Conférence internationale sur le soutien au Liban
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- Paul Duval
- il y a 8 ans
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1 Conférence internationale sur le soutien au Liban Centre de conférences internationales Kléber, Paris Jeudi 25 janvier 2007 SOMMAIRE Programme Dispositif presse Liste des chefs de délégation Présentation du Liban Le programme de réformes libanais L aide économique de la communauté internationale en faveur du Liban Les engagements pris par la France à la conférence de Stockholm Le Conseil de sécurité des Nations unies et le Liban depuis la résolution 1559
2 Conférence internationale sur le soutien au Liban Jeudi 25 janvier 2007 Centre de Conférences internationales Kléber PROGRAMME A partir de 8 h 30 Ouverture du Centre de presse et de la zone de presse (Accès par l entrée située 23, rue La Pérouse, Paris 16 ème ). De 9 heures à 9 h 20 Arrivée des délégations au Centre de Conférences internationales. (5, avenue des Portugais, Paris 16 ème ) De 9 h 25 à 10h00 Accueil par M. le Président de la République des Chefs de délégation. 10 h 00 Ouverture de la Conférence par M. le Président de la République. De 10 h 15 à 13h00 Séance publique de travail. 13 h15 Déjeuner offert par M. le Président de la République en l honneur des Chefs de délégation. De 14 h30 à 16h30 Reprise des travaux puis clôture de la Conférence. 17 h 00 Conférence de presse. (Salle 8) (Interprétation simultanée : français, anglais, arabe)
3 DISPOSITIF PREVU POUR LA PRESSE Les journalistes ayant auparavant accompli les démarches nécessaires auprès du ministère des Affaires étrangères sont invités à retirer leur carte d accréditation au comptoir d accueil situé au 23, rue la Pérouse, le 25 janvier à partir de 8h30. Cette accréditation leur donne accès au Centre international de presse pendant la durée de la Conférence. Afin de faciliter leur travail, sont mis à leur disposition : - une salle de travail équipée de téléphones, télécopieurs, et permettant une connexion WIFI ; - deux salles d écoute avec renvoi des images et du son de la séance plénière matinale ; - une cafétéria.
4 CONFERENCE INTERNATIONALE SUR LE SOUTIEN AU LIBAN Centre de Conférences Internationales Kléber, jeudi 25 janvier 2006 Liste des chefs de délégation PAYS CHEFS DE DELEGATION 1. Allemagne M. Frank-Walter STEINMEIER, ministre des Affaires étrangères 2. Arabie Saoudite S. A. R. le Prince Saoud al-fayçal Bin Abdulaziz AL SAOUD, ministre des Affaires étrangères 3. Australie MME PENNY WENSLEY, AMBASSADEUR D'AUSTRALIE EN FRANCE 4. Autriche MME URSULA PLASSNIK, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES 5. Bahrein Cheikh Khaled Bin Ahmad AL KHALIFA, ministre des Affaires étrangères 6. Belgique M. Guy VERHOFSTADT, premier ministre 7. Brésil M. Celso LUIZ NUNES AMORIM, ministre d État, ministre des Relations extérieures 8. Canada Mme Josée VERNER, ministre de la Coopération internationale et ministre de la Francophonie et des Langues officielles 9. Chine M. SUN Bigan, envoyé spécial pour le Moyen-Orient 10. Chypre M. Georges LILLIKAS, ministre des Affaires étrangères 11. Corée du Sud M. KIM Ho-young, vice-ministre des Affaires étrangères 12. Danemark MME ULLA TOERNAES, MINISTRE DE LA COOPERATION POUR LE DEVELOPPEMENT 13. Egypte M. Youssef BOUTROS GHALI, ministre des Finances et de la Protection sociale 14.Emirats Arabes Unis S. EXC. CHEIKH ABDALLAH BIN ZAYED AL NAHYAN, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES 15. Espagne M. Miguel Angel MORATINOS CUYAUBE, ministre des Affaires extérieures et de la Coopération 16. Etats-Unis MME CONDOLEEZZA RICE, SECRETAIRE D ETAT 17. Finlande M. Erkki TUOMIOJA, ministre des Affaires étrangères 18. Grèce MME DORA BAKOYANNIS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES 19. Irlande 20. Italie M. Massimo D ALEMA, vice-président du Conseil, ministre des Affaires étrangères 21. Japon M. MASATOSHI WAKABAYASHI, MINISTRE DE L'ENVIRONNEMENT 22. Jordanie M. ZIYAD FARIZ, VICE-PREMIER MINISTRE, MINISTRE DES FINANCES 23. Koweit M. BADR MICHARI AL-HUMAÏDI, MINISTRE DES FINANCES 24. Liban M. Fouad SINIORA, président du Conseil des ministres 25. Luxembourg M. JEAN-CLAUDE JUNCKER, PREMIER MINISTRE 26. Malaisie M. Subramaniam THANARAJASINGAM, ambassadeur de Malaisie en France 27. Norvège M. Jonas GAHR STOERE, ministre des Affaires étrangères 28. Oman M. Mohammed Nasser AL GHOSSEIBI, secrétaire général du ministère de l Economie 29. Pays-Bas M. Bernard BOT, ministre des Affaires étrangères 30. Portugal 31.Qatar M. Youssef Hussein KAMAL, ministre des Finances 32. Royaume -Uni Mme Margaret BECKETT, ministre des Affaires
