Cécilia Conan / Image in Production DOSSIER DE PRESSE LUTTE CONTRE LE PALUDISME : UNE PRISE EN CHARGE GLOBALE
|
|
- Émilien Leroy
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Cécilia Conan / Image in Production DOSSIER DE PRESSE LUTTE CONTRE LE PALUDISME : UNE PRISE EN CHARGE GLOBALE AVRIL 2014
2 SOMMAIRE Chiffres-clés La moitié de la population mondiale est exposée au paludisme L engagement de Sanofi dans la lutte contre le paludisme» Des prix différenciés pour rendre les médicaments abordables» Des programmes d information, de formation et d éducation avec les acteurs de terrain (Ecoliers contre le paludisme, MOSKI KIT)» L innovation pour répondre aux besoins futurs Burkina Faso : vue d ensemble L organisation du système de santé du Burkina Faso Sanofi : plus de 50 ans d engagement en Afrique L Accès au Médicament chez Sanofi Le Groupe Sanofi Annexe : La situation du paludisme au Burkina Faso
3 CHIFFRES-CLÉS LE PALUDISME 207 millions de cas recensés en 2012 (1) 50 % de la population mondiale exposée au paludisme (1) décès en 2012 dans le monde, dont 90 % en Afrique (1) 77 % des victimes sont des enfants de moins de 5 ans (2) La plupart des décès surviennent chez des enfants vivant en Afrique, où chaque minute un enfant meurt du paludisme (1). LE PALUDISME AU BURKINA FASO En 2013, cas de paludisme ont été enregistrés au Burkina Faso, dont cas de paludisme grave. L incidence cumulée est de 398 cas pour 1000 habitants. Elle est en baisse comparée à 2012 où elle était de 415 cas pour habitants. Au cours des cinq dernières années, le paludisme a constitué le premier motif de consultation et d hospitalisation. Il est également la première cause de décès dans les structures de soins. Données PNLP (1) OMS - Centre des Médias - Aide-mémoire n 94 Paludisme - Mars (2) WHO, WHO Global Malaria Programme, World Malaria Report
4 CHIFFRES-CLÉS LE DÉVELOPPEMENT D ASAQ Winthrop Dates 2001 L OMS recommande les ACTs, associations à base de dérivés d artémisinine pour lutter contre le paludisme 2004 Accord de partenariat entre DNDi (Drugs for Neglected Diseases initiative), fondation indépendante à but non-lucratif et Sanofi pour développer ASAQ Winthrop, association fixe d artésunate et d amodiaquine 2007 Mise sur le marché d ASAQ Winthrop, enregistré et fabriqué dans l usine de Sanofi au Maroc 2008 Pré-qualification d ASAQ Winthrop par l OMS 2010 Sanofi reçoit le prix 2010 «Global Business Coalition Core Competence Award» pour son partenariat innovant dans l accès aux médicaments contre le paludisme 2012 Le procédé de production d artémisinine hémi-synthétique reçoit le Prix Pierre Potier récompensant l innovation en chimie en faveur du développement durable 2014 Le prix d excellence Responsabilité Sociale d Entreprise de l Association of Strategic Alliance Professionals (ASAP) a été décerné, le 12 mars, à Sanofi et à DNDi. Cette récompense salue «l impact social positif, profond et mesurable» de 10 années d un partenariat public-privé dans la lutte contre le paludisme. Chiffres 33 pays ont enregistré ASAQ Winthrop, dont 30 en Afrique Plus de 280 millions de traitements distribués depuis 2007, dont 80 millions en 2013 En 2013, sur les 80 millions de traitements distribués, 33 % étaient des dosages adultes, 52 % des dosages enfants et 15 % des dosages nourrissons Les 5 premiers pays bénéficiaires : République Démocratique du Congo, Nigeria, Burkina Faso, Sierra Leone et Ghana. 2
5 LA MOITIÉ DE LA POPULATION MONDIALE EST EXPOSÉE AU PALUDISME Près de la moitié de la population mondiale est exposée au paludisme, la maladie parasitaire la plus fréquente et la plus meurtrière de la planète. En 2012, selon l OMS, 207 millions de cas ont été recensés, dont 80 % en Afrique. Quelque 90 % des décès dus à la maladie ont concerné le continent africain cette même année. Dix-sept pays concentrent à eux seuls 80 % des décès, dont 40 % pour la République Démocratique du Congo (RDC) et le Nigeria. Dans le monde, entre 2000 et 2012, les taux de mortalité estimés dus au paludisme ont chuté de 42 % dans toutes les tranches d âge et de 48 % chez les enfants de moins de cinq ans (3). Prise en charge précoce Le paludisme a pour origine un parasite du genre plasmodium. Il se transmet par la piqûre d un moustique, l anophèle. Une fois dans le sang, il colonise et détruit les globules rouges entraînant un accès palustre (fièvre soudaine, fatigue, céphalées, frissons, vomissements ). Cinq espèces de plasmodium sont recensées, la plus redoutable étant Plasmodium falciparum, qui sévit notamment en Afrique. La crise de paludisme débute entre 8 et 30 jours après l infection, mais les premiers symptômes sont parfois modérés et difficiles à identifier. Le paludisme à Plasmodium falciparum doit être traité rapidement, sous peine d évoluer vers une affection sévère, une anémie grave, des convulsions, voire un coma causant des séquelles irréversibles et, parfois, la mort. D autres formes de paludisme relativement sévères, dues à Plasmodium vivax, sont également observées, en particulier au Bangladesh, en Inde et en Amérique latine. Le diagnostic et le traitement précoces permettent de réduire l intensité de la maladie, d éviter qu elle ne devienne mortelle, de diminuer la transmission. L OMS recommande depuis 2001 une association médicamenteuse comportant une combinaison t h é r a p e u - tique à base d Artémisinine (Artemisinin based Combination Therapy : ACT), qui permet de réduire le risque de résistance aux traitements. La lutte contre le paludisme passe également par l utilisation de moustiquaires imprégnées d insecticide. Un impact qui est aussi économique Au-delà de l impact majeur sur la santé publique, le paludisme a des conséquences importantes sur l économie des pays touchés par la maladie, aussi bien en termes de journées de travail perdues, d absentéisme scolaire ou de diminution du pouvoir d achat des familles : un quart des revenus des ménages africains et 1,3 % de la croissance annuelle seraient ainsi perdus chaque année. Les coûts liés à la maladie peuvent en outre représenter jusqu à 40 % des dépenses de santé publique, 30 à 50 % des admissions hospitalières et 50 % des consultations externes. Julien Chraïbi (3) WHO, WHO Global Malaria Programme, World Malaria Report
