Journée Cotita du 8 octobre 2015 Entretien d anciennes protections anticorrosion
|
|
- Marie-Anne Charpentier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Journée Cotita du 8 octobre 2015 Entretien d anciennes protections anticorrosion Présence de toxiques «métaux lourds» Principales exigences réglementaires Auteur : Serge HAMPARIAN Groupe OASMD Unité Chimie et Protection des Structure
2 Champ d application Composés faisant l objet d une VLEP susceptibles d être présents dans les anciennes peintures anticorrosion : Tableau INRS (ED 984) «Valeurs limites d exposition professionnelle aux agents chimiques en France» Pigments : Arsenic, Cadmium, Chrome, Cuivre, Mercure, Nickel, Sélénium, Zinc, Plomb. Liant : HAP benzo(a)pyrène 2
3 Principes généraux de prévention Article L du Code du Travail 9 principes généraux de prévention Principes qui s appliquent à tous les intervenants du chantier (les agents de la maîtrise d œuvre, de la maîtrise d ouvrage, du contrôle extérieur, etc. DCE : Réflexion complète et détaillée en s appuyant sur tous ces principes. In fine, le MOA fait le choix d une technique de PS et des conditions de mise en œuvre. 3
4 Peinture anticorrosion : Plomb et ses composés Le plomb peut être présent sous forme : Minium de plomb, Composés minéraux du plomb : Jaunes et orangés de chrome Rouges et orangés de molybdène Siccatifs Caractéristiques de solubilité différentes (en milieu acide = absorption par l organisme) Absorption digestive (mesures d hygiène lors des travaux) 4
5 Effets toxicologiques du plomb sur l organisme Effets biologiques : Anémie (fragilisation des globules rouges) Atteinte de la fonction rénale Effets toxiques (aigus) : Troubles neurologiques Douleurs abdominales Effets toxiques (chroniques) : Système nerveux Moelle osseuse Inscrit au tableau des maladies professionnelles ( n 1 en 1919!!!) 5
6 Plomb et réglementations : Code santé publique Interdiction d utiliser de la céruse aux particuliers : en 1993 Le particulier n est pas impacté par le code du travail Domaine du bâti Lutte contre la présence de plomb et du saturnisme Dispositions liées au dépistage d un cas de saturnisme Déclenchement diagnostic par Préfet si détection d un cas d intoxication Mesure surfacique ou dosage plomb acido-soluble Réalisation des travaux Après travaux, concentration en poussières de plomb < 1000 µg/m2 6
7 Diagnostic plomb : Code santé publique Arrêté du 19 août 2011 DRIPP (Diagnostic du Risque d Intoxication par le Plomb des Peintures) Étapes : Localisation des parties de l immeuble État des revêtements Mesures de concentrations en plomb Établissement d un rapport Mesures par appareil portable à fluorescence X (surfacique) Si nécessaire analyse laboratoire (plomb acido-soluble) Seuils : Plomb surfacique : 1 mg/cm2 Plomb acido-soluble : 1,5 mg/g 7
8 Diagnostic plomb : Code santé publique Mesure concentration surfacique : < 1 mg/cm2 Dosage plomb acido-soluble en laboratoire : Préparation de l échantillon Dosage par spectrométrie < 1,5 mg/g 8
9 Éléments réglementaires : Code du Travail Les travaux sont soumis aux dispositions du code du travail spécifiques : à la prévention des risques chimiques (articles R à 58), aux substances CMR (articles R à 93) Diagnostic : Les modalités du diagnostic ne sont pas définies «Doctrine» : adopter une attitude pragmatique : utilisation de la mesure de concentration superficielle (fluorescence au rayon X) est inadaptée réaliser un prélèvement d écailles de peinture et faire doser le plomb total (mg/g). 9
