Définition du cancer. = Perte de contrôle de l organisme 2
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- Victor Guérin
- il y a 8 ans
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1 LE CANCER 1
2 Définition du cancer Prolifération de cellules jeunes dans un organe Prolifération autonome, non contrôlée Prolifération anarchique, désorganisée Prolifération indéfinie Prolifération invasive : locale, régionale, générale = Perte de contrôle de l organisme 2
3 3
4 Cancer du sein 4
5 Mode de prolifération et d extension Epithélium (peau, muqueuses, glandes) Cancer in situ Cancer micro-invasif Tissu conjonctif Cancer invasif Cancer métastatique Vaisseau lymphatique Ganglions lymphatiques Vaisseau sanguin Foie, Poumons, Reins, Os, Cerveau 5
6 Aspects cliniques pouvant faire découvrir un cancer Découverte fortuite au cours d un examen Obstruction d un conduit (colons) Compression des organes (ovaires - cerveau) Surinfections (intestins) Hémorragies (vessie - utérus) Retentissement hématologique (anémie) Troubles vasculaires : Phlébites, Hémorroïdes Fièvre Perte de poids - Cachexie terminale (pancréas) 6
7 Les causes des cancers Facteurs viraux (col utérin, rhinopharynx) Facteurs physiques (radiations, UV, brûlures) Facteurs chimiques (goudrons : tabac - aniline) Facteurs individuels (âge, sexe, troubles de l immunité) Facteurs héréditaires (Polypose familiale, Familles à cancer) Facteurs environnementaux (amiante tabac : tabagisme passif) 7
8 Evolutivité du cancer Les aspects pronostiques Ils dépendent de nombreux facteurs : Tumeur : Localisation, Taille Type histologique Evolutivité cellulaire Signature génomique Envahissement des ganglions Présence de métastases Etat immunitaire du malade Réponse au traitement 8
9 LE CANCER Enjeu de santé publique 9
10 : RECUL DES GRANDES PATHOLOGIES MORTELLES 10
11 France Espérance de vie à la naissance : + 18 ans : + 14 ans 11
12 Projection de l espérance de vie en 2060 Hommes : de 81,3 à 86,3 ans Femmes : de 86,5 à 91,5 ans Source INSEE
13 Projection de la population en ,6 M habitants + 11,8 M 100 ans : > 60 ans : +10,4 M > 60 ans : 1 sur 3 Source INSEE
14 Population française
15 Evolution des cancers Tous cancers Hommes Tous cancers Femmes NvxCas NvxCas NvxCas Décès NvxCas Décès Décès Décès
16 Les inégalités d accès aux préventions % de participation au dépistage côlo-rectal et territoire Drôme/Ardèche 16
17 Dépenses de Santé dans les pays de l OCDE en ,8 % du PIB 4 000$/h Sources DREES, Comptes de la santé pour la France ; OCDE, Éco-Santé 2012 pour les autres pays. 17
18 Evolution des dépenses en cancérologie %
19 LE CANCER Fréquence 19
20 Le cancer aujourd hui Les chiffres > 2012 Incidence :: nx nx cas/an-> -> nx nx cas (+ (+ 11,3%) Hommes :: Femmes :: Age Age médian au au diagnostic :: ans ans chez Homme ans ans chez Femme Mortalité: décès/an-> -> (+ (+ 1,8 %) %) 1ère 1èrecause de de mortalitéchez l Homme 2ème 2ème chez chez la la Femme 1ère 1èrecause de de mortalité prématurée chez chez l Homme et et la la Femme 57,3 57,3 % des des décès après ans ans Age Age médian au au décès :: ans ans chez Homme ans ans chez Femme Prévalence : personnes porteuses d un cancer personnes porteuses d un cancer soit soit 1 famille sur sur 3 20
21 Evolution des cancers en France en > 2012 Nombre de nouveaux cas > (+ 11,3 %) Hommes : > (+ 9,2 %) Femmes : > (+ 14,0 %) Nombre de décès > (+ 1,8 %) Hommes : > (- 1,4 %) Femmes : > (+ 6,5 %) 21
