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1 MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION NATIONALE Direction des personnels enseignants RAPPORT DU JURY DU CONCOURS D'ACCÈS AU CORPS DES PROFESSEURS DE LYCÉE PROFESSIONNEL SECTION COMPTABILITÉ ET BUREAUTIQUE Concours externe Troisième concours SESSION 2003

2 SOMMAIRE Composition du jury CONCOURS EXTERNE ET CAFEP Épreuves écrites d'admissibilité 1. Épreuve technique Composition sur un sujet d'économie d'entreprise...11 Épreuves d'admission 1. Épreuve orale portant sur les problèmes économiques généraux Entretien Épreuve orale sur dossier Sujets des épreuves d admissibilité 1. Épreuve technique (avec corrigé indicatif) Composition sur un sujet d'économie d'entreprise Sujets des épreuves d'admission 1. Épreuve orale portant sur les problèmes économiques généraux Entretien TROISIEME CONCOURS DU PLP ET DU CAFEP Épreuve écrite d'admissibilité 1. Épreuve technique Épreuves d'admission 1. Épreuve orale portant sur les problèmes économiques généraux Épreuve orale sur l expérience professionnelle Sujets des épreuves d admissibilité 1. Épreuve technique

3 3

4 COMPOSITION DU JURY PRESIDENT Mr HENRIET Alain, Inspecteur général de l'éducation nationale VICE-PRESIDENTE Mme COLLET Marie-Paule, IEN de l'académie de MONTPELLIER SECRETAIRE GENERALE Mme PARISEL Jacqueline, IEN de l'académie de NANTES MEMBRES ALBORS Victor Agrégé Lycée Jules Siegried PARIS ALLEN Marie-France Bi-adm Lycée du Castella PAMIERS AUBRY-LECONTE Marie-Josée Agrégée Lycée Périer MARSEILLE BIALES-GINESTAR Monique Agrégée Lycée Mas de Tesse MONTPELLIER BILLOT Sylvie Certifiée Lycée Perrier TULLE BLOT Frédéric Agrégé Lycée Auguste Renoir LIMOGES BRULHART Jean Agrégé Lycée Amiral de Grasse NICE BURNENS Martine Certifiée Lycée Elisa Lemonnier PARIS CAPELLI Daniel PLP Lycée Xavier Marnier PONTARLIER CAPRON Geneviève Certifiée Lycée Emile Zola AIX-EN-PROVENCE CARTEL Fabienne Agrégée Lycée Briand EVREUX CHAILLOU Thierry Certifié Lycée Robert Garnier LA FERTE BERNARD CHAPARD Christiane PLP Lycée Albert Camus FIRMINY CHOUILLOU Denise Agrégée Lycée Victor Louis TALENCE CORDAT Chantal PLP Lycée Alfred de Musset VILLEURBANNE CORNEILLE Françoise Agrégé Lycée Louis Pergaud BESANÇON COULOMB François Agrégé Lycée Ozenne TOULOUSE DAVASSE Jeannine Certifiée Lycée Théodore Aubanel AVIGNON DE BEVER André Certifié Lycée J. Moulin ROUBAIX DESCLOS Virginie Agrégée Lycée Georges Dumézil VERNON DOCKES Pierre Agrégé Lycée La Martinière Duchère LYON DROGOU Corinne PLP Lycée Lanroze BREST DRUBAY Claire Bi-adm. Lycée M. de Navarre ARCONNAY DULAU Geneviève Certifiée Lycée François Mauriac BORDEAUX DUMAS Martine Certifiée Lycée Marguerite de Valois ANGOULÊME DUPUIS Frédéric PLP Lycée Bascan RAMBOUILLET FALLET Laurence Agrégée Lycée Anna de Noailles EVIAN FLAMENT Annick Certifiée Lycée d Artois NOEUX-LES-MINES FONTAINE Christian PLP Lycée Sainte Claire de Ville ISSOIRE FORT Pierre Certifié Lycée Edouard Herriot VOIRON FORZANI Annette PLP Lycée Paul Valéry MENTON FOUCART Patrice Agrégé Lycée d'artois NOEUX-LES-MINES FRUQUIERE Raymond Certifié Lycée Jean Monnet AURILLAC FURLAN Elizabeth Agrégée Lycée Poncelet SAINT-AVOLD GADY Marie-Claude Certifiée Lycée Jean Zay ORLEANS GALERNE Eric Agrégé Lycée Jean Rostand CAEN 4

