De 1 à 3 ans : alimentation lactée du jeune enfant, les dernières données scientifiques
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- Grégoire Turgeon
- il y a 8 ans
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1 De 1 à 3 ans : alimentation lactée du jeune enfant, les dernières données scientifiques Interview du Professeur Jacques Ghisolfi Membre du Cité de Nutrition de la SFP (Société Française de Pédiatrie), Toulouse Dans ses recmandations, le PNNS plaide clairement en faveur des laits infantiles : du lait 2 ème âge de 4 mois révolus à 6 mois jusque 1 an, puis du lait de croissance de 1 an à 3 ans. Parfois, des avis contradictoires ont été émis sans réels fondements scientifiques, alors que ces laits spécifiques bébé sont reconnus cme étant plus adaptés : «On dispose à ce jour d assez d arguments pour assurer que l emploi de lait de vache pour les enfants de 1 à 3 ans est un facteur indiscutable d inadéquation de leurs apports nutritionnels cparés aux apports nutritionnels conseillés (ANC)», explique le Professeur Jacques Ghisolfi. Cparer les apports nutritionnels des nourrissons et enfants en bas âge aux ANC : une méthode d évaluation des avantages respectifs des laits de vache et laits de croissance La cmunauté scientifique s accorde sur l observation de critères cme les ANC et les besoins nutritionnels moyen (BNM) pour évaluer les avantages des laits de croissance par rapport au lait de vache. Il est donc possible d'apprécier les bénéfices et les risques respectifs du lait de croissance et du lait de vache en évaluant les apports et en analysant leur conformité aux ANC dans cette tranche d âge. Les apports des enfants de 1 à 3 ans nourris au lait de vache et ceux des enfants alimentés avec du lait de croissance ont ainsi pu être cparés aux ANC dans le volet «consmation» 1 de l enquête SFAE/ Sofres/Université de Bourgogne 2005, réalisée par le Professeur Marc Fantino. Cette étude est la dernière édition des 3 enquêtes SFAE menées, à 8 ans d intervalle, chez les enfants jusqu à 3 ans. Des apports insuffisants chez les enfants de 1 3 ans consmateurs de lait de vache Chez les enfants nourris au lait de vache, on observe à la fois des carences et des excès : o Des apports trop importants en protéines (3 à 4 fois trop), o Des apports trop faibles en acide gras essentiels (AGE), o Des apports insuffisants en fer, en zinc, en vitamines E, A, C et B5. Un pourcentage élevé de ces enfants de 1 à 3 ans avait des apports inférieurs aux BNM pour le fer (59%), le zinc (56%), la vitamine C (49%), la vitamine E (94%), la vitamine D alimentaire (100%). Un nbre important d entre eux se situait aux limites minimales des recmandations françaises pour l acide linoléique (51%) et l acide alpha linolénique (84%) 2. «La situation nutritionnelle de ces enfants nourris au lait de vache était rapidement corrigée par le passage au lait de croissance, hormis pour les vitamines A et D», note le Professeur Ghisolfi. Les laits de croissance doivent être recmandés aux enfants de 1 à 3 ans Les arguments scientifiques apportés par le dernier volet des enquêtes SFAE confirment l intérêt nutritionnel des laits de croissance. En dehors de la vitamine D, il n est pas démontré avec certitude que 1 «Consmation alimentaire des nourrissons et enfants français en bas âge de 1 à 36 mois Analyse des données nutritionnelles», Etude SOFRES 2005/ UNIVERSITE DE BOURGOGNE Pr M. Fantino POUR LE SYNDICAT FRANÇAIS DES ALIMENTS DE L ENFANCE 2 Fantino M, Gourmet E, Consmation énergétique et apports nutritionnels des enfants français âgés de 1 à 36 mois : nouvelles données recueillies en Arch Pédiatr 2008 ;15 : rue de Rivoli PARIS Tél Fax alimentsenfance@alliance7.c
