Point de vue. immigration : où en est le débat?
|
|
- Victor Rochefort
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 7 avril 2006 w w w. f o n d a p o l. o r g Point de vue immigration : où en est le débat? Réflexions de think tanks étrangers C est aux états-unis, au Canada, en Allemagne, au Royaume-Uni et au Danemark que les think tanks sont particulièrement actifs dans le débat sur l immigration. Dénominateur commun des propositions : réserver un meilleur accueil et faciliter l immigration pour les travailleurs qualifiés. quelques tendances 1 Les pays occidentaux se livrent une véritable concurrence concernant les travailleurs hautement qualifiés : préoccupés par leur retard par rapport aux états-unis, au Canada et à l Australie, plusieurs pays européens débattent de l amélioration de leur attractivité pour cette catégorie de migrants incitations fiscales, procédures facilitées, accueil amélioré pour le (la) conjoint(e). Les dispositifs français dans ce domaine sont encore très timides. 2 De nombreuses propositions ont été élaborées par les think tanks pour mieux adapter l immigration du travail aux secteurs et aux bassins d emploi souffrant d une pénurie de main-d œuvre. L avant-projet français relatif à l immigration et à l intégration, mettant en cause le principe même de l opposabilité de la situation d emploi sous certaines conditions, s inscrit dans cette tendance. 3 Le point system canadien est au cœur des débats dans les pays occidentaux (l Australie l a adopté, l Allemagne en a débattu, le Royaume-Uni y réfléchit) : bien plus que les quotas américains, le point system permet davantage d efficacité et de clarté en matière d immigration de travail. 4 Pour mieux réussir l intégration des immigrés, notamment de ceux venus par le biais du regroupement familial, les conditions d intégration sont débattues et élaborées dans la quasi-totalité des pays : les Pays-Bas et le Danemark ont d ores et déjà défini des exigences dans ce domaine, d autres y réfléchissent. > Retrouvez nos développements sur ce thème sur
2 immigration : où en est le débat? Par Anna Stellinger Chargée de recherche à la Fondation pour l innovation politique. 1/ États-Unis : vers une immigration de travail Le puissant Center for Immigration Studies (CIS) est le premier think tank américain spécialisé dans la recherche et l analyse de l impact économique, social, démographique et fiscal de l immigration aux États-Unis. Le CIS préconise une nouvelle orientation de la politique américaine actuelle, qu il considère être une politique anti-immigration : au niveau élevé d immigration répondent des prestations très réduites allouées aux immigrés une fois arrivés dans le pays. Le CIS propose une politique pro-immigration, basée sur une sélection plus restrictive à l entrée, avec en contrepartie un accueil et une intégration améliorés. Le système doit être basé sur les compétences et non sur le fait d avoir un membre de la famille aux États-Unis de chaque migrant. Le CIS souhaite faire progresser le débat public autour des questions relatives à l immigration, en instaurant un prix attribué à un journaliste qui s est distingué en relevant le niveau des enquêtes et reportages sur ce thème : le Katz Award for Excellence in the Coverage of Immigration est décerné chaque année. Plus polémique, la Federation for American Immigration Reform (FAIR) la plus importante organisation œuvrant pour une réforme de l immigration américaine propose une refonte de la politique actuelle. La réforme doit être fondée sur 7 principes : 1) le niveau actuel d un million d immigrés par an implique des coûts trop importants ; 2) la régularisation de 1986 n a pas réduit l immigration illégale, au contraire, et cette expérience ne doit pas être renouvelée ; 3) l immigration de travail doit être limitée aux secteurs souffrant d un manque de main-d œuvre ;
3 4) il faut renforcer les sanctions à l encontre des employeurs qui emploient volontairement des clandestins ; 5) les engagements des États-Unis en matière d asile doivent être respectés, mais pas élargis ; 6) la part de migrants dans la société américaine doit être stabilisée ; 7) toute politique de discrimination positive ou négative doit être exclue des politiques publiques. Le Public Policy Institute of California (PPIC) étudie un grand nombre de sujets liés à l immigration en Californie, l État américain qui enregistre le plus fort taux d immigration des États-Unis (un quart des Californiens est né hors des frontières américaines). Les effets sur le taux de natalité, l éducation, le marché du travail et plus globalement sur la société et la politique californiennes sont importants. Le PPIC insiste particulièrement sur le rôle de l école : les différents groupes de migrants ne sont pas égaux devant l éducation et la formation et, par conséquent, devant l emploi. Or les résultats scolaires d un enfant immigré âgé de moins de 10 ans sont similaires à ceux d un enfant américain, né sur le sol national de parents américains. L immigration réussie des générations futures passe ainsi, pour le PPIC, par l intégration des enfants dans le milieu scolaire. 2/ Canada : des innovations institutionnelles pour garantir l immigration des jeunes étrangers qualifiés L Institut de recherche en politiques publiques (IRPP) critique la politique américaine en vigueur, la considérant trop centrée sur l aspect humanitaire et pas assez sur l aspect économique. Choisissant un point system permettant d adapter l immigration aux besoins économiques du pays, le Canada a fait le bon choix, selon l IRPP. L institut souhaite que le Canada garde toute son indépendance face aux États-Unis dans ce domaine : tandis que ces derniers vont devoir poursuivre la lutte contre l immigration illégale, le Canada doit poursuivre et affiner sa politique d immigration qui vise à attirer de jeunes étrangers qualifiés. Pour cela, l IRPP souhaite voir simplifier le système actuel, jugé trop complexe avec un grand nombre d acteurs hétérogènes impliqués.