22 Les cancers chez l homme en 2005 / 2012 Nombre de nouveaux cas de décès / an Prostate / (1) / (3) Poumons / (2) / (1) Colon-rectum / (3) / (2) Total Cancers Part % tous cancers 52 % 46% 22
23 Les cancers chez la femme en 2005 / 2012 Nombre de nouveaux cas de décès /an Sein / (1) / (1) Colon-rectum / (2) / (3) Poumon / (3) / (2) Corps utérin / (4) / (5) Col utérin / (11) / (10) Total Cancers Part % tous cancers 57,6 % 50,8 % 23
24 Les cancers en France de 1950 à 2010 Taux de mortalité Hommes Femmes 24
25 Evolution de la mortalité (INCa 2010) Baisse de la mortalité en 20 ans (Périodes et ) - 22 % chez l Homme (208,7 -> 162,6 décès/ ) - 14 % chez la Femme (92,8 -> 79,9 décès/ ) - Diminution des cancers du poumon, de la cavité buccale et de l œsophage chez l homme (liés à l alcool et au tabac) - Amélioration du diagnostic et des prises en charge précoces - Dépistage organisé des cancers du sein, du colon et du col utérin - Progrès thérapeutiques : testicule, thyroïde, maladie de Hodgkin 25
26 Le cancer aujourd hui 1905 Taux de guérison 5 % Taux de guérison 30 % Taux de guérison 40 % 2012 Taux de guérison 50 % 26
27 LES FACTEURS DE RISQUE 27
28 Facteurs de risque héréditaires 28
29 Facteurs de risque héréditaires Cancer médullaire de la thyroïde Cancer des cellules C de la thyroïde, augmentation de la calcitonine et hyperparathyroïdie Polypose adenomateuse familiale : Polypes multiples du côlon associés à plusieurs cancers coliques Syndrome de Gardner Polypes multiples du côlon associés à des cancers des os, des tissus mous et des tissus endocriniens Syndrome de Turcot Polypes multiples du côlon associés à une tumeur du cerveau Syndrome de Lynch : ou encore syndrome HNPCC (Hereditary Non-Polyposis Colorectal Cancer) Cancer colorectal associé à quelques rares polypes mais surtout à d autres cancers (endomètre, ovaire, intestin grêle, estomac, voies biliaires, voies urinaires). 29
30 Facteurs de risque personnels 30
31 GENRE (Chiffres 2012) Nb Nvx Cas Décès Risque cumulé H /3 aura un cancer 1/5 décèdera d un cancer F /4 aura un cancer 1/10 décèdera d un cancer Incidence Chez l Homme + 31 % de Risque Mortalité chez l Homme + 36 % de Risque 31
32 AGE Risque Spécifique (/ h-an) Incidence Hommes Mortalité Hommes Incidence Femmes Mortalité Femmes Incidence (80/50 ans) Hommes = 5,5 Femmes = 2,4 0 Age (Tranches de 5 ans) 32
33 PROFESSION 2,2 1,65 1,75 1,14 Cancers Poumon Autres cancers Affections cardiovasculaires Maladies générales Rapports des taux de mortalité des hommes travailleurs manuels / non manuels âgés de 45 à 59 ans en France 33
34 GEOGRAPHIE Mortalité Hommes = + 60% de Risque Mortalité Femmes = + 40% de Risque 34
35 Prédispositions génétiques par mutation des gènes BRCA 1 ou BRCA 2 Gènes découverts en 1994 dans les cancers héréditaires du sein et de l ovaire En France, femmes sont porteuses de ces gènes Gènes présents dans 13 % des familles explorées Transmission sur un mode dominant par la mère ou le père Si présent chez la femme, 1 risque sur 2 de transmettre le gène Augmentation du risque de cancer de l ovaire Risque de récidive de cancer du sein (délai de 10 à 15 ans) 35
36 Prédispositions génétiques par mutation des gènes BRCA 1 ou BRCA 2 Augmentation du risque de cancers du sein (et de l ovaire) Sein : 40 à 85 % (10 % dans population générale) Ovaire : 10 à 63 % (1 % dans population générale) Survenue plus précoce du cancer 43 ans au lieu de 60 ans en général Cancer plus agressif donc nécessité de dépistage plus précoce 36
