en matière de prévention et de traitement des difficultés des entreprises Le cadre d intervention des services du Trésor Public intervention
|
|
- Florent Barbeau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Michel CHAIX Receveur des finances (ENT promotion «Maurice-Genevoix» , Inspecteur principal 1986), est le chef du bureau 1D «expertise et actions économiques» à la DGCP. Titulaire d une maîtrise de sciences économiques, il a été notamment fondé de pouvoir du TPG de la Martinique et responsable du pôle national de soutien au réseau «commande publique» de Lyon. Denis ROGÉ Receveur-percepteur du Trésor Public (ENT «Salavador-Dali», ), est actuellement responsable du «pôle entreprises-particuliers en difficulté» au sein du bureau 1D de la DGCP. Titulaire d une maîtrise de droit privé, options droit civil droit international privé, il a été affecté à la trésorerie générale de Seine-Saint-Denis à sa sortie de l ENT, comme chef du service immobilier et comme chargé de mission économique («secrétaire» du CODEFI et de la CCSF). Karine COQUET Inspectrice du Trésor Public (ENT, promotion «Théodore-Monod» ), est titulaire d une maîtrise de sciences économiques. Elle a été affectée au bureau 1D de la DGCP à l issue de la scolarité et est plus particulièrement en charge du MINEFI au service des entreprises ( et du secteur «entreprises en difficulté». La réforme du cadre d intervention du Trésor Public en matière de prévention et de traitement des difficultés des entreprises L e réseau du Trésor Public est surtout connu pour ses missions régaliennes (recouvrement, tenue de la comptabilité de l Etat et des collectivités locales, paiement des dépenses,...). Toutefois, l affirmation des missions qui lui sont dévolues en matière économique, notamment celles auprès des entreprises en difficulté, trouve une justification incontestable dans un contexte économique difficile (existence d un taux structurel de défaillances d entreprises, en particulier dans des secteurs économiques sensibles tels que ceux du transport routier, du cuirchaussure, du textile, des industries d armement, etc.). Le cadre d intervention des services du Trésor Public en matière de prévention et de traitement des difficultés des entreprises intervention Cadre général de l intervention des services du Trésor Public Le trésorier-payeur général (TPG) et ses collaborateurs interviennent : comme relais de l action gouvernementale : action nationale en direction des entreprises en difficulté et suivi des remontées d informations sur la situation locale ; comme interlocuteurs privilégiés des entreprises : prise en compte de leurs difficultés conjoncturelles économiques voire sociales, offre d un panel de prestations en matière de restructuration, y compris le cas échéant (même si cela doit être l exception) par apport financier ; comme animateurs d un travail en réseau : le TPG est le président de la commission des chefs de services financiers et des représentants des organismes de Sécurité sociale (CCSF [1]), vice-président du CODEFI (2) et l un des principaux animateurs locaux du portail MINEFI au service des entreprises (MSE [3]). De fait, le trésorier-payeur général intervient comme le représentant principal du ministre de l Economie, des Finances et de l Industrie : il relève bien sûr du directeur général de la Comptabilité publique, mais applique également (1) Commission départementale des chefs de services financiers et des représentants des organismes de Sécurité sociale. (2) Comité départemental d examen des problèmes de financement des entreprises. (3) e année - nº 2 - février 2006
2 les orientations du directeur général du Trésor et de la politique économique (DGTPE, qui a la responsabilité du secrétariat général du CIRI [4]) et du directeur du budget. Le cadre de son action dépasse par conséquent le strict champ de ses attributions de comptable public : le TPG, chef du pôle «Gestion publique et développement économique», décline avec ses collègues du MINEFI la politique gouvernementale vis-à-vis des entreprises ou d un secteur industriel. Il est en charge du respect de la réglementation européenne en matière de concurrence (5) et des directives budgétaires notamment. Les modalités d intervention des services du Trésor Public L action des services déconcentrés du Trésor (SDT) s inscrit dès lors dans une logique de prestations de services. Ils apportent un appui aux entreprises en difficultés qui les sollicitent, en les aidant à définir des solutions durables à leurs difficultés. Dans cet esprit, toute intervention suppose l accord et la pleine collaboration du chef d entreprise concerné. Les SDT s imposent, en la matière, certains principes de déontologie : le respect d une stricte confidentialité : en dehors des seuls acteurs du réseau du Trésor Public impliqués et des membres des CODEFI ou CCSF concernés, les informations obtenues à propos des difficultés d une entreprise ne sont en aucune manière portées à la connaissance de tiers ; la non-utilisation des informations reçues dans les procédures de recouvrement des créances publiques : il ne s agit pas de tirer avantage des informations obtenues, dans le cadre d un dispositif facultatif et basé sur la confiance, pour renforcer la pression du recouvrement ; l implication personnelle du TPG, en appui des secrétaires s des CODEFI et CCSF qui relèvent de son autorité, indispensable à l efficacité de l intervention des SDT : elle passe par sa présence effective en comités et par son suivi des dossiers. Les missions du CODEFI Le CODEFI traite des entreprises de moins de 400 salariés (audelà, les dossiers sont traités par le CIRI). Le CODEFI se réunit aussi souvent que l urgence des dossiers le nécessite. Il exerce trois missions : un accueil systématique des entreprises et, le cas échéant, une réorientation du chef d entreprise lorsque le CODEFI n est pas la structure adaptée pour traiter le problème ; une mission de détection portant de manière privilégiée sur les entreprises dont l éventuel arrêt d activité aurait des conséquences importantes sur l emploi ; une expertise et un traitement des difficultés détectées : quel que soit le diagnostic des difficultés, le comité joue le rôle de médiateur, pour dégager une solution de redressement collective rassemblant les actionnaires, les établissements financiers, les principaux clients et les créanciers publics. Lorsque les dirigeants, les administrateurs, les mandataires ad hoc ou les actionnaires sollicitent l appui des pouvoirs publics pour mener à bien la restructuration de l entreprise in bonis, voire lorsque l entreprise a déposé son bilan, le comité recherche, en liaison avec le CIRI et les autres membres du comité, notamment la DRIRE, les partenaires extérieurs susceptibles d intervenir. Les modalités d intervention du CODEFI reposent sur une logique collective en vue d obtenir un accord global. C est ainsi que le plan de redressement doit porter sur l ensemble des activités de l entreprise et que le plan de financement doit être crédible. Les membres du CODEFI DDE Banque de France Préfet Président CODEFI TPG Vice-président DRIRE DDCCRF Le dispositif CODEFI CIRI : dispositif DDTEFP Collectivité locale sur demande du préfet Collaborateur du TPG DDAF URSSAF DSF Procureur de la République Observateur Fonctionnement du CODEFI Le dispositif initial d information et d orientation concernant les petites et moyennes entreprises confrontées à de graves difficultés de trésorerie avait été créé en 1974 dans une conjoncture économique défavorable. Depuis 1982, cette mission était assurée par le CIRI au plan national, le CORRI au plan régional