4 L IRPP a présenté plusieurs «innovations institutionnelles» nécessaires pour assurer une immigration de travail de qualité, primordiale pour l économie canadienne : une meilleure information, notamment sur Internet, destinée aux migrants, avant et après leur arrivée au Canada ; le lancement de programmes de formation afin de compléter ou de valoriser les compétences des nouveaux arrivés ; des stages et des parrainages proposés aux migrants ; faire valoir les best practices des employeurs dans ce domaine ; une plus grande sensibilisation aux problèmes que les travailleurs qualifiés rencontrent lorsqu ils tentent d intégrer le marché du travail canadien. Le Frontier Centre for Public Policy (FCPP) a lancé le Immigration Frontiers Project, afin de proposer des solutions innovantes pour promouvoir une immigration choisie, bénéfique pour la société et l économie nationales. Les calculs avancés par le FCPP sont autant d arguments en faveur d une immigration de travail et d étudiants de haut niveau : les économies sont considérables pour le Canada, puisque le coût moyen pour un travailleur formé (jusqu à l âge adulte) aurait été d environ dollars si le Canada avait assuré sa formation ; les coûts initiaux d accueil (logement, aides sociales, etc.) sont bien inférieurs à ce coût ; le financement des retraites et de la santé ne pourra être assuré qu à condition de maintenir une prédominance forte de l immigration de travail et des étudiants sur l immigration humanitaire et de regroupement familial (ce dernier ne représente en effet que 20 % de l immigration au Canada). 3/ Allemagne : réconcilier le pays d accueil avec les migrants Convaincu que l immigration contrôlée et l intégration encouragée sont deux faces de la même politique, l Institute for the Study of Labour (IZA) étudie notamment l assimilation des immigrés et l accueil réservé aux nouveaux entrants dans plusieurs pays de l OCDE.
5 Les conclusions de l institut soulignent les avantages d une immigration de travail dans la perception positive de l immigration chez les citoyens du pays d accueil : les citoyens sont généralement inquiets de l impact social de l immigration dans les pays où l immigration humanitaire ou le regroupement familial sont importants ; l immigration de travail soulève quelques inquiétudes sur les difficultés que cela est supposé poser pour les citoyens de trouver du travail ; en revanche, IZA constate une opinion positive de l immigration si celle-ci est conduite à partir des besoins sur le marché du travail. Les tensions sociales sont moins importantes et les bénéfices économiques supérieurs. Deux programmes ont été lancés par l Anglo-German Foundation for the Study of Industrial Society (AGF) sur le thème de l immigration : «Réconcilier la demande de l immigration de travail avec les politiques publiques» et «Emploi, salaire et cycles économiques : différences entre les migrants et les autres citoyens». La fondation cherche à trouver une voie permettant de réconcilier la demande accrue d une immigration de travail et les politiques de l emploi une voie qui doit se traduire par une politique publique de l emploi plus active. 4/ Danemark : faciliter l intégration pour les migrants motivés Le Think tank on Integration in Denmark a été créé par le gouvernement danois en 2000 pour réfléchir à l ensemble des problématiques liées à l immigration. Il propose plusieurs pistes de réformes au-delà des réformes déjà acceptées (âge minimum de 24 ans dans le cas d un regroupement familial entre conjoints afin de lutter contre le mariage blanc, exigence de connaissances linguistiques pour l obtention de la nationalité, etc.). Les propositions visent à faciliter l intégration des migrants qui souhaitent travailler, des travailleurs qualifiés et de ceux qui se sont particulièrement bien insérés dans la société danoise : permettre aux demandeurs d asile de travailler si le traitement de la demande est succeptible de durer plusieurs mois ;
6 renforcement de l apprentissage de la langue du pays d accueil parmi les enfants immigrés, éventuellement avec obligation de «stimulation de langue» à partir de l âge de 3 ans ; cours de langue et de culture danoises obligatoires pour les responsables religieux ; établissement d un rating system afin de faciliter l obtention d un permis de résidence aux travailleurs qualifiés, pas seulement dans des secteurs d activité qui manqueront de main-d œuvre ; faciliter l obtention du permis de résidence et de la nationalité pour les étrangers qui se sont particulièrement bien intégrés. Le projet «INDEA» de l Institut for Historie, Internationale Studier og Samfundsforhold (IHIS) a pour but d examiner l intégration sur le marché du travail des étrangers venus au Danemark, dont le nombre a plus que doublé ces 20 dernières années. Les premiers résultats montrent que les migrants venus de pays relativement voisins se sont très largement intégrés par le travail, alors que les migrants issus du Pakistan, du Liban, d Irak ou de Turquie sont encore très éloignés du marché du travail. Plusieurs facteurs sont indiqués : les liens sociaux, le capital humain et les compétences des migrants déterminent en grande partie le succès ou l échec de leur intégration. Ainsi, les étrangers sans conjoint danois, avec une expérience professionnelle moindre et un niveau d études relativement faible s intègrent plus difficilement. Afin de favoriser une meilleure intégration, qui se fait nécessairement par le travail, il faudrait accroître le niveau de compétences de cette catégorie. 5/ Royaume-Uni : mieux définir les besoins d immigration L Institute of Economic Affairs (IEA) déplore que l impact de l immigration sur l emploi et la croissance ait été trop peu étudié au Royaume-Uni. Les conséquences de cette «omission» sont importantes : les politiques publiques ont contribué à freiner une immigration de travail dont le pays a besoin. L IEA considère que les lois britanniques n ont pas su répondre aux attentes des citoyens ou des entreprises, bien au contraire, puisqu elles ont surtout poussé à un abus important concernant les dispositifs d asile.