10 Éléments réglementaires : Code du Travail R : VLEP plomb : 0,1 mg/m3 air (concentration moyenne 8H) R : Valeurs biologiques à ne pas dépasser : 400 µg/l de sang (homme) 300 µg/l de sans (femme) R : Obligation de mettre à disposition deux vestiaires, l un «propre», l autre «sale», séparés par une douche. R : Ne pas accéder au vestiaire «sale» en vêtements de ville et ne pénétrer dans le vestiaire «propre» sans passage par la douche R : Interdiction de manger, fumer en vêtements de travail R : Assurer une surveillance médicale renforcée si : 1 Soit si l'exposition à une concentration de plomb dans l'air > 0,05 mg/m³, (moyenne sur 8H) ; 2 Soit si une plombémie supérieure à 200 µg/l de sang pour les hommes ou 100 µg/l de sang pour les femmes est mesurée chez un travailleur. 10
11 11 Synthèse MOA / MOE Entreprise Diagnostic fiable Montage DCE avec réflexion complète selon les principes généraux de prévention Quel rôle? Quelle responsabilité? Évaluation des risques Informer, former les salariés Informer la médecine du travail Analyser les modes opératoires Établir des procédures Mettre en place les mesures d hygiène et sécurité Fournir EPC et EPI (formation des personnes concernées Analyser les taux d empoussièrement Gérer les déchets
12 Pour en savoir plus... INRS Document ED 909 (sept 2013) OPPBTP Ouvrage Ref.I5G0115 (maj 29/09/2015) 12
13 Merci de votre attention Serge HAMPARIAN Direction Territoriale Centre Est Groupe OASMD Responsable Unité Chimie et Protection des Structures Département Laboratoire de Lyon /
d un diagnostic plomb avant travaux (Hors champ code de la santé publique)
DIRECTION RÉGIONALE DES ENTREPRISES, DE LA CONCURRENCE, DE LA CONSOMMATION, DU TRAVAIL ET DE L EMPLOI Mars 2014 Préconisations pour la réalisation d un diagnostic plomb avant travaux (Hors champ code de
Plus en détailRISQUE CHIMIQUE : VÉRIFIER L EFFICACITÉ DES ACTIONS DE PRÉVENTION COLLECTIVE
RISQUE CHIMIQUE : VÉRIFIER L EFFICACITÉ DES ACTIONS DE PRÉVENTION COLLECTIVE >> www.cramif.fr RISQUE CHIMIQUE : LE SUIVI DES MESURES DE PRÉVENTION Dans le cas du risque chimique, lorsque la substitution
Plus en détailREHABILITATION DE LA FRICHE INDUSTRIELLE DE L ESTAQUE. Surveillance médico-professionnelle des entreprises intervenantes
REHABILITATION DE LA FRICHE INDUSTRIELLE DE L ESTAQUE Surveillance médico-professionnelle des entreprises intervenantes Dr BAJON-THERY Dr COURJARET Dr SURET Dr DEWITTE Dr MICHOT Surveillance médico-professionnelle
Plus en détailEVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE
EVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE Cette évaluation doit être systématique, quelle que soit l activité de l entreprise, même s il n y a pas d exposition a priori du fait des activités de travail. L'objectif
Plus en détailProtégez-vous des risques liés aux fumées de soudage. Information prévention. Vous êtes soudeurs en atelier de Métallerie Serrurerie?
Réseaux de veille et de prévention des risques professionnels en PACA Information prévention agir pour votre santé au travail Vous êtes soudeurs en atelier de Métallerie Serrurerie? Protégez-vous des risques
Plus en détailDr Berdj Haroutunian, 5, Chemin Gottret ch-1255 VEYRIER tél 00 41 (0)22 784-01-18 www.haroutunian.ch E-mail : berdj@haroutunian.ch
1 L UTILISATION DU PLOMB EN DENTISTERIE : MYTHE OU REALITE Dr Berdj HAROUTUNIAN, Genève Le plomb ne devrait en principe pas être utilisé en dentisterie car il n est pas considéré comme un oligo-élément
Plus en détailLe plomb dans les peintures Quelles obligations pour les propriétaires?
