le Système mondial d observation
|
|
- Geneviève Leroux
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les réseaux 28 Le Système mondial d observation Jean-Michel Rainer Organisation météorologique mondiale (OMM) Veille météorologique mondiale Systèmes de base C.P CH-1211 Genève 2 - SUISSE jmrainer@wmo.ch L objectif Le champ d action Résumé Cet article décrit de façon synthétique le Système mondial d observation (SMO), qui est la composante de la Veille météorologique mondiale de l OMM consacrée à l observation. L article passe en revue les objectifs du SMO, ses retombées et les divers moyens instrumentaux qui le composent. Il s achève sur une esquisse de l évolution du SMO. Le but du Système mondial d observation (SMO) est de fournir, dans toutes les régions de la planète, depuis la surface terrestre comme depuis l espace, des observations standardisées de grande qualité sur l état de l atmosphère et de la surface de l océan. Le SMO regroupe des dispositifs d observation installés dans des stations terrestres et maritimes, sur des avions, sur des satellites météorologiques et sur d autres plates-formes (figure 1). Ces dispositifs appartiennent aux 185 pays membres de l Organisation météorologique mondiale (OMM) et sont mis en œuvre par eux. Le SMO constitue la plus importante source d informations sur l état de l atmosphère (OMM, 1989). Figure 1 - Les éléments constitutifs du Système mondial d observation. Le SMO est l une des trois composantes fondamentales de la Veille météorologique mondiale (VMM), composantes étroitement liées et de plus en plus intégrées. Les deux autres composantes de la VMM sont le Système mondial de télécommunications (SMT) et le Système mondial de traitement des données (SMTD). Organisé et coordonné par l OMM, le SMO est un ensemble composite de méthodes, de techniques et de dispositifs conçus pour la mesure des paramètres météorologiques et des paramètres environnementaux qui leur sont liés. Le SMO assure que chaque pays pourra bénéficier de toutes les informations disponibles pour élaborer Abstract The Global Observing System This paper describes the make up of the Global Observing System (GOS), which is the component of the WMO s World Weather Watch dedicated to observation. It reviews the purpose of the GOS, its main applications and the various instrumental techniques that it uses. The paper ends with a glance at the evolution of the GOS. Navir e Sondages satellitaires m té mét ation ique
2 29 ( k À la fin de l année 2002, le réseau de satellites météorologiques du SMO comprend treize satellites opérationnels : sept satellites géostationnaires et six satellites défilants exploités par Eumetsat, par la Fédération de Russie, par la Chine, par le Japon et par les États-Unis (figure 2). Ces satellites sont en général équipés d imageurs et de sondeurs dans les domaines visible et infrarouge, grâce auxquels il est possible de déterminer de nombreux paramètres météorologiques. Plusieurs des satellites défilants sont également munis de sondeurs en micro-ondes capables de fournir par tout temps les profils verticaux de la température et de l humidité atmosphériques. Le traitement des données des satellites géostationnaires permet de mesurer la vitesse du vent dans les tropiques, par suivi du déplacement des nuages et de la vapeur d eau. Grâce aux progrès constants des instruments satellitaires, des télécommunications et des techniques d assimilation des données, on parvient à se servir de mieux en mieux des énormes quantités de données fournies par les satellites. En particulier, les améliorations de la prévision numérique ont rendu possible d assimiler directement dans les modèles, à l aide de méthodes sophistiquées, les radiances mesurées par les satellites. gé Figure 2 Schéma de principe de la composante spatiale du SMO (les satellites ne sont pas tous mentionnés). Les stations terrestres quotidiennement des analyses, des prévisions et des alertes météorologiques. La retombée la plus évidente du SMO est la sauvegarde des vies et des biens par la détection, l alerte et la prévision des phénomènes météorologiques dangereux tels que les orages, les tornades, les perturbations extratropicales et les cyclones tropicaux. Le SMO fournit également les données d observation indispensables pour tous les programmes d application de la météorologie, tels que l agrométéorologie, la météorologie aéronautique et la climatologie, notamment l étude du climat de la planète et de son évolution. Beaucoup d activités économiques par exemple l agriculture, les transports, le secteur du bâtiment, le tourisme et, plus généralement, l information du grand public profitent très avantageusement de l analyse du temps et des prévisions météorologiques dont l échéance varie de quelques heures à quelques semaines, voire à des saisons. Partout, les données provenant du SMO sont utilisées à l appui de programmes environnementaux. Les satellites L observation en surface L épine dorsale du sous-système d observation en surface est toujours constituée d environ stations terrestres, qui effectuent plusieurs fois par jour, à des heures fixes et identiques, des observations à la surface de la Terre ou près de la surface ; ces observations portent sur des paramètres météorologiques tels que la pression atmosphérique, la vitesse et la direction du vent, la température de l air et son humidité relative. Parmi ces stations terrestres, quelque constituent les Réseaux synoptiques de base régionaux (RSBR) définis par les six Associations régionales de l OMM et couvrant le monde entier, y compris l Antarctique. Les données de ces stations des RSBR font Figure 3 - Les stations de surface des RSBR émettant des messages Synop à 0 h, 6 h, 12 h et 18 h UTC. Le code couleur varie selon le pourcentage de messages Synop disponibles sur le SMT (période du 1 er au 15 octobre 2002). Pourcentage çus De 90 à 100 % (2 426 stations) De 50 à 90 % (700 stations) Moins de 50 % (441 stations) Stations silencieuses (437 stations)