7 L institut propose une immigration de travail fondée sur les demandes des entreprises, et non sur les listes très vite périmées du gouvernement qui ne tiennent souvent pas compte de l évolution des techniques et des besoins des entreprises. Le parallèle est fait avec le point system canadien, qui, selon l IEA, n est pas suffisamment efficace pour suivre les changements rapides sur le marché. Les seuls acteurs qui peuvent définir les compétences que les entreprises britanniques recherchent sont les entreprises elles-mêmes. La proposition de l IEA est formulée autour de 4 pôles : les entreprises, qui définissent les besoins en main-d œuvre ; les agences, de portée internationale, qui diffusent les offres et les demandes ; l État, qui contrôle le fonctionnement et définit les grands principes de l immigration (sans aller dans le détail des compétences recherchées) ; le migrant, dont l obtention d un permis de travail dépendra des besoins formulés par les entreprises. La Social Market Foundation (SMF) conteste l image d une immigration subie au Royaume-Uni : les migrants n ont pas coûté cher aux contribuables et n ont pas occupé les emplois à la place des travailleurs britanniques. Néanmoins, la politique centralisée trop centralisée selon la SMF n a pas réussi à intégrer la politique d immigration dans l économie et le marché du travail. La SMF propose une politique d immigration qui ne soit pas réduite à un simple débat autour des seuils par type d immigration, mais qui soit basée sur les demandes réelles de l économie et des entreprises britanniques. Les hommes politiques n ont ni les connaissances ni le temps nécessaires pour déterminer les besoins de l économie en matière de main-d œuvre qualifiée ou moins qualifiée. Un point system, définissant les compétences des migrants et leur attractivité sur le marché devrait être établi selon trois critères : 1) transparence ; 2) flexibilité ; 3) prédominance de l économie sur la politique pour constater les besoins en main-d œuvre étrangère.
8 réflexions autour de l immigration et de l intégration Les politiques d immigration en Europe : vers une harmonisation? La Lettre n 20 de la Fondation pour l innovation politique (avril 2006). Intégration et appartenances en Amérique du Nord Rapport de mission de la Fondation à New York et à Washington, par Cécile Chavel, Franck Debié et Jérôme Monod (mars 2006). L action communautaire au service des droits civiques. L exemple du Council of American-Islamic Relations Point de vue, par Nihad Awad, directeur exécutif du Council of American-Islamic Relations (CAIR), Washington (mai 2006). De la lutte contre la criminalité à l intégration. La prévention de quartier à l américaine Point de vue, par Annie Russell, consultante en politique de prévention communautaire, Washington, district de Columbia (mai 2006). Pour une politique migratoire à l égard des travailleurs hautement qualifiés Point de vue, par Carine Chaix, chargée de recherche à la Fondation pour l innovation politique (décembre 2005). Le visa européen du chercheur Point de vue, par David Mascré, chargé de mission au ministère des Affaires étrangères, docteur en philosophie et mathématiques (mai 2006). Immigration : vers un point system français? Point de vue, par Anna Stellinger, chargée de recherche à la Fondation pour l innovation politique (mai 2006). L accommodement raisonnable Point de vue, par Jocelyn Maclure, professeur de philosophie morale et politique, Université Laval, Canada (mai 2006). > Retrouvez ces publications sur fondation pour l innovation politique 137, rue de l Université Paris France Tél. : 33 (0) Fax : 33 (0) contact@fondapol.org
DIRECTION GENERALE DES ETRANGERS EN FRANCE DOSSIER DE PRESSE. Le projet de loi relatif au droit des étrangers
DIRECTION GENERALE DES ETRANGERS EN FRANCE DOSSIER DE PRESSE Le projet de loi relatif au droit des étrangers Juillet 2014 Les chiffres de l immigration 200.000 étrangers hors UE sont accueillis chaque
Plus en détailAugust 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances
August 2014 ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances Résumé L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises membres
Plus en détailMigration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas
Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Prise de position de Caritas_mars 2011 Migration: un plus pour la Suisse En bref: Quel est l effet de
Plus en détailMÉMOIRE CONSEIL QUÉBÉCOIS DU COMMERCE DE DÉTAIL SUR LE DOCUMENT DE CONSULTATION VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET PLUS ÉQUITABLE
