Epidémiologie des conduites addictives
|
|
- Marie-Agnès Renée Dubé
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Epidémiologie des conduites addictives
2 Sommaire Introduction Définition de l addiction Critères d addiction Addictions : un noyau commun Exemples d addictions Addictions comportementales - Mécanismes en jeu - Traitement - Prévention
3 Introduction
4 Introduction La définition du concept d'addiction apparaît de plus en plus difficile à cerner. Des toxicomanies à l'alcoolisme et au tabagisme, en passant par le jeu pathologique, les achats compulsifs, la sexualité et certains troubles du comportement jusqu'à l'addiction, pourtant si peu virtuelle des cyberdépendants, on peut se demander quel est le point commun des addictions sans drogue et tout d'abord s'il existe.
5 Introduction Ce questionnement est incontournable pour bâtir des stratégies de prévention et d'intervention médico-sociale adaptées. Il a également pour conséquence de penser les addictions en terme de conduite des sujets plutôt qu'une approche à partir des produits psychotropes.
6 Définition de l addiction
7 Définition de l addiction L addiction est, au sens courant, une dépendance à une drogue. Au sens phénoménologique, c est une conduite qui repose sur une envie répétée et irrépressible, en dépit de la motivation et des efforts du sujet pour s y soustraire. Le sujet se livre à des addictions malgré la conscience aiguë qu il a le plus souvent d abus et de perte de sa liberté d action, ou de leur éventualité.
8 Critères d addiction
9 Critères d addiction La définition des addictions selon Goodman : A/ Impossibilité de résister aux impulsions à réaliser ce type de comportement. B/ Sensation croissante de tension précédant immédiatement le début du comportement. C/ Plaisir ou soulagement pendant sa durée. D/ Sensation de perte de contrôle pendant le comportement.
10 Critères d addiction E/ Présence d'au moins cinq des neuf critères suivants : I. Préoccupation fréquente au sujet du comportement ou de sa préparation. 2. Intensité et durée des épisodes plus importantes que souhaitées à l'origine. 3. Tentatives répétées pour réduire, contrôler ou abandonner le comportement. 4. Temps important consacré à préparer les épisodes, à les entreprendre, ou à s'en remettre.
11 Critères d addiction 5. Survenue fréquente des épisodes lorsque le sujet doit accomplir des obligations professionnelles, scolaires ou universitaires, familiales ou sociales. 6. Activités sociales, professionnelles ou récréatives majeures sacrifiées du fait du comportement. 7. Perpétuation du comportement bien que le sujet sache qu'il cause ou aggrave un problème persistant ou récurrent d'ordre social, financier, psychologique ou physique.
12 Critères d addiction 8. Tolérance marquée : besoin d'augmenter l'intensité ou la fréquence pour obtenir l'effet désiré, ou diminution de l'effet procuré par un comportement de même intensité. 9. Agitation ou irritabilité en cas d'impossibilité de s'adonner au comportement. F/ Certains éléments du syndrome ont duré plus d'un mois ou se sont répétés pendant une période plus longue. D'après Aviel Goodman, 1990
13 Addictions : un noyau commun
14 Addictions : un noyau commun pour des conduites diverses Alcoolisme Toxicomanies Troubles du comportement alimentaire : Anorexie Boulimie Addictions comportementales : Le jeu pathologique, les achats compulsifs, l addiction au sport et à l exercice physique, l addiction sexuelle, le travail pathologique, la cyberdépendance, l addiction au crime,
15 Addictions : un noyau commun Dépendance Psychique Physique Accoutumance Comportement d autodestruction et prise de risque Abstinence comme objectif thérapeutique
16 Exemples d addictions
17 Alcoolisme France : trio de tête en Europe : 17,8 litres d alcool pur par adulte et par an Répartition régionale : Bretagne, Normandie, Nord, Augmentation de l alcoolisation des jeunes à début précoce Augmentation de l alcoolisme de défonce Progression de l alcoolisme féminin 10% de la population a un problème d alcool
18 Alcoolisme Haut Comité de Santé Publique : 6 millions d hommes, 2,5 millions de femmes Dans les Centres Hospitaliers Généraux : 1 patient sur 3 est alcoolique Rôle dans les tentatives de suicide : 61% des hommes et 44% des femmes ont pris de l alcool Réduction de l espérance de vie de 12 ans chez une personne alcoolo-dépendante de 25 ans
19 Alcoolisme 23% des coûts d un Centre Hospitalier Universitaire sont imputables à l alcool 25% du budget de la Caisse Nationale d Assurance Maladie est lié à l alcool
20 Toxicomanies Un adolescent sur deux a consommé au moins une fois héroïnomanes toxicomanes : 80% par intraveineuse dont 40% séropositifs HIV 70% hépatite C Facteur d exclusion : 70% des toxicomanes sont sans emploi 15% de la population pénale
21 Toxicomanies Plusieurs ordres de faits sont observés : - l apparition de nouvelles molécules (les drogues de synthèse), - l émergence de nouveaux usages de substances déjà répandues (cocaïne, amphétamines, LSD ), - une diminution relative de la consommation d opiacés. - une augmentation forte de la consommation précoce de cannabis généralement associée à de l alcool et du tabac, - un développement d usages de substances psychoactives en milieu festif (rave parties, free parties, mais aussi mégadiscothèques, boîtes de nuit, soirées privées, etc.).