Le plomb dans les peintures Quelles obligations pour les propriétaires? Septembre 2011 Ministère de l Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement MEDDTL_PLOMB_12pages.indd 1 29/07/11
Plus en détailEVALUATION DES RISQUES A PARTIR DES VISITES DES LIEUX DE TRAVAIL
EVALUATION DES RISQUES DES PEINTRES A PARTIR DES VISITES DES LIEUX DE TRAVAIL R. FASSI Médecin du travail APST BTP 06 Versailles 25, 26, 27 mai 2011 ACTION EN PARTENARIAT APST BTP 06 DIRECCTE PACA Unité
Plus en détailACTIONS DES PRÉVENTEURS DE L ASSURANCE MALADIE RISQUES PROFESSIONNELS. Point d étape et perspectives
Colloque ACTIONS DES PRÉVENTEURS DE L ASSURANCE MALADIE RISQUES PROFESSIONNELS Point d étape et perspectives cancers professionnels INRS 27 et 28 novembre 2014 Michel Haberer Carsat Alsace Moselle 1 >
Plus en détailProgramme détaillé de la formation AVEC PRE REQUIS ( Bac+2 bâtiment ou 3ans d expérience dans les techniques du bâtiment)
FORMATION TECHNICIEN EN DIAGNOSTICS IMMOBILIERS Programme détaillé de la formation AVEC PRE REQUIS ( Bac+2 bâtiment ou 3ans d expérience dans les techniques du bâtiment) Tél : 06 01 744 2 33 http:/ /www.
Plus en détailLe Plomb dans l eau AGENCE NATIONALE POUR L AMÉLIORATION DE L HABITAT
Le Plomb dans l eau De quoi s agit-il? De quoi parle-t-on? Où le trouve-t-on? Quelle est son origine? Responsabilités Quels sont les effets néfastes du plomb dans l eau sur la santé? Comment les détecter?
Plus en détailREGLEMENT TECHNIQUE D EVALUATION DIAGNOSTIC IMMOBILIER EPREUVE CREP CERTIFICATION SANS MENTION
REGLEMENT TECHNIQUE D EVALUATION DIAGNOSTIC IMMOBILIER EPREUVE CREP CERTIFICATION SANS MENTION page 1/6 GENERALITES La personne physique candidate à la certification CREP démontre qu elle possède les connaissances
Plus en détailTout le monde est potentiellement
DOCUMENT DESTINÉ AUX PROFESSIONNELS DE SANTÉ Détection des cancers d origine professionnelle: quelques clés pour agir CANCERS PROFESSIONNELS Cette année, vous avez vu 10 nouveaux patients atteints de cancer
Plus en détailDossier de Diagnostics Immobiliers
Dossier de Diagnostics Immobiliers Numéro de dossier : Date du repérage : 14.2.33 18/2/214 Désignation du ou des bâtiments Désignation du propriétaire Localisation du ou des bâtiments : Adresse : 3 Rue
Plus en détailListe des maladies professionnelles de l OIT. (révisée en 2010)
Liste des maladies professionnelles de l OIT (révisée en 2010) CONFÉRENCE INTERNATIONALE DU TRAVAIL Recommandation 194 Recommandation concernant la liste des maladies professionnelles et l enregistrement
Plus en détailRéférences : Les articles R.231-54 à R. 231-54-17 du code du travail relatifs aux règles générales de prévention du risque chimique.
Ministère de l emploi, de la cohésion sociale et du logement Direction des relations du travail Sous-direction des conditions de travail et de la protection contre les risques du travail Bureau de la protection
Plus en détailInformation System on International Labour Standards
1 sur 6 03/12/2014 18:37 Information System on International Labour Standards Recherche Guide de l'utilisateur Recommandation concernant la liste des maladies professionnelles et l'enregistrement et la
Plus en détailDIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER. Cursus complet théorique et pratique
DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER Cursus complet théorique et pratique Durée : 6 semaines, soit 30 jours de formation : 210 heures Nature de la formation : théorique et pratique Horaires : de 09h00-12h00 / 13h00-17h00
Plus en détailLa surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir
Evaluer et prévenir le risque radiologique professionnel dans les opérations de radiographie industrielle La surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir Dr Irène Sari-Minodier Service
Plus en détailFICHE DE DONNÉES DE SÉCURITÉ
Conforme au règlement (CE) n 1907/2006 (REACH), Annexe II France 1. FICHE DE DONNÉES DE SÉCURITÉ BOSTIK COLLE CARRELAGE MURS ET PLANS DE TRAVAIL INTERIEUR IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET
Plus en détailDosage des métaux lourds (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) dans les sols par ICP-MS
Dosage des métaux lourds (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) dans les sols par ICP-MS Analysis of heavy metals (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) in soils by ICP-MS Nicolas ALSAC Eurofins Environnement
Plus en détail1. REGLEMENTATION 2. INTRODUCTION
1. REGLEMENTATION Installations sanitaires : Code du travail articles R. 3121-2, R. 4222-1 à 25, R. 4223-1 à 14, R. 4225-2 à 5 et 7, R. 4228-1 à 18, R. 4412-149 et 150, R. 4722-1 à 4, 13, 14 et 26 et R.