6 L ENGAGEMENT DE SANOFI DANS LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME Sanofi s engage à améliorer l accès à la santé des populations les plus démunies dans les pays émergents. Son département «Accès au Médicament» développe des modèles pérennes permettant de fournir des soins de qualité aux patients les plus défavorisés, pour des maladies comme le paludisme, dans lesquelles l expertise du groupe est reconnue. L approche de Sanofi s inscrit dans une démarche globale : au-delà des partenariats avec des acteurs locaux, Sanofi propose des prix différenciés pour rendre les médicaments abordables ainsi que des programmes d information, de formation et d éducation. Sanofi met en outre l accent sur la recherche et l innovation, afin de répondre aux besoins futurs. Des prix différenciés pour rendre les médicaments abordables Le développement d ASAQ Winthrop (association artésunate-amodiaquine Winthrop), mis sur le marché en 2007, est le fruit d un partenariat entre Sanofi et l organisation non-gouvernementale DNDi (Drugs for Neglected Diseases initiative), initié en Cette combinaison fixe permet de réduire le nombre de comprimés à prendre par jour, facilitant l observance. La posologie est d un comprimé par jour pendant 3 jours pour les nourrissons et les enfants, et de deux comprimés par jour pendant 3 jours pour les adultes. Quatre présentations sont disponibles selon l âge et le poids. Les comprimés sont solubles dans l eau et donc mieux adaptés aux enfants. Afin de le rendre accessible à tous, Sanofi et DNDi ont fait le choix de ne pas protéger ASAQ Winthrop par un brevet. Le traitement est en outre mis à la disposition du secteur public à un prix inférieur à 1$ pour les adultes et 0,50$ pour les enfants, pour 3 jours de traitement. Ces niveaux de prix sont devenus les références pour l ensemble des fabricants d ACT. Depuis 2007, plus de 280 millions de traitements ont été distribués, principalement en Afrique. ASAQ Winthrop est désormais enregistré dans 33 pays, dont 30 pays d Afrique. ASAQ Winthrop préqualifié par l OMS, fabriqué par Sanofi au Maroc En 2008, l ASAQ Winthrop est la première association fixe d ACT à obtenir la pré-qualification de l OMS, qui permet la mise à disposition rapide des médicaments de qualité, principalement dans les domaines du VIH/sida, paludisme, tuberculose. Les médicaments correspondant au niveau de qualité exigé par l OMS sont inscrits sur une liste de médicaments «pré-qualifiés» : initialement destinée aux agences d achats de médicaments des Nations Unies, cette liste est devenue une référence pour d autres grandes agences chargées d achats de médicaments. Cette pré-qualification a contribué à la diffusion rapide de l ASAQ Winthrop qui, en 7 ans, a permis de traiter plus de 280 millions de crises de paludisme. L ASAQ est fabriqué sur le site Sanofi de Zenata, au Maroc, où 100 millions de traitements ont été produits en Près d un tiers de la population mondiale n a toujours pas accès aux soins essentiels. En tant que leader mondial de la santé, Sanofi possède l expertise et les ressources pour favoriser l accès aux soins des populations les plus démunies. Cette démarche est au coeur de notre stratégie responsabilité sociale de l entreprise et c est la mission de l équipe Accès au Médicament. Cela passe par une politique de prix différenciés pour rendre les médicaments accessibles à tous, mais également par des programmes d information et d éducation pour tous les acteurs de santé. Notre programme paludisme en est l illustration. Docteur Robert Sebbag, Vice-Président Accès au Médicament de Sanofi 4
7 L ENGAGEMENT DE SANOFI DANS LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME Des programmes d information, de formation et d éducation avec les acteurs de terrain Au-delà du traitement, Sanofi développe des programmes avec les acteurs locaux, afin de former les professionnels de santé, informer les communautés et éduquer les patients. Des experts scientifiques et des responsables des Programme Nationaux de Lutte contre le Paludisme (PNLP) ont ainsi travaillé à l élaboration d une information exhaustive portant sur la prévention, le diagnostic et la prise en charge du paludisme. Par exemple, Sanofi a participé à la mise en place d un Diplôme Inter-Universitaire (DIU) en Gestion des Approvisionnements Pharmaceutiques dans la Lutte contre le VIH, la Tuberculose et le Paludisme en Afrique sub-saharienne à l Université de Ouagadougou. Cette formation, destinée aux professionnels de la pharmacie en poste en Afrique sub-saharienne, a pour objectif d améliorer la gestion du cycle d approvisionnement des médicaments liés aux trois maladies prioritaires que sont le VIH, la Tuberculose et le Paludisme. C est la première formation post-universitaire diplômante en langue française en Afrique sur ce sujet. Rémi DUHAMEL / Image in Production Actions de sensibilisation grâce à «Ecoliers contre le paludisme» Le programme «Ecoliers contre le paludisme» fournit des outils éducatifs aux enseignants et a permis de sensibiliser entre 2008 et 2013, au Burkina Faso, au Burundi, en Côte d Ivoire, au Ghana, au Kenya, au Madagascar, au Niger, au Nigeria et en République Démocratique du Congo plus de 3,6 millions d enfants. Dans le cadre de cette initiative, un outil dénommé «MOSKI KIT» a été développé ; il se présente sous forme de mallette «ludo-éducative» pour la classe et permet aux enfants d apprendre en s amusant. Il a été conçu avec l aide des différents partenaires sur le terrain (PNLP, ONG, écoles etc ). Les messages-clés ont été élaborés à partir des modules de formation des PNLP. Les illustrations ont été conçues pour refléter autant que possible la vie quotidienne des enfants et faciliter la compréhension des messages. Le Moski Kit a été déployé avec succès dans plusieurs pays africains, notamment le Niger, la République Démocratique du Congo, le Kenya, le Nigeria, le Ghana, la Côte d Ivoire 5
8 L ENGAGEMENT DE SANOFI DANS LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME Le traitement n est qu une partie de la solution. Nous devons aussi contribuer aux efforts de nos partenaires en matière de prévention, diagnostic et prise en charge de la maladie. Pour cela, il faut informer, communiquer, éduquer, à tous les niveaux de la pyramide médicale : enfants et parents, familles, agents communautaires, spécialistes. Docteur François Bompart, Directeur Adjoint et Directeur Médical - Accès au Médicament de Sanofi Le partenariat réussi entre Sanofi et l ONG JEREMI Depuis 2007, Sanofi, à travers le programme paludisme d Accès au Médicament coopère avec l association JEREMI Dijon (Jumelage Et Rencontre pour l Entraide Médicale Internationale) dans la lutte contre le paludisme dans le district d Ouahigouya au Burkina Faso. Cette collaboration se concrétise sous la forme de soutiens techniques, financiers, mais surtout par un partage permanent d idées et d expériences dans le cadre d un programme à caractère communautaire. Ces efforts communs ont permis la réduction significative de la prévalence de la maladie dans le département de Tangaye après seulement deux ans de programme. Le projet concerne habitants, dont en zone rurale et en zone urbaine avec comme cibles prioritaires les femmes enceintes et les enfants de moins de 5 ans. Julien Chraïbi 6