22 L anorexie mentale Définition L'anorexie mentale (AM) correspond à un refus de s'alimenter lié à un état mental particulier. La perte d'appétit est secondaire, liée à la restriction volontaire et souvent inavouée de l'alimentation. Si le sujet présente des crises de boulimie, des vomissements et recourt à des purgatifs, on différenciera l'anorexie de type "Anorexie-Boulimie", de l'anorexie de type restrictif.
23 L anorexie mentale Epidémiologie La fréquence de l'am est en augmentation dans les sociétés occidentales où la "minceur " fait figure d'idéal. Elle se manifeste classiquement chez les classes sociales élevées et moyennes au sein de familles pour lesquelles la promotion sociale et la réussite scolaire ont une grande importance. Les données épidémiologiques indiquent (source : Académie Nationale de Médecine, mars 2002) :
24 L anorexie mentale Epidémiologie - une prédominance féminine (en moyenne 6 à 10 filles pour 1 garçon), - que l'âge de survenue connaît deux pics : un à ans et un à ans, - une prévalence en moyenne 1 % chez les adolescents, - une incidence de 1/200 pour les jeunes filles et de 1/ dans la population en générale.
25 Addictions comportementales
26 Le jeu pathologique Les études en population générale tendent à démontrer que le jeu pathologique est relativement répandu : le DSM-IV en estime la prévalence entre 1% et 3% de la population adulte, note que le trouble est plus fréquent chez l'homme que chez la femme et souligne que 20% des sujets concernés ont fait des tentatives de suicide.
27 Le jeu pathologique Aux États-Unis (Lesieur), comme au Canada (Ladouceur), des études mettent en évidence que cette prévalence est de l'ordre de 1 à 2%, plus si l'on inclut dans la recherche les joueurs à problème. Ces chiffres sont l'objet de débats, et pour d'autres auteurs ils seraient plus près de 0,5% Les études indiquent aussi qu'il s'agit d'une problématique surtout masculine, jeune (surreprésentation des étudiants), et qui touche particulièrement les couches socialement défavorisées ou minoritaires de la population. Il semble d'ailleurs que jeunes, pauvres, et femmes, soient sous-représentés dans la population admise en traitement, donc dans certaines études.
28 Le jeu pathologique Une étude menée en France auprès des personnes consultant le service téléphonique SOS. Joueurs (A. Achour-Gaillard) donne un aperçu de la population française des joueurs dépendants. Ce travail met en évidence une très forte surreprésentation des hommes (plus de 90% des sujets), un âge de 25 à 44 ans, la tranche la plus représentée étant les ans. Une majorité de ces joueurs sont mariés, et ont des enfants. La plupart ne jouent qu'à un seul jeu, les femmes surtout aux machines à sous.
29 Le jeu pathologique Une majorité de ces joueurs sont surendettés, et l'altération des relations conjugales est une conséquence fréquente. Près de 20% des joueurs ont commis des délits. L'auteur remarque à la fois que cette étude n'est qu'exploratoire, mais qu'elle semble en accord avec les résultats des recherches nord-américaines : les différences de culture, quant au jeu, comme les différences de conception quant à l'abord de ce problème, n'empêchent donc pas une convergence, dans l'appréciation globale du phénomène ou le profil des joueurs pathologiques.
30 Les achats compulsifs La prévalence(1) des achats compulsifs touche environ 6% de la population générale. (1) mesure de l état de santé d une population à un instant donnée.
31 Les achats compulsifs Il a été identifié quatre types de consommateurs : - le consommateur émotionnel dont l achat est une auto-thérapie anxiolytique et/ou antidépressive, - le consommateur impulsif envahi par un désir soudain et spontané d acheter, - le consommateur fanatique ou collectionneur qui achète le même objet ou type d objet en plusieurs exemplaires,
32 Les achats compulsifs - l acheteur compulsif qui achète pour lutter contre de fortes tensions intérieures ou angoisses incontrôlables. Un vide intérieur, une dépression, une défaillance narcissique caractérisent ces acheteurs pathologiques qui, grâce à l argent, trouvent le moyen de restaurer leur image de soi.
