ORIENTATIONS ET POLITIQUE POUR L IMMOBILIER DU DIOCÈSE DE NANTERRE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "ORIENTATIONS ET POLITIQUE POUR L IMMOBILIER DU DIOCÈSE DE NANTERRE"

Transcription

1 ORIENTATIONS ET POLITIQUE POUR L IMMOBILIER DU DIOCÈSE DE NANTERRE Orientations et politique pour l immobilier du Diocèse de Nanterre Mai

2 Table des matières ORIENTATIONS DE L EVEQUE DE NANTERRE POUR L IMMOBILIER Le diocèse veut marquer une présence d Eglise visible dans les lieux très fréquentés du département et doit donc adapter son immobilier aux besoins actuels et futurs Un souci prioritaire du diocèse est d évangéliser dans les quartiers défavorisés Le diocèse veut rejoindre le plus grand nombre de personnes sur des thématiques précises Tous les responsables pastoraux seront attentifs à porter la dimension caritative et fraternelle dans l utilisation des locaux existants comme dans les programmes immobiliers nouveaux Le logement des prêtres doit privilégier la possibilité d un habitat commun Un logement sera gardé à proximité de chaque lieu de culte Lorsqu un mouvement, un service ou une aumônerie ne sont pas liés à une paroisse donnée, ils examineront avec le vicaire général la possibilité et la pertinence d abriter leur activité dans des locaux paroissiaux... 5 LA POLITIQUE IMMOBILIERE DU DIOCESE DE NANTERRE 1 LES PRINCIPES DE GESTION DE L IMMOBILIER Entretenir et valoriser le patrimoine qui doit être conservé Prendre en compte le temps long Envisager les possibilités juridiques (baux à loyer, conventions d occupation, baux emphytéotiques, baux à constructions, ) permettant de ne pas avoir à payer de prix d acquisition Ne plus consentir des commodats Prendre soin de l habitat et des habitants Vendre ou ne pas vendre Développer les revenus fonciers Sécuriser les organismes propriétaires du point de vue juridique et du point de vue de la gouvernance, en particulier s agissant des associations paroissiales LES ACTEURS L Econome diocésain, administrateur ordinaire des biens du diocèse Les délégués de l économat diocésain La paroisse Le curé avec son EAP L économe paroissial Le conseil économique paroissial Le Conseil Immobilier Diocésain (CID) Rôle Tâches du CID L AIDN (Association Immobilière du Diocèse de Nanterre) Le CDAE Le collège des consulteurs L ADN La CDAS UNE METHODE Le dossier immobilier : objet et composition du dossier Les seuils d engagement financier pour les paroisses Responsabilité de la présentation du dossier à présenter au CID Les critères de choix du CID Outils pratiques MISE EN ŒUVRE DES PROJETS VISIBILITE SUR L IMMOBILIER DEONTOLOGIE ANNEXE 1 : AUTORISATIONS ADMINISTRATIVES, ACTES NOTARIES OU SOUS SEING PRIVE & SEUILS CANONIQUES DES ENGAGEMENTS FINANCIERS Autorisations administratives Les seuils canoniques des engagements financiers fixés par l Évêque de NANTERRE ANNEXE 2 : QU EST-CE QU UN PROGRAMME? ANNEXE 3 : SIGLES EMPLOYES Orientations et politique pour l immobilier du Diocèse de Nanterre Mai

3 P réambule Après avoir énoncé des Orientations, ce texte définit la Politique immobilière 1 au sein du diocèse de NANTERRE ainsi que certains des acteurs ou instances chargés de sa mise en œuvre. Après avis du CDAE et du Conseil presbytéral, il a été promulgué par l évêque de Nanterre, Mgr Gérard DAUCOURT, ad experimentum pour trois ans ( ). Il donne par conséquent des orientations, des principes et un cadre de fonctionnement pour toute personne ou instance en responsabilité de propriété ou de gestion d un bien d Eglise du diocèse de NANTERRE, où qu il soit situé géographiquement et quelle que soit la forme juridique du propriétaire. Sa mise en œuvre sera évaluée au plus tard en février Il faut garder à l esprit que le patrimoine comprend aussi des biens mobiliers. Une politique immobilière n est donc que l une des composantes de la gestion des biens de l Église diocésaine. Orientations et politique pour l immobilier du Diocèse de Nanterre Mai

4 ORIENTATIONS DE L EVEQUE DE NANTERRE POUR L IMMOBILIER Pour accomplir sa mission d Annonce de la Parole de Dieu, de Célébration du Salut et de Service de la Vie des Hommes, l Eglise de Nanterre reçoit des générations passées un important patrimoine, qu elle a le devoir de gérer en l adaptant aux besoins des communautés d aujourd hui et de demain, pour autant que l on puisse discerner les besoins futurs. Il s agit donc de se doter pour les années à venir des bâtiments utiles à la mission d annonce de l Evangile : nous avons besoin d églises pour rassembler les fidèles, de presbytères pour loger les prêtres, de locaux pour les activités pastorales afin d accomplir notre triple Tâche. Pour cette gestion de l immobilier, il convient de laisser jaillir l espérance et l audace pour nous implanter parfois là où nous n étions pas présents, mais aussi le courage pour accepter de nous séparer de bâtiments peu utiles pour la mission, ou franchement trop lourds à entretenir. Nous avons à l esprit que notre diocèse est marqué par une charge lourde d entretien des bâtiments : 65% des biens employés au service de la Mission lui appartiennent contre 35% aux communes, alors que la proportion est inverse dans la très grande majorité des autres diocèses. Sans vouloir fixer des cadres trop rigides, sans oublier non plus les impondérables et les opportunités qui peuvent surgir, et surtout sans préjuger de ce que l Esprit dira à notre Eglise, il est nécessaire de préciser quelques axes prioritaires dans notre gestion de l immobilier pour préparer des évolutions au service de la mission de l Église : 1. Le diocèse veut marquer une présence d Eglise visible dans les lieux très fréquentés du département et doit donc adapter son immobilier aux besoins actuels et futurs. - Pour prendre en compte l évolution de l aménagement du département, de sa démographie et de sa composition sociologique - Pour accueillir des personnes non résidentes mais présentes régulièrement pour des raisons professionnelles, (par exemple, à La Défense ) 2. Un souci prioritaire du diocèse est d évangéliser dans les quartiers défavorisés. Ceci a pour conséquence de procéder à des investissements parfois lourds en proportion de la taille de la communauté chrétienne rassemblée le dimanche. Une telle orientation ne peut être mise en œuvre que grâce à la solidarité diocésaine et une certaine péréquation des ressources entre les paroisses. 3. Le diocèse veut rejoindre le plus grand nombre de personnes sur des thématiques précises Le diocèse a déjà créé des «maisons d Église» pour faire le lien entre l activité professionnelle et la vie de foi, pour promouvoir l écoute de la Parole de Dieu et pour accueillir les problématiques familiales. Il faudra rester «à l écoute des signes des temps» afin de discerner si d autres thématiques appellent de nouvelles initiatives qui ne passeront pas nécessairement par la création de nouvelles maisons d Eglise mais pourront modifier significativement l affectation de locaux existants. Orientations et politique pour l immobilier du Diocèse de Nanterre Mai

5 4. Tous les responsables pastoraux seront attentifs à porter la dimension caritative et fraternelle dans l utilisation des locaux existants comme dans les programmes immobiliers nouveaux N.B. : réalisée dans un local paroissial, une activité caritative peut être directement assumée par la paroisse ou confiée à un acteur agréé par l évêque. 5. Le logement des prêtres doit privilégier la possibilité d un habitat commun a) pour les prêtres en activité : il est nécessaire de rendre possible une vie fraternelle en prévoyant des espaces communs 2 ; dans la mise en œuvre de cette orientation, il faudra prendre en compte le besoin impératif d un espace personnel 3 et, pour les curés au moins, le caractère plus que souhaitable d habiter sur le territoire paroissial 4. b) pour les prêtres aînés : le diocèse fait le choix qu ils puissent rester dans les communautés paroissiales tant que cela est possible puis l accueil est proposé prioritairement à la Maison Marie-Thérèse. 6. Un logement sera gardé à proximité de chaque lieu de culte Notamment pour permettre la présence d un foyer d accueil ou d une communauté religieuse quand il n y a pas de prêtre résident. 7. Lorsqu un mouvement, un service ou une aumônerie ne sont pas liés à une paroisse donnée, ils examineront avec le vicaire général la possibilité et la pertinence d abriter leur activité dans des locaux paroissiaux Même si cela peut permettre de mutualiser des locaux et donc d en optimiser la gestion, le bénéfice premier est à chercher dans la proximité avec une communauté où l Eucharistie est célébrée. Réciproquement, ce mouvement, service ou aumônerie seront un signe pour les paroissiens d une ouverture à d autres pans de la vie de l Église. Naturellement, au-delà de ces axes prioritaires, chaque projet immobilier devra aussi s appuyer sur une analyse de la situation à partir de données humaines, géographiques, économiques, urbanistiques, architecturales et préciser les choix missionnaires qui le guident. 2 Salle à manger, cuisine, salon 3 chaque prêtre doit pouvoir disposer d un logement décent qui comprend un bureau, une chambre, une salle de bain, un coin cuisine et le niveau de confort moderne 4 Par territoire paroissial on entend là le périmètre géographique qui lui est confié et qui peut regrouper plusieurs paroisses au sens canonique du terme Orientations et politique pour l immobilier du Diocèse de Nanterre Mai