37 Cancers du sein Recherche de mutation génétique familiale nécessitant une consultation génétique Facteurs familiaux 3 cas de cancers chez des parents du 1 er et 2 ème degré 2 cancers du sein dans la famille dont 1 bilatéral dont 1 avant 40 ans dont 1 chez un homme Facteurs personnels 2 cancers dont 1 de l ovaire 1 cancer du sein avant 35 ans 1 cancer du sein médullaire 1 cancer de l ovaire avant 60 ans 37
38 Facteurs de risque personnels Mutations génétiques Mutation des gènes P53 et CHEK (Maladie de Li-Fraumeni) Tumeurs malignes graves et multiples (sarcomes) chez les enfants ou adultes jeunes Mutation du gêne ATM ( Ataxie-Télangiectasies) Cancers associés à troubles moteurs et oculaires avec lésions vasculaires de la conjonctive Mutation du gène PTEN (Syndrome de Cowden) Cancers du côlon et de la thyroïde avec multiples lésions bénignes disséminées (Hamartomes) Mutation du gène LKB1 (ou STK11) : Syndrome de Peutz- Jeghers Cancers colorectaux, de l ovaire et du testicule avec papules pigmentées de la peau 38
39 Facteurs de risque Externes 39
40 Facteurs de risque de cancers Fréquence et décès (%) Tabac Alcool Agents infectieux Inactivité physique Obésité - Surpoids Tt Hormonaux Exposition aux UV Expositions Profession. Polluants % Cancers % Décès 40
41 Total Facteurs de risque de cancers selon le sexe (%) Hommes Femmes 41 A. infectieux Profession Surpoids A. physique Tt hormonaux UV F. reproduction Polluants Alcool Tabac
42 LE TABAC : 18,2 % Responsable de décès par an dont décès par cancer (France 2012 : décès) soit 30 % des décès par cancer En 10 ans, risque diminué de moitié chez l Homme, mais multiplié par 4 chez la Femme Espérance de vie réduite de 10 à 15 ans Importance de la durée et de l intensité de l intoxication En France, 28,2 % de fumeurs réguliers Cancers multiples Par contact direct : Poumons, Cavité buccale, pharynx, larynx, cavité nasale, sinus, œsophage, estomac Par voie sanguine : foie, pancréas, rein, vessie, col utérin, sein, leucémie myéloïde Fumée de tabac : produits chimiques toxiques et irritants 70 d entre eux sont cancérigènes (benzène, arsenic, chrome, chlorure de vinyle, ) 42
43 LE TABAC : 18,2 % Cancer du poumon : décès tous sexes confondus 20 % des décès par cancer 40 % des décès avant 65 ans (40 % chez l Homme et 44 % chez les Femmes) Survie moyenne : 14 % à 5 ans 9 % à 10 ans Interactions avec d autres risques Consommation d alcool : Cancers : Bouche, pharynx, larynx, oesophage Risque multiplié par 13 Amiante : cancers broncho-pulmonaires (4%) Majoration du risque avec tabac : X 50 Rayonnements ionisants (Médicaux ou Radon) Cancers du poumon : Majoration du risque par le tabac 43
44 LE TABAC : 18,2 % Tabagisme passif décès dont 150 par cancer du poumon Risques liés à la durée et à l intensité de l exposition Cancers du poumon: Risque augmenté de 20 à 30 % chez les non fumeurs 20 à 30 % chez les conjoints 12 à 19 % sur les lieux du travail Cancers du sinus : risque doublé par le tabac Risques cardio-vasculaires et vasculaires cérébraux Chez femme enceinte et fœtus Fausse couche, accouchement prématuré, retard de développement, petit poids de naissance Chez l enfant Augmentation des infections rhino-pharyngées, otites Aggravation de l asthme Mort subite du nourrisson (X 5) 44
