Carte 5 : Analyse des 4 thèmes, un découpage du Limousin en 8 types de cantons i

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Carte 5 : Analyse des 4 thèmes, un découpage du Limousin en 8 types de cantons i"

Transcription

1

2 Résultats. n Analyse des 4 thèmes Cette analyse est réalisée avec l'ensemble des indicateurs et va permettre de récolter davantage d'informations de façon à localiser les cantons défavorisés. Carte 5 : Analyse des 4 thèmes, un découpage du Limousin en 8 types de cantons i GROUPE A : DES CANTONS PLUTOT DEFAVORISES A5 : Des cantons âgés, peu peuplés, très agricoles, une mortalité générale et évitable ii très importante, une offre de soins réduite s A4 : Des cantons âgés, ruraux, une forte mortalité générale et évitable, particulièrement par des actions sur le système de soins A3 : Des cantons agricoles et ouvriers, une population jeune défavorisée, une forte mortalité évitable, surtout due à des facteurs de risques individuels A2 : Des cantons agricoles, une faible mortalité tumorale et évitable notamment due à des facteurs de risques individuels A1 : Des petites villes éloignées des centres de soins, une forte mortalité évitable due à des facteurs de risques individuels GROUPE B : DES CANTONS PLUTOT FAVORISES B1 : De grands centres urbains, une part de personnes seules importante, une faible mortalité générale B2 : Des cantons agricoles et ouvriers à proximité des zones urbaines, une faible mortalité générale et évitable par action sur le système de soins B3 : Des cantons en périphérie des centres urbains, de jeunes ménages économiquement favorisés, une faible mortalité évitable i Voir en annexe III la liste des indicateurs retenus. ii par des actions sur le système de soins et sur les facteurs de risques individuels

3 Résultats Analyse des 4 thèmes CLASSE A5 : Cette classe ne comporte que 5 cantons, tous situés en Creuse et constitue 2 % de la population. Ces cantons, fortement agricoles présentent les taux les plus élevés de logements sans confort et de foyers non imposables. La proportion de personnes âgées vivant seules à domicile est faible. On observe une forte mortalité générale et prématurée surtout due à des facteurs de risques individuels avec un taux de suicides significativement élevé. La mortalité due à des maladies cérébro-vasculaires est faible. Pour l'offre de soins, on constate l'absence de dentistes dans ces cantons et de faibles densités pour les généralistes et les autres professionnels de santé. Enfin, on note l'absence d'équipements pour personnes âgées, excepté des places en maison de retraite médicalisée. L'isolement géographique est très fort avec en moyenne 40 minutes pour accéder aux urgences et à une maternité. CLASSE A4 : Cette classe se compose de 12 cantons et représente 5,9 % de la population. La proportion de personnes âgées est élevée. Dans ces cantons, la proportion de bénéficiaires de la PSD est importante. Ces cantons se caractérisent surtout par une mortalité prématurée très élevée en particulier celle évitable par des actions sur le système de soins et celle due à une consommation excessive d'alcool. La mortalité générale est très importante, particulièrement par cardiopathies ischémiques et par tumeurs telles que les cancers du sein. Les médecins généralistes sont très bien représentés ainsi que les masseurs-- kinésithérapeutes.

4 Résultats Analyse des 4 thèmes CLASSE A3 : Cette classe se compose de 10 cantons et représente 5,6 % de la population. Ces cantons sont ouvriers et agricoles. La population âgée est importante et vit principalement seule. De même, on observe une forte proportion de RMIstes, de bénéficiaires de l'aah, de jeunes non diplômés, de foyers non imposables, de familles monoparentales et de logements sans confort. La mortalité générale est élevée, surtout celle due aux cardiopathies ischémiques. On observe aussi une surmortalité prématurée liée à des facteurs de risques individuels (alcool, accidents de la circulation et suicides). Ces cantons sont dotés de nombreuses places en foyers logements. L'accès aux urgences est à 26 minutes en moyenne et 28 minutes pour une maternité. CLASSE A2 : Cette classe est la plus nombreuse avec 21 cantons et représente 12,7 % de la population. Cette classe se caractérise par une forte proportion d'agriculteurs dans la population active et de faibles revenus. La proportion de personnes de 75 ans et plus est la plus importante mais celle des personnes âgées vivant seules est significativement faible. Les logements sans confort sont fréquents. De même, on observe un taux élevé d'allocataires adultes handicapés (AAH). Ces cantons se caractérisent par de faibles taux de mortalité par facteurs de risques individuels (en particulier les accidents de la circulation), et globalement par une sousmortalité prématurée. Seule la mortalité cérébro-vasculaire est plus élevée. L'offre de soins est globalement moins présente que pour l'ensemble de la région et les centres de soins restent éloignés (27 minutes des urgences et de la maternité en moyenne).

5 Résultats Analyse des 4 thèmes CLASSE A1 : Cette classe se compose de 18 cantons et représente 14,7 % de la population du Limousin au recensement de Ces cantons correspondent aux petites villes, indépendantes des aires urbaines ou sous faible influence, appartenant davantage à des pôles ruraux ou à des zones rurales isolées, avec une population active (ouvriers, agriculteurs, cadres...) représentative de la région. La population est relativement âgée. Le nombre de bénéficiaires d'allocations, le taux de chômage sont eux aussi moyens. Seule la mortalité prématurée due à des facteurs de risques individuels (cancer du poumon, alcoolisme, cirrhose du foie, suicide, chute accidentelle ) est élevée et plus particulièrement celle due aux accidents de la circulation. L'offre de soins semble pénalisée par l'isolement géographique avec un délai d'accès aux urgences de 28 minutes en moyenne.

6 Résultats Analyse des 4 thèmes CLASSE B1 : Il s'agit des grandes agglomérations du Limousin. 7 cantons sont concernés. Cette classe regroupe 34 % de la population. La proportion de cadres est maximale. La proportion des personnes âgées est faible. Cette classe se caractérise par une forte proportion de ménages d'une personne, et de personnes âgées vivant seules à domicile. De même, les familles monoparentales sont plus présentes qu'ailleurs. Les allocataires du RMI sont aussi plus nombreux. On observe une sous-mortalité générale et cérébro-vasculaire significative. L'offre de soins est abondante, avec particulièrement une forte concentration de dentistes. De même, les taux d'équipements en logements foyers et longs séjours sont nettement supérieurs à la moyenne régionale. CLASSE B2 : Cette classe regroupe 11 cantons et représente 10 % de la population du Limousin. On observe une population active ouvrière importante, relativement peu de personnes âgées et à fortiori vivant seules. On observe peu de bénéficiaires d'allocations et de prestations sociales. Ces cantons se caractérisent par une faible mortalité générale par cardiopathies ischémiques, tumeurs (et en particulier les cancers du sein) et par une sous-mortalité prématurée relevant des actions sur le système de soins. L'offre de soins est favorable, de même les centres de soins sont facilement accessibles avec en moyenne 14 minutes pour les urgences et 19 minutes pour une maternité. Les équipements pour personnes âgées sont présents surtout pour les longs séjours.

7 Résultats Analyse des 4 thèmes CLASSE B3 : Cette classe se compose de 12 cantons et comprend 15,6 % de la population. Ces cantons se caractérisent par une population jeune, un taux élevé de cadres et les taux minimums de RMIstes, d'allocataires adultes handicapés et de jeunes non diplômés. De même, les familles monoparentales sont peu nombreuses et le taux de ménages d'une personne faible. La mortalité prématurée évitable par des actions sur le système de soins est significativement la plus faible, de même que celle due aux facteurs de risques individuels comme la consommation excessive d'alcool et les suicides. L'accès aux soins est favorable avec en moyenne 13 minutes pour accéder aux urgences et à une maternité.

8 Résultats Analyse des 4 thèmes RÉSUMÉ Cette approche nous permet de distinguer 8 types de cantons rassemblés en 2 grands groupes (voir arbre de classification en annexe II p 40). D'un coté, un groupe de 30 cantons au total, de 60% de la population et dont l état de santé est plutôt satisfaisant. D'un autre côté, un second groupe composé de 66 cantons et de 40 % de la population avec un état de santé qui semble moins satisfaisant avec comme principales caractéristiques une forte mortalité, un isolement géographique et une grande proportion de personnes âgées. Tab1: Indicateurs les plus significatifs* des 8 groupes (uniquement le, ou les 2 premiers) Nb de cantons Supérieur à la moyenne régionale Inférieur à la moyenne régionale Pop RP99 A1(18) Mortalité évitable due à des facteurs de risques individuels Temps d accès aux urgences A2 (21) Proportion d agriculteurs Taux de foyers non imposables A3(10) Taux de logements en foyers (personnes âgées) Population âgée vivant seule à domicile A4(12) Mortalité évitable par des actions sur le système de soins Mortalité évitable Mortalité par tumeur Proportion de cadres _ 14.7 % 12.7 % _ 5.6 % _ 5.9 % A5(5) Taux de logements sans confort Temps d accès à une maternité Densité de dentistes (nulle!) Proportion de cadres 1.6 % B1(7) Taux de ménages d une personne Proportion de cadres Temps d accès aux urgences Temps d accès à une maternité 34 % B2(11) Proportions d ouvriers Taux d équipements en long séjour B3(12) Proportion de cadres Mortalité par cardiopathie ischémique Mortalité par tumeur Part des personnes de 75 ans et plus Taux de foyers non imposables 9.9 % 15.6 % * Pour la valeur test de chaque indicateur, la valeur seuil est 2 (Elle est exprimée en nombre d'écart types d'une loi normale). Plus la valeur test est importante plus l'indicateur est significatif ( forte contribution pour constituer le groupe)

