DOSSIER DE PRESSE DEBAT PUBLIC «QUALITE D ACCUEIL ET EVOLUTIONS DES POLITIQUES PUBLIQUES PETITE ENFANCE»

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1 DOSSIER DE PRESSE DEBAT PUBLIC «QUALITE D ACCUEIL ET EVOLUTIONS DES POLITIQUES PUBLIQUES PETITE ENFANCE» LILLE, LE MARDI 10 FEVRIER A 16 H Nous vous invitons à la conférence de presse MARDI 10 FEVRIER à 15 h 30 Maison de l Education Permanente 1 place George Lyon Lille COLLECTIF REGIONAL POUR LA PETITE ENFANCE COLLINE ACEPP, CENTRE REGIONAL DE FORMATION DES PROFESSINNELS DE LA PETITE ENFANCE (CRFPE), JEUNE ENFANCE NORD, FEDERATIONS DES CENTRES SOCIAUX DU NORD ET DU PAS-DE-CALAIS Contacts : (Colline Acepp) Laurence MEROT (Colline Acepp) Jean-Pierre FEUTRY (CRFPE)

2 COMMUNIQUE DE PRESSE DEBAT SUR LES POLITIQUES PUBLIQUES PETITE ENFANCE LE 10 FEVRIER 2009 A LILLE Les évolutions actuelles en matière de politiques publiques Petite Enfance ont suscité de vives protestations de la part d associations, d institutions, d élus et de professionnels en région. Pour sortir de la plainte et de la colère, un collectif s est constitué début 2009 en Nord-Pas de Calais. Il réunit, dans un premier temps, cinq associations, dont des fédérations départementales et des réseaux régionaux, tous concernés par le secteur Petite Enfance : le réseau COLLINE ACEPP, l association Jeune Enfance Nord, le C.R.F.P.E (Centre régional de formation des professionnels de la petite enfance), la Fédération des Centres Sociaux du Nord et celle du Pas de Calais. Première initiative de notre collectif : un débat public «QUALITE D ACCUEIL ET EVOLUTIONS DES POLITIQUES PUBLIQUES PETITE ENFANCE» LE MARDI 10 FEVRIER 2009 de 16 à 20 h Maison de l Education Permanente 1 place George Lyon Lille Tables rondes organisées par les associations membres du collectif régional. Avec les interventions des Vice-présidents Enfance et Famille des Conseils Généraux : MM. Fabien Thiémé (59) et Yvan Druon (62), du président de l union nationale des centres communaux de l action sociale (UNCCAS), M. Patrick Kanner ; de Didier Favre, psychosociologue spécialiste de la Petite Enfance. Des professionnels, des parents, des élus locaux, départementaux et régionaux, des professionnels, seront présents. La qualité d accueil pour tous, oubliée des politiques de la Petite Enfance! Les dispositions gouvernementales actuelles 1 sont orientées vers une réponse rapide et quantitative aux besoins de garde. Elles menacent la qualité d accueil des enfants et des parents (augmentation du nombre d enfants par adulte, moindre exigence de qualification des professionnels) ; elles dissuadent de la coordination des actions liées à l enfance et des partenariats sur les territoires. Nous, professionnels associés aux parents, agissons constamment, depuis plusieurs décennies, pour construire une égalité d accès à des lieux d accueil de qualité, pour la reconnaissance de la qualification des professionnels et nous accomplissons des missions éducatives, préventives et sociales auprès des enfants et des parents. Une évolution est nécessaire : il nous faut répondre aux besoins des parents. Ce 10 février nous réunirons les propositions pour des réponses qualitatives à ces enjeux, en restant exigeants sur la qualité d accueil, pour le bien-être des enfants. Nous vous invitons à la conférence de presse MARDI 10 FEVRIER à 15 h 30 Maison de l Education Permanente 1 place George Lyon Lille 1 Enoncées dans le rapport TABAROT, paru en juillet 2008, le Plan des métiers Petite Enfance, présenté en décembre 2008 et la loi de financement de la sécurité sociale. Dossier de presse débat régional pour la petite enfance Lille, 10 février