45 L ALCOOL : 8,1 % L alcool est un cancérogène avéré. 2 ème cause de mortalité évitable après le cancer Responsable de 11 % des cancers chez l Homme et de 4,5 % des cancers chez la Femme Cancers induits : voies aéro-digestives supérieures, œsophage, foie, sein, côlon-rectum C est la quantité d alcool pur dans la boisson qui expose au risque : > 62.3 g chez Homme et < 14.4 g chez la Femme Diminution du risque de cancer des VADS, 10 ans après arrêt Disparition du risque, 20 ans après arrêt du tabac. 45
46 FACTEURS AGGRAVANTS L ALCOOL : 8,1 % Consommation de tabac Alcool et tabac ont des effets synergiques L alcool amplifie et multiplie les risques cancérogènes du tabac Risque plus important de cancers des voies aéro-digestives supérieures (VADS) Troubles enzymatiques Certains individus métabolise l alcool selon une activité enzymatique augmentée ou diminuée. Un des produits résultant du métabolisme de l alcool est l acétaldéhyde qui est un cancérogène. Ces individus ont un risque plus important de cancer des VADS. Inégalités sociales Risque augmenté chez les moins diplômés Sur-risque alcool/cancer de 30 % chez les chômeurs entre 35 et 59 ans 46
47 L INACTIVITE PHYSIQUE : 2,3 % Constat en France : 18 % des cancers du côlon chez l Homme liés à une activité physique insuffisante Même constat chez la femme pour les cancers du côlon (20 %), du sein (21 %) et de l endomètre (26%) Risque de mortalité par cancer significativement plus faible chez les individus actifs Effet bénéfique de l activité physique pour la prévention des maladies chroniques (cardio-vasculaires, surpoids, obésité, cancers, mais aussi diabète, osteoporose) Diminution du risque de cancer du côlon Estimée à 17 % tous sexes confondus Identique pour l activité professionnelle (15 %) et de loisirs (14 à 20 %) Pas d effet sur le cancer du rectum 47
48 L INACTIVITE PHYSIQUE : 2,3 % Diminution du risque de cancer du sein Réduction de 20 % pour les femmes les plus actives Effet protecteur de 3 % chez les femmes en postménopause Diminution du risque de cancer de l endomètre Réduction de 21 % chez les femmes les plus actives Autres localisations de cancers Quelques publications sur l effet réducteur sur les cancers du poumon, pancréas, prostate, ovaire : travaux à confirmer Activité physique, surpoids et risque de cancer Effet protecteur indirect sur les cancers liés au surpoids et à l obésité : (œsophage, endomètre, rein, côlon, sein en postmenopause, pancréas, vésicule biliaire) Effet défavorable des activités sédentaires (ordinateur, télévision) qui augmente la prise de poids. 48
49 L INACTIVITE PHYSIQUE : 2,3 % Bénéfices de l activité physique pendant les soins en cancérologie Amélioration de la qualité de vie Retrouvée pour tous les types de cancer Pendant et après le traitement Diminution de l anxiété, de la dépression, améliore le sommeil, sensation de bien être Effet sur la survie globale Réduction de 18 % de la mortalité globale si activité physique pratiquée avant le diagnostic Réduction de 41 % si activité physique pratiquée après le diagnostic Réduction de 34 % du risque de décès par cancer du sein Réduction du taux de récidive (24 %) 49
50 L INACTIVITE PHYSIQUE : 2,3 % Mécanismes d action de l activité physique Rôle bénéfique sur la réduction du poids et de l adiposité abdominale Réduction du taux plasmatique d insuline qui est augmentée dans le surpoids et l obésité, et qui favorise la prolifération cellulaire Pour le cancer du côlon : Accélération du transit intestinal réduisant le contact avec la muqueuse des cancérogènes d origine alimentaire Pour le cancer du sein et de l endomètre ; diminution du taux des oestrogènes et stimulation de l immunité (augmentation du nombre et de l activité des macrophages et des lymphocytes) ACTIVITE PHYSIQUE QUOTIDIENNE : 20 à 30 minutes 50
