CHRU de Besançon GIRCI Est CeNGEPS
|
|
- Nadine Henry
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 MISSION «EVALUATION REGLEMENTAIRE ET JURIDIQUE DES PRATIQUES D INVESTIGATION CLINIQUE» FINANCEE PAR LE FONDS D ACTIONS CIBLEES 2011 GIP CENGEPS FICHES PRATIQUES : LOT 3 ET 4 CHRU de Besançon GIRCI Est CeNGEPS
2 - Rappel des questions posées : Lot 3 - études de faisabilités : modalité d'accès aux dossiers patients 1. Place du TEC dans les équipes : droit ou non de consulter les dossiers, sous quel aval, quelle procédure pour accord? 2. Est-il acceptable qu'on puisse faire des requêtes auprès des DIM (via un code CIM10), dans les établissements hospitaliers, pour obtenir une liste de patient sans que ceux-ci n'en soient informés? 3. Les procédures pour l'obtention d'information auprès des DIM sont très différentes d'un établissement à l'autre, n'y a t'il pas une réglementation qui structure les demandes de requêtes de liste de patient auprès des DIM? 4. Règlementation et obligations juridiques en matière d outils mis en place pour les faisabilités / recrutement des patients dans les essais cliniques?
3 Lot 4 - profilage des patients 1. Valeur juridique d'un formulaire de consentement (à l'entrée du patient à l'hôpital) à l'utilisation de ses données à des fins de recherche? 2. Dans le cas où un patient souhaite mettre un terme à sa participation à une recherche, les données peuvent elles être exploitées jusqu'à la date d'arrêt de participation? 3. La phrase suivante peut elle être rédigée dans le consentement d'un patient : «Si vous retirez votre consentement, aucune donnée recueillie pendant la recherche ne sera exploitée sauf si vous donnez votre accord par écrit». En pratique, l accord écrit doit-il être obtenu par l investigateur sur un autre document? ex : un doc type préparé à l avance, date et visa à la date du recueil 4. Peut-on inclure des patients si la convention est signée auprès de l'établissement où va se dérouler la recherche mais si on a seulement une validation par mail de la convention par le promoteur (donc pas de signature)? 5. Dans le cadre d une étude portant sur des collections biologiques, un patient a consenti à une date T (l objet de l étude est précisé dans le consentement). Quelques années plus tard, l objet de la recherche est différent de celui recueilli dans le 1er consentement du patient?
4 6. Le patient est décédé, peut-on exploiter les données si on obtient le consentement d un parent proche (époux ou frère?) explicitant l objet précis de la recherche. 7. Ne peut-il être envisagé, comme pour le don d'organe, que si les patients ne s'inscrivent pas sur une liste de refus d'utilisation de leur donnée on puisse s'en servir dans des cas précis d'étude de recherche clinique? (à définir, étude non interventionnelle, rétrospective, épidémiologie ou autre) 8. Quelles sont les règles d'inclusion de volontaire sain dans une étude? (peut-on sollicité des membres de l'établissement, du service, de l'équipe lié à la recherche...) Fiche pratique 1 : Consultation des dossiers médicaux et recherche médicales De manière générale, la consultation des dossiers médicaux est exclue sans l'accord exprès des patients. De plus, la notion de secret médical s'oppose à toute divulgation d'informations liées à la santé du patient. Cependant, il existe des règles spécifiques applicables aux recherches biomédicales et notamment aux essais cliniques. Ces règles sont définies par la loi Informatique et Libertés de Celle-ci prévoit que dans les cas où les projets de recherche médicale nécessitent le recueil et la transmission à l organisme de recherche de données directement ou indirectement identifiantes, une autorisation préalable de la CNIL est requise. Dans l éventualité de recherches biomédicales ne permettant pas une identification directe des personnes concernées et s inscrivant dans le champ d application de la méthodologie de référence élaborée par la CNIL (référentiel MR-001), les projets de recherches médicales doivent nécessairement se conformer à l ensemble de la méthodologie, un engagement de conformité étant requis avant tout traitement des données personnelles.
5 Fiche pratique 2 : Accès aux informations détenues par les DIM La vocation des départements d informatique médicale (DIM), au sein des établissements de santé, n est pas de constituer des bases de données accessibles aux acteurs de la recherche médicale. Il résulte très clairement de l article L du code de la santé publique que les systèmes d information développés par les DIM, a pour but, seulement, de permettre d améliorer la connaissance et l évaluation de l activité et des coûts et de favoriser l optimisation de l offre de soins.» Ces systèmes d information doivent être mis en œuvre «dans le respect du secret médical et des droits des malades» (art. L Code de la santé publique). Les requêtes auprès des DIM, aux fins d obtenir des informations médicales sur des patients ne sont, de ce fait, pas possibles.