5 GALY ETCHEVERRY Chantal PLP Lycée Françoise TOULOUSE GEA Geneviève Certifiée Lycée Diderot NARBONNE GILLY Geneviève Agrégée Lycée Paul Langevin MARTIGUES GIRIEUD Monique Agrégée Lycée Ismael Dauphin CAVAILLON GODARD Charles Agrégé Lycée G. de Nerval SOISSONS GOUTORBE Hervé Certifié Lycée Valadon LIMOGES HURET François Certifié Lycée Rabelais PARIS KHALIDY Mohamed Certifié Lycée Voillaume AULNAY SOUS BOIS LAURANS Michelle Agrégée IUFM PARIS LECROQ Fabrice PLP Lycée Monge SAVIGNY-SUR-ORGE LEPRI Lucienne PLP Lycée Colbert MARSEILLE MAGNIN Rémi PLP Lycée Lavoisier LE CREUSOT MANARY Ahmed PLP Lycée Albert Thomas ROANNE MARQUER Chantal PLP Lycée Guehenno VANNES MARTIN Gérald Agrégé Lycée Jacques Duhamel DOLE MELLOUL Bernard Certifié Lycée A. Nobel CLICHY SOUS BOIS MEMMI Elizabeth Certifiée Lycée Turgot PARIS MENDOUSSE Catherine Agrégée Lycée Condorcet BORDEAUX MONJEIN Claude Agrégé Lycée Jean Baptiste ALES MORIN Jean-Paul PLP Lycée Louise Michel RUFFEC NAFA Taëb Certifié Lycée Edouard Gand AMIENS NOBILE Didier Agrégé Lycée Daubié ROMBAS PACAUD Annie Certifiée Lycée Merlaux Ponty ROCHEFORT PAGE Jean-Marc PLP Lycée Boucher de Perthes ABBEVILLE PARAZOLS Annie Certifiée Lycée Simone Weil PARIS PELLEGRIN Nicole Agrégée Faculté de Droit,économie, gestion ORLEANS PINSON Françoise PLP Lycée Pablo Picasso PERIGUEUX RAMEAU Jean-Luc Agrégé Lycée Descartes ANTONY RAVINET Fabrice Agrégé Lycée Mathias CHALON SUR SAÔNE RAYSSAC Michèle Agrégée Lycée Sud MARSEILLE REUILLON Jean Louis PLP Lycée Edgar Quinet PARIS RIALLAND Marie-Claude Agrégée Lycée Toulouse Lautrec VAUCRESSON RIVEILL Monique Agrégée Lycée Anna de Noailles EVIAN ROUMESTAN Jean-Marc Agrégé Lycée de la Camargue NÎMES ROUSSEAU Joël Bi-adm IUT GEA LE MANS ROY Bernadette Agrégée Lycée R. Doisneau CORBEIL SALAGNAC Gaëtan PLP Lycée E. Doucet EQUEURDREVILLE SCHIKLOPER Martine Agrégée Lycée Eiffel BORDEAUX SEVESTRE Nadège PLP Lycée George Washington LE MANS STREBLER Henri PLP Lycée Stanislas WISSEMBOURG SUBLET Roland Agrégé Lycée Vincent d'indy PRIVAS TERRAS Daniel PLP SEP du Lycée Blaise Pascal AMBERT THOMAS Alain Certifié Lycée Marguerite de Valois ANGOULÊME TRASSOUDAINE Philippe Agrégé Lycée Mendès-France SAVIGNY-le- TEMPLE VALLAT Yves Agrégé Lycée La Martinière Duchère LYON VILEO Sarah Agrégée Lycée Martin Schongauer COLMAR WEIERSMULLER Jean-Jacques Certifié Lycée Benjamin Franklin ORLEANS ZIESEL Vincent Agrégé Lycée Gaston Bachelard CHELLES 5