51 LE DESEQUILIBRE ALIMENTAIRE : 8 à 9 % Facteurs alimentaires et risques de cancer Augmentation du risque Surpoids Obésité décès par cancer France : 32% Surpoids 17% Obésité Boissons alcoolisées H : 20% - F : 7% 42 % entre ans Viandes rouges - Charcuterie Aliments salés Betacarotène en complément alimentaire 55% Œsophage 52% Endomètre 31% Rein 15% Côlon Rectum 14% Pancréas 8% Sein 168% Bouche Pharynx Larynx 28% Œsophage 10% Sein 10% Foie 9% Côlon Rectum 29% Côlon Rectum Estomac Poumons 51
52 LE DESEQUILIBRE ALIMENTAIRE : 8 à 9 % Facteurs protecteurs du risque de cancer Diminution du risque Activités physiques Fruits Légumes Fibres Allaitement Côlon Rectum Sein (en post ménopause) Endomètre Bouche Pharynx Larynx Œsophage Estomac Poumons Bouche Pharynx Larynx Œsophage Estomac Côlon Rectum Sein 52
53 LE DESEQUILIBRE ALIMENTAIRE SURPOIDS - OBESITE Tous cancers Cancers sein Cancers endomètre >40 Risque Relatif de Cancer en fonction de l IMC (Indice masse corporelle) 53
54 Autres facteurs de risque de cancer Agents infectieux : 3,3 % Helicobacter pylori Papilloma virus Virus Epstein Barr Virus Hépatite B et C VIH Sida Traitements hormonaux : 2,1 % Exposition aux UV Soleil : 2,0 % Pollution atmosphérique : 0,1 % Estomac Col utérin Anus Pharynx Lymphome de Burkitt Foie Cancers X 10 Endomètre Sein Ovaire Mélanome Cancers cutanés Poumon Radon Poumon 54
55 TRAITEMENTS HORMONAUX ET CANCER TROUBLES DE LA MENOPAUSE Arrêt brutal de sécrétion des estrogènes par les ovaires : Troubles du climatère : bouffées de chaleur, sudation nocturne, douleurs articulaires, sècheresse et atrophie vaginale Perte de la masse osseuse : ostéoporose et risques de fractures Si troubles importants, Prescription d un Traitement Hormonal de la Ménopause (THM) associant estrogène et progestatif qui améliore les symptômes du climatère et prévient l ostéoporose et les fractures. 55
56 TRAITEMENTS HORMONAUX ET CANCER. Traitement hormonal de la ménopause : (THM) Augmentation du risque de cancers du sein, de l endomètre et de l ovaire Avant mise en traitement, bilan clinique et gynécologique complet avec contre-indication si cancers du sein ou de l endomètre Evaluation annuelle du traitement en prenant en compte le bénéfice/risque Contre indication du THM si antécédents thromboemboliques ou hémorragies génitales Pas de prescription d estrogène seul (majore le risque de cancer de l endomètre et de l ovaire) Choisir une association de progestatif micronisé Limiter l intensité et la durée du traitement au minimum Remplacer le traitement oral par des estrogènes transdermiques 56
57 AUTRES FACTEURS DE RISQUE DE CANCER Agents infectieux : 3,3 % Helicobacter pylori Papilloma virus Virus Epstein Barr Virus Hépatite B et C Traitements hormonaux : 2,1 % Exposition aux UV Soleil : 2,0 % Pollution atmosphérique : 0,1 % Estomac Col utérin Anus Pharynx Lymphome de Burkitt Foie Endomètre Sein Ovaire Mélanome Cancers cutanés Poumon Radon Poumon 57
58 Facteurs de risque en milieu professionnel Amiante Amines aromatiques Arsenic Benzène Cadmium Chlorure de vinyle Chrome Formaldéhyde Mésotheliome, Poumon Vessie Poumon, Vessie, Peau Leucémie Poumon Angiosarcome hépatique et Hépatocarcinome Nez et Sinus, Poumon Nasopharynx 58
