avec les besoins de la prise de décision. On a identifié une faille particulière : il existe en effet du besoin de pouvoir mener une analyse rapide et sommaire afin de contribuer à la prise de décision intervenant immédiatement après la survenue d'une catastrophe. En somme, il a été conclu que l'analyse de marché est nécessaire, sans être suffisante pour s'assurer de décisions réfléchies à propos des programmes. On ne peut se permettre d'être étroit d'esprit en supposant qu'une meilleure compréhension des marchés est suffisante alors que l'on continue souvent d'opérer avec une gamme restreinte de possibilités d'intervention. 11 P a g e

12 Nouveaux partenariats L utilisation des PTM souligne le besoin de s'engager dans de nouveaux partenariats. Le déploiement critique de solutions high-tech exige un dialogue entre la communauté humanitaire et le secteur privé. Et ce n'est que le commencement. Les points de départ et les objectifs des deux groupes de parties prenantes sont très différents. Tandis que les intérêts des humanitaires sont en accord avec les personnes marginalisées au niveau économique, politique et social, le secteur privé concentre traditionnellement son travail sur les strates les plus riches de la société. On observe, toutefois, un chevauchement croissant des intérêts des groupes clients avec ceux des personnes marginalisées et l'émergence de fondements de la coopération. Cette nouvelle relation apporte de formidables opportunités mais aussi des risques importants. On reconnaît que les programmes des uns et des autres sont différents, avec, malgré tout, des intérêts communs. Alors que des progrès de taille ont été observés dans le rassemblement des communautés, cette réunion en est un exemple, il y a un besoin évident de dialogue approfondi. Un autre domaine de partenariat existe entre les organisations humanitaires et les gouvernements. Il est évident que le soutien des gouvernements ou, du moins, leur non-opposition, est un pré-requis pour les PTM à grande échelle. L utilisation de l argent soulève souvent des questions sensibles de politique intérieure. On regrettait donc l'absence de responsables de l'élaboration des politiques générales dans le cadre de ce forum. Coordination La réunion soulignait en permanence que le fait qu'une meilleure coordination était impérative. Ce thème est revenu de façon continue au fil des discussions. Les différentes formes de coordination nécessaires ont été abordées, comme par exemple : la coordination ou le manque de coordination dans les problématiques liées à l argent, au sein des mécanismes existants de coordination sectorielle, notamment le système de clusters ; la coordination centrée sur les évaluations de marché et l'analyse des interventions ; le besoin d'une collaboration active (et d'une mise en commun des ressources) afin de surmonter les obstacles à l'investissement nécessaire pour établir les nouveaux systèmes indispensables à la réalisation des PTM ; la capitalisation sur le potentiel des PTMs à répondre à divers besoins à travers de nouveaux modèles de coordination intersectorielle ; La faiblesse des structures de coordination actuelles a été signalée à de nombreuses reprises. Cependant, cela a également été le cas pour des exemples de bonnes pratiques employées en vue d'établir des mécanismes de coordination efficaces, qui pourraient servir en tant que modèles futurs. La question essentielle reste celle de définir où doit résider la responsabilité quant à ces divers rôles et responsabilités de coordination. Le défi va au-delà de la coordination, vers une problématique d'attribution des responsabilités de direction. 12 P a g e