3 PROGRAMME Débat public MARDI 10 FEVRIER 2009 De 16 heures à 20 heures Entrées et sorties libres et permanentes Maison de l Education Permanente 1 Place George Lyon LILLE «Qualité d accueil et évolutions des politiques publiques Petite Enfance» Programme prévisionnel de la rencontre 16h 16h15 16h15 16h30 16h30 17h15 Ouverture par le collectif organisateur «La notion de Qualité de l accueil du jeune enfant» Introduction par Didier Fabre, psychosociologue spécialiste de la Petite Enfance Echanges avec des élus : Mr Thiémé, Vice-président Enfance et Famille du Conseil Général du Nord Mr Druon, Vice-président Enfance et Famille du Conseil Général du Pas de Calais Mr Kanner, Président de l UNCCASS 17h15 18h15 1. Table ronde débat : «Qualité d accueil, enjeu de prévention précoce, de lien social et de développement social local» COLLINE ACEPP ; Jeune Enfance Nord ; Fédérations des Centres Sociaux ; URIOPSS ; des représentants d établissements d accueil de la Petite Enfance et de Relais Assistantes Maternelles 18h15 19h15 2. Table ronde - débat : «Qualité d accueil, les enjeux de la professionnalisation» CRFPE ; COLLINE ACEPP ; Fédérations des Centres Sociaux ; URIOPSS ; des représentants d établissements d accueil de la Petite Enfance et de Relais Assistantes Maternelles 19h15 20h Perspectives suite à ce débat public Dossier de presse débat régional pour la petite enfance Lille, 10 février

4 LES 5 PREMIERS ORGANISMES MEMBRES DU COLLECTIF CONSTITUE EN JANVIER 2009 Le CRFPE (centre régional de formation des professionnels de la petite enfance) est un des centres de formation en travail social de la région Nord Pas de Calais. Son activité principale est la formation initiale professionnelle des éducateurs(trices) de jeunes enfants de la région. Il propose également, d autres formations qualifiantes (CAP petite enfance, CAFERUIS). Il contribue à l animation du «secteur de la petite enfance» par l organisation de journées de réflexion, de séminaires, colloques et par la publication d un bulletin à destination des professionnels. 14 Boulevard Vauban Lille Cedex COLLINE ACEPP Nord Pas de Calais L association anime, depuis 1990, un réseau de structures Petite Enfance adhérentes à l ACEPP (Association des Collectifs Enfants, Parents, Professionnels), fédération nationale. Partant du principe que «le parent est le premier éducateur de son enfant», ses objectifs sont de concourir à la qualité d accueil du jeune enfant. Ses actions sont développées sur 3 axes : l animation de réseau petite enfance et parentalité, la formation continue, le développement de projets Petite Enfance. 4 et 6 rue Lamartine - BP LILLE Cedex Jeune Enfance Nord Association fondée en 1983 et regroupant une pluralité de professionnels. Ses valeurs sont enracinées dans l approche psychanalytique. Ses objectifs : favoriser la réflexion en faveur de la petite enfance dans un esprit pluraliste, mettre en œuvre des Lieux d Accueil Parents Enfants dans la lignée de la «Maison Verte» inventée en 1979 par Françoise Dolto. 57 rue Jeanne d Arc LILLE Fédération des Centres Sociaux et Socio-culturels du Nord Créée en 1966, la fédération des centres sociaux et socio culturels du Nord regroupe 135 centres dont la moitié gère une structure d accueil Petite Enfance. Se référant à trois valeurs fondatrices de la Charte fédérale nationale : la dignité humaine, la solidarité et la démocratie. Chaque centre entend être un foyer d initiatives portées par des habitants associés appuyés par des professionnels. 69 rue du long pot LILLE Fédération des Centres Sociaux et Socioculturels du Pas de Calais Créée en 1997, elle compte 21 structures adhérentes et se donne pour mission de soutenir une politique de développement social local et d innovation sociale et la création de nouveaux Centres Sociaux. Les adhérents développent des projets petite enfance. Elle anime au côté de l association COLLINE ACEPP le dispositif des Réseaux d Ecoute, d Appui et d Accompagnement des Parents du Pas de Calais (REAAP 62). 105 rue Jean Jaurès. BP SAINS EN GOHELLE centressociaux62@laposte.net Dossier de presse débat régional pour la petite enfance Lille, 10 février