et dans chaque département par le CODEFI. La réforme du dispositif de fin 2004 L action de l Etat dans la prévention et le traitement des difficultés des entreprises a fait l objet d une profonde modernisation, par la publication de deux circulaires des 25 et 26 novembre 2004 : la première du Premier ministre et la seconde du ministre de l Economie, des Finances et de l Industrie. Les principales mesures de la réforme Dans un souci de simplification, l abrogation de l ensemble des textes encadrant le régime jusqu alors, soit treize circulaires et deux lettres du ministre de l Economie. Une définition précise des missions du CODEFI. La simplification du dispositif : l échelon départemental est apparu comme étant le niveau local le plus adapté pour bien appréhender l état du tissu économique, en raison de la proximité entre les entreprises potentiellement intéressées par le dispositif et les administrations en charge de la mise en œuvre de celui-ci. L instance de niveau régional (le CORRI) a donc été supprimée. Concomitamment, la DIACT (Délégation interministérielle à l aménagement et à la compétitivité du territoire), nouvelle entité issue du rapprochement entre la DATAR et la mission interministérielle sur les mutations économiques, coordonne au niveau national des missions d anticipation sectorielle et géographiques mises en œuvre au niveau régional (observatoire). A ce titre, en application M. VALOGNES et T. MOQUART, en charge du secrétariat «CODEFI-CCSF» à la trésorerie générale de Seine-Maritime, lors du congrès des experts-comptables le 6 octobre 2005 à Paris (4) Comité interministériel des restructurations industrielles, dont le DGCP est membre. (5) Lignes directrices du 10 octobre 2004 sur les aides d Etat au sauvetage et à la restructuration notamment e année - nº 2 - février 2006
3 de la loi de cohésion sociale du 18 janvier 2005, le secrétariat du CODEFI étudie, à la demande du préfet, la solvabilité des entreprises de moins de 400 salariés sur lesquelles pèse une obligation en matière de réactivation des bassins d emplois.. La déconcentration accentuée des moyens mis à disposition des CODEFI (cf. infra). La création d un secrétariat du CODEFI, interlocuteur unique du chef d entreprise Fonction exercée au sein du service d action économique de la trésorerie générale du département, le secrétaire est chargé d instruire le dossier et d apprécier la validité des propositions soumises, sur les plans industriel, social et financier. Pour identifier l ampleur et la nature des difficultés, le secrétaire établit un diagnostic de la situation de l entreprise. Il doit négocier avec l ensemble des partenaires de l entreprise les conditions de mise en œuvre et de financement du redressement en veillant à ce que les efforts de ces différents partenaires traduisent bien leur volonté de voir aboutir les mesures de restructuration. Le secrétaire du CODEFI assure l unité et la continuité nécessaires dans les échanges et les négociations entre les partenaires et le chef d entreprise, et met en œuvre les décisions prises par le préfet après avis du CODEFI. Il est chargé de la tenue de tableaux de bord départementaux regroupant toutes les informations relatives aux entreprises en difficultés. Le rôle du secrétaire est donc essentiel. Bien entendu, la saisine du comité par l entreprise suppose par la suite une information régulière du secrétaire par la direction de l entreprise sur l évolution de la situation de cette dernière et l information du comité par son secrétaire. La communication autour du nouveau dispositif La réforme du dispositif a donné lieu à une campagne de communication depuis le début de l année 2005, auprès des partenaires nationaux et dans les départements. L équipe nationale d animation, composée du secrétariat général du CIRI et du bureau 1D de la DGCP (Bureau de l expertise et de l action économique), s est rendue dans plusieurs régions pour rencontrer les acteurs locaux des CODEFI à l occasion de colloques d échanges et d information. Ainsi, sous l égide des TPG et des préfets des régions RhôneAlpes et Midi-Pyrénées, les acteurs du tissu économique local ont été réunis les 29 mars et 9 juin Constitue l'interlocuteur unique du chef d'entreprise Elabore le diagnostic des difficultés CODEFI S il est trop tôt pour tirer des conclusions sur ce dispositif, il convient de souligner d ores et déjà la forte implication des services centraux et locaux dans la présentation de ce nouveau dispositif : petit déjeuner avec les banques de la place de la région ou du département, enrichissement des sites internet (MSE et préfectures), participation à des émissions TV (France 3 Limousin) ou radios locales, articles de presse notamment dans les Notes Bleues de Bercy du 31 janvier 2005 et la revue Industries nº 101. Assure la médiation entre les partenaires Rapporte au CODEFI Sollicite les instructions nécessaires Met en œuvre les décisions du CODEFI Fait connaître le CODEFI aux partenaires du MINEFI et aux entreprises L annuaire des secrétaires s est disponible pour tous les usagers et les entreprises sur le site MSE, onglet : Examiner les difficultés financières. Carte de visite élaborée à l attention des chefs d entreprise, recensant les sites internet du MINEFI, diffusée dans la région Bourgogne sous l égide du CRICOM 113
4 Les prêts pour le développement économique et social (prêts FDES) : exceptionnels et subsidiaires, ils permettent de compléter un tour de table après des négociations financières avec l ensemble des partenaires privés de l entreprise, en vue de financer la restructuration de l entreprise. Le prêt est limité cumulativement à : c par unité, c par emploi en CDI, et 20 % du nouvel apport en fonds durables d origine privée (fonds propres ou prêt moyen terme). La mobilisation au plan local d autres outils de financement tels ceux d OSEO-BDPME notamment la garantie SOFARIS s avère par ailleurs un moyen efficace de susciter une plus grande implication des banquiers dans un dossier, en partageant le risque entre les acteurs.. Les membres du CODEFI s insèrent dans différents réseaux de partenaires, qui représentent autant de leviers utiles pour parfaire la détection et la circulation d informations sur les difficultés locales des entreprises : les réseaux propres à chaque direction membre du CODEFI : les directions départementales du travail, qui ont une connaissance précoce des difficultés des entreprises (chômage partiel) et qui mettent en œuvre des dispositifs «emplois» adaptés à chaque cas. Par ailleurs, les comptables publics sont appelés à signaler au secrétaire du CODEFI de leur département toute aggravation significative des difficultés de paiement d une entreprise de leur ressort ; les succursales de la Banque de France, invitées à se rapprocher des secrétaires s des CODEFI pour coordonner leurs informations ; le réseau des 800 correspondants MSE ; le réseau des membres de la CCSF (notamment les directeurs d URSSAF) : certaines difficultés conjoncturelles d une entreprise peuvent trouver une issue favorable grâce à un étalement global du passif fiscal et social, décidé en CCSF (cf. «Le rôle des créanciers publics») ; les Parquets qui participent aux travaux des CODEFI en tant qu observateur ; le réseau des pôles Gestion publique et développement économique, qui regroupent dans chaque région les administrations de l Etat ayant à connaître de ce secteur (TPG, DRIRE, DRCCRF, DRINSEE...) auxquelles viennent s adjoindre des entités telles que la Banque de France, la CDC, l ANVAR, l ADEME... M. COTTEN, TPG de la région Basse-Normandie et J.