3 30 Figure 4 - Les stations de radiosondage des RSBR émettant des messages Temp à 0 h et 12 h UTC. Le code couleur varie selon le pourcentage de messages Temp disponibles sur le SMT (période du 1 er au 15 octobre 2002). Pourcentage çus De 90 à 100 % (404 stations) De 50 à 90 % (139 stations) Moins de 50 % (110 stations) Stations silencieuses (167 stations) l objet d un échange mondial en temps réel. Une partie de ces stations, environ, contribue également au Système mondial d observation du climat (Smoc). Dans les faits, les stations météorologiques effectuant des observations en surface et devant constituer les RSBR ne fonctionnent pas toutes conformément aux objectifs définis par l OMM, du fait de la situation économique difficile de nombreux pays : certaines ne font quotidiennement que quelques observations, d autres ne sont pas vraiment opérationnelles ou même pas encore installées. Le fonctionnement réel des stations des RSBR est régulièrement analysé en contrôlant le nombre des messages émis par ces stations et circulant sur le Système mondial de télécommunications. Le taux de disponibilité par rapport à l objectif assigné est de 75 % pour la planète entière. La figure 3 résume ainsi les statistiques établies par l OMM en octobre 2002 sur les messages Synop émis par les stations de surface des RSBR. On constate des lacunes dans la Région I (Afrique), la Région III (Amérique du Sud) et la Région V (Pacifique sud-ouest), en particulier pour les pays en voie de développement. Il faut noter à cet égard que l OMM, avec le soutien des pays développés, fournit une assistance de coopération technique aux pays moins favorisés afin de soutenir le développement de la VMM, et tout particulièrement du SMO. L observation en altitude Le sous-système d observation en altitude comprend environ 850 stations de radiosondage, dans lesquelles des radiosondes, emportées par des ballons libres, effectuent des mesures de la pression atmosphérique, du vent, de la température et de l humidité, du sol jusqu à une altitude maximale de 30 kilomètres. Plus des deux tiers de ces stations font des observations deux fois par jour, à 0 h et 12 h UTC. Entre 100 et 200 de ces stations font des observations une fois par jour, tandis qu une centaine d entre elles environ ont une activité temporairement suspendue. De même que pour les stations effectuant des observations en surface, on peut évaluer le fonctionnement réel des stations de radiosondage des RSBR en contrôlant le nombre des messages émis par ces stations et échangés sur le Système mondial de télécommunications. Le taux de disponibilité par rapport à l objectif assigné est de 61 % pour la planète entière. La figure 4 résume ainsi les statistiques établies par l OMM en octobre 2002 sur les messages Temp émis par les stations de surface des RSBR. On constate également des lacunes dans la Région I (Afrique), la Région II (Asie), la Région III (Amérique du Sud) et la Région V (Pacifique sud-ouest) ; ces lacunes sont parfois plus importantes que pour les messages Synop, à cause du coût d exploitation élevé des radiosondages. Comme pour les stations d observation en surface, une partie des stations d observation en altitude (environ 150) contribue au Smoc. Les stations maritimes Les observations météorologiques sont indispensables sur l immense surface du globe recouverte par des océans. À cette fin, le SMO repose outre les satellites sur des bateaux, sur des Figure 5 - Messages d observation Ship émis par les navires à 0 h, 6 h, 12 h et 18 h UTC (période du 1 er au 15 octobre 2002).
4 31 Figure 6 - Messages d observation Buoy émis par les bouées (période du 1 er au 15 octobre 2002). bouées ancrées ou dérivantes et sur des platesformes fixes. Les bateaux, recrutés sous l égide du Programme des navires volontaires de l OMM, effectuent des observations qui concernent à peu près les mêmes paramètres météorologiques que ceux mesurés dans les stations terrestres ; en outre et c est important, ces bateaux mesurent la température de surface de la mer ainsi que la hauteur et la période des vagues. Le nombre de ces navires volontaires est d environ 6 900, exploités par 52 pays. À peu près 40 % de ces navires sont en mer à un moment quelconque donné ; ils fournissent plus de messages d observation par jour (figure 5). D autres navires participent également, mais de manière occasionnelle, au programme d observation. En complément des radiosondages effectués par les stations terrestres, 25 navires, sillonnant majoritairement l Atlantique nord, font des radiosondages au-dessus des océans ; ces navires, exploités par huit pays et par le projet européen Eumetnet, sont dotés de dispositifs automatiques embarqués de sondage en altitude. Le réseau opérationnel de bouées ancrées et dérivantes s est étendu et accru d une manière spectaculaire ces dernières années. Il y a actuellement environ 900 bouées dérivantes, dont un peu plus de la moitié fournit des observations de la pression atmosphérique. Le nombre des observations correspondantes, qui couvrent tous les océans (figure 6) et sont échangées sur le SMT, atteint près de par jour et continue à augmenter, tout comme leur qualité. Un programme important est le réseau Argo, constitué de flotteurs plongeant jusqu à mètres de profondeur pour les cycles de mesure, qui compte 638 flotteurs opérationnels en décembre 2002, avec une extension prévue à flotteurs d ici à la fin Les avions Plus de avions de ligne fournissent des messages d observation sur la pression atmosphérique, le vent et la température de l air pendant leur vol. Le système Amdar (Aircraft Meteorological Data Relay) donne des mesures de très bonne qualité pour le vent et la température, aussi bien au niveau de croisière de l avion qu à des niveaux d altitude choisis lors de sa montée et de sa descente. La quantité quotidienne de données provenant de ces avions s est considérablement accrue dans les années récentes, passant de en 2000 à environ en 2002 et devant atteindre au cours des prochaines années (figure 7). Bien qu une grande partie de ces données Amdar provienne d Europe, d Amérique du Nord et, dans une moindre mesure, d Australasie, d Asie et d Afrique australe, cette méthode possède un énorme potentiel pour effectuer des mesures en altitude dans les régions où il y a peu ou pas de données de radiosondage. Les autres plates-formes Depuis quelques années, les radars profileurs de vent et les radars Doppler démontrent leur intérêt et leur capacité à fournir des données à haute résolution dans l espace et dans le temps, surtout dans les basses couches de l atmosphère. Les radars profileurs de vent sont très utiles pour faire des observations fréquentes, en complément des Figure 7 - Messages d observation Airep et Amdar émis par les avions de ligne (période du 1 er au 15 octobre 2002).
