Le cycle biologique de la truite sauvage :
|
|
- Marie-Thérèse Monette
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le cycle biologique de la truite sauvage : Le cycle biologique se déroulant entièrement en rivière, la truite doit pouvoir y trouver au moment opportun des habitats de reproduction, de naissance et de croissance. Les migrations fonctionnelles : Les migrations entres les différentes unités du réseau hydrographique ont pour but de satisfaire ces exigences. Une des étapes de ce cycle assure le renouvellement naturel des effectifs, il s agit de la période de reproduction.
2 Malheureusement, ces déplacements sont la plupart du temps contrariés par l'existence d'obstacles (barrages, seuils, obstacles ) qui réduisent considérablement les mouvements des poissons. Le frai : Le frai correspond au moment de la ponte et de la fécondation des œufs chez les poissons. La fenêtre temporelle : Pour les truites, dans les Hautes-Pyrénées, la fenêtre temporelle de reproduction est plus précoce et se situe entre : Fin octobre Fin novembre (pic) Début décembre (pic) Décembre Plus précoce en altitude Les dates de pontes sont donc en partie fonction de l altitude
3 Trois facteurs déclenchent la ponte : L hydrologie (Période ou le niveau de l eau est bas) Le paramètre décisif La température de l eau Doit être inférieure à 10 C (Optimum ente 4 et 10 ) La photopériode (Paramètre prépondérant sur le stimuli déclencheur de l acte de reproduction) Les jours les plus courts représentes la période la plus favorable La maturité sexuelle chez la truite sauvage : La maturité sexuelle est généralement atteinte à l âge de 2 ans pour les mâles et 3 ans pour les femelles.
4 Les zones de frayères sont très spécifiques : Les femelles ne choisissent pas les emplacements de fraie au hasard, ceuxci doivent répondre à certaines exigences biologiques. Belle frayère sur la Neste à Lortet Un fond de galets ou de graviers propres et non colmatés de de 1 à 4 cm/ø, (Ø noisette/noix), possédant une bonne infiltration interstitielle (qui pourra assurer l oxygénation indispensable au bon développement embryonnaire des œufs), une vitesse de courant allant de 20 à 40 cm/s (relativement rapide) sous un couvert d eau de 20 à 50 cm environ. Sur un profil en long de rivière, ces sites de dépose sont souvent identifiés sur des milieux peu profonds «radiers et plats» Les truites préfèrent des zones proches de la berge ou sous couvert végétal.
5 La ponte : Par des mouvements de la nageoire caudale et du flanc la femelle creuse une cuvette (un nid) dans le gravier pour y déposer ses œufs.
6
7 Le male et la femelle se maintiennent étroitement côte à côte et libèrent ovules et laitance par une série de tremblements (fécondation externe). Les œufs fécondés sont ensuite recouverts de graviers Une femelle de 1kg expulse en moyenne 2000 ovules par kilos de poids vif (qui ne seront nommés œufs qu'après fécondation).
8 Identification d une frayère : A la fin de la reproduction, la frayère se matérialise par un petit dôme de graviers avec un léger creusement juste à l amont.
9 Frayère sur la Neste à Lortet L incubation et l éclosion : Les œufs fécondés commencent déjà à vivre. La division cellulaire est en marche.
10 Les œufs situés dans les interstices des graviers nécessitent avant tout de l oxygène (dépendant de la température) et une bonne qualité d eau pour un développement optimum. Un calcul permet d'envisager assez précisément la durée d'incubation en additionnant chaque jour la température de l'eau du lieu de ponte jusqu'à arriver à un total d'environ 420 C. Le degré jour de croissance est une mesure empirique utilisée pour calculer l accumulation de chaleur qui sert à estimer la durée d un développement biologique tel que la croissance d une plante ou l incubation des œufs de poissons, d insectes, en tenant compte de la température. L éclosion s effectue aux environs de 420 /jours pour la truite (soit 42 jours sous une eau à 10 par exemple ou bien 84 jours sous une eau à 5 ). À environ vingt jours, toujours collé à son caillou ou à ses semblables et plus ou moins recouvert de gravier, un être animé est clairement visible au travers de la paroi de l œil.
11 . On peut voir ses yeux sous la forme de taches noires mobiles mais aussi un mouvement de corps. L éclosion : À la naissance (éclosion des œufs), on ne parle d'ailleurs pas encore d'alevin, mais de larve de truite qui doit rester sous les graviers pour se protéger, où il se nourrit grâce aux réserves de sa vésicule vitelline reliée à son abdomen Il restera caché sous son lit de graviers 310 /jours environ, (4 à 6 semaines) pour
12 atteindre le moment de l émergence de cet alevin fragile mais autonome, capable de vivre en pleine eau. Les larves qui mesurent entre 20 et 25 mm demeurent dans les espaces interstitiels du substrat en se nourrissant sur leur vésicule vitelline jusqu'à l'émergence au printemps.