6 LES RAPPORTS DES JURYS DES CONCOURS SONT ETABLIS SOUS LA RESPONSABILITE DES PRESIDENTS DE JURY 6

7 CONCOURS EXTERNE ET CAFEP (certificat d aptitude aux fonctions d enseignement dans les établissements privés sous contrat) Nature des épreuves Durée Coefficient Épreuves d'admissibilité 1. Épreuve technique Composition sur un sujet d'économie d'entreprise... Épreuves d'admission 1. Épreuve orale portant sur les problèmes économiques généraux Entretien sur la gestion comptable et les outils de gestion, y compris informatiques 3. Épreuve sur dossier... 5 h 3 h 30 min (préparation 1 h) 30 min (préparation 30 min) 45 min Exposé 15 min max. Entretien 30 min (préparation 1 h) Art. 4 - Les programmes des épreuves des concours sont, sauf mention contraire, ceux des brevets de technicien supérieur et diplômes universitaires de technologie correspondants, éventuellement ceux des classes de second cycle du second degré correspondants, traités au niveau licence, diplôme d'ingénieur ou diplôme d'une école de haut enseignement commercial. 7

8 STATISTIQUES DU CONCOURS EXTERNE ET DU CAFEP CAPLP EXTERNE CAFEP-CAPLP Nombre de postes mis au concours Nombre de candidats inscrits Nombre de candidats présents (aux deux épreuves) Nombre de candidats admissibles Nombre de candidats admis Nombre de candidats inscrits sur la liste complémentaire Moyenne du dernier admissible (sur 20) Moyenne du premier admis (sur 20) Moyenne du dernier admis (sur 20) ,7 8, ,7 8, ,1 8,28 16,25 13,38 14,25 14,65 13,75 14,66 14,19 13,55 13,1 12,95 13,8 13,5 10,84 9,6 8,95 10,18 8,43 8, ,43 8,95 10,1 8,45 9,11 8

9 EPREUVES ECRITES D ADMISSIBILITE 1. EPREUVE TECHNIQUE (durée 5 heures ; coefficient 6) L épreuve consiste à étudier des situations pratiques caractéristiques de la spécialité. Les informations à traiter relèvent de l'ensemble des disciplines couvertes par cette spécialité (économiques, juridiques et techniques). Il est demandé au candidat d'analyser une ou des situation(s), de déceler les problèmes, de proposer des solutions mettant en œuvre des techniques appropriées et notamment des technologies nouvelles. I/ Présentation des résultats Notes N < 4 4 N < 6 6 N < 8 8 N < N < N <14 14 N <16 N 16 Total Effectifs % 23,2 17,5 18,5 16,6 13,2 7,8 2,5 0,7 100 La moyenne de l épreuve est plutôt faible (7,03 sur 20) mais elle est supérieure à la moyenne exceptionnellement basse constatée à la session 2002 (6,25 sur 20). Plus de 75 % des copies obtiennent une note inférieure à 10/20. II/ Observations II.1 Observations sur le fond Le sujet nécessitait de mobiliser des connaissances dans la plupart des domaines de la gestion : - comptabilité générale et fiscalité pour la première partie ; - gestion budgétaire avec des questions sur les coûts, les mathématiques financières ou l évaluation des frais de personnels et des charges sociales pour la deuxième partie ; - informatique pour la dernière partie. Le sujet ne comportait pas de difficultés particulières à l exception d une gestion du temps rigoureuse. Il permettait de mettre en évidence les liens étroits existants entre la fiscalité et l enregistrement comptable des opérations, entre la comptabilité budgétaire et l évaluation de certains postes du compte de résultat ou du bilan. Les candidats ont privilégié la première partie sans la traiter dans son intégralité. La comptabilité générale est correctement maîtrisée mais les copies ont révélé d importantes confusions et lacunes en fiscalité même sur des aspects courants comme le calcul de la TVA exigible ou les amortissements dérogatoires. La gestion budgétaire n a pas été correctement traitée par la plupart des candidats. Les copies, très souvent partielles, ont montré de larges insuffisances comme : 9