59 Facteurs de risque en milieu professionnel Hydrocarbures, Goudron, Bitume Huiles minérales Industries du caoutchouc Nickel Pesticides arsenicaux Organochlorés, organophosphorés Peintures Poussières de bois et du cuir Rayons X, Rayons gamma Silice Trichloéthylène Larynx, Poumon, Vessie Peau Vessie, Leucémie Nez et Sinus, Poumon Foie, Peau, Poumon Lymphome malin non hodgkinien Poumon, Vessie Nez et sinus Leucémie, Sein, Poumon, Vessie, Rein, Os, Thyroïde Poumon Rein 59
60 LES TRAITEMENTS 60
61 Classification TNM : T Tumeur Primaire (T) Tx : la tumeur primitive ne peut pas être évaluée T0 : la tumeur primitive n est pas palpable T1 : tumeur 2 cm dans sa plus grande dimension T2 : 2 cm < tumeur 5 cm dans sa plus grande dimension T3 : tumeur > 5 cm dans sa plus grande dimension T4 : tumeur, quelle que soit sa taille, avec une extension directe soit à la paroi thoracique (T4a), soit à la peau (T4b) T4c : T4a + T4b T4d : cancer inflammatoire 61
62 Classification TNM : N et M Ganglions lymphatiques régionaux (N) Nx : l envahissement des ganglions lymphatiques régionaux ne peut pas être évalué N0 : absence d envahissement ganglionnaire régional histologique et absence d examen complémentaire à la recherche de cellules tumorales isolées N1 : envahissement de 1 à 3 ganglions axillaires N2 : envahissement de 4 à 9 ganglions axillaires N3 : envahissement d au moins 10 ganglions axillaires Métastases à distance (M) Mx : renseignements insuffisants pour classer les métastases à distance M0 : absence de métastases à distance M1 : présence de métastase(s) à distance 62
63 Classification par Stades UICC 0 Tis N0 M0 I T1 N0 M0 IIA T0 N1 M0 ; T1 N1 M0 ; T2 N0 M0 ; IIB IIIA IIIB IIIC IV T2 N1 M0 ; T3 N0 M0 T0 N2 M0 ; T1 N2 M0 ; T2 N2 M0 ;T3 N1 M0 ; T3 N2 M0 T4 N0 M0 ; T4 N1 M0 ; T4 N2 M0 Tous T N3 M0 Tous T Tous N M1 63
64 Principes généraux Nombreuses formes de cancers = Traitements différents Chirurgie, radiothérapie, chimiothérapie, traitements ciblés, hormonothérapie sont les traitements de base, le plus souvent associés et combinés selon la pathologie Concertation pluridisciplinaire (médecins et personnel soignant) pour choisir le traitement le mieux adapté et application de référentiels thérapeutiques reconnus. Recherche d un bon résultat en atténuant les effets indésirables et en évitant les séquelles Suivi régulier du malade (collaboration du cancérologue avec le médecin généraliste) : Dossier Personnalisé de soins Aujourd hui le traitement anti-cancer est de plus en plus personnalisé : adaptation à la génomique de la tumeur. 64
65 CHIRURGIE Chirurgie diagnostique : prélèvement de la tumeur pour diagnostic histologique et évaluation du potentiel évolutif Chirurgie à visée curative : ablation de la tumeur ou de l organe avec contrôle des limites avec le tissu sain Chirurgie d exérèse ganglionnaire : ablation des ganglions lymphatiques (curage) pour déterminer l extension régionale Chirurgie de réduction tumorale : ablation partielle de la tumeur pour permettre une meilleure action de la radiothérapie et de la chimiothérapie Chirurgie des métastases : exérèse de métastases hépatiques et pulmonaires pouvant freiner l évolution du cancer Chirurgie prophylactique : intervention sur des lésions bénignes pour éviter l évolution vers la malignité Chirurgie réparatrice ou reconstructive : de plus en plus pratiquée, elle autorise des exérèses plus larges et une réparation de qualité. 65