5 32 radiosondages, et constituent une composante importante des réseaux intégrés. Les radars Doppler sont largement utilisés en tant qu éléments de réseaux nationaux et, de plus en plus, de réseaux régionaux, essentiellement pour la prévision à brève échéance des phénomènes météorologiques dangereux. Un aspect particulièrement intéressant du radar Doppler est sa capacité à mesurer le vent, en plus des précipitations. Le Système mondial d observation inclut également des stations d observation du rayonnement solaire, des stations de détection des éclairs et des stations de mesure de la hauteur des marées. Les projets pour l avenir Le Système mondial d observation de la Veille météorologique mondiale va demeurer un système intégré, constitué de dispositifs d observation opérationnels et fiables installés à la surface de la Terre et embarqués sur des satellites. Les développements futurs vont permettre d accroître la résolution spatiale et temporelle des observations, en tirant un parti optimal des différentes composantes du SMO tout en tenant compte des besoins précis en données d observation. En ce qui concerne le sous-système installé à la surface, on s attend à ce que des techniques comme les profileurs de vent, les radars météorologiques, les radars Doppler et les réseaux de détection des éclairs, qui sont capables d explorer les phénomènes atmosphériques aussi bien à grande échelle qu à l échelle locale, soient déployées de façon plus poussée. On va se servir davantage de la flotte, en croissance rapide, des avions de ligne munis de dispositifs automatiques d observation au niveau de croisière et pendant les phases de montée et de descente. Les stations mobiles en mer demeureront la source principale d observations synoptiques de surface sur les océans ; grâce à l emploi renforcé d équipements automatiques d observation et de transmission par satellite, la qualité et la quantité des données qu elles fournissent vont augmenter. Le nombre de bateaux munis de dispositifs automatiques embarqués de sondage en altitude va s accroître et la mise au point de dispositifs moins coûteux va s accélérer. Les bouées dérivantes, déployées à l extérieur des principales routes maritimes, continueront à mesurer les paramètres atmosphériques de surface et les paramètres océaniques dans les zones océaniques pauvres en données. En ce qui concerne le sous-système spatial, on s attend à ce que soit mise en service une nouvelle génération de satellites défilants et de satellites géostationnaires, qui embarqueront à la fois des instruments améliorés et de nouveaux instruments. La refonte du Système mondial d observation Les besoins des usagers et les capacités des systèmes d observation ont été recensés et classés en dix domaines d application ; en outre, plusieurs expériences sur les systèmes d observation ont été réalisées pour tester les systèmes d observation (au sol et dans l espace) candidats pour la prochaine décennie et les refontes possibles du SMO. Sur cette base, la Commission des systèmes de base de l OMM a formulé, pour 2015 et au-delà, une vision d avenir de la composante spatiale et de la composante de surface du SMO. Le futur SMO doit s appuyer sur les composantes existantes, tant en surface que dans l espace, et tirer profit des techniques d observation existantes et des nouvelles techniques qui ne sont pas encore intégrées ou ne sont pas pleinement exploitées, en utilisant les mesures présentant le meilleur rapport efficacité-coût. L incidence des changements apportés au SMO durant les prochaines décennies sera si importante qu il faudra adopter de nouveaux modes d approche révolutionnaires, tant du point de vue scientifique que pour le traitement des données, l élaboration des produits, la formation et l utilisation. L évolution de la composante de surface du SMO portera sur une distribution plus complète et plus rapide des données, un renforcement du système Amdar, en particulier au-dessus des zones pauvres en données, une optimisation des lancements de sondes de radiosondage et de radiovent, le recours à des observations ciblées, l inclusion au sol de systèmes GPS, de radars et de profileurs de vent, l augmentation de la couverture des océans par l extension des radiosondages en mer, des bouées dérivantes et du système Argos, mais aussi la possible utilisation d aéronefs téléguidés. Les perspectives pour la composante spatiale du SMO (les satellites opérationnels géostationnaires et défilants, mais aussi les satellites de recherche et développement) s appuient sur ce que l on connaît des plans des opérateurs de satellites météorologiques. Les améliorations viendront d un étalonnage rigoureux des radiances mesurées, ainsi que d une plus grande précision spatiale, spectrale, temporelle et radiométrique des mesures. La télédétection de profils de vent et les missions mondiales de mesure des précipitations sont considérées comme tout particulièrement importantes pour le SMO. Bibliographie OMM, 1989 : Guide du Système mondial d observation. Publication n 488. ISBN Organisation météorologique mondiale, Genève, Suisse.
