LGT Galilée Cours de Climatisation STS FEE 1 ère Année

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LGT Galilée Cours de Climatisation STS FEE 1 ère Année"

Transcription

1 CALCUL DES CHARGES I. INTRODUCTION Le confort thermique des usagers d un bâtiment passe par le respect des consignes de température et d hygrométrie. Ces conditions de confort sont imposées par un cahier des charges (CCTP) avec une tolérance (cf. cours de confort thermique) et doivent pouvoir être maintenues, quelles que soient les perturbations climatiques internes ou externes, en été comme en hiver. Pour cela, la mise en place d une installation est indispensable. On appelle "charges" les facteurs physiques intérieurs et extérieurs qui perturbent la température et l hygrométrie d un bâtiment. Elles jouent donc un rôle très important dans le dimensionnement d une installation de climatisation. Les équipements devront en effet être suffisamment puissants pour palier aux plus fortes perturbations prévisibles, en été comme en hiver. Le calcul des charges doit se faire dans les conditions de base qui mènent aux charges maximales et qui permettent de connaître les puissances à installer. Remarque Pour les charges intermédiaires, c'est la régulation qui adapte la puissance de l installation aux conditions instantanées. Il ne faut jamais confondre dimensionnement et régulation. Les charges peuvent être classées en 2 catégories: Charges intérieures - Occupants - Machines - Eclairage - Evaporation Charges extérieures - Ensoleillement - Infiltration d air - Conduction - Convection A noter qu'il existe de nombreuses méthodes de calcul des charges (ASHRAE, CARRIER, AICVF etc). Celle que nous appliquerons ici est celle issue du cours de climatisation de G.Porcher; les tableaux nécessaires seront donc pris dans ce cours. 1/20

2 II. LES CHARGES INTERNES II.1. CHARGES DUES AUX OCCUPANTS Les apports en chaleur sensibles H S et latents H L et par conséquent les apports en chaleur totale (H T = H S + H L ) dépendent: des paramètres du climat intérieur (température sèche, humidité) de paramètres liés à l individu (sexe, âge, activité) de l inertie du local de la durée d occupation (H S seulement) Les valeurs à prendre en compte sont dans le tableau Annexe A1. Les apports en chaleur sensible sont décalés dans le temps en raison de l accumulation de la chaleur dans les murs: Avec: H RS =C.H S H RS : apports réels en chaleur sensible H S : apports instantanés en chaleur sensible C: coefficient de correction (restitution) qui tient compte du temps d occupation total et de l'inertie du bâtiment (Cf. tableau annexe A2): Comme les apports en chaleur latente sont immédiats, on a donc des apports réels totaux H RT tels que: H RT = H RS + H L = C x H S + H L Application: Hypothèses: 25 élèves + 1 enseignant Effectif mixte Occupation de 8h à 17h Température intérieure 25 C Travail demandé: 1- Calculer pour chaque heure de la journée: - les apports d humidité M, puis de chaleur latente H L - les apports instantanés de chaleur sensible H S - les apports réels totaux H RT 2- De tracer l évolution horaire des apports réels sensible et totaux. 3- A quelle heure les apports dus aux occupants sont ils maximums? 2/20

3 II.2. CHARGES DUES AUX MACHINES On distingue deux types de machines: - celles qui apportent uniquement de la chaleur (moteur électrique, machine de bureau: ordinateur, photocopieuse etc.) - celles qui apportent chaleur et humidité (machine à laver, four etc.) Les valeurs des apports calorifiques des machines sont généralement données par les constructeurs (sous forme de puissances électriques et de rendements par exemple). II.3. CHARGES DUES A L ECLAIRAGE Les apports dus à l éclairage se font par convection et rayonnement. Suivant le type d éclairage l un ou l autre des modes de transfert de chaleur est prépondérant: Type d éclairage Rayonnement Lumineux Infrarouge Convection Lampe à incandescence 10% 70% 20% Lampe à fluorescence 20% 30% 50% L énergie rayonnée est tout d abord absorbée par les murs l énergie cédé à l air du local est donc faible. Lorsque la capacité d absorption du matériau diminue, la chaleur cédée à l air augmente. Lorsqu'on arrête le chauffage la chaleur emmagasinée est restituée ce qui provoque des apports retardés On a par conséquent: Avec: H = M x W Abs H: apports réel en [W] W Abs : puissance électrique réellement installée pour l éclairage M: coefficient de correction fonction du type d éclairage, du temps écoulé après allumage, inertie du bâtiment, durée d éclairage, durée de fonctionnement de la climatisation Cf. tableau p216 à 221 du cours de climatisation de G.Porcher. Remarques: Si l éclairage reste allumé pendant toute la durée de fonctionnement de l installation, on prendra un coefficient M=1. Dans certain locaux climatisés où la puissance d éclairage est très importante, on envisage parfois le refroidissement des luminaires par circulation d air 3/20

4 Application: Hypothèses: Soit un bureau de 5x4 [m 2 ] constitué de parois en construction légère (masse des parois pour 1 [m 2 ] de plancher<500[kg/m 2 ]). Il est prévu un éclairage de 16[W/m 2 ] obtenu par des appareils à fluorescence non encastrés. La température maintenue est de 25[ C]. Travail demandé: Quels sont les apports réels à 15 heures sachant que les locaux sont occupés de 9 à 18 heures en semaine et de 9 à 12 heures le samedi? Rép: H Semaine = 308 [W] et H Samedi = 38,4 [W] II.4. CHARGES DUES A L EVAPORATION Elle concerne les apports en humidité provenant de l évaporation d un plan d eau Le débit massique mv d eau évaporée (en kg/.h/m 2 ) est fonction: de la vitesse de l air, de Pvs: pression de vapeur saturée et immobile en contact avec l eau (Pa) de Pv: pression partielle de vapeur d eau de l air ambiant (Pa) v air < 0,1 m/s mv = 1, x (Pvs-Pv) v air > 0,1 m/s mv = 1, x (1 +v air /1,16)x (Pvs-Pv) Application: Dans une piscine où l air est considéré calme, l eau du bassin est à 20 C. L air ambiant est à une température de 25 C, ϕ=60%, la surface du bassin est de 250m². Calculer la masse d eau évaporée par heure. Rép: mv = 14,8 kg/h car Pvs(20 C)=2337[Pa] et Pvs(25 C)=3166[Pa] III. LES CHARGES EXTERNES III.1. CHARGES DUES AUX INFILTRATION D AIR Les infiltrations d air dépendent de l étanchéité à l air des menuiseries ainsi que de la différence de pression entre l intérieur et l extérieur du bâtiment. Si le local est en surpression il n y a pas d infiltration par contre si la pression relative du local est nulle ou si le local est en dépression, il faudra tenir compte des charges dues aux infiltrations. 4/20