Plus en détailDepuis les années 1930, la production mondiale
PRÉVENTION Cancers et substances chimiques Depuis les années 1930, la production mondiale de produits chimiques a été multipliée par 400. Parmi les 100000 substances chimiques recensées dans l Union européenne
Plus en détailPrincipe de fonctionnement des batteries au lithium
Principe de fonctionnement des batteries au lithium Université de Pau et des pays de l Adour Institut des Sciences Analytiques et de Physicochimie pour l Environnement et les Matériaux 22 juin 2011 1 /
Plus en détailgalités s sociales de cancer chez les travailleurs
Inégalit galités s sociales de cancer chez les travailleurs Annie Thébaud baud-mony INSERM/GISCOP93, Université Paris13 Rencontres francophones internationales sur les inégalit galités s sociales et de
Plus en détailLa matrice emploi- exposition spéci2ique du milieu de soin : application au risque chimique
La matrice emploi- exposition spéci2ique du milieu de soin : application au risque chimique C. Verdun- Esquer Service Médecine du Travail et Pathologie Professionnelle - CHU de Bordeaux SFMT 23/01/2015
Plus en détailTravail et produits chimiques : liaisons dangereuses
Travail et produits chimiques : liaisons dangereuses de la démarche de prévention à l obligation de protection Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et
Plus en détailSOLS POLLUÉS : EVALUATION DES RISQUES CHIMIQUES ET SURVEILLANCE DES PERSONNELS. Catherine Nisse
SOLS POLLUÉS : EVALUATION DES RISQUES CHIMIQUES ET SURVEILLANCE DES PERSONNELS. Catherine Nisse Introduction La prise de conscience concernant la problématique de gestion des sols pollués est relativement
Plus en détailNOR : RDFF1503959C. La ministre de la décentralisation et de la fonction publique
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de la décentralisation et de la fonction publique Circulaire du 28 juillet 2015 relative aux dispositions applicables en matière de prévention du risque d exposition à l
Plus en détailFICHE DE DONNÉES DE SÉCURITÉ conformément au Règlement (CE) nº1907/2006 REACH Nom : KR-G KR-G
KR-G Page 1 de 5 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE 1.1 Identificateur de produit : Nom du produit : KR-G 1.2 Utilisations identifiées pertinentes de la substance
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailA-ESSE s.p.a. FICHE DE SÉCURITÉ
A-ESSE s.p.a. USINE OXYDES de ZINC FICHE DE SÉCURITÉ Oxyde de zinc 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT CHIMIQUE ET DE LA SOCIÉTÉ NOM DU PRODUIT: DÉNOMINATION COMMUNE, COMMERCIALE ET SYNONYMES: UTILISATION DE
Plus en détailLES NANOMATERIAUX. Groupe 2 PRST2 2012
LES NANOMATERIAUX Groupe 2 PRST2 16 Février 2012 LE NANOMONDE Des matériaux de l ordre de grandeur de virus Modification des propriétés fondamentales (physiques, chimiques, biologiques ) Nouveaux produits
Plus en détailTECHNIQUE DE L HELIOGRAVURE
FICHE METIERS DE L IMPRESSION TECHNIQUE DE L HELIOGRAVURE HELIOGRAVURE Version Juin 2007 1 SOMMAIRE 1. DESCRIPTION DE LA TECHNIQUE ET APPLICATIONS...1 1.1 LA TECHNIQUE...1 1.2 APPLICATIONS...1 1.3 PREPARATION
Plus en détail21 mars 2012. Simulations et Méthodes de Monte Carlo. DADI Charles-Abner. Objectifs et intérêt de ce T.E.R. Générer l'aléatoire.