5 LES MOTIFS D OPPOSITION A LA REFORME PETITE ENFANCE Le collectif a de nombreux arguments à opposer à la réforme récente des politiques publiques Petite Enfance (rapports, plans, décrets) en cours. Ils seront exprimés le 10 février. Voici quelques principaux. «Il ne serait plus possible de mettre en place un accueil de qualité pour tous les enfants». Ce serait la conclusion qui s impose à la lecture des préconisations du rapport Tabarot, du plan des métiers de la Petite Enfance, de la loi de financement de la Sécurité sociale pour S agit-il de «brader» l offre d accueil de la Petite Enfance? Ces dispositions semblent aller à l encontre de valeurs pourtant affirmées dans ces rapports, valeurs auxquelles nous souscrivons : le bienêtre de l enfant et le soutien à la parentalité. Pour paraphraser Michel Autès 2, les professionnels déplorent dans le secteur Petite enfance le passage d' «un travail social de promotion» à «un travail social de gestion». En fait, ces transformations négligent les actions et les pratiques quotidiennes des acteurs de la Petite Enfance. Celles que nous avons institués depuis plus de 20 ou 30 ans. Nous savons la nécessité de répondre aux besoins de places d'accueil. Depuis des années nous insistons auprès des décideurs à la fois pour développer le nombre de places et renforcer la qualité d'accueil ; un véritable investissement, une politique d avenir. Mais les dispositions réglementaires se contentent, entre autres, de : - augmenter le nombre de places de garde : places d Assistantes maternelles à créer, selon Mme Morano, Ministre de la Famille. Une personne, seule, même motivée mais sans qualification professionnelle, peut-elle prendre en compte, à longueur de journée, l ensemble des besoins de 3 enfants en bas âge? Or les Assistantes maternelles peuvent, depuis la loi de financements de la Sécurité sociale votée en 2008, garder 4 enfants mais l accès à de meilleures qualifications qu elles réclament n est pas mis en oeuvre. - revoir à la baisse les taux d'encadrement : encore plus d enfants pour moins d adultes dans les lieux d accueil collectif. Conséquences : les professionnels auront encore moins de temps disponible pour les enfants et leurs parents. Et les risques sont connus : usure professionnelle, violences sur soi-même ou retour de la violence sur l'autre, le jeune enfant ou le parent. - abaisser l exigence de qualification professionnelle : pour le collectif, la professionnalisation est un enjeu de qualité. Il passe par une véritable politique de qualification et de reconnaissance sociale des professionnelles Petite Enfance. Non, un diplôme de gestion ne suffit pas pour gérer en bon connaisseur un établissement d accueil de jeunes enfants. Enfin, dans les textes, nous constatons l'absence de toute référence aux objectifs et initiatives en lien avec la prévention dite "prévenante". Notre approche de la 2 M AUTES «les paradoxes du travail social» DUNOD Paris 1999 Dossier de presse débat régional pour la petite enfance Lille, 10 février

6 prévention nécessite un travail de co-veillance, d observation, d écoute et d attention des professionnels de l accueil de la Petite Enfance, un travail qui s'exerce au sein même des lieux d accueil du jeune enfant. Cette dimension est ancrée historiquement et culturellement dans les liens entre la PMI (Protection maternelle et infantile) et l'ensemble des acteurs de la Petite Enfance. En conclusion. Loin d un développement ou d une amélioration des offres d accueil existantes comme l annonce le rapport Tabarot, ce projet de réformes contient de nombreuses incohérences dont nous redoutons les conséquences pour les parents, les enfants et les professionnels. Des élus, des syndicats (SNMPMI), des fédérations (UNCCAS, FNEJE, etc.) nous rejoignent sur ce constat (cf. dossier de presse pp. 7-8). D ailleurs, en région Nord Pas de Calais, nous assistons déjà à des restrictions de fait des activités de lieux d accueil petite enfance : les Lieux d'accueils Parents Enfants et les ateliers parents enfants, bien que très fréquentés et reconnus par l'ensemble des partenaires, sont aujourd'hui menacés dans leur financement et risquent de devoir réduire ou interrompre leur activité. Dans ce contexte tendu, le collectif ne veut pas simplement dénoncer ou se plaindre. Il se construit pour être force de proposition afin de préserver et développer la qualité d'accueil dans les territoires de la région. Contacts pour le collectif COLLINE ACEPP : colline.acepp@wanadoo.fr CRFPE : accueil@crfpe.fr Dossier de presse débat régional pour la petite enfance Lille, 10 février