33 La cyberdépendance Cette addiction en France toucherait moins de 1% des Internautes mais cette nouvelle catégorie d'addiction est encore difficile à définir. L'addiction à Internet fait partie de la catégorie de l'usage avec dépendance, selon les critères de l'o.m.s. Ces conduites addictives ne se qualifient pas en terme de durée de temps passé devant Internet mais davantage par la perte de maîtrise, la perte de liberté de s'abstenir. La personne n'est plus capable de modifier seule son comportement par perte d'une partie de capacité de discernement. Cela implique des soins par une équipe spécialisée qui s'intéresse au produit (ici internet et son centre d'intérêt principal), à la personne et à son environnement (social, affectif, familial).
34 L addiction au sport Dans une société où l on valorise l activité physique, il peut paraître surprenant de parler d addiction au sport. Elle se manifeste par la nécessité de pratiquer sans relâche un sport. Une activité physique régulière, répétitive, agirait comme un stupéfiant anesthésique qui empêcherait l expression de la souffrance corporelle ou psychique.
35 L addiction au sport Chez le sujet addict, l image et l estime de soi occupent une place importante. Le psychiatre Dan Véléa a répertorié les caractéristiques de cette pratique sportive à outrance où le sportif aura tendance à vouloir résoudre tous ses problèmes par le sport. En période de sevrage, des excès de colère, une tendance à la dépression et à la boulimie ont été relevés.
36 L addiction au sport Ce type d addiction évolue souvent vers d autres dépendances ou pathologies telles que les jeux, l obésité ou la surconsommation de tabac ou de drogues.
37 L addiction au travail L addiction au travail désigne une relation pathologique d un sujet à son travail caractérisée par la compulsion et la perte de contrôle, malgré des répercussions importantes sur les plans familiaux et de santé. Cette addiction s inscrit dans un contexte social qui donne au travail une place primordiale et gratifiante engendrant une sous-estimation de ce type d addiction.
38 L addiction au travail Trois étapes sont caractéristiques de ce trouble : - stade 1 : excès d énergie, augmentation des capacités, heures supplémentaires, - stade 2 : apparition de difficultés dans la vie familiale et sociale
39 L addiction au travail - stade 3 : forte diminution des capacités de travail, apparition de troubles psychosomatiques (troubles du sommeil, lombalgies, céphalées persistantes, problèmes cardiovasculaires, ). Au stade ultime, le sujet souffre de complications majeures liées au stress (troubles anxio-dépressifs et le syndrome du burn-out caractérisé par une fatigue et un épuisement physique et psychique extrême).
40 L addiction sexuelle Le psychologue E. Coleman a mis en évidence l existence d au moins deux des cinq entités suivantes : - la drague compulsive avec des partenaires multiples, - la masturbation compulsive, - la fixation compulsive sur un ou des partenaires inaccessibles pouvant conduire à des actes agressifs orientés vers la personne aimée,
41 L addiction sexuelle - les rapports compulsifs amoureux multiples avec une insatisfaction des relations amoureuses et la quête perpétuelle de l amour idéal, - la sexualité compulsive avec un besoin perpétuel d actes sexuels, d expression amoureuse et d attention. Une addiction sexuelle peut aller à terme vers des comportements de plus en plus déviants : rapports sexuels sans protection, comportements délinquants voire criminels, pédophilie, inceste,
42 Mécanismes en jeu Les addictions comportementales sont marquées par un dysfonctionnement du système nerveux central au niveau du circuit de récompense. Des stimulations cérébrales libérent des neuro-hormones comme la dopamine, l hormone du plaisir par excellence.
43 Mécanismes en jeu Le circuit de récompense présente des connections anatomo-fonctionnelles avec trois autres circuits : - celui de la mémoire et de l apprentissage, - celui de la régulation du stress, - celui de la motricité, ce qui explique notamment la puissance de l état d addiction (mémoire, conditionnement) et ses aspects moteurs compulsifs.
44 Mécanismes en jeu La mémorisation de l expérience fait que sa simple anticipation mentale stimule déjà les neuro-hormones. Les addictions comportementales sont donc l exacerbation de mécanismes naturels.
45 Traitement Actuellement, il n existe aucun médicament spécifique efficace pour traiter la dépendance comportementale. Aux Etats-Unis, des groupes thérapeutiques se sont mis en place sur le modèle des Alcooliques Anonymes. En France, certaines départements d addictologie récemment créés dans les CHU dans le cadre du Plan Addictions
46 Traitement En France, certaines départements d addictologie récemment créés dans les CHU dans le cadre du Plan Addictions du gouvernement qui a souhaité regrouper les consultations de tabaccologie, de toxicomanie, et d addictions sans substances psychotropes au sein d un même pôle pour en faire ces consultations hospitalières d addiction, organisent des groupes de parole thématique, le but étant la guérison par l abstinence totale durable.
47 Traitement Le Plan prévoit également le développement de centres de soins d accompagnement et de prévention en addictologie (CSAPA), structure ouverte à toutes les addictions. Par ailleurs, l Inserm a été mandaté par le ministère de la Santé en 2006 pour identifier les besoins en termes de soins et de prévention.