2 Lait 2 ème âge et lait de croissance : cment bien les utiliser au quotidien? Interview du Docteur Laurence Plumey Médecin nutritionniste, consultante à l Hôpital Necker à Paris De la naissance à 3 ans, les enfants ont des besoins nutritionnels particulièrement élevés. «Leur croissance est tellement rapide qu exprimés par kilo de poids corporel, leurs besoins en éléments nutritionnels (nutriments, minéraux et vitamines) sont bien plus élevés que chez l adulte», souligne le Docteur Laurence Plumey. Prenons l exemple du calcium : le nourrisson ne pèse que 3,5 kilos à la naissance et il a déjà besoin de 500 mg de calcium par jour soit la moitié des besoins en calcium d un adulte (900 mg/j) qui pèse 15 à 20 fois plus. Il en est de même du fer : 7 mg par jour de la naissance à 6 ans alors qu un hme a besoin de 9 mg de fer par jour. Quant aux besoins énergétiques à 1 an, ils sont d environ Kcal par jour, soit la moitié des besoins calorique de sa mère! Le lait de la mère est idéal pour le nourrisson et doit toujours être privilégié, mais quand celle ci ne peut pas ou ne veut pas allaiter, les laits infantiles sont les seuls aliments adaptés car leur formule, strictement réglementée, contribue à couvrir l essentiel de ses besoins. D où la nécessité également de bien savoir les utiliser A retenir 1 : de 6 mois à 3 ans, le bébé a besoin d au moins 500 ml de lait infantile tous les jours Le lait est un vecteur essentiel d éléments nutritionnels. Les enfants en bas âge doivent en boire idéalement 500 ml par jour. A partir de 6 mois, on peut donner 2 biberons de lait infantile par jour : un le matin, l autre au goûter. On couvre ainsi environ 70% de ses besoins, notamment en fer, en calcium, et en acides gras essentiels (AGE). Astuce Si le bébé de 1 à 3 ans est à la crèche, on peut se renseigner quant à l organisation de l alimentation lactée des petits au cours de la journée. Si le biberon du goûter n est pas prévu, ce biberon manquant doit être remplacé et donné le soir. Tout simplement. De 6 mois à mois, le lait 2 ème âge est primordial : il accpagne la diversification alimentaire C est une étape importante : alors que le lait représente encore l essentiel des apports alimentaires, l alimentation s enrichit peu à peu avec l introduction progressive de nouveaux aliments et en corolaire le risque d induire certaines carences (fer) ou certains excès (sel, protéines ) par des cportements inadaptés. L usage de lait infantile limite considérablement le risque de carence car il assure à lui seul une grande partie de la couverture des besoins nutritionnels de la journée, en cplément des repas non lactés du déjeuner et du dîner. Le lait 2 ème âge a une cposition adaptée aux besoins du nourrisson. Plus précisément : le lait 2 ème âge a une cposition adaptée en protéines, il contient des acides gras essentiels dont les éga 3, indispensables au développement cérébral. Le lait 2 ème âge est également riche en fer et couvre à lui seul 70% des besoins du nourrisson, ce qui est primordial car à cet âge il consme très peu d autres aliments riches en fer cme la viande alors que ses besoins sont très élevés. Il contient également de nbreuses vitamines, minéraux et oligoéléments dont le nourrisson a besoin, dans des proportions imposées par une réglementation très stricte. 1 Seulement une maman sur 4 sait qu il faut maintenir une dose de 500ml de lait infantile par jour jusqu à 3 ans. Enquête Blédina 2009 citée dans le Panorama du Médecin N 5219 ; 4 10 avril rue de Rivoli PARIS Tél Fax alimentsenfance@alliance7.c
3 A savoir : le passage d un lait infantile à l autre ne pose pas de problème sur le plan nutritionnel, car leur cposition est très proche. Parfois le médecin peut être amené à recmander ce changement en fonction du contexte : troubles digestifs, terrain atopique, régurgitations. Pour le bébé, cela peut supposer un goût différent et c est pourquoi, on peut conseiller aux parents de garder le rituel auquel l enfant est habitué : même biberon ou même bol, même horaire et même déroulement. Si le nourrisson manifeste une petite surprise devant cette nouveauté pas d inquiétude. Il suffit de persister et les choses rentrent dans l ordre très vite. De 1 à 3 ans, la diversification s intensifie mais le lait de croissance reste indispensable Petit à petit, les aliments vont davantage contribuer aux apports en vitamines, minéraux et Acides Gras Essentiels. Mais le lait de croissance reste plus que jamais nécessaire. «Les 2 biberons de lait infantile de 250 