-P. THOREL, président de la CGPME, le 29 septembre 2005 lors de la conférence de lancement du pôle de développement économique régional, auquel ont participé plusieurs centaines de patrons de PME et de banquiers P.-H. WATINE, TPG de la région Rhône-Alpes, J.-P. LACROIX, préfet de la région Rhône-Alpes, J.-P. MONNOT, directeur régional de la Banque de France de Lyon, à l occasion de la présentation de l action de l Etat dans la prévention et le traitement des difficultés des entreprises auprès des banques de la place le 8 septembre Le site MSE diffuse sur internet les informations utiles aux chefs d entreprise en cas de difficulté : la réponse du MINEFI aux besoins des entreprises en difficulté, la documentation et les contacts utiles. Ces campagnes ont permis de sensibiliser les groupements de professionnels (MEDEF, CGPME, fédérations du bâtiment...), les représentants des collectivités locales, les conseils des entreprises (centres d information et de prévention, cabinets d audit, ordres des expertscomptables, mandataires ad hoc...) les institutionnels tels que les chambres consulaires, les représentants des établissements financiers ainsi que les représentants de la Justice (parquets, tribunaux de commerce...). Les moyens du CODEFI. Les pouvoirs publics ne doivent pas se substituer aux acteurs privés : actionnaires, banquiers, clients, fournisseurs. L emploi de fonds publics n étant donc jamais un préalable au traitement d un dossier et devant être écarté de prime abord, le CODEFI dispose néanmoins d un certain nombre de moyens de financement dont l utilisation est décidée par le préfet lui-même, après avis du comité : Les audits : fréquemment souhaitables et portant sur des points précis, ils sont réalisés par des cabinets après mise en concurrence pour un montant maximal de c par entreprise. Afin de faciliter leur mise en place, la DGCP a élaboré un guide de procédure à l attention des secrétaires s, disponible sur l intranet du Trésor Public ; 114
5 L activité des CODEFI en quelques chiffres Sur plus de entreprises détectées par les CODEFI comme étant en difficulté, 848 entreprises ont été contactées, soit plus de 36 %. Parallèlement, la DGCP a assisté le secrétariat général du CIRI dans sa mission de traitement structurel des difficultés des grandes entreprises : une vingtaine de dossiers ont été traités en cours d année, représentant des enjeux économiques majeurs. Depuis le 1 er janvier 2005, les CODEFI ont diligenté 10 audits, pour un montant de c Intervention des services d action économique des trésoreries générales en faveur des entreprises en difficulté (hors DOM) Total dossiers pour emplois (année 2004) Le rôle des créanciers publics : la négociation du passif fiscal et social négociation Fonctionnement de la CCSF Les missions de la CCSF Toute entreprise rencontrant des difficultés pour honorer ses charges fiscales et sociales a la possibilité de solliciter des délais de paiement auprès de chaque comptable public, qui reste en droit responsable personnellement et pécuniairement du recouvrement. Aux côtés des créanciers publics, il existe, depuis 1963, un dispositif : la commission des chefs des services financiers et des représentants des organismes de Sécurité sociale, qui facilite l examen collectif de ces demandes. Tout agriculteur, commerçant, artisan, profession libérale ou toute personne morale de droit privé (association, société de toute nature juridique) qui est en retard pour le paiement des sommes dues au titre d impôts et de cotisations sociales peut ainsi saisir cette commission départementale en vue de la mise en place d un plan d étalement global de l ensemble de ses dettes fiscales et sociales. Cette commission pouvant être saisie à l initiative du débiteur, d un membre de la commission ou sur sollicitation d un comptable chargé du recouvrement, participent à la démarche de prévention et de détection très en amont des difficultés des entreprises. Ses décisions sont prises à l unanimité de ses membres. Les membres de la CCSF des Douanes des Affaires sanitaires et sociales TPG Président CCSF Collaborateur du TPG des Services fiscaux URSSAF Le rôle du secrétaire de la CCSF Pour permettre au secrétariat de la CCSF d examiner les demandes d octroi de délais de paiement aujourd hui ou d abandon de créances demain (cf. infra), il appartient aux dirigeants de lui apporter les éléments nécessaires, notamment : les trois derniers bilans, un plan de trésorerie prévisionnel, les garanties offertes et ses propositions de règlement. La commission s attache sur la base de l analyse économique et financière réalisée systématiquement par le service d action économique de la trésorerie générale, à élaborer un plan d apurement global qui prend en compte les capacités de remboursement de l entreprise in bonis et permettant d en assurer la pérennité, après mobilisation de tous les autres concours privés. A cet effet, un logiciel d analyse financière adapté a été dernièrement créé dans le cadre d un groupe de travail associant des acteurs de terrain et a été mis à la disposition de tous les secrétaires s des CODEFI et CCSF. Ce logiciel, réservé strictement aux services économiques du Trésor, homogénéise l approche sur l ensemble du territoire en comparant de manière objective les ratios financiers de l entreprise à ceux du secteur d activité fournis par la Banque de France (6), avec laquelle la DGCP a noué un partenariat depuis Lorsqu elle est saisie, dans le cas d une procédure d apurement collectif du passif, la commission examine alors les propositions de règlement qui lui sont soumises par l administrateur judiciaire. Il convient de rappeler que le dépôt d une demande d examen ne crée pas au profit de l entreprise un droit à suspension des poursuites. Toutefois, pour faciliter la mise en place du plan, les poursuites en cours d exécution (notamment les avis à tiers détenteurs) sont soumises à l examen de la commission qui pourra en autoriser la suspension partielle après avoir recueilli l accord des comptables. CCSF Informe les comptables publics de la recevabilité de la demande de plan Soumet à l'examen de la commission la demande de suspension des poursuites éventuellement en cours d'exécution Réalise une analyse économique et financière de la situation de l'entreprise : - analyse du plan de trésorerie prévisionnel - détermination des besoins de financement à court terme - mobilisation de tous les autres concours privés Recueille l'avis des comptables publics sur ses contre-propositions d'étalement (durée, conditions) Il notifie l'accord unanime des créanciers publics au chef d'entreprise Afin d assurer une approche globale et cohérente de l action au bénéfice des entreprises en difficulté, le secrétaire de la CCSF assure, dans la majorité des départements, également la fonction de secrétaire du CODEFI. Le contenu des plans d étalement des dettes publiques En application des décrets ayant institué la CCSF, seules les dettes déjà échues peuvent être comprises dans les plans d apurement. Ne peuvent donc faire l objet d un examen en commission les dettes à échoir. Le non-paiement d une seule de ces dettes suffit à la saisine de la commission. Les plans d étalement sont accordés sur une durée moyenne de dix-huit mois et s accompagnent d un début d exécution immédiat. Ils sont systématiquement assortis des conditions ci-après : règlement préalable des parts salariales des cotisations sociales non payées, régularité dans le dépôt des déclarations fiscales et sociales, paiement à bonne date des échéances courantes. Le bénéfice du plan est accordé sous réserve de la constitution de garanties, dont la valeur varie en fonction de la durée du plan accordé et des montants en jeu. Le plan est adopté s il recueille l accord de tous les membres de la commission. Son suivi est assuré par les services de la trésorerie générale, chargés d effectuer la répartition des versements entre les différents comptables et organismes concernés, ce qui présente l avantage pour l entreprise de n avoir qu un seul interlocuteur. (6) Dont le système de cotation a dernièrement fait l objet d une réforme e année - nº 2 - février 2006