Évolution du climat et désertification
Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture
Plus en détailL inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques
L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie
Plus en détailProjet Institutional Support to African Climate Initiative (ISACIP) ATELIER DE RENFORCEMENT DE CAPACITÉS Niamey, 17 au 25 mars 2014
Projet Institutional Support to African Climate Initiative (ISACIP) ATELIER DE RENFORCEMENT DE CAPACITÉS Niamey, 17 au 25 mars 2014 Par Amadou Idrissa Bokoye, Ph. D. Contact: abokoye@gmail.com Environnement
Plus en détailRÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL DES AGENTS AFIS
RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL DES AGENTS AFIS Les missions de l agent AFIS s articulent autour de trois objets L exécution de fonctions opérationnelles La tenue de documents L exercice de relations avec la
Plus en détailScience et technologie : Le truc de Newton
Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie
Plus en détailProfils verticaux de la couverture nuageuse, de ses propriétés et des aérosols: données du lidar CALIOP et du radar CLOUDSAT (DARDAR) de 2006 à 2012
T1.3 (Tropics) Diurnal cycle of cloud cover in the tropical regions: combined use of geostationary satellite, A-Train measurements and lidar/radar ground station measurements. Coordination : G. Sèze (LMD)
Plus en détailPROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale
Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE 1 PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Résumé Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE
Plus en détailMETEOROLOGIE CAEA 1990
METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les
Plus en détail1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.
1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin
Plus en détailSillage Météo. Notion de sillage
Sillage Météo Les représentations météorologiques sous forme d animation satellites image par image sont intéressantes. Il est dommage que les données ainsi visualisées ne soient pas utilisées pour une
Plus en détailPaysage de nuages. Objectif. Matériel. Vue d ensemble. Résultats didactiques. Durée. Niveau
Objectif Aider les élèves à identifier certaines caractéristiques des nuages. Permettre aux élèves d observer les nuages, de les décrire avec un vocabulaire simple et de comparer leurs descriptions avec
Plus en détailAÉRIENNE UNE STRATÉGI. Organisation. n de l aviation. Montréal, 19 1.1. SOMMAIRE et à moyen terme. la surveillance. fusion de. tions du 5.3.
Organisation n de l aviation civile internationale NOTE DE TRAVAIL AN-Conf/12-WP/146 31/10/12 Français et anglais seulement 1 DOUZIÈME CONFÉRENCE DE NAVIGATION AÉRIENNE Montréal, 19 30 novembre 2012 Point
Plus en détailRapport. sur l incident survenu le 18 mars 2007 en croisière entre Lyon et Montpellier à l ATR 42-300 immatriculé F-GVZY exploité par Airlinair
N ISBN : 978-2-11-098012-0 Rapport sur l incident survenu le 18 mars 2007 en croisière entre Lyon et Montpellier à l ATR 42-300 immatriculé F-GVZY exploité par Airlinair Bureau d Enquêtes et d Analyses
Plus en détailSynthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique
DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation
Plus en détailMETEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM
METEOROLOGIE Aéroclub Besançon La Vèze F-SO au FL65 over LFQM Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1 L air L atmosphère terrestre L humidité La stabilité, l instabilité La convection/l advection Les masses d air
Plus en détailRayonnements dans l univers
Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter
Plus en détailLe Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat (GIEC) Pourquoi le GIEC a été créé. Introduction
OMM GROUPE D EXPERTS INTERGOUVERNEMENTAL SUR L ÉVOLUTION DU CLIMAT PNUE Introduction Le Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat (GIEC) Pourquoi le GIEC a été créé Les activités humaines
Plus en détailDirectives pour l évaluation des participations d astrophilatélie
FEDERATION INTERNATIONALE DE PHILATELIE SECTION FOR ASTROPHILATELY Directives pour l évaluation des participations d astrophilatélie Article 1 : Exposition en compétition Principe fondamental (réf. GREV
Plus en détailCours IV Mise en orbite
Introduction au vol spatial Cours IV Mise en orbite If you don t know where you re going, you ll probably end up somewhere else. Yogi Berra, NY Yankees catcher v1.2.8 by-sa Olivier Cleynen Introduction
Plus en détailSéquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?
Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment
Plus en détailVI.1) Description de la QBO Observation du vent zonal en moyenne zonale à l'équateur Données UARS (Swinbak et Orland)
Z(km)= 112 96 80 64 48 32 16 0 VI.1) Description de la QBO Observation du vent zonal en moyenne zonale à l'équateur Données UARS (Swinbak et Orland) Thermosphère Mésosphère Stratosphère Troposphère Dans
Plus en détailINFORMATION UTILE POUR LE VOYAGE
INFORMATION UTILE POUR LE VOYAGE Nom officiel: République de l Équateur. C est un pays situé dans le nord-ouest de l Amérique du Sud, sur la ligne équatorienne. Bordé au nord-est par la Colombie, au sud
Plus en détailRôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe
Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe Meriem Chakroun Marjolaine Chiriaco (1) Sophie Bastin (1) Hélène Chepfer (2) Grégory Césana (2) Pascal Yiou (3) (1): LATMOS (2):
Plus en détailColloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer
Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Bernard Simon- janvier 2015 Météorologie Web : Attention aux modèles utilisés dans les prévisions: (maillage / relief pris en compte/
Plus en détailRÈGLEMENT SPÉCIFIQUE ET DIRECTIVES POUR L ÉVALUATION EN ASTROPHILATÉLIE AUX EXPOSITIONS PATRONNÉES PAR LA FFAP
FÉDÉRATION FRANÇAISE DES ASSOCIATIONS PHILATÉLIQUES RÈGLEMENT SPÉCIFIQUE ET DIRECTIVES POUR L ÉVALUATION EN ASTROPHILATÉLIE AUX EXPOSITIONS PATRONNÉES PAR LA FFAP Préambule Le présent texte est issu de
Plus en détailDiscovering Hidden Value
Discovering Hidden Value A la découverte de la valeur cachée Consultation pour les Opérations de Forage Proposées en Offshore Marocain 2013 Qui est Cairn Energy? Cairn est une société de pétrole et de
Plus en détailCalcul du niveau de transition
Calcul du niveau de transition I. Pré requis Avant toutes choses, dés que l on parle d altimétrie on prend un crayon et une feuille de papier et on se fait un dessin!!!!! La définitions de l altitude de
Plus en détailGrille de planification Expédition météo. Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10 minutes).
Grille de planification Expédition météo Spécialiste de l atmosphère Spécialiste des vents Spécialiste des nuages Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10
Plus en détailLa diversité des climats
Les interactions entre l océan et l atmosphère Chaque jour, la météorologie occupe une place importante (voire le devant de la scène), lorsque surviennent tempêtes, vagues de chaleur ou de froid, ou inondations.
Plus en détailMODULE 2.7A NÉPHANALYSE. Introduction et techniques
MODULE 2.7A NÉPHANALYSE Introduction et techniques 1 INTRODUCTION Une néphanalyse est l une des analyses les plus détaillées que fait régulièrement un météorologiste opérationnel. Elle consiste en une
Plus en détailDéfi Transition énergétique : ressources, société, environnement ENRS Projet Exploratoire PALEOSTOCK
Des traitements thermiques de matériaux lithiques du paléolithique destinés à faciliter leur taille, aux prétraitements adaptés à leur usage en stockage thermique haute température. Contexte «Stockage»
Plus en détailLes îles Éparses. A bord du navire océanographique Marion Dufresne. du 16 avril au 15 mai 2009
Les îles Éparses A bord du navire océanographique Marion Dufresne du 16 avril au 15 mai 2009 Mer et Voyages 9 rue notre Dame des Victoire 75002 Paris T : 01 49 26 93 33 F : 01 42 96 29 39 info@mer-et-voyages.com
Plus en détailINSTRUMENTATIONS OCÉANOGRAPHIQUES MÉTÉOROLOGIQUES ET HYDROLOGIQUES DÉVELOPPÉES PAR LA SOCIÉTÉ SAFARE-CROUZET
DOCUMENT 4.7. INSTRUMENTATIONS OCÉANOGRAPHIQUES MÉTÉOROLOGIQUES ET HYDROLOGIQUES DÉVELOPPÉES PAR LA SOCIÉTÉ SAFARE-CROUZET Jean-Jacques PESANDO Ingénieur Chef des Projets Océanographiques Société SAFARE-CROUZET
Plus en détailComité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP)
F CDIP/12/INF/4 ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 3 OCTOBRE 2013 Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) Douzième session Genève, 18 21 novembre 2013 RÉSUMÉ DE L ÉTUDE SUR LA PROPRIÉTÉ
Plus en détailANALYSE DE LA DISTRIBUTION SPATIALE DU RÉSEAU DE SURVEILLANCE DE LA DÉFENSE CIVILE DE LA RÉGION DE MOLISE
ANALYSE DE LA DISTRIBUTION SPATIALE DU RÉSEAU DE SURVEILLANCE DE LA DÉFENSE CIVILE DE LA RÉGION DE MOLISE CARDILLO A. (1), SCARLATELLI S. (1) (1) Agenzia Regionale di Protezione Civile Campobasso, Italia
Plus en détailMonitoring continu et gestion optimale des performances énergétiques des bâtiments
Monitoring continu et gestion optimale des performances énergétiques des bâtiments Alexandre Nassiopoulos et al. Journée d inauguration de Sense-City, 23/03/2015 Croissance de la demande énergétique et
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détail4. Résultats et discussion
17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les
Plus en détailCelestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008
GMPI*EZVI0EFSVEXSMVIH%WXVSTL]WMUYIHI&SVHIEY\ 1. Introduction à Celestia Celestia 1.1 Généralités 1.2 Ecran d Ouverture 2. Commandes Principales du Menu 3. Exemples d Applications 3.1 Effet de l atmosphère
Plus en détailLa météo aéropour le vol en AL : les éléments essentiels.