de 21 mars 2012 () 21 mars 2012 1 / 6 de 1 2 3 4 5 () 21 mars 2012 2 / 6 1 de 2 3 4 5 () 21 mars 2012 3 / 6 1 2 de 3 4 5 () 21 mars 2012 4 / 6 1 2 de 3 4 de 5 () 21 mars 2012 5 / 6 de 1 2 3 4 5 () 21 mars
Plus en détailEXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON
REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement
Plus en détailSilice cristalline dans une entreprise de transport : un risque sous-évalué
Silice cristalline dans une entreprise de transport : un risque sous-évalué Laurent MERCATORIS * Dr Pascale GEHIN * * ACST Strasbourg XXIII èmes Journées Franco-Suisses de Santé au Travail Chambéry, les
Plus en détailObligation de fournir au CHSCT les informations qui lui sont nécessaires pour l'exercice de ses missions ( C. trav., art. L. 4614-9).
Tableau des principaux cas d'information/consultation d'un CHSCT Le tableau ci-dessous recense les principaux cas légaux d'information/consultation d'un CHSCT. Il fait également apparaître les documents
Plus en détailPLOMBIER. Liste des domaines étudiés Listes des produits Liste des produits avec nom d usage
Répertoire des activités de travail exposant aux cancérogènes GISCOP93 Université Paris 13 (Bobigny) plombierv2 Page 1 sur 9 PLOMBIER Liste des domaines étudiés Listes des produits Liste des produits avec
Plus en détailMEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE
République Française Institut National de la Recherche Agronomique Centre de Recherche de Clermont-Ferrand Theix Lyon MARCHES PUBLICS DE TRAVAUX MEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE Document à remplir et
Plus en détailSEIRICH : Système d évaluation et d information sur les
SEIRICH : Système d évaluation et d information sur les risques chimiques en milieu professionnel R. Vincent, N.Bertrand, L. Capitaine, F. Clerc, F. Marc, S. Malard, F. Lekhchine, N. Schmitt, N.Toulemonde,
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailExpériences pratiques: 2 exemples d actions de la CRAMIF sur les aéroports
Expériences pratiques: 2 exemples d actions de la CRAMIF sur les aéroports Les travaux de renforcement des ailes du Concorde Action d évaluation et de prévention des TMS menée en partenariat avec les différents
Plus en détailFORMATIONS EN MATIERE DE SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL
FORMATIONS EN MATIERE DE SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL Prévention et Sécurité au Travail Fiche Santé et Travail n 111 Date : 01/09/2014 "Un homme averti en vaut deux" Ce proverbe souligne que l on est plus
Plus en détailParasites externes du chat et du chien
Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?
Plus en détailInfor HCM Anael Risques Professionnels. Infor HCM. Infor HCM Anael Risques Professionnels
Infor HCM Infor HCM Anael Risques Professionnels Contexte La législation concernant la prévention des risques professionnels s est largement développée ces dernières années. Les règles générales édictées
Plus en détailGUIDE DE L'ENTREPRISE : ENVIRONNEMENT / HYGIENE / SECURITE. Plomberie Chauffage
Vous voulez démarrer une activité de plombier chauffagiste. Cette fiche rassemble l essentiel de la réglementation en matière d'environnement et de sécurité et quelques conseils importants pour être en
Plus en détailPRODUITS PHYTOSANITAIRES
Un produit phytosanitaire est une préparation chimique constituée d'une ou de plusieurs matières actives qui détruisent ou empêchent l'ennemi de la culture de s'installer. De par leur nature et leur composition,
Plus en détailEpreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014 DOSSIER REPONSE
SUJET DE CONCOURS COMMUN AUX CENTRES DE GESTION : CONCOURS D ADJOINT TECHNIQUE DE 1ERE CLASSE SESSION 2014 SPECIALITE «ENVIRONNEMENT, HYGIENE» Epreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailLa drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)
La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.
