Trésorier. Président. Ali HORCHANI. Fethi ATTYAOUI. Trésorier adjoint. Vice président. Maher BEN TIBA. Radhia SAÏDI. Secrétaire général.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Trésorier. Président. Ali HORCHANI. Fethi ATTYAOUI. Trésorier adjoint. Vice président. Maher BEN TIBA. Radhia SAÏDI. Secrétaire général."

Transcription

1 Abstracts

2 Président Ali HORCHANI Vice président Maher BEN TIBA Secrétaire général Nawfel BEN RAÏS Secrétaire général adjoint Trésorier Fethi ATTYAOUI Trésorier adjoint Radhia SAÏDI Membres Neil CHELBI Mehdi JAÏDANE Amine DEROUICHE

3 Résumés des posters

4 P01: ETUDE COMPARATIVE ENTRE LA NLPC EN DECUBITUS DORSAL ET LA NLPC EN DECUBITUS VENTRAL. Mouine Y., Salem B., Lachheb N., Teyeb M., Mhalla S., Amri N., Mechri M., El Kamel R.. Service d'urologie, Unité des Aghlabites, Hôpital Ibn ElJazzar, Kairouan, Tunisie. La NLPC occupe une place importante dans l arsenal thérapeutique de la lithiase urinaire. Initialement pratiquée en décubitus dorsal, néanmoins cette position a des conséquences d ordre anesthésiques ainsi qu une perte de temps et d énergie. Nous essayons à travers cette étude de dégager les avantages ainsi que les inconvénients de chaque position. Matériel et méthodes: Il s agit d une étude rétrospective comparative entre deux groupes de patients (de 25 patients chacun): NLPC en décubitus ventral pour le premier groupe et NLPC en décubitus dorsal pour le deuxième groupe. Résultat: Les taux de stone free sont comparables dans les deux groupes ainsi que le taux des complications, cependant on a constaté une diminution du temps opératoire de 20 mn en moyenne et que la procédure en DD est plus confortable aussi bien pour le patient que pour le chirurgien et l anesthésiste. Conclusion:La NLPC en décubitus dorsal présente des avantages évidents qui semblent compromettre l exclusivité de la NLPC en décubitus ventral. P02: TRAITEMENT DES LITHIASES URETERALES LOMBAIRES PAR URETEROSCOPIE ET LITHOCLAST: EST CE UNE BONNE OPTION THERAPEUTIQUE? Saadani H. Service d Urologie, Hôpital Régional de Djerba, Djerba, Tunisie. But: La lithotritie extracorporelle (LEC) constitue le traitement de choix des lithiases urétérales lombaires. Cependant à défaut de lithotripteur disponible l urétéroscopie demeure une bonne solution thérapeutique pour ces malades. On se propose de rapporter notre expérience dans le traitement des lithiases urétérales lombaires par urétéroscopie rigide et lithoclast. Matériels et méthodes: 19 patients porteurs d une lithiase lombaire haute ont été colligés dans notre service entre 2005 et patients étaient de sexe masculin et 8 de sexe féminin, l âge varie de 31 ans à 68 ans avec une moyenne de 45 ans. La taille de la lithiase varie de 0.4 à 2.2 cm avec une moyenne de 1.3 cm. Tous les patients ont été opérés par le même opérateur avec un urétéroscope rigide CH et lithotritie endocorporelle par Lithoclast. Le patient est considéré comme stone free en cas d absence totale du calcul sur l arbre urinaire sans préparation ou de fragments résiduels inférieures à 2 mm. Résultats: 10 (52%) patients étaient stone free après l intervention, 8 (42%) patients ont eus une migration lithiasique au niveau rénale et 1 patient avait un méat urétérale incathétérisable. Conclusion: L urétéroscopie rigide avec lithoclast demeure encore une solution thérapeutique à coté de la LEC et la chirurgie, cependant la migration lithiasique en cours de procédure demeure le frein essentiel à cette technique.

5 P03: RESULTATS DE L URETEROSCOPIE RIGIDE SUR LES LITHIASES PYELIQUES ET URETERALES PROXIMALES: A PROPOS DE 54 CAS. Zinelabidine H., Hidoussi A., Fradi L., Hmida W., Slama A., Jaidane M., Ben Sorba N., Mosbah F. Service d Urologie, Hôpital Sahloul, Sousse, Tunisie. Introduction Objectif: Dans la prise en charge de la lithiase urétérale, l urétéroscopie, en constante amélioration, est entrain de devenir le traitement de première intention du calcul urétéral. Nous rapportons les résultats de notre expérience de l urétéroscopie rigide pour la prise en charge des lithiases pyéliques et urétérales proximales. Matériels et Méthodes: Etude rétrospective incluant 54 patients hospitalisés au service urologie Sahloul Sousse entre 2002 et 2009 et ayant eu une urétéroscopie rigide pour une lithiase urétérale proximale ou pyélique. Une imagerie récente: AUSP et une échographie rénale était indiquée pour tous les patients. 22 patients ont eu une urographie intraveineuse. Avant urétéroscopie, la stérilité des urines a été vérifiée par un ECBU systématique. Une antibioprophylaxie par céphalosporine 2 3G était indiquée pour réduire le risque de bactériurie et de complication infectieuse. Tous les patients ont eu un AUSP de control à j1 post-opératoire. Résultats: Il y avait 34 hommes pour 20 femmes. L âge moyen était de 32 ans avec des extrêmes de ans. Le calcul était pyélique dans 14 cas (25%) et urétéral proximal dans les 40 restants (74%). La taille moyenne de la lithiase était de 10,8mm avec des extrêmes de 7 20 mm. 42 patients étaient «stone-free» après une première urétéroscopie soit 78% des cas. Une montée de sonde double J a été effectuée chez 10 patients. Un complément de lithotripsie extracorporelle (LEC) a été indiqué chez 6 patients. Aucune complication per-opératoire n a été observée chez nos patients. Conclusion: Les résultats de l urétéroscopie rigide pour le traitement des lithiases pyéliques et urétérales proximales sont satisfaisants. Elle ne doit pas être considérée avec la LEC comme deux méthodes concurrentes. Il s agit plutôt de deux alternatives efficaces, peu invasives, à la disposition de l urologue. P04: L URETEROSCOPIE POUR LES LITHIASES URETERALES > 2 CM: UN TRAITEMENT DE 1ERE LIGNE? Ben Mariem K., Hidoussi A., Ben Mihoub M., Hmida W., Slama A., Ben Sorba N., Jaidane M., Mosbah F. Service d Urologie, Hôpital Sahloul, Sousse, Tunisie. But: Evaluer les résultats de l urétéroscopie pour les lithiases urétérales > 2 cm. Matériels et méthodes: Etude rétrospective portant sur 74 cas ayant bénéficié d urétéroscopie rigide avec lithotripsie balistique de lithiases urétérales > 2 cm. L âge moyen de nos patients était de 38,4 ans (5-70 ans). Les lithiases étaient dans l uretère distal dans 86% des cas contre 14% dans l uretère proximal. La taille moyenne des lithiases était de 2,8 cm. L évaluation était basée sur l AUSP en post opératoire et à 1 mois. Le succès était défini par l absence de fragments lithiasiques un mois après l urétéroscopie Résultats: Le taux de succès était de 91,8% des patients après une seule urétéroscopie. Une montée de sonde JJ était nécessaire dans 23 cas (31%). 6 patients ont eu un traitement complémentaire: 4 patients une LEC et 2 patients une 2ème urétéroscopie pour fragmenter les lithiases résiduelles. Aucune complication per opératoire n a été notée. Les complications post opératoires étaient: 1 cas de sténose urétérale et 2 cas de pyélonéphrite.