9 L ENGAGEMENT DE SANOFI DANS LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME L innovation pour répondre aux besoins futurs Un procédé industriel innovant La demande mondiale d artémisinine, substance-clé des Combinaisons Thérapeutiques à base d Artémisinine (ACT), a augmenté depuis que l OMS les a identifiées comme traitement antipaludique de référence. L approvisionnement en artémisinine naturelle (dérivée de l armoise, une plante) ne suffisant pas toujours à répondre aux besoins, le développement d un nouveau procédé de fabrication industrielle a débuté il y a dix ans. Sanofi s est associé à ce projet, avec le soutien de la Fondation Bill et Melinda Gates, en partenariat avec PATH (ex Institut One World Health), l université de Californie à Berkeley et la société Amyris. En 2013, la recherche a débouché sur la production d artémisinine hémi-synthétique, sur le site Sanofi de Garessio en Italie. Ce procédé a reçu en décembre 2012 le Prix Pierre Potier récompensant l innovation en chimie en faveur du développement durable. Il présente de nombreux avantages : une qualité constante, un délai de production divisé par trois (ramené à quatre mois), une minimisation des risques de pénurie. Sanofi s est, par ailleurs, engagé à maintenir le prix de l artémisinine hémi-synthétique à des niveaux acceptables pour les organismes de santé publique des pays en développement. A partir de 2014, l objectif de Sanofi est de produire 50 à 60 tonnes d artémisinine en moyenne (35 tonnes en 2013), garantissant la production de 80 à 150 millions de traitements ACT. La recherche se poursuit Les médicaments antipaludiques sont largement distribués mais font trop peu l objet d études post-commercialisation, destinées à évaluer leur sécurité d emploi et leur efficacité dans les conditions réelles d utilisation. A ce titre, ASAQ Winthrop fait l objet d un programme de surveillance sur le terrain, mis en œuvre en collaboration avec l OMS. Sanofi a ainsi passé un accord avec Medicines for Malaria Venture (MMV) en 2009 pour mener la plus grande étude jamais consacrée à un médicament antipaludique : Au total, les données de plus de 10 études, de surveillance et de pharmacovigilance sont collectées et regroupées dans une même base, permettant de conduire des analyses détaillées. Par ailleurs, la recherche se poursuit, une des priorités étant de trouver des pistes pour lutter contre les résistances aux traitements existants. En 2012, Sanofi a décidé de partager avec le WWARN (WorldWide Antimalarial Resistance Network) l ensemble des données collectées lors des études cliniques, afin de surveiller l éventuelle diffusion de résistances déjà apparues en Asie du sud-est Celles-ci risquent de poser un problème de santé publique mondial : il n existe en effet pas de famille nouvelle de médicaments susceptible de prendre le relais des traitements actuels. François Terrier 7
10 BURKINA FASO : VUE D ENSEMBLE Population : habitants en 2012 TUNISIE Localisation : le Burkina Faso est situé en Afrique de l Ouest. Il est entouré par le Mali au Nord-Ouest, le Niger au Nord- Est, le Bénin au Sud-Est et le Togo, le Ghana et la Côte d Ivoire au Sud SÉNÉGAL MAROC AFRIQUE DE L OUEST ALGÉRIE BURKINA FASO LIBYE ÉGYPTE SOUDAN Superficie : km 2 (environ la moitié de la France) NIGERIA CAMEROUN AFRIQUE DU NORD-EST Capitale : Ouagadougou ( habitants en 2012) AFRIQUE CENTRALE 2 ème ville : Bobo-Dioulasso 77% de la population vit en milieu rural 44 % de la population vit en dessous du seuil de pauvreté AFRIQUE DU SUD-EST Langues : français, mooré, dioula et fulfuldé AFRIQUE DU SUD PIB 2012 : 5 658,9 milliards de FCFA, +8 % PIB par habitant : FCFA Revenu national brut par habitant en 2012 : dollars Taux d inflation 2012 : +3,8 % Dépenses de santé par habitant : 81 dollars en 2011, soit 6,5 % du PIB Espérance de vie à la naissance : 54 ans pour les hommes, 57 ans pour les femmes (2011) Taux de mortalité infanto-juvénile : 102 pour naissances vivantes (2012) - Institut national de la statistique et de la démographie ( 8
11 L ORGANISATION DU SYSTÈME DE SANTÉ DU BURKINA FASO Le Burkina Faso compte 1 médecin pour habitants, alors que les normes OMS préconisent 1 médecin pour habitants. Le pays dispose par ailleurs d un infirmier pour habitants. La part du budget de l Etat consacré au Ministère de la santé est passée de 9,1% en 2011 à 12,5% en Le Burkina Faso est divisé en 13 régions administratives, regroupant 45 provinces, 70 districts sanitaires et 351 municipalités rurales et urbaines. Le Ministère de la santé comprend trois niveaux administratifs central, régional, et de district. Trois hôpitaux universitaires et un hôpital national, neuf hôpitaux régionaux, 44 hôpitaux de districts et centres de santé répondent aux besoins du pays. Les services de santé pour la population rurale se limitent aux centres de soins primaires qui emploient deux infirmières et une sage-femme. Le secteur privé comprend environ 450 établissements à but lucratif, 45 organisations non gouvernementales (ONG) et des structures sanitaires confessionnelles, et 140 laboratoires biomédicaux. Le Programme National de Lutte contre le Paludisme (PNLP) est une unité au sein du Ministère de la santé, sous la Direction de la lutte contre la maladie, elle-même sous la Direction générale de la santé, avec trois médecins, un pharmacien et dix-sept employés. Quatre centres de recherche sont engagés dans la recherche sur le paludisme : le Centre National de Recherche et de Formation sur le Paludisme ; l Institut de Recherche en Science de la Santé, le Centre Muraz, et le Centre de Recherche en Santé de Nouna. Le PNLP, s inspirant des directives de l OMS, a initié l élaboration et la mise en place d un programme de prise en charge communautaire des cas de paludisme simple à domicile (PECADO). Ce programme s appuie sur la formation des Agents de santé à base communautaire (ASBC), qui en plus de la mobilisation sociale et de la sensibilisation des communautés à la prévention, assurent le diagnostic et le traitement des cas de paludisme simple grâce aux ACT. Julien Chraïbi 9