6 LA POLITIQUE IMMOBILIERE DU DIOCESE DE NANTERRE Les biens immobiliers soumis à cette politique sont - Les biens appartenant canoniquement au diocèse, - Les biens dont les paroisses ont la jouissance 5 : o Biens appartenant aux collectivités publiques, 6 o Biens d Église : biens correspondant à l exercice du culte, biens «frugifères», biens scolaires, - Les biens d associations relevant en dernier ressort de l autorité de l évêque de Nanterre. Remarque 1 : Au sujet de l immobilier des congrégations religieuses, on se reportera au vademecum publié en octobre 2011 «Patrimoine des instituts religieux. Pour de bonnes relations entre diocèses et congrégations». Remarque 2 : Au sujet de l immobilier de l Enseignement catholique, on se reportera aux «Préconisations pour une politique immobilière de l Enseignement Catholique» adoptées par le Comité national de l Enseignement catholique le 3 juillet LES PRINCIPES DE GESTION DE L IMMOBILIER Les «propriétaires» ou «gestionnaires» auquel ce document s adresse (quelle que soit leur identité juridique effective : ADN, AIDN, AIPHS, associations liées à une paroisse etc.) prendront leurs décisions en s efforçant de prendre en compte les principes qui suivent. NB : Pour alléger la rédaction de ce texte, il y sera question en général des «paroisses» mais il s applique tout autant aux autres entités concernées : aumôneries, maisons d Eglise, services diocésains logés ailleurs qu à la Maison diocésaine, etc. 1.1 Entretenir et valoriser le patrimoine qui doit être conservé : - Eviter la dispersion et mutualiser les locaux : les jeunes des aumôneries se réuniront de préférence dans des locaux paroissiaux ; la pastorale universitaire croisera avec les paroisses, - Les lieux de culte dont le diocèse n aurait plus l usage pourront être mis à disposition d Églises ou de communautés ecclésiales chrétiennes afin d en assurer l entretien et la conservation à long terme. 1.2 Prendre en compte le temps long Intégrer le fait que, pour l'immobilier, l investissement est lourd financièrement et génère une inertie sur plusieurs dizaines d années qui fait que le retour sur investissement est long, que la réversibilité est difficile et que la liquidité (capacité de revente rapide) est très faible. 5 Pour davantage de détails se reporter au Préambule du livret «Conseils économiques paroissiaux» édition juin Même s ils ne sont pas biens d Eglise, leur administration doit concourir à la réalisation des Orientations diocésaines et c est à ce titre qu ils sont cités ici. Orientations et politique pour l immobilier du Diocèse de Nanterre Mai

7 1.3 Envisager les possibilités juridiques (baux à loyer, conventions d occupation, baux emphytéotiques, baux à constructions, ) permettant de ne pas avoir à payer de prix d acquisition. 1.4 Ne plus consentir des commodats La mise à disposition gratuite se traduit trop souvent dans la pratique par l évitement de travaux importants et onéreux malgré leur nécessité. On préférera donc systématiquement un loyer dont le montant devra permettre en principe au propriétaire de réaliser les travaux qui lui incombent. Le regroupement de plusieurs propriétés au sein d un même organisme (AIDN, AIPHS, ) doit permettre une certaine péréquation. 1.5 Prendre soin de l habitat et des habitants - Veiller à loger les prêtres de manière correcte : la caisse de solidarité diocésaine est là pour le permettre dans les lieux qui n en n ont pas les moyens financiers 7, - Utiliser les locaux paroissiaux de manière concertée avec le Diocèse : pas d installation d un occupant dans un logement sans autorisation écrite du vicaire général et / ou de l économe diocésain. - Prévoir dans les contrats de mise à disposition des locaux une clause d occupation en bon père de famille et interdire une activité dans ces locaux se révélant perturbante pour la vie paroissiale ou poursuivant des buts contraires à la doctrine de l Eglise - Prévoir des lieux avec accompagnement pastoral pour des séminaristes ou des étudiants. 1.6 Vendre ou ne pas vendre - Etre prêt à vendre ce qui n est plus utile, inadapté ou trop coûteux à entretenir - Mais ne pas vendre du patrimoine pour assurer le fonctionnement, par exemple réaliser des travaux d entretien : le produit des ventes qui doivent être faites doit être réinvesti dans des biens qui seront une source de revenus pour les générations futures. Ceci est une demande explicite du Saint Siège. NB : le réinvestissement peut être effectué avec prudence et discernement dans d autres formes de biens que l immobilier 1.7 Développer les revenus fonciers - Les ressources liées au culte risquant de baisser, prendre les moyens de développer les revenus fonciers grâce à la création de structures juridiques ad hoc contrôlées par le diocèse. - Louer un appartement reçu en legs, quand cela est possible et que l état du bien le permet et ainsi dégager des revenus - Demander un loyer aux services d Eglise et associations catholiques qui sont abritées dans des locaux paroissiaux ou diocésains. - Pour toute location ou tout prêt ou mise à disposition gratuite ou onéreuse, recueillir préalablement l accord écrit de l Econome Diocésain et/ou du Vicaire Général. 7 Cf. Vade-mecum sur la vie matérielle des prêtres Orientations et politique pour l immobilier du Diocèse de Nanterre Mai

8 1.8 Sécuriser les organismes propriétaires du point de vue juridique et du point de vue de la gouvernance, en particulier s agissant des associations paroissiales - S assurer de la présence d un membre de droit ayant statutairement la possibilité d empêcher des décisions contraires aux Orientations diocésaines, au caractère catholique de l activité, ce membre de droit étant le curé de paroisse ou un représentant de l évêque nommé par lui. - Remarque importante : Les biens dont il est question ici ont vocation à intégrer l ADN, en ce qui concerne leur propriété civile. En cas de cession de l association paroissiale à l ADN, leur propriété canonique demeurera dans les paroisses ; cela signifie que l ADN n a pas le droit d en disposer, que la paroisse en conserve la pleine gestion et en garde les fruits éventuels. 2 LES ACTEURS 2.1 L Econome diocésain, administrateur ordinaire des biens du diocèse Aux termes du Canon 494 3, «selon les directives définies par le CDAE, il revient à l économe d administrer les biens du diocèse sous l autorité de l Evêque». Il lui appartient d administrer selon le droit (canons 1278 à 1289) tous les biens du diocèse sans exception, comme le précise le commentaire du Code. D une façon générale, l Econome diocésain veille à la cohérence globale du dispositif économique du diocèse sous les aspects canoniques, juridiques, fiscaux, immobiliers, budgétaires, financiers et comptables. Il exerce sa fonction d administrateur sous le contrôle du Commissaire aux comptes et rend compte au CDAE. 2.2 Les délégués de l économat diocésain Comme il est prévu dans les Orientations diocésaines du 11 octobre , l Econome diocésain pourra nommer des délégués pour accompagner les différents projets immobiliers des paroisses. Dans l attente de ces nominations, les membres du service immobilier diocésain accompagnent chacun un certain nombre de projets en fonction de leurs compétences propres. 2.3 La paroisse Le curé avec son EAP En matière immobilière, le curé avec son EAP doit s efforcer d anticiper les besoins et de poser les bases d un cahier des charges ou d un programme en amont de toute recherche de solution immobilière ; celle-ci n est ni de leur responsabilité première ni souvent de leur compétence. En revanche, c est à eux qu il revient d énoncer quels besoins doivent être couverts ou quels projets pastoraux devraient être menés à bien. Dès que s annonce une problématique immobilière «importante» (voir 9) le curé prend contact avec le Conseil immobilier diocésain (voir ci-après 6). 8 Voir Orientations pour la Mission des catholiques du diocèse de Nanterre p. 85 Orientations et politique pour l immobilier du Diocèse de Nanterre Mai