48 Prévention Les addictions comportementales renvoient à la question de la vulnérabilité. Les causes de l addiction sont multifonctionnelles : génétiques, psychologiques, familiales, sociales, environnementales Ce sont ces facteurs cumulés qui, à une période donnée de notre vie, nous rendent plus fragiles donc plus enclins à ce type de comportements.
49 Prévention Si l on part de ce postulat, alors on reconnaît la nécessité dès le plus jeune âge d acquérir les compétences psychosociales (capacité à gérer ses émotions, son stress, à développer de l estime de soi, ) pour faire face aux pressions et difficultés de la vie quotidienne.
50 Prévention Il est d ailleurs nécessaire d informer sur les dangers encourus de ces consommations, de faire réfléchir aux motivations qui sous-tendent de tels comportements et de former les professionnels des secteurs sanitaires, sociaux, éducatifs, véritables relais d information auprès des jeunes et des adultes au repérage et à l orientation vers les centres spécialisés.
51 Références utiles Organismes de référence : - Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (MILDT) - Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) - Hôpital Marmottan - Bizia Médecins du monde - Association nationale des intervenants en toxicomanie (ANIT)
52 Références utiles Sites utiles : * Hometox (fédération française de psychiatrie dépendance toxicomanie conduites addictives) * Psynternaute (site canadien sur les conduites addictives)
53 Références utiles Parutions et ouvrages : - Approche du concept d addiction en psychopathologie, Fernandez L., Sztulman H., Annales médico-psychologiques, Cent questions sur les drogues, la toxicomanie et les hépatites virales associées. Quels mécanismes du cerveau entrent en jeu lors de la consommation de drogues, Guffens J.-M., Le grand dictionnaire de la Psychologie, Larousse, Paris - Propos critiques sur les notions d addictions et de conduites de dépendance, entre lieu commun et chimère, dépendance et conduites de dépendances, Rigaud A., Jacquet M., Masson, 1994
Nouvelles addictions. Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie
Nouvelles addictions comportementales Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie Item N 77. Addictions comportementales Diagnostiquer, évaluer le retentissement
Plus en détail9.11 Les jeux de hasard et d argent
9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,
Plus en détailLES ADDICTIONS. Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France. le 15/04/11
LES ADDICTIONS Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France Du produit à l addiction Auparavant l accent était mis sur la substance alcool/drogue qui était diabolisée
Plus en détailProgramme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises
1 Programme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises Luca Fumagalli Adjoint au chef du Service des établissements spécialisés et délégué du canton au groupe d accompagnement
Plus en détailPrévention des conduites addictives : des sciences sociales aux pratiques locales
Colloque régional de prévention des addictions Mardi 31 mars 2015 Clermont-Ferrand Prévention des conduites addictives : des sciences sociales aux pratiques locales Appels à communication Le Pôle de référence
Plus en détailLes drogues POUR EN SAVOIR PLUS. 1. L avis du psychologue. 2. Les risques et leur prévention. Quelques chiffres
Les drogues POUR EN SAVOIR PLUS 1. L avis du psychologue La consommation de drogues, qu elles soient licites (alcool, tabac) ou illicites (cannabis, crack, etc.), fait partie des conduites à risques fréquemment
Plus en détailDangers potentiels d Internet et des jeux en ligne
Le Conseil fédéral Dangers potentiels d Internet et des jeux en ligne Rapport du Conseil fédéral en réponse aux postulats Forster-Vannini (09.3521) du 9.6.2009 et Schmid-Federer (09.3579) du 10.6.2009
Plus en détailLE JEU EXCESSIF. Dr Christine Davidson M.Philippe Maso. Décembre 2011
LE JEU EXCESSIF Dr Christine Davidson M.Philippe Maso Décembre 2011 Qu est-ce qu un Joueur Occasionnel? Joue pour le plaisir Accepte de perdre l argent misé. Ne retourne pas pour se refaire. Joue selon
Plus en détail«Les jeux en ligne, quelle influence en France?»