6 Conclusion: L urétéroscopie pourrait constituer un traitement de 1ère ligne pour les lithiases urétérales > 2 cm. P05: UN DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL RARE DES TUMEURS SARCOMATEUSES DE LA VESSIE: LA PSEUDO TUMEUR INFLAMMATOIRE DE LA VESSIE, A PROPOS D UN NOUVEAU CAS. Makhtoumi K., Ghileni M., Elarbi N. Service de Chirurgie, Hôpital Régional de Zaghouan, Zaghouan, Tunisie. La pseudo tumeur inflammatoire de la vessie est une lésion bénigne dont le diagnostic différentiel est difficile avec les lésions sarcomateuses. C est une observation de pseudotumeur de vessie chez une femme de 53 ans qui s est présenté pour hématurie terminale. Une échographie a été faite et a montré une tumeur polypoide de la vessie. Une résection endoscopique a été pratiquée. L étude anatomopathologique a conclu à une pseudotumeur inflammatoire de la vessie. L évolution a été bonne après la résection. P06: LES TUMEURS SUPERFICIELLES DE LA VESSIE PT1 G3 ASPECTS DIAGNOSTIQUES THERAPEUTIQUES ET PRONOSTIQUE (A PROPOS DE 40 CAS). Ktari K., Ajroudi S., Megdich M., Maktoumi K., Saidi R., Hellara W., Touffahi M., Saad H. Service d'urologie, Hôpital Fattouma Bourguiba, Monastir, Tunisie. Introduction: Les tumeurs de la vessie Pt1G3 sont les plus agressives des tumeurs de vessie superficielles car elles comportent un risque élevé de récidive et de progression tumorale. Matériel et méthode: A travers une étude rétrospective de 40 cas de tumeurs vésicales superficielles Pt1G3, colligées dans le service d urologie à l hôpital Fattouma Bourguiba de Monastir entre janvier 2000 et avril But: Dégager les particularités diagnostiques, thérapeutiques et pronostiques des tumeurs de vessie Pt1G3. Résultats: La majorité de nos patients étaient des hommes (90%). L âge variant de 52 à 93 ans avec un pic à la septième décennie. Le principal facteur de risque était le tabac noté chez la majorité de nos patients.l hématurie était le principal signe révélateur. Les tumeurs de vessie Pt1G3 étaient papillaires dans 38 cas et solides dans 2 cas.elle étaient uni focales dans 24 cas et multifocales dans 14 cas. Le traitement a consisté dans tous les cas en une résection endoscopique associée à une BCG thérapie. Sous BCG thérapie nous avons retrouvé 42,5% de récidive et 37% de progression. Sur le plan anatomopathologique, il s agissait d une tumeur Pt1G3 dans tous les cas, cependant le muscle n a pas été vu dans 38 cas lors de la première résection endoscopique. Dans notre série nous avons retrouvé une sous stadification dans un cas. La cystectomie a été indiquée dans 14 cas.il s agissait d une cystectomie d emblée dans un cas, pour récidive dans 7 cas et pour progression dans 6 cas.la cystectomie peut être proposé d emblée pour une tumeur pt1g3 en cas de facteur de mauvais pronostic (présence de cis, tumeur multifocale et profonde, invasion prostatique). Conclusion: Les tumeurs de la vessie Pt1G3 posent un problème diagnostique pour l anatomopathologiste et un problème thérapeutique pour les urologues puisque leur évolution est imprévisible. Une deuxième RTUV est nécessaire un mois après la première RTUV pour une meilleure stadification.

7 P07: CARCINOME NEUROENDOCRINE PRIMITIF DE VESSIE: A PROPOS DE 4 CAS. Chatti W., Cherif M., Ayed H., Bouzouita A., Sfaxi M., Derouiche A., Ben Slama R., Chebil M. Service d'urologie, Hôpital Charles Nicolle, Tunis, Tunisie. But: Le carcinome neuroendocrine primitif à petites cellules de la vessie est une tumeur rare, agressive et de mauvais pronostic. Nous discuterons à travers une revue de littérature, les aspects anatomopathologiques, thérapeutiques et évolutif de cette tumeur. Matériel et méthodes: 4 patients (3 hommes et une femme) ont développés un carcinome neuroendocrine sur une période de 10 ans ( ). Résultats: le mode de révélation le plus fréquent a été l'hématurie macroscopique. Toutes les tumeurs sont infiltrantes au moment du diagnostic. Conclusion: cette tumeur est rare et de mauvais pronostic. le traitement doit associer la chimiothérapie à la chirurgie pour obtenir de meilleur résultat. P08: CARCINOME EPIDERMOIDE DE LA VESSIE: A PROPOS DE 31 CAS. Chatti W., Cherif M., Selmi S., Bouzouita A., Hafsia G, Sfaxi M., Derouiche A., Ben Slama R., Chebil M. Service d'urologie, Hôpital Charles Nicolle, Tunis, Tunisie. But: Décrire les caractéristiques étiopathogéniques, diagnostiques, thérapeutiques et évolutives du carcinome épidermoide de la vessie Matériel et Méthode: 31 cas de carcinome épidermoide ont été colligé durant la période de 10 ans ( ), 24 hommes et 7 femmes, avec une moyenne de 59 ans. Résultat: parmi les 31 patients, 5 patients ont des antécédents de bilharziose urogénitale, alors que l'intoxication tabagique est retrouvée chez 25 patients. La cystite hématurique est le mode de révélation le plus fréquent. Les patients consultent à un stade avancé avec un retentissement sur le haut appareil (24 cas) et une extension locorégionale (12 cas) et métastase (2 cas). 25 malades ont une cystectomie et 4 traitées exclusivement par radiothérapie externe. Conclusion: Le carcinome épidermoide de la vessie est une tumeur très agressive, ou le traitement par cystectomie permet d'améliorer son pronostic. P09: LE CARCINOME UROTHELIAL A TYPE DE NID (NVUC): A PROPOS D UN CAS ET REVUE DE LITTERATURE. Mallat F., Zakhama W., Binous M.Y., Fodha Mah., Ajroudi S., Bahussain T., Boudokhane M., Sfaxi M., Fodha M. Service de Chirurgie Générale, Hôpital Tahar Sfar, Mahdia, Tunisie. Le carcinome urothélial à type de nid (NVUC) est une variante de carcinome urothélial récemment identifiée, dont le diagnostic reste difficile du fait de sa ressemblance avec d'autres lésions vésicales bénignes, telle l'hyperplasie des îlots de Von Brünn. C est une forme peu fréquente mais agressive de tumeur de vessie, dont la prévalence est estimée à 0.3%. Nous rapportons l observation d une patiente âgée 70 ans, présentant sans antécédents pathologiques hospitalisée pour une hématurie macroscopique. La cystoscopie a retrouvé des

8 lésions polypoides intra-vésicales de la face latérale droite de la vessie. Le bilan d'extension objectivait une carcinose péritonéal. L'examen histologique du matériel de résection transuréthrale de vessie a identifié une tumeur urothéliale à type de "nid". Le traitement a consisté en une chimiothérapie systémique de rattrapage compte tenu de l'inextirpabilité de la lésion et d'une carcinose péritonéale. Le décès du patient est survenu 3 mois plus tard. A travers cette observation nous comparons les caractéristiques cliniques, histologiques et immun-histochimiques et pronostiques observées à celles décrites dans la revue de la littérature. P10: CYSTECTOMIE TOTALE POUR CANCER INFILTRANT DE LA VESSIE AVEC PRESERVATION DE L APPAREIL GENITAL FEMININ: A PROPOS DE 5 CAS ET REVUE DE LA LITTERATURE. Bouassida K., Hmida W., Mallat F., Hidoussi A., Ben Mariem K., Slama A., Ben Sorba N., Jaidane M., Mosbah F. Service d Urologie, Hôpital Sahloul, Sousse, Tunisie. Introduction: Evaluer les résultats carcinologiques et fonctionnels après une cystectomie total avec préservation des organes génitaux chez les patientes ayant un cancer infiltrant de la vessie. Matériels et méthode: Etude rétrospective portant sur 5 patientes. Toutes les patientes ont eu une cystectomie pour un carcinome urothélial infiltrant avec préservation de l appareil génital (vagin, utérus et annexes) et un remplacement orthotopique de la vessie selon la technique de Camey II. Toutes les patientes avaient une vie sexuelle active. En préopératoire. Les patientes étaient revues tous 3 mois pendant les 2 1ère années et tous les 6 mois après avec un examen clinique complet, une débimétire avec calcul du résidu post mictionnel et une cytologie urinaire à chaque consultation. Un scanner ainsi qu une urethroscopie étaient réalisé tous les 6 mois. Le recul moyen était de 54 mois. Résultats: L âge moyen était de 34 ans avec des extrêmes allant de 32 à 38 ans. Le stade anatomopathologique était pt2a N0M0 chez 4 patientes, pt2b N0M0 chez la 5ème. Aucune complication per ou postopératoire immédiate n a été notée. Aucune récidive clinique ni radiologique n a été détectée chez 4 patientes. On a déploré un seul décès chez une patiente qui a présenté une récidive locorégionale et à distance au bout de 18 mois. Quatre patientes ont repris une activité sexuelle, deux grossesses menées à terme ont été rapportées. Chez 4 patientes la capacité vésicale était bonne, avec bonne vidange vésicale sans fuites importantes diurnes ni nocturnes. Conclusion: La cystectomie totale pour cancer infiltrant de la vessie avec préservation génitale et entérocystoplastie de remplacement peut être justifiée notamment pour les patientes jeunes est désireuse de grossesse.