5 Les apports en chaleur sensible Avec: Hs = qm as x Cp Air x (Te-Ti) Te, Ti: température intérieure et extérieure ( C) Cp Air : chaleur massique de l air qm as : débit massique d air infiltré, déterminé à partir du tableau ci-dessous: Nbre de parois extérieures possédant un ouvrant Qm d'infiltration en kg/h/m 3 de local Les apports en humidité Avec: qm vap = qm as x (r s e r s i) r s e, r s i: humidité spécifique de l air intérieur et de l'air extérieur en (kge/kg AS ) Les apports enthalpiques ou apport totaux: Avec: H = qm as x (he-hi) = H S + H L he, hi: enthalpie de l air intérieur et extérieur en [kj/kgas] Remarque Ti, r s i, hi ne varie pas par contre Te, r s e, he évoluent tout au long de la journée (cf. annexe B). Application Calculer les apports calorifiques dus aux infiltrations dans un local climatisé de Reims, le débit d'infiltration étant estimé à 50[kgas/h]. Les conditions intérieurs sont 23[ C] et 50%. Les conditions extérieures de base sont 30[ C] et 40%. Rép: Q=0,14[kW] et Meau=90[g/h] 5/20

6 III.2. CHARGES DUES AUX VITRAGES Ce sont les apports les plus importants, ils peuvent représenter jusqu à 80% des charges d un bâtiment. III.2.a. Principe L apport global du à l ensoleillement d un vitrage est la somme de la portion de flux solaire global transmise directement et d environ 40% de la portion du flux solaire absorbée par le vitrage. ϕ 40% αϕ τϕ ϕ = ( τ + 0,4 x α ) x ϕ ρϕ La valeur des apports effectifs j sont données dans des tableaux en fonction: du mois, de l orientation, de l heure, latitude, pour un vitrage ordinaire de 3mm d épaisseur avec un encadrement en bois et pour une altitude 0 aux conditions de trouble minimal. A noter que l'on utilisera souvent la valeur maximale de j (cf. en annexe C1) Remarque: Heure solaire = heure légale - 2 en été - 1 en hiver III.2.b. Calcul des apports solaires par un vitrage Fe = k 1.k 2.F v.n.j.s Avec: k 1 : si l encadrement est métallique on applique le coefficient correcteur k 1 = 1,17 k 2 : Pour tenir compte d une altitude différente et du trouble de l atmosphère on applique un coefficient k2 (cf. en annexe C2) N: coefficient de correction affectant les apports effectifs maximaux pour un simple vitrage F v : facteur solaire du vitrage ϕ : Flux solaire maximal [W/m2] S: surface réelle d'ensoleillement 6/20

7 III.2.c. Facteur solaire Fv Pour tenir compte de la nature du vitrage (épaisseur, traitement éventuel, présence de store..), on introduit la notion de facteur solaire, noté Fv et tel que: Fv = Flux transmis par le vitrage anti-solaire Flux total transmis à travers in vitrage ordinaire Pour un vitrage simple non protégé Fv=1 Pour un vitrage anti-solaire Fv < 1 En cas de protection, les valeurs de Fv sont généralement fournies par les constructeurs (cf. annexe C5). III.2.d. Coefficient de correction N pour les apports effectifs maximaux De même que pour l occupation et l éclairage, il faut tenir compte d un déphasage et de l amortissement pour obtenir les apports réels par le vitrage à partir de la valeur maximale du flux. Pour cela on utilise un coefficient N, fonction de la durée d ensoleillement, de l inertie du bâtiment et de la durée de fonctionnement de la climatisation (cf. annexe C6). Ils sont donnés dans les tableaux (p 251 à 253, cours de climatisation. G.Porcher). III.2.e. Application "Calcul d'un flux surfacique d'ensoleillement" On considère une salle de conférence ayant une grande fenêtre à encadrement métallique de 10 x 3 (m2), orientée Sud (latitude 50 Nord), sans stores intérieurs. On prendra pour les calculs une inertie moyenne. La durée de fonctionnement de l'installation en cette saison est de 12h. Déterminer les apports surfaciques réels par insolation en Juin, à 15H pour une ville moyenne. Rép: Apports=7 [kw] III.2.f. Calcul de la surface réelle du vitrage ensoleillée Les fenêtres ont des retrait ou des masques qui produisent une ombre sur la vitre. Pour connaître cette ombre, il faut déterminer: La position du soleil (hauteur, azimut) Les dimensions du retrait de la fenêtre L aire du vitrage au soleil est égale à: L aire du vitrage à l ombre est égale à: Ss = (L-X).(H-Y) So = LH (L-X).(H-Y) NB: Les valeurs de X et Y sont définies à partir d'abaques, cf. annexe C3. Pour les bâtiments masqués (cf. annexe C4), on a : Ss= S TOT - So= S TOT - Lo.Ho Avec: Lo=L A -[l+d.tan(â)] Ho=H B -d.tan(h) 7/20