6 Le non-respect d une des conditions fixées au plan entraîne sa caducité qui rend aux créanciers publics leur liberté d action en matière de recouvrement. à l urgence qu impose la situation. C est ainsi que les services du Trésor Public ont été mobilisés lors de la crise viticole, des inondations, tempêtes et marées noires, pour répondre aux difficultés des transporteurs routiers liées à la hausse du prix du pétrole, ou encore à l occasion de la crise de la filière bovine ayant touché les agriculteurs. La CCSF, dispositif de soutien aux entreprises en crise sectorielle ou géographique Les crises rencontrées dans certains secteurs ou certains événements climatiques ou politiques peuvent être à l origine de difficultés conjoncturelles pour les entreprises. Leur caractère totalement imprévisible, comme leurs causes ou leurs conséquences, entraînent alors pour l entreprise une diminution immédiate des ressources, provoquant une crise de trésorerie. L activité des CCSF en quelques chiffres L Etat peut alors être rapidement conduit à arrêter des mesures de nature à éviter que les difficultés deviennent insurmontables. Dans ce cadre, la CCSF constitue le dispositif le plus adapté sur lequel s appuient les pouvoirs publics pour répondre Les CCSF ont accordé des délais courants en moyenne sur seize mois, pour un passif fiscal et social moyen de c par entreprise. Le montant cumulé des dettes publiques (Trésor, impôts, URSSAF) prises en charge s est élevé à 266,9 millions d euros. En 2004, l activité du réseau du Trésor Public a été importante dans le domaine du traitement conjoncturel des difficultés des entreprises : les CCSF ont mis en place plus de plans d étalement des dettes publiques. Répartition par secteur d activité des dossiers reçus par les CCSF Total dossiers correspondant à emplois en 2004 Durée moyenne des délais fiscaux et sociaux accordés aux entreprises en difficulté par les CCSF (hors DOM) [en mois] Total dossiers sur la période
7 Le montant cumulé des mensualités accordées aux bénéficiaires se chiffrait à 16,7 millions d euros et le montant moyen par dossier des mensualités accordé aux entreprises était c. Le nouveau rôle des créanciers publics dans le cadre de la loi de sauvegarde La loi de sauvegarde des entreprises, votée le 2 juillet 2005 et qui a pour objet de détecter et de traiter plus efficacement les entreprises rencontrant des difficultés sérieuses sans être encore en cessation de paiements, modifiera le rôle des créanciers publics à compter du 1er janvier 2006, date de son entrée en vigueur. Tout naturellement, leur rôle devrait être renforcé dans le cadre de la nouvelle loi réformant le droit des faillites. Ainsi, notamment lors de l élaboration des plans de conciliation et de sauvegarde, les administrations financières auront la capacité d accepter des remises de dette concomitamment aux efforts des autres créanciers. De gauche à droite : P. PARINI, receveur général des finances de Paris, P. REY, présidente du tribunal de commerce de Paris, C. SCHOTT, préfet de la région Basse-Normandie, lors du colloque «La négociation du passif fiscal et social : aujourd hui et demain», organisé par l AFFIC et Re-Créer le 22 septembre 2005 En effet, aux termes de l article L du Code de commerce modifié, «les administrations financières, les organismes de Sécurité sociale, les institutions gérant le régime d assurance chômage prévu par les articles L et suivants du Code du travail et les institutions régies par le livre IX du Code de la Sécurité sociale peuvent accepter, concomitamment à l effort consenti par d autres créanciers, de remettre tout ou partie de ses dettes au débiteur dans des conditions similaires à celles que lui octroierait, dans des conditions normales de marché, un opérateur économique privé placé dans la même situation. Dans ce cadre, les administrations financières peuvent remettre l ensemble des impôts directs perçus au profit de l Etat et des collectivités territoriales ainsi que des produits divers du budget de l Etat dus par le débiteur. S agissant des impôts indirects perçus au profit de l Etat et des collectivités territoriales, seuls les intérêts de retard, majorations, pénalités ou amendes peuvent faire l objet d une remise. (...) Les créanciers visés au premier alinéa peuvent également décider des cessions de rang de privilège ou d hypothèque ou de l abandon de ces sûretés.» Au stade actuel de la réflexion, la CCSF est identifiée comme étant le «comité» permettant de coordonner les réponses des principaux créanciers publics. Le renforcement de l action de l Etat en matière de prévention et de traitement des difficultés des entreprises (cf. supra), qui confère dorénavant au trésorier-payeur général, en ses qualités de vice-président du CODEFI et de président de la CCSF, une place de choix dans la circulation de l information, l inscrit tout naturellement au cœur de cette démarche d harmonisation. Sans remettre en cause fondamentalement les modalités de traitement des créances publiques en matière de délais de paiement et de remises, et au regard notamment des règles imposées par la Commission européenne en matière d aide d Etat, le champ de compétence de la commission devra être adapté pour répondre aux attentes suscitées par la nouvelle loi. Un décret en Conseil d Etat fixera les conditions de ces remises. S il est prématuré de décrire le périmètre précis dans lequel s inscriront les créanciers publics à compter du 1er janvier 2006, il est d ores et déjà permis de dégager quelques orientations. Pour plus de renseignements, sites recommandés : L objectif recherché, en procédure de conciliation comme de sauvegarde, étant d obtenir un accord global entre tous les créanciers de l entreprise réunis au sein des comités des établissements de crédit et des comités des principaux fournisseurs, les organes de la procédure chercheront tout naturellement à recueillir individuellement ou collectivement une position harmonisée des créanciers publics. 쏋 Document remis lors de la Conférence nationale des finances publiques tenue le 11 janvier 2006, sous la présidence de M. Thierry Breton, ministre de l Economie, des Finances et de l Industrie. 117
L Urssaf accompagne. les entreprises en difficulté
L Urssaf accompagne les entreprises en difficulté Édition 2009 Le réseau Urssaf à l écoute des entreprises en difficulté Garant des ressources de la Sécurité sociale et des institutions qui lui confient
Plus en détailDirection générale des entreprises
Direction générale des entreprises Service de l'action territoriale, européenne et internationale S-D de la réindustrialisation et des restructurations d'entreprises MINISTÈRE DES FINANCES ET DES COMPTES
Plus en détailL assurance Santé Entreprise
L assurance Santé Entreprise Rendre la prévention accessible! Extrait du Sic n 306 d avril 2012 Le magazine de l Ordre des Experts-Comptables AVRIL 2012 Sic 306 17 Le dirigeant lui-même peut être le déclencheur
Plus en détailI. PRINCIPALES MISSIONS DES SERVICES DU TRÉSOR TRÉSORERIE GÉNÉRALE DE LA RÉGION BOURGOGNE. Trésorier-Payeur Général : Mme Jacqueline ESCARD