9 P11: URETEROPLASTIE DANS LE TRAITEMENT DES STENOSES URETERALES PEU ETENDUES: UNE NOUVELLE TECHNIQUE. Mallat F., Hidoussi A., Bouassida K., Hmida W., Fradi L., Slama A, Jaidane M., Ben Sorba N., Mosbah F. Service d Urologie, Hôpital Sahloul, Sousse, Tunisie. Introduction: Le traitement des sténoses urétérales est devenu majoritairement endoscopique mini invasif. Nous proposons une technique chirurgicale inspirée de la chirurgie des sténoses du pylore (pyloroplastie) couramment utilisée en chirurgie viscérale. Ce type de chirurgie n est pas encore décrit en urologie. Objectifs: Décrire la technique chirurgicale et évaluer son efficacité dans le traitement des sténoses urétérales d après notre expérience. Matériels et méthodes: Nous avons effectué une évaluation rétrospective de l'efficacité de cette méthode sur une série de six patients avec sténose urétérale iatrogène (post urétéroscopie), sur une période de 3 ans. La technique consiste: libération de l uretère, ouverture longitudinale au niveau de la zone sténosée en passant en tissu sain, refermeture transversale par des points séparés sous couvert d une sonde double J. Les critères de jugement (fréquence de la récidive sténotique, tolérance, complications), ont été évalués par examen clinique, urographie, échographie, uroscanner et culture urinaire à 1 mois puis tous les 6 mois. Résultats: L âge moyen est de 45 ans. Aucune difficulté technique n'a été constatée. On n a pas noté de complications majeures postopératoires sauf une fièvre jugulée par ATB. La sonde double j a été enlevée à j30.le recul moyen est de 23 mois. L imagerie n a pas montré de récidive Conclusions: Compte-tenu de ces résultats encourageants, cette technique semble être une alternative thérapeutique intéressante des sténoses urétérales peu étendues (inferieur ou égale à 2 cm). De nouvelles publications paraissent nécessaires afin de permettre de standardiser la technique et d'en valider sa faisabilité pour juger son efficacité à long terme. P12: LES TUMEURS VESICALES DE LA FEMME: A PROPOS DE 99 CAS. Chaabouni A., Chaieb N., Smaoui W., Ben Hmida I., Rebai N., Chabchoub K., Bahloul A., Hadj Slimen M., Mhiri MN. Service d Urologie, CHU Habib Bourguiba Sfax, Tunisie. But: Dégager les aspects épidémiologiques, anatomocliniques, thérapeutiques et évolutifs des tumeurs vésicales chez la femme. Matériels et méthodes: De 1982 à 2009 nous avons recensé 1150 cas de tumeurs primitives de vessie dont 99 femmes (8,6%). L âge moyen a été de 63,2 ans (16 à 90 ans). Le sex ratio était de 10,5H/F. Résultats: Le délai moyen de consultation a été de 7,8 mois. Une insuffisance rénale a été notée dans 5 cas. La tumeur était multifocale dans 48 cas, de taille supérieure à 4 cm dans 40 cas. Le type histologique était un carcinome à cellules transitionnelles (85 cas), un carcinome épidermoïde (13 cas) et un adénocarcinome (1 cas). La tumeur était superficielle chez 60 patientes, traitée par résection transurétrale seule dans 24 cas, BCG thérapie adjuvante dans 27 cas et par pelvectomie antérieure dans 9 cas. Le taux de récidive a été de 45,2%. La tumeur était infiltrante dans 39 cas. Une chirurgie d exérèse a été réalisée dans 24 cas (18 pelvectomies antérieures et 6 cystectomies partielles). 8 patientes ont eu une simple dérivation urinaire externe (urétérostomie cutanée) et 3 patientes ont eu une résection endoscopique complète uniquement. Enfin, 4 patientes ont été traitées par radiothérapie externe. Le suivi

10 moyen a été de 63 mois. Une récidive après cystectomie partielle a été notée dans deux cas et un cas de décès après radiothérapie est survenu après un an. Enfin, aucune récidive locorégionale n a été observée chez les patientes traitées par pelvectomie antérieure. Conclusion: Le profil épidémiologique des tumeurs vésicales chez la femme est en train de changer ces dernières décennies. La prise en charge thérapeutique des tumeurs vésicales infiltrantes ne cessent de s améliorer avec le remplacement vésical (entérocystoplastie) contribuant à assurer aussi une meilleur qualité de vie. P13: HERNIE DE LA NEOVESSIE DANS LE PERINEE APRES CYSTOPROSTATECTOMIE TOTALE AVEC REMPLACEMENT VESICAL: A PROPOS D'UN CAS. Mhalla S., Mouine Y., Teyeb M., Salem B., Mechri M., Amri N., El Kamel R. Service d'urologie, Unité des Aghlabites, Hôpital Ibn ElJazzar, Kairouan, Tunisie. La hernie de la néo-vessie de remplacement dans le périnée après cystoprostatectomie totale n'a encore pas été rapportée dans la littérature. Nous rapportons à travers cette observation le cas inhabituel d'un patient âgé de 64 ans, ayant subi à la fin de l'année 2008 une cystoprostatectomie totale pour tumeur vésicale infiltrante (GIII PT2) avec confection d'une néo-vessie de remplacement type Camey II. Puis, le patient a été éduqué quant aux modalités de la vidange de la néo-vessie. Les suites à court terme étaient simples. L'étude anatomopathologique de la pièce a révélé une infiltration tumorale de la prostate (T4,N0,M0). Le curage ganglionnaire était sans atteinte tumorale. Puis le patient a était perdu de vue pendant deux ans. Il a reconsulté au mois de Mars 2010 dans un tableau de distension urinaire avec insuffisance rénale. L'examen a trouvé une matité hypogastrique et une masse périnéale rénitente empiétant sur la fesse gauche, prise au départ pour un abcès périnéal. L'échographie ainsi que la TDM non injectée abdominopelviennes ont montré une méga néo-vessie faisant hernie dans le périnée en pararectal gauche, refoulant le rectum vers la droite, ainsi qu'une possible récidive tumorale dans la néo-vessie. L'exploration endoscopique de la néo-vessie (après réanimation du patient) était difficile du fait la taille de cette dernière et des nombreux replis pariétaux qu'elle renfermait. Des biopsies pariétales ont été réalisées et ont révélé une récidive locale au niveau de la néo-vessie iléale (carcinome de haut grade). P14: PRISE EN CHARGE DES TUMEURS VESICALES CHEZ LES SUJETS OCTOGENAIRES. Hadj Slimen M., Chaabouni A., Ben Hmida I., Fakhfakh S., Chabchoub K., Rebai N., Bahloul A., Mhiri MN. Service d'urologie, Hôpital Habib Bourguiba, Sfax, Tunisie. Introduction: L incidence de tumeurs vésicales à un âge avancé est en augmentation en raison de l amélioration de l espérance de vie. Notre but est d étudier les particularités cliniques, anatomopathologiques et thérapeutiques des tumeurs vésicales survenant chez des sujets d âge supérieur ou égal à 80 ans. Matériels et méthodes: De 1982 à 2009, nous avons colligés 80 cas de tumeurs vésicales survenant chez des patients âgés de 80 ans et plus parmi 1150 cas de tumeurs vésicales tous âges confondus pris en charge au cours de la même période (7%). L âge moyen a été de 83,9

11 ans (80 à 99 ans). Le sex ratio a été de 9,5. 50% présentaient un ou plusieurs facteurs de comorbidités. Résultats: Le délai moyen de consultation a été de 7,6 mois. Une insuffisance rénale a été notée dans 19 cas (24%). La tumeur était multifocale dans 55 cas, de taille supérieure à 3 cm dans 58 cas. Une résection transurétrale de la vessie a été réalisée dans 77 cas et une cystectomie partielle dans 3 cas. Le type histologique était un carcinome à cellules transitionnelles (75 cas), un carcinome épidermoïde (3 cas) et un carcinosarcome (2 cas). La tumeur était superficielle chez 44 patients, traitée dans tous les cas par une BCG thérapie adjuvante. Le taux de récidive a été de 50%. La tumeur était infiltrante d emblé dans 31 cas et par progression dans 10 cas. Une chirurgie d exérèse a été réalisée dans 11 cas (5 cystectomies radicales et 6 cystectomies partielles). 3 patients ont eu une simple dérivation urinaire externe (urétérostomie cutanée). Enfin, 20 patients ont été traités par radiothérapie externe. Conclusion: Les tumeurs vésicales du sujet âgé, surviennent généralement chez des patients tarés et sont diagnostiquées le plus souvent à un stade avancé. Grâce au progrès de l anesthésie et de la réanimation, la chirurgie radicale est rendue possible avec réduction de la morbidité post opératoire. P15: LES ABCES DU PSOAS A PYOGENES: A PROPOS DE 16 CAS. Makhtoumi K., Bahussain T., Ben Mbarek S., Morjane A. Service de Chirurgie Digestive, Hôpital Ibn El Jazzar, Kairouan, Tunisie. Nous avons analysé de façon rétrospective 16 observations de malades atteints d un abcès du psoas à pyogènes. L abcès était primitif dans 10 cas (62,5 %) et secondaire dans 6 cas (37,5 %). Une fièvre (n = 16), une douleur lombaire (n = 16) et un psoïtis (n = 10) étaient les principaux signes cliniques. Tous les malades ont été explorés par échographie et 5 par tomodensitométrie. La culture de pus de l abcès prélevé chez tous les malades a permis d isoler 9 Staphylocoque aureus, 3 Streptocoque, 3 Escherichia coli et 1 Proteus mirabilis. Dans tous les cas, une antibiothérapie a été prescrite. Tous les malades ont été opérés. L évolution immédiate a été favorable chez tous les malades. P16: ABCES DE LA VESICULE SEMINALE: A PROPOS DE DEUX CAS. Larbi H., Laz S.*, Bouzouita A., Selmi S., Cherif M., Rajhi H.**, Hafsia G, Karoui S.*, Sfaxi M., Derouiche A., Ben Slama R., Filali A*., Mnif N.**, Chebil M. Service d'urologie, Hôpital Charles Nicolle, Tunis, Tunisie. * Service de Gastro-entérologie. Hôpital La Rabta ** Service de Radiologie. Hôpital Charles Nicolle. Tunis. Introduction: L abcès des vésicules séminales est une pathologie rare, souvent diagnostiquée à l échographie transrectale ou au scanner. Notre objectif est d évaluer les moyens de prise en charge thérapeutique de ces abcès. Méthodologie: Nous rapportons deux cas d abcès de la vésicule séminale colligés au service d urologie de l hôpital Charles Nicolle de Tunis entre 2006 et Résultats: Les deux patients étaient âgés respectivement de et 60 ans. Les signes d appel étaient dominés par une douleur périnéale et des troubles urinaires irritatifs du bas appareil évoluant dans un contexte fébrile. L un des patients était exploré pour des troubles du transit pouvant dans ce contexte évoquer une maladie de Crohn fistulisante et était également suivi