12 SANOFI : PLUS DE 50 ANS D ENGAGEMENT EN AFRIQUE ALGÉRIE TUNISIE MAROC ALGÉRIE LIBYE ÉGYPTE Une présence historique, une approche innovante SÉNÉGAL AFRIQUE DE L OUEST SOUDAN 1931 : Filiale en Afrique du Sud 1961 : Usine en Egypte 1972 : Usine en Afrique du Sud 1994 : Prix de la recherche médicale en Tunisie 2000 : Gaucher lnitiative Program en Égypte 2001 : Programme Paludisme - Accès au Médicament 2010 : Programme e-diabète NIGERIA CAMEROUN 8 filiales 7 usines AFRIQUE CENTRALE AFRIQUE DU SUD-EST ALGÉRIE AFRIQUE DU NORD-EST Des solutions thérapeutiques et préventives et des programmes d accès aux soins adaptés Le Groupe offre une large gamme de produits adaptés aux besoins des populations africaines à travers ses différentes entités : Sanofi :» Maladies transmissibles» Maladies non transmissibles» Santé grand public Sanofi Pasteur : vaccins Genzyme : maladies rares Zentiva : génériques Merial : santé animale Sanofi déploie également des programmes d accès aux soins en Afrique. Ainsi, en 2012, le Groupe a mené 92 programmes dans 34 pays. Ces programmes ont permis de former professionnels de santé et 87 millions d Africains en ont bénéficié. MAROC Une implantation industrielle majeure ALGÉRIE 60 % environ des produits Sanofi distribués en Afrique sont fabriqués localement 80M d investissements industriels durant les cinq dernières années et 120M dans les cinq prochaines AFRIQUE L ancrage industriel fort permet à DE Sanofi L OUESTd être présent au plus près des besoins des patients africains et lui SÉNÉGAL confère des avantages compétitifs majeurs : une meilleure compréhension des marchés, une réactivité aux besoins des appels d offres et des populations, une offre thérapeutique de qualité. NIGERIA 60% ENVIRON DES PRODUITS SANOFI DISTRIBUÉS EN AFRIQUE SONT FABRIQUÉS LOCALEMENT 60% ENVIRON DES PRODUITS 4 SANOFI 680 DISTRIBUÉS Collaborateurs EN AFRIQUE SONT FABRIQUÉS LOCALEMENT 80 M D INVESTISSEMENTS INDUSTRIELS DURANT LES CINQ DERNIÈRES ANNÉES ET 120M DANS LES CINQ PROCHAINES 80 M D INVESTISSEMENTS INDUSTRIELS DURANT LES CINQ DERNIÈRES ANNÉES ET 120M DANS LES CINQ PROCHAINES CAMEROUN AFRIQUE DU SUD 8 filiales 98 % des collaborateurs sont africains, 74 % sont diplômés d études supérieures Sanofi considère que le partage d expertise 7 usines par la formation et l emploi du personnel local contribue tant (4) 98% au développement 74% économique qu à l amélioration de DES COLLABORATEURS SONT DIPLÔMÉS SONT AFRICAINS D ÉTUDES SUPÉRIEURES la santé des patients. LIB AFRI 98% DES COLLABORATEURS SONT AFRICAINS (4) 74% SONT DIPLÔMÉS D ÉTUDES SUPÉRIEURES (4) Chiffres non disponibles pour le Maroc et l Afrique du Sud 10
13 L ACCÈS AU MÉDICAMENT CHEZ SANOFI Afin de favoriser l accès à la santé pour les patients les plus défavorisés dans les pays en développement, Sanofi a créé une unité dédiée : le département «Accès au Médicament» (Access to Medicines : ATM). ATM se concentre sur la lutte contre les maladies pour lesquelles Sanofi possède une expérience reconnue, reposant Les programmes menés se concentrent sur les domaines thérapeutiques dans lesquels Sanofi a une expertise reconnue : paludisme, tuberculose, maladies tropicales négligées, troubles mentaux, épilepsie. sur son portefeuille de médicaments : le paludisme, la Les initiatives s intègrent dans une approche tuberculose, les maladies tropicales négligées (maladie holistique, qui fonctionne sur plusieurs niveaux : du sommeil, leishmaniose, maladie de Chagas, ulcère» Concevoir des politiques de prix différenciés, en de Buruli), l épilepsie et les troubles mentaux. accord avec les gouvernements des pays auxquels Toutes les initiatives s intègrent dans une approche Sanofi propose son soutien, afin de rendre les globale, conçue pour fonctionner à plusieurs niveaux : médicaments abordables pour les patients les plus» démunis ; Dans les phases précoces de développement des médicaments, avec un accent mis sur des programmes» de recherche ; des communautés, en travaillant aux côtés des» Sur le terrain, en informant et en promouvant l éducation partenaires locaux ; et la prévention ;» A travers la politique de prix différenciés, destinée à rendre les médicaments abordables pour tous ;» Au sein des communautés, en travaillant avec des» Proposer des solutions adaptées aux besoins Développer des programmes d information, d éducation et de communication pour les professionnels de santé, informer les communautés et éduquer les patients sur la prévention, le diagnostic et le traitement de ces maladies ; partenaires locaux.» Sanofi s appuie également sur les actions de la Fondation pour pouvoir fournir des médicaments adaptés aux Sanofi Espoir, dont l objectif est de réduire les inégalités besoins des populations et anticiper les besoins de santé au sein des communautés les plus pauvres futurs. Cette approche s appuie sur l utilisation de dans le monde. l expertise et des ressources de Sanofi dans les Renforcer la recherche et le développement pays concernés, en particulier pour fabriquer des médicaments de qualité, à proximité des Julien Chraïbi communautés qui en ont besoin. - Institut national de la statistique et de la démographie ( 11
14 LE GROUPE SANOFI Sanofi est un groupe de santé mondial, centré sur les besoins des patients et engagé dans la recherche, le développement, la fabrication et la commercialisation de produits de santé. Le groupe est organisé autour de trois activités principales : les produits pharmaceutiques, les vaccins humains via Sanofi Pasteur, et la santé animale à travers Merial, deux domaines d activité dans lesquels nous sommes parmi les leaders mondiaux. Sanofi propose une offre diversifiée de spécialités pharmaceutiques, de produits de santé grand public, de génériques, de produits de santé animale et de vaccins humains. En tant que société leader dans la santé, la mission de Sanofi est de protéger la santé, améliorer la qualité de vie et répondre aux besoins potentiels de 7 milliards d individus à travers le monde. Sanofi est présent sur cinq continents dans environ 100 pays avec collaborateurs à fin En 2013, son chiffre d affaires net s est élevé à millions d euros. Sanofi est le troisième groupe pharmaceutique mondial et le deuxième en Europe (source : ventes IMS 2013). 12
15 ANNEXE La situation du paludisme au Burkina Faso Le nombre de cas de paludisme enregistré en 2013 est de dont cas de paludisme grave. L incidence cumulée est de 398 cas pour habitants. Elle est en baisse comparée à 2011 où elle était de 415 cas pour habitants. La tendance est à la hausse entre 2008 et 2012 ; celle-ci pourrait s expliquer entre autres par la hausse de la fréquentation des formations sanitaires. Au cours des cinq dernières années, le paludisme a constitué le premier motif de consultation et d hospitalisation. Il est également la première cause de décès dans les structures de soins. En effet, les proportions enregistrées en 2012 sont de 45,9% pour les consultations, 52,3% pour les hospitalisations et 36,4% pour les décès. Le nombre de décès dus au paludisme est passé de 1,8% en 2012 à 1,4% en Cette baisse pourrait s expliquer entre autres par la formation des agents de santé sur la prise en charge du paludisme, la fourniture aux districts sanitaires de tests de diagnostic rapide et de kits d urgence pour la prise en charge du paludisme grave chez les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. Evolution de l incidence pour habitants de 2006 à 2013 au Burkina Faso Evolution le la létalité globale du paludisme de 2006 à 2013 au Burkina Faso Données PNLP
16 Laurence Bollack Corporate Media Relations CELL
de plus de moitié, particulièrement dans les pays où la mortalité infantile est élevée 39.