13 En effet, si l'on peut très bien voir par transparence le cœur battre et le réseau sanguin, les ouïes ne sont pas encore en fonctionnement et la larve respire à travers le sac vitellin. Cette vésicule contient des éléments nutritifs qui vont lui permettre pendant 4 à 6 semaines, de pouvoir continuer son développement progressif vers une autonomie d'alimentation et une maîtrise de la nage. L émergence : Ensuite viendra le stade de l'émergence (au bout d environ 720 Jours)
14 Après environ 3 mois passés sous les graviers l alevin sort de la frayère pour remplir en surface sa vessie natatoire d air. Il devient ainsi nageant. La vessie natatoire se présente comme une sac rempli de gaz qui permet au poisson de se mouvoir à la profondeur qu il veut.
15 L apparition du comportement territorial : Très rapidement après l émergence, l alevin entame une compétition avec ses congénères pour son territoire. Livré à lui-même dans un milieu non protégé, victime du cannibalisme des congénères adultes, de la prédation d'autres espèces ou par manque de nourriture son taux de survie reste très faible entre 1% et 3%. Cette compétition est d autant plus âpre si la capacité d accueil de la rivière est limitée. Tableau récapitulatif : Les œufs et les larves demeurent dans la frayère (lit de graviers) pendant 5 à 6 mois 420 /jours ( Environs 110 jours ) 300 /Jours ( Environ 40 à 60 jours ) Mi - n ovembre Dépose des œufs Début février Apparition des yeux Mi - m ars Eclosion Fin avril/mi - mai Emergence 200 /jours 220 /jo urs 300 /jours N ovembre Décembre Janvier Février Mars Avril Ma i La durée de développement est dépendante de : De la période de début du frai, Après la ponte le développement des œufs est lié à la température de l eau, (La température de l eau est différente selon les cours d eau).
16 Les œufs demeurent enfouis sous le gravier entre 100 et 150 jours, selon la température de l eau où ils sont incubés. Conclusion : Le cycle de développement de la truite fario se déroule, durant plusieurs mois, par une phase de vie sous les graviers des frayères. Ce développement embryo-larvaire représente une étape périlleuse de la vie de truite car les organismes, complètement immobiles dans le substrat, sont à la merci des éléments du milieu qui peuvent être défavorables (étiage sévère, température excessive, crue violente, taux de matières en suspension trop élevé, pollution, destruction des habitats...) Une longue période où chaque incident, chaque piétinement de la frayère peut conduire à la destruction complète des espoirs placés dans ces générations futures Protégeons nos frayères! Dans quelques semaines la pêche à la truite reprendra ses droits sur les bords de la rivière, conduisant chaque pêcheur à fouler les berges. Les risques liés à notre activité s imposent comme une évidence, le piétinement par un homme est largement suffisant pour anéantir une frayère entière avec la perte de toute la progéniture. Involontairement, sans prendre garde, chacun d entre nous peut en quelques secondes faire passer à trépas des milliers d alevins par le simple piétinement d une zone de frayère.
17 Comment éviter cette situation? Par la connaissance du cycle de développement de la truite fario qui permettra ainsi de ne pas sous- estimer la période d éclosion des alevins. Par la connaissance de la morphologie des secteurs favorables à la reproduction afin d'éviter leur piétinement. Des précautions simples sont envisageables : Beaucoup de frayères sont situées au bord de la rivière, d'où l'importance de ne pas marcher dans l'eau pendant la période d'incubation des œufs. Privilégier la pratique de la pêche du bord de la berge. Autrement, le simple fait d éviter de marcher ou de traverser la rivière au niveau des zones de radiers peu profond ou la granulométrie semble régulière et fine permet déjà de limiter de manière conséquente ces risques. Il est possible de consacrer quelques heures de ballade automnale durant la période de reproduction pour visualiser et mieux connaître ces zones de frayères sur vos parcours préférés
Calopteryx vierge Mâle et femelle ne se ressemblent pas. Le mâle du Calopteryx vierge a des ailes brun noir foncé veinées de bleu. Ce redoutable prédateur reste perché sur des plantes de la berge ou sur
Plus en détailAmélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron
PREFET DE l AVEYRON Amélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron Réunion d information des propriétaires et des exploitants Mercredi 10 décembre 2014 Pourquoi restaurer la continuité
Plus en détailEN QUÊTE DU MONDE. Les nids de fourmis rousses. Présentation de la vidéo... 2 Générique... 2 description... 2 Principaux thèmes abordés...