12 pour une hépatite chronique virale B avec des signes d activité biochimique et virologique. Au toucher rectal la prostate était très sensible mais non rénitente. Un syndrome inflammatoire biologique était présent dans les deux cas avec des cultures urinaires positives. Le diagnostic était évoqué à l échographie et confirmé au scanner. Le drainage scannoguidé de l abcès a permis la régression complète dans les deux cas, ce qui a était confirmé au scanner de contrôle réalisé à deux semaines d intervalle. Avec un recul de 6 mois pour l un et de 2 ans pour l autre patient, aucune récidive n a été notée. Conclusion: L abcès de la vésicule séminale est une entité très rare, qui ne présente pas de signes spécifiques. L échographie transrectale et le scanner constituent les moyens diagnostiques et de surveillance, de choix. Le drainage percutané scannoguidé représente un moyen thérapeutique mini-invasif ayant prouvé son efficacité. P17: LE SYSTEME DE WEISS POUR LE DIAGNOSTIC DE MALIGNITE DES TUMEURS DE LA CORTICOSURRENALE. Abouda H., Bouzouita A., Ayed H., Cherif M., Kourda N.*, Sfaxi M., Derouiche A., Ben Slama R., Ben Jilani S.*, Chebil M. Service d'urologie. * Service d Anatomie Pathologique. Hôpital Charles Nicolle, Tunis, Tunisie. Introduction: Les carcinomes de la corticosurrénale sont des tumeurs rares. En l absence du «gold standard» que constitue la présence de métastase, d une invasion locorégionale ou d une récidive, le diagnostic de malignité peut représenter un véritable défi tant pour le clinicien que pour le pathologiste. Plusieurs systèmes multiparamétriques ont été développés pour appréhender cette malignité. Parmi ceux-ci, le système de Weiss. Le but de notre travail est d évaluer la corrélation de ce système avec l évolution. Méthodologie: étude rétrospective de 65 corticosurrénalomes. Les surrénalectomies ont été réalisées au service d urologie de l hôpital Charles Nicolle entre janvier 1991 et mai Les pièces ont été étudiées par les anatomopathologistes afin d établir le score de Weiss. Un suivi clinique et radiologique a été réalisé chez les patients à la recherche de récidive locale ou à distance. Résultats: 21 hommes et 44 femmes, âge moyen de 49 ans. 20 patients étaient hypertendus, 16 avaient un syndrome de Conn et 6 un syndrome de Cushing, 10 incidentallomes. L aspect macroscopique per opératoire était en faveur de la malignité dans 4 cas. Recul moyen de 20 mois. Le score de Weiss était établi dans 20 cas. Ce score était supérieur à 3 dans les 4 cas de corticosurrénalome malin, un score de 3 était retrouvé dans 2 cas. Les autres tumeurs avaient un score inférieur ou égal à 2 et l évolution était favorable pour ces patients. Conclusion: le système de Weiss, reposant sur 9 critères microscopiques, constitue un outil relativement fiable et reproductible pour le diagnostic de malignité, mais il persiste une incertitude diagnostique concernant les tumeurs de score 3, l emploi du MIB-1 peut dans ces cas apporter une aide au diagnostic de malignité.

13 P18: LE SYNOVIALO-SARCOME RENAL PRIMITIF: A PROPOS D UN CAS ET REVUE DE LA LITTERATURE. Mallat F., Binous M.Y., Ajroudi S., Zakhama W., Fodha Mah., Boudokhane M., Sfaxi M., Fodha M. Service de Chirurgie Générale, Hôpital Tahar Sfar, Mahdia, Tunisie. Introduction et objectif: Les sarcomes synoviaux (SS) représentent 5 à 10% des sarcomes des tissus mous. Ils s observent le plus fréquemment chez des jeunes adultes au niveau des extrémités, à proximité des articulations et des tendons. Sa localisation rénale est inhabituelle. Le but de notre travail est d étudier les aspects cliniques, para-cliniques histologiques et immuno-histochimiques et pronostiques des sarcomes synoviaux à travers une observation et une revue de littérature. Observation: Un patient âgé de 62 ans a été hospitalisé pour des douleurs lombaires et une pesanteur de l hémi-abdomen droit. L examen physique a objectivé une masse ferme occupant tout l hémi abdomen doit donnant le contact lombaire avec une taille estimée à 18 cm. L'aspect radiologique est celui d'une masse tissulaire non kystique avec plusieurs zones de nécrose.. le patient a bénéficié d'une néphrectomie élargie par voie sous costale transpéritonéale. La pièce a été analysée après fixation. L'examen histologique a conclu à un sarcome synovial. Une radiothérapie et une chimiothérapie est envisageable. Conclusion: Les SS primitifs du rein surviennent chez des patients jeunes. La translocation (X;18) est pathognomonique du diagnostic. Le pronostic est sombre malgré une exérèse complète, une radiothérapie et une chimiothérapie. P19: GANGRENE PERINEOSCROTALE: NOTRE EXPERIENCE A PROPOS DE 27 CAS. Boulma R., Cherif M.K., Kallel Y., Ben Rhouma S., Sallami S., Nouira Y. Service d Urologie, Hôpital La Rabta, Tunis, Tunisie. Objectifs: La gangrène périnéo-scrotale est une fasciite nécrosante intéressant les parties molles de l aire génitale qui impose une prise en charge thérapeutique rapide, complète et multidisciplinaire en raison de sa gravité. On décrit notre expérience pour identifier les facteurs de risques de cette pathologie et évaluer les facteurs prédictifs de sévérité. Méthodes: Etude rétrospective de 27 cas de gangrène périnéo-scrotale colligés dans le service d urologie du CHU La Rabta de Tunis, entre 2000 et Résultats: L âge moyen de notre population était de 55 ans. Tous les patients étaient des hommes. Le délai moyen à la consultation était de 8 jours. La symptomatologie a été dominée par les signes oedémato-érythémateux, la fièvre et la douleur. La nécrose cutanée siégeait dans la plupart des cas initialement dans le périnée et le scrotum. 45% des patients étaient diabétiques. Le traitement a consisté en l excision chirurgicale large de tous les tissus nécrosés, associé à une rééquilibration hydroélectrolytique et antibiothérapie parentérale à large spectre avec drainage des urines. La durée moyenne d hospitalisation était de 22 j. 11 patients (45%) ont un rétrécissement urétral. 41% des patients ont eu un recouvrement scrotal. 2 patients sont décédés suite à un choc toxi-infectieux. Conclusion: La gangrène de Fournier est une urgence urologique, potentiellement létale, qui nécessite une excision chirurgicale large de tous les tissus nécrosés associée à une antibiothérapie.