TRÉSORERIE GÉNÉRALE DE LA RÉGION BOURGOGNE Trésorier-Payeur Général : Mme Jacqueline ESCARD Adresse : 1 bis place de la Banque 21042 DIJON CEDEX Tél : 03 80 59 26 00 Fax : 03 80 50 14 75 Mail : tg21.contact@cp.finances.gouv.fr
Plus en détail«Pensez REPI pour pérenniser votre entreprise»
CHEFS D ENTREPRISES «Pensez REPI pour pérenniser votre entreprise» PROGRAMME ACTION PRÉVENTION REPI ENTREPRENEURIAT Emmanuel Imberton, Imberton, Président Président la de CCI la de CCI Lyon de Lyon 02
Plus en détailLa procédure de sauvegarde
La procédure de sauvegarde La procédure de sauvegarde est une procédure préventive, dont l objet principal est la prévention et l anticipation de la cessation des paiements d une entreprise. Elle est ouverte
Plus en détailLa Médiation du crédit aux entreprises DOSSIER DE PRESSE. Juin 2014
La Médiation du crédit aux entreprises DOSSIER DE PRESSE Juin 2014 Sommaire 1. La mission de la Médiation du crédit aux entreprises 3 2. Comment saisir le Médiateur du crédit?.4 3. Les Tiers de confiance
Plus en détailD) Un pouvoir spécial si le déclarant n est pas le responsable légal de l entreprise (Cf. modèle en annexe 7)
DEMANDE D OUVERTURE D UNE PROCEDURE DE REDRESSEMENT JUDICIAIRE ou de LIQUIDATION JUDICIAIRE (anciennement dénomée «dépôt de bilan» ou «déclaration de cessation des paiements») Votre dossier doit être déposé
Plus en détailPlan de soutien à l élevage français
Plan de soutien à l élevage français MEMENTO Entreprises fragilisées dans le secteur agricole : quels outils pour quelles problématiques? Ce mémento récapitule de façon synthétique les outils existants
Plus en détailDEMANDE D OUVERTURE D UNE PROCEDURE DE SAUVEGARDE
DEMANDE D OUVERTURE D UNE PROCEDURE DE SAUVEGARDE Votre dossier doit être déposé par vous-même au Greffe ou par un avocat ou un mandataire muni d un pouvoir. Un dossier reçu par voie postale n est pas
Plus en détailNouvelle réforme du droit des entreprises en difficulté. 1 er juillet 2014
Nouvelle réforme du droit des entreprises en difficulté 1 er juillet 2014 Nouvelle réforme du droit des entreprises en difficulté 2 S O M M A I R E PAGES Contexte 3 Rappel des différentes procédures existantes
Plus en détailPrévenir et guérir les difficultés des entreprises Des outils pour maintenir l activité
Prévenir et guérir les difficultés des entreprises Des outils pour maintenir l activité édition 2012 Prévenir et guérir les difficultés des entreprises Des outils pour maintenir l'activité Une entreprise
Plus en détailChapitre IV. La certification des comptes
Chapitre IV La certification des comptes Aux termes de la Constitution, «les comptes des administrations publiques sont réguliers, sincères et donnent une image fidèle de leur gestion, de leur patrimoine
Plus en détailLe Fichier national des incidents de remboursement des crédits aux particuliers
Note d information Le Fichier national des incidents de remboursement des crédits aux particuliers Face à l augmentation des difficultés que rencontraient les emprunteurs dans le remboursement de leurs
Plus en détailPérennité Entreprise I. Une solution d'assurance garantissant le développement de la mission de conseil exceptionnel de l expert-comptable.
1 Pérennité Entreprise I Une solution d'assurance garantissant le développement de la mission de conseil exceptionnel de l expert-comptable. 2 PERENNITE ENTREPRISE I : Être acteur au moment critique Pour
Plus en détailDate et lieu de naissance : N Téléphone : Situation matrimoniale : N de portable : Domicile :
DEMANDE D OUVERTURE D UNE PROCÉDURE DE SAUVEGARDE Le chef d entreprise ci-après dénommé : Nom, prénom : Nationalité : Date et lieu de naissance : N Téléphone : Situation matrimoniale : N de portable :
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA JUSTICE Décret n o 2014-736 du 30 juin 2014 pris pour l application de l ordonnance n o 2014-326 du 12 mars 2014 portant réforme de la prévention
Plus en détailDemande d'ouverture de sauvegarde
Demande d'ouverture de sauvegarde Identification de la personne déposant la demande Nom de naissance : Nom d usage : Prénoms : Né(e) le à Nationalité : Situation matrimoniale (en cas de mariage, préciser
Plus en détailFiche pratique : CIDUNATI
CIDUNATI. Fiche pratique : CIDUNATI Titre I : Tribunal de Commerce La procédure de conciliation Une procédure trop méconnue En France une entreprise sur 2 disparaît moins de 5 ans après sa création, les
Plus en détailCONDITIONS GÉNÉRALES
ASSURANCE PROSPECTION GARANTIE DU REMBOURSEMENT DES CRÉDITS DE FINANCEMENT ASSURANCE PROSPECTION CONDITIONS GÉNÉRALES RÉFÉRENCE : FAP - 01 SOMMAIRE Préambule 5 Article 1 Objet de la garantie 6 Article
Plus en détailDOSSIER D INFORMATION
DOSSIER D INFORMATION PRÉSENTATION DU PACTE NATIONAL POUR LA CROISSANCE, LA COMPÉTITIVITÉ ET L EMPLOI Mardi 5 mars 2013, à 9 heures 30 Préfecture de l Ardèche - Salle Jean Moulin CONTACTS PRESSE : Cabinet
Plus en détailPIERRE MOSCOVICI, MINISTRE DE L ÉCONOMIE ET DES FINANCES, PRÉSENTE SON PLAN POUR LE RENFORCEMENT DE LA TRÉSORERIE DES ENTREPRISES
PIERRE MOSCOVICI, MINISTRE DE L ÉCONOMIE ET DES FINANCES, PRÉSENTE SON PLAN POUR LE RENFORCEMENT DE LA TRÉSORERIE DES ENTREPRISES 1. Le constat : la trésorerie est l une des premières préoccupations des
Plus en détailNom de naissance : Nom d usage : Prénoms : Né(e) le à Nationalité : Domicile : Fonction du dirigeant : Assisté(e) ou représenté(e) 1 par :
Demande d'ouverture de sauvegarde accélérée ou de sauvegarde financière accélérée (L. 628-1, R. 628-2, D. 628-3, R. 621-1 et le cas échéant L. 628-9 et R. 628-13 du code de commerce) Identification du
Plus en détailD)- un pouvoir spécial si le déclarant n'est pas le responsable légale de l'entreprise (Cf. modèle en annexe 7)
DEMANDE D OUVERTURE D UNE PROCEDURE DE REDRESSEMENT JUDICIAIRE ou DE LIQUIDATION JUDICIAIRE (anciennement dénommée «dépôt de bilan» ou «déclaration de cessation des paiements») Votre dossier doit être
Plus en détailInsuffisance de fonds propres Mesures fiscales incitatives
Note 1.1 Insuffisance de fonds propres Mesures fiscales incitatives 1) Dispositif Loi TEPA ISF : réduction de 75 % de l investissement au titre de l ISF On peut réduire son ISF au 15 juin 2009 en investissant
Plus en détailFICHE N 8 - LES ACTIONS EN RECOUVREMENT DES CHARGES DE COPROPRIETE
FICHE N 8 - LES ACTIONS EN RECOUVREMENT DES CHARGES DE COPROPRIETE A QUI INCOMBE LE RECOUVREMENT DES CHARGES? Le rôle du syndic : Le non-paiement des charges par un ou plusieurs copropriétaires oblige
Plus en détailFICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE
FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE NOR : JUSC1406675D Intitulé des textes : Décret pris pour l application de l ordonnance n 2014-326 du 12 mars 2014 portant réforme de la prévention des entreprises
Plus en détailENTREPRISES EN DIFFICULTE. Gestion de la crise
ENTREPRISES EN DIFFICULTE Gestion de la crise Gestion de la crise Faire face à la crise. S entourer: sortir de son environnement habituel pour s entourer de professionnels spécialisés: avocats, experts-comptables,
Plus en détailLe Pacte de responsabilité et de solidarité
Le Pacte de responsabilité et de solidarité La France est à un moment décisif. Depuis plus de dix ans, l appareil de production s est affaibli, la compétitivité s est détériorée et le niveau de chômage
Plus en détailMédiation du crédit aux entreprises
Médiation du crédit aux entreprises DOSSIER DE PRESSE mai 2015 Sommaire 1. La mission de la Médiation du crédit aux entreprises 3 2. Comment saisir le Médiateur du crédit?.4 3. Les Tiers de confiance de
Plus en détailwww.droit-afrique.com concessionnaire, le permissionnaire ou l amodiataire déclare avoir produites au cours du mois précédent.