9 2.3.2 L économe paroissial L économe paroissial a dans ce dispositif un rôle-clé : auprès du curé et au sein de l EAP, s appuyant par ailleurs sur des ressources locales compétentes 9, il porte la gestion des immeubles et se trouve au cœur de la conduite des projets. Il mène ordinairement le dialogue avec le Conseil immobilier diocésain. Il veille à ce qu un programme soit écrit préalablement à toute ébauche de solution. Il soumet au curé, à l EAP et au Conseil économique paroissial les différentes hypothèses conçues par les personnes compétentes qui sont impliquées dans la réflexion. Il participe au montage des dossiers les plus importants, il propose la ou les options retenues à l agrément du CID et il en suit la bonne exécution Le conseil économique paroissial Les programmes d investissement ou de gros travaux immobiliers, que ceux-ci soient annuels ou pluriannuels, seront soumis à l avis du conseil économique paroissial Le Conseil Immobilier Diocésain (CID) Rôle Le Conseil Immobilier Diocésain (CID) est l instance où, d une part, se préparent les choix stratégiques à proposer à l évêque, assisté du CDAE, et où, d autre part, s exercent le contrôle et le suivi des différents projets en veillant également à leur cohérence diocésaine. Ceci est indispensable compte tenu de l importance financière des projets immobiliers, de leur nombre, et de leur complexité croissante. La cohérence diocésaine se décline dans la politique immobilière mise en place qui permet de retenir et de financer les projets paroissiaux justifiés pastoralement, recevables techniquement, cohérents territorialement, conformes réglementairement et admissibles budgétairement Tâches du CID : - Chaque année, préparer et faire valider par l évêque, éclairé par le CDAE, la politique immobilière du diocèse et son enveloppe budgétaire annuelle (investissements, travaux, désinvestissements) ainsi que les quelques projets les plus importants, - Analyser et étudier les projets immobiliers au regard de la politique choisie par le diocèse, - Préparer le projet retenu pour une validation juridique et canonique (CA de l ADN, conseil presbytéral, CDAE, collège des consulteurs ), - Accompagner, suivre et contrôler l exécution des projets approuvés ; si la difficulté ou l ampleur du projet l exigent, désigner explicitement un de ses membres pour cet accompagnement. 2.5 L AIDN (Association Immobilière du Diocèse de Nanterre) Cette association diocésaine immobilière a été constituée le 6 décembre 2011 pour porter des immeubles non cultuels provenant notamment de donations. Elle a également vocation à être utilisée en tant que porteur de parts de SCI auxquelles pourront être apportés les immeubles frugifères à usage non cultuel et actuellement portés en direct par l ADN. 9 Par exemple : géomètre, économiste, programmiste, architecte 10 Pour plus de détails, se reporter au Livret Conseils économiques paroissiaux juin 2012 art. XVIII et XIX Orientations et politique pour l immobilier du Diocèse de Nanterre Mai

10 Remarque : s agissant de l immobilier de l Enseignement catholique, ces biens d Eglise ont vocation à intégrer l AIPHS (Association des institutions privées des Hauts de Seine) 2.6 Le CDAE Le Conseil diocésain pour les Affaires économiques (Can.492) est sous la dépendance de l évêque qui devra le consulter pour les affaires de particulière importance (Can. 1277). Bien qu il soit un organisme consultatif, ses avis ont un caractère contraignant dans certains cas d aliénation d un bien (can. 1292). En outre il a une fonction de contrôle à l égard des patrimoines soumis à la vigilance de l évêque. Il est chargé d approuver chaque année le budget diocésain et de veiller à son application (Can. 493). 2.7 Le collège des consulteurs Le code de Droit canonique de 1983 a introduit le collège des consulteurs comme nouvelle figure juridique, organisme consultatif qui émane du conseil presbytéral et permet d assister l évêque dans les affaires de gouvernent d une importance spéciale (Can.502 et can.1277) 2.8 L ADN Les biens correspondant à l exercice du Culte (églises, chapelles, presbytères, salles paroissiales utilisées pour les aumôneries, la catéchèse ou des réunions ayant trait à l activité de la Paroisse ) et n appartenant pas aux communes, ont vocation à être propriété «civile» de l Association diocésaine de Nanterre (ADN) tout en demeurant propriété «canonique» des Paroisses (sauf à en avoir transféré la propriété canonique au diocèse). Le conseil d administration de l ADN doit donc donner son accord dès qu il s agit de vendre ou d acquérir un de ces biens. 2.9 La CDAS Lorsque le CID a connaissance de travaux touchant une église, une chapelle ou une sacristie, il en informe la commission d Art sacré (CDAS) et lui précise autant que possible la nature des travaux envisagés. En fonction de cette communication initiale - qui peut également être venue directement de la paroisse - la CDAS peut demander des compléments d information et détermine comment tenir le rôle de conseil qui lui incombe dans ce domaine. 3 UNE METHODE Le conseil immobilier diocésain n est pas uniquement une instance de validation d un projet, car, en amont, il met en œuvre la politique immobilière du diocèse ; aussi les projets paroissiaux présentés au conseil immobilier diocésain devront-ils nécessairement s intégrer dans cette politique immobilière. 3.1 Le dossier immobilier : objet et composition du dossier Quand un projet immobilier a un coût dépassant 15% du budget annuel de la paroisse ou lorsqu il requiert une autorisation administrative, le dossier doit être présenté pour avis au CID avant d être soumis au CDAE. Orientations et politique pour l immobilier du Diocèse de Nanterre Mai

11 L objet du dossier est de formaliser un projet écrit et chiffré. Il vise à démontrer qu au regard des besoins, le projet est : pastoralement justifié, avec des options de programme raisonnables et prudentes techniquement adapté et conforme aux réglementations, économiquement admissible et financièrement supportable à terme. Une note écrite est rédigée sur ce projet, comprenant plusieurs éléments 11, notamment : Les documents attestant des motivations pastorales du projet et illustrant que les moyens actuels ne correspondent pas aux besoins actuels et nouveaux (courrier du curé, argumentaire présenté par la paroisse, etc ). Situation de l immeuble concerné (plan du quartier et plan de situation), Description du programme (avec les surfaces et les éléments techniques nécessaires) et analyse de sa faisabilité, Questions à résoudre, Coût financier (estimation faite par un économiste) et modalités de financement 3.2 Les seuils d engagement financier pour les paroisses Cf. Annexe 1. D une façon générale, toutes les opérations patrimoniales du diocèse s inscrivent dans le Droit de l Eglise et doivent respecter les seuils canoniques. 3.3 Responsabilité de la présentation du dossier à présenter au CID Pour préparer la présentation des projets immobiliers devant être validés, chaque dossier, qu il soit financé ou non par le diocèse, est présenté par l économe paroissial concerné conjointement avec les responsables pastoraux du lieu qui peuvent participer à la réunion quand la présentation de leur projet le nécessite. 3.4 Les critères de choix du CID L étude du dossier par le CID vise à répondre aux questions suivantes : S inscrit-il dans la politique immobilière diocésaine? Le projet est-il indispensable? nécessaire? utile? en fonction des besoins pastoraux (analyse d opportunité) Est-il techniquement adapté et fiable? Est-il financièrement admissible et supportable à terme? Par qui et avec quels moyens va-t-il être conduit? A quel horizon peut-on réaliser l opération? 3.5 Outils pratiques Pour travailler régulièrement et efficacement, le CID met en place deux outils : 11 Voir en annexe 2 Orientations et politique pour l immobilier du Diocèse de Nanterre Mai

12 Un compte rendu de chaque réunion, Un tableau de bord. 4 MISE EN ŒUVRE DES PROJETS Les projets dont la réalisation est décidée sont systématiquement accompagnés par l économe paroissial ou la personne chargée de l immobilier paroissial et suivis par les responsables paroissiaux, parfois appuyés par un AMO (assistant à maître d ouvrage) ou un MOD (maître d ouvrage délégué). Pour les projets qui requièrent l accord de l économe diocésain (cf. Annexe 1), le choix des intervenants (architecte, AMO, MOD ) et leurs contrats sont également soumis à son agrément. Le CID fait le point de manière régulière sur le suivi de ces opérations. 5 VISIBILITE SUR L IMMOBILIER Le diocèse a besoin d avoir une plus grande visibilité sur l immobilier des paroisses. L évêque a en effet un rôle de vigilance à exercer sur l ensemble du patrimoine immobilier canonique. L intégration comptable a permis d agréger les comptes des paroisses et de faire le point sur leur situation patrimoniale. Il y a une obligation canonique de faire un inventaire lors du changement de curé (Canon ) En conséquence, une rencontre est organisée par l économe diocésain 12, avec participation du curé «sortant», du curé «entrant», de l économe paroissial et des membres du conseil économique paroissial. Un tour d horizon complet est alors effectué sur les biens immobiliers, propriétés canoniques de la paroisse, avec les projets et les questions en suspens. Enfin, de manière à parfaire cette connaissance de l ensemble du patrimoine canonique sur le diocèse, il y a lieu de poursuivre la collaboration avec les autres instances ecclésiales (en particulier les congrégations religieuses par le biais de la CORREF) afin de croiser les regards sur les autres biens immobiliers, sans oublier, compte tenu des enjeux qu il représente, tout le patrimoine scolaire, propriété de l Enseignement catholique, qui lui est loué ou qui est mis à sa disposition. 6 DEONTOLOGIE Toutes les personnes intervenant au titre de leurs fonctions ou missions dans la gestion du patrimoine du diocèse de Nanterre adhèrent au présent document de référence. Elles s engagent à toujours agir au service de l Eglise diocésaine et de sa mission en respectant le droit civil et le droit de l Eglise. Elles s efforcent d éviter tout conflit d intérêt. Elles s interdisent notamment de réaliser pour leur bénéfice personnel des opérations en contrepartie d opérations effectuées pour le compte du 12 Ou un délégué à l économat diocésain Orientations et politique pour l immobilier du Diocèse de Nanterre Mai