8 III.3. APPORTS PAR LES PAROIS EXTERIEURES En hiver pour calculer les puissances à installer, on néglige les apports solaires car on se place dans le cas le plus défavorable. On a donc affaire à une étude en régime permanent puisque seuls les flux de conduction/convection à travers les parois sont pris en compte avec des températures extérieure (de base) et intérieure (de consigne) considérées comme constantes. En été, les apports à prendre en compte par les parois résultent à la foi de la différence de température entre l extérieur et l intérieur et du rayonnement solaire sur les parois. On ne peut donc plus considérer le régime comme permanent. Afin de se ramener à un cas de type "régime permanent" (plus simple à traiter), on définit une température extérieure équivalente. III.3.a. Température extérieure équivalente: Il s'agit d'une température fictive qui donnerait en régime permanent le même apport par convection que celui qui résulte des apports par convection et rayonnement. On a par conséquent: he x (θe-θse) + αϕs = he x (θeq-θse) α.ϕ. S θ equivalente = θext + he Remarque: relation entre facteur d absorption et couleur de la paroi Paroi de couleur très foncé α = 0,9 Paroi de couleur foncé α = 0,7 Paroi de couleur claire α = 0,5 Paroi de couleur très claire α = 0,3 III.3.b. Température extérieure virtuelle C est la température extérieure qui produirait, en régime permanent, un apport calorifique identique à celui que produit par les parois extérieure le régime variable au même instant. On définit l écart virtuel de température par: θev = θev - θi Il dépend, du facteur d absorption, du mois, de l heure, de la latitude inertie de la construction. Les valeurs de θev sont données dans les tableaux page 276 à 295 pour θi=25 C. Pour des températures différentes on applique la formule corrective suivante: Dqev, i = Dqev, 25 + (25-qi) F = K x S x Dqev K: coefficient d échange thermique de la paroi S: surface en m² θev : écart de température extérieur virtuel 8/20

9 Annexe A1 Chaleur sensible en [Watt/personne] et Humidité en [gramme/heure/personne] A noter: - Lorsque la population est entièrement féminine on diminuera les valeurs du tableau de 20%. - Si la proportion homme-femme n est pas connue, on diminue forfaitairement les valeurs du tableau de 10%. - S il s agit d enfants, on diminue les valeurs de 20 à 40% selon l âge.

10 Annexe A2 (Page 1/2)

11 Annexe A2 (Page 2/2)

12 Annexe B Annexe C1

13 Annexe C2 Annexe C3 (1/4)

14 Annexe C3 (2/4)

15 Annexe C3 (3/4)

16 Annexe C3 (4/4) Valeurs de la hauteur h du soleil au dessus de l'horizon en été

17 Annexe C4

18 Annexe C5

19 BTS FEE 1 ère Année Cours de Climatisation LGT Galilée Annexe C6

20 BTS FEE 1 ère Année Cours de Climatisation LGT Galilée Annexe C7

Retours d expériences: le suivi de bureaux. Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est

Retours d expériences: le suivi de bureaux. Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est Retours d expériences: le suivi de bureaux Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est Sommaire 2 L opération étudiée Visite de chantier Instrumentation Explication des consommations Analyse

Plus en détail

L opération étudiée : le SDEF

L opération étudiée : le SDEF L opération étudiée : le SDEF Situation géographique 29 Landivisiau Finistére Zone H2a Altitude : 34 m Acteurs de l opération Maitrise d ouvrage Maître d œuvre / Architecte BET Thermique SDEF Atelier 3

Plus en détail

Fiche d application. 7 octobre 2013 1.0

Fiche d application. 7 octobre 2013 1.0 MINISTÈRE DE L ÉGALITÉ DES TERRITOIRES ET DU LOGEMENT MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE Diagnostic de Performance Energétique Fiche d application Date Version 7 octobre

Plus en détail

Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar

Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar Revue des Energies Renouvelables Vol. 15 N 2 (2012) 357-364 Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar S. Sami-Mécheri 1*, D. Semmar 2 et

Plus en détail

Note technique. Consommation électrique d'un poêle à granulés à émission directe

Note technique. Consommation électrique d'un poêle à granulés à émission directe Note technique Consommation électrique d'un poêle à granulés à émission directe Version / Date Version 1.0 du 06/02/2012 Auteur David Chénier 2012, Amoès SAS. Toute utilisation, reproduction intégrale

Plus en détail

VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE

VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE le climat et l'environnement du bâtiment Pourquoi ventiler? VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE La ventilation consiste à renouveler l air d une pièce ou d un bâtiment. Elle agit directement sur la température

Plus en détail

kst ag Module thermoactif klima system technologie klima system technologie

kst ag Module thermoactif klima system technologie klima system technologie kst ag Module thermoactif system klima technologie klima system technologie 2 Confort climatique et bien-être Le module thermoactif de KST AG intègre la masse du bâtiment dans la gestion énergétique du

Plus en détail

Émissions de gaz à effet de serre (GES) pour le chauffage, la production d eau chaude sanitaire et le refroidissement

Émissions de gaz à effet de serre (GES) pour le chauffage, la production d eau chaude sanitaire et le refroidissement SDH - SARL n 23 Avenue Gambetta 17100 Saintes Tél. : 05 46 97 61 34 - Fax : 05 46 97 26 30 N SIREN : 504 761 248 Compagnie d assurance : Generali Assurances n AL169975 Diagnostic de performance énergétique

Plus en détail

en Appartement Besoins, Choix du Système, Coûts...

en Appartement Besoins, Choix du Système, Coûts... Le Chauffage Individuel en Appartement Besoins, Choix du Système, Coûts... www.ale-lyon.org >> Quel est le meilleur système de chauffage chez moi? Il n y a pas de réponse unique, chaque logement et chaque

Plus en détail

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse

Plus en détail

ISOLANTS EN FIBRES DE BOIS SyLvAcTIS. En isolation, le progrès c est aussi de savoir s inspirer de la nature. Entreprise certifiée

ISOLANTS EN FIBRES DE BOIS SyLvAcTIS. En isolation, le progrès c est aussi de savoir s inspirer de la nature. Entreprise certifiée En isolation, le progrès c est aussi de savoir s inspirer de la nature. ISOLANTS EN FIBRES DE BOIS SyLvAcTIS Entreprise certifiée PEFC/10-31-2030 PROMOUVOIR LA GESTION DURABLE DE LA FORÊT UNE ISOLATION

Plus en détail

Maison Modèle BIG BOX Altersmith

Maison Modèle BIG BOX Altersmith Maison Modèle BIG BOX Altersmith SOLUTIONS D ENVELOPPE & DE SYSTÈMES PERFORMANCES RT 2005 & LABELS I. Présentation de la maison BIG BOX - T3...2 II. Enveloppes...3 1. Présentation de l enveloppe...3 2.