7 LES REACTIONS AU PROJET GOUVERNEMENTAL. EXTRAITS. Lise Daleux, élue à la Ville de Lille, sur son blog réagit à la présentation du plan du ministère, au sortir du Salon Petit 1, le 24 septembre Complément au document remis lors de l audition du SNMPMI le 3 juillet 2008 devant la mission parlementaire pour le développement de l offre d accueil de la petite enfance, en réponse aux questions évoquées par Madame TABAROT, députée. Conclusion. Comment s étonner que certains services départementaux de PMI aient des difficultés à mettre en oeuvre de telles missions, celles-ci n ayant cessé de s élargir depuis quinze ans sans que l Etat ait attribué les financements supplémentaires nécessaires aux départements? Nous réaffirmons que les services de PMI restent les mieux placés du point de vue de leurs compétences et de leur position institutionnelle pour assumer ces missions relatives aux modes d accueil, et que la collectivité nationale doit y consacrer les moyens nécessaires. Syndicat National des Médecins de Protection Maternelle et Infantile rue d Amsterdam Paris Tél : Mél : contact@snmpmi.org Site internet : Dossier de presse débat régional pour la petite enfance Lille, 10 février

8 Communiqué de presse de la FNEJE Notre Fédération est consciente que le système actuel doit évoluer, mais pour nous, il est indispensable de mettre le bien-être de l'enfant et de sa famille également au centre de la réflexion, pour adapter les structures d'accueil. La Fédération Nationale des Educateurs de Jeunes Enfants 2, rue du Maréchal de Tassigny NANTES Tél : fneje-delegation@fneje.fr - Site : Les CCAS/CIAS défendent la qualité de l accueil collectif. Communiqué du 25 juin Si l UNCCAS adhère aux objectifs de création de places, elle estime nécessaire de veiller à ce que la montée en puissance des capacités d accueil soit assortie d une garantie de qualité du service rendu aux familles et d un soutien aux gestionnaires d équipements. A ce sujet, l UNCCAS s inquiète de certaines contradictions de la politique familiale. Union nationale des centres communaux d action sociale Tél. : / Fax. : Communiqué de presse de l ACEPP Janvier 2009 La dernière Plateforme de l ACEPP présente ses positions sur les orientations nationales actuelles en matière de Petite Enfance après une large consultation de son réseau. Il ressort que les transformations qui s annoncent touchent aux pratiques quotidiennes des lieux d accueil et des parents et questionnent l ACEPP sur la continuité de ses engagements, les réelles attentes et places des familles, les choix éducatifs dont les parents souhaitent être porteurs aujourd hui. L ACEPP participe à trouver des réponses démocratiques et citoyennes qui interrogent les intérêts de chacun : enfants, parents, professionnels, partenaires. Contacts : Suivre le lien : Accueil>Vous êtes> Journaliste Dossier de presse débat régional pour la petite enfance Lille, 10 février

9 REVUE DE PRESSE La gazette des Communes des Départements des Régions Enfance / Famille - 05/08/2008 Le Syndicat national des médecins de PMI indigné par le rapport Tabarot Dans son rapport sur «le développement de l offre d accueil de la petite enfance», remis au premier ministre le 23 juillet 2008, Michèle Tabarot, députée-maire (UMP) du Cannet (Alpes-Maritimes), préconise de transférer la procédure d agrément des assistantes maternelles et des structures collectives aux communes qui le souhaitent, recentrant la Protection maternelle et infantile (PMI) sur sa fonction de contrôle. Un rôle de gendarme que les médecins de PMI ne sont pas prêts à endosser : «Je suis atterrée par la vision rétrograde que donne ce rapport de la PMI, s indigne Christine Bellas Cabane, vice-présidente du Syndicat national des médecins de PMI (SNMPMI). Nous y sommes dépeints comme une police sanitaire, sans souci éducatif de l enfant.» Un portrait que la vice-présidente réfute en bloc : «Au moment de l agrément, notre principale mission, au-delà des aspects sanitaires, porte justement sur l évaluation des qualités éducatives et relationnelles des assistantes maternelles», précise-t-elle. Une période d agrément qui permet de tisser les liens indispensables au travail de suivi, car pour Christine Bellas Cabane, «il est plus facile de faire évoluer la conception du travail dans la continuité, plutôt que par la peur du gendarme.» Quant à confier l agrément des assistantes maternelles et des crèches aux communes, la vice présidente du syndicat ne cache pas son scepticisme : «Mme Tabarot souligne les disparités qui existent entre départements concernant les avis d ouverture. Ne seront-elles pas encore plus grandes entre communes? Et comment les mairies résisteront-elles aux pressions des parents qui réclameront des agréments rapides?» Pour le syndicat, cette préconisation risque de multiplier les conflits d intérêt, au détriment de la qualité d accueil de l enfant. Pour en savoir plus Téléchargez le rapport Tabarot (pdf, 1,24 Mo) Michèle Foin Dossier de presse débat régional pour la petite enfance Lille, 10 février