6 Fiche pratique 3 : Existe-t-il une réglementation concernant l accès aux informations détenues par les DIM? Comme indiqué dans la Fiche pratique 2, il n est pas possible d obtenir des informations sur les patients auprès des DIM sans l accord exprès de ces derniers. Il n'existe pas, pour l'heure, de réglementation encadrant la demande d'information concernant des patients en vue de les impliquer dans une recherche clinique, cette pratique n étant pas autorisée en dehors des hypothèses où le consentement des patients a été recueilli. Cette absence de réglementation ne doit pas être interprétée comme un blanc-seing donné à chaque promoteur d une recherche ou d une étude.
7 Fiche pratique 4 : Recrutement des patients dans les essais cliniques La participation à des essais cliniques requiert de recueillir le consentement des personnes y participant. Celui doit être libre et éclairé. Pour cela, les investigateurs, c est-à-dire les personnes responsables de la recherche, doivent remettre aux personnes participant à la recherche une information préalable et écrite sur la recherche biomédicale en question. Par ailleurs, un consentement particulier est requis lorsque les recherches nécessitent le recueil et le traitement de données génétiques. L ensemble des règles relatives au recrutement des patients dans les essais cliniques est exposé dans la méthodologie de référence MR-001, établi par la CNIL, relative au traitement de données personnelles opéré dans le cadre des recherches biomédicales.
8 Fiche pratique 5 : L implication d un patient dans un protocole de recherche : «Consentement» ou «non-opposition»? 1 - Tant que la «loi Jardé» du 5 mars 2012 n est pas encore entrée en vigueur les règles sont les suivantes : - concernant les recherches biomédicales (RBM) le consentement éclairé et écrit du patient est nécessaire - concernant les recherches portant sur «des soins courants» la non-opposition du patient suffit. - Concernant les recherches non interventionnelles, rien n est prévu actuellement dans le code de la santé publique. 2 - Lorsque les décrets d application nécessaires à l entrée en vigueur de la loi du 5 mars 2012 seront édictés, les règles seront les suivantes : RECHERCHES Typologie fixée à l article L Csp. Interventionnelles (ex-recherches biomédicales) (RIEN NE CHANGE) Art. L Interventionnelles à risques ou contraintes négligeables (ex- soins courants) Art. L Noninterventionnelles Art. L Produits de santé Hors produits de santé Hors médicament Observationnelles Autorisation CPP OUI OUI OUI OUI Autorisation ANSM OUI OUI NON NON Information et consentement OUI OUI OUI Information et non-opposition Disposition du code de la santé publique inchangée. Nouvelle disposition issue de la loi Jardé. Nouvelle disposition issue de la loi Jardé. 3 - Distinction entre «consentement» ou «non-opposition» : - La notion de «non-opposition» suppose d abord une information du patient. Celle-ci, doit être sincère, explicite, didactique, complète, claire. Le principe de «non-opposition», contrairement à celui du recueil du «consentement préalable», a essentiellement pour objet d informer le patient d une part que des recherches peuvent être mise en œuvre à partir des données qui le concernent, sans que cette possibilité soit réellement accomplie, et qu il dispose à tout moment d une possibilité de s opposer à ce que les données qui le concernent soient utilisées à des fins de recherche. Lorsque le législateur fixe un principe de «non-opposition»,
9 l objectif est davantage centré sur l obligation d information que sur l obligation de consentement.
10 Fiche pratique 6 : Conséquences liées au retrait d un patient sur l utilisation de ses données Quatre règles essentielles gouvernent la situation du retrait d un patient : 1) Le retrait ne doit jamais être préjudiciable à la personne 2) L hypothèse d un retrait de la personne et de l exploitation des données la concernant en cas de retrait doit être prévue dans le formulaire de consentement 3) Le consentement est valide tant qu il n a pas été retiré librement. 4) Le consentement peut être retiré à tout moment. Impact du retrait du patient sur l utilisation de ses données : L utilisation des informations recueillies sur le patient avant son retrait explicite est possible à deux conditions : o d une part que cette hypothèse d utilisation des données le concernant soit prévue très clairement dans la notice d information et dans le formulaire de consentement signé par le patient. o D autre part que le patient au moment de son retrait ne s oppose pas explicitement à l exploitation des données recueillies avant son retrait.
