Danielle Blondeau, inf., PhD. Québec, le 28 mars 2013
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- Rose Victoire Lanthier
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1 L aide médicale à mourir: une forme d euthanasie? Danielle Blondeau, inf., PhD. Québec, le 28 mars 2013
2 Plan 1. Euthanasie ou aide médicale à mourir 1.1 État de la question 1.2 Constats 2. Philosophie des soins palliatifs 3. Sédation palliative 3.1 Mise en contexte 3.2 Résultats d une recherche 3.3 Enjeux éthiques 4. Pistes de réflexion
3 1.1 Euthanasie ou aide médicale à mourir: État de la question Euthanasie veut dire poser un acte sciemment et intentionnellement dans le but explicite de mettre fin à la vie d une autre personne (AMC, 2007).
4 1.1 Euthanasie et assistance au suicide: État de la question Décriminalisation de l euthanasie et de l assistance au suicide Luxembourg: 2009 Pays Bas : (1970) 2002 Belgique : 2002 Suisse: 1990 Oregon: 1997 Washington: 2009
5 1.1 État de la question: au Canada Proscription de l euthanasie par le Code criminel Art. 222 Commet un homicide quiconque, directement ou indirectement, par quelque moyen, cause la mort d un être humain.
6 1.1 État de la question : au Canada Proscription de l assistance au suicide par le Code criminel Art. 241 Est coupable d un acte criminel et passible d un emprisonnement maximal de quatorze ans quiconque, selon le cas : a) Conseille à une personne de se donner la mort; b) Aide ou encourage quelqu un à se donner la mort.
7 1.1 État de la question : au Québec Sortir de l impasse : Une réflexion du CMQ sur les soins en fin de vie (Communiqué de presse, ) Le patient demande généralement de mourir dans la dignité et de ne pas souffrir. [ ] Mais il y a des situations d exception où [ ] on demande aux médecins de poser des gestes qui pourraient être interprétés comme interdits par le Code criminel.
8 1.1 État de la question : au Québec Euthanasie: la FMSQ dévoile les faits saillants de son sondage (Communiqué, ). Taux de réponse : 23 % 76 % est d avis que la FMSQ doit prendre position sur le sujet. 75 % certainement ou probablement favorables à l euthanasie. Mais 20 % indiquent qu ils ne le feraient pas.
9 Réaction de David Haziza Professeur, Dpt de mathématiques et de statistiques, UdeM. «Avec un taux de non réponse aussi important (près de 80 %) à une question aussi délicate que celle de l euthanasie, la conclusion du docteur Barrette relève tout simplement du sport extrême».
10 1.1 État de la question: au Québec Vaste consultation publique par la Commission spéciale sur la question de mourir dans la dignité. 24 recommandations dévoilées en février 2012 Développement des soins palliatifs et accès accru (6) Offre de l aide médicale à mourir (12)
11 Rapport de la Commission: proposition d une nouvelle option Nous avons proposé que cette option prenne la forme d une «aide médicale à mourir». Cette aide consiste en un acte posé par un médecin, dans un contexte médical, à la suite d une demande libre et éclairée faite par la personne malade elle même (p.97).
12 1.2 Constats Euthanasies et assistances au suicide demeurent des pratiques marginales Au début, retard dans le développement des soins palliatifs (Pays Bas) Effet d entraînement même si la pratique est balisée (Matzo & Schwarz, 2001; Young & Ogden, 2000) DB5 DB4 Pratiquée en absence de consentement (Bilsen & al., 2004; Chambaere, K., 2010)
13 Diapositive 12 DB4 Gordijn, B. & Janssens, R. (2000) The prevention of euthanasia through palliative care: New developments in the Netherlands, 41, DB5 Face à l'augmentation des cas d'euthanasie (8900 3n1990 et 9700 en 1995), le Ministre de la santé reconnaît, en 1996, que l'expertise en soins palliatifs est actuellement déficiente et qu'elle est absente des programmes de formation. Ainsi, il croit que le développement des soins palliatifs peut réduire le nombre des cas d,euthanaise. Danielle Blondeau; 08/févr./2011 Aux Pays-Bas, des médecins ont pratiqué l'euthanasie sur des nouveaux-nés, des personnes avec des problèmes de santé mentale, et des personnes agées atteintes de problèmes cognitifs. (Cyberpresse, 4 octobre Antoine Bovin (médecin,et candidate au doctorat au cientific Institute for Quality of Healthcare, aux Pays-Bas. Euthanasie: des risques majeurs) Danielle Blondeau; 08/févr./2011
14 1.2 Constats En Belgique, au sujet de 208 décès provoqués: 142 avec consentement Patients de moins de 80 ans Avec cancer 66 décès sans consentement Patients de 80 et + Maladies autres que le cancer DB6
15 Diapositive 13 DB6 patient comateux (70.1%) ou avec démence (21.1%) Danielle Blondeau; 08/févr./2011
16 1.2 Constats Chambaere, K., Bilsen, J., Cohen, J, Owuteaka Philipsen, B., Mortier, F. & Deliens, L. Physician assisted deaths under the euthanasia law in Belgium: a population based survey CMAJ, 182 (9), 2010
17 1.2 Constats Séries d entrevues confidentielles aux Pays Bas (3 enquêtes en 1990, 1995, 2001)*: 2 % de tous les morts par euthanasie et assistance au suicide (3500); Environ 1000 décès sans la requête explicite du patient; Moins de 45 % sont rapportés, bien que requis par la loi. *Callahan, D. (2008). Organized Obfuscation: Advocacy for Physician Assisted Suicide. Hasting Center Report, 38(5), p. 31.