Présentation de la vidéo... 2 Générique... 2 description... 2 Principaux thèmes abordés... 2 Contenus... 3 niveaux, disciplines, compétences... 3 notions... 4 Vocabulaire... 4 découpage du film... 5 Suggestions
Plus en détailPunaise des lits. À quoi ressemblent-elles? Cycle de vie. Alimentation
Punaise des lits À quoi ressemblent-elles? Lorsqu elle est à jeun, la punaise des lits présente une coloration allant du brun au brun jaunâtre. Une fois gorgée de sang, elle devient brune rougeâtre et
Plus en détailL ombre commun dans le canton de Vaud
Centre de conservation de la faune et de la nature Inspection de la pêche Chemin du Marquisat 1 1025 St-Sulpice Service des forêts, de la faune et de la nature www.dse.vd. vd.ch T 021 557 86 30 F 021 557
Plus en détailSAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE...
SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE... Éditions Mariko Francoeur Miguel Hortega IL Y A DES ANIMAUX? 1 Mon école est à Montréal, rue Berri. C est une belle école primaire toute faite de briques. En temps
Plus en détailLes macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH
Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH 4 e Rencontres de l eau 20 mars 2015, UNIL Nathalie Menétrey Hydrobiologiste Bureau d étude aquatique et
Plus en détailLE POINT DE VUE DE FNE
LE POINT DE VUE DE FNE Voir à ce sujet les articles suivants : - «Pour une eau vivante : la fin des barrages?» de la Lettre eau N 2 (juin 1996) - «Rapport de la Commission Mondiale des Barrages : les clés
Plus en détailÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS
ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS CAROLINE PROVOST, MANON LAROCHE, MAUD LEMAY LES OBJECTIFS Objectif principal:
Plus en détailRéserve Naturelle BAIE DE SAINT-BRIEUC
Réserve Naturelle BAIE DE SAINT-BRIEUC Les petits tortillons éparpillés sur la plage signalent la présence d'un ver : l'arénicole (Arenicola marina). Bien connu des pêcheurs comme très bon appât, des biochimistes
Plus en détailEtat des lieux octobre 2006: 2006-2007 Classe à PAC : Etude de l écosystème «mare» avec les élèves de 6 ème Mauve.
Etat des lieux octobre 2006: 2006-2007 Classe à PAC : Etude de l écosystème «mare» avec les élèves de 6 ème Mauve. Cette année 2006-2007 les élèves de 6 ème Mauve bénéficient de la classe à PAC sur le
Plus en détailTétranyques à deux points: stratégies de contrôle
Tétranyques à deux points: stratégies de contrôle Par Jean-Paul Soucy, agr. Les acariens nuisibles en serre Tétranyque à deux points Tétranyque de Lewis Acariens des bulbes Mite du cyclamen/tarsonème du
Plus en détailGrandes cultures n 15 du 10 mars 2015
1 A retenir cette semaine - Très nette accélération des stades phénologiques. - 81% des cuvettes piègent des charançons de la tige du colza cette semaine. Le risque va s amplifier en fin de semaine avec
Plus en détailLe Haut Ellé. Station de pompage de Barréguan près D790 "Le Grand Pont" sous le Faouët. Département 56
Le Haut Ellé Station de pompage de Barréguan près D790 "Le Grand Pont" sous le Faouët Département 56 Présentation L'Ellé regroupe tous les niveaux techniques, ainsi l'ellé peut être divisée en trois tronçons
Plus en détail- Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants - Lecture de textes documentaires
Titre de l atelier : Les vers de terre Domaines d activité Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants Lecture de textes documentaires Motsclés Vers de terre Vie du sol Compétences
Plus en détailLa lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie
La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures Geneviève Labrie La lutte intégrée Portrait des dommages au Québec Financière agricole du Québec 880 avis de dommages depuis 2008 224 avis
Plus en détailStage Initiateur Canyon Villebois, oct. 2006
Stage Initiateur Canyon Villebois, oct. 2006 Quelques bases en Hydrologie et Écologie Aquatique Hélène Luczyszyn, hydrobiologiste 1 Hydrologie Quelques définitions Précipitations Infiltration : +/- en
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailGUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES
GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES CRIME EN EAUX PROFONDES LE MOBILE DU CRIME ET LE COMPLICE Parce qu on pêche trop, trop loin, trop profond, nos océans sont en train de mourir, tout spécialement
Plus en détailLa reconnaissez- vous?