ml chacun, apportent à l enfant 6,6 mg de fer soit l équivalent de 200 g de viande rouge ou de 600 g de poisson, ou de 5 œufs, soit des quantités qui ne conviennent bien évidemment pas à l enfant. A l âge d 1 an, un enfant ne devrait pas consmer plus de 20 à 25 g de viande (ou équivalent) par jour, pour ne pas dépasser son besoin quotidien de 10 g de protéines», ajoute le Dr Laurence Plumey. Il faudrait de surcroît renforcer les menus, en huile de colza, en jus de fruits et privilégier les légumes riches en vitamines B9, (épinards, brocolis, choux fleurs, betteraves, ). Ce qui n est pas toujours possible, ni en termes de quantité, ni en termes de rythme de vie pour la mère. «La diversification se fait du bout de la cuillère, avec de petites quantités, pour mener son enfant à découvrir de nouveaux goûts et lui apprendre à bien se nourrir plus tard», rappelle le Dr Laurence Plumey. Astuce A cet âge, les enfants peuvent refuser leur biberon de lait parce qu ils se révèlent mentanément séduits par la cuillère. Quelques astuces permettent de s assurer qu ils reçoivent bien leurs 500 ml de lait de croissance au quotidien : Il ne faut pas hésiter à proposer des desserts lactés infantiles (yaourts, frages blancs et desserts spécifiques bébé), à ajouter du lait de croissance nature dans les purées maison (attention : le lait ne doit pas bouillir car il perdrait une partie de ses qualités nutritionnelles). Il faut également penser à certains plats pour bébé, qui contiennent le plus souvent environ 100 ml de lait de croissance. En général, l équivalence en ml de lait infantile est toujours spécifiée sur le produit (1 yaourt = 60 ml de lait infantile, etc). Ou encore avec des bouillies de céréales réalisées avec 250 ml de lait infantile (à ajuster en fonction de la texture recherchée). Et le passage au lait de vache? Il peut se faire à 3 ans, une fois la diversification bien développée. Pour autant, il n est pas nécessaire de faire la transition d un jour à l autre, le jour de l anniversaire de ses 3 ans. Le lait de croissance peut être consmé encore un temps Il n y a aucun inconvénient, que des avantages. Astuce Cme pour les autres transitions, le maintien du rituel bol, biberon, horaires et grands câlins est fondamental pour que cette évolution se passe sans souci rue de Rivoli PARIS Tél Fax alimentsenfance@alliance7.c
4 l insuffisance d apport chez les enfants nourris au lait de vache ait des conséquences cliniques à court et à long terme. Mais ne pas tenir cpte de la pauvreté des apports en fer, vitamine A, C, D, et AGE reviendrait à remettre en cause les ANC. «Ce serait surtout prendre des risques avec de jeunes enfants pendant leurs premières années, alors que les laits de croissance sont capables de couvrir 70 % de certains nutriments essentiels, avec 500 ml par jour», conclut le Professeur Ghisolfi, «il faut donner toutes leurs chances aux enfants» rue de Rivoli PARIS Tél Fax alimentsenfance@alliance7.c
5 Nourrissons et enfants en bas âge : les jus végétaux ou laits à la mode sont à éviter Interview du Professeur Bertrand Chevallier Chef du service de pédiatrie de l'hôpital Ambroise Paré à Boulogne, Vice président de la Cmission nationale de la Naissance et de la Santé de l'enfant au Ministère du Travail, de l Emploi et de la Santé Jusqu à 6 mois, les visites régulières chez le pédiatre permettent aux parents de recevoir des conseils nutritionnels de la part de leurs médecins. Ceux ci sont généralement bien suivis. Après les 6 mois du bébé apparaissent des initiatives plus ou moins bien adaptées Par la suite, la surveillance médicale se fait moins régulière et moins fréquente. Le bébé ne semble plus aussi fragile et les parents se fient davantage à leur bon sens ou à leurs habitudes, en particulier lorsqu il ne s agit pas de leur premier enfant. En résulte une moindre demande de conseils nutritionnels qui laisse place aux suggestions de l entourage, lesquelles peuvent être plus ou moins bien adaptées. S ajoutent à ces avis les informations ou les désinformations disponibles sur la toile qui peuvent quelquefois se révéler délétères. L