Plus en détail

Dalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton

Dalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton Dalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton Basé sur l expérience, piloté par l innovation L activation du noyau de béton : un système bien conçu, économe et durable. Construire selon ce principe,

Plus en détail

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance. 9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation

Plus en détail

Energie solaire www.euroclima.fr

Energie solaire www.euroclima.fr Chaudières françaises fabriquées en Alsace depuis 1973 Energie solaire www.euroclima.fr E U R O C L i M A Un système complet La clé de l efficience solaire réside dans l association et l optimisation des

Plus en détail

GSE AIR SYSTEM V3.0 L indépendance énergétique à portée de mains

GSE AIR SYSTEM V3.0 L indépendance énergétique à portée de mains AÉROVOLTAÏQUE V3.0 L indépendance énergétique à portée de mains Photos non contractuelles www.gseintegration.com L'alliance des économies d'énergie et du confort thermique Édito L énergie solaire est indispensable

Plus en détail

Aide à l'application Preuve du besoin de réfrigération et/ou d humidification de l air Edition mai 2003

Aide à l'application Preuve du besoin de réfrigération et/ou d humidification de l air Edition mai 2003 CONFERENCE DES SERVICES CANTONAUX DE L'ENERGIE KONFERENZ KANTONALER ENERGIEFACHSTELLEN Aide à l'application Preuve du besoin de réfrigération et/ou d humidification de l air 1. Contexte Une série d'aides

Plus en détail

40 ECO-CONSEILS 7 fiches pour une consommation annuelle d énergie plus légère.

40 ECO-CONSEILS 7 fiches pour une consommation annuelle d énergie plus légère. «Consommer moins en consommant mieux» 40 ECO-CONSEILS 7 fiches pour une consommation annuelle d énergie plus légère. Maîtriser notre consommation en électricité, c est nous engager à adopter des gestes

Plus en détail

Système d énergie solaire et de gain énergétique

Système d énergie solaire et de gain énergétique Système d énergie solaire et de gain énergétique Pour satisfaire vos besoins en eau chaude sanitaire, chauffage et chauffage de piscine, Enerfrance vous présente Néo[E]nergy : un système utilisant une

Plus en détail

1 222 rue de l Université 75343 PARIS 07 téléphone 01 56 61 71 01

1 222 rue de l Université 75343 PARIS 07 téléphone 01 56 61 71 01 Questionnaire sur les conditions générales d accueil et de conservation d œuvres dans le cadre d un prêt Institution : Adresse : Téléphone /Fax : Email : Date : Questionnaire rempli par (nom et qualité)

Plus en détail

Diagnostic de performance énergétique logement (6.2)

Diagnostic de performance énergétique logement (6.2) Diagnostic de performance énergétique logement (6.2) N :... 2014-09-3370 Valable jusqu au :... 29/09/2024 Type de bâtiment :... Habitation (parties privatives d immeuble collectif) Année de construction

Plus en détail

Datacentre : concilier faisabilité, performance et éco-responsabilité

Datacentre : concilier faisabilité, performance et éco-responsabilité Datacentre : concilier faisabilité, performance et éco-responsabilité La climatisation des salles informatiques: compréhension et état des lieux Charles Vion, Responsable Service Projet Sylvain Ferrier,

Plus en détail

Energies. D ambiance REFERENCES : ACTIONS MENEES : CONTACT : DESCRIPTION TECHNIQUE DES ACTIONS ENGAGEES : GAINS OU BENEFICES DEGAGES : renouvelables

Energies. D ambiance REFERENCES : ACTIONS MENEES : CONTACT : DESCRIPTION TECHNIQUE DES ACTIONS ENGAGEES : GAINS OU BENEFICES DEGAGES : renouvelables REFERENCES : Entreprise : ELEC-EAU 47 Rue de la petite vitesse 72300 Sablé sur Sarthe Tél. : 02 43 95 07 22 Effectif : 11 salariés Activité : Electricité, plomberie, chauffage et climatisation Energies

Plus en détail

Page : 1 de 6 MAJ: 01.03.2010. 2-10_Chaudieresbuches_serie VX_FR_010310.odt. Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol :

Page : 1 de 6 MAJ: 01.03.2010. 2-10_Chaudieresbuches_serie VX_FR_010310.odt. Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol : Page : 1 de 6 Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol : Référence article 058.01.250: VX18 Référence article 058.01.251: VX20 Référence article 058.01.252: VX30 Chaudière spéciale à gazéification

Plus en détail

GUIDE D EVALUATION DE L AMBIANCE THERMIQUE (AR 4 juin 2012)

GUIDE D EVALUATION DE L AMBIANCE THERMIQUE (AR 4 juin 2012) IDENTIFICATION Entreprise: Service/local/fonction : GUIDE D EVALUATION DE L AMBIANCE THERMIQUE (AR 4 juin 2012) FROID EXCESSIF AMBIANCE THERMIQUE MODEREE CHALEUR EXCESSIVE CONTRAINTE CONFORT CONTRAINTE

Plus en détail

Réduire sa consommation d énergie dans les entreprises industrielles

Réduire sa consommation d énergie dans les entreprises industrielles Martina Kost Réduire sa consommation d énergie dans les entreprises industrielles B4E 80 rue Voltaire BP 17 93121 La Courneuve cedex Joseph Irani www.b4e.fr Tél: 01.48.36.04.10 Fax: 01.48.36.08.65 Réduire

Plus en détail

Annexe 3 Captation d énergie

Annexe 3 Captation d énergie 1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,

Plus en détail

Confort d été. Fiche technique

Confort d été. Fiche technique Fiche technique Confort d été 2 7 9 Connaître Les moyens d améliorer le confort d été Regarder Limiter l apport thermique solaire Protection par rapport aux apports solaires directs et indirects. Limiter

Plus en détail

Chapitre 11 Bilans thermiques

Chapitre 11 Bilans thermiques DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................

Plus en détail

Description du système. Pompe 1 : Pompe de régulation du retour sur le poêle.