MÉMOIRE DU CONSEIL QUÉBÉCOIS DU COMMERCE DE DÉTAIL SUR LE DOCUMENT DE CONSULTATION VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET PLUS ÉQUITABLE PRÉSENTÉ À LA COMMISSION DES AFFAIRES SOCIALES AOÛT 2009
Plus en détailL IMMIGRATION AU SEIN DE L UE
L IMMIGRATION AU SEIN DE L UE Source: Eurostat, 2014, sauf indication contraire Les données se rapportent aux ressortissants de pays tiers, dont le lieu de résidence habituel se trouvait dans un pays hors
Plus en détailTROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE
ORGANISATION FOR ECONOMIC CO-OPERATION AND DEVELOPMENT TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE 14-15 septembre 2006 Séoul, Corée Déclaration de Séoul (version définitive) CENTRE
Plus en détailET LES DISPONIBILITÉ ARMÉES NATIONALE. 1 er mars
Association des collèges communautaires du Canada LES COLLÈGES ET LES INSTITUTS CONTRIBUENT AU MAINTIEN DISPONIBILITÉ OPÉRATIONNELLE DES FORCES ARMÉES CANADIENNES PAR LA FORMATION ET LE RECRUTEMENT EN
Plus en détailSommet pleines voiles / Groupe de travail sur l autosuffisance : domaines d intérêt communs
Sommet pleines voiles / Groupe de travail sur l autosuffisance : domaines d intérêt communs Lors du Sommet pleines voiles en janvier 2007, la Commission des valeurs mobilières du Nouveau-Brunswick a publié
Plus en détailSaint-Marin Allemagne. Monaco. Saint-Siège Andorre. Norvège. Slovaquie Autriche. Pays-Bas. Slovénie Belgique. Pologne. Suède Bulgarie.
Jeunes demandeurs d asile tchétchènes jouant au centre d accueil de BialaPodlaska(Pologne). Albanie France Monaco Saint-Marin Allemagne Grèce Norvège Saint-Siège Andorre Hongrie Pays-Bas Slovaquie Autriche
Plus en détailAppel à l action relativement au chômage, au sous-emploi et à la pénurie de main-d œuvre qualifiée
Appel à l action relativement au chômage, au sous-emploi et à la pénurie de main-d œuvre qualifiée Introduction Les diplômés des universités et des collèges du Canada sont confrontés à des taux inacceptables
Plus en détailLes mesures en faveur de
Les mesures en faveur de l attractivité Invest in France La France est une destination de premier ordre pour les investissements directs étrangers. Elle accueille sur son sol plus de 0 000 entreprises
Plus en détailLes obstacles : Solutions envisageables :
1. Quels sont les obstacles auxquels les citoyens européens doivent faire face dans l exercice de leurs droits? Que pourrait-on faire pour alléger ces obstacles? Les obstacles : Tout d abord, il y a un
Plus en détailRegroupements de travailleurs d un même secteur d activités avec possiblement des différences au niveau des :
L avenir de la retraite au Québec Vers des régimes de retraite sectoriels? Nathalie Joncas, actuaire Qu est-ce qu on entend par régimes sectoriels? Regroupements de travailleurs d un même secteur d activités
Plus en détailDOCUMENT DE CONSULTATION
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 10.4.2015 C(2015) 2303 final DOCUMENT DE CONSULTATION Première phase de consultation des partenaires sociaux au titre de l article 154 du TFUE concernant une consolidation
Plus en détailPénuries de main-d oeuvre et mesures de transition professionnelle dans l industrie canadienne de l électricité
Pénuries de main-d oeuvre et mesures de transition professionnelle dans l industrie canadienne de l électricité Sommaire Publié par le Conseil sectoriel de l électricité www.brightfutures.ca Le Conseil
Plus en détailAnnexe 1 L Agenda politique d Istikshaf
This project is funded by The European Union Annexe 1 L Agenda politique d Istikshaf This project is funded by The European Union Istikshaf: explorer la mobilité Agenda politique régional pour la mobilité
Plus en détailQUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?
Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique
Plus en détailVos stratégies d attraction et de rétention vous permettent-elles d attirer et de fidéliser les meilleurs talents?
> pour un meilleur rendement des organisations et des personnes Vos stratégies d attraction et de rétention vous permettent-elles d attirer et de fidéliser les meilleurs talents? L optimisation du capital
Plus en détailIntervenir à l étranger Une revue des règlements canadiens ayant trait aux activités à l étranger
Intervenir à l étranger Une revue des règlements canadiens ayant trait aux activités à l étranger ORDRE DU JOUR 10 h Introduction 10 h 10 Aperçu des organismes de bienfaisance et des organismes sans but
Plus en détail2) Qu est-ce que la cohésion sociale et l inclusion?