10 - la présentation de budgets d encaissements sur des montants hors TVA ; - une méconnaissance des calculs relatifs aux charges de personnel. La dernière partie, souvent discriminante, a été négligée par les candidats. Le traitement effectué par certains candidats est satisfaisant à l exception de la formulation des requêtes. Enfin, le jury a noté que des candidats maîtrisent insuffisamment l enregistrement de documents commerciaux classiques telles des factures de doit comportant des réductions commerciales. II.2 Observations sur la forme Quelques candidats tiennent compte des prescriptions passées dans la présentation de leur copie. Néanmoins, ils sont peu nombreux car beaucoup de copies font état d une présentation très négligée et de lacunes importantes en orthographe avec des fautes inacceptables à ce niveau. Il existe un schéma traditionnel pour les enregistrements comptables qu il faut respecter ; d autre part, un budget se présente toujours sous la forme d un tableau. Les candidats n apportent aucune justification aux résultats obtenus et n indiquent pas leur démarche. Les candidats se sont insuffisamment préparés et beaucoup de copies font état d un traitement parcellaire de l épreuve. Le sujet nécessitait de faire preuve d une rigueur importante tant dans l ordonnancement de la copie (lien entre les enregistrements comptables et le calcul de la TVA exigible ou encore entre les budgets d encaissements et de décaissements et celui de la TVA) que dans la gestion du temps. III/ Conseils aux candidats Le jury recommande aux candidats de : se préparer activement à l épreuve technique en ne négligeant aucune partie du référentiel ; s entraîner régulièrement afin d acquérir une bonne maîtrise de la gestion du temps de l épreuve ; consacrer le temps nécessaire à une lecture attentive du sujet et à l organisation de la copie ; tenir compte des recommandations passées et apporter le plus grand soin à la présentation et à la rédaction de leur copie ; justifier les résultats obtenus en indiquant le raisonnement retenu. Le jury rappelle aux candidats que la copie est un révélateur des capacités attendues pour de futurs enseignants : à mobiliser l ensemble des connaissances de la discipline ; à exposer de façon claire et rigoureuse un raisonnement, une méthode, un résultat ; à aller à l essentiel. 10

11 2. COMPOSITION SUR UN SUJET D ECONOMIE D ENTREPRISE (durée 3 heures ; coefficient 4) Le sujet est accompagné d'éléments de documentation. L'épreuve permet de vérifier l'aptitude du candidat à tirer parti des documents, à mobiliser ses connaissances et à exploiter son expérience personnelle en matière de relation avec des entreprises. Elle permet également d'apprécier la clarté et la rigueur du raisonnement du candidat ainsi que la qualité de son expression écrite. I/ Présentation des résultats Notes N < 4 4 N < 6 6 N < 8 8 N < N < N <14 14 N <16 N 16 Total Effectif % 17,6 20, ,5 9,5 6,5 3,1 0,6 100 Globalement les résultats sont meilleurs que lors de la session précédente mais ils restent encore faibles. La moyenne générale des copies est de 6,78 sur 20 ; elle est supérieure à la moyenne de la session 2002 qui était de 5,95. Plus du tiers des copies (37,8 %) a une note inférieure à 6 alors que l on en comptait un peu moins de la moitié (48,6 %) en Une trop grande majorité des candidats (80 %) a une note inférieure à 10 (ils étaient 87,86 % en 2002). II/ Observations II.1 Observations sur le fond Bien que le sujet soit classique et sans grande difficulté particulière, son analyse a souvent été superficielle. Trop de candidats ont mal défini les termes importants et la problématique a rarement été cernée : l approche a souvent été axée sur la sous-traitance uniquement. Incontestablement, le niveau des connaissances est insuffisant et les concepts de base ne sont pas maîtrisés (confusion entre les notions d externalisation, d impartition, de soustraitance, de délocalisation, d intérim ). Trop peu de candidats font référence, de façon pertinente, aux fondements théoriques qui étaient pourtant nombreux (théorie des coûts de transaction de O. E. Williamson, théorie de l agence de M.C. Jensen et W.H. Meckling, chaîne de valeur de M. Porter, analyse des forces concurrentielles de M. Porter...). Leurs présentations révèlent souvent de graves confusions et des connaissances très approximatives. En outre, il est à regretter que les exemples tirés de l actualité soient presque inexistants. Les annexes ont rarement été exploitées correctement : l annexe 1 a été paraphrasée et l annexe 2 a très peu été utilisée. 11