Les multiples facettes du jeu Québec, 30 mai 2012 «Les jeux en ligne, quelle influence en France?» M. Grall-Bronnec, G. Bouju, M. Lagadec J. Caillon, J.L. Vénisse Le contexte des jeux de hasard et d argent
Plus en détailComportements addictifs
Comportements addictifs Les cyberdépendances Addictions comportementales, Qu est-ce que c est? L addiction, au sens général, peut se définir par une envie incontrôlable et répétée, de consommer un produit
Plus en détailGuide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite
Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,
Plus en détailEstimations 2014 des consommations de produits psychoactifs à 17 ans
Estimations des consommations de produits psychoactifs à 17 ans Stanislas Spilka, Olivier Le Nézet et François Beck Note 2015-02 du 21 avril 2015 L enquête ESCAPAD Cette note présente les premières exploitations
Plus en détailAddictologie. Pr Romain Moirand UF Addictologie CHU de Rennes
Addictologie Pr Romain Moirand UF Addictologie CHU de Rennes Définition addiction Conduites de consommation de substances psychoactives Physiopathologie simplifiée Les différents produits Définition de
Plus en détailSe libérer de la drogue
Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir
Plus en détail"La santé des étudiants en 2013"
1 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2013" 8 ème Enquête Nationale 1999 2013 Enquête Santé MGEL Depuis plus de 60 ans, à l écoute des étudiants 2 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes de
Plus en détailCritères de l'addiction et de la dépendance affective chez la victime de manipulateur pervers narcissique
Critères de l'addiction et de la dépendance affective chez la victime de manipulateur pervers narcissique Dépendance de la victime à une illusion, un fantasme Ces critères ont été élaborés par Goodman
Plus en détailDifférents facteurs impliqués dans l addiction
Différents facteurs impliqués dans l addiction Facteurs génétiques Neurobiologiques Circuits, métabolisme, neuroadaptation Développement Puberté Maturation cérébrale Sexe Comportement Tempérament Personnalité
Plus en détailTABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse
TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE Dossier de Presse Contacts presse OFDT : Julie-Emilie Adès/ 01 53 20 95 16 / juade@ofdt.fr MILDT: Patrick Chanson / 01 44 63 20
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailtestez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité!
: t i u t a r g t i Extra testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! Enoncé Un fan de casino Vous êtes praticien dans la belle ville d Enghien (célèbre pour son casino ). Vous recevez Joël 43
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailConférence sur l addiction au numérique du 21 mars 2013
Conférence sur l addiction au numérique du 21 mars 2013 Intervenants : Dr NEKAA (addictologue praticien hospitalier) Mme Crouzet (police nationale) Dr NEKAA Il ne faut pas diaboliser les jeux vidéo, internet
Plus en détail4720.5560.46 (septembre 2009) 30 %
4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % Prévenir le jeu excessif chez les adolescents C est toujours gagnant! Pourquoi ce dépliant? [ ] Le rôle des parents est déterminant dans la prévention du jeu excessif
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailGuide. d ivresse. de gestion de la crise. en entreprise
Guide de gestion de la crise d ivresse en entreprise L IVRESSE SUR LES LIEUX DE TRAVAIL Ce guide pratique se veut un outil répondant aux besoins exprimés par les entreprises. Il répond uniquement à la
Plus en détailPacte européen pour la santé mentale et le bien-être
Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être CONFERENCE DE HAUT-NIVEAU DE L UE ENSEMBLE POUR LA SANTÉ MENTALE ET LE BIEN-ÊTRE Bruxelles, 12-13 juin 2008 Slovensko predsedstvo EU 2008 Slovenian
Plus en détailLA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI
LA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI? LA MÉTHAMPHÉTAMINE est un produit stupéfiant illicite, synthétisé à partir de substances chimiques, également connu sous le nom de «crystal» ou «crystalmet», «ice»,
Plus en détailSOUFFREZ-VOUS D UN TROUBLE BIPOLAIRE?
SOUFFREZ-VOUS D UN TROUBLE BIPOLAIRE? Les changements de l humeur constituent un phénomène normal de la vie. Cependant, dans la maladie bipolaire, ces changements sont hors de proportion avec les énervements.
Plus en détailTableau de bord sur les addictions en Bretagne
DU Addictologie 6 novembre 2014 Tableau de bord sur les addictions en Bretagne Les principaux chiffres clés Tableau de bord sur les addictions en Bretagne http://www.cirdd-bretagne.fr/ http://orsbretagne.typepad.fr/ors_bretagne/
Plus en détailLes cyberaddictions. Daniele Zullino Médecin chef de service Privatdocent Faculté de Médecine UNIGE. Service d addictologie
Les cyberaddictions Daniele Zullino Médecin chef de service Privatdocent Faculté de Médecine UNIGE Centre collaborateur OMS pour la recherche sur les addictions Agenda C est quoi une addiction? L addiction
Plus en détailLa prise en charge d un trouble bipolaire
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge d un trouble bipolaire Vivre avec un trouble bipolaire Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailLA PRISE EN CHARGE COGNITIVE ET COMPORTEMENTALE DU JOUEUR PATHOLOGIQUE (Jeux de hasard et d argent)
LA PRISE EN CHARGE COGNITIVE ET COMPORTEMENTALE DU JOUEUR PATHOLOGIQUE (Jeux de hasard et d argent) Colloque Européen et International THS 10, le 14 octobre 2011 Marthylle LAGADEC Marie GRALL-BRONNEC,
Plus en détailEn quoi consistera ce jeu?