10 Accueil petite enfance, droit opposable, perspectives Michèle Tabarot a remis le 23 juillet 2008, au Premier ministre son rapport sur le développement des systèmes d accueil pour la petite enfance, dans la perspective initiale de la mise en oeuvre du droit opposable à la garde d enfant, annoncée par Nicolas Sarkozy d ici 2012, et qui semble désormais repoussé à une date ultérieure. Le premier ministre avait confié en février à la députée UMP la mission d identifier les besoins en garde d enfant, qu elle estime dans son rapport à places, "en assurant l épanouissement des enfants et favorisant la maîtrise de la dépense publique". Un communiqué de Matignon indique que François Fillon, Premier ministre, s est félicité de la teneur de ce rapport mettant en relief la proposition de création de "jardins d éveil" pour les enfants de 2 à 3 ans, "une proposition particulièrement pertinente". Droit opposable à la garde d enfants Concernant la préparation de la mise en oeuvre du droit opposable à la garde d enfant, le Premier ministre a rappelé "qu il convenait avant tout d améliorer l accompagnement des parents, afin de les guider au mieux dans leur recherche d un mode de garde adapté à leurs besoins". Le droit opposable semble donc s estomper et remis à plus tard, pour être remplacé par un droit à l information. François Fillon a indiqué que "les ministres engageront dès la rentrée une concertation sur les différentes propositions du rapport afin de pouvoir le mettre en oeuvre le plus rapidement possible". Dans son rapport, Michèle Tabarot suggère une loi de programmation sur l offre d accueil et estime souhaitable "un temps de garde parentale dans les tout premiers mois de la vie", qu elle situe entre "6 et 12 mois", avec une implication des deux parents. Ce rapport, très étoffé, est consultable en pièce jointe. Il indique que les mesures pourraient être financées par les excédents cumulés de la branche famille (CNAF), estimés entre 13,5 et 15,9 milliards d euros. Outre le développement de moyens d accueil comme les crèches d entreprises présentés comme innovants, de nombreuses propositions sont avancées, dont certaines qui posent question : La proposition d un congé parental plus court et mieux rémunéré, favorisant la participation des pères. la création de "jardins d éveil" pour les 2-3 ans, pour lesquels les plages horaires seraient semblables à celles des crèches, mais l encadrement moindre (un adulte pour 12 enfants), générant donc un coût plus faible, les seniors participant également à l accueil. l évolution des fonctions des relais assistantes maternelles vers des "relais d accueil familial" et leur multiplication, l assouplissement des normes d encadrement permettant de rehausser les seuils d enfants accueillis, la possibilité pour les assistantes maternelles de garder non plus trois mais quatre enfants ; Une nouvelle organisation du pilotage de l offre d accueil et l évolution des fonctions des caisses d allocations familiales... Et l économie sociale? Dans les annexes, si on relève que le secteur des crèches privées a été consulté et associé, on ne voit aucune mention du secteur de l économie sociale - dont l ACEPP -, pourtant acteur majeur de la petite enfance. Il semble que ce secteur n a été à aucun moment consulté ou associé ; d où la question : a-t-il été écarté du processus? Dossier de presse débat régional pour la petite enfance Lille, 10 février