12 En résumé, le jury a observé un problème assez général de maîtrise des concepts et des lacunes importantes en matière théorique. Par ailleurs, la méthodologie de la dissertation n est pas encore maîtrisée par une grande partie des candidats. La dissertation se résume alors souvent à un exposé descriptif et non à un argumentaire construit de manière cohérente pour répondre à la problématique posée dès l introduction. II.2 Observations sur la forme Le niveau des copies est très variable. Certains candidats organisent leurs idées et rédigent dans un style très correct. Malheureusement, trop de copies présentent des lacunes importantes : la méthodologie de la dissertation d économie ne semble pas être maîtrisée par un grand nombre de candidats (introduction, développement, conclusion ) ; l introduction est souvent incomplète (absence de définition et de problématique) ; la volonté de construire une démonstration argumentée et progressive n apparaît pas nettement dans un grand nombre de copies ; l orthographe et la qualité de l expression sont trop souvent négligées par les candidats. Cela étant, quelques très bonnes copies témoignent d une préparation très sérieuse à cette épreuve. III/ Conseils aux candidats On peut rappeler aux candidats les recommandations habituelles présentées par les jurys à l issue de chaque session : Pour la préparation de l épreuve Il est important pour les candidats de comprendre que : - la composition d économie d entreprise requiert une certaine rigueur. Qu en ce sens, il est impératif de bien maîtriser le vocabulaire économique et les fondements théoriques ; - les connaissances doivent en permanence être actualisées grâce à la lecture de revues économiques ; - la technique de la dissertation doit être maîtrisée. Pour l épreuve elle-même - prendre le temps de bien analyser le sujet. C est de cette analyse que dépendra la compréhension du problème et par conséquent la qualité de l argumentaire ; - un travail préparatoire à la rédaction doit permettre de faciliter la construction de la composition ; - l introduction et la conclusion ne doivent pas être négligées ; - le développement structuré doit être construit comme une démonstration qui répond à la problématique énoncée dès l introduction (d où la nécessité de bien la définir!) ; - l argumentaire doit être étayé de références théoriques et d illustrations puisées dans l actualité ; - lors de la composition, ne pas perdre de vue que les annexes constituent des supports à la réflexion. Elles ne doivent donc ni être éludées, ni constituer le seul thème à développer. 12

13 EPREUVES ORALES D ADMISSION En préalable, on notera qu un nombre important de candidats déclarés admissibles ne se sont pas présentés aux épreuves orales (plus de 27%). La possibilité offerte aux candidats de se présenter simultanément aux différents concours de recrutement est probablement l un des facteurs explicatifs. 1. EPREUVE PORTANT SUR LES PROBLEMES ECONOMIQUES GENERAUX (durée 30 minutes après une préparation d une heure ; coefficient 3) D après les textes en vigueur, l épreuve «a pour but d apprécier la capacité du candidat à analyser les phénomènes et problèmes économiques généraux, à les exposer avec clarté en utilisant correctement les concepts et mécanismes fondamentaux. Sa culture économique doit lui permettre de récuser les idées simplistes et de faire preuve d esprit critique constructif». Un document peut être fourni au candidat comme support de réflexion (ce qui n a pas été le cas dans les sujets proposés lors de cette session). I/ Présentation des résultats Nombre de candidats interrogés : 231 Notes n < 5 5 n < 8 8 n < n < n < 15 n 15 Nombre de candidats Pourcentage Moyenne générale Note la plus haute Note la plus basse II/ Observations On constate une répartition relativement dispersée des notes qui témoigne d une hétérogénéité des prestations des candidats. La moyenne générale est légèrement supérieure à celle de l an passé (8,92) et plus de la moitié des candidats (56 %) ont une note inférieure à 10. II.1 Observations sur le fond Un sujet généralement formulé sous forme de question est préparé par le candidat pendant une heure sans aucune documentation. 13