9

10 Discussion MÉTHODOLOGIE Des problèmes de disponibilité des données ont été rencontrés : les populations de référence utilisées pour les indicateurs sociaux ou d offre de soins remontent au recensement de 1990 (les données détaillées plus récentes n étaient pas disponibles au niveau cantonal), alors que la plupart des indicateurs datent de Il n est pas certain que les variations des populations cantonales aient été homogènes entre 1990 et 1997, qu il s agisse des problèmes d accroissement naturel ou des phénomènes migratoires. La disponibilité des résultats du recensement de 1999 va permettre désormais d actualiser ces indicateurs en faisant correspondre l ancienneté du numérateur et du dénominateur. Concernant les taux comparatifs de mortalité, et bien qu ils aient été calculés sur une longue période, il faut tenir compte de leur intervalle de confiance qui reste élevé pour des cantons peu peuplés en raison du faible nombre de décès. De plus, certains taux n ont pu être comparés aux moyennes nationale et régionale en raison de trop faibles effectifs de décès rendant les tests de signification non valides (basés sur une loi normale). En outre, pour certaines causes de décès, pour lesquelles il existe une prédominance masculine marquée (cancers du poumon ), le taux calculé pour les deux sexes réunis est largement représentatif de la mortalité des hommes. L'utilisation de taux par sexe permettrait d'affiner l'analyse, tout en réduisant l utilisation des tests de signification. L'analyse des données n'explique rien par elle-même, il s'agit d'une méthode descriptive qui doit conduire à se poser des questions. Le fait d'analyser des cantons avec l'ensemble des indicateurs (4 thèmes) entraîne une augmentation de l'information (en quantité) mais sans doute aussi une perte de signification du fait d'une plus grande importance de certains indicateurs i comme la position sociale ou la mortalité générale, la non pertinence d'autres tels que le taux de PSD ou la densité d'infirmiers. Une réponse à ce problème peut être trouvée dans l analyse factorielle multiple (AFM) 1,8,15, méthode factorielle adaptée au traitement de tableaux dans lesquels un ensemble d individus est décrit par plusieurs groupes de variables. Cette technique permettrait en outre un gain en puissance se traduisant par une augmentation du nombre de variables retenues par l analyse globale. Enfin, il s agit d une approche descriptive ne permettant, en aucun cas, les interprétations causales, parfois tentantes mais non justifiées ici, compte tenu du caractère transversal de l étude. Cependant, les résultats de ce travail font ressortir plusieurs éléments intéressants et assez pertinents. i voir liste des indicateurs retenus p 49.

11 LES RÉSULTATS Discussion Cette analyse souligne la forte influence des déterminants sociaux, plus fortement corrélés aux facteurs de santé que les variables offre de soins. En effet, certaines zones, où l offre de soins est faible, sont caractérisées par une surmortalité très importante (classe 4 et 5 de l'étude globale) alors que d autres, également peu dotées, se définissent par une sous-mortalité (classe 2). Ce constat génère des interrogations auxquelles il faudrait pouvoir répondre (par des études complémentaires 6,9,14 plus ciblées) : - Quel réel accès aux soins, notamment dans certaines zones rurales isolées? - Quel parcours des individus dans le système de soins? - Quelle efficience des prises en charges? - Quels obstacles socio-culturels à l accès aux soins? - Pourquoi certains cantons plutôt défavorisés ont-ils de bons indicateurs de santé et d autres de très mauvais? Les différentes cartes présentées dans ce travail recréent une structuration de l espace régional dissociée des découpages administratifs classiques (zones d'emploi, secteurs sanitaires). La typologie obtenue fait ressortir les contrastes entre les milieux urbain et rural, dissocie les zones urbaines et péri-urbaines socialement favorisées ou défavorisées et dessine des entités identifiées selon des critères géographiques et économiques. En contribuant à la définition de secteurs homogènes en matière d'état de santé, de déterminants sociaux et d'offre de soins, une telle approche peut contribuer utilement à une politique d'aménagement du territoire. Des pistes de travail peuvent être proposées concernant l'apport de nouveaux indicateurs à intégrer dans l'analyse tels que le réseau de transport en commun, l'accès à une mutuelle pour les non bénéficiaires de la CMU, les activités économiques des cantons, les habitudes alimentaires etc

12 Discussion COMPARAISON AVEC L'ÉTUDE TEST SUR 8 RÉGIONS DE FRANCE L'étude nationale réalisée sous l'égide de la FNORS et portant sur 8 régions 4 n'utilise pas la même typologie. Le Limousin est, en effet, découpé en 5 classes, avec une prédominance du groupe C4 (58 cantons sur 96). Cette classe semble même être propre au Limousin. On remarque en effet, selon cette typologie, une uniformité de la région. Mais, une approche régionale de l'étude permet de faire apparaître des profils différents au sein de ce groupe C4 en distinguant par exemple des niveaux de mortalité et de précarité. Carte 7 : les inégalités cantonales en matière de santé dans 8 régions IGN Cartographie ORS Picardie C1 : Centres urbains, modes de vie isolés fréquents, offre de soins importante, mortalité prématurée élevée. C2 : Périphéries urbaines socialement favorisées, très faible mortalité. C3 : cantons ruraux, faible offre de soins, faible mortalité. C4 : Des cantons ruraux, une population âgée, une surmortalité prématurée C5 : Des cantons ouvriers, une surmortalité préoccupante, une très faible offre de soins

13

14 CONCLUSION Une analyse des indicateurs de santé à un niveau infra--régional permet donc de confirmer l existence de fortes disparités en Limousin. Nous observons une forte analogie avec la situation géographique de la région : un «Ouest» plutôt dynamique, plus peuplé et en meilleure santé ; un «Est» et un «Nord» très ruraux, progressivement désertés et dont l état de santé est peu favorable. Enfin, un «Sud» davantage structuré en pôles ruraux et en relative bonne santé malgré une population âgée (cette zone a bénéficié de nombreuses implantations d établissements de santé dans les années 70). Le tableau 1 (p 34) renseigne sur les indicateurs qui expliquent le mieux les groupes et peut donc permettre de mettre en place des pistes d'actions à suivre concernant la précarité, l'offre de soins, l'accès aux soins et l'équipement des personnes âgées (pour ces deux thèmes, il serait intéressant d'approfondir avec de nouveaux indicateurs) afin de réduire les inégalités de santé et de mettre en place des indicateurs de suivi de ces actions.

15

16 Bibliographie BIBLIOGRAPHIE 1. AURAY JP., DURU G., ZIGHED A. Analyse des données multidimensionnelles 1 ) Les méthodes de description. Ed. Alexandre Lacassagne, Lyon, 1990, 195 p. 2. Conférence Nationale de Santé. Rapport 2000, mars 2000, (Pr BRODIN M), Paris. 3. Conférence Régionale de Santé. Réunion du 24 mars 1998, (communication de 4 p de MALMARTEL A., et OCHOA A), Limoges, (non publiée). 4. FNORS, Les inégalités cantonales en matière de santé, Juillet 2001, téléchargeable sur (possibilité de consulter la base de données SCORE-santé). 5. INSEE Limousin, DRASS Limousin, Précarité et solidarité, connaître pour agir, 1998, 33 p. 6. JOUBERT M., CHAUVIN P., FACY F., RINGA V. Précarisation, risque et santé. INSERM. Ed Questions en santé publique, 2001, 474 p. 7. JOUGLA E., RICAN S., SALEM G. Atlas de la santé en France, Volume 1 Les causes de décès, DREES, Collection Mire, Ed. John Libbey Eurotext, 2000, 189 p. 8. LEBART L., MORINEAU A., PIRON M. Statistique exploratoire multidimensionnelle. Dunod, 1998, 439 p. 9. LECLERC A., FASSIN D., GRANDJEAN H., KAMINSKI M., LANG T. Les inégalités sociales de santé. INSERM. Ed. La découverte/recherches, 2000, 448 p. 10. Loi n du 27 juillet 1999 portant sur la création d'une couverture maladie universelle, J.O du 28 Juillet MORINEAU A., ALUJA-BANET T. Analyse en composantes principales (avec illustrations SPAD ), CISIA-CERESTA Editeur, 1998, 144 p. 12. ORS du Limousin. La santé en Limousin. Tableau de bord sur la santé, ORS (1 er éd 1993). 13. ORS du Limousin. Principaux indicateurs de mortalité et de morbidité en Limousin - Rapport 1998, 39 p. 14. Observatoire National de la Pauvreté et de l'exclusion Sociale. Rapport 2000, La Documentation Française, Paris, 2000, 125 p. 15. VOLLE M., Analyse des données (3 e éd), Economica, Collection "Economie et statistiques avancées", 1993, 324 p.