11 Fiche pratique 7 : L utilisation des données du patient post-mortem Les données concernant une personne décédée peuvent faire l objet d un traitement, sauf si la personne s y était opposée par écrit de son vivant. Cependant, lorsque la personne décédée n a pas, de son vivant, exprimé son opposition, la recherche ne peut être entreprise que dans le respect des trois règles suivantes : 1) le «témoignage de la famille» doit être recherché 2) Si la personne décédée est un mineur le consentement est exprimé par chacun des titulaires de l'autorité parentale. En cas d'impossibilité de consulter l'un des titulaires de l'autorité parentale, la recherche peut être effectuée à condition que l'autre titulaire y consente. 3) En toute hypothèse, l autorisation de la CNIL reste nécessaire préalablement à la mise en œuvre de la recherche post-mortem.
12 Fiche pratique 8 : L évolution des circonstances de l obtention du consentement dans le temps : Cas des collections biologiques Par principe un traitement de données à caractère personnel, a fortiori lorsqu il s agit de données de santé, n est autorisée que pour une finalité donnée. Ce principe ne souffre aucune dérogation concernant les prélèvements biologiques identifiants. Si la recherche nécessite le recueil de prélèvements biologiques identifiants, un consentement particulier, éclairé et exprès doit être recueilli auprès de la personne prélevée, ceci conformément à l article 56 de la loi informatique et libertés. Ce recueil doit intervenir avant la mise en œuvre du traitement des données Toutefois L article 57 de la loi informatique et libertés prévoit l hypothèse d un changement de finalité du traitement des données à caractère personnel ainsi collectées. Cette disposition précise notamment que si les personnes mettant en œuvre le traitement se heurte à la difficulté de retrouver la personne concernée, il peut être dérogé à l obligation de les informer individuellement de la nouvelle finalité du traitement. Cette dérogation ne sera possible que si elle a été sollicitée auprès de la CNIL. L application de la MR-001 n étant pas possible dans un tel cas (voir fiche pratique n 1), le responsable de la recherche devra solliciter une demande d autorisation spécifique pour cette étude auprès de la CNIL.
13 Fiche pratique 9 : Inclusion de volontaires sains dans une étude La législation repose, en la matière, sur un principe fondamental : la protection des «personnes vulnérables». Trois séries de cas sont envisagés par législateur : celui des femmes enceintes, parturientes et mères allaitantes, d une part, celui des mineurs et incapables majeurs de fait ou de droit d autre part, celui des personnes privées de liberté enfin. Les critères légaux permettant inclusion de ces populations dans des protocoles de recherche sont restrictifs. Le principe dominant étant celui de l inclusion de ces populations dans les protocoles de recherche si et seulement si il n est pas possible de mettre en œuvre la recherche sur les populations non vulnérables. Si une personne n entre pas dans l une de ces catégories, ou si, entrant dans l une de ces catégories elle satisfait aux critères légaux, elle peut, en qualité de volontaire sain, être incluse dans une recherche. Cependant, dans tous les cas exposés ci-dessus les hypothèses dérogatoires envisagées par la loi, impliquant des personnes «vulnérables», conduisent à faire peser sur le promoteur de la recherche la charge de la justification précise et scientifiquement argumentée de la nécessité d impliquer de telles personnes. Et, en toute hypothèse, comme l indique l article L du Code de la santé publique : «si une personne susceptible de prêter son concours à une recherche biomédicale relève de plusieurs catégories ( ), lui sont applicables celles de ces dispositions qui assurent à ses intérêts la protection la plus favorable». A noter également l existence d un fichier des volontaires sains (art. L Code de la santé publique).
Audit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir
Audit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir Chef de projet Hémato-Onco CHRU Tours Vice Présidente CPP Région Ouest1 Le contexte juridique Directive 2001/20/CE du Parlement européen et du
Plus en détailPARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR
PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR SOMMAIRE COMMENT SE FAIT LA RECHERCHE SUR UN NOUVEAU MÉDICAMENT?...p. 3 À QUOI SERT LA RECHERCHE?...p. 4 QUELLES SONT LES GARANTIES?...p.