14 Comme l année dernière, les candidats ont semblé manquer de connaissances économiques considérées comme «basiques» par les membres du jury. Ces derniers constatent les insuffisances suivantes : une réelle difficulté à définir des notions simples (par exemple : le PIB, l État-Providence, la loi de l offre et de la demande ) ; une fréquente gêne à construire un raisonnement autour des mécanismes économiques fondamentaux ; un relative ignorance de l évolution récente de l environnement économique (à titre d exemple, le sujet relatif à l élargissement de l Union européenne permettait de souligner les référendums organisés en République Tchèque ou en Pologne quelques semaines précédant les épreuves orales mais ces données étaient méconnues des candidats). Par ailleurs, les valeurs des quelques indicateurs économiques fondamentaux comme le taux de croissance ou le taux de chômage sont trop rarement connues des candidats. Un nombre significatif d entre eux ne parvient pas à définir une problématique claire et se contente de répéter les termes du sujet. Cela n est pas sans conséquence sur le plan proposé dont l articulation est souvent déficiente, voire incohérente. L analyse reste trop souvent superficielle. Les théories économiques ne peuvent servir que de références au service d une illustration de la démonstration et ne sauraient constituer le cœur de l exposé. Par ailleurs, d autres candidats construisent un exposé clair bâti autour d un plan cohérent et argumenté, mais l entretien qui suit s avère peu convaincant : les notions ou les références théoriques évoquées ne sont pas maîtrisées, les précisions apportées témoignent d une méconnaissance de la réalité économique. Enfin, le jury a apprécié la qualité de certaines prestations associant un exposé astucieusement structuré, une parfaite maîtrise des connaissances économiques et de l actualité. II.2 Observations sur la forme Les modalités du déroulement de l épreuve semblent connues par les candidats. Les exposés sont généralement structurés et comportent une introduction et une conclusion. La durée «maximale» de l épreuve est de 30 minutes. Le jury a constaté que les meilleures prestations correspondent à un exposé d une dizaine de minutes et que les candidats qui sont en deçà présentent une analyse très partielle ou superficielle du sujet. L épreuve doit permettre d apprécier : la maîtrise de connaissances économiques fondamentales. Cela passe notamment par l exigence d une rigueur dans l emploi d un vocabulaire économique précis et pertinent, or c est loin d être le cas ; des qualités de communication (éviter de lire exclusivement ses notes, soutenir le regard des membres du jury, s exprimer de façon claire et audible, écouter de façon positive, adopter une attitude dynamique, annoncer les différentes parties de l exposé ). Des efforts semblent avoir été accomplis dans ce sens. 14

15 III/ Conseils aux candidats Pour la préparation du concours, il faut rappeler l importance : - d acquérir un minimum de connaissances des concepts de base, des mécanismes et des théories économiques, et de vérifier leur assimilation ; - de suivre l actualité économique et de mémoriser certaines grandeurs économiques récentes. Lors du passage de l épreuve : - commencer par une analyse du sujet : définition précise des termes, mise en évidence de l intérêt du sujet (son actualité ou son évolution ), construction d une problématique. Cette dernière peut être très simple compte-tenu du temps de préparation de l épreuve, mais elle doit rester pertinente et argumentée ; - veiller à rester dans le thème proposé (par exemple, on ne peut pas admettre une partie de l exposé sur la politique monétaire pour un sujet portant sur les politiques pour l emploi en France) ; - prendre conscience que lors de l entretien, le jury n est pas là pour «piéger» le candidat, mais pour clarifier un point énoncé lors de l exposé, pour le compléter ou l ouvrir vers d autres enjeux. Le candidat aura donc le plus grand intérêt à écouter et à répondre simplement mais de façon précise et pertinente aux questions. Sa capacité de réactivité et de réflexion est aussi un critère d évaluation. 15