Plus en détailFormations à la prévention des risques liés à l amiante (sous-section 4)
Formations à la prévention des risques liés à l amiante (sous-section 4) DOCUMENT DE REFERENCE Ce document présente le contexte relatif à l organisation des formations «amiante sous-section 4» : Les compétences
Plus en détailFor the benefit of business and people. 1 - Présentation du projet de la ZAC. 7 - Suivi environnemental et programme d intervention
Ancien site des Ferronneries du Midi Future ZAC Ponts Jumeaux Projet de dépollution 15 décembre 2004 For the benefit of business and people 1 - Présentation du projet de la ZAC 2 - Rappel de l historique
Plus en détailHUMI-BLOCK - TOUPRET
FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET
Plus en détailSURVEILLANCE MEDICALE RENFORCEE ET CMR
SURVEILLANCE MEDICALE RENFORCEE ET CMR Docteur M.D. RAINE, Médecin du Travail, SIEST AMET, Rosny-sous-Bois 93 1- La Surveillance Médicale Renforcée (SMR), bébé de la «réforme» de 2004, instaurée par le
Plus en détailAcides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6
Acides et bases Acides et bases Page 1 sur 6 Introduction Sont réputés acides et bases au sens des règles de sécurité en vigueur en Suisse, les solides ou liquides qui ont une réaction acide ou alcaline
Plus en détailEN AMONT DE LA DÉLÉGATION ACCUEIL ET FORMATION GÉNÉRALE À LA SÉCURITÉ FORMATION AU POSTE DE TRAVAIL
EN AMONT DE LA DÉLÉGATION Elaborer un livret d'accueil Etablir la liste des postes à risques particuliers (annexe 1) Prendre en compte la liste des travaux interdits aux intérimaires (annexe 2) Désigner
Plus en détailContact cutané. Contact avec les yeux. Inhalation. Ingestion.
FICHE SIGNALÉTIQUE 995-01 Canutec 1-613-996-6666 (24 heures) 1. PRODUIT CHIMIQUE ET FOURNISSEUR Identification du produit : 995-01 Nom du produit : Graisse montage pneu Famille chimique : Mélange Fournisseur/Fabricant
Plus en détailKASOLV 16 Silicate de potassium
FICHE SIGNALÉTIQUE KASOLV 16 Silicate de potassium Date de préparation: 4/9/2012 Page: 1 de 6 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA COMPAGNIE Nom commun: KASOLV 16 Silicate de potassium Description du
Plus en détailL AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS
L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace
Plus en détailPropositions faites par le RPP, soutenues par :
Propositions faites par le RPP, soutenues par : Communiqué de presse Paris, le 17/10/14 Plan national santé-environnement 3 : Pour le Rassemblement pour la planète le compte n y est pas! Les membres du
Plus en détailGrattage et évacuation des peintures écaillées contenant du plomb dans les cages d escalier n 4 et 16.
Maîtrise d Œuvre : C3C 21 rue Normande 28230 EPERNON Tél : 06.32.89.12.95 Fax : 09.58.83.45.69 E-mail : c3c.capelle@gmail.com Maître d Ouvrage LYCEE LAKANAL 3, avenue du Président Roosevelt 92330 SCEAUX
Plus en détail4. Conditionnement et conservation de l échantillon
1. Objet S-II-3V1 DOSAGE DU MERCURE DANS LES EXTRAITS D EAU RÉGALE Description du dosage du mercure par spectrométrie d absorption atomique de vapeur froide ou par spectrométrie de fluorescence atomique
Plus en détailAu programme. Les blessures fréquentes chez les coureurs de fond
Au programme Les blessures fréquentes chez les coureurs de fond Club La Foulée 5 août 2004 Dre Mireille Belzile La lombo-sciatalgie Inflammation du périoste au site d insertion des muscles du mollet Erreur
Plus en détailOBLIGATIONS DE LA COLLECTIVITE AVANT INTERVENTION D ENTREPRISES EXTERIEURES PLAN DE PREVENTION
OBLIGATIONS DE LA COLLECTIVITE AVANT INTERVENTION D ENTREPRISES EXTERIEURES PLAN DE PREVENTION Service Santé Sécurité au Travail Maison des Communes Cité Administrative Rue Renoir BP 609 64006 PAU Cedex
Plus en détailTableau d'information sur les diagnostics immobiliers publié le 7 août 2012 19:59 par Christophe RONCHETTI [ mis à jour : 21 sept.