14 P20: PROFIL EVOLUTIF DE L HYPERTENSION ARTERIELLE D ORIGINE SURRENALIENNE A PROPOS DE 22 CAS OPERES. Laajili A., Cherif M.K., Gargouri M.M., Sallami S., Nouira Y. Service d Urologie, Hôpital La Rabta, Tunis, Tunisie. Objectif: Nous présentons, dans ce travail, une analyse des données cliniques, biologiques, thérapeutiques et évolutives des patients opérés pour des tumeurs surrénaliennes responsables d une hypertension artérielle. Matériels et méthodes: Entre 1990 et 2008, nous avons colligé 22 malades opérés pour tumeurs surrénaliennnes responsables d une hypertension artérielle secondaire. Nous avons étudié la symptomatologie clinique révélatrice, les dosages biologiques pratiqués, les données radiologiques, les résultats histologiques et l évolution post-opératoire. Résultats: Il s agit de 7 hommes et de 15 femmes, d âge moyen de 45 ans (33-66). Dans 12 cas la tumeur était sécrétante. La taille tumorale variait de 10 à 90 mm, avec une moyenne de 50 mm. La voie d abord laparoscopique a été utilisée chez 11 malades. L histologie a montré un phéochromocytome chez 14 malades. Les 8 autres tumeurs étaient des adénomes de Conn. La tension artérielle s est normalisée en post-opératoire chez 9 malades dont 7 phéochromocytomes. Conclusion: La glande surrénalienne est une cause rare d hypertension artérielle. Le phéochromocytome est la pathologie la plus fréquente. Le traitement chirurgical ne permet pas de corriger les chiffres tensionnels dans tous les cas. P21. HEMATOME SOUS-CAPSULAIRE SPONTANE DU REIN: ASPECTS CLINIQUES, RADIOLOGIQUES ET THERAPEUTIQUES. Zinelabidine H., Hmida W., Ben Mihoub M., Hidoussi A., Slama A., Ben Sorba N., Jaidane M., Mosbah F. Service d Urologie, CHU Sahloul, Sousse, Tunisie. Introduction: L hématome sous capsulaire spontané du rein (HSCS) une entité anatomoclinique rare, parfois grave pouvant mettre en jeu le pronostic vital du patient. Son diagnostic positif a largement bénéficié de l apport de l imagerie moderne. Les étiologies sont dominées par les tumeurs du rein. L attitude thérapeutique reste controversée entre le traitement conservateur et la néphrectomie de principe. Objectif: étudier ses aspects clinique, radiologique, étiologique et thérapeutique. Matériels et Méthodes: Etude rétrospective colligeant 14 patients admis dans le service d urologie Sahloul pour HSCS du rein durant une période de 10 ans ( ). Un bilan rénal, une numération de la formule sanguine, un bilan d hémostase ainsi qu une échographie rénale ont été pratiqués chez tous les patients. 12 patients ont eu un uroscanner. Le recul moyen était de 24 mois avec des extrêmes de 5 75 mois. Résultats: L âge moyen était de 58 ans avec des extrêmes allant de ans. Il y avait 10 hommes pour 4 femmes. 4 patients étaient sous anticoagulant. La principale plainte fonctionnelle était des lombalgies d installation brutale dans 12 cas (85 %). L étiologie tumorale était la plus fréquente notée dans 6 cas soit 43%, un surdosage aux anti- vitamines K était responsable dans 4 cas (28%). Nous avons opté pour une néphrectomie chez 6 patients. Un traitement conservateur a été indiqué pour les 8 restants, moyennant une surveillance armée clinique, biologique et radiologique. L évolution était favorable chez tous ces patients. Nous avons déploré un seul décès survenu dans les suites d une néphrectomie indiquée en urgence pour hémorragie cataclysmique chez un patient multi-taré.

15 Conclusion: L hématome sous capsulaire spontané du rein est une entité rare, parfois grave. La tomodensitométrie constitue un examen clé de diagnostic positif. L attitude thérapeutique reste controversée, elle est partagée entre un traitement conservateur moyennent une surveillance armée si l HSC reste sans cause évidente, ou la néphrectomie si une pathologie tumorale sous jacente est suspectée. P22: DISTENSION URINAIRE CHEZ L ENFANT: APPROCHE DIAGNOSTIQUE, ETIOLOGIQUE ET THERAPEUTIQUE: A PROPOS DE 22 CAS. Bouassida K., Hmida W., Slama A., Mallat F., Fradi L., Hidoussi A., Ben Mariem K., Ben Hadj Salah N., Jaidane M., Ben Sorba N., Mosbah F. Service d Urologie, Hôpital Sahloul, Sousse, Tunisie. Introduction: La distension urinaire est définie par une dilatation de la vessie et du haut appareil urinaire suite à un obstacle infra vésical qui peut être organique ou fonctionnel. C est une urgence urologique qui nécessite un drainage des urines à fin de préserver les reins et une prise en charge étiologique dans un deuxième temps. Le but de notre travail est d essayer de mettre en évidence une stratégie diagnostique, étiologique et thérapeutique. Matériels et Méthode: Un examen clinique minutieux notamment neurologique est pratiqué systématiquement chez tous les patients des explorations morphologiques (échographie et UCR) ainsi qu une étude urodynamique sont demandé en l absence d orientation étiologique. La prise en charge ultérieure dépend l étiologie de la distension. Résultat: Les symptômes le plus fréquemment rencontrés sont les infections urinaires à répétition dans 14 cas soit (63 %), les fuites urinaires par regorgement 5 cas (22 %) et parfois les lombalgies 3cas (13 %). Les étiologies de la distension urinaire chez l enfant sont différentes de ceux rencontrées chez l adulte et nécessite une prise en charge plus délicate. Ils sont dominés par les valves de l urètre postérieurs chez 6 patients (18 %) qui ont nécessité un traitement chirurgical, les vessies neurologiques chez 14 patients (63 %) dont 4 sont congénitales 7 sont idiopathiques, un post traumatique et un cas suite à une tumeur comprimant le rachis, Les distendions urinaires secondaires à une tumeur pelvienne présente 2 % des cas. Conclusion: La prise en charge nécessite le plus souvent l association entre pédiatre et urologue dont le principal objectif est la préservation le haut appareil urinaire en premiers lieu et d assurer une meilleur qualité de vie concernant les patients ayant des troubles mictionnels invalidants. P23: PROFIL BACTERIOLOGIQUE DES PATIENTS PORTEURS DE NEOVESSIE APRES CYSTECTOMIE RADICALE. Chaabene C., Rekik S., Chabchoub K., Fakhfakh S., Rebai N., Hadj Slimen M., Bahloul A., Mhiri MN. Service d'urologie, Hôpital Habib Bourguiba, Sfax, Tunisie. Objectifs: Etudier l incidence des infections urinaires chez les patients porteurs de néovessie après cystectomie radicale et déterminer les principaux facteurs favorisants et en discuter la prise en charge thérapeutique.

16 Matériels et méthodes: Etude rétrospective, entre janvier 1992 et juin 2008, d une série de 53 hommes qui ont bénéficié d une enterocystoplastie de remplacement après cystoprostatectomie radicale. Un examen cytobactériologique des urines systématique (ECBU) a été réalisé à chaque consultation. Résultats: Le recul moyen a été de 35 mois (6 à 120 mois). La vidange vésicale se fait par miction spontanée aidée par la manœuvre de Crédé. Vingt patients (38%) ont présenté une infection urinaire dans les deux premières années post opératoires: pyélonéphrite aigue (PNA) (7 cas) et une bactériurie asymptomatique (13 cas). Les germes isolés sont: Klebsiella pneumoniae (9 cas), Escherichia coli (7 cas), Entérobacter (2 cas), Citrobacter (1 cas) et Morganella Moragni (1 cas). Les facteurs infectieux favorisants qui ont été notés: lithiase du réservoir vésical (2 cas), rétention de mucus (5 cas), reflux urétéro-néovéscial massif (1 cas). Pour les patients qui ont eu une PNA, l évolution était favorable dans 6 cas sous antibiothérapie adaptée. Le patient restant, diabétique, est décédé à cause d un choc septique grave. Pour les patients porteurs asymptomatiques de germe, une antibiothérapie a été entreprise dans 10 cas. Une récidive de l infection urinaire asymptomatique a été notée dans 5 cas. Une auto rééducation de la vidange vésicale a été systématique avec hyperhydratation. L antibiothérapie a été utilisée dans 3 cas. Conclusion: L infection urinaire chez les patients ayant bénéficié d une enterocystoplastie de remplacement est une situation devenue fréquente surtout dans les premières années. Elle se présente habituellement sous sa forme asymptomatique. Son traitement est surtout préventif par une bonne hydratation et une bonne vidange vésicale que le patient doit apprendre. L antibiothérapie ne se conçoit qu en cas d infection symptomatique notamment en cas de PNA, ou lorsqu il s agit d un germe uréasique. Le recours systématiques à une antibiothérapie doit être évité car il augmente la sélection de souches multi résistantes. P24:PARTICULARITES CLINIQUES, RADIOLOGIQUES ET THERAPEUTIQUES DE LA TUBERCULOSE URO-GENITALE: A PROPOS DE 110 CAS. Larbi H., Selmi S., Bouzouita A., Cherif M., Hafsia G, Sfaxi M., Derouiche A., Ben Slama R., Chebil M. Service d'urologie, Hôpital Charles Nicolle, Tunis, Tunisie. Objectif: préciser les aspects cliniques, urographiques de la tuberculose urogénitale et la prise en charge thérapeutique. Matériel et méthodes: de 1989 à 2009, 110 patients atteints de tuberculose urogénitale ont été traités. Il s agissait de 68 hommes et de 42 femmes âgés de 15 à 74 ans (âge moyen: 46 ans). Résultats: la symptomatologie clinique était dominée par les signes irritatifs vésicaux (58%) et les lombalgies (46%). L hématurie était notée dans 33% des cas. La fièvre, l anorexie et l amaigrissement étaient présents dans 35% des cas. 52% des patients avaient une atteinte génitale. Une insuffisance rénale a été constatée dans 6% des cas dont la moitié due à une atteinte bilatérale. La bacillurie était présente dans 18% des cas. Sur l UIV un rein muet a été retrouvé dans 39% des cas. Une sténose urétérale était notée dans 26% des cas. Une petite vessie a été retrouvée dans 31% des cas. Ces lésions sont souvent associées. Des lésions évocatrices (granulomes inflammatoires) ont été retrouvées à la cystoscopie dans 6% des cas. Le traitement a consisté en une chimiothérapie anti-bacillaire chez 93% des patients en quadrithérapie pendant deux mois et en bithérapie pendant six mois en association avec la chirurgie dans 92% (réparatrice dans 18% des cas, et d exérèse dans 74% des cas). Un drainage percutané a été réalisé dans 8% des cas. 4% des patients ont nécessité le recours à l hémodialyse. Sous traitement médical, l évolution s est faite vers la guérison qui a été jugée