16 2. ENTRETIEN SUR LA GESTION COMPTABLE ET LES OUTILS DE GESTION (durée 30 minutes après une préparation de 30 minutes ; coefficient 3) D après les textes en vigueur, l épreuve «doit permettre d apprécier l aptitude du candidat à exposer des idées, à défendre son point de vue à partir des questions qui lui sont posées. Le jury appréciera particulièrement la réflexion du candidat sur l évolution des organisations (système d information et de communication), sur la transformation des qualifications dans le secteur tertiaire». L entretien porte sur un thème en rapport avec la spécialité (en l occurrence comptabilité et bureautique). Un document peut être fourni au candidat comme support de réflexion (ce qui n a pas été le cas dans les sujets proposés lors de cette session). I/ Présentation des résultats Nombre de candidats interrogés : 231 Notes n < 5 5 n < 8 8 n < n < n < 15 n 15 Nombre de candidats Pourcentage 6,1 23,4 13,8 15,6 22,1 19 Moyenne générale Note la plus haute Note la plus basse 10, II/ Observations Le jury a décidé cette année de ne pas fournir de document en accompagnement du sujet. La moyenne d ensemble des candidats proche de celles des sessions précédentes montre que cela n a pas affecté le niveau de l épreuve. Les bonnes prestations correspondent à la présentation satisfaisante du sujet : définition des termes et exposé structuré, mais aussi à une capacité à réfléchir et à argumenter. Cependant, l exposé reste généralement trop bref. Cela révèle bien souvent des difficultés à prendre du recul et à envisager tous les domaines concernés par le sujet pour fournir une approche transversale. On rappelle à ce propos que le champ notionnel est très vaste et que le candidat ne doit pas se limiter, comme parfois, à la seule comptabilité générale et à des connaissances du niveau du baccalauréat. On rappelle que les programmes du concours sont ceux des BTS ou du DUT correspondants à la spécialité du concours, éventuellement ceux des classes du second cycle du second degré, traités au niveau licence universitaire. 16

17 III/ Conseils aux candidats Pour la préparation du concours Les connaissances doivent être actualisées, à partir notamment de la consultation régulière de documentations sur l ensemble des sciences de gestion ; il n est pas suffisant de se contenter d un vécu ou d une expérience professionnelle. L évolution des normes comptables et l utilisation des nouvelles technologies, par exemple, ne doivent pas rester ignorées des futurs candidats. Il convient de s informer et de s entraîner sur les sujets des années précédentes et travailler l épreuve tant sur le contenu que sur la présentation. Le jury regrette que tous les candidats ne se préparent pas suffisamment à ce type de travail. Lors du passage de l épreuve L épreuve à une durée totale de trente minutes. Dans un premier temps, le candidat présente le sujet ; cela ne constitue pas un simple exposé de connaissances mais nécessite des compétences méthodologiques. Le jury apprécie l aptitude du candidat à maîtriser la terminologie comptable et sa capacité à présenter une démonstration pertinente élaborée autour d une problématique. Le candidat doit en effet poser une ou plusieurs questions auxquelles le développement tentera de répondre de manière structurée. Il évitera utilement d aborder des notions non maîtrisées. Dans un second temps, le candidat répond aux questions du jury. Le candidat devra être attentif aux questions posées et penser à la clarté des idées exprimées. Les membres du jury souhaitent généralement vérifier certaines connaissances, compléter les thèmes abordés ou revenir sur certains aspects du sujet. Les qualités d écoute et la capacité de communiquer avec conviction sont alors plus particulièrement appréciées. 17

18 3. EPREUVE SUR DOSSIER (durée 45 minutes - dont exposé de 15 minutes maximum - après une préparation d une heure ; coefficient 4) L épreuve consiste dans la présentation par le candidat du dossier qu il a préparé et qu il met à disposition du jury lors de l épreuve. Cette présentation est suivie d un entretien. D après les textes en vigueur, l épreuve «vise à vérifier l aptitude du candidat à : - présenter son dossier au moyen d un exposé structuré ; - analyser une situation en liaison avec l enseignement de la spécialité choisie au concours ; - proposer l utilisation de moyens d enseignement adaptés, notamment informatiques, télématiques, audiovisuels ; - identifier des problèmes d enseignement, préciser des conditions de réussite pour un public visé. - Le dossier (de 20 pages maximum) est réalisé à partir d une situation empruntée à l entreprise ou à partir de l expérience professionnelle du candidat et doit préciser son mode d exploitation dans l enseignement de la discipline en fonction de la spécialité choisie au concours (définition des objectifs, des contenus visés, des types d activités, prolongements disciplinaires éventuels). Le jury apprécie les qualités d analyse du candidat, sa capacité à communiquer, la rigueur et la structure de l exposé, la pertinence des réponses aux questions posées, la perception de l enseignement dans la spécialité (ses finalités, ses contenus, son évolution)». I/ Présentation des résultats Nombre de candidats interrogés : 227 Notes n < 5 5 n < 8 8 n < n < n < 15 n 15 Nombre de candidats Pourcentage 5,73 18,5 17,62 13,22 28,19 16,74 Moyenne générale Note la plus haute Note la plus basse 10, II/ Observations Les dossiers sont en général bien présentés et correspondent dans l ensemble aux exigences de l épreuve (exploitation d une situation d entreprise, transposition didactique, objectifs). Une certaine qualité dans la présentation des dossiers des candidats qui ont suivi une préparation (IUFM, CNED) a été relevée. 18