postes de haut-fonctionnaires sont détenus par des femmes 38. Mais dans l ensemble, les avancées enregistrées par les pays africains dans leur progression vers la réalisation d une meilleure parité entre
Plus en détailD A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S
REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les
Plus en détailDocteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV
Docteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV 1 CONTEXTE EN ALGERIE Recrudescence des TIA HACCP obligatoire depuis 2010 Mise à niveau
Plus en détailFAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE
African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance
Plus en détailRapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde
Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Résumé d orientation La tuberculose reste l une des maladies transmissibles causant le plus de décès dans le monde. En 2013, selon les estimations,
Plus en détailConnaissances et compétences requises : coordonnées géographiques, réflexion critique, recherche de documentation, rédaction, support cartographique.
Activité : «Mais où est donc..?» Afrique Géographie : problématique de la faim. Age : 10-13 ans Outil pédagogique développé par l équipe jeunesse du PAM. Résumé Connaissances et compétences requises :
Plus en détailINVESTIR POUR UN MONDE SANS PALUDISME
INVESTIR POUR UN MONDE SANS PALUDISME Des progrès extrêmement importants ont été réalisés ces dernières années dans la lutte contre le paludisme, mais ces avancées sont fragiles et réparties de façon inégale.
Plus en détailTITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE)
TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) PAYS ET REGION DE MISE EN ŒUVRE DU PROJET Ce projet sera mise en
Plus en détailLe système de protection sociale en santé en RDC
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection
Plus en détailDONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT
DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT Mise à jour avec rétroinformation technique de décembre 2012 Chaque jour, près de 800 femmes meurent durant la grossesse ou l accouchement
Plus en détailEn Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures
En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures 1 Introduction I Cette étude considère l urbanisation comme
Plus en détailTABLE DES MATIERES PREFACE. CHAPITRE PREMIER : PROTECTION GENERALE DE LA SANTÉ PUBLIQUE
TABLE DES MATIERES PREFACE. CHAPITRE PREMIER : PROTECTION GENERALE DE LA SANTÉ PUBLIQUE Loi n 89/27 du 29 Décembre 1989 portant sur les déchets toxiques et dangereux.. Loi n 95/08 du 30 Janvier 1995 portant
Plus en détailet à Hammamet (en Tunisie) 4, en mars 2013. Ces consultations ont été complétées par une enquête en ligne 5 amorcée en 2011.
Document final des consultations régionales sur le programme de développement après-2015 Contexte Partout dans le monde, les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) ont généré des actions de
Plus en détailRÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013
RÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013 [Include National Partner logo] www.afrobarometer.org www.crop-africa.org 1 [Include National Partner logo] Afrobaromètre:
Plus en détailPrésenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
EXPERIENCE SENEGALAISE DE LA MICROASSURANCE: DEFIS ET OPPORTUNITES Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème sera abordé en cinq
Plus en détailS engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée
S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée Rapport de situation 2013 RÉSUMÉ L UNICEF s est engagé à publier des rapports annuels de situation relatifs à la survie de l enfant en soutien
Plus en détail4. Comment la maladie est-elle transmise à l homme? 2. Les composantes des soins de santé primaires : 1. Qu est-ce que l Initiative de Bamako (IB)?
GENERALITES SUR : SANTE et MALADIE SOINS de SANTE PRIMAIRES (SSP) INITIATIVE de BAMAKO (IB) Objectifs généraux Au terme de ce module de formation, les participants devraient être capables de: Comprendre
Plus en détailZ I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor
Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE
Plus en détailPays 1 où il y a un risque de transmission de la fièvre jaune 2 et pays exigeant la vaccination antiamarile
ANNEXE 1 Pays 1 où il y a un risque de transmission de la fièvre jaune 2 et pays exigeant la vaccination antiamarile Pays Pays où il y a un Pays exigeant Pays exigeant risque de transmission la vaccination
Plus en détailLieux de stage des étudiants du Master 2 en Santé Internationale 2010-2015
Lieux de stage des étudiants du Master 2 en Santé Internationale 2010-2015 Lieux de stage, structures d accueil et sujets de stage des étudiants du Master 2 en Santé Internationale 2010-2015 Pays Structure
Plus en détailpour la coopération internationale dans le domaine de la santé
La stratégie de la France 2012 pour la coopération internationale dans le domaine de la santé Direction générale de la mondialisation, du développement et des partenariats La stratégie de la France pour
Plus en détailLe système de santé au Cambodge
Le système de santé au Cambodge Actualisation au 3 mai 2006 MINEFI DGTPE Prestation réalisée sous système de management de la qualité certifié AFAQ ISO 9001 INDICATEURS DE SANTE Les infrastructures sanitaires
Plus en détailC est quoi le District Health Information Software 2?
Introduction Actions entreprises C est quoi le Health Information Software 2? Avantages Inconvénients Conclusion Le système d information sanitaire est l un des piliers du Système de Santé Il contribue
Plus en détail& Melinda Gates et Gavi, qui permettra d améliorer la santé des populations des six pays ciblés et de contribuer à la sécurité sanitaire régionale.