17 sur les critères cliniques, biologiques et radiologiques, dans tous les cas moyennant le recours à la chirurgie (agrandissement vésical dans 22 cas, néphrectomie dans 73 cas). Conclusion: le diagnostic de tuberculose urogénitale est souvent évoqué devant un faisceau d arguments cliniques et urographiques. Le bacille de Koch est rarement retrouvé. Il s agit d une pathologie grave pouvant mettre en jeu le pronostic rénal. P25: PHEOCHROMOCYTOME SURRENALIEN ET GROSSESSE: A PROPOS D UN CAS. Kerkeni W., El Fekih N., Machat N., Sassi S., Majdoub A., Ben Ali M., Mighri M., Touinsi H., Sassi S. Service de Chirurgie Générale, Hôpital Tahar Maamouri, Nabeul, Tunisie. Introduction: La découverte d un phéochromocytome surrénalien pendant la grossesse est une situation rare comportant des risques vitaux maternels et fœtaux et posant des difficultés aussi bien diagnostiques que thérapeutiques. Nous rapportons le cas d un phéochromocytome surrénalien découvert chez une femme enceinte au deuxième trimestre. Observation: Femme enceinte âgée de 33 ans, 2ème geste primipare, 1 enfant vivant, ayant dans ses antécédents une toxémie gravidique lors de sa première grossesse ; elle a présenté à 11 semaines d aménorrhée de sa grossesse actuelle une hypertension artérielle sévère mal contrôlée par trois antihypertenseurs associée à la triade céphalées sueurs palpitations évoquant le diagnostic de phéochromocytome. Les métanéphrines urinaires demandées étaient élevées et l échographie abdominale a conclu à une masse surrénalienne gauche de 5 3,5 cm. Le diagnostic de phéochromocytome surrénalien a été fortement suspecté et la patiente a été opérée à un terme de 16 semaines d aménorrhée + 2 jours. Elle a eu une surrénalectomie gauche par voie sous costale. L examen anatomopathologique a confirmé le diagnostic de phéochromocytome surrénalien. Les suites ont été simples. Les chiffres tensionnels et glycémiques se sont normalisés en dehors de tout traitement médical avec une bonne viabilité fœtale. Conclusion: L association grossesse et phéochromocytome surrénalien est rare. Le diagnostic reste difficile. Le diagnostic différentiel est la pré éclampsie. L échographie abdominale est indispensable devant des signes évocateurs. La prise en charge thérapeutique est pluri disciplinaire et le traitement avant 24 semaines d aménorrhée est toujours chirurgical. P26: LA PRESERVATION DES NERFS PELVIENS AMELIORE LES SUITES GENITO-URINAIRES APRES CHIRURGIE RECTALE POUR CANCER. Hentati H., Bouzouita A., Daghfous A., Bouchiba N., Mighri M.M. Laboratoire d Anatomie, Faculté de Médecine de Tunis, Tunis, Tunisie. Introduction: La connaissance de l anatomie du mésorectum et de ses rapports est fondamentale pour la mobilisation du rectum en vue de son exérèse. Heald a décrit en 1982 une technique basée sur une excision extra fasciale totale du mésorectum. La préservation des nerfs pelviens au cours de cette intervention a été à l origine de l amélioration des complications uro-génitales observées après une chirurgie pour cancer du rectum. Le but de notre travail était de montrer l intégrité des nerfs pelviens après une résection rectale pour cancer selon la technique de l excision totale du mésorectum.

18 Matériel et Méthodes: Nous avons mené 30 dissections de cadavres frais permettant l exérèse totale du mésorectum jusqu au plancher pelvien. Nous avons ensuite étudié les nerfs pelviens. Résultats: Le plexus hypogastrique supérieur était situé dans la fourchette de bifurcation aortique, en regard de la première vertèbre sacrée. Deux nerfs hypogastriques étaient retrouvés dans tous les cas. Ils constituaient la terminaison du plexus hypogastrique supérieur. Ils étaient recouverts par le fascia pariétal pelvien. Ils rejoignaient les branches antérieures des racines sacrées pour former le plexus hypogastrique inférieur. Ce dernier était grossièrement quadrilatère, mesurant 37*27 mm. Il constituait l élément le plus à risque de lésion lors de la dissection des faces latérales du rectum. Tous ces nerfs étaient intacts après la résection totale du rectum et du mésorectum. Conclusion: La connaissance parfaite des rapports nerveux du rectum est une étape fondamentale à la base de la technique d exérèse totale du mésorectum. Cette technique chirurgicale permet la diminution des complications génito-urinaires post opératoires tout en garantissant une exérèse carcinologique de qualité. P27: LES RESULTATS DU TRAITEMENT CHIRURGICAL DU REFLUX VESICO RENAL CHEZ L ENFANT. Bouassida K., Hidoussi A., Mallat F., Hmida W., Ben Mariem K., Slama A., Jaidane M., Ben Sorba N., Mosbah F. Service d Urologie, Hôpital Sahloul, Sousse, Tunisie. Introduction: Le reflux vésico-urétéral (RVU) est la première néphropathie congénitale de l enfant qui peut être grave par son évolution vers l insuffisance rénale. Le but de notre étude est d évaluer les résultats à moyen et à long terme de la chirurgie dans le traitement du reflux. Matériels et méthodes: Etude rétrospective portant sur 79 patients sur une période de 15 ans entre janvier 1995 et décembre La présence d un reflux vésico-rénal était confirmée par une cystographie rétrograde conventionnelle ou isotopique pour des patients souvent jeunes consultant la plupart du temps pour des infections urinaires à répétitions. L indication opératoire était une pyélonéphrite aigue récidivante malgré un traitement antibiotique, le reflux persistant et le reflux intra rénal. Une correction chirurgicale de ce reflux était pratiquée chez tous ces patients par la méthode de Cohen. Une UIV était pratiquée après un mois de l intervention à la recherche d une sténose et une UCR après trois mois. Résultat: La moyenne d âge des patients était de 4 ans avec des extrêmes allant de 3 mois à 14 ans. Les patients ont consulté pour infections urinaires à répétition (plus que deux épisodes) dans 80 % des cas, douleurs lombaire dans 10% des cas, pour HTA dans 4% des cas, énurésie nocturne dans 2 % de cas. Le reflux était bilatéral dans 21cas (soit 26% des cas). Les complications post opératoires précoces sont rares. Les complications tardives sont les sténoses dans quatre cas, la persistance du reflux dans trois cas un seul cas de diverticule vésical a été remarqué. 20 patients ont évolué vers IRC par la néphropathie de reflux malgré la cure chirurgicale. Conclusion: Les résultats de la réimplantation urétéro-vésicale sont satisfaisants concernant la disparition du reflux néanmoins cela n empêche pas l évolution de certains patients vers l insuffisance rénale par la néphropathie de reflux.