17

18 Annexe I DICTIONNAIRE DES INDICATEURS Thème des déterminants sociaux (précarité) Densité en hab/km 2 Source : INSEE % de foyers non imposés Sources : SESDO, INSEE, DREES % d agriculteurs-exploitants Source : INSEE % d ouvriers Source : INSEE % de cadres Source : INSEE % d habitants de logement sans confort Source : INSEE % de familles monoparentales Source : INSEE % de ménages d une personne Source : INSEE % chômeurs de longue durée Source : DRTEFP % de jeunes non diplômés Source : INSEE % d allocataires du RMI * Sources : CAF, MSA, INSEE % d allocataires de l'api Sources : CAF, MSA, INSEE % d allocataires de l AAH Sources : CAF, MSA, INSEE Numérateur : Nombre total d habitants, RP 1999 Dénominateur : Superficie en km 2 Numérateur : Nombre de foyers fiscaux non imposés sur le revenu en 1995 Dénominateur : Nombre total de foyers fiscaux en 1995 Numérateur : Nombre d agriculteurs-exploitants RP 1990 Dénominateur : Population active ayant un emploi RP 1990 Numérateur : Nombre d ouvriers RP 1990 Dénominateur : Population active ayant un emploi RP 1990 Numérateur : Nombre de cadres RP 1990 Dénominateur : Population active ayant un emploi RP 1990 Numérateur : Nombre d habitants de résidences principales sans confort RP 1990 Dénominateur : Nombre total d habitants des résidences principales RP 1990 Définition du logement sans confort : sans WC intérieurs, ni douche ou baignoire Numérateur : Nombre de familles monoparentales ayant des enfants de 0 à 24 ans RP 1990 Dénominateur : Nombre total de familles ayant des enfants de 0 à 24 ans RP 1990 Numérateur : Nombre de ménages d une seule personne de ans RP 1990 Dénominateur : Nombre total de ménages RP 1990 Numérateur : Nombre de chômeurs de longue durée (>= à 1 an) en 1997 Dénominateur : Nombre total de chômeurs en 1997 (DEFM Cat. 1) Numérateur : Nombre de personnes de ans pas ou peu diplômées (pas de diplôme ou certificat d études primaires seulement) RP 1990 Dénominateur : Nombre total de personnes de ans RP 1990 Numérateur : Nombre d allocataires du RMI en 1997 (CAF + MSA) Dénominateur : Population de ans RP 1990 Numérateur : Nombre d allocataires de l'api en 1997 (CAF + MSA) Dénominateur : Nombre de familles monoparentales ayant des enfants de 0-24ans RP 90 Numérateur : Nombre d allocataires de l AAH en 1997 (CAF + MSA) Dénominateur : Population de ans RP 1990 *Lorsque pour les données CAF ou MSA, les producteurs n ont pas pu donner les effectifs inférieurs à 5 (et différents de 0), la valeur manquante a été remplacée par 2 (valeur moyenne)

19 Annexe I Thème des Personnes âgées % de population âgée Source : INSEE % de personnes âgées seules Source : INSEE % Bénéficiaires de la PSD Source : DRASS Enquête SAE, INSEE Hébergement collectif : taux pour 1000 personnes de 75 ans et plus - nombre de places installées en logements foyers : Numérateur : Nombre de personnes âgées de 75 ans ou plus, RP 1990 Dénominateur : Population totale, RP 1990 Numérateur : Nombre de personnes âgées de 75 ans ou plus et vivant seules à domicile, RP 1990 Dénominateur : Population âgée de 75 ans ou plus, RP 1990 Numérateur : Nombre d'allocataires de la PSD (prestation spécifique dépendance) Dénominateur : Nombre de personnes âgées de 75 ans ou plus, RP 1990 Numérateur : Nombre de places installées en logements foyers médicalisés et non médicalisés Dénominateur : Population âgée de 75 ans ou plus, RP nombre de places installées en maisons de retraite sans section de cure médicale : Numérateur : Ensemble des places installées dans les maisons de retraite sans section de cure médicale Dénominateur : Population âgée de 75 ans ou plus, RP nombre de places installées en maisons de retraite avec section de cure médicale : Sources : DRASS Enquête EHPA-FINESS, INSEE Numérateur : Ensemble des places installées dans les maisons de retraite avec section de cure médicale (soit celles dans et en dehors de la section) Dénominateur : Population âgée de 75 ans ou plus, RP nombre de places installées en «soins de longue durée» : Sources : DRASS Enquête SAE, INSEE Numérateur : Nombre de places installées en long séjour Dénominateur : Population âgée de 75 ans ou plus, RP 1990

20 Annexe I Thème de l'offre de soins Densité de généralistes libéraux (taux pour hab) Sources : CNAMTS, INSEE % de généralistes libéraux à honoraires libres Sources : CNAMTS Densité d infirmiers libéraux (taux pour hab) Sources : DREES Fichier ADELI, INSEE Densité de masseurs-kinésithérapeutes (taux pour hab) Sources : DREES Fichier ADELI, INSEE Numérateur : Nombre de généralistes (=omnipraticiens pour la CNAMTS), libéraux tous les secteurs conventionnels, en 1997 Dénominateur : Population totale, RP 1999 Numérateur : Nombre de généralistes libéraux des secteurs 2 et 3 (=autorisés à dépassement) en 1997 Dénominateur : Nombre total de généralistes libéraux, tous secteurs conventionnels ( ) en 1997 Numérateur : Nombre d infirmiers libéraux (exclusifs ou partiels) en 1999 Dénominateur : Population totale, RP 1999 Numérateur : Nombre de masseurs-kinésithérapeutes libéraux (exclusifs ou partiels) en 1999 Dénominateur : Population totale, RP 1999 Densité de chirurgiens-dentistes (taux pour hab) Sources : DREES Fichier ADELI, INSEE Temps d accès à la maternité la plus proche Les données sont issues des DRASS, enquête SAE Source : DRASS Enquête SAE Temps d accès au service d urgences le plus proche Source : DRASS Enquête SAE Numérateur : Nombre de chirurgiens-dentistes salariés et libéraux en 1999 Dénominateur : Population totale, RP 1999 Temps moyen d accès des communes du canton à la maternité (niveau 1, 2 et 3) la plus proche. Les temps d accès sont calculés par Autoroute Express. Pour cet indicateur, ont été pris en compte : -les maternités des départements limitrophes à chaque région - dans le cas de cantons ruraux rattachés à certaines grandes villes, il était convenu de recenser les temps d accès aux différentes communes du canton aux maternités étudiées et d en faire la moyenne Temps moyen d accès des communes du canton aux services d urgences, d un hôpital public, les plus proches. Les temps d accès sont calculés par Autoroute Express. Pour cet indicateur, ont été pris en compte : - Tous les services d urgences (spécialisés et psychiatriques) Nota : La méthode de calcul est la même que pour l accès aux maternités

21 Annexe I Thème des pathologies Taux de mortalité infantile Sources : INSEE, INSERM SC8: Taux comparatifs de mortalité * p * pour les 2 sexes confondus * Décès totalisés de 1984 à Numérateur : Nombre de décès des 0-1 an (2 sexes confondus) pour la période Dénominateur : Naissances vivantes pour la période (2 sexes confondus) Le taux de mortalité est calculé pour enfants de moins d'un an. Mortalité générale : CIM9 : Mortalité par cardiopathies ischémiques : CIM9 : Mortalité par maladies cérébro-vasculaires : CIM9 : Mortalité par tumeurs : CIM9 : Mortalité par accidents de la circulation : CIM9 : Mortalité par suicides : CIM9 : Mortalité par cancers du poumon : CIM9 : Mortalité par cancers du sein : CIM9 : Mortalité par cancers de l'intestin : CIM9 : Mortalité par consommation excessive d'alcool (total des causes) : Cancers des voies aéro-digestives Supérieures (VADS) Lèvres, cavité buccale et pharynx : CIM9 : Œsophage : CIM9 : Larynx : CIM9 : Psychose alcoolique et alcoolisme : CIM9 : Cirrhose alcoolique : CIM9 : Mortalité prématurée : CIM9 : pour les 0-64 ans - Mortalité prématurée évitable par une action sur les facteurs de risque individuels Sida : CIM9 : pour les 0-64 ans Tumeurs des lèvres de la cavité buccale et du pharynx : CIM9 : pour les 0-64 ans Tumeurs de l'œsophage : CIM9 : pour les 0-64 ans Tumeurs du larynx : CIM9 : pour les 0-64 ans Cancers du poumon : CIM9 : pour les 0-64 ans Psychose alcoolique et alcoolisme : CIM9 : pour les 0-64 ans Cirrhose alcoolique : CIM9 : pour les 0-64 ans Accidents de la circulation : CIM9 : pour les 0-64 ans Chutes accidentelles : CIM9 : pour les 0-64 ans Suicides : CIM9 : pour les 0-64 ans