La reconnaissez- vous? Qu est ce qu une puce? C est un insecte piqueur sans ailes de couleur brune mesurant quelques millimètres et ayant la capacité de sauter 30 fois sa longueur. L espèce Cténocephalidès
Plus en détailPetit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis
Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis L espace d un an suffit pour constater la richesse et la diversité des populations d insectes qui prospectent dans le moindre carré de jardin.
Plus en détailGuide des auxiliaires indispensables : Aphelinus mali, punaises prédatrices et acariens prédateurs
Lesauxiliaires auxiliaires Les enarboriculture arboriculture en Guide des auxiliaires indispensables : Aphelinus mali, punaises prédatrices et acariens prédateurs Insectes pollinisateurs : respecter les
Plus en détailRestauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie. Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014
Restauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014 Stéphanie Poligot-Pitsch Olivier Nauleau DREAL Pays de la Loire DREAL Bretagne Qu est
Plus en détailLA MARE : APPORTS THEORIQUES
LA MARE : APPORTS THEORIQUES LES ETRES VIVANTS DE LA MARE 1 - LES ANIMAUX Vertébrés et des invertébrés peuplent les mares de la Guadeloupe. Les plus faciles à rencontrer et à reconnaître sont les suivants.
Plus en détailJournées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013
Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013 Principe: Favoriser la biodiversité fonctionnelle sur l exploitation -Impact très souvent sous estimé de la faune auxiliaire naturellement présente -Importance
Plus en détailLes méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.)
Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Protection Biologique Intégrée Lutte phytosanitaire De la lutte «systématique» à la lutte raisonnée La lutte «systématique»
Plus en détailBILAN DU TRANSFERT DES AMPHIBIENS
ZAC du quartier de l école Polytechnique BILAN DU TRANSFERT DES AMPHIBIENS ZAC DU QUARTIER DE L ECOLE POLYTECHNIQUE Commune de Palaiseau Juillet 2014 7C785 Table des matières Table des matières... 2 Liste
Plus en détailPetits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE. Description. Identification
Petits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE Identification Nom français : Punaise terne Nom latin : Lygus lineolaris Nom anglais : Tarnished plant bug Ordre : Hemiptera Famille
Plus en détailVANNES, VIS SANS FIN, POMPES D ASSÈCHEMENT DES MARAIS
La Directive Cadre sur l Eau (DCE, n 2000/60/CE) fixe comme objectif pour 2015 l atteinte du bon état ou du bon potentiel écologique des eaux de surface. Ces états écologiques sont appréciés par la qualité
Plus en détailLe réchauffement climatique, c'est quoi?
LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre
Plus en détailBILAN DE LA CAMPAGNE 2014
BSV n 13 bilan saison 214 Epidémiosurveillance BRETAGNE-NORMANDIE-PAYS DE LA LOIRE : Bilan de la Saison 214 SOMMAIRE BILAN DE LA CAMPAGNE 214 Les observateurs Les observations Les Bulletins de Santé du
Plus en détailTravaux d adaptation du logement pour les personnes âgées
Fiche pratique Personnes âgées Travaux d adaptation du logement pour les personnes âgées Accéder à son logement - utiliser les escaliers - prendre l ascenseur - accéder aux équipements Profiter de son
Plus en détailFiche technique n 1 : le logement construction des boxes.
Bâtiments d élevage : Pourquoi? Aspects climatiques : Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. - le porc est sensible aux brusques changements du climat, - surexposition au soleil : déshydratation
Plus en détailGS301-A Notice d installation et d utilisation.
IMPORTANT: LIRE ENTIEREMENT CETTE NOTICE ET LA COMPRENDRE. GARDER CETTE NOTICE EN LIEU SUR ET IMMEDIATEMENT ACCESSIBLE. Alarme Périphérique Infra-Rouge GS301-A Notice d installation et d utilisation. Description
Plus en détailCURVE. Le confort sur-mesure
CURVE Le confort sur-mesure www.monteescalier -prix.com MODELE COURBE CARACTÉRISTIQUES Ultra mince, double tubes avec rail en acier. Qualité de roulement fluide et silencieuse. Joystick de contrôle ergonomique.
Plus en détailNature et pêche au Domaine provincial de Mirwart
Nature et pêche au Domaine provincial de Mirwart Accueil Comprendre la nature et le monde qui nous entoure, apprendre à taquiner le poisson et à jeter l hameçon, observer, toucher, manipuler, sentir et,
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détail- 1320 - Cordonniers, sigans
click for previous page - 1320 - Cordonniers, sigans Corps ovale, très comprimé latéralement et couvert de petites écailles. Bouche petite, avec une seule rangée serrée de petites dents incisiformes. Nageoire
Plus en détailTOUT SAVOIR SUR LES POUX DE TÊTE
TOUT SAVOIR SUR LES POUX DE TÊTE Les poux existent depuis toujours et ne sont pas près de disparaître. Ils ne sont pas dangereux bien qu'ils soient dérangeants. À CONSERVER Saviez-vous que les poux de
Plus en détailLA NÉCESSITÉ D UNE VILLE PLUS VERTE LA DÉMARCHE COMMENT ÇA MARCHE?