La météo aéropour le vol en AL : les éléments essentiels. Page 1 Avril 2012- V3 La météo pour le vol : qu avons nous besoin de connaître? Pour effectuer un vol en sécurité, je dois avoir une idée des conditions
Plus en détailLa météo aéro pour le vol en aviation légère les éléments essentiels. Février 2013
La météo aéro pour le vol en aviation légère les éléments essentiels. Février 2013 1 La météo pour le vol : qu avons nous besoin de connaître? Pour effectuer un vol en sécurité, je dois avoir une idée
Plus en détailFavoriser la création d emplois et la croissance dans l industrie et l innovation
Un leadership fort Favoriser la création d emplois et la croissance dans l industrie et l innovation Le gouvernement Harper tient sa promesse de rétablir l équilibre budgétaire en 2015. Le Plan d action
Plus en détailCHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE
1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES
Plus en détailThe Tropical Warm Pool-International Cloud Experiment TWP-ICE
The Tropical Warm Pool-International Cloud Experiment TWP-ICE Darwin, Australie Du 20 janvier au 13 fevrier 2006 radiosondages Flux radiatifs de surface Flux turbulents de surface Radar CPOL Forçages déduits
Plus en détailFIELD ACCEPTANCE TEST PROCEDURE OF 40 VAISALA PRESENT WEATHER PWD22 SENSORS AND USE OF A THIES SPECTRO-RAIN GAUGE.
FIELD ACCEPTANCE TEST PROCEDURE OF 4 VAISALA PRESENT WEATHER PWD22 SENSORS AND USE OF A THIES SPECTRO-RAIN GAUGE. Fabrice Zanghi Météo-France, DSO/DOS/CAT, 7 Rue Teisserenc de Bort 7819 Trappes, France
Plus en détailDirectives concernant les demandes de bourses d études de l OMM
Directives concernant les demandes de bourses d études de l OMM OMM-N 1104 Directives concernant les demandes de bourses d études de l OMM 2013 OMM-N 1104 NOTE DE L ÉDITEUR La base de données terminologique
Plus en détailLA MESURE DE LA PRESSION
LA MESURE DE LA PRESSION La mesure de la pression s effectue à l aide d un baromètre. Il s agit d un instrument permettant de repérer la pression de l atmosphère dans laquelle il se trouve et ses variations
Plus en détailJeunes en Apprentissage pour la réalisation de Nanosatellites au sein des Universités et des écoles de l enseignement Supérieur
PROJET JANUS Jeunes en Apprentissage pour la réalisation de Nanosatellites au sein des Universités et des écoles de l enseignement Supérieur Contact : alain.gaboriaud@cnes.fr OBJECTIFS Satellites Etudiants
Plus en détailMANUEL UTILISATEUR DU RECEPTEUR HAICOM HI-303MMF
MANUEL UTILISATEUR DU RECEPTEUR HAICOM HI-303MMF 1 SOMMAIRE DU MANUEL UTILISATEUR I. LE POSITIONNEMENT PAR GPS..3 II. INTRODUCTION - GPS HAICOM HI-303MMF... 4 III. COMPOSITION DU PACK GPS...5 IV. INSTALLATION
Plus en détailExercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part
Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version
Plus en détailExercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part
Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version
Plus en détailTHEME PROJET D ELABORATION D UNE BASE DE DONNEES SOUS LE SERVEUR MYSQL
. THEME PROJET D ELABORATION D UNE BASE DE DONNEES SOUS LE SERVEUR MYSQL Mr MEZRED MOHAMED Ingénieur météorologue INTRODUCTION Il existe de nombreuses manières de construire une base de données. En effet,
Plus en détailLES REGLES DE VOL VFR
LES REGLES DE VOL VFR 1. DEFINITION : Un pilote effectue un vol selon les règles de vol à vue ou VFR (Visual Flight Rules), lorsqu'il maintient son avion dans une configuration propre au vol (attitude,
Plus en détailChangement du trait de côte et images satellites. Tempêtes 2014, plage de la Salie, côte atlantique française
Les tempêtes L expert Avec la crise climatique, les rivages subissent plus durement les assauts de la mer et les crues de fleuves. Pour anticiper et prévenir des risques d érosion et d inondation, il est
Plus en détailExo-planètes, étoiles et galaxies : progrès de l'observation
Collège de France Chaire d Astrophysique Observationnelle Exo-planètes, étoiles et galaxies : progrès de l'observation Cous à Paris les mardis de Janvier et Mars cours à Marseille le 20 Février, à Nice
Plus en détailEfficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar
Revue des Energies Renouvelables Vol. 15 N 2 (2012) 357-364 Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar S. Sami-Mécheri 1*, D. Semmar 2 et
Plus en détailReal-time Monitoring and forecast of IntraSeasonal Variability over Africa (MISVA)
Real-time Monitoring and forecast of IntraSeasonal Variability over Africa (MISVA) R. Roehrig 1,*, F. Couvreux 1, E. Poan 1, P. Peyrillé 1, J.-P. Lafore 1, O. Ndiaye 2, A. Diongue-Niang 2, F. Favot 1,
Plus en détailOù sont les Hommes sur la Terre
Où sont les Hommes sur la Terre Introduction : Notre planète est constituée de régions peuplées et d autres qui sont presque vides, ainsi 90% de la population vit dans l hémisphère nord. Dans certains
Plus en détailRecommandation M96-04 du Bureau (le 25 avril 1996)
RÉÉVALUATION DES RÉPONSES DE TRANSPORTS CANADA À LA RECOMMANDATION EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ MARITIME M96-04 NORMES DE CONSTRUCTION ET INSPECTION PAR TRANSPORTS CANADA Introduction Le 11 août 1993, le Tan
Plus en détailActivité 34 Du bateau à la fusée
Activité 34 Du bateau à la fusée Chronologie de la conquête spatiale 1957 4 octobre : premier satellite artificiel Spoutnik lancé par l'union Soviétique. 3 novembre : Spoutnik 2 (URSS) emporte dans l'espace
Plus en détailLeçon N 4 : Statistiques à deux variables
Leçon N 4 : Statistiques à deux variables En premier lieu, il te faut relire les cours de première sur les statistiques à une variable, il y a tout un langage à se remémorer : étude d un échantillon d
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailLa Banque européenne d investissement. en Afrique, dans les Caraïbes et le Pacifique ainsi que dans les pays et territoires d outre-mer
La Banque européenne d investissement en Afrique, dans les Caraïbes et le Pacifique ainsi que dans les pays et territoires d outre-mer La banque de l UE La Banque européenne d investissement, la banque
Plus en détailProjet évaluation : précipitation et
Projet évaluation : précipitation et nuages du Global-Meso Groupe Global-Meso Meso: Stéphane Bélair,, Michel Roch,, Anne- Marie Leduc, Paul Vaillancourt Objectifs du projet d évaluation Développer des
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailL eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.