11 Brève revue de presse L AFP indique que «le rapport de la députée est destiné à préparer la mise en oeuvre du droit opposable promis par Nicolas Sarkozy d ici 2012, qui permettra aux parents de faire appel à la justice si aucune solution de garde ne leur est proposée.» En titre, le Figaro affirme que le droit opposable s avère «une promesse difficile à tenir ( ) projet très médiatique du droit de garde opposable calqué sur le droit au logement opposable que le gouvernement souhaite mettre en œuvre. ( ) car même après la remise ( ) d un rapport complet sur le sujet, rien ne précise les modalités de ce recours offert aux parents, pas même la nature de la juridiction qu ils pourraient saisir si l État ne pourvoyait pas à leurs besoins.» L article de La Croix précise que dans le rapport, «Il est envisagé de revoir le fonctionnement de la Protection maternelle et infantile (PMI), qui dépend du département. Aujourd hui, c est elle qui fournit l agrément aux assistantes maternelles. La députée veut donner aux communes la possibilité facultative de délivrer ces fameux agréments." La question des «jardins d éveil» est au premier plan, le communiqué de l AFP indique que «les plages horaires seraient semblables à celles des crèches, mais l encadrement moindre (un adulte pour 12 enfants), générant donc un coût plus faible. Les seniors pourraient participer à l accueil». La question de qui va payer n est pas posée. Le site Actuchomage.org s indigne devant "... «le projet de droit opposable à la garde d enfants d ici 2012 ou 2015 alors que le déficit de places est actuellement estimé à ( ) Autant dire que les parents qui galèrent pourront continuer de galérer. Leur offrir la possibilité de consacrer un temps précieux à faire appel à la justice pour obtenir enfin une solution de garde, quel gigantesque progrès social!» et poursuit en indiquant ««Surtout, selon le rapport pondu à cet effet par la députée UMP Michèle Tabarot, le cumul emploi retraite développé dans le «plan seniors» prend ici tout son sens : les retraités vont être sollicités et pourraient devenir des «papys et mamies sitters» à temps partiel ou complet( )» Le site internet NouvelObs.com met l accent sur le «Regroupement des assistantes maternelles dans un lieu extérieur (local communal ou appartement) sans perte de statut». Le Monde rappelle que "les aspects juridiques du sujet n ont pas encore été éclairés, aucune compétence obligatoire n incombant aux pouvoirs publics en matière d accueil des jeunes enfants, hormis l école maternelle à 3 ans. " Sur Libération la conclusion est : «En attente de validation par le Premier ministre, le sort de ce rapport est néanmoins incertain. Tout comme le coût et le financement, qui restent inconnus.» On aurait tendance à retenir pour finir ce panorama, les éléments écrits il y a déjà quelques mois, par le site tessolidaire.com ; «Pour rendre effectif le droit opposable à la garde d enfants, le gouvernement donnera certainement la priorité aux crèches privées et aux assistantes maternelles, la construction et le fonctionnement des crèches publiques étant trop jugés trop coûteux (...). Est-ce la fin d un certain service public de l enfance?» Articles en lien Les abonnés et adhérents trouveront de nombreux éléments complémentaires sur la partie privée - intranet - du site documentaire,en se connectant avec leurs identifiants. Vous trouverez ci-dessous le lien avec les articles en ligne s(dépêchez vous! ils ne le sont quelquefois que pour quelques jours) : Actuchomage.org, Le «droit opposable» à toutes les sauces Adminet, Nadine Morano, le droit opposable et l ouverture dominicale des crèches privées AFP, Propositions pour trouver places de garde d enfants Bambin Nature, Des jardins d éveil pour les 2-3 ans La Croix, il manquerait places en crèche Europe 1, le rapport petite enfance Le Figaro, Droit de garde opposable : une promesse difficile à tenir Journal Chrétien, Sarkozy a promis un «droit opposable» à la garde d enfants Liberation, un rapport esquisse le droit opposable à la garde d enfants Liberation Dèche de crèche : l Etat loin du compte Localtis, Les communes doivent être les garantes du droit de garde opposable Maire info, Le rapport de Michèle Tabarot fait des propositions Netiris, Le rapport de Michèle Tabarot fait des propositions Newspress, Accueil de la petite enfance : Michèle Tabarot a remis son rapport Nouvelobs.com, Il manque places en crêche Le Monde, "La France doit investir des budgets importants dans l offre de garde" Dossier de presse débat régional pour la petite enfance Lille, 10 février

12 Le Monde, ", Xavier Darcos au coeur du débat sur le droit opposable à la garde d enfants" Parents, Garde d enfants : des mesures destinées à créer places Rue89, le droit opposable Le Télégramme, accueil des tout petits, état des lieux Perspectives A lire ou a consulter également : Mediapart, à propos de la suppression des écoles maternelles "L école les pieds sur terre, bientôt les pieds dans l eau..." Casamape, pour une réforme en profondeur de la profession d assistante maternelle Les Forums passerelles EJE, qui ont ouvert un discussion, et une analyse détaillée de ce rapport Le communiqué de presse de la Fédération Nationale des Educateurs de Jeunes Enfants. L article de Dominique Méda, Jeanne Fagnani et Nathalie Morel, (Fondation Terra Nova) qui précise à propos du rapport Tabarot, que "si son diagnostic est équilibré, il reste dangereusement flou sur la mise en œuvre et le financement de cette mesure". Ne vous privez surtout pas de donner votre point de vue, d apporter des commentaires, de transmettre vos communiqués pour que l on donne le plus large écho. Téléchargez : le rapport Tabarot : Dossier de presse débat régional pour la petite enfance Lille, 10 février

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