concessionnaire, le permissionnaire ou l amodiataire déclare avoir produites au cours du mois précédent. Pour permettre l établissement des états de liquidation, une déclaration signée, affirmée sincère
Plus en détailLE référentiel des métiers
LE référentiel des métiers 2 Le référentiel des métiers de Pôle emploi FILIÈRE RELATION DE SERVICES Métiers MISSIONS ACTIVITÉS COMPÉTENCES Le référentiel des métiers de Pôle emploi 3 4 Le référentiel des
Plus en détailProcès-verbal de l Assemblée Générale Extraordinaire du 4 février 2012
Procès-verbal de l Assemblée Générale Extraordinaire du 4 février 2012 Le 4 février 2012, à l Isle-Adam (95290), Maison de l Amitié, 44, avenue de Paris, les membres de l association «Initiatives et Actions
Plus en détailLES OUTILS DE LA RELANCE
LES OUTILS DE LA RELANCE Dans ce contexte économique difficile, les pouvoirs publics ont mis en place de nombreuses mesures pour soutenir les entreprises et les aider à traverser cette période. Lors des
Plus en détailLES ENJEUX ÉCONOMIQUES DU DROIT DES ENTREPRISES EN DIFFICULTÉ
LES ENJEUX ÉCONOMIQUES DU DROIT DES ENTREPRISES EN DIFFICULTÉ [Basé sur la note CAE écrite en collaboration avec Guillaume Plantin et David Thesmar] CDA - IAST - UT1C, 23 octobre 2013 Jean Tirole I. INTRODUCTION
Plus en détailUn nouvel État territorial
La réforme de l administration territoriale de l État 1 / 7 Un nouvel État territorial L organisation territoriale de l État en France est caractérisée par : une architecture historique calée sur les départements
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES CHAPITRE
TABLE DES MATIÈRES 1 Introduction au droit des contrats... 1 I. La notion d obligation... 1 A. Les caractères de l obligation... 1 B. Les sources des obligations... 2 C. La typologie des obligations...
Plus en détailLa référence pour maîtriser votre risque. Guide de référence. de la cotation
La référence pour maîtriser votre risque Guide de référence de la cotation MARS 2015 Sommaire 1. LA COTATION : UN PROCESSUS D APPRÉCIATION DE LA SITUATION FINANCIÈRE DES ENTREPRISES 1 1.1. POURQUOI LA
Plus en détailMesures contre la pauvreté et les exclusions en matière bancaire
Mesures contre la pauvreté et les exclusions en matière bancaire Eléments de calendrier 1. Conférence nationale contre la pauvreté et pour l'inclusion sociale des 10 et 11 décembre 2012 Rapport de M. François
Plus en détailSOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE QUALITE 2 UNE ORGANISATION PROFESSIONNELLE FORTE ET GARANTE DE SES MEMBRES 3 NOTRE SMQ
Manuel Qualité 5 place du Rosoir 21000 DIJON Tél. : 03.80.59.65.20 Fax : 03.80.53.09.50 Mèl : contact@bfc.experts-comptables.fr www.bfc.experts-comptables.fr SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE
Plus en détailL assurance Santé des entreprises Des garanties innovantes à moindre coût
L assurance Santé des entreprises Des garanties innovantes à moindre coût L assurance Santé de l entreprise consiste en une garantie financière destinée à accompagner et assister les entreprises en difficulté.
Plus en détailLA PRIME. Date FICHE N 10 ACTUALISÉE : FICHE TECHNIQUE PROCÉDURE DE SAUVEGARDE
Date 2009 FICHE N 10 ACTUALISÉE : FICHE TECHNIQUE PROCÉDURE DE SAUVEGARDE QU EST-CE QUE LA PROCÉDURE DE SAUVEGARDE ET QUELS AVANTAGES POUR L ENTREPRISE EN DIFFICULTÉ? LA PRIME La procédure de sauvegarde
Plus en détailLe Titre II «Investir» du projet de loi pour la croissance, l activité et l égalité des chances économiques a été adopté par l Assemblée nationale
EMMANUEL MACRON MINISTRE DE L ÉCONOMIE, DE L INDUSTRIE ET DU NUMERIQUE C o m m u n i q u é d e p r e s s e www.economie.gouv.fr C o m m u n i q u é d e p r e s s e Paris, le 15 février 2015 N 406 Le Titre
Plus en détailDécret 2002-628 du 25 Avril 2002 modifié pris pour l application de la loi 2002-5 du 4 Janvier 2002 relative aux musées de France
Décret 2002-628 du 25 Avril 2002 modifié pris pour l application de la loi 2002-5 du 4 Janvier 2002 relative aux musées de France TITRE I er : HAUT CONSEIL DES MUSEES DE FRANCE Art. 1 er. - Le Haut Conseil
Plus en détailUne solution de gestion financière de la crise
64EME CONGRES DE L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES /// NANTES 2009 FICHE PRATIQUE : FACTOR Une solution de gestion financière de la crise Les fiches pratiques de l'ordre des experts-comptables vous donnent
Plus en détailLe surendettement des particuliers
Note d information Le surendettement des particuliers La première loi «relative à la prévention et au règlement des difficultés liées au surendettement des particuliers et des familles», dite «loi Neiertz»,
Plus en détailKit Procédures collectives
Kit Procédures collectives Déposer une demande d ouverture de procédure de sauvegarde Contient : Notice pour remplir les intercalaires du formulaire (p.2) Liste des documents à produire (p.3) Formulaire
Plus en détailL INSOLVABILITE DES ENTREPRISES NOTE DE SYNTHESE
L INSOLVABILITE DES ENTREPRISES GRANDS TRAITS DU DROIT DE LA FAILLITE EN ESPAGNE, SUEDE, POLOGNE, HONGRIE, LITUANIE NOTE DE SYNTHESE L étude porte sur cinq pays où des réformes du droit des procédures
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS Décret n o 2014-444 du 29 avril 2014 relatif au fonds de soutien aux collectivités territoriales et à certains
Plus en détailLe Comité Consultatif du Secteur Financier. L accès aux services bancaires et au crédit: les outils du CCSF
Le Comité Consultatif du Secteur Financier L accès aux services bancaires et au crédit: les outils du CCSF Lucien Bernadine Secrétariat général du Comité consultatif du secteur financier Vendredi 21 mars
Plus en détailOFFRE DE FINANCEMENT
OFFRE DE FINANCEMENT ENTREPRISES EN DEVELOPPEMENT P.3 Financement de la Balance Clients (en TTC) P.3 Financement en Invoice Discounting (en TTC) P.4 Financement des Créances Commerciales (en TTC) P.5 Financement
Plus en détailTABLEAU DE FONCTIONS ET ACTIVITES COMPATIBLES AVEC LE STATUT D EXPERT-COMPTABLE
TABLEAU DE FONCTIONS ET ACTIVITES COMPATIBLES AVEC LE STATUT D EXPERT-COMPTABLE L activité principale de l expert-comptable doit être l expertise comptable telle que définie à l article 2, alinéas 1 et
Plus en détailAides régionales aux entreprises GUIDE PRATIQUE
Aides régionales aux entreprises GUIDE PRATIQUE SOMMAIRE P.3 Aides régionales : ce qu il faut savoir P.4 A chaque étape-clef, une aide régionale 1- Être bien conseillé 2- Créer et développer une activité
Plus en détailAméliorer la prévention des difficultés
L Administration fiscale et la loi de sauvegarde des entreprises Si la loi de sauvegarde des entreprises permet à l Administration fiscale d être davantage impliquée dans le traitement des difficultés
Plus en détail«Comment se faire payer par ses clients?»