19 P28: PRISE EN CHARGE DES CARCINOMES A PETITES CELLULES DE LA VESSIE. Ben Hmida I., Fakhfakh S., Rekik S., Smaoui W., Chabchoub K., Ellouze S., Hadj Slimen M., Bahloul A., Mhiri MN. Service d'urologie et Service d Anatomopathologie, Hôpital Habib Bourguiba, Sfax, Tunisie. Introduction: Les carcinomes à petites cellules de la vessie (CPC) sont des tumeurs rares d évolution très péjorative. Le diagnostic est souvent fait à un stade avancé. Le but de cette étude est d analyser les particularités diagnostiques, thérapeutiques et évolutives de cette affection. Matériel et Méthodes: Etude rétrospective étalée sur 11 ans ( ), Portant sur 7 patients de sexe masculin atteints d un CPC. Tous les patients sont de sexe masculin. L âge moyen a été de 66 ans (43-75). Le mode de révélation le plus fréquent a été l hématurie macroscopique (85.7%). Résultats: Tous les patients ont eu une cystoscopie avec une résection trans-urétrale ± complète de la tumeur vésicale. L étude anatomopathologique a conclu à un carcinome neuroendocrine dont 5 cas (71%) dans sa forme pure et 29 % associé à une composante urothéliale. Le traitement a consisté en une cysto-prostatectomie totale (1 cas) et une cystectomie partielle associée à une chimiothérapie adjuvante (1 cas). Par ailleurs, une chimiothérapie seule a été pratiquée chez 4 patients (dont deux métastatique). Enfin, le dernier patient n a reçu aucun traitement complémentaire (perdu de vue). L évolution a été marquée par une progression chez les 6 premier patients avec la survenu de métastases à distance après un délai moyen de 6 mois. Tous ces patients sont décédés suites à ces métastases. Enfin, seul le patient perdu de vue initialement a survécu pendant 5 ans Conclusion: Les cancers primitifs à petites cellules de la vessie sont rares, de mauvais pronostic et souvent diagnostiqués à un stade évolué. Leur diagnostic est basé sur l étude immuno-histochimique. Le traitement doit associer une chimiothérapie néo-adjuvante ou adjuvante à la chirurgie pour obtenir des meilleurs résultats. P29: CURE DE VARICOCELE PAR VOIE COELIOSCOPIQUE, DEBUT D EXPERIENCE A L HOPITAL REGIONAL DE ZAGHOUAN: A PROPOS DE 32 CAS. Makhtoumi K., El Atet R., Ghileni M., Elarbi N. Service de Chirurgie, Hôpital Régional de Zaghouan, Zaghouan, Tunisie. La coelioscopie est une technique de plus en plus utilisée en chirurgie et particulièrement en chirurgie urologique. Nous rapportons une étude rétrospective concernant la cure de varicocèle par laparoscopie à propos de 32 patients colligés à l hopital régional de Zaghouan sur une durée de 3 ans allant du Janvier 2007 à Décembre L'âge moyen de nos malades est de 27 ans (15-45). Il s agit de 23 varicocèles gauches et 9 varicocèles bilatérales. Les indications de la cure ont été la stérilité chez 25 patients et la gène fonctionnelle chez 8 patients. Le temps opératoire moyen était de 30 minutes (25-37 min) pour la varicocèle unilatérale et 45 min (40-52) pour la varicocèle bilatérale. Tous nos patients ont été opérés le jour de leur admission. Le taux de grossesse chez les partenaires des patients stériles est de 24%. Le taux de récidive dans notre série est de 3%. La coelioscopie est une nouvelle technique pour la cure de varicocèle, qui est peu invasive, fiable, simple, rapide et qui reste utilisable même après une récidive.

20 P30: TECHNIQUE DE TIP (TUBULARIZED INCISED PLATE URETROPLASTIE) DANS LE TRAITEMENT DE L HYPOSPADIAS ; EXPERIENCE PRELIMINAIRE. Saadani H. Service d Urologie, Hôpital Régional de Djerba, Djerba, Tunisie. But: Une multitude de techniques chirurgicales est proposé pour le traitement de l hypospadias, la plus récente étant la technique de Snodgrass ou encore appelée TIP qui est souvent proposé pour le traitement des différents types de l hypospadis et même pour les échecs des autres techniques. Nous présentons l expérience de notre service dans le traitement de l hypospadias par cette technique et nous essayons d évaluer les résultats à court et à moyen terme. Matériels et méthodes: 26 enfants présentant un hypospadias ont été traités par la technique de Snodgrass entre 2004 et L âge varie de 1 à 5 ans avec une moyenne de 2.4. L hypospadias était proximal dans 3 cas, moyen dans 6 cas et distal dans 18 cas. Tous les patients ont bénéficié d une circoncision séance tenante. Les enfants ont été contrôlés à 6 semaines puis chaque 6 mois. Le résultat est jugé à court et à moyen terme sur le plan, cosmétique, fonctionnel ainsi que la satisfaction des parents. Résultats: Tous les patients ont été vus à la consultation dans 6 semaines, cependant seulement 19 malades ont consulté à 6 mois, le recul varie de 3 mois à 4 ans avec une moyenne de 13 mois. Les complications précoces étaient marquées par la survenue d une fistule pénienne ayant nécessité une reprise à 6 mois, les complications à moyen terme étaient marquées par la persistance d une coudure résiduelle chez 2 enfants, un recul du méat chez un patient et un rétrécissement urétral chez un enfant. 24 parents (92.4%) se sont déclarés satisfaits par le résultat esthétique, les deux autres étaient mécontents d une cicatrice résiduelle. Conclusion: La technique de TIP semble être la meilleur approche actuelle pour l hypospadias, cependant le recul est encore insuffisant pour juger les résultats à long terme. P31:RESULTATS DE L EMBOLISATION ANTEROGRADE DE LA VARICOCELE SUR LA FERTILITE: A PROPOS DE 200 CAS. Hmida W., Bouassida K., Mallat F., Ben Mihoub M., Zinelabidine H., Slama A., Hidoussi A., Ben Sorba N., Jaidane M., Mosbah F. Service d Urologie, Hôpital Sahloul, Sousse, Tunisie. Objectif: Évaluer les résultats de l embolisation antérograde de la varicocèle sur les différents paramètres du spermogramme. Matériels et méthodes: Il s agit d une étude rétrospective sur une période de 10 ans ( ), portant sur 200 hommes hypofertiles ayant une varicocèle associée à des anomalies du spermogramme. Tous les patients ont eu une cure de varicocèle par sclérothérapie antérograde sous anesthésie locale. Un spermogramme était réalisé systématiquement à 6 mois et ses différents paramètres ont été comparés au spermogramme pré-opératoire. Les tests statistiques utilisés étaient les tests de Chi-deux et U de Mann-Withney. Résultats: L âge moyen était de 32 ans (18-50 ans). Une amélioration significative de la mobilité des spermatozoïdes a été notée chez 106 patients, soit 53 % des cas. La mobilité moyenne est passée de 24,6 millions\ml en préopératoire à 38 millions\ml de spermatozoïdes mobiles à la première heure (p=0,015). Une amélioration significative de la numération des spermatozoïdes a été notée chez 34 patients, soit 17 % des cas. La numération moyenne est passée de 25 millions\ml en préopératoire à 45,5 millions\ml en post-opératoire (p=0,007). Une réduction des formes de spermatozoïdes atypiques a été notée chez 15 patients soit 7,5%

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE 1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS

Plus en détail

INCONTINENCE URINAIRE

INCONTINENCE URINAIRE INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour

Plus en détail

INFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie

INFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée

Plus en détail

IRM du Cancer du Rectum

IRM du Cancer du Rectum IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris

Plus en détail

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique

Plus en détail

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan

Plus en détail

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases

Plus en détail

Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)

Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil

Plus en détail

Accidents des anticoagulants

Accidents des anticoagulants 30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER

Plus en détail

Apport de l IRM dans la

Apport de l IRM dans la Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction

Plus en détail

Cancers de l hypopharynx

Cancers de l hypopharynx Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome

Plus en détail

TRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE. Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne

TRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE. Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne TRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne DEFINITION! Incontinence urinaire (IU) : perte involontaire des urines par l urètre, survenant en dehors de la miction et pouvant

Plus en détail

Item 182 : Accidents des anticoagulants

Item 182 : Accidents des anticoagulants Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome

Plus en détail

Qu est-ce qu un sarcome?

Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs

Plus en détail

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Infections urinaires chez l enfant

Infections urinaires chez l enfant Infections urinaires chez l enfant Questions et réponses pour diminuer vos inquiétudes Chers parents, Cette brochure a pour but de faciliter votre compréhension et de diminuer vos inquiétudes en vous

Plus en détail

le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor

le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor Bilan urodynamique Continence et miction = résultat d'un rapport de forces vessie/urètre: 1. Pression vésicale de remplissage (compliance): doit rester

Plus en détail

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : 1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche

Plus en détail

De la chirurgie du nodule aux ganglions

De la chirurgie du nodule aux ganglions De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée

Plus en détail

Recommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO

Recommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge

Plus en détail

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son

Plus en détail

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?

Plus en détail

Prostate Une petite glande de grande importance

Prostate Une petite glande de grande importance Prostate Une petite glande de grande importance Informations sur les maladies les plus fréquentes, à l intention des patients et des personnes intéressées Société Suisse d Urologie (SSU) Votre partenaire

Plus en détail

HERNIE DISCALE LOMBAIRE

HERNIE DISCALE LOMBAIRE Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire

Plus en détail

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des

Plus en détail

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////

Plus en détail

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique

Plus en détail

HERNIE DISCALE LOMBAIRE

HERNIE DISCALE LOMBAIRE Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait

Plus en détail

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP

Plus en détail

Quels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?

Quels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein? Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.