influence grandissante des media online, des forums et du bouche àoreille sont ainsi à l origine d initiatives plus ou moins heureuses. Jus végétaux (lait d amande, lait de soja, ) et les laits d animaux (lait de chèvre, lait de jument, ) : des laits fantaisistes qui mettent en danger le développement de l enfant «A l heure où la fantaisie l emporte sur le bon sens, on retrouve dans nos consultations des écarts alimentaires souvent importants», déplore le Professeur Chevallier. Sont en cause l utilisation d autres laits cme les laits de chèvre, lait de brebis, mais aussi des jus végétaux, beaucoup plus inquiétant, présentés sous le terme abusif de «lait». Le lait de chèvre et le lait de brebis sont des laits non adaptés au bébé La cposition de ces 2 laits n est pas adaptée aux besoins des nourrissons et ne correspond pas aux apports nutritionnels conseillés. Ainsi, le lait de chèvre expose l enfant à des carences en fer, en vitamines A, C, D, B9 et B12. Il contient aussi trop de protéines. De son côté, le lait de brebis est beaucoup trop gras et riche en protéines. Il n est d ailleurs pas plébiscité par les nourrissons dont le verdict ne se fait pas attendre. Ils le refusent avec obstination et les parents, lassés, renoncent à ce régime d exception au bout de quelques jours. Quant au lait d ânesse, proposé par certains éleveurs, il ne présente pas de garanties suffisantes en matière de contrôle infectieux. Les jus végétaux sont dangereux! La cposition des jus végétaux révèle d emblée leurs points faibles : o Une grande pauvreté en calcium, voire un déficit total, o Une grande pauvreté en minéraux, AGE (acides gras essentiels) et fer, o Une moindre richesse en protéines (d origine végétale), o Une moindre richesse en calories rue de Rivoli PARIS Tél Fax alimentsenfance@alliance7.c
6 Les jus végétaux ne permettent pas d apporter à l enfant des protéines de bonne qualité. Ils exposent l enfant à des carences et à des excès qui surchargent les reins. Leur utilisation chez les nourrissons peut retentir gravement sur leur santé. Deux cas cliniques de bébés victimes de «menu hors norme» illustrent les dangers des jus végétaux Rane, allergique aux protéines de lait de vache, est mise sous hydrolysat 1. La diversification cmence et très vite, sa mère délaisse le lait spécifique bébé et donne à sa fille du jus d amande, puis une alternance de jus de soja, châtaigne et amande. A 18 mois, la petite Rane présente : o Une carence sévère en vitamine D avec des signes osseux de rachitisme, o Des signes cliniques de malnutrition protidique et globale, o Un petit périmètre crânien, o Une carence sodée. Par rapport aux ANC, la petite Rane recevait tous les jours un apport en calories diminué de 46 %, un apport de protéines diminué de 31 %, un apport de calcium diminué de 84%. Ses problèmes sont pris en charge médicalement, mais sa situation est signalée au CRIP 2. «Rane a été victime de maltraitance nutritionnelle», estime le Professeur Bertrand Chevallier. Noa rencontre des petits problèmes qui évoquent des coliques, un RGO, une allergie au PLV 3. Les parents alternent plusieurs laits, dont du lait de chèvre. La petite fille grandit et grossit à peu près normalement. Mais à 7 mois, elle est mise aux jus végétaux : o Sa courbe de poids et de taille se casse de façon nette, o Son appétit chute et elle vit fréquemment, o Les examens mettent en évidence les éléments suivants : un excès de sodium, une carence en vitamine en B12, un excès de calcium avec précipitations calciques au niveau des reins et une acidose hyperchlorémique. Une prise de conscience est nécessaire pour lutter contre le danger de ces laits et jus végétaux non adaptés au bébé. 1 Hydrolysat : laits sans protéines de lait de vache ou hydrolysats de protéines. Ces hydrolysats ont des indications très précises dont allergie aux protéines de lait de vache. 2 CRIP : Cellule de Recueil des Informations Préoccupantes du département d'habitation de l'enfant 3 Protéines de lait de vache rue de Rivoli PARIS Tél Fax alimentsenfance@alliance7.c