Chantier sur la cohésion sociale et l inclusion dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés JUIN 2013 1) Mise en contexte Dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés à Saint-Camille, 4 chantiers
Plus en détailAssociation canadienne de la construction. Mémoire prébudgétaire 2015
Association canadienne de la construction Mémoire prébudgétaire 2015 Synopsis L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises de construction non résidentielle au Canada.
Plus en détailL action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse
L action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse Institut de la jeunesse Madrid Les débuts de toute chose sont toujours petits. Cicéron La
Plus en détail«Pour une pleine participation des retraités et des ainés au développement régional le modèle coopératif»
Conférence de M. Claude Quintin Présentée lors de la journée de mobilisation et de consultation sous le thème; «Pour une pleine participation des retraités et des ainés au développement régional le modèle
Plus en détailÉvaluation et recommandations
ÉVALUATION ET RECOMMANDATIONS 13 Évaluation et recommandations Les personnes souffrant de troubles mentaux s intègrent mal sur le marché du travail. En Belgique, par rapport aux personnes qui ont une bonne
Plus en détail3 SOUTIEN À L ÉDUCATION INTERCULTURELLE (allocation supplémentaire 30212)
3 SOUTIEN À L ÉDUCATION INTERCULTURELLE (allocation supplémentaire 30212) Le Ministère apporte un soutien financier aux commissions scolaires pour favoriser le développement de l éducation interculturelle.
Plus en détailRéformes socio-économiques
Réformes socio-économiques Le 27 novembre 2011, suite à la dégradation de la note belge par l agence Standard & Poor s, les six partis ont conclu, dans l urgence, un accord sur le budget et sur la réforme
Plus en détailPOLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020
DÉVELOPPEMENT LOCAL MENÉ PAR LES ACTEURS LOCAUX POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020 Les nouvelles règles et la législation régissant le prochain financement de la politique européenne de cohésion pour la période
Plus en détailPolitique d aménagement linguistique de l Ontario pour l éducation postsecondaire et la formation en langue française
Politique d aménagement linguistique de l Ontario pour l éducation postsecondaire et la formation en langue française 2011 Message du ministre L Ontario a besoin d un système d éducation postsecondaire
Plus en détailBelgique et migration. L Office des Étrangers
FR Belgique et migration L Office des Étrangers Table des matières Avant-propos 1 Mission et valeurs 2 Structure et organisation 3 Compétences 4 Accès et séjour 4 Asile 6 Retour 7 Litiges et recours 8
Plus en détailimmigration conséquences positives pour les assurances sociales
immigration conséquences positives pour les assurances sociales Fiche d information 4 : Assurances sociales L essentiel en bref : Seuls ceux qui cotisent aux assurances sociales peuvent bénéficier de leurs
Plus en détailAméliorer la gouvernance des Services Publics d'emploi pour de meilleurs résultats sur l'emploi
Améliorer la gouvernance des Services Publics d'emploi pour de meilleurs résultats sur l'emploi Congrès Mondial de l AMSEP Istanbul, 6 mai 2015 Sylvain Giguère, Directeur de la division LEED, OCDE Pourquoi
Plus en détailOrganisation des Nations Unies pour le développement industriel
Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre
Plus en détailCAHIER DE POLITIQUE ÉCONOMIQUE N 30. Politiques migratoires et développement : une perspective européenne *
CAHIER DE POLITIQUE ÉCONOMIQUE N 30 Politiques migratoires et développement : une perspective européenne * par Louka T. Katseli, Robert E.B Lucas et Theodora Xenogiani LES IDÉES EXPRIMÉES ET LES ARGUMENTS
Plus en détailAVIS. 19 décembre 2013
AVIS Projet d ordonnance modifiant l ordonnance du 19 juillet 2001 relative à l'organisation du marché de l'électricité en Région de Bruxelles-Capitale et l ordonnance du 1er avril 2004 relative à l'organisation
Plus en détailQu est-ce que la compétitivité?
Qu est-ce que la compétitivité? Le but de ce dossier pédagogique est d expliquer la notion de compétitivité d une entreprise, d un secteur ou d un territoire. Ce concept est délicat à appréhender car il
Plus en détailFICHE TECHNIQUE. Les obligations des entreprises en faveur de l emploi vis-à-vis des salariés âgés : plan senior/contrat de génération
FICHE TECHNIQUE Les obligations des entreprises en faveur de l emploi vis-à-vis des salariés âgés : plan senior/contrat de génération SOMMAIRE : I) LES ACCORDS ET PLANS D ACTION EN FAVEUR DES SALARIES
Plus en détailLA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE
LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition
Plus en détailL éducation au Québec : L état de la situation
Préscolaire Primaire Secondaire Collégial Universitaire 43101 45 509 93969 68 331 110 297 151 845 241019 251 612 240 980 251 237 L éducation au Québec : L état de la situation L éducation est un des sujets
Plus en détailwith the support of EFMET cooperation partners:
Recommandations à la Commission Européenne sur le rôle de l enseignement musical et de la formation musicale professionnelle dans le nouveau programme européenne pour la culture with the support of EFMET
Plus en détailIntroduction. Le Canada est un pays qui donne son plein rendement.