GUIDE PÉDAGOGIQUE LA DÉMARCHE La Ville de Paris invite les Parisiens à recenser les lieux qui pourraient accueillir de la végétalisation au plus près de chez eux (délaissés, mobiliers urbains, murs ).
Plus en détailContrôle thermographique Tarifs et prestations :
20 rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN technimursdeveloppement@gmail.com Tél : 02.54.98.50.15 Mr et Mme DUPONT 20 Rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN Contrôle thermographique Tarifs et prestations : Habitations
Plus en détailAnalyses de Variance à un ou plusieurs facteurs Régressions Analyse de Covariance Modèles Linéaires Généralisés
Analyses de Variance à un ou plusieurs facteurs Régressions Analyse de Covariance Modèles Linéaires Généralisés Professeur Patrice Francour francour@unice.fr Une grande partie des illustrations viennent
Plus en détailCANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR SOMMAIRE
CAHIER DES CHARGES AFG CANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR RSDG 5 15 décembre 2002 SOMMAIRE 1. - REGLES GENERALES 2 1.1. - Objet du cahier des charges 2 1.2.
Plus en détailNathalie Juteau. Nathalie Juteau CONSEIL D ADMINISTRATION 2006-2007. Juillet 2007
Juillet 2007 http://www.spg.qc.ca/aqgp Volume 12, numéro 3 CONSEIL D ADMINISTRATION 2006-2007 Présidente Nathalie Juteau (450) 962-5589 Parasi-Tech Vice-Présidente Sylvie Morin (450) 436-1779 Extermination
Plus en détail2. Les auxiliaires de culture
III- Maîtriser les ravageurs et les adventices 2. Les auxiliaires de culture Insectes Le principe de la lutte biologique est la régulation des populations de ravageurs de culture par l utilisation de leurs
Plus en détail«Et puis, lorsque tu vois des gens pêcher, tu es certain d être au bon endroit.» Renaturation du cours d eau de l Aire à Genève
Renaturation du cours d eau de l Aire à Genève - 2011 «Et il vient d où, ce ruisseau? j ai demandé. Du Colorado, m a-t-il dit. Nous l avons déménagé avec beaucoup de soin. Nous n avons encore jamais endommagé
Plus en détail16- Grand lac Shaw Portrait 2006
Grand lac Shaw 16- Grand lac Shaw Portrait 2006 16.1 Localisation et description physique du Grand lac Shaw : Municipalité St-Narcisse-de- Rimouski Bassin versant (sous-bassin) Tenure Altitude (m) Latitude
Plus en détailPUNAISES DE LIT. prévention et intervention
PUNAISES DE LIT prévention et intervention À quoi ressemble la punaise de lit? La punaise de lit, aussi appelée punaise, est un insecte brunâtre visible à l œil nu qui mesure de 4 à 7 millimètres. Elle
Plus en détailActualités sur la sélection des pondeuses Prospections futures. Dr. Matthias Schmutz, Lohmann Tierzucht
Actualités sur la sélection des pondeuses Prospections futures Dr. Matthias Schmutz, Lohmann Tierzucht Alimentation et démographie mondiale Augmentation annuelle de 80 millions Croissance surtout dans
Plus en détailConstruction en bottes de paille
Construction en bottes de paille Performance technique, économique et écologique Construction en bottes de paille Performant : Super isolant, R = 6 (équivalent à 25 cm de laine de verre dernière génération)
Plus en détailCe qu'il faut retenir
N 10 5 juin 2015 Ce qu'il faut retenir Balanin : des balanins sont présents en verger et d'après les dissections de femelles et de mâles, les accouplements devraient commencer dans les prochains jours.