5 étrangères 33. Russie M. ALEXANDER SALTANOV, ENVOYE DU PRESIDENT DE LA FEDERATION DE RUSSIE POUR LE PROCHE-ORIENT 34. Slovénie 35. Suède M. Carl BILDT, ministre des Affaires étrangères 36. Turquie M. ABDULLAH GÜL, VICE-PREMIER MINISTRE, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES 1. Banque Islamique de M. Amadou Boubacar CISSE, vice-président chargé des Développement opérations 2. Banque Européenne M. Philippe MAYSTADT, président d Investissement 3. Banque mondiale M. Paul WOLFOWITZ, président 4. Conseil de Coopération des M. Abdulrahman Hamad AL-ATTIYAH, secrétaire Etats arabes du Golfe général 5. Fonds Arabe de M. Abdellatif Youssef AL HAMAD, président-directeur Développement Economique et général Social 6. Fonds Monétaire Aarabe M. Jassim AL MANNAI, directeur général 7. Fonds Monétaire M. John LIPSKY, premier directeur général adjoint International 8. Fonds Koweitien pour le M. Abdulwahab AL-BADER, directeur général Développement 9. Fonds Saoudien pour le M. Youssef Ibrahim AL BASSAM, vice-président du Développement Fonds saoudien de développement 10. Ligue Arabe M. Amr MOUSSA, secrétaire général 11. Secrétaire général des M. BAN Ki-Moon, secrétaire général Nations unies 12. Programme des Nations M. Kemal DERVIS, administrateur unies pour le Développement 13. Commission européenne M. José Manuel BARROSO, président de la Commission 14. Union européenne- M. Javier SOLANA, haut représentant pour la Politique Secrétariat général étrangère et de sécurité commune
6 INTITULE OFFICIEL PRESIDENCE EXECUTIF LIBAN janvier 2007 République libanaise. Indépendance en Constitution du 23 mai 1926 et révision en 1990 (loi constitutionnelle qui intègre l'acquis de Taëf). Le Président de la République est chrétien (maronite, dans la pratique), le Président du Conseil des Ministres est sunnite et le Président du Parlement un chiite. Nature du régime : République parlementaire. Election par le Parlement. Président actuel : M. Emile LAHOUD, élu en novembre 1998 pour 6 ans, prorogé le 3 septembre 2004 pour 3 ans. Pouvoir exécutif détenu collégialement par le Conseil des Ministres. Le Président du Conseil est choisi par le Président de la République après consultation de l'assemblée nationale. Au lendemain des élections législatives de juin 2005, M. Fouad SINIORA a été nommé Président du Conseil des Ministres. Le gouvernement est formé par le Président du Conseil et le Président de la République Vice-Premier ministre et ministre de la Défense : M. Elias MURR. Ministre des Affaires étrangères par intérim : M. Tarek MITRI, ministre de la Culture. LEGISLATIF Pouvoir législatif monocaméral. Loi électorale de Assemblée nationale : 128 députés élus pour 4 ans (64 chrétiens, 64 musulmans). Dernières élections législatives : juin M. Nabih BERRY, Président depuis 1992, réélu en octobre 2000 et en juillet PRINCIPALES FORCES POLITIQUES SUPERFICIE Mouvement pour le Futur, Parti Kataëb, Bloc national, Parti National Libéral, Forces Libanaises, Courant Patriotique Libre, Parti socialiste progressiste, Amal et Hezbollah Km2. POPULATION - 4,5 M d'hab. dont 3,7 M de Libanais, entre 250 et Palestiniens et travailleurs syriens (approximation). - Capitale: Beyrouth (1,5 M d'hab) hab. au km2 Croissance démograhique : N.C.% - Forte émigration - Communautés religieuses reconnues : 18 (11 chrétiennes dont 6 rattachées à Rome). Chrétiens : 42% (dont maronites 23 % ; grecs-orthodoxes 7 % ; grecscatholiques 6 % ; Arméniens 4 %) (estimations) Musulmans : 58 % (dont chiites 31 % ; sunnites 22 % ; druzes 5%) NB : ces pourcentages correspondent à des estimations aucun recensement depuis Taux d'urbanisation : 60 % - Taux d'alphabétisation : 80% - Espérance de vie : 72 ans ARMEE ECONOMIE 11 brigades opérationnelles ( hommes) Monnaie : 1 Euro=1960 Livres Libanaises PIB : 22.3 Mds USD (2005), PIB par habitant > 4000 USD (2006) Taux de croissance du PIB: +1,0% en Taux de chômage : 20% (estimation). Inflation: 1,4% en Déficit public : 14,6% en 2003 (déficit prévu pour 2004 : 32%) Service de la dette: 18% du PIB Dette publique : 40 Mds US$ en septembre 2006, 180% PIB. Industrie : 14 % du PIB, agriculture : 17 %, tertiaire : 69 % solde de la balance courante/pib: - 20 % en 2005