Tableau d'information sur les diagnostics immobiliers publié le 7 août 2012 19:59 par Christophe RONCHETTI [ mis à jour : 21 sept. 2012 14:45 ] 1 - Les diagnostics immobiliers obligatoires pour une vente
Plus en détailComment se déroule le prélèvement? Il existe 2 modes de prélèvements des cellules souches de la moelle osseuse:
La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison pour de nombreuses personnes atteintes de maladies graves du sang. Le don de moelle osseuse est un acte volontaire, anonyme et gratuit
Plus en détailLa réglementation Mardi de la DGPR. sur les produits biocides 05/04/2011
La réglementation r Mardi de la DGPR 05/04/2011 sur les produits biocides Direction générale de la prévention des risques Service de la prévention des nuisances et de la qualité de l environnement Département
Plus en détailIntoxication par le plomb physiopathologie, épidémiologie, diagnostic V. Danel - 1997
Intoxication par le plomb physiopathologie, épidémiologie, diagnostic V. Danel - 1997 1. Introduction Première maladie reconnue d'origine professionnelle en France (tableau n 1 du régime général), l'intoxication
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailGUIDE PRATIQUE. d évaluation et de prévention du risque chimique en entreprise EDITION 2013
GUIDE PRATIQUE d évaluation et de prévention du risque chimique en entreprise EDITION 2013 PRÉFACE Dans le cadre de leur mission de conseil aux employeurs et aux salariés sur les mesures permettant de
Plus en détailPH Moins 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/DU MÉLANGE ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE. Postbus 12 5373 ZG Herpen Pays-Bas +31 (0) 486 416 959
1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/DU MÉLANGE ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE Nom de product Acide phosphorique 59% Article no. Substance/préperation substance L utilisation de la substance ajustement du ph
Plus en détailDirection générale de la santé. Direction générale de l urbanisme, de l habitat et de la construction
3 Ministère de l écologie, du développement et de l aménagement durables Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports Ministère du logement et de la ville Direction générale de l urbanisme, de l
Plus en détailRAID - Aérosol Fourmis, Araignées et Cafards
1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/ DU MÉLANGE ET DE LA SOCIÉTÉ/ L'ENTREPRISE Informations sur le produit Identificateur de produit : Utilisations identifiées pertinentes de la substance ou du mélange et
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailPlombier, c'est quoi?
Plombier, c'est quoi? Un plombier est un ouvrier qui s occupe / d installer et réparer les canalisations d eau et de gaz. Certains plombiers se spécialisent dans des domaines particuliers ou complètent
Plus en détailMesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-013) Version CT-Q 2011-11-15
Mesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-03) Version CT-Q 0--5 Groupe cible Collaborateurs qui doivent effectuer des mesures EX-OX-TOX sur un terrain d exploitation, les interpréter
Plus en détailQuestions-réponses : cas concrets d application de la réglementation
Questions-réponses : cas concrets d application de la réglementation Cette rubrique est destinée à apporter des précisions sur les modalités d application de la section III du livre IV ème, titre I er,
Plus en détail2. Présentation d une intervention dans l une des entreprises
Approche ergonomique des troubles musculosquelettiques (TMS) au sein de trois entreprises basées en Suisse Juin 2007 Andréa Neiva, Aurélia Pellaux, Daniel Ramaciotti ERGOrama sa Genève & Université de
Plus en détailINAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE
INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février
Plus en détailBDL2, BDL3 Enviro Liner Part A. Dominion Sure Seal FICHE SIGNALÉTIQUE. % (p/p) Numéro CAS. TLV de l' ACGIH 28182-81-2 70-100 Non disponible
FICHE SIGNALÉTIQUE 1. PRODUIT CHIMIQUE ET IDENTIFICATION DE L'ENTREPRISE Adresse du fournisseur/distributeur : Dominion Sure Seal Group of Companies 6175, chemin Danville, Mississauga (Ontario) Canada,
Plus en détailLE PLOMB DANS L HABITAT ANCIEN
LE PLOMB DANS L HABITAT ANCIEN 10 FICHES PRATIQUES POUR RÉPONDRE À VOS QUESTIONS DANS DIFFÉRENTS DOMAINES : SANTÉ, TRAVAUX DANS L HABITAT ANCIEN, LÉGISLATION, AIDES FINANCIÈRES Juin 98 mise à jour novembre
Plus en détailDes déficiences présentes
Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?