13 diocèse ou de la paroisse. Elles s interdisent de retirer un quelconque avantage de leur fonction, de solliciter ou d accepter des cadeaux. Ne peuvent être décisionnaires dans la gestion d un patrimoine immobilier paroissial : L architecte et les entrepreneurs amenés à exécuter des travaux pour la paroisse, Les banquiers, directeurs de banques ou d organismes où sont déposés les fonds paroissiaux, Les salariés de la paroisse, Les parents ou alliés proches du curé, ou de l un des membres de l équipe pastorale, Les élus au conseil municipal d une commune sur laquelle se situe la paroisse. Nanterre, le 24 Mai 2013, Aude-Reine ANOUIL Chancelière Orientations et politique pour l immobilier du Diocèse de Nanterre Mai

14 7 ANNEXE 1 : AUTORISATIONS ADMINISTRATIVES, ACTES NOTARIES OU SOUS SEING PRIVE & SEUILS CANONIQUES DES ENGAGEMENTS FINANCIERS 7.1 Autorisations administratives En tout état de cause, tous les actes ou démarches administratives ci-dessous doivent faire l objet pour les demandes, de l autorisation et, pour les actes, de la signature du propriétaire civil (ADN ou associations) : -les permis de construire et de démolir -Les autorisations de travaux -Les hypothèques et servitudes -Les baux et les prises à bail -Les conventions d occupations -Les cessions ou acquisitions de biens, quels que soient leurs montants. La signature ou le pouvoir de l économe diocésain est indispensable pour valider juridiquement l ensemble de ces actes. 7.2 Les seuils canoniques des engagements financiers fixés par l Évêque de NANTERRE -Tout engagement financier supérieur à 10% du budget annuel, ou supérieurs à 50 K doit faire l objet d une double signature de personnes ayant chacune une délégation bancaire. -Tout engagement de dépenses supérieures à 15% du budget annuel doit faire l objet de l accord écrit de l économe diocésain. -Tout engagement de dépenses entre 50 et 300 K doit avoir l accord de l économe diocésain et éventuellement celui du CDAE. -Tout engagement de dépenses entre 300K et 2500 K doit avoir les accords de l évêque et du CDAE ainsi que l avis du Collège des consulteurs. -Tout engagement de dépenses au-delà de 2500 K doit avoir les accords de l évêque, du CDAE et du collège des consulteurs mais aussi l accord de Rome. - En cas de vente d une église, respecter le Canon 1222 Orientations et politique pour l immobilier du Diocèse de Nanterre Mai

15 8 ANNEXE 2 : QU EST-CE QU UN PROGRAMME? Un programme est un document établi par la paroisse après avoir défini le projet pastoral et en liaison permanente avec le service immobilier diocésain. La paroisse peut choisir de se faire aider d un programmiste. Le programme doit d'abord avoir un titre qui évoque le projet. Ex :"la maison de la parole». Il répond à un besoin qu'il s'agit de décrire, d'argumenter et de justifier et il définit les intentions du maître d'ouvrage. Ensuite : Il décrira les personnes qui fréquenteront, habiteront, visiteront il estime leur nombre, la fréquence de leur passage Il établira le type de relations que l on souhaite obtenir, le type de protection, de confidentialité ou d'ouverture Il décrira éventuellement l'image qu'il souhaite donner Il dressera une liste des pièces, par chapitres, avec surfaces, positions, fréquentations, liaisons entre elles, avec les performances de confort dont on veut bénéficier Il décrira les performances techniques que l on veut obtenir selon les locaux On peut illustrer le programme par des schémas fonctionnels, montrant par exemple la position et la liaison souhaitées entre les salles Le maitre d ouvrage fera chiffrer à ses frais par un économiste indépendant le programme ainsi défini. Ou bien il demandera au service immobilier du diocèse son aide pour effectuer ce chiffrage. Principe important : en aucun cas, le maître d ouvrage ne fait travailler un maître d'œuvre avant d'avoir établi son programme et il ne se fie pas à l'estimation faite gratuitement par une entreprise ou un maître d'œuvre. Dans des situations complexes d'interventions liées à un site avec des bâtiments existants et des contraintes réglementaires à approfondir, le maître d'ouvrage peut commander un diagnostic technique et architectural (mission prévue au Code des marchés et indépendante de la mission de maîtrise d œuvre). Ce diagnostic peut précéder la mise au point du programme. Il est parfois recommandé de ne pas reprendre ce maître d'œuvre pour la mission de maîtrise d œuvre. Le programme rédigé est confié à un maître d'œuvre (architecte) après consultation le cas échéant d un jury (en cas de concours ou de mise en compétition sur référence). Le maître d'œuvre établit des pièces écrites et graphiques, aux différentes étapes d'un projet, avant-projet sommaire, avantprojet détaillé, projet. Ensuite, dans la consultation des entreprises, les pièces écrites décrivant le projet sont appelées cahier des charges ou cahier des clauses particulières techniques. Orientations et politique pour l immobilier du Diocèse de Nanterre Mai

16 9 ANNEXE 3 : SIGLES EMPLOYES ADN : association diocésaine de Nanterre AIDN : association immobilière du diocèse de Nanterre CDAE : conseil diocésain des affaires économiques CDAS : commission d Art sacré CID : conseil immobilier diocésain CORREF : conférence des religieux et religieuses de France EAP : équipe d animation pastorale Orientations et politique pour l immobilier du Diocèse de Nanterre Mai

Nature. Gestion et précautions indispensables. Précautions indispensables

Nature. Gestion et précautions indispensables. Précautions indispensables Nature «La fabrique d église et la mense curiale sont deux établissements ecclésiastiques distincts, ayant chacun la personnalité juridique en tant qu établissement public du culte» (guide administratif

Plus en détail

COMMISSION IMMOBILIERE DE L ENSEIGNEMENT CATHOLIQUE. Préconisations pour une politique immobilière de l Enseignement Catholique.

COMMISSION IMMOBILIERE DE L ENSEIGNEMENT CATHOLIQUE. Préconisations pour une politique immobilière de l Enseignement Catholique. 1 COMMISSION IMMOBILIERE DE L ENSEIGNEMENT CATHOLIQUE Préconisations pour une politique immobilière de l Enseignement Catholique Exposé des motifs L Enseignement Catholique est l un des lieux privilégiés

Plus en détail

Cadre de référence de la gestion du patrimoine de l Institut Pasteur

Cadre de référence de la gestion du patrimoine de l Institut Pasteur Cadre de référence de la gestion du patrimoine de l Institut Pasteur Préambule Fondation privée reconnue d utilité publique à but non lucratif, l Institut Pasteur dispose de différents types de ressources

Plus en détail

G uide M éthodologique

G uide M éthodologique MESURES DE PROTECTION DES MINEURS Suivez le guide!!! AVRIL 2015 G uide M éthodologique Document actualisé le 07 avril 2015 par Le Service en charge des Mesures de Protection des Mineurs de l UDAF de la

Plus en détail

Guide méthodologique du bilan patrimonial

Guide méthodologique du bilan patrimonial Guide méthodologique du bilan patrimonial Atelier «Etablir un bilan patrimonial» Pôle LES MISSIONS DE DEMAIN www.experts-comptables.fr/65 Guide méthodologique du bilan patrimonial Sommaire I Définir le

Plus en détail

Statuts de l Association paroissiale catholique romaine de. (nom de la paroisse + lieu)

Statuts de l Association paroissiale catholique romaine de. (nom de la paroisse + lieu) Statuts de l Association paroissiale catholique romaine de (nom de la paroisse + lieu) Toute désignation de personne ou de fonction dans les présents statuts vise indifféremment un homme ou une femme.

Plus en détail

Edito. Salut à toi nouveau Kedger!

Edito. Salut à toi nouveau Kedger! Livret KedgeImmo 1 Edito Salut à toi nouveau Kedger! Prêt à vivre des années étudiantes mémorables? Nous sommes là pour t aider! KedgeImmo et son équipe te propose de t accompagner dans ton installation!