Description du système. Pompe 1 : Pompe de régulation du retour sur le poêle. Description du système Pompe 1 : Pompe de régulation du retour sur le poêle. La vitesse de la pompe varie de façon à ce que la température de l eau qui reparte vers le poêle soit toujours de 60 C. Le débit

Plus en détail

CERTIFICAT DE PERFORMANCE ENERGETIQUE

CERTIFICAT DE PERFORMANCE ENERGETIQUE Rue Knapen 11 100 SCHAERBEEK Superficie brute: 242 m² 1 Performance énergétique du bâtiment Très économe

Plus en détail

Formation Bâtiment Durable :

Formation Bâtiment Durable : Formation Bâtiment Durable : Rénovation à haute performance énergétique: détails techniques Bruxelles Environnement LE SYSTÈME DE CHAUFFAGE ET LA PRODUCTION D EAU CHAUDE SANITAIRE François LECLERCQ et

Plus en détail

Réduction de la consommation énergétique des datacenter : optimisation du conditionnement d air, influence de. l architecture

Réduction de la consommation énergétique des datacenter : optimisation du conditionnement d air, influence de. l architecture Réduction de la consommation énergétique des datacenter : optimisation du conditionnement d air, influence de Orange Labs l architecture David Nörtershäuser, Recherche & Développement Stéphane Le Masson,

Plus en détail

Profitez au mieux de votre logement économe en énergie. Bâtiment basse consommation. Ce qu il faut savoir et comment vous adapter

Profitez au mieux de votre logement économe en énergie. Bâtiment basse consommation. Ce qu il faut savoir et comment vous adapter CONSEILS AUX PARTICULIERS Bâtiment basse consommation Profitez au mieux de votre logement économe en énergie Ce qu il faut savoir et comment vous adapter Que vous apporte un bâtiment économe en énergie?

Plus en détail

Rt 5. L isolant Thermo-réfléchissant. Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! 6.1 10.2. www.thermosulit.be. Système de recouvrements plats

Rt 5. L isolant Thermo-réfléchissant. Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! 6.1 10.2. www.thermosulit.be. Système de recouvrements plats 6. 0. L isolant Thermo-réfléchissant Rt 5 m²k/w (Rapport CIM 0/007) Système de recouvrements plats Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! www.thermosulit.be Découvrez Thermosulit Thermosulit 6. et 0.

Plus en détail

SOMMAIRE. Qu est-ce que le compteur électronique... page 1. Comment consulter les informations... page 1. Les différentes options tarifaires...

SOMMAIRE. Qu est-ce que le compteur électronique... page 1. Comment consulter les informations... page 1. Les différentes options tarifaires... Edition Édition 2008 Juillet 2000 SOMMAIRE Qu est-ce que le compteur électronique... page 1 Comment consulter les informations... page 1 Les différentes options tarifaires... page 1 a)option base... page

Plus en détail

TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance

TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR Tâche T4.2 : Mise en service des installations Compétence C1.2 : Classer, interpréter, analyser Thème : S5 : Technologie des installations frigorifiques

Plus en détail

T. BONNARDOT 17/12/2010

T. BONNARDOT 17/12/2010 CYTHELIA Conseil & Expertise La Maison ZEN 350, route de la traverse 73 000 MONTAGNOLE Tel +33 (0) 4 79 25 31 75 www.cythelia.fr SARL au capital de 140 000 - RCS Chambéry B 393 290 937 - APE 7219 Z RT

Plus en détail

Zone Région de Bruxelles Capitale

Zone Région de Bruxelles Capitale Objet Zone Au Fédéral Région Wallonne Région de Bruxelles Capitale Région Flamande Audit énergétique Thermographie infrarouge Pour audit énergétique (auditeur agréé PAE1 ou 2) dans habitation existante,

Plus en détail

Editorial. Daniel BEGUIN

Editorial. Daniel BEGUIN Editorial Bien que cette question soit moins souvent évoquée que la pollution industrielle ou les émissions de gaz carbonique liées aux véhicules, la construction d une maison peut représenter un enjeu

Plus en détail

1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE

1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE CONFERENCE DERBI 1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE 1er SYSTEME SOLAIRE COMBINE La climatisation Le chauffage L eau chaude sanitaire HISTORIQUE Fin 2003 : Lancement du projet Début 2005 : 1er prototype opérationnel

Plus en détail

LIVRET GESTES VERTS. GEMME CORIOLIS Saint-Martin d Hères Maître d ouvrage : INPG. JUIN 2013 / Version 3 Diffusé le 08 juillet 2013

LIVRET GESTES VERTS. GEMME CORIOLIS Saint-Martin d Hères Maître d ouvrage : INPG. JUIN 2013 / Version 3 Diffusé le 08 juillet 2013 LIVRET GESTES VERTS GEMME CORIOLIS Saint-Martin d Hères Maître d ouvrage : INPG JUIN 2013 / Version 3 Diffusé le 08 juillet 2013 Adresse Postale CS 60013-38702 - La Tronche Cedex Siège Social / Rue de

Plus en détail

Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir?

Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir? COURS-RESSOURCES Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que Objectifs : / 1 A. Les besoins en eau chaude sanitaire La production d'eau chaude est consommatrice en énergie. Dans les pays occidentaux,

Plus en détail

2.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid

2.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid Chapitre Les bétons courants.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid.7.1 - Le bétonnage par temps chaud 3 Granulats Les conditions climatiques lors de la mise en œuvre ont une grande influence sur

Plus en détail

LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE

LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE Page 1 / 6 LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE 1) Qu est-ce qu un sensor de pression? Tout type de sensor est composé de 2 éléments distincts : Un corps d épreuve soumit au Paramètre Physique φ à mesurer

Plus en détail

Fiche de lecture du projet de fin d étude

Fiche de lecture du projet de fin d étude GENIE CLIMATIQUE ET ENERGETIQUE Fiche de lecture du projet de fin d étude Analyse du phénomène de condensation sur l aluminium Par Marine SIRE Tuteurs : J.C. SICK Manager du Kawneer Innovation Center &

Plus en détail

Entreprise de charpente :

Entreprise de charpente : Maîtres d ouvrage : M. et Mme Lepavec, 05 Château-Vieux Maître d œuvre : M. Romuald Marlin, 05 Sigoyer BE Bois : S.A.R.L. E.Tech.Bois, 04 Sisteron Entreprise de charpente : S.A.R.L. Garcin, 04 Sisteron

Plus en détail

Que nous enseigne la base de données PAE?