Communiqué Santé au Sahel : l AFD, la Fondation Bill & Melinda Gates et Gavi s engagent ensemble pour renforcer la vaccination dans six pays de la région du Sahel Paris, le 26 juin 2015 - L Agence Française
Plus en détailRéseau National de Laboratoires * * * * * * * * * *
République du Sénégal Ministère de la Santé et de l Action Sociale Direction Générale de la Santé Direction des Laboratoires Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * PLAN DE FORMATION DES PERSONNELS
Plus en détailPLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE
PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE 37 ème Assemblée Générale de la FANAF YAOUDE (CAMEROUN) 23-28 Février 1 ASSURANCE MALADIE 2 - Un des principaux
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailLE MALI L HÔPITAL GABRIEL TOURE L HÔPITAL DU POINT G INTRODUCTION 2 INTRODUCTION 1 DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE
DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE KALLE A.D A (1), BENGALY L (2)., KONE D ( 1), COULIBALY S.M (2). DIAKITE A.S. (2) DIAMOUTENE A (2) (1) Service de Pharmacie Hôpital Gabriel
Plus en détailAccès aux antiviraux contre les hépatites dans les pays à bas et moyens revenus : produire localement des génériques. Maurice Cassier CNRS CERMES3
Accès aux antiviraux contre les hépatites dans les pays à bas et moyens revenus : produire localement des génériques Maurice Cassier CNRS CERMES3 Production de génériques dans les PVD et accessibilité
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailFINANCEMENT DE L OFFRE DE SOINS EN AFRIQUE. Prof DIE-KAKOU
1 FINANCEMENT DE L OFFRE DE SOINS EN AFRIQUE Prof DIE-KAKOU 2 PLAN INTRODUCTION I- SITUATION II- FINANCEMENT IV- COUVERTURE MALADIE V- DEFIS CMU CONCLUSION 3 INTRODUCTION Services de santé offerts avec
Plus en détailRésultats des Comptes de la Santé 2012 en RD Congo
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE Secrétariat Général PROGRAMME NATIONAL DES COMPTES NATIONAUX DE LA SANTE «PNCNS» Résultats des Comptes de la Santé 2012 en RD Congo Pr ELOKO
Plus en détailCouverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)
Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour
Plus en détailProgramme international de formation
Programme international de formation La science n a pas de patrie, car la connaissance appartient à l humanité, c est un flambeau qui illumine le monde. Louis Pasteur Le Réseau International des Instituts
Plus en détailla solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire
la solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire HISTORIQUE Le Centre pour le Développement des Exportations Africaines CEDEXA S.A. CEDEXA
Plus en détailUn Aperçu de la Situation de l'assainissement en Afrique
Un Aperçu de la Situation de l'assainissement en Afrique Extrait de Un Aperçu de la Situation de l Eau Potable et de l'assainissement en Afrique Une perspective régionale s'appuyant sur des données récentes
Plus en détailBRIEFING NOTE 1 ETATS DES LIEUX DE LA MICRO-ASSURANCE EN AFRIQUE. 1. Dénombrer les bénéficiaires de la micro-assurance sur le continent africain
BRIEFING NOTE 1 Microinsurance Innovation Facility ETATS DES LIEUX DE LA MICRO-ASSURANCE EN AFRIQUE 1. Dénombrer les bénéficiaires de la micro-assurance sur le continent africain En Afrique, la micro-assurance
Plus en détailPOINT DE DÉCISION DE LA FRANCOPHONIE : STOPPER LES NOUVELLES INFECTIONS AU VIH ET GARANTIR LES TRAITEMENTS POUR TOUS
POINT DE DÉCISION DE LA FRANCOPHONIE : STOPPER LES NOUVELLES INFECTIONS AU VIH ET GARANTIR LES TRAITEMENTS POUR TOUS SOMMET DE LA FRANCOPHONIE kinshasa Octobre 2012 Messages clés : Les pays membres de
Plus en détailPOLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES
POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement
Plus en détailACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030
ACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030 Mettre fin à l épidémie de sida ces mots renferment de tels espoirs et de telles promesses. Grâce à des engagements mondiaux et à des objectifs précis,
Plus en détailRegional Seminar for Certain African Countries on the Implementation and Use of Several Patent-Related Flexibilities
REPUBLIC OF SOUTH AFRICA Regional Seminar for Certain African Countries on the Implementation and Use of Several Patent-Related Flexibilities Topic 9: The Use of Compulsory Licenses Durban, South Africa
Plus en détailGénération des forces de police Standards et Procédures
Génération des forces de police Standards et Procédures Forum régional de Yaoundé 8-10 novembre 2009 Participation aux OMP: pratiques et paramètres par Mody BERETHE Divison Police des Nations Unies/DOMP
Plus en détailPromouvoir des synergies entre la protection des enfants et la protection sociale en Afrique de l Ouest et du Centre
inégalité Note de Synthèse Protection sociale pour les Enfants Réduction de la pauvreté q protection sociale Février 2009 exclusion sociale Politiques Sociales atteindre les OMD sécurité stratégies politiques
Plus en détailLa vaccination, une bonne protection
Vaccin contre l hépatite A et l hépatite B La personne qui reçoit ce vaccin se protège contre l hépatite A, l hépatite B et leurs complications. L hépatite A et l hépatite B sont des infections du foie
Plus en détail3 The Millennium Development Goals: Report 2010. Objectifs du Millénaire pour le développement Rapport 2014. asdf NATIONS UNIES
3 The Millennium Development Goals: Report 2010 Objectifs du Millénaire pour le développement Rapport 2014 asdf NATIONS UNIES Le présent rapport est fondé sur un ensemble de données compilées par le Groupe
Plus en détailL AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE
L AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE L Aide publique au développement (APD) désigne les dépenses publiques au bénéfice des pays en développement dont le but essentiel est de favoriser le développement économique
Plus en détailPOURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES?
Mai 2010 POURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES? Direction Générale des Statistiques Ministère de l Economie, du Commerce, de l Industrie et du Tourisme Pourquoi le Gabon a-t-il besoin
Plus en détailTHESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES
THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES I. SECTEURS D ACTIVITES - Aéronautique - Agriculture - Assurances - Banques (épargne, office des chèques postaux) - Bâtiment et génie civil - Communications - Postes - Télécommunications
Plus en détailPacte européen pour la santé mentale et le bien-être
Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être CONFERENCE DE HAUT-NIVEAU DE L UE ENSEMBLE POUR LA SANTÉ MENTALE ET LE BIEN-ÊTRE Bruxelles, 12-13 juin 2008 Slovensko predsedstvo EU 2008 Slovenian
Plus en détailMot d ouverture de Mamadou Lamine N DONGO Lead Results Adviser Banque Africaine de Développement Coordonnateur de AfCoP
Mot d ouverture de Mamadou Lamine N DONGO Lead Results Adviser Banque Africaine de Développement Coordonnateur de AfCoP 17 Septembre 2013, 9h00 Tunis, Tunisie Monsieur le Directeur du Département Assurance
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détailPANSONS LE MONDE PROGRAMME PREVISIONNEL 18/01/2012
PANSONS LE MONDE PROGRAMME PREVISIONNEL 18/01/2012 Matinée - Journée de la Coopération Décentralisée «Santé en Afrique subsaharienne» (9h30-12h30) Les collectivités locales en France sont l un des acteurs
Plus en détailFiscalité des médicaments, consommables et équipements médicaux dans les pays membres de l UEMOA
Fiscalité des médicaments, consommables et équipements médicaux dans les pays membres de l UEMOA Dr Amadou Moctar MBAYE & Gérard FOULON Direction santé - Département du Développement Social 2ème Colloque
Plus en détailLe point sur l épidémie de sida
07 Le point sur l épidémie de sida ONUSIDA/07.27F / JC1322F (version française, décembre 2007) Version originale anglaise, UNAIDS/07.27E / JC1322E, décembre 2007 : AIDS epidemic update: December 2007 Traduction
Plus en détailAccès équitable aux médicaments essentiels : cadre d action collective
Perspectives Politiques de l OMS sur les médicaments 8 Accès équitable aux médicaments essentiels : cadre d action collective Mars 2004 Organisation mondiale de la Santé Genève L orsqu ils sont disponibles,
Plus en détailLes Maladies Tropicales, la Société de Pathologie Exotique. et l Institut Pasteur
Les Maladies Tropicales, la Société de Pathologie Exotique et l Institut Pasteur Un partenariat qui a bien plus de 100 ans Beaucoup des grands noms de la recherche française sur les maladies tropicales
Plus en détailglossaire Appellation commerciale Voir nom de marque.