«Comment se faire payer par ses clients?» Renforcer la trésorerie de son entreprise en limitant les frais financiers. Eviter les impayés grâce à des méthodes simples. 1 Vendredi 10 Octobre 2014 Comment
Plus en détailIII.2 Rapport du Président du Conseil
III.2 Rapport du Président du Conseil de Surveillance sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques Rapport du directoire rapports du conseil de surveillance 2012 1 Obligations légales
Plus en détailLES PREMIÈRES ÉTAPES DU PACTE DE RESPONSABILITÉ ET DE SOLIDARITÉ EN SEINE-SAINT-DENIS
LES PREMIÈRES ÉTAPES DU PACTE DE RESPONSABILITÉ ET DE SOLIDARITÉ EN SEINE-SAINT-DENIS Edition 2014 SOMMAIRE Editorial de Monsieur le préfet. 1 Le pacte est au service des entreprises et des ménages 2-3
Plus en détailLETTRE CIRCULAIRE N 2009-084
Montreuil, le 03/11/2009 ACOSS DIRECTION DE LA REGLEMENTATION, DU RECOUVREMENT ET DU SERVICE LETTRE CIRCULAIRE N 2009-084 OBJET : Loi de simplification et clarification du droit et d allègement des procédures
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE
Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion I. PRESENTATION GENERALE 1. Les objectifs du programme Le système
Plus en détailParticuliers, la Banque de France vous informe LE SURENDETTEMENT. Vos droits, vos obligations Les solutions possibles La vie de votre dossier
Particuliers, la Banque de France vous informe LE SURENDETTEMENT SURENDETTEMENT Vos droits, vos obligations Les solutions possibles La vie de votre dossier Sommaire 1. Être surendetté : qu est-ce que c
Plus en détailLes réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export
Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Depuis 2012, un ensemble d actions est engagé au service du renforcement
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA JUSTICE Décret n o 2005-1677 du 28 décembre 2005 pris en application de la loi n o 2005-845 du 26 juillet 2005 de sauvegarde des entreprises
Plus en détailClub Jurismed. Le club des juristes de banque Jurismed Visioconférence du 22 mars 2006 : "La responsabilité pénale du banquier"
Club Jurismed Une contribution de Nasser Hideur, juriste de banque, Président de la commission des études juridiques et fiscale de l Association des banques et des établissements financiers (ABEF) d'algérie
Plus en détailDéclaration de cessation des paiements d une société Demande d'ouverture de redressement judiciaire / liquidation judiciaire
Déclaration de cessation des paiements d une société Demande d'ouverture de redressement judiciaire / liquidation judiciaire Société : forme : Lieu du siège social : Numéro SIREN : Activité : Code APE/NAF
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS
BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS N 26 DU 23 FEVRIER 2010 DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES 4 A-2-10 INSTRUCTION DU 12 FEVRIER 2010 DISPOSITIONS DIVERSES (BIC, IS, DISPOSITIONS COMMUNES). RACHAT DE
Plus en détailRèglement intérieur. de la Commission de surveillance
Règlement intérieur de la Commission de surveillance L a loi du 28 avril 1816 dote la Caisse des Dépôts et Consignations d un statut particulier destiné à assurer à sa gestion une indépendance complète
Plus en détailPREPARATION A L EXAMEN PROFESSIONNEL DE SECRETAIRE ADMINISTRATIF DE CLASSE EXCEPTIONNELLE EPREUVE DE LA NOTE OPERATIONNELLE
PREPARATION A L EXAMEN PROFESSIONNEL DE SECRETAIRE ADMINISTRATIF DE CLASSE EXCEPTIONNELLE EPREUVE DE LA NOTE OPERATIONNELLE RAPPEL DU SUJET : Vous êtes secrétaire administratif de classe exceptionnelle,
Plus en détailTOUT SAVOIR SUR LES ACTEURS ET DISPOSITIFS DE SOUTIEN AUX ENTREPRISES
TOUT SAVOIR SUR LES ACTEURS ET DISPOSITIFS DE SOUTIEN AUX ENTREPRISES 1- Prévention 2- Accompagnement au développement des Entreprises 3- Accompagnement social 4- Innovation Sommaire Page 2 Prévention
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance Contrat local de sécurité Contrat urbain de cohésion sociale Fonds interministériel de prévention Plan départemental de prévention Prévention
Plus en détailLa cotation Banque de France
ENTREPRISES PROFESSION BANCAIRE La cotation Banque de France Guide de référence 2007 Une référence pour le dialogue entre la banque et l entreprise Sommaire LA COTATION BANQUE DE FRANCE 1.1. UNE NOTE DE
Plus en détailET AU RENFORCEMENT DE LA TRESORERIE DES ENTREPRISES
CONVENTION DU MINISTRE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES, DE LA MEDIATION DU CREDIT ET DES ASSUREURS-CREDIT POUR PARTICIPER AU SOUTIEN DE L'ACTIVITE ECONOMIQUE ET AU RENFORCEMENT DE LA TRESORERIE DES ENTREPRISES
Plus en détailCONTROLE GÉNÉRAL ÉCONOMIQUE ET FINANCIER
CONTROLE GENERAL ECONOMIQUE ET FINANCIER MISSION AUDIT 3, boulevard Diderot 75572 PARIS CEDEX 12 CONTROLE GÉNÉRAL ÉCONOMIQUE ET FINANCIER CHARTE DE L'AUDIT Validée par le comité des audits du 4 avril 2012
Plus en détailGUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES
REPUBLIQUE DU BENIN MINISTERE DE LA DECENTRALISATION, DE LA GOUVERNANCE LOCALE, DE L ADMINISTRATION ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES Elaboré par la Direction Générale
Plus en détailRECUEIL DE LEGISLATION. A N 224 4 novembre 2011. S o m m a i r e RÉGIME TEMPORAIRE: GARANTIE DE L ÉTAT
MEMORIAL Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg 3859 MEMORIAL Amtsblatt des Großherzogtums Luxemburg RECUEIL DE LEGISLATION A N 224 4 novembre 2011 S o m m a i r e RÉGIME TEMPORAIRE: GARANTIE DE
Plus en détailLe rôle du syndic. Introduction
Le rôle du syndic Introduction Le syndic constitue un concept nouveau dans la société marocaine. Il est apparu avec l apparition de la copropriété. Celle ci a été régie pendant longtemps par le Dahir de
Plus en détailRèglement financier et de Gestion de la F.F.S.B.