Que nous enseigne la base de données PAE? Que nous enseigne la base de données PAE? Séminaire auditeurs PAE 8 juin 2009 Nicolas Heijmans, ir Division Energie et Climat CSTC - Centre Scientifique et Technique de la Construction 00/00/2006 Contenu

Plus en détail

L efficience énergétique...

L efficience énergétique... ......Une technique intelligente de régulation au service Edgar Mayer Product Manager CentraLine c/o Honeywell GmbH 02 I 2009 Grâce aux techniques de régulation intelligentes d aujourd hui, il est possible

Plus en détail

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http:// 2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation

Plus en détail

ALFÉA HYBRID DUO FIOUL BAS NOX

ALFÉA HYBRID DUO FIOUL BAS NOX ALFÉA HYBRID BAS NOX POMPE À CHALEUR HYBRIDE AVEC APPOINT FIOUL INTÉGRÉ HAUTE TEMPÉRATURE 80 C DÉPART D EAU JUSQU À 60 C EN THERMODYNAMIQUE SOLUTION RÉNOVATION EN REMPLACEMENT DE CHAUDIÈRE FAITES CONNAISSANCE

Plus en détail

LA CAMÉRA THERMIQUE GUIDE PRATIQUE DE. pour les activités du bâtiment 4SOMMAIRE

LA CAMÉRA THERMIQUE GUIDE PRATIQUE DE. pour les activités du bâtiment 4SOMMAIRE GUIDE PRATIQUE DE LA CAMÉRA THERMIQUE pour les activités du bâtiment SOMMAIRE 1. DÉFINIR SA MISSION 2 2. CHOISIR SA CAMÉRA THERMIQUE 3 3. PROPOSER UNE INSPECTION AVEC CAMÉRA THERMIQUE À SON CLIENT 5. ANTICIPER

Plus en détail

Principe de fonctionnement de la façade active Lucido. K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.

Principe de fonctionnement de la façade active Lucido. K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido. Principe de fonctionnement de la façade active Lucido K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.doc 0. Préambule Le présent document est élaboré dans le but

Plus en détail

Solutions alternatives à la climatisation. Alain GARNIER

Solutions alternatives à la climatisation. Alain GARNIER Solutions alternatives à la climatisation Alain GARNIER 14 avril 2015 1. Les dérives dues à la climatisation Le parc de bâtiments climatisés en France est encore faible, mais il est en constante augmentation

Plus en détail

D i a g n o s t i q u e u r I m m o b i l i e r Tél. 04 94 19 18 39 Port. 06 60 96 06 83 Fax 04 94 19 22 50

D i a g n o s t i q u e u r I m m o b i l i e r Tél. 04 94 19 18 39 Port. 06 60 96 06 83 Fax 04 94 19 22 50 A DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE Logement (6.2) Décret n 2006-1114 du 5 septembre 2006, Décret n 2006-1147 du 14 septembre 2006, Arrêtés du 15 septembre 2006 INFORMATIONS GENERALES N de rapport

Plus en détail

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Kokouvi Edem N TSOUKPOE 1, Nolwenn LE PIERRÈS 1*, Lingai LUO 1 1 LOCIE, CNRS FRE3220-Université

Plus en détail

Soumise à l effet du vent, à la différence

Soumise à l effet du vent, à la différence CVC N 871 NOV./DÉC. 2011 13 PROFESSION ÉTUDE Infiltrométrie Vers un résultat d étanchéité à l air des bâtiments La réglementation thermique 2012 impose un niveau élevé d étanchéité à l air des nouveaux

Plus en détail

Etude et amélioration du comportement thermique d une habitation

Etude et amélioration du comportement thermique d une habitation Etude et amélioration du comportement thermique d une habitation menée avec ARCHIWIZARD Contexte de l étude Mr et Mme LE LOUSTIC viennent d acquérir une maison se situant à Hennebont (56). Peu de travaux

Plus en détail

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les

Plus en détail

la climatisation automobile

la climatisation automobile Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous

Plus en détail

FRnOG, 25/01/2013. Marilyn, un datacenter vertical

FRnOG, 25/01/2013. Marilyn, un datacenter vertical FRnOG, 25/01/2013 Marilyn, un datacenter vertical www.celeste.fr Marilyn, un datacenter vertical Pourquoi un datacenter? Pourquoi l air? Pourquoi vertical? Qui est CELESTE? CELESTE est fournisseur d accès

Plus en détail

la comparaison des ampoules

la comparaison des ampoules description la comparaison des ampoules 6 e année, Sciences et technologie Source : Adapté de TDSB, Heat in the Environment Au cours de cette activité d apprentissage, les élèves exploreront leur utilisation

Plus en détail

ÉCONOMIES D ÉNERGIE, ÉNERGIES RENOUVELABLES ET PRATIQUES ÉCOLOGIQUES

ÉCONOMIES D ÉNERGIE, ÉNERGIES RENOUVELABLES ET PRATIQUES ÉCOLOGIQUES ÉCONOMIES D ÉNERGIE, ÉNERGIES RENOUVELABLES ET PRATIQUES ÉCOLOGIQUES Comment réduire ma facture énergétique et en même temps mon impact sur l environnement. Sommaire 1 COMBIEN CONSOMMONS NOUS CHACUN?...2

Plus en détail

Un bâti en tuffeau pour aujourd hui

Un bâti en tuffeau pour aujourd hui P a r c naturel régional Loire-Anjou-Touraine Les fiches techniques du Parc Patrimoine bâti Un bâti en tuffeau pour aujourd hui Réhabilitation d une ancienne grange en gîte touristique Localisation : Gîte

Plus en détail

ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 21

ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 21 ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 21 HYGIENE ET SÉCURITÉ JUIN 2001 Francis MINIER Inspecteur d Hygiène et de Sécurité Correspondant académique à la sécurité Tel : 02 38 79 46 64 Secrétariat

Plus en détail

Comprendre la réglementation thermique 2012 (RT2012)