glossaire Accessibilité financière Le coût d un traitement par rapport au revenu de la population. dans cette enquête, le salaire journalier minimum d un employé non-qualifié du secteur public est comparé
Plus en détailANNEXE I A LA CS12INI202 PLAN D ACTION
ANNEXE I A LA CS12INI202 PLAN D ACTION RESEAU DE FORMATION A LA PRISE EN CHARGE GLOBALE DE L INFECTION VIH PEDIATRIQUE EN AFRIQUE FRANCOPHONE Référence : 12INI202 Porteur de projet : GIP ESTHER Membre(s)
Plus en détailDES ADOLESCENTS ET DES JEUNES EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE
RAPPORT SUR LE STATUT DES ADOLESCENTS ET DES JEUNES EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE Possibilités et Enjeux RAPPORT SUR LE STATUT DES ADOLESCENTS ET DES JEUNES EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE Possibilités et Enjeux
Plus en détailInvestir dans la santé pour l Afrique L argumentation en faveur du renforcement des systèmes pour de meilleurs résultats sanitaires
Investir dans la santé pour l Afrique L argumentation en faveur du renforcement des systèmes pour de meilleurs résultats sanitaires Harmonisation pour la santé en Afrique Table des matières Résumé analytique...iii
Plus en détailLes progrès vers l éducation pour tous stagnent, mais certains pays montrent la voie à suivre
Les progrès vers l éducation pour tous stagnent, mais certains pays montrent la voie à suivre Document d orientation 14 / Fiche d information 28 Juin 214 Publié conjointement par le Rapport mondial de
Plus en détailLE SYSTÈME DE PROTECTION SOCIALE EN SANTÉ DU SÉNÉGAL
République du Sénégal Un Peuple Un But Une Foi Ministère de la Santé et de l Action Sociale Cellule d Appui à la Couverture maladie Universelle LE SYSTÈME DE PROTECTION SOCIALE EN SANTÉ DU SÉNÉGAL Par:
Plus en détailPRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON
Pe s t i c i d e A c t i o n N e t w o r k U K PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON Résumé exécutif et Recommendations 5 St Peter s St London N1 8JD Royaume Uni t: +44 (0)20 7359 0440 f: +44 (0)20
Plus en détailLE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE EN AFRIQUE: BILAN, PERSPECTIVES ET CHOIX DES POLITIQUES ÉCONOMIQUES
UNCTAD/GDS/AFRICA/1 TD/B/48/12 CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR LE COMMERCE ET LE DÉVELOPPEMENT LE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE EN AFRIQUE: BILAN, PERSPECTIVES ET CHOIX DES POLITIQUES ÉCONOMIQUES NATIONS UNIES
Plus en détailDéveloppement du capital humain en AFRIQUE LA BANQUE MONDIALE
Développement du capital humain en AFRIQUE LA BANQUE MONDIALE PRIORITÉS URGENTES EN MATIÈRE DE DÉVELOPPEMENT HUMAIN EN AFRIQUE Faciliter l acquisition par les jeunes Africains, dont le nombre progresse
Plus en détailMAQUETTE GENERALE MASTER DIDL.
MAQUETTE GENERALE MASTER DIDL. PROGRAMME DE FORMATION AU MASTER EN «DECENTRALISATION ET INGENIERIE DU DEVELOPPEMENT LOCAL» DE BAMAKO 2009-2010 Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique
Plus en détailCampagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie
Campagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie Contexte de la fistule obstétricale Situation en Mauritanie Progrès au niveau Pays/ Mise en œuvre Défis pour les années à
Plus en détailLe HCR est pleinement conscient. Le budget du HCR pour l exercice 2013. Le processus de planification
Identification des be Le HCR est pleinement conscient de la nécessité de travailler en étroit partenariat avec ses principaux bailleurs de fonds pour rassembler les ressources dont il doit disposer pour
Plus en détailBOURSES SCOLAIRES. au bénéfice des enfants français résidant avec leur famille à l étranger AGENCE POUR L ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L ÉTRANGER
BOURSES SCOLAIRES au bénéfice des enfants français résidant avec leur famille à l étranger AGENCE POUR L ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L ÉTRANGER ÉTABLISSEMENT PUBLIC NATIONAL À CARACTÈRE ADMINISTRATIF SOUS
Plus en détailHealthcare * sdv.com. Logistique. Imagination. *Santé
Healthcare * sdv.com Logistique. Imagination. *Santé SDV, un service de proximité et une performance assurée La puissance de notre réseau : Notre présence dans 102 pays garantit un service de proximité
Plus en détailP opulation. ATLAS DES POPULATIONS IMMIGRÉES en Ile-de-France / Regards sur l immigration / Population 2. Photo : Philippe Desmazes/AFP
P opulation Photo : Philippe Desmazes/AFP Près de 40 % des immigrés résidant en métropole vivent en Ile-de-France en 1999. Environ 15 % de la population francilienne est immigrée, c est une proportion
Plus en détailVue d ensemble de la prise en charge à base communautaire de la malnutrition aiguë (PCMA)
Vue d ensemble de la prise en charge à base communautaire de la malnutrition aiguë (PCMA) 1 Module 1. Objectifs d apprentissage Discuter de la malnutrition aiguë et des mesures à prendre en réponse Identifier
Plus en détailSOINS DE SANTE EN AFRIQUE SUB-SAHARIENNE & MUTUALISATION
Conférence de presse du 06/10/2010 14 heures, salle Politkovskaya (PHS 0A50) Parlement européen Bruxelles Contact : 0475.690.461 http://www.vdekeyser.be/ SOINS DE SANTE EN AFRIQUE SUB-SAHARIENNE & MUTUALISATION
Plus en détailSITUATION EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE
SITUATION EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE (Semaine n 38 du 17 au 23/09/2012) BURKINA FASO MINISTERE DE LA SANTE SECRETARIAT GENERAL DIRECTION GENERALE DE LA PROTECTION SANITAIRE DIRECTION DE LA LUTTE CONTRE
Plus en détailCOMMUNIQUE DE PRESSE. Remise de 6 ambulances et de matériel pour la lutte contre l épidémie Ebola
AMBASSADE DU JAPON Conakry, le 9 mars 2015 COMMUNIQUE DE PRESSE Remise de 6 ambulances et de matériel pour la lutte contre l épidémie Ebola Le 9 mars 2015, Son Excellence Monsieur Naotsugu Nakano, Ambassadeur
Plus en détailLe Guide. des stratégies pour la lutte : Malaria Safe
«Nous encourageons les leaders du secteur privé dans toutes les régions endémiques à lire le Guide des stratégies et à appliquer ses stratégies gagnantes.» Professeur Awa Marie Coll-Seck Director exécutif
Plus en détailPlan de l exposé L assurance maladie obligatoire pour tous: Cas particulier de la république du Rwanda
