SEMIOLOGIE EN COUPES

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1 SEMIOLOGIE EN COUPES DU KYSTE HYDATIQUE DES PARTIES MOLLES M.CHENNOUFI, M.BEN-MESSAOUD, A.ABASSI, O.AZAIZ, H.MIZOUNI, I.TURKI, K. NOUIRA, E.MENIF Service d imagerie médicale Hôpital la Rabta Tunis, TUNISIE

2 I- INTRODUCTION: Antropozoonose cosmopolite L homme est un hôte accidentel L homme est une impasse dans le cycle du parasite

3 L embryon hexacanthe est arrêté par la barrière hépatique et pulmonaire dans la majorité des cas. La localisation aux tissus mous est rare même en pays d endémie, estimée à moins de 3%.

4 II- BUT: Décrire les aspects en imagerie en coupes (TDM et IRM) du kyste hydatique dans sa localisation aux tissus mous. La place de l imagerie dans le diagnostic positif

5 III-Patients et méthode 11 patients Age moyen 44 (entre 24 et 61) 6 hommes et 5 Femmes Antécédents d hydatidose n= 3 -hydatidose hépatique:2 -hydatidose osseuse:1

6 Une échographie a été réalisée chez 9 patients. Un scanner a été réalisé dans tous les cas (sans et avec injection de produit de contraste) Une IRM chez 2 patients (en pondération T2 et T1sans et avec injection de gadolinium).

7 IV-RESULTATS: répartition du kyste hydatique: - Muscle psoas: n=6 - Paroi thoracique n=1 - Diaphragme: n=2 - Cervical : n=1 - Muscle de la racine de la cuisse n=1

8 Homme de 45ans. Masse lombaire droite KH multivésiculaire du psoas droit

9 Coupe axiale en fenêtre osseuse: extension du KH au corps vertébral et à l arc postérieur Coupe coronale montrant les rapports du kyste avec le pédicule iliaque primitif homolatéral

10 Jeune femme de 24ans. douleurs basithoraciques droites. KH multivésiculaire à paroi calcifiée diaphragmatique. (TDM monobarette)

11 TDM sans injection TDM avec injection -Homme de 60 ans -lombalgies droites -formation kystique avec paroi propre -à contenu hypodense multivésiculaire -ne prenant pas le contraste -KH multivésiculaire des chefs lombaire et iliaque droits

12 Reconstruction coronale (même patient) KH des chefs lombaire et iliaque du psoas droit

13 Homme de 61 ans ATCD d hydatidose hépatique, consulte pour lombalgies droites. formation kystique multivésiculaire du psoas droit à l échographie.

14 Même patient : -multiples kystes hydatiques du foie dont un totalement calcifié.( ) -Kyste multivésiculaire du psoas droit( )

15 Reconstruction sagittale et coronale du kyste hydatique du muscle psoas droit

16 Patient âgé de 48ans Consulte pour : épigastralgie formation kystique paroi propre contenant de fines calcifications arciformes contenu hypodense homogène non rehaussée par le produit de contraste

17 IRM du même patient: formation kystique diaphragmatique gauche en hyposignal T1, hypersignalt2, entourée par une paroi en hyposignal T2 ( )

18 Patient qui consulte pour douleur lombaires gauches Multiples formations kystiques du psoas gauche uni et multivésiculaires à paroi partiellement calcifiée non rehaussées par le PDC

19 Masse kystique multivésiculaire cervicale s étendant vers le médiastin antéro-supérieur

20 Les rapports du KH avec la crosse de l aorte et les troncs supra-aortiques. Érosions du corps sternal au contact du KH.( )

21 Coupes coronale, axiale et sagittale oblique T2: KH entre les muscles grand dorsal et dentelé antérieur. Contenu multivésiculaire en hypersignal Paroi en hyposignal T2.( )

22 Coupes axiales T1 et T1gado avec saturation de la graisse Rehaussement du périkyste.( ) Contenu du kyste en hyposignal

23 Homme de 56 ans consulte pour trouble de la marche découverte à l angioscanner des membres inférieurs: -kh multivésiculaire du muscle psoas lombaire

24 Reconstruction coronale et sagittale obliques: rapports du KH avec l aorte,l artère iliaque externe droite et l artère fémorale superficielle droites.

25 Même patient le kyste hydatique s étend à la racine de la cuisse droite venant au contact de l artère fémorale superficielle

26 V- DISCUSSION: La localisation musculaire est rare: o Le parasite est arrêté par le système porte dans 80% des cas o La contraction musculaire empêche la nidation o L acide lactique produit par le muscle est toxique.

27 Tropisme parasitaire pour les muscles à haut débit sanguin et à faible activité : o Muscles du cou o Muscles du tronc o Racine des membres inférieurs. o Psoas: localisation la plus fréquente.

28 o Diagnostic positif: par l imagerie Clinique non spécifique Sérologie souvent négative

29 ASPECTS A L IMAGERIE 1/ L ECHOGRAPHIE: Examen réalisé en 1 ière intention spécifique dans 50% Pose le diagnostic dans les cas typiques, selon la classification de Gharbi: -masse kystique à paroi fine :type I - décollement de membrane: type II -vésicules filles: type III

30 2/ LA TOMODENSITOMETRIE: indiquée devant: - Un KH pseudo-tumoral type IV - Un KH compliqué - Un siège inhabituel détecte les calcifications pariétales. n améliore pas la spécificité de l imagerie

31 La TDM précise: Le nombre La taille du ou des kystes La topographie Les rapports vasculaires Le scanner permet de guider une ponctionaspiration..

32 3/ L IMAGERIE PAR RESONANCE MAGNETIQUE: Plus précise que l écho et le scanner Réservée aux cas douteux: o pseudo-tumoral o KH compliqué: fissuré ou rompu

33 Signal à l IRM du kyste hydatique Signal en T1 Signal en T2 Kyste univésiculaire hyposignal hypersignal Kyste multivésiculaire Vésicule fille en hyposignal par rapport au reste du kyste Vésicule fille en hypo ou hypersignal ( en fonction de la présence ou non de scolex) Kyste avec membrane décollée Hyposignal linéaire ou rubané hyposignal

34 L IRM permet une meilleure analyse de la paroi. Périkyste :liseré en hyposignal T2, se rehausse après injection de gadolinium. Ce rehaussement est évocateur de la localisation aux tissus mous contrairement aux autres localisations.

35 VII- CONCLUSION: L imagerie a un rôle fondamental dans: - le diagnostic positif. - Le diagnostic topographique (rapport avec les structures vasculaires) - la classification du KH - la recherche de complications.

36 L échographie pose le diagnostic des formes typiques et superficielles TDM et IRM: pour les formes atypiques, profondes ou compliquées.

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