19 Le jury constate, en général, une amélioration de l expression ; cependant certains dossiers manquent de soin. Les candidats s expriment correctement. Il semblerait que l exposé ait fait l objet d une certaine préparation. Toutefois, le jury constate parfois : - un trop long historique de l entreprise dont la situation est extraite ou même du cabinet comptable, lieu de stage du candidat. Il y a, à l évidence confusion entre un rapport de stage et un dossier d examen ; - un exposé, limité à la simple lecture du contenu du dossier ; - un non respect du temps prévu par le règlement d examen. L entretien démontre une grande hétérogénéité entre les candidats quant à : - leur motivation pour le métier d enseignant ; - la connaissance des lycées professionnels (organisation, profil des élèves, débouchés, etc..) ; - leur qualité d écoute, souvent insuffisante ; - la pertinence de leurs réponses. Le jury a constaté que de nombreux candidats ne connaissent du thème proposé à peine plus que ce qu ils demandent aux élèves. Certains candidats sont incapables de répondre aux questions qu ils envisagent de poser aux élèves, ce qui démontre de graves lacunes dans les domaines professionnels. III/ Conseils aux candidats Le jury rappelle que l épreuve doit faire l objet d une préparation sérieuse ; le dossier doit prendre appui sur une situation réelle d entreprise et adaptée au public visé. Le dossier doit être paginé, présenté avec soin, sans faute d orthographe. Le candidat devra toujours avoir en tête l élève, se mettre le plus souvent à sa place dans sa réflexion pédagogique : comprendra-t-il mes questions? comprendra-t-il les mots que j emploie?. Le choix du thème est important. Il doit : - figurer au référentiel ; - permettre au candidat de se mettre en valeur (éviter les thèmes trop difficiles ou trop simplistes) ; - permettre au candidat de mener une séquence face à des élèves de lycée professionnel ; ce ne doit être, en aucun cas, un exposé magistral ; - permettre de réaliser une transposition didactique réelle, et d éviter de mettre en œuvre des séquences trop scolaires (certains travaux ne se réalisent pas en entreprise, mais sont étudiés en classe parce qu ils permettent justement la compréhension et la réalisation de documents professionnels) ; - être parfaitement maîtrisé par le candidat. Les documents professionnels présentés doivent avoir une utilité réelle et servir de supports à la séquence. Ils ne doivent pas être trop nombreux, et ne pas être trop simplifiés. 19

20 L interdisciplinarité devra être approfondie. L informatique sera utilisée avec pertinence, ne pas être qu un prétexte (tableur utilisé sans raison évidente). L exposé doit être structuré, respecter la consigne de temps, mettre rapidement en évidence les objectifs et expliquer clairement la transposition didactique. Il ne s agit pas de lire le dossier d une voie monocorde et peu convaincante. Lors de l entretien, les candidats doivent argumenter leur réponse en expliquant leur démarche et en la justifiant. Le jury accorde beaucoup d importance à la capacité d autocritique des candidats. Ils doivent savoir faire preuve de modestie et de réalisme. Il est indispensable que les candidats : - contactent un lycée professionnel, afin de connaître son organisation, ses exigences, ses élèves ; - étudient les référentiels des examens préparés en lycées professionnels (en particulier le BEP et le baccalauréat professionnel). 20

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