Plus en détail

les Contrats de mariage, les régimes matrimoniaux

les Contrats de mariage, les régimes matrimoniaux Personnes et familles Vie familiale / vie à deux les Contrats de mariage, les régimes matrimoniaux www.notaires.paris-idf.fr Vie familiale, vie à deux LES CONTRATS DE MARIAGE ET LES RÉGIMES MATRIMONIAUX

Plus en détail

MARIAGE. Adresse du futur foyer: En l église paroissiale: Date du mariage, A (numéro postal, localité, commune) Diocèse de: ENTRE

MARIAGE. Adresse du futur foyer: En l église paroissiale: Date du mariage, A (numéro postal, localité, commune) Diocèse de: ENTRE DOC. VI. MARIAGE Date du mariage, En l église paroissiale: A (numéro postal, localité, commune) Diocèse de: ENTRE (Nom et prénoms du fiancé) (Nom et prénoms de la fiancée) Adresse actuelle: (localité et

Plus en détail

S I M O N, D A C O S T A & C A T R O U

S I M O N, D A C O S T A & C A T R O U S I M O N, D A C O S T A & C A T R O U N O T A I R E S OUVERTURE DE SUCCESSION LISTE DES PIECES A FOURNIR AU NOTAIRE Concernant le défunt : - Deux extraits de son acte de décès, - Livret de famille et

Plus en détail

Visita ad limina Apostolorum dei Presuli della Conferenza Episcopale del Benin

Visita ad limina Apostolorum dei Presuli della Conferenza Episcopale del Benin N. 0311 Lunedì 27.04.2015 Visita ad limina Apostolorum dei Presuli della Conferenza Episcopale del Benin Il Santo Padre Francesco ha ricevuto questa mattina in Udienza i Vescovi della Conferenza Episcopale

Plus en détail

VOUS ÊTES TUTEUR D UNE PERSONNE MAJEURE

VOUS ÊTES TUTEUR D UNE PERSONNE MAJEURE VOUS ÊTES TUTEUR D UNE PERSONNE MAJEURE LES PREMIÈRES DÉMARCHES Devenir tuteur familial Une gestion prudente et avisée Vous venez d être nommé tuteur d un majeur à protéger La tutelle est un régime de

Plus en détail

Reximmo Patrimoine 2

Reximmo Patrimoine 2 G E S T I O N D E P A T R I M O I N E Reximmo Patrimoine 2 SCPI DE TYPE «MALRAUX» Un investissement indirect dans de l immobilier ancien au cœur des villes historiques Souscription ouverte jusqu au 20

Plus en détail

I - Effets de la mesure de protection :

I - Effets de la mesure de protection : NOTICE à L USAGE du TUTEUR d un parent ou d un proche sous tutelle Vous venez d être nommé en qualité de tuteur d un parent proche. La tutelle est une mesure destinée à protéger sa personne et ses biens.

Plus en détail

Association SYNADEC. Association Loi 1901 Siège social : Association SYNADEC

Association SYNADEC. Association Loi 1901 Siège social : Association SYNADEC Association SYNADEC Association Loi 1901 Siège social : Association SYNADEC Il est fondé, entre les adhérents aux présents statuts, une association régie par la loi du 1er juillet 1901, le décret du 16

Plus en détail

Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction du tuteur

Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction du tuteur TRIBUNAL D INSTANCE D AMIENS Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction du tuteur Ces dispositions ne concernent pas les renouvellements à l identique des mesures de tutelle. Par contre, si

Plus en détail

Les dispositions à prendre en cours de fonction

Les dispositions à prendre en cours de fonction TRIBUNAL D INSTANCE D AMIENS Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction de Curateur dans le cadre d une curatelle dite renforcée (article 472 du code civil) Ces dispositions ne concernent

Plus en détail

Avancement du projet de création de l institut national de formation. Instance Nationale de Concertation 16 avril 2015

Avancement du projet de création de l institut national de formation. Instance Nationale de Concertation 16 avril 2015 Avancement du projet de création de l institut national de formation Instance Nationale de Concertation 16 avril 2015 2013-2014 2015 1 er janv. 2016 Etat des lieux Création de l institut Définition organisation

Plus en détail

Le Baptême des petits enfants en 25 questions

Le Baptême des petits enfants en 25 questions Le Baptême des petits enfants en 25 questions 1. Les parents doivent-ils être baptisés pour demander le baptême de leur Non, puisque c est la personne qui va recevoir le baptême qui est concernée. Tous

Plus en détail

- le cas échéant, représenté par le mandataire [nom ou raison sociale et adresse du mandataire ainsi que l activité exercée] :

- le cas échéant, représenté par le mandataire [nom ou raison sociale et adresse du mandataire ainsi que l activité exercée] : CONTRAT DE LOCATION (Soumis au titre Ier bis de la loi du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs et portant modification de la loi n 86-1290 du 23 décembre 1986) LOCAUX MEUBLES A USAGE

Plus en détail

Association diocésaine de Blois 2, rue Porte Clos-Haut 41000 BLOIS

Association diocésaine de Blois 2, rue Porte Clos-Haut 41000 BLOIS Association diocésaine de Blois 2, rue Porte Clos-Haut 41000 BLOIS 1 INTRODUCTION Rappel sur l organisation temporelle du diocèse de Blois. L évêque est le seul administrateur du diocèse. L évêque prend

Plus en détail

TRANSFERT DU DOMICILE FISCAL DE FRANCE AU MAROC

TRANSFERT DU DOMICILE FISCAL DE FRANCE AU MAROC TRANSFERT DU DOMICILE FISCAL DE FRANCE AU MAROC I DETERMINATION DE LA RESIDENCE Au plan fiscal, les conséquences résultant pour un résident et ressortissant français de son installation au Maroc dépendent

Plus en détail

Foire Aux Questions Cocagne Investissement

Foire Aux Questions Cocagne Investissement Foire Aux Questions Cocagne Investissement POURQUOI SOUSCRIRE?... 1 En quoi Cocagne Investissement est-il un fonds citoyen et solidaire?... 1 Quelles sont les modalités d intervention de Cocagne Investissement

Plus en détail

Donner, léguer... pour la vie et les projets de l Église Réformée à Lyon. Parlons-en!

Donner, léguer... pour la vie et les projets de l Église Réformée à Lyon. Parlons-en! Donner, léguer... pour la vie et les projets de l Église Réformée à Lyon Parlons-en! 2 Les dons dons classiques dons «ISF» L unique ressource financière de l Église, c est le don. Dans un monde qui a tendance

Plus en détail

CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD

CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD AVANT-PROPOS Établissement public, l Agence Française de Développement exerce une mission d intérêt public, principalement à l international. CHARTE D ÉTHIQUE

Plus en détail

Associations Dossiers pratiques

Associations Dossiers pratiques Associations Dossiers pratiques La loi ESS, enjeux et opportunités (Dossier réalisé par Michèle Lorillon, In Extenso) La loi relative à l Economie Sociale et Solidaire (ESS), qui était tant attendue par

Plus en détail

PREPARATION A L EXAMEN PROFESSIONNEL DE SECRETAIRE ADMINISTRATIF DE CLASSE EXCEPTIONNELLE EPREUVE DE LA NOTE OPERATIONNELLE

PREPARATION A L EXAMEN PROFESSIONNEL DE SECRETAIRE ADMINISTRATIF DE CLASSE EXCEPTIONNELLE EPREUVE DE LA NOTE OPERATIONNELLE PREPARATION A L EXAMEN PROFESSIONNEL DE SECRETAIRE ADMINISTRATIF DE CLASSE EXCEPTIONNELLE EPREUVE DE LA NOTE OPERATIONNELLE RAPPEL DU SUJET : Vous êtes secrétaire administratif de classe exceptionnelle,

Plus en détail

TRIBUNAL D INSTANCE D AMIENS. Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction du tuteur

TRIBUNAL D INSTANCE D AMIENS. Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction du tuteur TRIBUNAL D INSTANCE D AMIENS Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction du tuteur Ces dispositions ne concernent pas les renouvellements à l identique des mesures de tutelle. Par contre, si

Plus en détail

La location de son entreprise

La location de son entreprise La location de son entreprise La location-gérance permet à un dirigeant d une entreprise de mettre en location son entreprise. La location-gérance se fait pour un temps défini et permet au bailleur de

Plus en détail

Ce guide a pour objectif de vous

Ce guide a pour objectif de vous La défiscalisation des dons aux fondations et associations déclarées d utilité publique Ce guide a pour objectif de vous permettre de déterminer au mieux la répartition des imputations de vos dons sur

Plus en détail

FICHE PRATIQUE SCPI QU EST-CE QU UNE SCPI? AVANTAGES DE L INVESTISSEMENT IMMOBILIER CONTRAINTES DE LA GESTION «EN DIRECT» LES ATOUTS DES SCPI

FICHE PRATIQUE SCPI QU EST-CE QU UNE SCPI? AVANTAGES DE L INVESTISSEMENT IMMOBILIER CONTRAINTES DE LA GESTION «EN DIRECT» LES ATOUTS DES SCPI FICHE PRATIQUE SCPI QU EST-CE QU UNE SCPI? La Société Civile de Placement Immobilier est un organisme de placement collectif qui a pour objet l acquisition et la gestion d un patrimoine immobilier locatif

Plus en détail

Campagne DENIER 2015. Campagne Denier 2015 Diocèse de Fréjus-Toulon Page 1

Campagne DENIER 2015. Campagne Denier 2015 Diocèse de Fréjus-Toulon Page 1 Campagne DENIER 2015 Campagne Denier 2015 Diocèse de Fréjus-Toulon Page 1 Edition janvier 2015 Sommaire Page 3 - Denier de l Eglise Bilan 2014/Campagne 2015 Page 4 - Evolutions de la collecte du Denier

Plus en détail

Information DES CURATEURS (Curatelle Renforcée)

Information DES CURATEURS (Curatelle Renforcée) Commentaire [1]: 308entetead.wp d Entête de lettre avec destinataire (intégrant charte graphique) Tribunal d instance de RAMBOUILLET Service de la Protection des majeurs Information DES CURATEURS (Curatelle

Plus en détail

Feuille de route 2013-2016

Feuille de route 2013-2016 Archidiocèse de sherbrooke Vers un nouveau réseau de collaborations Feuille de route 2013-2016 Malgré les changements apportés, la diminution des ressources humaines et matérielles en milieu ecclésial