7 LE PROGRAMME DE REFORMES LIBANAIS Le programme de réformes libanais a été adopté par le Conseil des ministres le 4 janvier Le programme de réformes sera progressivement mis en œuvre sur la période Il a notamment pour objectifs : - de relancer l économie en améliorant l environnement des affaires et en soutenant le tissu productif ; - d améliorer les conditions de vie de tous les Libanais ; - de restaurer les grands équilibres financiers (réduction du taux d endettement du Liban de 180% du PIB en 2006 à 144% en 2011). Le programme repose sur les postulats macroéconomiques suivants : - taux de croissance de 5% en 2006 puis remontant à partir de 2007 autour de 4 à 5%, c est-à-dire renouant avec les tendances observées avant le conflit de cet été ; - taux d inflation de 7,5% en 2006, se stabilisant par la suite entre 2 et 2,5%. Ce programme quinquennal de réformes comporte quatre grands piliers : 1. Un volet social : interventions spécifiques en direction des populations fragiles, extension des dispositifs de sécurité sociale, actions dans le domaine de l éducation et de la santé, etc. 2. Un volet structurel : réforme de l administration publique, amélioration de l environnement juridique des affaires, réforme du secteur financier et de la gestion de la dette, amélioration du financement des PME, etc. 3. Un volet budgétaire : Hausse des recettes fiscales : augmentation de la TVA entre 2008 et 2010 ; déplafonnement progressif de la taxation des carburants ; hausse de la taxation des produits financiers ; introduction d un impôt unifié sur le revenu à partir de 2008, etc. Maîtrise des dépenses : réduction du train de vie de l Etat ; restructuration d Electricité du Liban ; limitations des embauches de fonctionnaires, etc. 4. Un volet privatisations : cession de la téléphonie mobile en 2007, puis de Liban Telecom en Les recettes tirées de ces privatisations seront affectées au remboursement de la dette publique. Ce programme sera mis en œuvre sur la période avec le soutien, notamment financier, de la communauté internationale.
8 L AIDE ECONOMIQUE DE LA COMMUNAUTE INTERNATIONALE EN FAVEUR DU LIBAN Paris I (23 février 2001) La France a organisé une première réunion avec les institutions internationales (Banque mondiale, Banque européenne d investissement, Commission européenne) le 23 février Cette réunion avait pour objet le développement économique du Liban. Elle a permis au gouvernement libanais de présenter sa politique économique et financière et de mobiliser environ 500 millions d euros d aide internationale. Le principe d une réunion élargie aux principaux partenaires économiques du Liban a été alors décidé, afin de soutenir le programme de relance de l économie libanaise. Paris II (23 novembre 2002) Cette seconde réunion, élargie aux principaux partenaires économiques du Liban, s est tenue le 23 novembre Etats et institutions internationales, dont les chefs de gouvernement des pays suivants : Allemagne, Belgique, Canada, Danemark, Espagne, Italie, Liban, Malaisie et Qatar, ainsi que le Président de la Commission européenne, y ont participé. Au cours de cette conférence, le FMI a salué les efforts entrepris par les autorités libanaises en matière de réformes économiques et de réduction de la dette publique. Lors de la conférence de Paris II, une aide de 4,2 Mds?, répartie entre 3,1Mds? d aide financière et 1,3Mds? d aide projet, a été annoncée par les Etats participants. La Conférence de Stockholm (31 août 2006) Organisée par le gouvernement suédois le 31 août 2006, en collaboration étroite avec le gouvernement libanais et avec le soutien des Nations unies après les affrontements de l été, elle a réuni environ cinquante donateurs, qu il s agisse d Etats ou d organisations internationales, régionales, ainsi que non gouvernementales. Cette conférence a permis d apporter un soutien politique et financier au gouvernement libanais qui a présenté à la communauté internationale une évaluation des dommages subis et des besoins pour la réhabilitation à court terme. Un montant global de 980 millions de dollars a été promis au Liban à Stockholm. Ces annonces ont été depuis confirmées. Fin décembre 2006, environ les deux tiers de ce montant avaient déjà été engagés et dépensés. Vers Paris III (25 janvier 2007) En réponse à la demande des autorités libanaises, le Président de la République a décidé d organiser à Paris, le 25 janvier 2006, une conférence internationale de soutien au Liban. Aboutissement des travaux du groupe des «amis du Liban» formé au lendemain du «printemps de Beyrouth» (mars 2005), cette conférence vise notamment à prolonger les efforts consentis à la conférence de Stockholm. La conférence sur le soutien au Liban du 25 janvier, s articulera autour de trois volets : (1) un volet politique en insistant notamment sur la nécessité de renforcer l Etat libanais afin de lui permettre d exercer pleinement sa souveraineté sur l ensemble de son territoire, (2) un volet sur les besoins sectoriels, économiques et sociaux, du Liban, (3) un volet macroéconomique et financier centré autour du traitement de la dette et de l appui au programme de réformes.