22 Annexe I - Mortalité prématurée évitable par des actions sur le système de soins : Typhoïde : CIM9 : pour les 0-64 ans Tuberculose : CIM9 : pour les 0-64 ans Tétanos : CIM9 : pour les 0-64 ans Cancers de la peau : CIM9 : pour les 0-64 ans Cancers du sein : CIM9 : pour les 0-64 ans Cancers de l'utérus : CIM9 : pour les 0-64 ans Maladie de Hodgkin : CIM9 : pour les 0-64 ans Leucémie : CIM9 : pour les 0-64 ans Cardiopathies rhumatismales : CIM9 : pour les 0-64 ans Maladies hypertensives : CIM9 : pour les 0-64 ans Cardiopathies ischémiques : CIM9 : pour les 0-64 ans Maladies vasculaires cérébrales : CIM9 : pour les 0-64 ans Grippes : CIM9 : pour les 0-64 ans Asthme : CIM9 : pour les 0-64 ans Ulcères : CIM9 : pour les 0-64 ans Mortalité maternelle : CIM9 : pour les 0-64 ans * Tous les taux comparatifs sont standardisés sur une population de référence : la population de la France pour les 2 sexes au Recensement de la Population de 1990

23 COMPLEMENT DE L'ANALYSE STATISTIQUE Annexe II L'analyse en composantes principales L'image des vecteurs dans ce cercle constitue une bonne estimation du degré de corrélation entre les variables. Il s'agit d'une analyse normée. Ainsi, il est possible de comparer et de mesurer toutes les variables même si celles ci sont de nature différente (taux en %, distance en km ). Techniquement, les coefficients de corrélation entre deux variables coïncident avec le cosinus de l'angle que forment les deux vecteurs. Deux variables proches seront fortement corrélées, c'est le cas pour les variables 'population âgée' (voir dictionnaire) et 'Foyers non imposables'. De même, deux variables liées par une très forte corrélation négative seront représentées par deux points diamétralement opposés ; c'est presque le cas pour les variables 'agriculteurs' et 'cadres'. Enfin, deux variables indépendantes formeront un angle droit. C'est le cas des variables 'Foyers non imposables' et 'Familles monoparentales'.

24 Annexe II Moyennes pondérées et non pondérées Dans les analyses en composantes principales et les classifications ascendantes hiérarchiques réalisées, les cantons n ont pas été pondérés par la taille de leur population afin que chacun d entre eux pèse le même poids. Ceci implique que les cantons très peuplés ne sont pas sur-représentés par rapport aux cantons plus faiblement peuplés, et, de ce fait, que tous les cantons interviennent avec la même intensité dans les résultats. Les moyennes non pondérées issues de ces analyses permettent ainsi de situer les groupes de cantons par rapport au niveau régional lui-même synthétisé par une moyenne non pondérée de l ensemble des valeurs cantonales. Ces moyennes ne reflètent cependant pas la réalité, qui devrait justement prendre en compte la taille de la population de chaque canton (moyennes pondérées). Aussi, les moyennes qui apparaissent dans ce document (Etudes par thème) ont été recalculées avec Excel (moyennes pondérées). Notion de canton type Le canton type d'une classe (parangon) est le point (ici canton) le plus proche du centre de la classe et donc le représentant typique du groupe. Le canton type pourra être, par exemple, utilisé comme canton pilote pour des actions de terrain. Notion de variable illustrative Au cours de l analyse en composantes principales, est souvent apparue la nécessité d isoler certains indicateurs ou certains cantons et de les placer en variables illustratives. En effet, dans ce type d analyse, afin de gagner en précision, les variables peu représentées sur les axes sont traitées en tant que variables illustratives. Leur faible représentation statistique témoigne de leur quasi-indépendance avec l ensemble des autres variables de l analyse. Inversement, certaines variables cantons présentant des valeurs extrêmes (variance élevée) perturbent le modèle qui devient le reflet de ces seuls cantons. Ils masquent les disparités existantes au sein du groupe de variables et, in fine, nuisent à la clarté de l ensemble. Leur isolement en variables illustratives rend l ensemble des données plus homogène et permet une classification plus aisée.

25 Annexe II Graphique2 : Classification des cantons en 8 classes : Dendrogramme Classification hierarchique directe 5.27 A B A1 A2 A3 A4 A B1 B2 B3 L'arbre de classification (ou dendrogramme) La technique de classification ascendante hiérarchique consiste, pour chaque couple de canton, à définir un indice de distance. On cherche les 2 cantons pour lesquels cet indice est le plus faible, on les agrège pour ne former qu'un canton fictif et on recommence l'opération. On peut schématiser cette opération par un arbre. Les cantons sont alors placés les uns à côté des autres en fonction de leur degré de ressemblance. On remarque plusieurs branches et on distingue très clairement un premier découpage en 2 groupes mais qui reste très grossier. De façon évidente, les cantons du groupe B sont plutôt homogènes que ceux du groupe A car moins dispersés dans l'espace. Il s'agit, à droite, des cantons à caractéristiques urbaines et à gauche des cantons plutôt ruraux. Les sous groupes A1, A2, A3, A4, A5 et B1, B2, B3 se créént alors en fonction des caractéristiques de mortalité, d'offre de soins et de précarité. (Le thème des personnes âgées n'est pas assez significatif pour séparer -ou regrouperles cantons). Ce schéma permet de voir comment se place chaque canton, quels sont ceux qui sont isolés, ceux qui se différencient moins et ceux qui s'opposent et rend bien compte des disparités régionales.

26 Liste des indicateurs retenus pour l'étude globale Annexe III LES PATHOLOGIES Mortalité générale Mortalité prématurée (décès toutes causes survenant avant 65 ans) Mortalité prématurée «évitable» par une action sur les facteurs de risque individuels (SIDA, cancers de la cavité buccale, du pharynx, cancer de l œsophage, cancer du larynx, cancer du poumon, alcoolisme, cirrhose du foie, accidents de la circulation, chutes accidentelles, suicide) mortalité par suicide mortalité liée à l alcool (cirrhose, psychose alcoolique, cancers des voies aéro-digestives supérieures) Mortalité prématurée «évitable» par des actions sur le système de soins (typhoïde, tuberculose, tétanos, cancer de la peau, cancer du sein, cancer de l utérus, maladie de Hodgkin, leucémie, cardiopathies rhumatismales, maladies hypertensives, cardiopathies ischémiques, maladies vasculaires cérébrales, grippes, asthme, ulcères, mortalité maternelle) Mortalité par tumeurs Mortalité par cancer du sein Mortalité par cardiopathies ischémiques LES DÉTERMINANTS SOCIAUX % de foyers non imposés % de logements sans confort (pas de WC ni de douche ou de baignoire) % d'agriculteurs exploitants (dans la population avec un emploi) % de cadres, (idem) % de familles monoparentales % de ménages d'une personne % de bénéficiaires de RMI (Revenu Minimum d'insertion) % de bénéficiaires de l'aah (Allocation Adulte Handicapé) L'OFFRE DE SOINS densité de chirurgiens dentistes (p hab) temps d'accès à la maternité (en minutes) temps d'accès au service d'urgence (en minutes) LES PERSONNES ÂGÉES % de personnes de 75 ans et plus % des personnes âgées vivant seules hébergement collectif (taux p 1000 personnes de 75 ans et plus) Nombre de places installées en logements foyers

27 GLOSSAIRE AAH API ASV CAF CES CIM CNAMTS CRAM DEFM DRASS DREES DRTEFP Enquête EHPA Enquête SAE Fichier ADELI Fichier FINESS FNORS Allocation Adulte Handicapé Allocation Parent Isolé Allocation Supplémentaire Vieillesse (ex-fns, Fonds National de Solidarité) Caisse d Allocations Familiales Conseil Economique et Social Classification Internationale des Maladies Caisse Nationale d Assurance Maladie des Travailleurs Salariés Caisse Régionale d Assurance Maladie Demandeurs d Emploi en Fin de Mois Direction Régionale des Affaires Sanitaires et Sociales Direction de la Recherche, des Etudes, de l Evaluation et des Statistiques Direction Régionale du Travail, de l Emploi et de la Formation Professionnelle Enquête Hébergement pour Personnes Agées Statistique Annuelle des Etablissements de Santé Publics et Privés Répertoire des professions médicales et para-médicales Fichier National des Etablissements Sanitaires et Sociaux Fédération Nationale des Observatoires Régionaux de Santé INSEE Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques INSERM SC8 Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale, Service Commun 8 MSA Mutualité Sociale Agricole ORS Observatoire Régional de Santé PRAPS Programme Régional d'accès à la Prévention et aux Soins des personnes les plus démunies PSD RMI RP SESDO SMUR SROS TCM USIC Prestation Spécifique Dépendance Revenu Minimum d Insertion Recensement de la Population Service d Enquêtes Statistiques et de Documentation Service Mobile d Urgence et de Réanimation Schéma Régional d Organisation Sanitaire Taux comparatif de Mortalité Unité de Soins Intensifs en Cardiologie