Plus en détail

STATUTS DE L ASSOCIATION CARITAS JURA

STATUTS DE L ASSOCIATION CARITAS JURA STATUTS DE L ASSOCIATION CARITAS JURA Remarque : Les termes désignant des personnes s appliquent indistinctement aux femmes et aux hommes. Art. 1 DENOMINATION ET SIEGE Sous la dénomination CARITAS JURA(ci-après

Plus en détail

OBLIGATIONS REGLEMENTAIRES ET STATUTAIRES DES ASSOCIATIONS ET FONDATIONS RECONNUES D UTILITE PUBLIQUE

OBLIGATIONS REGLEMENTAIRES ET STATUTAIRES DES ASSOCIATIONS ET FONDATIONS RECONNUES D UTILITE PUBLIQUE OBLIGATIONS REGLEMENTAIRES ET STATUTAIRES DES ASSOCIATIONS ET FONDATIONS RECONNUES D UTILITE PUBLIQUE Les associations et fondations reconnues d utilité publique sont soumises à plusieurs obligations de

Plus en détail

Durée d investissement recommandée de 8 ans. Lorsque vous investissez dans une SCPI, vous devez tenir compte des éléments et risques suivants :

Durée d investissement recommandée de 8 ans. Lorsque vous investissez dans une SCPI, vous devez tenir compte des éléments et risques suivants : SCPI Rivoli Avenir Patrimoine investir INDIRECTEMENT dans l immobilier d entreprise et bénéficier de revenus potentiels réguliers Durée d investissement recommandée de 8 ans AVERTISSEMENT Lorsque vous

Plus en détail

#accessibleatous AGENDA D ACCESSIBILITÉ PROGRAMMÉE. Questions/réponses sur les agendas d accessibilité programmée (Ad AP)

#accessibleatous AGENDA D ACCESSIBILITÉ PROGRAMMÉE. Questions/réponses sur les agendas d accessibilité programmée (Ad AP) OCTOBRE 2014 #accessibleatous Questions/réponses sur les agendas d accessibilité programmée (Ad AP) Etablissement recevant du public Le 1er janvier 2015 est la date limite pour la mise en accessibilité

Plus en détail

ISF des dirigeants et actionnaires Les bonnes questions

ISF des dirigeants et actionnaires Les bonnes questions ISF des dirigeants et actionnaires Les bonnes questions L ISF : Un barème très élevé Seuil d imposition : 1 300 000. Tranche Taux Calcul < 800 000 0% Assiette x 0 Entre 800 000 et 1 300 000 0,50% (A x

Plus en détail

Les SCPI. François Longin 1 www.longin.fr

Les SCPI. François Longin 1 www.longin.fr Programme ESSEC Gestion de patrimoine Séminaire i «L investissement t immobilier» Les SCPI François Longin 1 www.longin.fr Généralités sur les SCPI SCPI Borloo Plan Processus d investissement (sélection

Plus en détail

Prestation de service Lieu d accueil enfants - parents. Juin 2013 1/5

Prestation de service Lieu d accueil enfants - parents. Juin 2013 1/5 LES CONDITIONS PARTICULIERES Prestation de service Lieu d accueil enfants - parents Juin 2013 1/5 2/5 L objet de la convention Elle encadre les modalités d intervention et de versement de la prestation

Plus en détail

le PARCOURS de vente www.notaires.paris-idf.fr

le PARCOURS de vente www.notaires.paris-idf.fr IMMOBILIER le PARCOURS de vente L acte de vente www.notaires.paris-idf.fr Le parcours de vente LʼACTE DE VENTE Toute vente immobilière doit être constatée par acte notarié. Après la signature de l avant-contrat

Plus en détail

STATUT DE L ENSEIGNEMENT CATHOLIQUE EN FRANCE

STATUT DE L ENSEIGNEMENT CATHOLIQUE EN FRANCE STATUT DE L ENSEIGNEMENT CATHOLIQUE EN FRANCE Publié le 1 er juin 2013 STATUT DE L ENSEIGNEMENT CATHOLIQUE EN FRANCE Voté par le Comité national de l Enseignement catholique le 15 février 2013. Adopté

Plus en détail

Gestion & Actualité. La note d information du CGL SOMMAIRE. Plus-values immobilières 2012 Une déclaration unique Un timbre de 35 euros

Gestion & Actualité. La note d information du CGL SOMMAIRE. Plus-values immobilières 2012 Une déclaration unique Un timbre de 35 euros EXTRAITS DU N 47 NOVEMBRE 2011 Gestion & Actualité La note d information du CGL SOMMAIRE Page 2 Page 3 Page 4 A apprécier Plus-values immobilières 2012 Une déclaration unique Un timbre de 35 euros Vers

Plus en détail

Les modalités de la vente. La société civile immobilière SCI. www.notaires.paris-idf.fr

Les modalités de la vente. La société civile immobilière SCI. www.notaires.paris-idf.fr IMMOBILIER Les modalités de la vente La société civile immobilière SCI www.notaires.paris-idf.fr Les modalités de la vente La société civile immobilière SCI Une Société Civile Immobilière (SCI) est une

Plus en détail

CODE DE CONDUITE DES AGENTS IMMOBILIERS CHARTE DE DÉONTOLOGIE

CODE DE CONDUITE DES AGENTS IMMOBILIERS CHARTE DE DÉONTOLOGIE CODE DE CONDUITE DES AGENTS IMMOBILIERS ET CHARTE DE DÉONTOLOGIE 26 AVENUE VICTOR HUGO 75116 PARIS Tél.: 01-53-64-91-91 Fax.: 01-53-64-91-92 www.snpi.com PRÉAMBULE Le SNPI, organisme professionnel national

Plus en détail

CONVENTION D UNIDROIT SUR LE CREDIT-BAIL INTERNATIONAL (Ottawa, le 28 mai 1988)

CONVENTION D UNIDROIT SUR LE CREDIT-BAIL INTERNATIONAL (Ottawa, le 28 mai 1988) CONVENTION D UNIDROIT SUR LE CREDIT-BAIL INTERNATIONAL (Ottawa, le 28 mai 1988) LES ETATS PARTIES A LA PRESENTE CONVENTION, RECONNAISSANT l importance d éliminer certains obstacles juridiques au crédit-bail

Plus en détail

Technopole de Bourges : Construction d un Centre d Affaires Vendredi 4 février 2011 15H00

Technopole de Bourges : Construction d un Centre d Affaires Vendredi 4 février 2011 15H00 Dossier de presse Technopole de Bourges : Construction d un Centre d Affaires Vendredi 4 février 2011 15H00 Contacts presse : Laurent DEULIN : 02 48 48 58 10 06 63 95 00 23 l.deulin@agglo-bourgesplus.fr

Plus en détail

CONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016

CONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016 Département Administration Paris, le 3 mars 2014 et Gestion Communales VP/AH/Note 11 Affaire suivie par Véronique PICARD CONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016 La continuité - maintien du montant

Plus en détail

All Boards Family Association loi 1901 Statuts

All Boards Family Association loi 1901 Statuts Statuts ARTICLE 1: Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts et une association régie par la loi du 1 er Juillet 1901 et le décrêt du 16 Août 1901, ayant pour titre All Boards Family ARTICLE

Plus en détail

LA STRATEGIE PATRIMONIALE DE LA VILLE DE MARSEILLE

LA STRATEGIE PATRIMONIALE DE LA VILLE DE MARSEILLE CETE MEDITERRANEE / COTITA JOURNEE TECHNIQUE DU 7 JUIN 2012 GESTION DE PATRIMOINE IMMOBILIER LA STRATEGIE PATRIMONIALE DE LA VILLE DE MARSEILLE «Le schéma directeur d'implantation des services municipaux»

Plus en détail

Le bail commercial : les aspects importants à vérifier

Le bail commercial : les aspects importants à vérifier Le bail commercial : les aspects importants à vérifier Le choix d un local commercial est une étape cruciale dans le développement d une entreprise. L endroit choisi peut sembler prometteur mais il faut

Plus en détail

DISPOSITIF RÉGIONAL ET DEPARTEMENTAL EN FAVEUR DES HOTELS D ENTREPRISES

DISPOSITIF RÉGIONAL ET DEPARTEMENTAL EN FAVEUR DES HOTELS D ENTREPRISES CAHIER DES CHARGES DISPOSITIF RÉGIONAL ET DEPARTEMENTAL EN FAVEUR DES HOTELS D ENTREPRISES Rappel du cadre général d intervention des 3 collectivités : Dans le prolongement du Schéma Régional de Développement

Plus en détail

Europimmo LFP. SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT

Europimmo LFP. SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT LFP Europimmo SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine.