1 Projet Comité d Education à la Santé et à la Citoyenneté inter degré Création jeu par les élèves de l école du Gliesberg, de l école Martin Schongauer et du collège Hans Arp de Strasbourg Création d
Plus en détailPôle de compétence en promotion de la santé région Centre en Promotion de la Santé en Région Centre. Salon des formations en promotion de la santé
Fédération Régionale des Acteurs FRAPS Pôle de compétence en promotion de la santé région Centre en Promotion de la Santé en Région Centre Salon des formations en promotion de la santé Mardi 20 janvier
Plus en détailLIVRE BLANC DE L ADDICTOLOGIE FRANCAISE. 100 propositions pour réduire les dommages des addictions en France. Contact : princeps.gdumas@orange.
FEDERATIION FRANCAIISE D ADDIICTOLOGIIE LIVRE BLANC DE L ADDICTOLOGIE FRANCAISE 100 propositions pour réduire les dommages des addictions en France Contact : princeps.gdumas@orange.fr LIVRE BLANC DE L
Plus en détailLes effets nocifs du bruit sur l'homme
La santé n'est pas seulement l'absence de maladie mais un état de complet bien être physique, mental et social (OMS) Le bruit est un ensemble confus de sons non désirés (Littré) ou un ensemble de sons
Plus en détailFaire face aux addictions des jeunes Les «Consultations Jeunes Consommateurs», une ressource pour agir précocement et aider les familles et les jeunes
Faire face aux addictions des jeunes Les «Consultations Jeunes Consommateurs», une ressource pour agir précocement et aider les familles et les jeunes Dossier de presse Janvier 2015 CONTACT PRESSE Inpes
Plus en détailLes usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction
Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction OFDT Note n 2010-12 Saint-Denis, le 09/08/2010 Introduction Les premières structures
Plus en détailL'addiction au sport
GYMNASE AUGUSTE PICCARD 31 octobre 211 L'addiction au sport Cas des élèves sportifs des classes spéciales du GAP Travail de maturité en éducation physique et sportive Réalisé par Dany Sannicandro, 3MS3
Plus en détailTROUBLES PSYCHIQUES. Troubles addictifs. www.psycom.org
TROUBLES PSYCHIQUES Troubles addictifs www.psycom.org Troubles addictifs SOMMAIRE Quelques définitions p. 02 Diagnostic des troubles addictifs p. 03 Addiction aux drogues illicites p. 04 Addiction aux
Plus en détailCarlo Diederich Directeur Santé&Spa. Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu
Carlo Diederich Directeur Santé&Spa Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu Mondorf Healthcare at work Nouveau service destiné aux entreprises en collaboration avec les Services de Médecine du Travail
Plus en détailL utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif
L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif Isabelle Cyr, B.sc. Psychologie. B.sc. Service social. T.s. Thérapeute Josée Dostie, B.A. Psychologie. Thérapeute
Plus en détailSOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5
SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS
Plus en détailLa prise en charge de votre épilepsie
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailStratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés
Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement
Plus en détailLe bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009
Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Introduction L attention est une fonction de base dont l intégrité est nécessaire au bon fonctionnement cognitif
Plus en détailLa migraine : quelle prise de tête!
La migraine : quelle prise de tête! Introduction La migraine est une véritable «prise de tête» pour les personnes qui en souffrent! Bien au-delà d un mal physique, cette réelle maladie engendre également
Plus en détailPour certains, la maladie est assimilée à une faiblesse (consulter constitue un aveu de défaillance physique).
P.R ALPS. Re tour sommaire P ages précédentes Les professionnels de santé ne sont pas toujours bien perçus par les bénéficiaires du RMI, ils éprouvent souvent une certaine méfiance (peur du diagnostic?
Plus en détailLES AVIS DU CONSEIL ÉCONOMIQUE SOCIAL ET ENVIRONNEMENTAL. Les addictions
LES AVIS DU CONSEIL ÉCONOMIQUE SOCIAL ET ENVIRONNEMENTAL Les addictions Mme Gisèle Ballaloud Juin 2015 2015-19 NOR : CESL1100019X Vendredi 10 juillet 2015 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Mandature
Plus en détail"La santé des étudiants en 2015"
Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2015" 9 ème Enquête Nationale 1999 2015 Enquête Santé d emevia Depuis plus de 16 ans, à l écoute des étudiants 1 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes
Plus en détailAVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION
AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION NOVEMBRE 2014 La Fédération québécoise de l'autisme (FQA) est un regroupement
Plus en détailCOUPLE ET PROBLÈMES SEXUELS
COUPLE ET PROBLÈMES SEXUELS Introduction Christine Reynaert et Pierre Collart ont tous deux activement participé à l ouverture de centres spécialisés dans le traitement de troubles sexuels (voir analyse
Plus en détail15ème anniversaire de l unité d addictologie Jean Schiffer e p ier d Portes Ouvertes Jeudi 24 mai 2012
15 ème anniversaire de l unité d addictologie Jean Schiffer Dossier de presse Portes Ouvertes Jeudii 24 maii 2012 Le dossier Les addictions o Définition o Les grandes tendances en termes de conduites addictives
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailLes aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.
Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale
Plus en détailComment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailTroubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003
Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19 Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Plans et objectifs Pendant la grossesse Troubles mineurs, dépressions
Plus en détailTROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC)
TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC) Comprendre, prévenir et prendre en charge la clinique du mouvement et de l agir de l enfant Pierre Delion 1. Actualité Les enfants sont préoccupants sur ce point
Plus en détailEntre mal-être et bien être : comment vont les étudiants. Premiers résultats. Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE
Entre mal-être et bien être : comment vont les étudiants Premiers résultats Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE Objectifs de l enqul enquête Mieux identifier la souffrance psychique
Plus en détailN O S L I M I T E S?!
NOS LIMITES?! Cette brochure contient des informations essentielles sur l alcool et peut vous permettre de calculer votre. L alcool L alcool est une drogue licite et réglementée dont la substance psychoactive
Plus en détailprovince (les aspects méthodologiques sont présentés dans l encadré à la page 2).
SANTÉ ET BIEN-ÊTRE INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC Zoom santé Janvier 2010 Numéro 19 Alors que le cigarillo perd des adeptes, le poker gagne du terrain chez les élèves du secondaire Gaëtane Dubé*,
Plus en détailANNUAIRE SANTE. Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires
ANNUAIRE SANTE Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires IREPS : Instance Régionale d Education et de Promotion de la Santé Poitou-Charentes (4 antennes
Plus en détailSans remettre en cause le fait de punir les criminels, les psychiatres. s intéressent de plus en plus à la prise en charge des pédophiles.
1 Peut-on soigner les pédophiles? Sans remettre en cause le fait de punir les criminels, les psychiatres s intéressent de plus en plus à la prise en charge des pédophiles. Une prévention est même envisagée.
Plus en détailOr, la prévention des risques psychosociaux relève de l obligation générale de l employeur de protéger la santé physique et mentale des salariés.
Introduction Les symptômes du stress (troubles du sommeil, de l appétit, agressivité, épuisement, troubles de la concentration ), touchent un nombre croissant de salariés en France : un salarié sur 6 déclare
Plus en détailDéfinition. Recherche sur Internet. Quelques chiffres. Stress et enseignement. Symptômes 3 catégories de causes Le burn out Gestion du stress
Stress et enseignement Symptômes 3 catégories de causes Le burn out Gestion du stress Recherche sur Internet Moteur de recherche: GOOGLE Mots-clés: + stress + enseignement Nombre de pages francophones
Plus en détailDOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers)
DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers) Chère Consœur, Cher Confrère, Ces renseignements médicaux
Plus en détailL abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois
L abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois 2. Elle est présente : 15 jours/mois pour les antalgiques non opioïdes (paracétamol, aspirine,
Plus en détail«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»
«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailLe réseau fribourgeois du jeu excessif
Le réseau fribourgeois du jeu excessif Prévention REPER Téléphone : +41 26 322 40 00 Adresse postale : Route du Jura 29 1700 Fribourg projets@reper-fr.ch Description : En réponse aux risques que présentent
Plus en détailLes stagiaires, au nombre de 12 maximum, disposent de tables de travail et de chaises.
Créé en 2005, l Institut Mots pour Maux est une association d accompagnement et d aide à la personne. Son objectif est de favoriser et de développer l amélioration de la condition de l être humain et son
Plus en détailQuand le corps devient objet de l autre
Quand le corps devient objet de l autre (Hypersexualisation, pornographie, prostitution à l heure des technologies de l information et de la communication) Robert Courtois Clinique Psychiatrique Universitaire
Plus en détailMigraine et mal de tête : des "casse-tête"
Migraine et mal de tête : des "casse-tête" Tous concernés! De quoi s agit-il? Les migraines ne doivent pas être confondues avec les céphalées de tension, communément appelées les "maux de tête". En effet,
Plus en détailTraumatisme crânien ou traumatisme cranio-cérébral Trouble de santé neurologique Aide-mémoire
Définition La notion de traumatisme crânien ou traumatisme crânio-cérébral (TCC) couvre les traumatismes du neurocrâne (partie haute du crâne contenant le cerveau) et du cerveau. La Société de l'assurance
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailTDAH ET LA CONDUITE AUTOMOBILE
DOCUMENT SUPPLÉMENTAIRE 6C TDAH ET LA CONDUITE AUTOMOBILE Points clés pour les médecins à réviser avec les adolescents et adultes atteints de TDAH: Données concernant les risques: a) Des études cliniques