28 RÉSUMÉ Réduire les inégalités dans le domaine de la santé est un enjeu de santé publique. Une quarantaine d'indicateurs (sociologiques, démographiques, économiques et sanitaires) ont servi dans cette étude pour une observation de l'état de santé de chaque canton du Limousin. Le résultat obtenu est une typologie qui divise la région en plusieurs groupes de cantons naturellement les plus homogènes. Le Limousin est perçu, au niveau national et régional comme une région rurale profonde, plus âgée que le reste du pays, avec une sous mortalité générale. Or, cette étude montre qu'il existe des disparités infra-régionales importantes : une surmortalité au Nord Est, une sous mortalité au Sud Ouest, une précarité rurale importante. Ces inégalités ne sont pas sans rapport avec la notion de précarité et d'exclusion qu'il faut tenter de mesurer avec des indicateurs portant davantage sur les revenus, le logement et l'éducation. Mots clés : canton, inégalités infra-régionales, mortalité, précarité, offre de soins, classification hiérarchique. O bservatoire R égional de la S anté du IMOUSIN

Base de données sociales sur Paris

Base de données sociales sur Paris Base de données sociales sur Paris Fiches d identité sociale des 20 arrondissements - 2012 Apur - David Boureau Étude réalisée en collaboration avec le Centre d Action Sociale de la Ville de Paris (CASVP)

Plus en détail

Description des variables de la base de données. a. Attractivité démographique pour les différents types de population

Description des variables de la base de données. a. Attractivité démographique pour les différents types de population Description des variables de la base de données a. Attractivité démographique pour les différents types de population Sources : Recensements de 1962 à 2006 et Clap 2007 - a01_popmoy62, a01_popmoy68, a01_popmoy75,

Plus en détail

Diagnostic local de santé sur le territoire du Pays de Gex (Ain)

Diagnostic local de santé sur le territoire du Pays de Gex (Ain) Diagnostic local de santé sur le territoire du Pays de Gex (Ain) Une étude de l Observatoire régional de la santé Rhône-Alpes réalisée à la demande de la DDASS de l Ain et de la communauté de communes

Plus en détail

Les bénéficiaires de la CMU en Rhône-Alpes au 31 décembre 2003

Les bénéficiaires de la CMU en Rhône-Alpes au 31 décembre 2003 La Lettre de la DRASS N 2006-03-L Avril 2006 Les bénéficiaires de la CMU en Rhône-Alpes au 31 décembre 2003 Au 31 décembre 2003, 40 000 rhônalpins sont affi liés à l assurance maladie par le dispositif

Plus en détail

Ensemble des mécanismes de prévoyance collective pour faire face aux conséquences financières des risques sociaux.

Ensemble des mécanismes de prévoyance collective pour faire face aux conséquences financières des risques sociaux. R4 = SÉCURITÉ SOCIALE, CMU, ABUS ET FRAUDES R4 = SÉCURITÉ SOCIALE, CMU, ABUS ET FRAUDES DÉFINITION : Ensemble des mécanismes de prévoyance collective pour faire face aux conséquences financières des risques

Plus en détail

L allocataire dans un couple : l homme ou la femme?

L allocataire dans un couple : l homme ou la femme? L allocataire dans un couple : l homme ou la femme? par Alain Jacquot CNAF-Bureau des Prévisions Les CAF versent une trentaine de prestations (prestations familiales stricto sensu, aides au logement, et

Plus en détail

Le niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france

Le niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france Le niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france Jean-Paul Guthmann, Pierre Chauvin, Yann Le Strat, Marion Soler,

Plus en détail

Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins

Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins études résultats et N 603 octobre 2007 Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins Une enquête a été effectuée par la DREES au deuxième trimestre 2006 auprès de personnes

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS PROTECTION SOCIALE

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS PROTECTION SOCIALE PROTECTION SOCIALE ASSURANCE MALADIE, MATERNITÉ, DÉCÈS MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, DE LA FONCTION

Plus en détail

Formulaire de demande d aide financière extra-légale

Formulaire de demande d aide financière extra-légale Formulaire de demande d aide financière extra-légale pour les personnes en situation de handicap Bénéficiaire NOM, Prénom Date de naissance Assuré Conjoint Personne vivant maritalement avec l assuré Enfant

Plus en détail

Santé publique - Protection sociale -

Santé publique - Protection sociale - 26-1-05 1 Santé publique - Protection sociale - Système très complexe qui couvre : - des risques déterminés - des catégories particulières de population Protection sociale SS protection de base obligatoire

Plus en détail

Saint-Vallier-de-Thiey Bar-sur-Loup. Grasse. Grasse-sud

Saint-Vallier-de-Thiey Bar-sur-Loup. Grasse. Grasse-sud PROVENCE-ALPES-COTE D'AZUR 17 rue Menpenti 13387 MARSEILLE CEDEX 1 Tél. : 4 91 17 57 57 Fax : 4 91 17 59 59 http://www.insee.fr TERRITOIRE CA POLE AZUR PROVENCE 5 communes, 2 chefs lieux de cantons, unité

Plus en détail

Formulaire de demande(s) auprès de la MDPH

Formulaire de demande(s) auprès de la MDPH Tampon dateur de la MDPH Formulaire de demande(s) auprès de la MDPH N 13788*01 A - Identification de l enfant ou de l adulte concerné par la demande Nom de naissance : Nom d épouse ou nom d usage : Prénom(s)

Plus en détail

Projet de loi RSA et politiques d insertion Observations et propositions d amendements de l Uniopss

Projet de loi RSA et politiques d insertion Observations et propositions d amendements de l Uniopss Projet de loi RSA et politiques d insertion Observations et propositions d amendements de l Uniopss Modalités d attribution des droits connexes au RSA Instaurer une automaticité de fait et non de droit

Plus en détail

Définitions. Définitions sur le logement

Définitions. Définitions sur le logement Définitions sur le logement Logement Un logement est défini par son utilisation : c est un local séparé et indépendant utilisé pour l habitation. Il doit être séparé d autres locaux par des murs ou cloisons

Plus en détail

FICHE SIGNALETIQUE. Cœur de Flandre. 1. Profil Territoire. 2 Profil Fiscal

FICHE SIGNALETIQUE. Cœur de Flandre. 1. Profil Territoire. 2 Profil Fiscal FICHE SIGNALETIQUE Pays Cœur de Flandre Consultable sur www.sigale.nordpasdecalais.fr Le pays a été reconnu le 9 mars 2004 et le premier contrat a été signé le 15 décembre 2004. Il comporte 45 communes

Plus en détail

PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE

PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE 37 ème Assemblée Générale de la FANAF YAOUDE (CAMEROUN) 23-28 Février 1 ASSURANCE MALADIE 2 - Un des principaux

Plus en détail

LES TYPOLOGIES DE LOCATAIRES ELIGIBLES AUX OFFRES LOGIS-ZEN GRL & LOGIS ZEN GRL PLUS

LES TYPOLOGIES DE LOCATAIRES ELIGIBLES AUX OFFRES LOGIS-ZEN GRL & LOGIS ZEN GRL PLUS 1 LES TYPOLOGIES DE LOCATAIRES ELIGIBLES AUX OFFRES LOGIS-ZEN GRL & LOGIS ZEN GRL PLUS Seuls les locataires définis comme «nouveaux locataires» sont éligibles à ces offres. Notion de «nouveau locataire»

Plus en détail

Demandeurs d'emploi inscrits et offres collectées par Pôle emploi en Guyane en janvier 2015

Demandeurs d'emploi inscrits et offres collectées par Pôle emploi en Guyane en janvier 2015 DIECCTE DR Pôle emploi Demandeurs d'emploi inscrits et offres collectées par Pôle emploi en en janvier 2015 Demandeurs d'emploi inscrits en fin de mois à Pôle emploi Catégories A et A, B, C (en cvs) 24

Plus en détail

Les dons de sang en France Disparités territoriales et profil des donneurs en 2010

Les dons de sang en France Disparités territoriales et profil des donneurs en 2010 Les dons de sang en France Disparités territoriales et profil des donneurs en 2010 Rapport final Août 2013 Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé 62 boulevard Garibaldi 75015 Paris

Plus en détail

Introduction de la couverture maladie universelle (CMU) en France

Introduction de la couverture maladie universelle (CMU) en France Conférence internationale de recherche en sécurité sociale an 2000 Helsinki, 25-27 septembre 2000 La sécurité sociale dans le village global Introduction de la couverture maladie universelle (CMU) en France

Plus en détail

Inégalités sociales de santé et accès aux soins. Inégalités sociales de santé et protection sociale 2006-07 Psychomot 1 UPMC/VHF

Inégalités sociales de santé et accès aux soins. Inégalités sociales de santé et protection sociale 2006-07 Psychomot 1 UPMC/VHF Inégalités sociales de santé et accès aux soins INEGALITES SOCIALES DE SANTE Définition : Inégalités/ sociales /de santé Inégalités face à la mort Comparaisons européennes Les maladies inégalitaires Inégalités