Plus en détailIntroduction au métier d ARC. en recherche clinique
Introduction au métier d ARC en recherche clinique Déroulement d un projet de recherche clinique Idée Faisabilité Avant Pendant Après Protocole accepté Démarches réglementaires Déroulement de l étude Analyse
Plus en détailAgrément des hébergeurs de données de santé. 1 Questions fréquentes
Agrément des hébergeurs de données de santé 1 Questions fréquentes QUELS DROITS POUR LES PERSONNES CONCERNEES PAR LES DONNEES DE SANTE HEBERGEES? La loi précise que l'hébergement de données de santé à
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT
CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page
Plus en détailConditions d'utilisation de la plateforme Défi papiers
Conditions d'utilisation de la plateforme Défi papiers Préambule : La lecture et l acceptation des présentes conditions d utilisation, ci-après les «Conditions d Utilisation», sont requises avant toute
Plus en détailOUVERTURE ET MISE EN PLACE
OUVERTURE ET MISE EN PLACE Estelle Marcault 20/01/2012 URC PARIS NORD 1 Ouverture et mise en place Trois types de visites/ réunions peuvent avoir lieu : Visite de sélection Réunion investigateur Visite
Plus en détailUnité de Recherche Clinique St Louis - Lariboisière Fernand Widal Le 03 Février 2012
Visite de pré-sélection Visite de Mise en place Murielle COURREGES-VIAUD, ARC Laurence GUERY, ARC responsable Assurance Qualité Véronique JOUIS, Coordinatrice des ARCs Responsable Logistique Unité de Recherche
Plus en détailRôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique
Rôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique Pôle Qualité / Gestion des Risques 05 Janvier 2012 Plan La qualité d une recherche c est quoi? Bonnes Pratiques Cliniques (BPC) Responsabilités des
Plus en détailEvolution de la législation sur la recherche
Evolution de la législation sur la recherche Pr Francois Lemaire SRLF 07-10-11 DRCD de l AP-HP, Saint-Louis La PPL Jardé Loi HPST : novembre 07 - septembre 08 (rapporteur pressenti: O Jardé) PPl Jardé
Plus en détailGuide pratique sur l'encadrement de la recherche biomédicale. La protection des droits de la personne
Guide pratique sur l'encadrement de la recherche biomédicale Dispositions législatives relatives au chapitre : La protection des droits de la personne Code de la santé publique Dispositions introduites
Plus en détailLes prérogatives du mineur sur sa santé
5e Rencontres médico-juridico-sociales autour de l enfant Protection de l enfance et santé Les prérogatives du mineur sur sa santé Claire Quennesson - Doctorante CERFAP Introduction Mineur Personne âgée
Plus en détailNOTICE SUR LA PROTECTION DES DONNÉES À l'intention DES LOGOPÉDISTES
NOTICE SUR LA PROTECTION DES DONNÉES À l'intention DES LOGOPÉDISTES 1. Les bases juridiques applicables et autres informations La protection des données en logopédie est régie par la loi fédérale sur la
Plus en détailRôle de l ARCl. V Grimaud - UE recherche clinique - 18 mars 2011. Définitions
Rôle de l ARCl 1 Définitions ARC : Assistant de Recherche Clinique TEC : Technicien d Étude Clinique Promoteur : Personne physique ou morale qui prend l initiative de la recherche Investigateur principal
Plus en détailEncadrement réglementaire
Méthodologie de la Recherche Clinique philippe.aegerter@apr.aphp.fr Encadrement réglementaire Rappel des méthodologies d'études Parcours chercheur en réponse aux appels d'offres Recherche documentaire
Plus en détailLES BASES JURIDIQUES DE LA RESPONSABILITE & DE L ASSURANCE EN MATIERE DE RECHERCHE BIOMEDICALE DIU-FARC-TEC 04/11/2009 1
LES BASES JURIDIQUES DE LA RESPONSABILITE & DE L ASSURANCE EN MATIERE DE RECHERCHE BIOMEDICALE DIU-FARC-TEC 04/11/2009 1 1ère Partie : La recherche biomédicale en France Historique Responsabilité et Assurance
Plus en détailDélivrance de l information à la personne sur son état de santé
Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du
Plus en détailRèglement des Etudes
Règlement des Etudes Il est toléré 3 jours d absence, pour raisons valables, sur les 12 jours de l enseignement. A partir de 4 le DIU ne pourra pas être validé. Il est nécessaire d obtenir la note minimale
Plus en détailComment s exerce l autorisation parentale de sortie de l enfant du territoire national ou l opposition à cette sortie?
Comment s exerce l autorisation parentale de sortie de l enfant du territoire national ou l opposition à cette sortie? En cas d autorité parentale exclusive, c est la liberté ; le parent la détenant pouvant
Plus en détailASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains
ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains Adoptée par la 18e Assemblée générale de l AMM, Helsinki, Finlande,
Plus en détailInstructions dans la recherche clinique
Instructions dans la recherche clinique I. CNIL 1. Histoire de sa création 2. Organisation et composition 3. Missions 4. Définition des données à caractère personnel et de l anonymisation II. III. IV.