9 LES ENGAGEMENTS PRIS PAR LA FRANCE A LA CONFERENCE DE STOCKHOLM 40 millions d euros Aide d urgence Réhabilitation à court terme 15 millions d euros 25 millions d euros Assistance humanitaire, 4 millions d euros : - assistance aux populations victimes du conflit, - aide alimentaire, - achat et transport de médicaments et kits d hygiène, - soutien à des ONG libanaises et internationales, - relance d urgence du tissu économique local. Contribution au financement des actions des organisations internationales, 4 millions d euros, répartis à parts égales entre l UNICEF, le PAM, le CICR et le HCR. Logistique, 7 millions d euros : - mise en œuvre de l opération Baliste, - livraison et installation des ponts Bailey. Aide alimentaire complémentaire : 1 million d euros. Appui aux actions de sécurité civile mises en œuvre par le canal du PNUD : 2 millions d euros. Actions de proximité en faveur des populations victimes du conflit : euros. Déminage humanitaire, euros : aide en matériels, tenues de déminage, formation. Actions en faveur de l environnement, euros : dépollution des côtes, achat de matériels, formation des intervenants libanais. Infrastructures : réhabilitation d infrastructures (eau et assainissement), assistance technique, expertise. Poursuite des actions engagées en 2006 en particulier : Soutien à la coopération décentralisée entre collectivités locales françaises et libanaises : euros. Soutien aux ONG : 1 million d euros. Appui institutionnel : 1, 5 millions d euros dans le domaine de la gouvernance. Fonds social de développement : euros en faveur des populations fragilisées par le conflit. Déminage humanitaire : 1,1 millions d euros.
10 LE CONSEIL DE SECURITE DES NATIONS UNIES ET LE LIBAN DEPUIS LA RESOLUTION 1559 La résolution 1559 (adoptée le 2 septembre 2004) : 1/. Réaffirme les principes de souveraineté, d intégrité territoriale, d unité et d indépendance politique du Liban ; 2/. Appelle au retrait de toutes les forces étrangères» encore présentes au Liban ; 3/. Demande le désarmement et la dissolution de toutes les milices libanaises et nonlibanaises ; 4/. Affirme son soutien à l extension du contrôle exercé par le gouvernement libanais sur l ensemble de son territoire ; 5/. Se déclare favorable à ce que les prochaines élections présidentielles au Liban se déroulent selon un processus électoral libre et régulier, conformément à des règles constitutionnelles libanaises élaborées en dehors de toute interférence ou influence étrangères. La résolution 1595 (adoptée le 7 avril 2005) : Décide de créer une Commission d enquête internationale indépendante chargée d aider les autorités libanaises à enquêter sur tous les aspects de l'attentat terroriste du 14 février Par ailleurs, les résolutions 1644 (adoptée le 5 décembre 2005) et 1664 (adoptée le 29 mars 2006) portent sur la création d un Tribunal à caractère international pour juger les personnes mises en cause dans l attentat du 14 février. La résolution 1701 ( adoptée le 11 août 2006) : 1/. demande au Gouvernement libanais et à la FINUL de déployer leurs forces ensemble dans tout le Sud et demande au Gouvernement israélien de retirer en parallèle toutes ses forces du Liban-Sud ; 2/. demande à la communauté internationale de fournir une aide à la reconstruction et au développement du Liban ; 3/. lance un appel à Israël et au Liban pour qu'ils appuient un cessez-le-feu permanent et une solution à long terme, la fixation de «paramètres et éléments d un cessez-le-feu durable et d une solution de long terme» ; 4/. invite le Secrétaire général des Nations unies à travailler avec les parties intéressées et la communauté internationale pour mettre en œuvre les dispositions pertinentes des accords de Taëf et des résolutions 1559 et 1680, notamment celles relatives au désarmement et pour délimiter les frontières internationales du Liban. 5/. décide le renforcement de la FINUL, dotée d un nouveau mandat valable jusqu au 31 août 2007.
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