Comprendre la réglementation thermique 2012 (RT2012) Comprendre la réglementation thermique 2012 (RT2012) Sommaire 1 Un engagement fort du Grenelle de l environnement 1 Calendrier et champ d application 2 Les nouveautés 3 Les exigences 9 Les quatre niveaux

Plus en détail

Comparaison des performances d'éclairages

Comparaison des performances d'éclairages Comparaison des performances d'éclairages Présentation Support pour alimenter des ampoules de différentes classes d'efficacité énergétique: une ampoule LED, une ampoule fluorescente, une ampoule à incandescence

Plus en détail

Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement

Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement Conçu et équipé pour s adapter aux méthodes de travail et aux exigences de communications des nouvelles technologies, le nouvel immeuble

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET SESSION 2010 France métropolitaine BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE ÉPREUVE N 2 DU PREMIER GROUPE ÉPREUVE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Option : Génie des équipements agricoles Durée : 3 heures 30 Matériel

Plus en détail

Le chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs

Le chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs Le chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs 1. Bases 1.1. Fonctionnement du chauffe-eau à pompe à chaleur (CEPAC) Comme son nom l indique, un chauffe-eau pompe à chaleur

Plus en détail

Chauffage individuel FICHE TECHNIQUE

Chauffage individuel FICHE TECHNIQUE FICHE TECHNIQUE Chauffage individuel 2 9 10 CONNAÎTRE > Chauffage central à eau > Chauffage par pièce > Autres systèmes REGARDER > Energies utilisées > Consommations > Inconforts ENTRETENIR > Contrat de

Plus en détail

Eau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE

Eau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE FICHE TECHNIQUE Eau chaude sanitaire 2 5 6 6 CONNAÎTRE > Les besoins d eau chaude sanitaire > Les modes de production > La qualité de l eau > Les réseaux de distribution > La température de l eau REGARDER

Plus en détail

CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES I CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES. II PUISSANCE ET ÉNERGIE

CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES I CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES. II PUISSANCE ET ÉNERGIE CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES I CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES. II PUISSANCE ET ÉNERGIE I Chaine énergétique a- Les différentes formes d énergie L énergie se mesure en Joules, elle peut prendre différentes formes : chimique,

Plus en détail

de l eau chaude pour toute l a famille, disponible à tout moment. Pompe à chaleur pour la production d Eau Chaude Sanitaire pompes á chaleur

de l eau chaude pour toute l a famille, disponible à tout moment. Pompe à chaleur pour la production d Eau Chaude Sanitaire pompes á chaleur de l eau chaude pour toute l a famille, disponible à tout moment. Pompe à chaleur pour la production d Eau Chaude Sanitaire pompes á chaleur Eau chaude et confort à votre portée! La meilleure façon de

Plus en détail

Sciences et Technologies de l Industrie et du Développement Durable ENERGIE THERMIQUE ENERGIE THERMIQUE

Sciences et Technologies de l Industrie et du Développement Durable ENERGIE THERMIQUE ENERGIE THERMIQUE Sciences et Technologies de l Industrie et du Développement Durable ENERGIE THERMIQUE 1 ère STI2D CI5 : Efficacité énergétique active TP1 EE ENERGIE THERMIQUE INSTRUCTIONS PERMANENTES DE SÉCURITÉ 1. Avant

Plus en détail

Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.

Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale

Plus en détail

Communauté de Communes des 4B Sud-Charente

Communauté de Communes des 4B Sud-Charente Communauté de Communes des 4B Sud-Charente Suivi-animation du PIG Intervention auprès des artisans 10 décembre 2013 SOMMAIRE 1. Qui est URBANiS et quel est son rôle? 2. Qu est-ce qu un PIG? 3. Les types

Plus en détail

MODÉLISATION NUMÉRIQUE DANS LE BÂTIMENT

MODÉLISATION NUMÉRIQUE DANS LE BÂTIMENT MODÉLISATION NUMÉRIQUE DANS LE BÂTIMENT Perrenoud, Pléiades et Design Builder Francesco Formica Grontmij BEFS SOMMAIRE I. Périmètre II. Entrées : acquisition et temps de mise en œuvre III. Sorties : résultats

Plus en détail

DESCRIPTION DES DOCUMENTS TECHNIQUES REQUIS

DESCRIPTION DES DOCUMENTS TECHNIQUES REQUIS DESCRIPTION DES DOCUMENTS TECHNIQUES REQUIS Volet sur mesure - Nouveau bâtiment ÉnerCible Volume 1, numéro 1 Mars 2012 Liste des documents à transmettre Afin que nous puissions effectuer l analyse technique

Plus en détail

ACTIV HOME. Confort et bien-être, naturellement, tout simplement, toute l année. www.bubendorff.com LAMES ORIENTABLES ACTIV HOME /LAMES ORIENTABLES

ACTIV HOME. Confort et bien-être, naturellement, tout simplement, toute l année. www.bubendorff.com LAMES ORIENTABLES ACTIV HOME /LAMES ORIENTABLES ACTIV HOME LAMES ORIENTABLES SEPTEMBRE 2012 *selon conditions de garanties commerciales en vigueur sur le site internet www.bubendorff.com, hors marque Nelto. * Confort et bien-être, ACTIV HOME /LAMES

Plus en détail

Centre de Développement des Energies Renouvelables Caractéristiques techniques des Chauffe-eau eau solaires M. Mohamed El Haouari Directeur du Développement et de la Planification Rappels de thermique

Plus en détail

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie

Plus en détail

Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire Edition décembre 2007

Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire Edition décembre 2007 Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire 1. But et objet Une série d'aides à l'application a été créée afin de faciliter la mise en œuvre des législations cantonales en matière

Plus en détail

AUDIT DES CONSOMMATIONS D ELECTRICITE DE LA CHAUFFERIE DE LA RESIDENCE LOUIS RIGAL (328 et 330 avenue BERTHELOT 69 008 Lyon)

AUDIT DES CONSOMMATIONS D ELECTRICITE DE LA CHAUFFERIE DE LA RESIDENCE LOUIS RIGAL (328 et 330 avenue BERTHELOT 69 008 Lyon) OPAC DU GRAND LYON AUDIT DES CONSOMMATIONS D ELECTRICITE DE LA CHAUFFERIE DE LA RESIDENCE LOUIS RIGAL (328 et 33 avenue BERTHELOT 69 8 Lyon) Rapport final 2616 Félines/Rimandoule - France Tél : +33-4 75