Plus en détailRecommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire
Délégation territoriale du Val-d Oise Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire Maîtriser la température de l eau chaude sanitaire L exploitant d un réseau d eau
Plus en détailBiologie du psylle Inventaire des auxiliaires spontanés Evaluation de leur impact réel sur la saison
ELEMENTS DE BIOLOGIE DU PSYLLE DE L ELAEAGNUS, CACOPSYLLA FULGURALIS (KUWAYAMA, 1908) [HEMIPTERA : PSYLLIDAE] ET RELATIONS AVEC SES AUXILIAIRES SPONTANÉS A. FERRE ET M. BEAUJEAN LIFE HISTORY TRAITS OF
Plus en détailNourrir les oiseaux en hiver
les oiseaux en hiv Nourrir les oiseaux en hiver Sommaire : Pourquoi les nourrir...page 1 Comment les nourrir...page1 Quels ravitaillement pour quel oiseaux?...page2 Recette «pain de graisse»...page 3 Les
Plus en détailÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC (ERP) INSTALLATIONS OUVERTES AU PUBLIC (IOP) NOTICE D ACCESSIBILITÉ AUX PERSONNES HANDICAPÉES
ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC (ERP) INSTALLATIONS OUVERTES AU PUBLIC (IOP) NOTICE D ACCESSIBILITÉ AUX PERSONNES HANDICAPÉES Textes de référence : Champ d application : Code de la Construction et de
Plus en détailAFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014
AFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014 ETUDE DES METHODES DE LUTTES CONTRE LE VER BLANC DES CEREALES (GEOTROGUS DESERTICOLA BLANCH.) DANS
Plus en détailNotice d'utilisation Capteur de niveau TOR. LI214x 704776/00 10/2010
Notice d'utilisation Capteur de niveau TOR LI214x FR 704776/00 10/2010 Contenu 1 Remarque préliminaire 3 1.1 Symboles utilisés 3 2 Consignes de sécurité 3 3 Fonctionnement et caractéristiques 4 3.1 Application
Plus en détailLe bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détailPunaise de lits. Nuisance émergente. Cimex lectularius. Pascal DELAUNAY. CHU de Nice. Parasitologie-Mycologie. Pascal DELAUNAY
Punaise de lits Cimex lectularius Nuisance émergente Parasitologie-Mycologie CHU de Nice 1947 1999 2009 Ectoparasite Hématophage chez les 2 sexes Adultes et larves ressemblent à un confetti brun ou beige
Plus en détailCURVE. Le confort sur-mesure. www.platinumstairlifts.com
CURVE Le confort sur-mesure MODELE COURBE CARACTÉRISTIQUES Ultra mince, double tubes avec rail en acier. Qualité de roulement fluide et silencieuse. Joystick de contrôle ergonomique. Virage serré interne
Plus en détailLa fourmi. Biologie et protection
Direction de l'aménagement, de l'environnement et des constructions DAEC Raumplanungs-, Umwelt- und Baudirektion RUBD Bureau de la protection de la nature et du paysage Büro für Natur- und Landschaftsschutz
Plus en détailavec Lépido Les papillons sont des insectes. RENCONTRE Connais-tu le point commun de tous ces animaux? Ils ont tous.. pattes.
T H E O R I E 1 RENCONTRE avec Lépido Les papillons sont des insectes. Connais-tu le point commun de tous ces animaux? Ils ont tous.. pattes. Recherche et place le nom de chacune des parties du papillon
Plus en détailLes vers de nos compagnons
Les vers de nos compagnons Il se peut que votre animal de compagnie soit contaminé par des vers sans que vous ne vous en rendiez compte. Près d'un animal de compagnie sur deux (chat et chien) est porteur
Plus en détailDIAGNOSTIC ENVIRONNEMENTAL GLOBAL
DIAGNOSTIC ENVIRONNEMENTAL GLOBAL DU BASSIN VERSANT IMMÉDIAT DE LA CHAÎNE DES LACS (MUNICIPALITÉ DU CANTON D ORFORD) RÉALISÉ PAR : LE RAPPEL Et l Association des riverains de la Chaîne des Lacs FÉVRIER
Plus en détailBancs publics. Problématiques traitées : FICHE
Bancs publics Pour un piéton dont les ressources de mobilité sont limitées, le banc public n est pas uniquement un lieu de détente, mais il lui sert également à retrouver des forces pour poursuivre son
Plus en détail25/02/2013. Le SIBV de la Seiche. Commission Professionnelle Agricole (CPA) Réunion n 1 22 février 2013 Piré-sur-Seiche
Le SIBV de la Seiche Commission Professionnelle Agricole (CPA) Réunion n 1 22 février 2013 Piré-sur-Seiche 1 PROGRAMME D ACTIONS Collectivités Particuliers Gestion des eaux pluviales Actions Industriels,
Plus en détailCentrale de surveillance ALS 04
Centrale de surveillance ALS 04 Notice d'installation et d'utilisation Version 1.0 - B 6 rue Alory 35740 Pacé France Tel : +33 (0) 2 99 60 16 55 Fax : +33 (0) 2 99 60 22 29 www.sodalec.fr - 1 - Notice
Plus en détailMESURES PRÉVENTIVES Pour les travailleurs qui peuvent entrer en contact avec des punaises de lit.