le 23 mars 2004 «tout au long de notre histoire, les Canadiens ont été animés par une idée bien simple : que nous avons la responsabilité de faire en sorte que nos enfants et nos petits-enfants aient une
Plus en détailDescription des variables de la base de données. a. Attractivité démographique pour les différents types de population
Description des variables de la base de données a. Attractivité démographique pour les différents types de population Sources : Recensements de 1962 à 2006 et Clap 2007 - a01_popmoy62, a01_popmoy68, a01_popmoy75,
Plus en détailCONFERENCE DE PRESSE > LANCEMENT DU «MANIFESTE POUR UNE SOCIÉTÉ POSITIVE»
CONFERENCE DE PRESSE > LANCEMENT DU «MANIFESTE POUR UNE SOCIÉTÉ POSITIVE» > PRÉSENTATION DES RÉSULTATS DE L INDICE DE LA PERFORMANCE ÉCONOMIQUE POSITIVE 2014 UNE INITIATIVE DE DÉROULÉ DE LA CONFÉRENCE
Plus en détailQuel est le temps de travail des enseignants?
Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA
REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur
Plus en détailAccès aux soins des migrants à statut précaire: quelques enjeux et défis pour les intervenants
Accès aux soins des migrants à statut précaire: quelques enjeux et défis pour les intervenants Zoé Brabant Centre de recherche Léa-Roback sur les inégalités sociales de santé de Montréal Université de
Plus en détailSECTION : Politique NUMÉRO : P201 PAGES : 6 SERVICE ÉMETTEUR : Direction des Services aux étudiants
POLITIQUE POLITIQUE D ÉDUCATION INTERCULTURELLE DATE : 26 mars 2014 SECTION : Politique NUMÉRO : P201 PAGES : 6 SERVICE ÉMETTEUR : Direction des Services aux étudiants DESTINATAIRES : À toute la communauté
Plus en détailétabli par le Bureau Permanent * * * REVIEW OF ACTIVITIES OF THE CONFERENCE IN REGARD TO MEDIATION drawn up by the Permanent Bureau
AFFAIRES GÉNÉRALES ET POLITIQUE GENERAL AFFAIRS AND POLICY Doc. prél. No 11 Prel. Doc. No 11 février / February 2010 SUIVI DES ACTIVITÉS DE LA CONFÉRENCE EN MATIÈRE DE MÉDIATION établi par le Bureau Permanent
Plus en détailJUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE. Thème de la journée de consultation : Loyauté dans l environnement numérique Junior ESSEC 09/01/2015
JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE CONCERTATION NATIONALE SUR LE NUMÉRIQUE 2ème journée Compte-rendu de l atelier 3 : Surveillance et lutte contre la criminalité en ligne Thème de la journée de
Plus en détailLe nouveau programme 2014-2020. Investir dans l éducation, la formation et la jeunesse en Europe. www.erasmusplus.fr
Le nouveau programme 2014-2020 Investir dans l éducation, la formation et la jeunesse en Europe www.erasmusplus.fr 2014-2020 Un programme plus efficace pour l emploi des jeunes Un programme plus simple
Plus en détail10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive»
10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» Préambule Si l actuelle majorité peut indéniablement se prévaloir d un très bon bilan,
Plus en détailCompétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe
Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe Un cadre d action commun des partenaires sociaux européens du secteur de l électricité I. Introduction
Plus en détailGuide du programme Transition vers l'après-secondaire
Guide du programme Juin 2008 Attributs du diplômé de la Colombie-Britannique Au cours de consultations qui se sont échelonnées sur toute une année dans l ensemble de la province, des milliers de citoyens
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailComité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP)
F CDIP/12/INF/4 ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 3 OCTOBRE 2013 Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) Douzième session Genève, 18 21 novembre 2013 RÉSUMÉ DE L ÉTUDE SUR LA PROPRIÉTÉ
Plus en détailÉcoutez ce qui se dit sur l épargne-retraite au Canada
MARS 2014 ÉCHEC ET MAT! LES RÉGIMES D ÉPARGNE EN MILIEU DE TRAVAIL : UNE SOLUTION GAGNANTE POUR LES CANADIENS EN VUE DE LA RETRAITE Notre 6 e sondage annuel Indice canadien de report de la retraite montre
Plus en détailÂge effectif de sortie du marché du travail
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Âge effectif de sortie du marché du travail Merci
Plus en détailInformation et sensibilisation des consommateurs à l égard des risques importants liés aux produits hypothécaires
Information et sensibilisation des consommateurs à l égard des risques importants liés aux produits hypothécaires Le Conseil canadien des autorités de réglementation des courtiers hypothécaires (CCARCH)
Plus en détailCadre général du Forum sur les questions relatives aux minorités
Nations Unies Assemblée générale Distr. générale 17 septembre 2012 Français Original: anglais A/HRC/FMI/2012/2 Conseil des droits de l homme Forum sur les questions relatives aux minorités Cinquième session
Plus en détailProfits et pauvreté: la dimension économique du travail forcé
US$150,000,000,000 Profits et pauvreté: la dimension économique du travail forcé L intégration globale des systèmes économiques, notamment des marchés du travail, a apporté de nombreuses opportunités pour
Plus en détailQui sont les enseignants?