66 LA RADIOTHERAPIE Traitement local et régional des cancéreuses pour détruire les cellules cancéreuses et leur appareil de reproduction. Radiothérapie externe : après repérage de la tumeur par imagerie, les rayons d un accélérateur convergent en «feux croisés» sur la lésion, en respectant les tissus de voisinage. Les volumes irradiés et les doses distribuées sont quantifiée par étude dosimétrique. Curiethérapie : des aiguilles, billes ou fils radioactifs sont implantés dans le tissu tumoral. Cette irradiation est très bien limitée à la tumeur Radiothérapie métabolique : administration par voie orale ou par injection intraveineuse d une substance radioactive, à vie limitée, se fixant préférentiellement sur les cellules cancéreuses à détruire. 66
67 RADIOTHERAPIE Modalités d association En préopératoire : pour réduire le volume tumoral En per-opératoire : limite l irradiation aux tissus tumoraux en respectant les tissus sains En post-opératoire : complète la chirurgie en détruisant les cellules tumorales résiduelles Effets secondaires Sont maintenant limités en raison des nouveaux appareillages de traitement et de l action combinée avec les images scannographiques Diahrrées : irradiation abdominale ou du bassin Rectite post radique : traitement de la prostate Dysphagie : irradiation buccale, oro-pharyngée ou œsophage Hyposialie salivaires ou asialie : irradiation des glandes 67
68 CHIMIOTHERAPIE Elle vise à éradiquer les cellules tumorales disséminées dans l organisme. Elle complète les traitements précédents, évite les récidives et réduit la mortalité. Les principaux produits ont des actions différentes : Agents intercalants (anthracyclines et antracénodiones) entraînent des coupures irréparables de l ADN Les poisons du fuseau (vinca-alcaloïdes et taxanes) bloquent la division cellulaire Les alkylants (moutardes azotées, organoplatines ) entraînent l avortement de la division cellulaire Les antimétabolites (5-Fluorouracile, antagonistes puriques ou foliques) inhibent la synthèse des bases nécessaires à l ADN La chimiothérapie associe plusieurs produits pour être plus efficace selon des protocoles rigoureux et précis. 68
69 CHIMIOTHERAPIE EFFETS SECONDAIRES L efficacité du traitement est perturbée par des complications le plus souvent réversibles à plus ou moins long terme. Fatigue générale Nausées et vomissements (antiémétiques : sétrons et antink1) Chute des globules blancs, globules rouges et plaquettes (réduction des cycles thérapeutiques) et risque de fièvre. Perte des cheveux (pose d un casque réfrigéré) Lésions des muqueuses buccale ou oesophagienne (aphtes, mucites) Atteintes neurologiques (fourmillements au niveau des mains et des pieds) Perte d appétit ou du goût des aliments Perte de poids 69
70 TRAITEMENTS CIBLES Ces traitements visent à perturber le métabolisme des cellules tumorales. Traitement du récepteur HER2 Certains cancers (sein) sont plus agressifs car leurs cellules portent à leur surface un récepteur HER2. Celui-ci favorise la croissance cellulaire et l agressivité de la tumeur. On dispose de traitements ciblés bloquant ce récepteur (Herceptin ou Tyverb ), associés ou non, à la chimiothérapie. Traitement anti-angiogénique La cellule tumorale sécrète des facteurs stimulant la vascularisation de la tumeur et favorisant sa croissance (Facteur VEGF : Vascular Epithelial Growth Factor). Un médicament bloque ce facteur : Avastin et inhibe la vascularisation de la tumeur. 70