Plus en détail

Investir indirectement dans l immobilier d entreprise et bénéficier de revenus potentiels réguliers

Investir indirectement dans l immobilier d entreprise et bénéficier de revenus potentiels réguliers SCPI Rivoli Avenir Patrimoine Particuliers Investir indirectement dans l immobilier d entreprise et bénéficier de revenus potentiels réguliers Durée d investissement recommandée de 8 ans AVERTISSEMENT

Plus en détail

Intentions de prière du Saint Père confiées à l Apostolat de la Prière. pour l année 2015 JANVIER FEVRIER MARS AVRIL

Intentions de prière du Saint Père confiées à l Apostolat de la Prière. pour l année 2015 JANVIER FEVRIER MARS AVRIL Intentions de prière du Saint Père confiées à l Apostolat de la Prière pour l année 2015 Universelle La promotion de la paix JANVIER Pour que ceux qui appartiennent aux différentes traditions religieuses

Plus en détail

Premier banquier de l immobilier

Premier banquier de l immobilier Premier banquier de l immobilier 2 e groupe bancaire en France 2e banque des particuliers 2e banque principale 2e pour les crédits immobiliers 2e pour l'épargne 1ère banque des PME 2e banque des professionnels

Plus en détail

Allianz Pierre. Avec vous de A à Z. SCPI investie majoritairement en bureaux. www.allianz.fr

Allianz Pierre. Avec vous de A à Z. SCPI investie majoritairement en bureaux. www.allianz.fr Allianz Pierre SCPI investie majoritairement en bureaux. www.allianz.fr Avec vous de A à Z Pourquoi investir dans la SCPI Allianz Pierre? Vous cherchez à diversifier votre patrimoine et vous constituer

Plus en détail

CONSEILS -EN- PATRIMOINE. Étude ISF. A l attention de Monsieur et Madame XXXXXXXX

CONSEILS -EN- PATRIMOINE. Étude ISF. A l attention de Monsieur et Madame XXXXXXXX CONSEILS -EN- PATRIMOINE Étude ISF A l attention de Monsieur et Madame XXXXXXXX 10 Préambule Ermont, le XXXXXX Évaluer, déclarer son Impôt de Solidarité sur la Fortune dans de bonnes conditions demeurent

Plus en détail

Les SCPI Fiscales URBAN PREMIUM DEFICIT FONCIER: URBAN PIERRE MALRAUX: URBAN VALEUR SCELLIER RENOVE INTERMEDIAIRE: URBAN PATRIMOINE 2

Les SCPI Fiscales URBAN PREMIUM DEFICIT FONCIER: URBAN PIERRE MALRAUX: URBAN VALEUR SCELLIER RENOVE INTERMEDIAIRE: URBAN PATRIMOINE 2 ( Les SCPI Fiscales ) URBAN PREMIUM DEFICIT FONCIER: URBAN PIERRE MALRAUX: URBAN VALEUR SCELLIER RENOVE INTERMEDIAIRE: URBAN PATRIMOINE 2 INTRODUCTION Par leurs multiples avantages, les SCPI, tant fiscales

Plus en détail

SCPI URBAN PIERRE N 3

SCPI URBAN PIERRE N 3 SCPI URBAN PIERRE N 3 La note d information relative à la première augmentation de capital a reçu de l Autorité des Marchés Financiers le visa SCPI n 15-04 en date du 01/04/2015. Elle peut être obtenue

Plus en détail

PremeLY Habitat 3 BBC

PremeLY Habitat 3 BBC PremeLY Habitat 3 BBC (Bâtiment Basse Consommation) SCPI DE TYPE «SCELLIER BBC» souscription ouverte jusqu au 20 décembre 2011 La clôture de la période de souscription pourra intervenir par anticipation

Plus en détail

3 place Vauban 75007 Paris

3 place Vauban 75007 Paris 3 place Vauban 75007 Paris Appartement exceptionnel situé au rez-de-chaussée www.immobilier-avocat.com Avertissement Ce document a été préparé dans le seul but de fournir à des acheteurs potentiels des

Plus en détail

SCPI URBAN PIERRE N 3

SCPI URBAN PIERRE N 3 SCPI URBAN PIERRE N 3 La note d information relative à la première augmentation de capital a reçu de l Autorité des Marchés Financiers le visa SCPI n 15-04 en date du 01/04/2015. Elle peut être obtenue

Plus en détail

CARITAS ITALIANA. pour la présentation des Micro Projets de Développement. à Caritas Italiana

CARITAS ITALIANA. pour la présentation des Micro Projets de Développement. à Caritas Italiana CARITAS ITALIANA L I G N E S D I R E C T R I C E S pour la présentation des Micro Projets de Développement à Caritas Italiana A DRESS ET CONTACT Les MicroProjets doivent être adressés à Caritas Italiana

Plus en détail

Position de l ADI sur le projet de loi Pinel relatif à l artisanat, au commerce et aux très petites entreprises

Position de l ADI sur le projet de loi Pinel relatif à l artisanat, au commerce et aux très petites entreprises Position de l ADI sur le projet de loi Pinel relatif à l artisanat, au commerce et aux très petites entreprises A l occasion de l examen du projet de loi Pinel sur l artisanat, le commerce et les très

Plus en détail

Séance du 29 janvier 2015 : avis rendus par le comité de l abus de droit fiscal commentés par l'administration (CADF/AC n 01/2015).

Séance du 29 janvier 2015 : avis rendus par le comité de l abus de droit fiscal commentés par l'administration (CADF/AC n 01/2015). DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES SERVICE JURIDIQUE DE LA FISCALITE Sous-direction du contentieux des impôts des professionnels Bureau JF 2 B 86, allée de Bercy - Teledoc 944 75572 PARIS cedex

Plus en détail

Elaboration des Ad AP COTITA 27 janvier 2015

Elaboration des Ad AP COTITA 27 janvier 2015 Ville de Grenoble STRATÉGIE PATRIMONIALE DE MISE EN ACCESSIBILITÉ DES ERP Elaboration des Ad AP COTITA 27 janvier 2015 Ville de Grenoble COTITA 30-01-15-1 Contexte La Ville de Grenoble : 300 équipements

Plus en détail

ARTICLE 5 : SIEGE SOCIAL Le siège social est à Nantes. Il peut être transféré sur simple décision du conseil d administration.

ARTICLE 5 : SIEGE SOCIAL Le siège social est à Nantes. Il peut être transféré sur simple décision du conseil d administration. Association loi 1901 ARTICLE 1 : CONSTITUTION Création Il est fondé, entre les adhérents aux présents statuts, une association régie par la loi du 1er juillet 1901, et le décret du 16 août 1901 ayant pour

Plus en détail

LFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES

LFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES LFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement

Plus en détail

Associations Dossiers pratiques

Associations Dossiers pratiques Associations Dossiers pratiques Les fondations en questions Gouvernance, spécificités comptables, avantages fiscaux Découvrez les règles propres aux différents types de fondations 1 - Quelles sont les

Plus en détail

Vade-Mecum. des demandes de crédit. Business Angel+

Vade-Mecum. des demandes de crédit. Business Angel+ 1 Vade-Mecum des demandes de crédit 2 TABLE DES MATIERES A. Terminologie 3 B. Le groupe-cible et les caractéristiques 7 C. Critères a) Critères de recevabilité b) Critères d évaluation 9 D. La demande

Plus en détail

MARCHÉ PUBLIC DE PRESTATIONS INTELLECTUELLES RÈGLEMENT DE LA CONSULTATION

MARCHÉ PUBLIC DE PRESTATIONS INTELLECTUELLES RÈGLEMENT DE LA CONSULTATION VILLE DE MIOS Service Commande publique Place du XI novembre BP 13 33380 MIOS MARCHÉ PUBLIC DE PRESTATIONS INTELLECTUELLES RÈGLEMENT DE LA CONSULTATION MARCHÉ DE MAÎTRISE D ŒUVRE A PROCEDURE ADAPTEE EN

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR 3 ème étage - bâtiment A Du Guesclin

REGLEMENT INTERIEUR 3 ème étage - bâtiment A Du Guesclin REGLEMENT INTERIEUR 3 ème étage - bâtiment A Du Guesclin PREAMBULE En application des objectifs de soutien aux arts visuels et aux musiques actuelles, un espace mutualisé de travail est ouvert par la Ville

Plus en détail

Le PSLA (Prêt Social Locatif Accession) est un dispositif d accession sociale à la propriété.

Le PSLA (Prêt Social Locatif Accession) est un dispositif d accession sociale à la propriété. LE PSLA Le PSLA (Prêt Social Locatif Accession) est un dispositif d accession sociale à la propriété. Le processus d accession se déroule en deux phases : Une phase locative qui dure de 6 mois à 2 ans

Plus en détail

Les avantages de la gestion locative chez Paris Gestion Immobilier

Les avantages de la gestion locative chez Paris Gestion Immobilier Les avantages de la gestion locative chez Paris Gestion Immobilier 53 boulevard Saint Marcel - 7503 Paris T : 0 75 77 05 75 F : 0 75 77 05 76 - Mail : contact@parisgestionimmo.com SARL CO&CO au Capital

Plus en détail

INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF :

INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF : INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF : Complément au chapitre VII «Valorisation du Patrimoine Régional et Projets Innovants» du cadre d intervention régional sur l habitat et le logement, adopté par délibération

Plus en détail

L immobilier en centre ville

L immobilier en centre ville SCPI «Scellier BBC Intermédiaire*» L immobilier en centre ville Mise à jour - 31 janvier 2012 *Le dispositif fiscal «Scellier BBC Intermédiaire» offre au souscripteur une réduction d impôt en contrepartie

Plus en détail

Sur la stratégie immobilière de la chambre de commerce et d industrie de Marseille Provence (CCIMP).