Extrait de : Regards sur l'éducation 2008 : Panorama Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/9789264040649-fr Qui sont les enseignants? Merci de citer ce chapitre comme suit : OCDE (2009),
Plus en détailRéponse à la consultation de la Commission européenne concernant le cadre juridique actuel régissant le droit fondamental à la protection des données
AEDH-Association européenne pour la défense des Droits de l Homme Rue de la Caserne, 33 1000 Bruxelles Numéro de registre : 0648187635-62 Réponse à la consultation de la Commission européenne concernant
Plus en détailRÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE
9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,
Plus en détailPIERRE MARTELL PRéSIDENT MARTELL HOME BUILDERS
2012 Indice BDC de la nouvelle activité entrepreneuriale PIERRE MARTELL PRéSIDENT MARTELL HOME BUILDERS Résumé --------------------------------------------------------------------------------------------------
Plus en détailIntervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève ***
Atelier de présentation du Programme Améliorer les capacités institutionnelles pour la gouvernance des migrations de main-d oeuvre en Afrique du Nord et de l Ouest (Bamako, Mali, 3 au 5 mars 2009) Intervention
Plus en détailRECOMMANDATION DE POLITIQUE GÉNÉRALE N 13 DE L ECRI
CRI(2011)37 RECOMMANDATION DE POLITIQUE GÉNÉRALE N 13 DE L ECRI SUR LA LUTTE CONTRE L ANTI-TSIGANISME ET LES DISCRIMINATIONS ENVERS LES ROMS ADOPTÉE LE 24 JUIN 2011 Strasbourg, Septembre 2011 Publication
Plus en détailÉtapes suivantes du plan d action du Manitoba
Juillet 2005 Pour aller de l avant : L apprentissage et la garde des jeunes enfants Étapes suivantes du plan d action du Manitoba Introduction En novembre 1999, le gouvernement du Manitoba a confirmé son
Plus en détailNOTE DE SYNTHÈSE DU REM (INFORM)
NOTE DE SYNTHÈSE DU REM (INFORM) Approches et outils employés par les États membres en vue d identifier les besoins du marché du travail 1. INTRODUCTION Cette note de synthèse du REM (EMN Inform) fournit
Plus en détailBerne, mai 2007. Questions fréquentes au sujet de l aide sociale
1 Berne, mai 2007 Questions fréquentes au sujet de l aide sociale 2 Pourquoi la CSIAS en tant qu association privée peut-elle établir des normes en matière d aide sociale? La CSIAS est l association professionnelle
Plus en détailPasseport pour ma réussite : Mentorat Vivez comme si vous mourrez demain. Apprenez comme si vous vivrez éternellement Gandhi
Passeport pour ma réussite : Mentorat Vivez comme si vous mourrez demain. Apprenez comme si vous vivrez éternellement Gandhi Éléments principaux de Passeport pour ma réussite Passeport pour ma réussite
Plus en détailSEQUENCE 06 THEME 1 : LES REPONSES DU DROIT DU TRAVAIL AU PROBLEME DE L EMPLOI... 292 I. EMPLOI : PERCEPTION DE LA SITUATION...
P9703-F1/2 291 SEQUENCE 06 THEME 1 : LES REPONSES DU DROIT DU TRAVAIL AU PROBLEME DE L EMPLOI... 292 I. EMPLOI : PERCEPTION DE LA SITUATION... 292 II. L URGENCE : LEGIFERER PAR ORDONNANCES... 295 III.
Plus en détailNouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»
Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,
Plus en détailRapport de clôture pour le Projet Tarification automobile assurance responsabilité civile. Partie I. Description du Projet
UE-BdV-Projet «Tarifs d assurance R.C. automobile» [fichier : 1-MeyerHD-Description-du-projet.doc] 1 Rapport de clôture pour le Projet Tarification automobile assurance responsabilité civile Partie I Description
Plus en détailCommentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO - Suivi de CONFITEA VI page 2
Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO concernant le suivi de la mise en œuvre des engagements de CONFINTEA VI Le 19 janvier 2012 Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne
Plus en détailE-COMMERCE VERS UNE DÉFINITION INTERNATIONALE ET DES INDICATEURS STATISTIQUES COMPARABLES AU NIVEAU INTERNATIONAL
E-COMMERCE VERS UNE DÉFINITION INTERNATIONALE ET DES INDICATEURS STATISTIQUES COMPARABLES AU NIVEAU INTERNATIONAL Bill Pattinson Division de la politique de l information, de l informatique et de la communication
Plus en détailFICHE OBLIGATIONS LEGALES
FICHE OBLIGATIONS LEGALES L article 99 de la loi n 2010-1330 du 9 novembre 2 010 portant réforme des retraites a instauré, à compter du 1 er janvier 2012, pour les entreprises dont l effectif est au moins
Plus en détailJUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE. Compte-rendu de l atelier 5 : Souveraineté numérique
JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE CONCERTATION NATIONALE SUR LE NUMÉRIQUE 3ème journée Compte-rendu de l atelier 5 : Souveraineté numérique Thème de la journée contributive : Transformation numérique
Plus en détailRapport d évaluation du master
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Management public de l Université de Lorraine Vague C 2013-2017 Campagne d évaluation 2011-2012 Section des Formations et des diplômes
Plus en détailClick to edit Master title style
Le Service des délégués commerciaux MAECI: Orientation et rôle Investissement étranger direct (IED) Anderson Blanc Délégué commercial Click to edit Master title style Investissement & Innovation Coordonnateur
Plus en détailRapport sommaire. Table ronde sur la mobilité des étudiantes et étudiants dans l hémisphère occidental
Rapport sommaire Table ronde sur la mobilité des étudiantes et étudiants dans l hémisphère occidental Buenos Aires, Argentine 1-3 décembre 2000 Au cours des dix dernières années, le Canada a joué un rôle
Plus en détailActifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve
Plus en détailDemande d examen du parcours d intégration au Québec en vue de l obtention du Certificat de sélection du Québec. Renseignements généraux
mande d examen du parcours d intégration au en vue de l obtention du Certificat de sélection du A-0523-IF (2015-02) Renseignements généraux titre de requérant principal ou de requérante principale, vous
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailNOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE
NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11
Plus en détailISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009
REMERCIEMENTS AUX PARTENAIRES Cette étude a été réalisée grâce à la participation financière de la Commission des partenaires du marché du travail et du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport.