18 1.2 Constats Callahan (p. 31), bioéthicien américain, soulève ce questionnement face aux implications de la revendication du mourir dans la dignité : Est ce que l assistance au suicide est la seule voie pour une mort dans la dignité? Est ce que la dignité est une question de contrôle?
19 1.2 Constats Le critère original : en présence de maladie terminale. Assouplissement graduel des critères. Ex: migration vers le critère de contrôle, pour les maladies dégénératives évolutives qui conduisent à une perte d autonomie.
20 2. Philosophie des soins palliatifs 1. Reconnaître que la mort et le mourir font partie du processus naturel de la vie 2. Promouvoir la qualité de la vie de la personne mourante 1. Axer les soins sur la personne plutôt que sur la maladie
21 2. Philosophie des soins palliatifs (suite) 4. Soulager les souffrances de la personne et contrôler les autres symptômes 5. Rencontrer les besoins biologiques, psychologiques, sociaux, spirituels et affectifs de la personne 6. Favoriser l expression de l autonomie de la personne 4. Assurer le respect de la dignité de la personne
22 L euthanasie est elle compatible avec la philosophie des soins palliatifs? Une approche palliative accompagne un phénomène «normal» comme mourir. Elle ne hâte ni ne devance celui de la mort. Elle vise à soulager. L euthanasie ne s inscrit pas dans une philosophie de soins palliatifs
23 III. La sédation en fin de vie 3.1 Mise en contexte 3.2 Résultats d une recherche 3.3 Sédation et enjeux éthiques
24 3.1 Mise en contexte: définition de Broeckaert (2002) La sédation palliative est : «the intentional administration of sedative drugs in dosages and combinations required to reduce the consciousness of a terminal patient as much as necessary to adequately relieve one or more refractory symptoms.»
25 3.1 Mise en contexte : Indications En présence de symptômes réfractaires : «Quand un symptôme ne peut être contrôlé en dépit d efforts agressifs suggère que le symptôme ne sera pas soulagé avec les mesures de routine» (trad. libre)* *Cherny & Portenoy. Journal of Palliative Care, p. 31
26 3.2 Résultats de recherche: Sédation palliative Chercheurs : Danielle Blondeau, Ph.D., Université Laval Louis Roy, MD, CHA Serge Dumont, Ph.D., Université Laval Isabelle Martineau, M.Sc. (professionnelle de recherche) Recherche subventionnée par le Conseil de recherche en sciences humaines du Canada (CRSH),
27 Objectif de l étude Mesurer l attitude de médecins et pharmaciens de la province de Québec face à la sédation en fin de vie. Mesurer l influence de deux variables sur l attitude : 1. Pronostic Court : <10 jours Long : 4 à 8 semaines 2. Type de douleur Physique Existentielle
28 L impact des variables indépendantes Fortement en accord Fortement en désaccord Douleur morale Douleur physique Px long Px court
29 L attitude des quatre groupes de sujets Fortement en accord Fortement en désaccord Px long douleur morale Px long douleur physique Px court douleur physique Px court Douleur morale
30 L unique variable statistiquement significative pour l induction de la sédation Le type de douleur Attitude favorable envers la douleur physique Attitude défavorable envers la souffrance existentielle
31 3.3 Sédation et enjeux éthiques Block & Billings: «slow euthanasia» Tenants de l euthanasie : pratique déguisée d euthanasie Pratique «hypocrite» But de la sédation : soulager la souffrance
32 Principes de bienfaisance, de proportionnalité et d autonomie
33 Enjeu éthique fondamental En présence de souffrance existentielle: Sédation intermittente? Recommandation de la SFAP: «La sédation doit être a priori réversible» DB7 DB8
34 Diapositive 31 DB7 Société française d'accompagnement et de soins palliatifs Danielle Blondeau; 08/févr./2011 DB8 Société française d'accompagnement et de soins palliatifs Danielle Blondeau; 08/févr./2011
35 En résumé La sédation représente la dernière solution. En présence de symptômes réfractaires, qu il est impossible de soulager. En conséquence, la sédation ne saurait être une pratique courante en soins palliatifs. La sédation palliative est une pratique acceptable sur le plan éthique.