Règlement financier et de Gestion de la F.F.S.B. du 26/02/2005 modifié les 15/03/2008, 21/04/2012 et 22/02/2014 I.REGLEMENT FINANCIER PREAMBULE La Fédération Française du Sport Boules, bénéficiant d une
Plus en détailDES MEUBLES INCORPORELS
Un bien meuble incorporel est un bien qui n a pas d existence matérielle. C est un bien impalpable (ex : une somme d argent, les parts d une société). En France, il existe différents types de saisies de
Plus en détailLa cotation Banque de France
ENTREPRISES PROFESSION BANCAIRE La cotation Banque de France Guide de référence 2011 Une référence pour le dialogue entre la banque et l entreprise Sommaire LA COTATION BANQUE DE FRANCE 1.1. UNE COTATION
Plus en détailL ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945. Exposé des motifs
L ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945 Exposé des motifs Il est peu de problèmes aussi graves que ceux qui concernent la protection de l enfance, et parmi eux, ceux qui ont trait au sort de l enfance traduite
Plus en détailEvry Crédits vous informe : la réglementation bancaire
Interdit bancaire & chèque sans provision : Il y a chèque sans provision lorsqu'il y a défaut de provision sur votre compte le jour ou le chèque est présenté au paiement ou lorsque l'établissement bancaire
Plus en détailLOI N 86-21 du 16 juin 1986 instituant une Caisse des Règlements Pécuniaires des Avocats (CARPA)
LOI N 86-21 du 16 juin 1986 instituant une Caisse des Règlements Pécuniaires des Avocats (CARPA) EXPOSE DES MOTIFS L Article 82 de la loi N 84-09 du 4 janvier 1984, portant création de l Ordre des Avocats
Plus en détailCODE DES RELATIONS BANQUES TPE/PME
CODE DES RELATIONS BANQUES TPE/PME MAI 2006 LES ARTICLES > ARTICLE 1 ER périmètre et objectifs page 2 > ARTICLE 2 soutien de l esprit d entreprise en favorisant la création ou la reprise d entreprises
Plus en détailRÉPUBLIQUE FRANÇAISE. MINISTÈRE DE l'emploi ET DE LA SOLIDARITE. Paris, le
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE l'emploi ET DE LA SOLIDARITE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Sous-direction des professions paramédicales Et des personnels hospitaliers
Plus en détailACCORD ENTRE LA COMMISSION BANCAIRE ET LA BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE
ACCORD ENTRE LA COMMISSION BANCAIRE ET LA BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE CONCERNANT LA COOPERATION RECIPROQUE ET L ECHANGE D INFORMATIONS POUR LE CONTROLE BANCAIRE ET PRUDENTIEL 1. Considérant que certaines
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L INTÉRIEUR, DE L OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L IMMIGRATION Arrêté du 22 août 2011 fixant les tarifs de vente d espaces pour
Plus en détailCONVENTION PORTANT CREATION D UNE COMMISSION BANCAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE
CONVENTION PORTANT CREATION D UNE COMMISSION BANCAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE Sur recommandation du Comité Monétaire institué par la Convention de Coopération du 22 novembre 1972, Le Gouvernement de la République
Plus en détailDemande d'ouverture d une procédure de sauvegarde pour un commerçant
Demande d'ouverture d une procédure de sauvegarde pour un commerçant M Né(e) le à Nationalité : Situation matrimoniale : Demeurant : Lieu de l établissement principal : Numéro SIREN : Activité : Code APE/NAF
Plus en détailTRAITÉ DE. G. Ripert/R. Roblot sous la direction de Michel Germain. TOME 2 Effets de commerce - Banque Contrats commerciaux Procédures collectives
L.G.DJ TRAITÉ DE DROIT COMMERCIAL G. Ripert/R. Roblot sous la direction de Michel Germain Philippe Delebecque Professeur à l'université Panthéon-Sorbonne (Paris I) Michel Germain Professeur à l'université
Plus en détailJOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE N 42 11
JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE N 42 11 Décret présidentiel n 14-196 du 8 Ramadhan 1435 correspondant au 6 juillet 2014 portant organisation et gestion de la formation et du perfectionnement
Plus en détailREQUETE AUX FINS D OUVERTURE D UNE PROCEDURE DE CONCILIATION (Articles L. 611-6 et R. 611-22 du code de commerce)
REQUETE AUX FINS D OUVERTURE D UNE PROCEDURE DE CONCILIATION (Articles L. 611-6 et R. 611-22 du code de commerce) Identification de la personne déposant la demande Nom de naissance : Nom d usage : Prénoms
Plus en détailCONVENTION. Syndicat des éleveurs limousins de la Vienne. Syndicat des éleveurs charolais de la Vienne
CONVENTION Syndicat des éleveurs limousins de la Vienne Syndicat des éleveurs charolais de la Vienne 1 Préambule La filière viande bovine subit depuis plusieurs années des crises successives, mettant beaucoup
Plus en détailDOSSIER DOM-TOM DEFISCALISATION. Proposition d assistance pour la défense du collectif de victimes
DOSSIER DOM-TOM DEFISCALISATION Proposition d assistance pour la défense du collectif de victimes 1 Présentation du Cabinet 2 FIDAL : le plus grand cabinet d avocats français Fidal en un clin d oeil Date
Plus en détailLE CHOMAGE PARTIEL GROUPE ALPHA SECAFI ALPHA ALPHA CONSEIL. Bordeaux Lille Lyon Marseille Metz Nantes Paris Toulouse
GROUPE ALPHA SECAFI ALPHA ALPHA CONSEIL LE CHOMAGE PARTIEL Bordeaux Lille Lyon Marseille Metz Nantes Paris Toulouse Société d expertise comptable inscrite au Tableau de l Ordre de Lyon Siège social : 20,
Plus en détail«LA SÉCURITE ÉCONOMIQUE TERRITORIALE»
DOSSIER DE PRESSE «LA SÉCURITE ÉCONOMIQUE TERRITORIALE» Signature d une convention de partenariat entre le Groupement de Gendarmerie de l Ardèche et le MEDEF DrômeArdèche Vendredi 29 novembre 2013 Préfecture
Plus en détailNOTE SUR LES SUBVENTIONS. - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées
NOTE SUR LES SUBVENTIONS - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées - Les produits de la tarification ne sont pas des subventions A. Récapitulatif des obligations des associations
Plus en détailResponsabilité pénale de l association
Responsabilité pénale de l association Infractions limitativement définies : Le code pénal prévoit la responsabilité pénale des personnes morales à raison des infractions réalisées pour leur compte et
Plus en détailRappel chronologique. Projet de loi présenté au Conseil des ministres du 26 juin 2013. Loi votée les 20 et 21 février 2014.
Information Atelier PLH Grand Avignon 7 octobre 2014 Rappel chronologique Projet de loi présenté au Conseil des ministres du 26 juin 2013. Loi votée les 20 et 21 février 2014. Décision du Conseil constitutionnel
Plus en détailI. OUVERTURE D UNE PROCEDURE COLLECTIVE SUR ASSIGNATION DU CREANCIER
DROITS DES CREANCIERS 23/07/2012 Lorsqu une entreprise éprouve des difficultés financières telles qu elle se trouve en état de cessation des paiements, il y a lieu d ouvrir une procédure judiciaire. Cette
Plus en détailSchéma Régional d Intelligence Economique (SRIE) de la région CENTRE 2012-2015
Orléans, le 5 octobre 2012 Schéma Régional d Intelligence Economique (SRIE) de la région CENTRE 2012-2015 Introduction L intelligence économique, c est le dispositif par lequel tout acteur économique assure
Plus en détail