Plus en détail

LE PLANCHER CHAUFFANT BASSE TEMPERATURE

LE PLANCHER CHAUFFANT BASSE TEMPERATURE L'énergie est notre avenir, économisons-la! LE PLANCHER CHAUFFANT BASSE TEMPERATURE L avis des Experts Economies d énergie : + Répartition homogène de la température et confort optimal. + Gain d espace

Plus en détail

solutions et confort d été Inertie thermique Logements Paris École de chimie Bibliothèque et archives municipales Montpellier p.

solutions et confort d été Inertie thermique Logements Paris École de chimie Bibliothèque et archives municipales Montpellier p. solutions B É T O N Inertie thermique et confort d été UNE TROP FORTE CHALEUR À L INTÉRIEUR D UNE HABITATION EST UN Logements Paris FACTEUR D INCONFORT IMPORTANT.SI CELA EST SOUVENT VÉCU COMME UNE FATALITÉ,

Plus en détail

Thermodynamique (Échange thermique)

Thermodynamique (Échange thermique) Thermodynamique (Échange thermique) Introduction : Cette activité est mise en ligne sur le site du CNRMAO avec l autorisation de la société ERM Automatismes Industriels, détentrice des droits de publication

Plus en détail

Construisons en aluminium pour les générations futures

Construisons en aluminium pour les générations futures Construisons en aluminium pour les générations futures La Haute Qualité Environnementale avec l aluminium Les qualités de l aluminium (résistance, légèreté, malléabilité, recyclabilité ) répondent aux

Plus en détail

SCIENCES TECHNOLOGIES

SCIENCES TECHNOLOGIES R essources MICHEL WAUTELET SCIENCES TECHNOLOGIES et SOCIÉTÉ Questions et réponses pour illustrer les cours de sciences De Boeck Introduction générale 5 Sciences, technologies, société 1. Quels sont les

Plus en détail

Crédits d impôt énergie TVA réduite à 7% Prêt à taux zéro 2012

Crédits d impôt énergie TVA réduite à 7% Prêt à taux zéro 2012 Crédits d impôt énergie TVA réduite à 7% Prêt à taux zéro 2012 SOURCE D INFORMATION Cette note de veille réglementaire a été établie à partir de la loi de finances 2012, des articles 200 quater, 200 quinquies,

Plus en détail

DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE

DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE RAPPORT N 448-2033LOC0707PE48 ETABLI EN UN EXEMPLAIRE ORIGINAL LE 26/10/2009 ET VALABLE DIX ANS DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE Ce rapport comprend 5 pages et 3 pages en annexe, il ne peut être utilisé

Plus en détail

NOUVEL ALPHA2 FIABILITÉ ET RENDEMENT REDÉFINIS Gamme complète de circulateurs professionnels pour le chauffage, la climatisation et le refroidissement

NOUVEL ALPHA2 FIABILITÉ ET RENDEMENT REDÉFINIS Gamme complète de circulateurs professionnels pour le chauffage, la climatisation et le refroidissement NOUVEL ALPHA FIABILITÉ ET RENDEMENT REDÉFINIS Gamme complète de circulateurs professionnels pour le chauffage, la climatisation et le refroidissement ALPHA NOUVEAU CIRCULATEUR PLUS FIABLE. PLUS PERFORMANT.

Plus en détail

Etude de faisabilité

Etude de faisabilité Etude de faisabilité Modèle de cahier des charges pour chaufferie dédiée Ce modèle de cahier des charges d étude de faisabilité a été réalisé dans le cadre de la Mission Régionale Bois-Energie Il est un

Plus en détail

Auré. AuréaSystème. Les solutions solaires. Chauffe-Eau Solaire. Combiné Solaire Pulsatoire 90% Système solaire AUTO-VIDANGEABLE et ANTI-SURCHAUFFE

Auré. AuréaSystème. Les solutions solaires. Chauffe-Eau Solaire. Combiné Solaire Pulsatoire 90% Système solaire AUTO-VIDANGEABLE et ANTI-SURCHAUFFE Les solutions solaires pour l Eau Chaude Sanitaire ou le Chauffage ficie z d'u Auréa n it Crédpôt d'imn la loi deueur Béné Solar Keymark N 011-7S841 F Chauffe-Eau Solaire selo s en vig ce finan Système

Plus en détail

MESURE DE LA TEMPERATURE

MESURE DE LA TEMPERATURE 145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les

Plus en détail

En MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES. Quercy Energies

En MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES. Quercy Energies En MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES Quercy Energies Le réseau EIE en Midi-Pyrénées 4 premiers EIE créés en novembre 2001, toute la région est couverte en 2007 avec 11 CIE dans 9 EIE En MIDI- PYRENEES

Plus en détail

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation

Plus en détail

Conseils techniques. L'isolant doit disposer de numéros de certification ACERMI et CE en cours de validité. R 5,5m²K/w

Conseils techniques. L'isolant doit disposer de numéros de certification ACERMI et CE en cours de validité. R 5,5m²K/w Conseils techniques Pour bénéficier du «Micro crédit régional 0 % Energie verte en Poitou-Charentes», le programme impose l utilisation de matériaux répondant à des niveaux de performances minimales. Pour

Plus en détail

SYNOPTIQUE GTB Architecture Générale

SYNOPTIQUE GTB Architecture Générale STATION METEO TERMINAL EXPLOITATION (local technique) POSTE SUPERVISION (local pôle maintenance) AFFICHAGE PEDAGOGIQUE (Accueil) ACCES WEB GESTION CVC LOCAL TECHNIQUE GESTION EAU GESTION SERRE GESTION

Plus en détail

fioul domestique La rénovation thermique des immeubles collectifs

fioul domestique La rénovation thermique des immeubles collectifs fioul domestique La rénovation thermique des immeubles collectifs Fiche conseil Édition décembre 212 Sommaire P 2 : Obligations P 3 : Démarches volontaires P 4 : Les points clés d une rénovation réussie

Plus en détail