13 Préparation Différents orateurs ont souligné le défi irréaliste qui consiste à essayer d'adopter une approche radicalement différente (à savoir, celle des transferts monétaires) en plein milieu d'une crise. Cela a souligné le besoin d'anticiper et de se préparer à ce changement bien avant la crise elle-même. Un certain nombre d'opportunités de renforcement de la préparation ont émergé : le partage permanent des connaissances. La Grande Corne de l'afrique est un centre d'innovation mais il est clair que cela reste un défi permanent pour faire circuler ces informations, entre les organisations et même au sein de celles-ci. Les informations restent trop souvent retenues au sein des institutions. l'investissement dans les éléments fondamentaux tels que la compréhension préalable des marchés est essentielle à une analyse en temps opportun lors d'une crise. le renforcement des capacités est un défi permanent. Il y a peut-être eu quelques indications du fait que le manque absolu d'expertise en matière de transfert monétaire commençait à être atténué par des investissements en cours. Il faut espérer que l'on progresse désormais vers une phase d'entretien. Le principal défi à relever semble être celui de la généralisation de l'expertise en matière d argent, à travers des systèmes internes tels que l'administration, l'informatique, la logistique et les ressources humaines. on a reconnu l'importance de mettre en commun les ressources afin de réaliser les investissements préalables dans les nouvelles technologies, bien avant la crise. Liens avec une protection sociale à plus long terme Cette problématique est liée en de nombreuses façons au thème de la préparation. Un système de protection sociale bien établi, notamment lorsqu'il est fondé sur l argent, offre une base solide pour la mise en œuvre de l'aide humanitaire d'urgence. Les plans de protection sociale contribuent à établir des connaissances au sujet de la population à travers un pré-enregistrement, ce qui apporte aussi, souvent, une compréhension des vulnérabilités présentées à l'échelle du foyer. Les mécanismes de distribution sont déjà en place et ils peuvent être portés à une plus grande échelle en cas de catastrophe. Ces deux facteurs facilitent considérablement une intervention. Tandis que le potentiel de ces liens a été mentionné plusieurs fois, il manquait en revanche des exemples pratiques dans les discussions. Ce domaine pourrait être étudié plus en détail, notamment par le CaLP, car les barrières qui séparent l'aide humanitaire, la réhabilitation et le développement sont en train d'être réexaminées. Il s'agit d'un domaine offrant de nombreuses opportunités et qui gagne à être étudié de manière systématique. 13 P a g e

14 ÉVALUATION DES ACTIVITES D'APPRENTISSAGE Une annexe présentant l'ensemble des commentaires émis par les participants est jointe à ce rapport. Voici un résumé des principaux critères abordés dans les commentaires. Satisfaction et adéquation Haut degré de pertinence (sujet «Très pertinent» d'après 75 % des participants). Haut degré de satisfaction («Bien» pour 47 % des participants, «Très bien» pour 53 %). Les participants ont évalué les sessions suivantes comme étant les plus pertinentes (avec des notes relativement égales) : nouvelles technologies et PTM, évaluations de marché et déploiement des PTM à grande échelle. Très peu de sessions ont reçu une évaluation négative. Quelques commentaires à propos de certaines sessions liées au salon des technologies. Présentation et contenu Évaluation positive de la pertinence en termes de conception («Bien» pour 59 % des participants, «Très bien» pour 35 %). L'association des présentations, des sessions en groupes, des tables rondes, etc. a été appréciée. L'équilibre entre les présentations et les discussions a été évalué comme étant plus ou moins juste. La variété des orateurs et la qualité de leur performance ont été appréciées. L'investissement des fruits du travail contextuel (y compris les recherches du CaLP) dans l'élaboration du programme a été apprécié. La durée totale de l'atelier a été évaluée comme étant plus ou moins idéale. Organisation et animation L'organisation dans son ensemble a été applaudie. La variété et le niveau de compétences des participants ont été appréciés. Un point négatif : l'absence de représentants des gouvernements et de décideurs. Nombre de participants trop important. Animation bien réalisée, bon respect du temps alloué («Bien» pour 51 % des participants, «Très bien» pour 41 %). Le lieu accueillant les activités a généralement reçu une bonne évaluation, hormis en ce qui concerne la salle de conférence sans fenêtres. Principales suggestions pour les événements à venir Plus de contenu au sujet des évaluations de marché et des nouvelles technologies. Présenter la coordination sous ses différentes formes : clusters, évaluations, liens avec le secteur privé. Suivi, évaluation et redevabilité en lien avec les PTM. Partage des meilleures pratiques des agences. Convier les gouvernements à prendre part au dialogue. 14 P a g e

15 Une liste plus détaillée de suggestions a été apportée par les participants de manière individuelle (voir tableau ci-dessous). Suggestions pour les actions du CaLP à l'échelle mondiale/régionale. Poursuivre le rôle de facilitation du partage de connaissances. Promouvoir la coordination à différents niveaux, y compris avec le gouvernement. Poursuivre le renforcement des capacités à travers la formation, le conseil via des mentors, etc. Faciliter les mises en relation avec le secteur privé. 15 P a g e