MESURES PRÉVENTIVES Pour les travailleurs qui peuvent entrer en contact avec des punaises de lit. Introduction Au cours de la dernière décennie, il y a eu une augmentation exponentielle du nombre d infestation
Plus en détailNiveau CEl CE2. Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus
Niveau CEl CE2 Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus INTRODUCTION: non un poisson. Le dauphin souffleur ou grand dauphin est un mammifère marin, et Comme tous les mammifères il suivantes
Plus en détailEn rouge et noir. 4,50 juin 2011 - n 1326 M 01054-1326 BEL : 4,50 FRANCE METRO : 4,50 - ANT/GUY : 5 - REU : 4,50 - BEL : 4,50 - ESP : 3,80
Zoom 4,50 juin 2011 - n 1326 FRANCE METRO : 4,50 - ANT/GUY : 5 - REU : 4,50 - BEL : 4,50 - ESP : 3,80 GR : 3,80 - ITA : 4,60 - LUX : 2,60 - MAROC : 25 dh - NL : 5 En rouge et noir M 01054-1326 BEL : 4,50
Plus en détailGUIDE D UTILISATION DE I-PHOTO
GUIDE D UTILISATION DE I-PHOTO 1 INTRODUCTION Objectif du tutoriel : Il doit vous permettre de faire le tri parmi les photos que vous avez obtenues lors d une phase de terrain et de les «traiter» avant
Plus en détailCISSE INF EAU N 13. Edito du vice -président. Dans ce numéro
CISSE INF EAU N 13 Bulletin d information du bassin de la Cisse 1er trimestre 2015 Votre Cisse Inf eau change de style Après 2 ans et demi d existence, et pour anticiper l évolution de la chartre graphique
Plus en détailI. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE. Exercice 1 : Posture
148 l e x a m e n m u s c u l o s q u e l e t t i q u e I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE Faites les exercices suivants au moins 2 fois par jour, tous les jours. Faites l effort de maintenir une
Plus en détailENCASTREZ UN EVIER ET POSEZ UN MITIGEUR A DOUCHETTE
ENCASTREZ UN EVIER ET POSEZ UN MITIGEUR A DOUCHETTE ETAPE 1 LE PLAN DE TRAVAIL 1.a Repères Repères Mettez en place provisoirement le plan de travail et tracez au crayon effaçable deux repères qui correspondent
Plus en détailSchéma d Aménagement et de Gestion des Eaux du Clain --- Commission de travail "Gestion et valorisation des milieux aquatiques" N 2 ---
Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux du Clain --- Commission de travail "Gestion et valorisation des milieux aquatiques" N 2 --- Compte-rendu de la réunion du 24 mai 2011 - Vivonne Présents Collège
Plus en détailLe Crabe commun des eaux côtières du Québec
Pêches et Océans Canada Sciences Fisheries and Oceans Canada Science MPO Sciences Région Laurentienne Rapport sur l état des stocks C-2 (21) 5 16B 16A 17A-C D 16C 16D 16E YZ E-X A-C Le Crabe commun des
Plus en détailMettre la puce à l oreille mais pas de poux! français. Guide anti-poux
Mettre la puce à l oreille mais pas de poux! Zone libérée des poux français Guide anti-poux Double efficacité: Elimine les poux Endommage la membrane chitineuse des lentes empêchant ainsi l éclosion de
Plus en détailIdentification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré
Identification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré Rencontre du groupe RAP Maïs sucré, 3 avril 2013 Jean-Philippe Légaré, M. Sc., biologiste-entomologiste, Laboratoire de diagnostic en
Plus en détailCOMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS?
COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? Par Philippe et Marie-Noëlle LENOIR Un couple du Volontaires du Progrès qui travaille à GALIM Département des Bamboutos, Province de l Ouest, nous adresse cette fiche
Plus en détailManomètre pour pression différentielle avec contacts électriques Exécution soudée Types DPGS43.1x0, version acier inox
Mesure mécatronique de pression Manomètre pour pression différentielle avec contacts électriques Exécution soudée Types DPGS43.1x0, version acier inox Fiche technique WIKA PV 27.05 Applications Contrôle
Plus en détailLA NORME RABC EN BLANCHISSERIE NOYONS SEPTEMBRE 2012
LA NORME RABC EN BLANCHISSERIE NOYONS SEPTEMBRE 2012 SOMMAIRE La norme RABC, qu est-ce que c est? Les grandes lignes La blanchisserie et la Fonction linge - incidences sur l application de la méthode Les
Plus en détailSECTION 5. Élaboration d un plan de sécurité. Sachez où aller et quoi faire si vous êtes victime de mauvais traitements. Un guide pour les aînés
SECTION 5. Élaboration d un plan de sécurité Sachez où aller et quoi faire si vous êtes victime de mauvais traitements Un guide pour les aînés 43 SECTION 5. Élaboration d un plan de sécurité Les violences
Plus en détailÉchelles et autres aides à monter
Échelles et autres aides à monter Utiliser des aides à grimper et des échelles inadaptées est une des causes les plus fréquentes des chutes d une certaine hauteur. Par commodité, économie mal placée ou
Plus en détailAide à l Utilisation du site «Mon Monitoring»
Aide à l Utilisation du site «Mon Monitoring» Mise à jour Aout 2013 Identifiant :... Mot de passe :.. Lorsque vous mettez les colliers aux animaux prenez garde à la petite flèche gravée (colorée en noir
Plus en détailcollection mise au point état initial et prévision d impact dans les documents d incidences milieu aquatique
collection mise au point milieu aquatique état initial et prévision d impact dans les documents d incidences 1 PRINCIPES DE LA DEMARCHE.. 10 1.1. CHAMP D APPLICATION.... 12 1.2. UNE DEMARCHE EN QUATRE
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailQuel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel?
Quel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel? Rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo et violet Pourquoi a on défini 7 couleurs pour l arc an ciel A cause de l'analogie entre la lumière et le son, la gamme
Plus en détailVigiClé Système «KeyWatcher»
DOSSIER TECHNIQUE VigiClé Système «KeyWatcher» SOMMAIRE DESCRIPTION DU «VigiClé» 1.1 Sécurisez vos clés 1.2 Remise des clés 1.3 Les différents modèles 1.4 Spécifications techniques PORTE-CLES 2.1 Conception
Plus en détailINTRODUCTION LA MARE : ORIGINE ET FORMATION
INTRODUCTION Il y a un siècle, le Nord- Pas de Calais était recouvert par 30 % de zones humides. Aujourd'hui ces zones réduites à une peau de chagrin, ne couvrent plus qu'1% du territoire. Ce constat alarmant
Plus en détailLes capteurs et leurs branchements
bts mi 2 \ COURS\Technologie des capteurs et leurs branchements 1 1. Les Modules Entrées Les capteurs et leurs branchements Module d extension d Entrées/Sorties TOR Module réseau : communication entre
Plus en détailLES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.
L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,
Plus en détailCéphalothorax. Doigt mobile Pinces = 1 ière paire thoracique Pinces (1 ière paire thoracique) Abdomen replié. Abdomen replié
ÉCLAIRAGE 6 : QUELQUES ASPECTS DE LA BIOLOGIE DES CRUSTACÉS Les crustacés constituent avec les Insectes ou Hexapodes, le groupe des Pancrustacés qui est défini sur la base de caractères génétiques donc
Plus en détailde l Université Laval Orientations et exigences générales et techniques de construction
de l Université Laval Orientations et exigences générales et techniques de construction Guide de conception de projets GC-3.2.4 Fabrication et distribution de l'air comprimé et de l'eau réfrigérée (11/2007)
Plus en détailVer de la grappe: cochylis
Fiche: 050 Ver de la grappe: cochylis (Eupoecilia ambiguella Hb.) Auteurs: P.-J. Charmillot, D. Pasquier, U. Remund et E. Boller Aire de répartition La cochylis de la vigne est une tordeuse dont l'aire
Plus en détail40 ECO-CONSEILS 7 fiches pour une consommation annuelle d énergie plus légère.
«Consommer moins en consommant mieux» 40 ECO-CONSEILS 7 fiches pour une consommation annuelle d énergie plus légère. Maîtriser notre consommation en électricité, c est nous engager à adopter des gestes
Plus en détailTutoriel première utilisation ICEM-CFD. Couche limite et modification du maillage en 2D
Tutoriel première utilisation ICEM-CFD Couche limite et modification du maillage en 2D Création de points, lignes, surfaces, ajout d un trou à la surface pour simuler le comportement de l écoulement autour
Plus en détail55 Combien d œufs peut pondre une femelle. Punaise se nourrissant d'œufs de doryphore. Combien d œufs peut pondre une femelle d insecte?
Combien d œufs peut pondre une femelle d insecte? LA REPRODUCTION ET LA CROISSANCE DES INSECTES Punaise se nourrissant d'œufs de doryphore Le chorion des œufs d insectes apparaît la plupart du temps lisse,
Plus en détailLE TRAVAIL EN HAUTEUR
F I C H E P R E V E N T I O N N 0 2 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LE TRAVAIL EN HAUTEUR STATISTIQUES Avec près d une centaine d agent victime de chutes de hauteur durant les 5 dernières années dans les
Plus en détailFiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel
Plus en détail