Plus en détailLes Français et leur sommeil Dossier de presse Mars 2008
Les Français et leur sommeil Dossier de presse Mars 2008 1 Sommaire Enquête sur les représentations, les attitudes, les connaissances et les pratiques du sommeil des jeunes adultes en France...3 Les durées
Plus en détailLe référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008
Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie
Plus en détailPartie III : Les déterminants de la santé
Partie III : Les déterminants de la santé La santé de la population bruxelloise dépend de nombreux facteurs qui interviennent à des niveaux différents. Au niveau individuel, outre les facteurs génétiques,
Plus en détailrogues et addictions, données essentielles
2013 D rogues et addictions, données essentielles Drogues et addictions, données essentielles Contributions Drogues et addictions, données essentielles est un ouvrage collectif de l Observatoire français
Plus en détailQuand le stress nous rend malade
Yuri Arcurs Quand le stress nous rend malade Tous concernés! De quoi s agit-il? Le stress stimule notre organisme pour qu'il s'adapte à une nouvelle situation, bonne ou mauvaise. Deux hormones sont alors
Plus en détailUne échelle d évaluation semistructurée. B. Gravier
Une échelle d évaluation semistructurée : la HCR-20 B. Gravier Exemple de jugement clinique structuré: The Historical Clinical Risk Management 20 item scale HCR - 20 Echelle utilisée par les cliniciens
Plus en détailNOM DE L ETABLISSEMENT : CENTRE DE SOINS DE SUITE ET DE READATATION EN ADDICTOLOGIE «MARIENBRONN»
NOM DE L ETABLISSEMENT : CENTRE DE SOINS DE SUITE ET DE READATATION EN ADDICTOLOGIE «MARIENBRONN» Adresse : F- 67250 LOBSANN Tél.03 88 05 68 40 Fax. : 03 88 54 78 42 Mail : marienbronn.cssra@wanadoo.fr
Plus en détailDrug Misuse and Treatment in Morocco
Drug Misuse and Treatment in Morocco Fatima El Omari Centre National de Traitement, de Prévention et de Recherche en Addictions, Hôpital Arrazi, CHU Rabat-Salé, Maroc Morocco AFRIQUE Le Maroc Population:
Plus en détailL enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé
L enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé 3 e conférence sur les traitements de la dépendance aux opioïdes Genève, 19 octobre 2012 Nicolas Bonnet, directeur du Respadd Anne
Plus en détailStress des soignants et Douleur de l'enfant
5e rencontre francophone Suisse et France voisine de la douleur chez l enfant Stress des soignants et Douleur de l'enfant Céline ROUSSEAU-SALVADOR Psychomotricienne - Psychologue Clinicienne Service d
Plus en détailCharte de protection des mineurs
«Mes enfants, soyez joyeux!» Charte de protection des mineurs Au sein de l Académie Musicale de Liesse Mise à jour août 2014 L ensemble des adultes intervenant au sein de l Académie Musicale de Liesse
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailSemaine de la sécurité des patients: novembre 2012
Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Qu'est-ce-que la douleur? La douleur est une sensation désagréable et complexe (sensorielle et émotionnelle). Cette sensation provient de l'excitation
Plus en détailTROUBLES BIPOLAIRES ET ADDICTIONS. Damien FOUQUES ET Lucia ROMO
Conférence Argos 2001 du 27/01/2011 au FIAP (30 rue Cabanis - 75014 Paris) TROUBLES BIPOLAIRES ET ADDICTIONS Damien FOUQUES ET Lucia ROMO Psychologues cliniciens, maîtres de conférences à l Université
Plus en détailSECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES
Compétences pour les intervenants canadiens en toxicomanie SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES Cette documentation est publiée
Plus en détailProgramme de prévention du jeu excessif en Valais Plan d action : 2008-2009-2010
Conférence de presse du 6 mai 2008 Salle des Solives, 1er étage Maison Supersaxo à Sion Programme de prévention du jeu excessif en Valais Plan d action : 2008-2009-2010 Projet des Centres d Aide et de
Plus en détailCritères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction
Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie Etudes cliniques dans l autisme Marie-Christine Picot Congrès Epsylon 5 avril 2013 Introduction Mesurer la Qualité de Vie liée à la Santé : Evaluer les
Plus en détailTHÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE
UNIVERSITÉ PARIS DIDEROT - PARIS 7 F A C U L T É D E M É D E C I N E Année 20 13 n THÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE PAR CUSSAC Fanny Née le 24 février 1984 à Brou sur Chantereine Présentée
Plus en détailLes approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise*
INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise* Denis Hamel, statisticien Unité Connaissance-surveillance MISE
Plus en détailExpertis. Étude Stress. Stress. sur le Éléments statistiques. Dr Brigitte Lanusse-Cazalé. Production : Le Laussat.
Expertis Étude Stress Stress sur le Éléments statistiques Dr Brigitte Lanusse-Cazalé Production : Le Laussat. Les réactions au stress Les phases de stress + le stress dure, + le capital d adaptation s
Plus en détail