Plus en détail

L Atlas Régional et Territorial de Santé du Nord-Pas-de-Calais 2011

L Atlas Régional et Territorial de Santé du Nord-Pas-de-Calais 2011 Projet Régional de Santé PNord - Pas-de-Calais L Atlas Régional et Territorial de Santé du Nord-Pas-de-Calais 2011 Métropole - Flandre Intérieure Littoral Hainaut - Cambrésis Artois - Douaisis Agence Régionale

Plus en détail

IDENTIFICATION DE CLIGNOTANTS SOCIAUX AU COURS DE l E4M

IDENTIFICATION DE CLIGNOTANTS SOCIAUX AU COURS DE l E4M IDENTIFICATION DE CLIGNOTANTS SOCIAUX AU COURS DE l E4M La loi de la protection de l enfance La loi du 5 mars 2007 insiste sur la prévention et confie au Président du Conseil Général le soin d organiser,

Plus en détail

Demandeurs d'emploi inscrits et offres collectées par Pôle emploi en Guadeloupe en février 2015

Demandeurs d'emploi inscrits et offres collectées par Pôle emploi en Guadeloupe en février 2015 DIECCTE DR Pôle emploi et Îles du Nord Demandeurs d'emploi inscrits et offres collectées par Pôle emploi en en février 2015 Demandeurs d'emploi inscrits en fin de mois à Pôle emploi Catégories A et A,

Plus en détail

DEMANDE D'AIDE FONDS COMMUN LOGEMENT

DEMANDE D'AIDE FONDS COMMUN LOGEMENT DEMANDE D'AIDE FONDS COMMUN LOGEMENT AIDE A L'AMELIORATION DE L'HABITAT DES PROPRIETAIRES OCCUPANTS Demandeur : Mme, Melle, M. :... Adresse :...... Commune :... Canton :... Téléphone de la personne à contacter

Plus en détail

Les chiffres de la santé LES DÉPENSES D ASSURANCE SANTÉ

Les chiffres de la santé LES DÉPENSES D ASSURANCE SANTÉ Les chiffres de la santé LES DÉPENSES D ASSURANCE SANTÉ Édition 2015 ENVIRONNEMENT DE LA PROTECTION SOCIALE Le déficit du régime général En milliards d 2012 2013 Prévisions 2014 0,6 0,2-0,2-2,5-3,2-2,9-5,9-6,8-6

Plus en détail

La protection sociale des salariés

La protection sociale des salariés La protection sociale des salariés Joël Bienassis Directeur des Accords Collectifs Bruno de la Porte Directeur Associé 03 février 2011 Sommaire! 1 La protection sociale en France Bruno de la Porte! Définition!

Plus en détail

Programme «financement» - Partie I Données de cadrage

Programme «financement» - Partie I Données de cadrage Programme «financement» - Partie I Données de cadrage Indicateur n 4 : Évolution de la structure des recettes du régime général et des régimes d assurance sociale des administrations de sécurité sociale

Plus en détail

Nom de l agent : Fonctions : FORMULAIRE DE DEMANDE D AIDE SOCIALE

Nom de l agent : Fonctions : FORMULAIRE DE DEMANDE D AIDE SOCIALE DE FRANCE A Nom de l agent : Fonctions : FORMULAIRE DE DEMANDE D AIDE SOCIALE 1- Objet de la demande : O Allocation de solidarité O Allocation à durée déterminée O Allocation adulte ou enfant handicapé

Plus en détail

DEMANDE D AIDE INDIVIDUELLE

DEMANDE D AIDE INDIVIDUELLE Date : N dossier :... COMITE DE LA HAUTE-VIENNE Nom du travailleur social :......... Téléphone : Jours et heures de permanence : DEMANDE D AIDE INDIVIDUELLE SUR LES FONDS DU COMITE DE LA HAUTE-VIENNE DE

Plus en détail

La complémentaire santé : une généralisation qui

La complémentaire santé : une généralisation qui La complémentaire santé : une généralisation qui n efface pas les inégalités Thibaut De Saint Pol, François Marical To cite this version: Thibaut De Saint Pol, François Marical. La complémentaire santé

Plus en détail

MAISON DEPARTEMENTALE DES PERSONNES HANDICAPEES D'INDRE ET LOIRE

MAISON DEPARTEMENTALE DES PERSONNES HANDICAPEES D'INDRE ET LOIRE MAISON DEPARTEMENTALE DES PERSONNES HANDICAPEES D'INDRE ET LOIRE 19 rue Edouard Vaillant CS 14233 37042 TOURS CEDEX Tél. : 0247752666 Fax: 02 47 7526 38 DEMANDE DE FINANCEMENT COMPLEMENTAIRE AUPRES DU

Plus en détail

Garder et faire garder son enfant

Garder et faire garder son enfant Garder et faire garder son enfant Nathalie Blanpain* L arrivée d un enfant au sein d un foyer est pour ses parents un événement majeur générateur de changements en termes de rythme de vie et d organisation,

Plus en détail

Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents

Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents Rencontre francophone internationale sur les inégalités sociales de santé

Plus en détail

Instructeur du dossier : Adresse : Téléphone : E-mail :

Instructeur du dossier : Adresse : Téléphone : E-mail : Commission Permanente d Action Sociale. DEMANDE d AIDE FINANCIERE 2015 Vacances Familiales ou Individuelles, Cures, Voyages pour Insuffisants Respiratoires, Maladies rares, Neurologiques, Asthme Séjours

Plus en détail

Étude sur la localisation et la densité de 4 professions de santé : médecins généralistes libéraux infirmiers libéraux chirurgiens dentistes libéraux

Étude sur la localisation et la densité de 4 professions de santé : médecins généralistes libéraux infirmiers libéraux chirurgiens dentistes libéraux Étude sur la localisation et la densité de 4 professions de santé : médecins généralistes libéraux infirmiers libéraux chirurgiens dentistes libéraux masseurs kinésithérapeutes libéraux 1 sommaire p 3

Plus en détail

(article L.441-2-3, III, du code de la construction et de l habitation)

(article L.441-2-3, III, du code de la construction et de l habitation) Ministère chargé du logement Recours amiable devant la commission départementale de médiation en vue de l accueil dans une structure d hébergement, un logement de transition, un logementfoyer ou une résidence

Plus en détail

Collecter des informations statistiques

Collecter des informations statistiques Collecter des informations statistiques FICHE MÉTHODE A I Les caractéristiques essentielles d un tableau statistique La statistique a un vocabulaire spécifique. L objet du tableau (la variable) s appelle

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL 1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat

Plus en détail

POINT REGLEMENTAIRE - Le 15/11/2006

POINT REGLEMENTAIRE - Le 15/11/2006 POINT REGLEMENTAIRE - Le 15/11/2006 I- CMU COMPLEMENTAIRE 1) Calcul des ressources Par un jugement du 20 février 2006, la commission centrale d aide sociale a considéré que "l'allocation de base de la

Plus en détail

La protection sociale en France

La protection sociale en France 18 La protection sociale en France FONCTIONNEMENT La protection sociale peut fonctionner selon trois logiques. LA LOGIQUE D ASSURANCE SOCIALE La logique d assurance sociale a pour objectif de prémunir

Plus en détail

Les chiffres de la santé LES DÉPENSES D ASSURANCE SANTÉ

Les chiffres de la santé LES DÉPENSES D ASSURANCE SANTÉ Les chiffres de la santé LES DÉPENSES D ASSURANCE SANTÉ Édition 2011 Environnement de la protection sociale Le déficit du régime général En milliards d euros 2009 2010 Prévisions 2011-0,7-0,7 0-1,8-2,7-2,6-7,2-6,1-8,9-10,6-9,9-11,6-20,3-23,9-18,6

Plus en détail

L état de la pauvreté en France

L état de la pauvreté en France Notes de l Observatoire N 1, octobre 2013 L état de la pauvreté en France Combien compte-t-on de pauvres en France? Comment évolue leur nombre? Qui est le plus concerné par la crise? A l heure où une partie

Plus en détail

INSCRIPTION au RESTAURANT SCOLAIRE Année 2014 / 2015

INSCRIPTION au RESTAURANT SCOLAIRE Année 2014 / 2015 NOM DE L ENFANT :. PRENOM DE L ENFANT : Date de Naissance :.. Sexe de l enfant: Masculin Féminin 1 Dossier à compléter par enfant. Maternelle : Elémentaire : - petite section - moyenne section.. Classe

Plus en détail

1/5 ENFANTS ETAUTRES PERSONNES VIVANT AU FOYER SI ENFANTS ACCUEILLIS EN DROIT DE VISITE ET D HEBERGEMENT, PRECISER :

1/5 ENFANTS ETAUTRES PERSONNES VIVANT AU FOYER SI ENFANTS ACCUEILLIS EN DROIT DE VISITE ET D HEBERGEMENT, PRECISER : 1/5 Service Logement 21, route de la Côte d Amour 44600 SAINT-NAZAIRE - 02.49.14.80.83 - - 02.40.53.03.33 DEMANDE D ACCES A UN LOGEMENT EN SOUS-LOCATION 1 LE(S) DEMANDEUR(S) 1 DEMANDEUR CONJOINT Nom(s)

Plus en détail

Protection sociale. 1 Les différents régimes de protection sociale en France

Protection sociale. 1 Les différents régimes de protection sociale en France Protection sociale La multiplicité des régimes de protection sociale conduit les pluriactifs à des situations administratives complexes : chacune de leurs activités les rattache à une caisse spécifique.