71 AUTRES TRAITEMENTS HORMONOTHERAPIE Concerne des cancers dits hormono-dépendants (sein, prostate) Les traitements hormonaux empêche la prolifération des cellules tumorales. Ex : Dans le cancer du sein, recherche du récepteur d oestrogènes et de progestérone sur la tumeur : si présent traitement par Tamoxifène qui est un anti-estrogène. Ex : Dans le cancer de prostate, traitement par substances inhibant la sécrétion des hormones mâles (Testostérone). IMMUNOTHERAPIE Recherche d une stimulation des défenses de l organisme contre les cellules cancéreuses. Ex : Traitement des cancers du rein ou des mélanomes par Interféron ou Interleukine 2 Cancers du poumon. 71
72 AUTRES TRAITEMENTS GREFFES DE CELLULES DE MOELLE OSSEUSE Principalement utilisées dans le traitement de certaines leucémies. Récupération, pour injection, de cellules souches de la moelle osseuse, du sang périphérique ou du sang du cordon ombilical. Greffes allogéniques : prélèvement chez un donneur compatible Greffes autogéniques : prélèvement chez le sujet malade avant mise en traitement et congélation des cellules. TRAITEMENTS DE CONFORT OU SOINS DE SUPPORT Indispensable pour améliorer la qualité de vie du malade durant son traitement mais aussi durant sa convalescence. - Traitement de la douleur - Ecoute et dialogue - Soutien psychologique - Conseils diététiques - Ergothérapie - Activités de soutien diverses 72
73 LE DEPISTAGE en CANCEROLOGIE 73
74 Facteurs de risques PREVENTION PRIMAIRE et PREVENTION SECONDAIRE Cellule normale Cellule transformée Etat précancéreux Cancer asymptomatique Cancer symptomatique PREVENTION PRIMAIRE DEPISTAGE PREVENTION SECONDAIRE DIAGNOSTIC 74
75 POURQUOI DEPISTER? Pour dépister des lésions dont le traitement sera : plus efficace moins lourd ou moins mutilant (cancer du sein) soit moins coûteux Le dépistage de tous les cancers est illusoire et coûteux 75
76 Taux de guérison en fonction de la taille du cancer Taille de la tumeur du sein Probabilité de guérison à 7 ans Cancer infraclinique Diamètre < 2cm Diamètre 2cm < > 5cm Diamètre > 5 cm Paroi thoracique - peau 96% 90% 75% 56% 43% 76
77 LE TEST DE DEPISTAGE INOFFENSIF ET ACCEPTE PAR LA POPULATION REPETITIF ET SIMPLE Un test de dépistage organisé doit obéir à des règles absolues PEU COUTEUX FAISABILITE RENDEMENT SATISFAISANT 77
78 LES TESTS DE DEPISTAGE BONNE SENSIBILITÉ doit comporter peu de faux-négatifs Les tests de dépistage d doivent obéir à des règles r absolues BONNE SPÉCIFICITÉ doit comporter peu de faux-positifs 78
79 DIFFERENCE ENTRE UN TEST DE DEPISTAGE et UN EXAMEN DE DIAGNOSTIC TEST DE DEPISTAGE S adresse à des personnes apparemment en bonne santé Se pratique sur une population Moins précis Moins coûteux Ne permet pas une décision thérapeutique EXAMEN DE DIAGNOSTIC S adresse à des personnes présentant des symptomes ou un test de dépistage positif Pratiqué sur un individu Plus précis Plus coûteux Permet de prendre une décision thérapeutique 79
80 L angoisse du cancer Obstacles et défis d du dépistaged COMMENT? Le déni de la maladie Déficits d information Histoire naturelle du cancer Fréquence et pronostic Test de méthodologie Bénéfices et résultats du dépistage Actions sur les freins et les obstacles Actions sur les Populations défavorisées Confusion entre dépistage et diagnostic précoce 80
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