1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les
Plus en détailPrésentation des prévisions météorologiques du monde découpé en sept grandes régions.
Thèmes Découverte et cultures du monde, environnement, météo Concept Présentation des prévisions météorologiques du monde découpé en sept grandes régions. Contenu Durée totale : 2 mn 15 s. est présentée
Plus en détailActivité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction
Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources
Plus en détailINSCRIPTION, CLASSEMENT ET EMBALLAGE. Communication de l expert de l Afrique du Sud
NATIONS UNIES ST Secrétariat Distr. GÉNÉRALE ST/SG/AC.10/C.3/2005/47 13 septembre 2005 FRANÇAIS Original: ANGLAIS COMITÉ D EXPERTS DU TRANSPORT DES MARCHANDISES DANGEREUSES ET DU SYSTÈME GÉNÉRAL HARMONISÉ
Plus en détailS engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée
S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée Rapport de situation 2013 RÉSUMÉ L UNICEF s est engagé à publier des rapports annuels de situation relatifs à la survie de l enfant en soutien
Plus en détailBILAN HYDRIQUE ET BESOIN D IRRIGATION DE LA CEREALICULTURE EN REGION SEMI-ARIDE.
Résumé Des travaux de recherches combinant les précipitations annuelles et les températures, classent la zone d étude dans le climat méditerranéen de l étage semi-aride (Seltzer, 1949; Emberger, 1955).
Plus en détailProjet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007
Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,
Plus en détailAgriculture paysanne durable: innovations et meilleures pratiques aux fins de transposition et de reproduction à plus grande échelle
Méthodes innovantes d amélioration sylvo-pastorale: Le cas du projet de lutte participative contre la désertification et de réduction de la pauvreté dans les écosystèmes arides et semi-arides des hauts
Plus en détailCOLLOQUE Solaire thermique & Habitat collectif. François GIBERT directeur EKLOR. Instrumentation et régulation : la vision d un fabricant
COLLOQUE Solaire thermique & Habitat collectif 20 FÉVRIER 2013 : EUREXPO SALON DES ENR François GIBERT directeur EKLOR Instrumentation et régulation : la vision d un fabricant 1 2 2 3 3 Les fonctions d
Plus en détailFAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE
African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance
Plus en détailLES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013
LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES 1. Facteurs structurels du ralentissement de la croissance dans les BRIC 2. Interdépendances commerciales entre les BRIC et le reste du monde Françoise Lemoine, Deniz
Plus en détailProjets proposés par le Laboratoire de Physique de l'université de Bourgogne
Projets proposés par le Laboratoire de Physique de l'université de Bourgogne Titre : «Comprendre la couleur» Public : Collégiens, Lycéens. Nombre de participants : 5 à 10 (10 Maxi ) Lieu : Campus Universitaire
Plus en détailMonitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007
Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois
Plus en détailCONSULTATIONS COMMUNAUTAIRES 2014-2015
CONSULTATIONS COMMUNAUTAIRES 2014-2015 RAPPORT DE SYNTHÈSE Est de Terre-Neuve Ouest de Terre-Neuve Labrador TABLE DES MATIERES 1. Introduction... 3 2. Portrait de la population répondante... 4 3. Les avis
Plus en détailLe Volontariat International en Entreprise: Simplifiez-vous les Ressources Humaines en Chine
Le Volontariat International en Entreprise: Simplifiez-vous les Ressources Humaines en Chine Contacts: Matthieu.garcia@ubifrance.fr Bertrand.jimenez@ubifrance.fr QU EST-CE QUE LE V.I.E? UNE FORMULE FLEXIBLE
Plus en détailCODIFICATION CONSOLIDATION. Current to August 30, 2015. À jour au 30 août 2015. Last amended on December 12, 2013
CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION Order Transferring to Shared Services Canada the Control and Supervision of Certain Portions of the Federal Public Administration in each Department and Portion of the
Plus en détailREFERENCES SUR LES INDICATEURS
L i s t e b i b l i o g r a p h i q u e REFERENCES SUR LES INDICATEURS E t u d e G C P Nathalie Wilbeaux Actualisée en Juillet 2007 Bibliographie sélective sur les «indicateurs» - Etude GCP 2003-2007-
Plus en détailLe programme brésilien. Cláudio Almeida Chef du Centre Régional de l'amazonie CRA/INPE
Le programme brésilien d'observation de la Terre. Cláudio Almeida Chef du Centre Régional de l'amazonie CRA/INPE La vision de l'inpe au 21e siècle. L'INPE est une référence mondiale en matière de recherche
Plus en détailChristophe SANNIER christophe.sannier@sirs-fr.com
Systèmes d Information à Référence Spatiale Utilisation d un Estimateur de Régression avec des Données Landsat pour l Estimation de l Etendu et des Changements du Couvert Forestier du Gabon de 1990 à 2010
Plus en détailChamp électromagnétique?
Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques
Plus en détailPRINCIPES DIRECTEURS POUR LA GESTION DE DONNEES CLIMATOLOGIQUES
PRINCIPES DIRECTEURS POUR LA GESTION DE DONNEES CLIMATOLOGIQUES PMDSC n 60 OMM-DT N 1376 Programme mondial des données climatologiques et de surveillance du climat Organisation météorologique mondiale
Plus en détailLes stations météo Vantage Pro2.
Les stations météo Vantage Pro2. La précision et la grande variété des mesures à un prix abordable par tous. Nos stations météo Vantage Pro sont de très bonne qualité, polyvalentes et évolutives. Elles
Plus en détailAssemblée générale. Nations Unies A/AC.105/772
Nations Unies A/AC.105/772 Assemblée générale Distr.: Générale 7 décembre 2001 Français Original: Anglais Comité des utilisations pacifiques de l espace extra-atmosphérique Rapport du deuxième Atelier
Plus en détailCartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits
Cartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits Contexte Les crues ont parfois des effets dévastateurs sur la vie humaine, les infrastructures, l économie, les espèces sauvages
Plus en détailMaterial Banking Group Percentage Regulations. Règlement fixant le pourcentage (groupe bancaire important) CONSOLIDATION CODIFICATION
CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION Material Banking Group Percentage Regulations Règlement fixant le pourcentage (groupe bancaire important) SOR/2008-163 DORS/2008-163 Current to August 30, 2015 À jour
Plus en détailJean Pierre THIBAULT / DREAL Aquitaine / Stratégie nationale
Jean Pierre THIBAULT / DREAL Aquitaine / Stratégie nationale Stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte : vers la relocalisation des activités et des biens Ministère de l'écologie, du développement
Plus en détailInfo-commerce : Incertitude économique mondiale
Info-commerce : Incertitude économique mondiale avril 2012 Panel de recherche d EDC Résultats du sondage de février 2012 Faits saillants Même si les É.-U. restent une importante destination commerciale,
Plus en détailÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE
ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca
Plus en détail2. La perte de contact avec l avion et le déclenchement des secours
www.bea.aero NOTE DE SYNTHÈSE 1. Le vol prévu (1) Les heures sont exprimées en temps universel coordonné. Il faut ajouter 2 heures pour obtenir l heure à Paris le jour du vol, retrancher 3 heures pour
Plus en détailInstallations classées pour la protection de l'environnement Campagne de mesure de bruit SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3
SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3 II. MODE OPERATOIRE... 3 A. MATERIEL UTILISE... 3 1) Sonomètre... 3 2) Calibreur... 3 B. METHODE DE MESURE... 4 C. POSITIONNEMENT DU MATERIEL... 4 III. CAMPAGNE DE MESURE...
Plus en détailCORRECTION BREVET PONDICHERY 2014
CORRECTION BREVET PONDICHERY 2014 PREMIERE PARTIE : HISTOIRE (13 POINTS) 1. Questions (6 points) 1. A quels siècles correspond l «âge des églises gothiques»? (1 point) L «âge des églises gothiques» va
Plus en détailPourquoi la responsabilité sociétale est-elle importante?
Découvrir ISO 26000 La présente brochure permet de comprendre les grandes lignes de la Norme internationale d application volontaire, ISO 26000:2010, Lignes directrices relatives à la responsabilité. Elle
Plus en détailQuestionnaire de déclaration du risque Assurance de responsabilité civile Voyages ou séjours (Organisation ou vente)
53, rue la Boétie 75008 Paris, Tel : 01 74 85 50 52 Fax : 01 72 77 90 37 www.chapka.fr, email = info@chapka.fr Société de courtage d assurances. SARL au capital de 10.000 N de RCS Paris B 441 201 035 Siège:
Plus en détailAXA et la CUHK sont fiers d annoncer le lancement de la Chaire AXA en géographie et gestion des ressources
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Hong Kong, le 21 octobre 2013 AXA et la CUHK sont fiers d annoncer le lancement de la Chaire AXA en géographie et gestion des ressources Protéger l homme grâce à la recherche sur les
Plus en détailLa consigne: un système primordial dans le développement durable de l industrie de la bière au Québec
La consigne: un système primordial dans le développement durable de l industrie de la bière au Québec 1 LES BRASSEURS L ABQ L Association des brasseurs du Québec (ABQ) représente les grands brasseurs du
Plus en détail