7 Préparations infantiles et aliments de diversification : une réglementation européenne spécifique extrêmement stricte pour garantir un haut niveau de protection des nourrissons et enfants en bas âge Brigitte Lelièvre Responsable Réglementation au Syndicat Français des Aliments de l Enfance La réglementation spécifique des aliments de l enfance, impose des exigences extrêmement élevées pour garantir un haut niveau de protection de la population des nourrissons et enfants en bas âge. Aliments de l enfance : des spécificités en matière de cposition, hygiène et sécurité alimentaire Les aliments de l enfance sont les aliments dont la cposition et l'élaboration sont spécialement conçues pour répondre aux besoins nutritionnels particuliers du nourrisson (de la naissance à 1 an) et de l enfant en bas âge (de 1 an à trois ans). Ils sont soumis à une réglementation spécifique qui fixe les critères de cposition (tableau 1), de qualité et de sécurité et les règles d étiquetage. Cette réglementation est une exception dans la législation alimentaire européenne, motivée par les spécificités physiologiques (besoins nutritionnels particuliers, immaturité, fragilité ) des nourrissons et enfants en bas âge (tableau 2). Pour répondre aux besoins spécifiques de cette population particulière, la sécurité des aliments de l enfance et les exigences concernant les conditions d hygiène de production sont également garanties par la réglementation. Pour assurer un niveau maximum de sécurité, les fabricants ont mis en place un triple verrou de sécurité et ont toujours devancé la réglementation en vigueur : un choix très sélectif des matières premières, une surveillance rigoureuse des procédés de fabrication et le contrôle de la production des matières premières jusqu au produit fini (aussi bien sur le plan nutritionnel que sur le plan sanitaire). Objectif : garantir une qualité nutritionnelle et une sécurité alimentaire sans concession au bébé jusqu à trois ans rue de Rivoli PARIS Tél Fax alimentsenfance@alliance7.c
8 Aliments de l enfance : des critères de cposition nutritionnelle et des spécificités en matière d hygiène et de sécurité alimentaire pour garantir un niveau de sécurité supérieur à celui fixé aux aliments courants pour la population générale o Les critères de cposition nutritionnelle sont encadrés de manière quantitative (énergie, protéines, glucides, lipides, vitamines et minéraux) et qualitative en tenant cpte des besoins nutritionnels et énergétiques (évoluant avec l âge) du bébé jusqu à 3 ans. Du fait de l immaturité physiologique du bébé, o l usage d additifs est restreint (liste restreinte d additifs autorisés) avec interdiction formelle d usage de conservateurs, colorants, édulcorants. L usage d arômes non naturels est strictement interdit. o des seuils limites spécifiques à ne pas dépasser sont également fixés en matière de nitrates (<200mg/kg pour les préparations à base de céréales et aliments pour bébé, obtenus grâce à des modes de culture spécifiques) et autres contaminants appartenant à diverses catégories ; de pesticides (<10 µg/kg pour la plupart des substances) avec une interdiction formelle d usage de certains pesticides (figurant sur une liste spécifique) ; de critères microbiologiques ; de matériaux au contact des denrées. De plus, l usage d hormones est strictement interdit. Pour atteindre cet objectif, des contrôles rigoureux sont effectués à tous les stades de la production des aliments de l enfance, du choix des matières premières aux produits finis. Les aliments de l enfance sont soumis à des obligations de résultats auxquelles d autres secteurs alimentaires ne sont pas soumis Le secteur du bio, par exemple, a uniquement des obligations de moyens et un objectif prioritaire qui est le respect de l environnement. Le secteur de l alimentation infantile va beaucoup plus loin pour répondre aux besoins spécifiques du jeune enfant et tenir cpte de sa fragilité. A noter que les aliments de l enfance qu ils soient BIO ou non, sont soumis à la même réglementation. Tableau rue de Rivoli PARIS Tél Fax alimentsenfance@alliance7.c
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