Plus en détailFICHE D ENTREPRISE DE
FICHE D ENTREPRISE DE Article R. 241-41-3 du code du travail Dans chaque entreprise ou établissement qu il a en charge, le médecin du travail établit et met à jour une fiche d entreprise sur laquelle sont
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE MA890 ACTIVATOR
FICHE DE DONNEES DE SECURITE 1 IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PREPARATION ET DE LA SOCIETE/L'ENTREPRISE NOM DU PRODUIT NO DE PRODUIT : UTILISATION DISTRIBUTEUR NUMÉRO DE TÉLÉPHONE EN CAS D'URGENCE Z0085
Plus en détailPARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE
de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...
Plus en détailVulcano Pièges Fourmis
FDS Conforme au règlement 1907/2006/CE et 1272/2008/CE 16-12-10- Page 1/5 FICHES DE DONNEES DE SECURITE 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Produit : Utilisation : Fournisseur : Vulcano Pièges
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailATELIERS DE FORMATION PROFESSIONNELLE A LA PRISON LOCALE DE SALE RISQUES ET CONSEQUENCES. Présenté par Dr Mouna REGRAGUI Dr Mohammed Abdalilah NEJJAR
ATELIERS DE FORMATION PROFESSIONNELLE A LA PRISON LOCALE DE SALE RISQUES ET CONSEQUENCES SUR LA SANTE Présenté par Dr Mouna REGRAGUI Dr Mohammed Abdalilah NEJJAR Capacité de Médecine et Santé au Travail
Plus en détailT4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?
T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de
Plus en détailPLAN DE PREVENTION Décret 92-158 du 20/02/92
Date : Référence du PdP : N de contrat / commande : PLAN DE PREVENTION Décret 92-158 du 20/02/92 1- LIEU DE L'INTERVENTION - localisation Bâtiment :... Installation n.. local :... - Interférences avec
Plus en détailDémarche de prévention de la pénibilité : Aide à la mise en œuvre
Démarche de prévention de la pénibilité : Aide à la mise en œuvre dans les TPE-PME T e m p é r a t u r e Produits chimiques Horaires décalés Manutention de la pénibilité dans les TPE-PME 1 Préambule Suite
Plus en détailRencontre des Responsables de copropriétés de Neuilly sur Seine, le 14 octobre 2014. Focus sur quelques obligations applicables aux copropriétés
Rencontre des Responsables de copropriétés de Neuilly sur Seine, le 14 octobre 2014 Focus sur quelques obligations applicables aux copropriétés Sommaire Domaine Sécurité et sanitaire Mise en sécurité des
Plus en détailTout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse
Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse 1. La moelle osseuse : un rôle vital pour le corps humain Page 2/23 1.1. Qu est ce que la moelle osseuse? La moelle osseuse est indispensable à la
Plus en détailFiche de données de sécurité
1 Identification de la substance/préparation et de la société/entreprise 1.1. - Identification de la substance ou de la préparation FREECAN 1.2.- Emploi de la substance : déboucheur Concentrations utilisées:
Plus en détailEntreprises artisanales du bâtiment
Entreprises artisanales du bâtiment Comment prévenir les risques professionnels? L Institut national de recherche et de sécurité (INRS) Dans le domaine de la prévention des risques professionnels, l INRS
Plus en détailPrésentation d µgaztox_dist Rev22_06_09
Présentation d µgaztox_dist Rev22_06_09 1 INTERFACE UTILISATEUR Affichage message d alarme Affichage des alarmes VME et VLE Affichage de la mesure Affichage des niveaux d alarme instantanées (haute et
Plus en détailÉvolution réglementaire amiante, conséquences pour les gestionnaires immeubles
Évolution réglementaire amiante, conséquences pour les gestionnaires immeubles DIRECCTE Midi-Pyrénées 17 décembre 2012 Etat des connaissances Amiante est cancérogène Amiante est interdit depuis 1 er janvier
Plus en détailExemples de clauses et outils
Exemples de clauses et outils Des critères au cahier des charges Léa CHAMPON Chargée de mission écoconso Choix d un matériau de finition Essai de classement des priorités Caractéristiques techniques du
Plus en détailFiche de données de sécurité
Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION
Plus en détail