Plus en détail

La protection sociale des professions indépendantes

La protection sociale des professions indépendantes La protection sociale des professions indépendantes Artisan Commerçant Industriel Janvier 2009 1 SOMMAIRE 1. L organisation des Régimes 2. Les cotisations 3. Les cas particuliers 4. Les formalités 5. Les

Plus en détail

9.11 Les jeux de hasard et d argent

9.11 Les jeux de hasard et d argent 9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,

Plus en détail

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au

Plus en détail

GESTION, ADMINISTRATION

GESTION, ADMINISTRATION GESTION, ADMINISTRATION A vec 73 5 emplois et 9,8 % des actifs, les métiers de la gestion et de l administration des entreprises constituent le troisième domaine professionnel dans la région, un rang identique

Plus en détail

URBAIN-RURAL : DE QUOI PARLE-T-ON?

URBAIN-RURAL : DE QUOI PARLE-T-ON? URBAIN-RURAL : DE QUOI PARLE-T-ON? B.H. Nicot 1 Juin 2005 «Entre 1990 et 1999, le rural en France métropolitaine a connu une croissance démographique de 4,2 % sur la période, tandis que l urbain ne croissait

Plus en détail

Offre et recours aux soins de premiers recours sur le Pays Sud Charente

Offre et recours aux soins de premiers recours sur le Pays Sud Charente Offre et recours aux soins de premiers recours sur le Pays Sud Charente Cette étude a été réalisée en collaboration entre les services de l Agence Régionale de Santé (ARS), Mme Anne ROUSSEL, statisticienne

Plus en détail

Précarité sociale et recours aux soins dans les établissements de soins du Tarn-et-Garonne

Précarité sociale et recours aux soins dans les établissements de soins du Tarn-et-Garonne O B S E R V A T O I R E R E G I O N A L D E L A S A N T E D E M I D I - P Y R E N E E S Précarité sociale et recours aux soins dans les établissements de soins du Tarn-et-Garonne Novembre 2007 SYSTEME

Plus en détail

Direction de la Solidarité Départementale

Direction de la Solidarité Départementale Direction de la Solidarité Départementale PROGRAMME DEPARTEMENTAL D'INSERTION 2014-2017 lozere.fr Dans le cadre de l'actualisation du Programme Départemental d'insertion, j'ai souhaité associer l'ensemble

Plus en détail

Recours amiable devant la commission départementale de médiation en vue d une offre de logement

Recours amiable devant la commission départementale de médiation en vue d une offre de logement Ministère chargé du logement Recours amiable devant la commission départementale de médiation en vue d une offre de logement N 15036*01 (article L. 441-2-3, II, du code de la construction et de l habitation)

Plus en détail

Lutter contre les exclusions

Lutter contre les exclusions D 2 COHESION SOCIALE ENTRE LES POPULATIONS, LES TERRITOIRES, LES GENERATIONS Si, globalement, la population vélizienne semble peu exposée au risque d exclusion (taux d emploi élevé, revenu médian moyen,

Plus en détail

Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement

Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Agence d urbanisme de la région nantaise AURAN - 88.07 n Le nombre de seniors dans l Agglomération nantaise progresse et plus particulièrement

Plus en détail

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme

Plus en détail

Plus d un bénéficiaire sur quatre réside à Toulouse

Plus d un bénéficiaire sur quatre réside à Toulouse Caractéristiques et recours aux soins des populations bénéficiaires de la Couverture maladie universelle complémentaire (CMU_C) : plus jeunes, plutôt féminines et en moins bonne santé En Midi-Pyrénées,

Plus en détail

COMMUNAUTÉ DE L AUXERROIS. Un diagnostic santé. au service d un atelier santé-ville

COMMUNAUTÉ DE L AUXERROIS. Un diagnostic santé. au service d un atelier santé-ville COMMUNAUTÉ DE L AUXERROIS Un diagnostic santé au service d un atelier santé-ville 2007 Étude réalisée sous la maîtrise d'ouvrage de la Communauté de l Auxerrois, cofinancée par l'état, et suivie par le

Plus en détail

La couverture complémentaire santé des jeunes

La couverture complémentaire santé des jeunes La couverture complémentaire santé des jeunes en France et dans les Pays de la Loire 2013 Décembre www.santepaysdelaloire.com Auteur Sandrine David, Dr Anne Tallec, Observatoire régional de la santé (ORS)

Plus en détail

Programme «financement» - Partie I Données de cadrage

Programme «financement» - Partie I Données de cadrage Programme «financement» - Partie I Données de cadrage Indicateur n 4 : Évolution de la structure des recettes du régime général et des régimes d assurances sociales des administrations de sécurité sociale

Plus en détail

LE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE.

LE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE. LE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE. Synthèse des travaux réalisés 1. Problématique La question D7 du plan d exécution du Programme National de Recherches

Plus en détail

Professeur Patrice FRANCOIS

Professeur Patrice FRANCOIS UE7 - Santé Société Humanité Médecine et Société Chapitre 4 : Protection sociale Partie 2 : L assurance maladie Professeur Patrice FRANCOIS Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble

Plus en détail

Cours de Santé Publique octobre 2008

Cours de Santé Publique octobre 2008 Cours de Santé Publique octobre 2008 Professeur Hélène Sancho Garnier Dr Kéla Djoufelkit EPIDAURE 1. Principes d une démarche d assurance qualité et évaluation des pratiques professionnelles. 2. Organisation

Plus en détail

q u estions + 50 725 + 49 997 * Nombre de personnes visées par le dispositif

q u estions + 50 725 + 49 997 * Nombre de personnes visées par le dispositif Bulletin d information en économie de la santée q u estions d économie de la santé analyse Repères Selon l article L. 863-5 du code de la Sécurité sociale, le Fonds CMU «rend compte annuellement au Gouvernement

Plus en détail

RÉFORMES DES STATUTS ET DU RÈGLEMENT MUTUALISTE PAR L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU 15 OCTOBRE 2010

RÉFORMES DES STATUTS ET DU RÈGLEMENT MUTUALISTE PAR L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU 15 OCTOBRE 2010 Siège social : 37 Quai d Orsay 75007 PARIS Relevant des Livres I et II du code de la Mutualité RÉFORMES DES STATUTS ET DU RÈGLEMENT MUTUALISTE PAR L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU 15 OCTOBRE 2010 SERVICES ADMINISTRATIFS

Plus en détail

Déroulement d un projet en DATA MINING, préparation et analyse des données. Walid AYADI

Déroulement d un projet en DATA MINING, préparation et analyse des données. Walid AYADI 1 Déroulement d un projet en DATA MINING, préparation et analyse des données Walid AYADI 2 Les étapes d un projet Choix du sujet - Définition des objectifs Inventaire des données existantes Collecte, nettoyage

Plus en détail

Dossier de pré inscription À retourner à l adresse indiquée en dernière page

Dossier de pré inscription À retourner à l adresse indiquée en dernière page Syndicat Intercommunal pour le Développement Social des CAntons de Villeneuve les Avignon et de Roquemaure Dossier de pré inscription À retourner à l adresse indiquée en dernière page TOUT DOSSIER INCOMPLET

Plus en détail

Le plafonnement des impôts directs : mise en place du «bouclier fiscal»

Le plafonnement des impôts directs : mise en place du «bouclier fiscal» Le plafonnement des impôts directs : mise en place du «bouclier fiscal» Ce qu il faut retenir Article 74 de la loi de finances pour 2006 Dans la situation actuelle, il peut arriver que le montant total

Plus en détail

Direction de la sécurité sociale. Personne chargée du dossier : Huguette Hatil. La ministre des solidarités et de la cohésion sociale

Direction de la sécurité sociale. Personne chargée du dossier : Huguette Hatil. La ministre des solidarités et de la cohésion sociale MINISTERE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTE MINISTERE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS ET DE LA REFORME DE L ETAT MINISTERE DES SOLIDARITES ET DE LA COHESION SOCIALE Direction de la sécurité sociale

Plus en détail

Couverture maladie universelle complémentaire

Couverture maladie universelle complémentaire Couverture maladie universelle complémentaire Aide pour une Vous trouverez dans ce dossier tout ce dont vous avez besoin pour obtenir : - la CMU complémentaire, ou - l Aide pour une, une présentation des

Plus en détail

L évolution de l illettrisme en France

L évolution de l illettrisme en France une comparaison dans le temps établie avec les mêmes outils de mesure L évolution de l illettrisme en France Agence Nationale de Lutte Contre l Illettrisme Pour l accès de tous à la lecture, à l écriture