Sur la stratégie immobilière de la chambre de commerce et d industrie de Marseille Provence (CCIMP). 2014-25 Séance du 17 septembre 2014 AVIS Sur la stratégie immobilière de la chambre de commerce et d industrie de Marseille Provence (CCIMP). Vu le décret n 2011-1388 du 28 octobre 2011 modifiant le décret

Plus en détail

L immobilier en centre ville

L immobilier en centre ville La note d information de la SCPI URBAN PATRIMOINE 2 a reçu le visa de l AMF n 11-37 en date du 18/10/2011 ; elle peut être obtenue gratuitement auprès de la Société de Gestion par demande adressée à :

Plus en détail

Notre association vous accompagne dans toutes les étapes de votre vie professionnelle: le passage en SEL de la simulation à la réalisation,

Notre association vous accompagne dans toutes les étapes de votre vie professionnelle: le passage en SEL de la simulation à la réalisation, Aide, assistance et accompagnement à la décision et à la gestion d installations de professionnels (SEL), de leurs évolutions (regroupement, holding, cession de parts,..) et des extinctions d activités

Plus en détail

LOCATION DE CHAISE EN COIFFURE

LOCATION DE CHAISE EN COIFFURE LOCATION DE CHAISE EN COIFFURE MISE EN CONTEXTE. Suite à de nombreuses demandes d information, autant par des propriétaires que par des employés à qui on offre de louer une chaise, le CSMO des services

Plus en détail

Christen-Muslime: Was tun? Chrétiens-musulmans : que faire?

Christen-Muslime: Was tun? Chrétiens-musulmans : que faire? Christen-Muslime: Was tun? Chrétiens-musulmans : que faire? Mariage entre catholiques et musulmans 1ère partie pour une pastorale du discernement aide pastorale 2 Groupe de travail «Islam» de la CES 2

Plus en détail

INTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN

INTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN I - Données Générales INTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN Rivalités entre réhabilitation, restauration et rénovation Au cours des dernières années, d'importantes études ont été entreprises dans les quartiers

Plus en détail

Position AMF n 2013-16 Notions essentielles contenues dans la directive sur les gestionnaires de fonds d investissement alternatifs

Position AMF n 2013-16 Notions essentielles contenues dans la directive sur les gestionnaires de fonds d investissement alternatifs Position AMF n 2013-16 Notions essentielles contenues dans la directive sur les gestionnaires de fonds Texte de référence : article L. 214-24, I du code monétaire et financier. L AMF applique l ensemble

Plus en détail

Les aides légales à la gestion du patrimoine et à la protection de la personne

Les aides légales à la gestion du patrimoine et à la protection de la personne guide pratique Les aides légales à la gestion du patrimoine et à la protection de la personne MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA FONCTION PUBLIQUE SECRÉTARIAT D'ÉTAT CHARGÉ DES AÎNÉS eslégalesà

Plus en détail

L an deux mil quatorze Et le dix-huit mars

L an deux mil quatorze Et le dix-huit mars KF/KV REPUBLIQUE DE CÔTE D IVOIRE COUR D APPEL D ABIDJAN TRIBUNAL DE COMMERCE D ABIDJAN ORDONNANCE DE REFERE du 18 mars 2014 RG N 402/14 --------------- La Société Immobilière de Gestion et de Management

Plus en détail

APPEL A PROJET POUR L ACQUISITION D UN IMMEUBLE DE BUREAUX DANS LA ZONE EST DU DEPARTEMENT DU VAL D OISE

APPEL A PROJET POUR L ACQUISITION D UN IMMEUBLE DE BUREAUX DANS LA ZONE EST DU DEPARTEMENT DU VAL D OISE APPEL A PROJET POUR L ACQUISITION D UN IMMEUBLE DE BUREAUX DANS LA ZONE EST DU DEPARTEMENT DU VAL D OISE A destination de promoteurs, constructeur s, agents immobiliers et architectes Par tout organisme

Plus en détail

Vider la maison. Souhaiter contribuer à la conservation de la maison, avoir envie de voir l intérieur de la maison avant travaux

Vider la maison. Souhaiter contribuer à la conservation de la maison, avoir envie de voir l intérieur de la maison avant travaux Vider la maison Atelier 1 Objectif : Organiser un ou deux samedis où les habitants sont invités à venir vider la maison. L activité se conclut par un repas simple et offert. Juin 2015 à octobre 2015 Organisateur

Plus en détail

Assises de l Enseignement Catholique Intervention de Paul MALARTRE Paris Cité des Sciences de La Villette 8 juin 2007

Assises de l Enseignement Catholique Intervention de Paul MALARTRE Paris Cité des Sciences de La Villette 8 juin 2007 Assises de l Enseignement Catholique Intervention de Paul MALARTRE Paris Cité des Sciences de La Villette 8 juin 2007 Quand je pense à ces nouveaux Chefs d établissement qui me disaient récemment avoir

Plus en détail

LA LOCATION VENTE. C est pourquoi la question de la location-vente est soulevée parfois.

LA LOCATION VENTE. C est pourquoi la question de la location-vente est soulevée parfois. LA LOCATION VENTE Dans la plupart des cas en matière de transfert de propriété de biens immobiliers, nous employons la technique du contrat de vente immobilière pure et simple. Lors de la signature dudit

Plus en détail

STATUTS GRAND PARIS SEINE OUEST ENERGIE, AGENCE LOCALE DE L ENERGIE

STATUTS GRAND PARIS SEINE OUEST ENERGIE, AGENCE LOCALE DE L ENERGIE STATUTS GRAND PARIS SEINE OUEST ENERGIE, AGENCE LOCALE DE L ENERGIE Article 1 - Constitution La présente association est une association régie par la loi du 1 er juillet 1901 et le décret du 16 août 1901.

Plus en détail

PAR THEMATIQUE. N THEME Présentation

PAR THEMATIQUE. N THEME Présentation PAR THEMATIQUE N THEME Présentation A B C D Apprentissage/alternance Formation continue Développement/ investissement Hygiène, sécurité, accessibilité Les conseillères du Service Apprentissage ont pour

Plus en détail

STATUTS DE CONTACT PARIS ILE-DE-FRANCE

STATUTS DE CONTACT PARIS ILE-DE-FRANCE STATUTS DE CONTACT PARIS ILE-DE-FRANCE Chapitre 1 - BUT ET COMPOSITION DE L ASSOCIATION Article 1 Il est fondé entre les adhérent-e-s aux présents statuts une association régie par la loi du 1 er juillet

Plus en détail

Accès au crédit et foncier

Accès au crédit et foncier Réseau National des Chambres d'agriculture du Niger Note d information Accès au crédit et foncier RECA Réseau National des Chambres N d Agriculture du Niger iger 22 mai 2015 / Rédaction : Florence Bron-Saïdatou

Plus en détail

VILLE DE BORDEAUX REALISATION DU NOUVEAU STADE

VILLE DE BORDEAUX REALISATION DU NOUVEAU STADE VILLE DE BORDEAUX REALISATION DU NOUVEAU STADE PROTOCOLE D ACCORD ENTRE : La Ville de Bordeaux, représentée par Monsieur Alain Juppé, maire, Ci-après désignée: «la Ville» ET : La Communauté urbaine de

Plus en détail

Immeuble Ile-de-France 3 Place de la Pyramide - La Défense 9 92067 Paris - La Défense Cedex. Promoteur certifié ISO 9001

Immeuble Ile-de-France 3 Place de la Pyramide - La Défense 9 92067 Paris - La Défense Cedex. Promoteur certifié ISO 9001 Immeuble Ile-de-France 3 Place de la Pyramide - La Défense 9 92067 Paris - La Défense Cedex Promoteur certifié ISO 9001 SOGEPROM - SA au capital de 54 450 000. Siège social : Immeuble Ile de France 3,

Plus en détail

Les Cahiers de la FNOGEC

Les Cahiers de la FNOGEC Les Cahiers de la FNOGEC Cahier bancaire décembre 2013 L emprunt bancaire pour les OGEC? Un taux? Une durée? Ce cahier bancaire a été réalisé avec le concours de : Caisse d Epargne Crédit Coopératif Société

Plus en détail

A.G.E.F. Z. I. 7, rue Philippe Lebon B.P. 110 21703 Nuits-Saint-Georges Cedex. Tél. 03 80 62 45 00 Fax. 03 80 61 37 52 agef@wanadoo.fr www.agef21.

A.G.E.F. Z. I. 7, rue Philippe Lebon B.P. 110 21703 Nuits-Saint-Georges Cedex. Tél. 03 80 62 45 00 Fax. 03 80 61 37 52 agef@wanadoo.fr www.agef21. A.G.E.F. Z. I. 7, rue Philippe Lebon B.P. 110 21703 Nuits-Saint-Georges Cedex Tél. 03 80 62 45 00 Fax. 03 80 61 37 52 agef@wanadoo.fr www.agef21.com Le mot de bienvenue du Président Vous avez choisi d

Plus en détail