Plan de l exposé L assurance maladie obligatoire pour tous: Cas particulier de la république du Rwanda!"#$%&'()*"#+," &-).!!/&01&23425,)&6778 Données générales du pays Contexte historique des mutuelles
Plus en détailRestitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME
Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Modérateur : Dr Didier Koumavi Ekouevi INSERM U-897, Université Bordeaux Segalen, PACCI, Abidjan et Université de Lomé
Plus en détailPour une coopération parlementaire régionale accrue avec les organes de traités relatifs aux droits de l homme
Pour une coopération parlementaire régionale accrue avec les organes de traités relatifs aux droits de l homme Séminaire régional à l intention des parlementaires et fonctionnaires de parlements des pays
Plus en détailM A N U E L D E F O R M A T I O N
MANUEL DE FORMATION TABLE DES MATIÈRES Introduction 5 Généralités 6. Qu est-ce que la CPS? 6. Distribution géographique du paludisme saisonnier 7. Quand faut-il utiliser la CPS? 7. Une intervention recommandée
Plus en détailComment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents
Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents Rencontre francophone internationale sur les inégalités sociales de santé
Plus en détailLe nouveau modèle de financement du Fonds mondial
Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme Quatrième reconstitution des ressources (2014-2016) Le nouveau modèle de financement du Fonds mondial Avril 2013 Introduction 1. Fin
Plus en détailLa protection sociale en France
18 La protection sociale en France FONCTIONNEMENT La protection sociale peut fonctionner selon trois logiques. LA LOGIQUE D ASSURANCE SOCIALE La logique d assurance sociale a pour objectif de prémunir
Plus en détailOffre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD
Offre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD Plan 1. Offre et demande potentielle dans la zone ECOWAS 2. Offre potentielle au Mali 3. Marché au nord du Mali (Gao Algérie) 4. Estimation
Plus en détailProgramme OMS d élimination de la maladie du sommeil. Construire une Alliance mondiale. Organisation mondiale de la Santé
WHO/CDS/CSR/EPH/2002.13 Distribution : Générale Original : Anglais Programme OMS d élimination de la maladie du sommeil Construire une Alliance mondiale Organisation mondiale de la Santé Organisation mondiale
Plus en détailBurkina Faso Profil pays EPT 2014
Burkina Faso Profil pays EPT 14 Contexte général Situé au cœur de l Afrique occidentale, dans la boucle du Niger, le Burkina Faso est l un pays des pays les plus peuplés de la sous-région Ouest-africaine
Plus en détailLe FMI et son rôle en Afrique
Le FMI et son rôle en Afrique M a r k P l a n t, V a l e r i a F i c h e r a, N o r b e r t F u n k e D a k a r, l e 3 n o v e m b r e 2 0 1 0 Sommaire Comment fonctionne le FMI? Comment l Afrique a-t-elle
Plus en détailINTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général --------
INTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général -------- Colloque UEMOA-CRDI, du 08-10 Décembre 2009, Ouagadougou Samuel T. KABORE; Dieudonné OUEDRAOGO,
Plus en détailLE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE EN
CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR LE COMMERCE ET LE DÉVELOPPEMENT EMBARGO Le présent document ne doit pas être cité ou résumé par la presse, la radio, la télévision ou des médias électroniques avant le
Plus en détailDUXTON ASSET MANAGEMENT
DUXTON ASSET MANAGEMENT Afrique : Un élément clef dans un (ou environnement) agricole global et diversifié Point de vue des investisseurs sur les potentialités de l agriculture africaine et problèmes à
Plus en détailAttijariwafa bank : un Groupe au service d une Afrique qui avance
Attijariwafa bank : un Groupe au service d une Afrique qui avance En bref : Président Directeur Général: Mohamed EL KETTANI Siège Social : 2. Bd Moulay Youssef - BP: 11141 20000 Casablanca - Maroc Capital:
Plus en détailInterventions sous directives communautaires
Interventions sous directives communautaires Boris Kevin TCHOUNGA MD, MBA, MPH PhD Student in Epidémiologie and Health Intervention Université Bordeaux Segalen INSERM U-897 Epidémiologie Bio statistique
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailCe chapitre offre un aperçu du processus de
Identification des be Introduction Ce chapitre offre un aperçu du processus de planification qui sert à déterminer les besoins des réfugiés, des apatrides et des autres personnes relevant de la compétence
Plus en détailLe point sur la couverture du risque maladie au Niger
REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE ET DE LA LUTTE CONTRE LES ENDEMIES Le point sur la couverture du risque maladie au Niger I PLACE ACTUELLE DE L ASSURANCE MALADIE 1. Recensement des dispositions
Plus en détailLes inégalités de conditions de vie dans le monde
Notes de l Observatoire N 2, février 2014 Les inégalités de conditions de vie dans le monde 89 % de la population mondiale a accès à l eau potable. L espérance de vie a progressé de 21 ans depuis les années
Plus en détailLE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE EN RAPPORT 2013 COMMERCE INTRA-AFRICAIN: LIBÉRER LE DYNAMISME DU SECTEUR PRIVÉ
C O N F É R E N C E D E S N AT I O N S U N I E S S U R L E C O M M E R C E E T L E D É V E L O P P E M E N T LE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE EN AFRIQUE RAPPORT 2013 COMMERCE INTRA-AFRICAIN: LIBÉRER LE DYNAMISME
Plus en détailBOAD en Bref. Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT
BOAD en Bref Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT LA BANQUE OUEST AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT EN BREF 1. CRÉATION ET OBJET La Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) est l institution
Plus en détailLA RéPOnSe COLLeCTive. Adhérez à Tulipe! La plaquette d information pour tout savoir sur notre politique de partenariat
LA RéPOnSe COLLeCTive des entreprises de SAnTé Aux POPuLATiOnS en SiTuATiOn de détresse Adhérez à Tulipe! La plaquette d information pour tout savoir sur notre politique de partenariat Qui sommes nous?
Plus en détail