Plus en détailASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS
Étude concernant l assurance-litige en matière de brevets, par CJA Consultants Ltd Janvier 2003 V4a.fin ASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS Étude réalisée pour la Commission européenne concernant la
Plus en détailDoit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée?
Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée? Hélène Le Brun, conseillère septembre 2007 D-11815 Centrale des syndicats du Québec
Plus en détailAssociation pour la Promotion de l Assurance Collective Clauses de désignation et de migration
Association pour la Promotion de l Assurance Collective Clauses de désignation et de migration 1 1/ Qu est ce qu un accord de branche? Un accord de branche est un acte juridique issu d'une négociation
Plus en détailAvoir accès à la justice ou s exposer à l endettement
Avoir accès à la justice ou s exposer à l endettement Comprendre qu il s agit d un choix difficile pour les Canadiens Aider les courtiers d assurance et les sociétés d assurance à mieux comprendre les
Plus en détailGhana, de l Inde, de la Jordanie, du Kenya, du Mexique, de New Zélande, du Portugal, de Serbie et du Royaume Uni.
Principes de Belgrade sur la relation entre les Institutions nationales des droits de l Homme et les Parlements (Belgrade, Serbie, les 22-23 février 2012) Le séminaire international de février 2012 sur
Plus en détailConseils sectoriels pour l emploi et les compétences à l'échelle de l Union européenne
Conseils sectoriels pour l emploi et les compétences à l'échelle de l Union européenne Document de synthèse Client : Commission européenne, Direction générale Emploi, affaires sociales et égalité des chances
Plus en détailLES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE
Centre de Recherche pour l Etude et l Observation des Conditions de Vie LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Anne LOONES Marie-Odile SIMON Août 2004 Département «Evaluation des Politiques Sociales»
Plus en détailRecherche et relations internationales (RRI) Elisa Pylkkanen Directrice adjointe, partenariats internationaux
Recherche et relations internationales (RRI) Elisa Pylkkanen Directrice adjointe, partenariats internationaux ADARUQ - Novembre 2013 RRI : Un aperçu «Habiliter, faciliter, créer des liens» Habiliter les
Plus en détailPROPOSITIONS EN VUE DE LA TENUE DU CONGRÈS DE LA FSSS 2009 «POUR LE MEILLEUR ET POUR L AVENIR»
PROPOSITIONS EN VUE DE LA TENUE DU CONGRÈS DE LA FSSS 2009 «POUR LE MEILLEUR ET POUR L AVENIR» I - Pour la défense et la promotion des services sociaux et de santé publics pour les personnes aînées en
Plus en détailCONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A
CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A ONUSIDA/CCP (36)/15.12 Date de publication : 24 juin 2015 TRENTE-SIXIÈME RÉUNION Date : 30 juin - 2 juillet 2015 Lieu : Salle du conseil exécutif,
Plus en détailOptions en matière de réforme des systèmes financiers
Options en matière de réforme des systèmes financiers Hansjörg Herr et Rainer Stachuletz Le projet de mondialisation néolibérale est monté en puissance à la fin des années 1970 grâce aux politiques de
Plus en détailPlan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence
Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence ministérielle sur la migration et le développement. Plan d Action
Plus en détailVERS UNE COMMUNAUTÉ EURO- MÉDITERRANÉENNE DE L ÉNERGIE : Passer de l'import-export à un nouveau modèle énergétique régional
VERS UNE COMMUNAUTÉ EURO- MÉDITERRANÉENNE DE L ÉNERGIE : Passer de l'import-export à un nouveau modèle énergétique régional Avril 2013 En 2011, pour la première fois, la Commission européenne parle d une
Plus en détail