Plus en détail

P.A.R.A.D.S. PÔLES D ACCUEIL EN RÉSEAU POUR L ACCÈS AUX DROITS SOCIAUX

P.A.R.A.D.S. PÔLES D ACCUEIL EN RÉSEAU POUR L ACCÈS AUX DROITS SOCIAUX P.A.R.A.D.S. PÔLES D ACCUEIL EN RÉSEAU POUR L ACCÈS AUX DROITS SOCIAUX MAI 2011 SOMMAIRE ADMINISTRATIF - DOMICILIATION - C.N.I Carte Nationale d Identité - EXTRAIT D ACTE DE NAISSANCE - DEMANDE D ASILE

Plus en détail

... Caf.fr, naviguez facile! Caf de la Haute-Vienne Création octobre 2012 Crédit dessins : icônothèque Cnaf

... Caf.fr, naviguez facile! Caf de la Haute-Vienne Création octobre 2012 Crédit dessins : icônothèque Cnaf ... Caf.fr, naviguez facile! Caf de la Haute-Vienne Création octobre 2012 Crédit dessins : icônothèque Cnaf Ecran d'accueil du Caf.fr Mon Compte Pour gérer directement son dossier Ma Caf pour accéder aux

Plus en détail

Couverture Maladie Universelle

Couverture Maladie Universelle Nous sommes là pour vous aider Couverture Maladie Universelle Protection complémentaire Vous trouverez dans ce dossier tout ce dont vous avez besoin pour obtenir la CMU : une présentation de la CMU, une

Plus en détail

Cahier de l OPEQ n 136 Avril 2007. OPEQ Chambre Régionale de Commerce et d'industrie Champagne-Ardenne 10 rue de Chastillon BP 537

Cahier de l OPEQ n 136 Avril 2007. OPEQ Chambre Régionale de Commerce et d'industrie Champagne-Ardenne 10 rue de Chastillon BP 537 LA PROFESSION D AMBULANCIER EN CHAMPAGNE-ARDENNE Cahier de l OPEQ n 136 Avril 2007 OPEQ Chambre Régionale de Commerce et d'industrie Champagne-Ardenne 10 rue de Chastillon BP 537 51011 Châlons en Champagne

Plus en détail

Professions indépendantes

Professions indépendantes Professions indépendantes 6 e ÉDITION mars 2007 Vous envisagez d exercer une activité médicale ou paramédicale à titre libéral en optant pour un régime conventionné auprès de votre CPAM (Caisse primaire

Plus en détail

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS ATELIER PARISIEN D URBANISME - 17, BD MORLAND 75004 PARIS TÉL : 01 42 71 28 14 FAX : 01 42 76 24 05 http://www.apur.org Observatoire de l'habitat de Paris L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN

Plus en détail

Mission France Réseau Social Dentaire Val de Marne 2015

Mission France Réseau Social Dentaire Val de Marne 2015 Mission France Réseau Social Dentaire Val de Marne 2015 Objectif AOI Accompagner une amélioration de la santé dentaire de populations démunies Pays en développement France AOI - France - Val de Marne Faciliter

Plus en détail

Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation

Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation 1 Septembre 2014 Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation Grand-Charmont est une commune de 5200 habitants qui compte 57 % de logements sociaux. Les revenus

Plus en détail

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout

Plus en détail

Document N 09 Document de travail, n engage pas le Conseil Les allocataires du minimum vieillesse : parcours et conditions de vie

Document N 09 Document de travail, n engage pas le Conseil Les allocataires du minimum vieillesse : parcours et conditions de vie CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 22 janvier 2014 à 14h30 «Niveau des pensions et niveau de vie des retraités» Document N 09 Document de travail, n engage pas le Conseil Les allocataires

Plus en détail

DOSSIER DE DEMANDE D ADMISSION

DOSSIER DE DEMANDE D ADMISSION EHPAD SAINT-FRANÇOIS Tél : 0262 90 87 69 Fax : 0262 90 87 52 E mail : : secdirection.mdr@asfa.re B. P. 840 97476 Saint-Denis Cedex DOSSIER DE DEMANDE D ADMISSION Etablissement d Hébergement pour Personnes

Plus en détail

À quoi servent les cotisations?

À quoi servent les cotisations? À quoi servent les cotisations? [ Le réseau Urssaf vous rend des comptes À quoi servent les cotisations? ] Depuis 1945, la France a fait le choix d une Sécurité sociale protégeant solidairement l ensemble

Plus en détail

n 8 Hépatites virales chroniques : faciliter mes démarches...

n 8 Hépatites virales chroniques : faciliter mes démarches... HépatiteC onseil n 8 Ma maladie Mon traitement Ma vie sociale Hépatites virales chroniques : faciliter mes démarches... Sommaire ( Qu est-ce 1 2 3 Les hépatites chroniques sont des affections de longue

Plus en détail

233 J Fonds des mutualités des communes de La Grande-Fosse et d Hagécourt (1866-1951)

233 J Fonds des mutualités des communes de La Grande-Fosse et d Hagécourt (1866-1951) ARCHIVES DEPARTEMENTALES DES VOSGES 233 J Fonds des mutualités des communes de La Grande-Fosse et d Hagécourt (1866-1951) Répertoire numérique détaillé établi par Lolita GEORGEL étudiante en master 1 Sciences

Plus en détail

LES RETRAITES. Dossier d information. Avril 2010

LES RETRAITES. Dossier d information. Avril 2010 LES RETRAITES en france Dossier d information Avril 2010 LES RETRAITES en france Dossier d information Avril 2010 Contact presse Éva Quickert-Menzel 01 44 38 22 03 Sommaire Chiffres-clés des retraites...

Plus en détail

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation

Plus en détail

Edito du Maire. Frédéric Béatse Maire d Angers Président du CCAS

Edito du Maire. Frédéric Béatse Maire d Angers Président du CCAS 2 Edito du Maire C est avec plaisir que je vous présente l Analyse des Besoins Sociaux réalisée par la Ville d Angers et son Centre Communal d Action Sociale, qui se décline autour des trois thématiques

Plus en détail

TERRITOIRE DE SANTÉ OISE EST

TERRITOIRE DE SANTÉ OISE EST Collection : les territoires de santé en TERRITOIRE DE SANTÉ OISE EST LIVRET TERRITORIAL État des lieux sanitaire, médico-social et social des territoires de santé de SOMMAIRE Démographie.... 2 Population...

Plus en détail

LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION DU HANDICAP : Les personnes handicapées motrices à domicile (enquête HID 1999)

LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION DU HANDICAP : Les personnes handicapées motrices à domicile (enquête HID 1999) Délégation ANCREAI Ile-de-France CEDIAS - 5 rue Las-Cases 75007 PARIS Tél : 01 45 51 66 10 Fax : 01 44 18 01 81 E-mail : creai.idf@9online.fr Contact : Carole PEINTRE LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION

Plus en détail

La mobilité professionnelle revêt

La mobilité professionnelle revêt Mobilité professionnelle 17 Du changement de poste au changement d entreprise, en passant par la promotion : la mobilité des Franciliens Les salariés franciliens, notamment les cadres, ont une propension

Plus en détail

PROTECTION MALADIE LA COMPLÉMENTAIRE CMU

PROTECTION MALADIE LA COMPLÉMENTAIRE CMU LA COMPLÉMENTAIRE CMU La complémentaire CMU (Couverture maladie universelle) est une protection maladie complémentaire de service public, gratuite, sous condition de ressources, dont le contenu est défini

Plus en détail

Numéro de Sécurité Sociale : C M U. Si autre régime ou département autre que Indre-et-Loire, indiquer coordonnées (Nom, adresse, téléphone) :

Numéro de Sécurité Sociale : C M U. Si autre régime ou département autre que Indre-et-Loire, indiquer coordonnées (Nom, adresse, téléphone) : MAISON DEPARTEMENTALE DES PERSONNES HANDICAPEES D INDRE ET LOIRE 19 rue Edouard Vaillant CS 14233 37042 TOURS CEDEX Tél. : 02 47 75 26 66 Fax : 02 47 75 26 38 D E M AN DE D E F I N AN C E M E N T C O M

Plus en détail

PROTECTION SOCIALE EN FRANCE

PROTECTION SOCIALE EN FRANCE Qu est-ce que la protection sociale? PROTECTION SOCIALE EN FRANCE La protection sociale désigne tous les mécanismes de prévoyance collective, permettant aux individus de faire face aux conséquences financières

Plus en détail

9,8 % de l emploi 2,1 millions de salariés 203 000 établissements employeurs

9,8 % de l emploi 2,1 millions de salariés 203 000 établissements employeurs DONNÉES AU 31/12/2006 SOURCE INSEE-CLAP 1 - DÉCEMBRE 2008 Panorama de l'économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Ce document est la première publication réalisée par l Observatoire national de l

Plus en détail

SYNTHÈSE. En 2012, la province Sud compte 16 700 personnes. Le maintien à domicile : solution privilégiée des personnes âgées

SYNTHÈSE. En 2012, la province Sud compte 16 700 personnes. Le maintien à domicile : solution privilégiée des personnes âgées SYNTHÈSE BP 823-98845 Nouméa Nouvelle-Calédonie (687) 27 54 81 isee@isee.nc www.isee.nc Directeur de la publication Alexandre Gautier Conception et réalisation Département publications Synthèse N 3 Édition

Plus en détail