16 ANNEXES Annexe 1 : Programme Jeudi 17 novembre 8h30 9h00 Enregistrement pour l'atelier 09h00 09h30 Discours de bienvenue de la Fédération internationale des sociétés du comité international de la Croix-Rouge et du Croissant- Rouge Discours de bienvenue et introduction du Cash Learning Partnership (CaLP) Introduction aux objectifs et au programme de l'atelier Réunions d'information administratives Alexander Matheou, directeur du bureau régional de la FISCR Nicolas Barrouillet, coordinateur CaLP Nick Maunder, animateur de la rencontre Holger Leipe et Miriam Grove, FISCR 9h30 10h30 Revue des bonnes pratiques par l'odi Sarah Bailey, Groupe chargé de la politique humanitaire (HPG)/ODI Expériences récentes en matière de transfert monétaire dans la Grande Corne de l'afrique : progrès et défis Glenn Hughson, CaLP Kenya Débat en séance plénière Pause café/thé 11h00 11h30 Nouvelles technologies et programmes de transfert monétaire Introduction au salon des technologies Ginger Baker, Solutions pour les marchés émergents, VISA Inc. Nick Maunder 11h30 Salon des nouvelles technologies (session 1) 16 P a g e

17 13h00 - Utiliser des applications SMS pour l'évaluation des besoins - Systèmes d'enregistrement électonique : «Last Mile Mobile Solution» - Distributions d argent par le biais de téléphones portables Nathan Wyeth, Frontline SMS Richard Lankas, World Vision International Kephers Otieno Ombewa, Safaricom Déjeuner 14h00 15h20 Salon des nouvelles technologies (session 2) - Distributions d argent par le biais du système bancaire Apphia Ndungu, Equity Bank - Coupons pour téléphones portables Nathan Wyeth, Frontline SMS - Crayons optiques et redevabilité Irene Alunni, UNICEF Pause café/thé 15h40 16h30 Présentation des recherches du CaLP sur les nouvelles technologies et les distributions d argent : risques et défis Débat en séance plénière et conclusion Ian MacAuslan, Oxford Policy Management 17 P a g e

18 Vendredi 18 novembre 9h00 11h00 Introduction au 2 e jour Présentation des recherches du CaLP sur les évaluations de marché dans le soutien aux PTM : dilemmes et enseignements Questions et réponses Nick Maunder Jessica Saulle, Save the Children Études de cas portant sur des évaluations de marché et les liens avec la prise de décision - Expérience à l'échelle des organisations, en matière d'évaluation de marché dans le soutien aux programmes : l'emma à Wajir - L'évaluation de marché et la prise de décision collective : le cas de la Somalie Débat en séance plénière Chloe Stull-Lane, Mercy Corps Grainne Moloney (FSNAU) et Abdullahi Khalif (FEWS NET) Pause café/thé 11h30 13h00 Exercices en groupes : le chemin vers l'évaluation de marché à l'échelle mondiale et régionale Résumé en séance plénière Nick Maunder Déjeuner 14h00 15h30 Présentation des recherches du CaLP sur la préparation aux transferts monétaires à grande échelle Mary Atkinson, Croix- Rouge britannique Tables rondes : perspectives des organisations au sujet de la préparation aux PTM à grande échelle - représentante d'une agence de l ONU Cheryl Harrison, PAM 18 P a g e

19 - représentante du MCR Heidi Gilert, FISCR - représentante des ONG Degan Ali, Horn Relief - représentante des bailleurs de fonds Sarah McHattie, DG ECHO 15h30 16h30 Conclusion : généraliser les transferts monétaires dans les interventions d'urgence Évaluation et fin de l'atelier Nick Maunder et Austin Davis (président du comité de pilotage du CaLP) Pause café/thé fin de la journée 19 P a g e

20 Annexe 2 : Participants Nom Intitulé de poste Organisation Lieu Huyen Tran ACF Kenya Wato Denge ACF Kenya coordinatrice argent American Refugee Angela Acosta contre travail Committee Somalie assistant de American Refugee Zahra Mohamed Ali programme Committee Somalie Beatrice Mugambe Nabajja partenaire Development Initiatives, DRT Uganda Development Initiatives Kenya Charles Lwanga-Ntale directeur de programme Development Initiatives Kenya Alexandra S. Guyetsky conseillère programme de Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture Nairobi Finbarr Sweeney conseiller mondial en moyens de subsistance Goal Irlande Mohamed Moallim Abukar-Ganey président organisation HARDO Somalie Agnes Shihemi Alexa Swift Anne-Marie Roy Schryer- coordinatrice de programme Horn Relief Nairobi chargée de programmes Horn Relief Nairobi chargée de communications Horn Relief Nairobi Gurudatta Shirodkar conseiller technique en suivi et évaluation Horn Relief Nairobi 20 P a g e

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