36 Références Blondeau, D., Roy, L., Dumont, S, Godin, G., & Martineau, I. (2005). Physicians' and Pharmacists' Attitudes Toward the Use of sedation at the End of Life: Influence of Prognosis and Type of Suffering. Journal of Palliative Care, 21(4), Blondeau, D., Dumont, S., Roy, L., & Martineau, I. (2009). Attitudes of Quebec Doctors Toward Sedation at the End of Life: An Exploratory Study. Palliative Support Care, 7(3), pp Blondeau, D., & Roy, L. (2008). Quelques enjeux concernant la pratique de la sédation dans un contexte de soins palliatifs. Cahiers francophones de soins palliatifs, 8(2),
37 Rapport euthanasie et sédation palliative Augmentation du nombre de sédations durant le processus de légalisation de l euthanasie en Belgique (Bilsen et al, 2007) : Euthanasies en 1998 : 1.1 % Euthanasies en 2001 : 0.3 % Sédations palliatives en 2001 : 8.2 % Cinq ans après sa légalisation aux Pays-Bas, déclin des pratiques euthanasiques au profit de sédations palliatives (BMJ, Sheldon, T. 2007; Van der Heide, A. et al. 2007) : Euthanasies en 2001: 3500 (2.6 % des décès) Euthanasies en 2005: 2325 (1.7 % des décès) 34
38 La sédation palliative abrège t elle la vie? La survie des patients sédatés n est pas plus courte que celle de patients non sédatés. Ceci réfute l argument que la sédation palliative est une forme d euthanasie (Claessens et al (2008) Palliativ Sedation: A Review of the Research Literature, p. 329).
39 4. Quelques pistes de réflexion 1. Rapprochement «fallacieux» entre euthanasie et sédation palliative Raisonnement fondé sur un antagonisme entre : a. Apparence de logique issue d une rhétorique b. Caractère mensonger 36
40 4. Quelques pistes de réflexion 2. «Banalisation» de la pratique de sédation palliative Développement des soins palliatifs? Voie d évitement face aux déclarations d euthanasies? 37
41 Quelques pistes de réflexion 3. Pathologisation de la souffrance existentielle La quête de sens La recherche de sens: La thérapie de la dignité (Chochinov et al, 2004) Le «reframing hope: meaning centered care» (Breitbart, 2004) Le «meaning making and psychological adjustement» ( Lee et al., 2006) Etc. 38
42 4. Pistes de réflexion 4. Tendance démographique liée au vieillissement de la population. Surpopulation en CHSLD Euthanasie : un geste héroïque pour alléger le fardeau économique, familial et social?
43 4. Pistes de réflexion 5. Aide médicale à mourir: «un soin approprié de fin de vie»? Le Larousse définit le soin comme :1) Être attentif à, veiller à, 2) Charge, devoir de veiller à quelque chose, 3) Au pluriel soins : moyens par lesquels on s efforce de rendre la santé à un malade; 4) Être aux petits soins pour : Avoir des attentions délicates. Mettre fin à la vie et soigner: deux concepts antinomiques.
44 Conclusion L existence des soins palliatifs est révélatrice d une certaine perception de la mort et de la médecine contemporaine et met conjointement au jour le désir et la possibilité de réintroduire, moyennant certaines limites, une éthicité dans tout acte de soins (Jacquemin, 2004, p.7)
45 George Orwell Si la pensée corrompt le langage, le langage aussi corrompra la pensée.
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