Plus en détail

Essai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR

Essai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables

Plus en détail

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient! Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

UTILISATION DU FICHIER DES PAIEMENTS

UTILISATION DU FICHIER DES PAIEMENTS UTILISATION DU FICHIER DES PAIEMENTS À L ACTE DE LA RAMQ POUR IDENTIFIER LES CAS DE CANCER NON DÉCLARÉS AU FICHIER DES TUMEURS DU QUÉBEC ÉTUDE DE FAISABILITÉ VOLET : CANCER DE LA PROSTATE DIRECTION PLANIFICATION,

Plus en détail

Cancer du sein in situ

Cancer du sein in situ traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome

Plus en détail

LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE

LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Feuillet d'information complémentaire à l attention du patient LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée, il faudrait

Plus en détail

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme

Plus en détail

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt

Plus en détail

La déchirure. Les risques. Troubles périnéaux du post-partum. La déchirure

La déchirure. Les risques. Troubles périnéaux du post-partum. La déchirure Troubles périnéaux du post-partum La déchirure T. Linet La déchirure Les risques Entre 2 et 6 % de périnée complet mais TRES sous diagnostiqué car ± rupture du sphincter interne sur périnée semblant intact

Plus en détail

Les cancers de la prostate

Les cancers de la prostate Vous cherchez de l aide ou d autres informations? Vous avez besoin de parler? Vous cherchez des informations sur un type de cancer ou ses possibilités de traitement? Vous voulez savoir comment faire appel

Plus en détail

Incontinence urinaire : trop souvent taboue

Incontinence urinaire : trop souvent taboue Incontinence urinaire : trop souvent taboue Tous concernés! De quoi s agit-il? C est une perte accidentelle ou involontaire des urines, qu il s agisse de quelques gouttes à une fuite plus conséquente :

Plus en détail

Les traitements du cancer invasif du col de l utérus

Les traitements du cancer invasif du col de l utérus JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES

Plus en détail

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression

Plus en détail

LES CONTUSIONS DU REIN

LES CONTUSIONS DU REIN LES CONTUSIONS DU REIN Table des matières Table des matières 3 I - Épidémiologie 9 II - Mécanismes lésionnels 11 A. 1. Choc direct...11 B. 2. Lésions indirectes...11 C. 3. Plaies pénétrantes...11 D. 4.

Plus en détail

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise. Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se

Plus en détail

Le terme «infection urinaire» est souvent utilisé par les médecins pour des pathologies telles que l urétrite, la cystite ou la pyélonéphrite.

Le terme «infection urinaire» est souvent utilisé par les médecins pour des pathologies telles que l urétrite, la cystite ou la pyélonéphrite. Chapitre 21 : Maladies du système génito-urinaire (Traduction de la p259) Aperçu du chapitre Les maladies du système génito-urinaire sont classées dans le chapitre 14 d ICD-10-CM. Elles ne sont pas dans

Plus en détail

Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002

Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Pré-Requis : Connaissance de bases : Anatomie du pelvis Classification des troubles de la statique génitale

Plus en détail

Incontinence anale du post-partum

Incontinence anale du post-partum Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop

Plus en détail

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée

Plus en détail

Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients?

Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients? HigHligHts 2012: CHiRURgiE Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients? Lukasz Filip Grochola a, Hubert John b, Thomas Hess c, Stefan Breitenstein d a Clinique de chirurgie

Plus en détail

«Les lombalgies chroniques communes à la consultation de rhumatologie du CHU de Fès»

«Les lombalgies chroniques communes à la consultation de rhumatologie du CHU de Fès» 2006-2007 Premier Prix : «La voie d abord postérieure mini-invasive modifiée de la hanche» Dr. Chbani Idrissi Badr Deuxième Prix «Éradication de l helicobacter pylori: quelle trithérapie en première intention?»

Plus en détail

CENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN. Prolapsus génital

CENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN. Prolapsus génital CENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN Prolapsus génital Qu est-ce que c est? Le prolapsus génital est une affection féminine. Il se définit par une saillie des organes pelviens (vessie, utérus, rectum) à travers

Plus en détail

KEAT : premier électrostimulateur sans fil d auto-rééducation périnéale à domicile

KEAT : premier électrostimulateur sans fil d auto-rééducation périnéale à domicile L incontinence : une maladie très fréquente D après le Pr François Haab, chirurgien urologue, coordinateur du centre d explorations périnéales de l hôpital Tenon (Paris) Des solutions adaptées à chaque

Plus en détail

va être opéré d un hypospadias

va être opéré d un hypospadias Votre enfant va être opéré d un hypospadias Introduction Le chirurgien urologue pédiatrique vous a confirmé le diagnostic d hypospadias et expliqué les avantages ainsi que les risques et complications

Plus en détail

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension

Plus en détail

L Incontinence Urinaire au FEMININ. Examen paraclinique. Résidu Post Mictionnel. Examen pelvien

L Incontinence Urinaire au FEMININ. Examen paraclinique. Résidu Post Mictionnel. Examen pelvien L Incontinence Urinaire au FEMININ Dr Isabelle Kaelin-Gambirasio Erika Vögele Dr Johanna Sommer Examen pelvien Inspection : Atrophie vulvovaginale Inflammation vaginale Pertes d urines à la toux Prolapsus

Plus en détail

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Plus en détail

MANUEL DE CHIRURGIE PÉDIATRIQUE (chirurgie viscérale) Année 1998

MANUEL DE CHIRURGIE PÉDIATRIQUE (chirurgie viscérale) Année 1998 Collège Hospitalo-Universitaire de Chirurgie Pédiatrique MANUEL DE CHIRURGIE PÉDIATRIQUE (chirurgie viscérale) Année 1998 TRAUMATISMES DE L ABDOMEN. J.M. GUYS INTRODUCTION I - LE MECANISME DES LESIONS

Plus en détail

Module digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :

Module digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien : Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne

Plus en détail

Les traitements du cancer du rein

Les traitements du cancer du rein MARS 2013 Les traitements du cancer du rein COLLECTION GUIDES PATIENTS LES REINS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LES MÉDICAMENTS ANTICANCÉREUX LES PROFESSIONNELS LA VIE QUOTIDIENNE www.e-cancer.fr

Plus en détail

Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.

Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement

Plus en détail

L ANGINE. A Epidémiologie :

L ANGINE. A Epidémiologie : L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable

Plus en détail

Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum

Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction Matériel

Plus en détail

Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes

Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault

Plus en détail

neurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004

neurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004 11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE

Plus en détail

Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées

Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des

Plus en détail

d une Dr Ei Eric Peterman

d une Dr Ei Eric Peterman d une Dr Ei Eric Peterman Implantations de MDM MALI: 1994-2010 TCHAD: 2009-2010 - 2-3 millions de fistules obstétricales dans le monde - 90% en Afrique (source OMS) MDM Yaoundé 2010 MOPTI MDM BERLIN 2010

Plus en détail

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome

Plus en détail

Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale

Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale 1. Historique. Kegel (1949). Bourcier (1970). 1985 : reconnaissance officielle d acte de MK. Développement de la MK périnéale : facteur éco/p sociale

Plus en détail

Insuffisance rénale. Définition. o Insuffisance rénale aiguë

Insuffisance rénale. Définition. o Insuffisance rénale aiguë Insuffisance rénale Définition o Insuffisance rénale aiguë Se traduit par un brusque arrêt de la filtration des déchets du sang et de la production d urine. Associée à un déséquilibre de l organisme en

Plus en détail

1 of 5 02/11/2012 14:03

1 of 5 02/11/2012 14:03 1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça

Plus en détail

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem

Plus en détail

Carte de soins et d urgence

Carte de soins et d urgence Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase

Plus en détail

Les grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY

Les grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique

Plus en détail

Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.

Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle

Plus en détail

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer

Plus en détail

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène 1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients

Plus en détail

Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations

Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a

Plus en détail

LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S

LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence

Plus en détail

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du

Plus en détail

Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2

Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2 Objectifs : Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2 Diagnostiquer et connaître les principes de prévention et de prise en charge de l hypertension

Plus en détail

phase de destruction et d'élimination de débris

phase de destruction et d'élimination de débris LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale

Plus en détail

Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones

Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones d Angéiologie 8 Janvier 2010 Historique 1550 Falloppio

Plus en détail

Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE

Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING

Plus en détail

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université

Plus en détail

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation

Plus en détail

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT

Plus en détail

Case report. Hernie de Spiegel: a propos d un cas. Open Access

Case report. Hernie de Spiegel: a propos d un cas. Open Access Case report Open Access Hernie de Spiegel: a propos d un cas Karim Ibn Majdoub Hassani 1,&, Fatimzohra Zahid 1, Hicham Anoune 1, Imane Toughrai 1, Said Ait Laalim 1, Khalid Mazaz 1 1 Service de chirurgie

Plus en détail

CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE

CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy

Plus en détail

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :

Plus en détail

INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE

INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE Informations générales pour la convalescence Pour vous, pour la vie Ce feuillet est destiné à mieux vous renseigner sur les points à observer après une opération

Plus en détail

Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins

Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections

Plus en détail

Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation

Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.

Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert

Plus en détail

UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014

UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014 UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS

Plus en détail

Lymphome non hodgkinien

Lymphome non hodgkinien Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque

Plus en détail