Plus en détailA. Protocole de recherche (ainsi que l abrégé en langue française)
Commission d'éthique cantonale (VD) de la recherche sur l'être humain Av. de Chailly, 23, 1012 Lausanne Courriel : secretariat.cer@vd.ch 5.12.2013/mz Recommandations pour la soumission d un dossier Tous
Plus en détailRépondre à un appel à projet - Vie d un projet
Répondre à un appel à projet - Vie d un projet Carine Coffre 1, Nathalie Juteau 1, Ken Haguenoer 2,3 16 décembre 2011 1. Centre d Investigation Clinique - Inserm 202 CHRU de Tours 2. Laboratoire de Santé
Plus en détailFormulaire de consentement et conditions d utilisation pour les ressortissants utilisant les services de
Partnering Governments. Providing Solutions. Formulaire de consentement et conditions d utilisation pour les ressortissants utilisant les services de 1. Service CRDV VFS Global Services France VFS Global
Plus en détail«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?»
«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» Dr Adeline Paris Unité de Pharmacologie Clinique Centre d Investigation Clinique
Plus en détailSystèmes de transport public guidés urbains de personnes
service technique des Remontées mécaniques et des Transports guidés Systèmes de transport public guidés urbains de personnes Principe «GAME» (Globalement Au Moins Équivalent) Méthodologie de démonstration
Plus en détailJE MONTE UN SITE INTERNET
JE MONTE UN SITE INTERNET GUIDE PRATIQUE C O M M I S S I O N N A T I O N A L E D E L I N F O R M A T I Q U E E T D E S L I B E R T E S Janvier 2006 JE MONTE UN SITE INTERNET Le monde virtuel auquel vous
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailArticle 1 er. Code de la santé publique Texte précédent. Nouveau texte. 28/11/2012 Evelyne Pierron Consultants. Article R5121-25
Tableau comparatif Décret n 2012-1244 du 8 novembre 2012 relatif au renforcement des dispositions en matière de sécurité des médicaments à usage humain soumis à autorisation de mise sur le marché et à
Plus en détailGestion éthique des banques de recherche
Gestion éthique des banques de recherche Jean-Marie Therrien, Ph.D. Président du Comité d éthique de la recherche, CHU Sainte-Justine 30 octobre 2012 Plan Justification éthique et scientifique Principes
Plus en détailCharte de la Banque ADN et de Cellules de Généthon
Sommaire 1. PREAMBULE... 2 2. DEFINITIONS... 2 3. CADRE LEGAL... 3 4. ORGANISATION DE LA BACG... 4 5. PRESTATIONS DE LA BACG... 5 6. MODALITES DE CONTRIBUTION ET D UTILISATION DES SERVICES... 5 7. REGLES
Plus en détailCHARTE DE L E-MAILING. Code relatif à l utilisation de coordonnées électroniques à des fins de prospection directe
Déclaré conforme à la loi Informatique et Libertés par la CNIL, le 30 mars 2005, suivant procédure prévue par l article 11-3 de la loi du 6 janvier 1978. CHARTE DE L E-MAILING Code relatif à l utilisation
Plus en détailLa Révolution Numérique Au Service De l'hôpital de demain. 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE
La Révolution Numérique Au Service De l'hôpital de demain 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE Le développement de la e-santé : un cadre juridique et fonctionnel qui s adapte au partage Jeanne BOSSI Secrétaire
Plus en détailFoire Aux Questions. Sur les recherches biomédicales
Foire Aux Questions Sur les recherches biomédicales Version 5.0 (Octobre 2011) Historique du document Date de publication 19 octobre 2011 07 mai 2012 (suite à la création de l ANSM en remplacement de l
Plus en détailEstelle Marcault. 20/01/2012 URC Paris Nord 1
Estelle Marcault 20/01/2012 URC Paris Nord 1 Définition du Monitoring Surveillance de l avancement d un essai clinique Garantie que la conduite de l essai, les enregistrements et les rapports sont réalisés
Plus en détailGUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE
Actualisation Mai 2012 Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE
Plus en détailOUTIL D'EVALUATION DU TEMPS ARC / CHEF DE PROJET PROMOTEUR REQUIS POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE V 2.3 DE L OUTIL NOTICE D UTILISATION
OUTIL D'EVALUATION DU TEMPS ARC / CHEF DE PROJET PROMOTEUR REQUIS POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE V 2.3 DE L OUTIL NOTICE D UTILISATION i) Contexte :... - 2 - ii) But de l outil :... - 2 - iii) Fonctionnement
Plus en détailGUIDE PRATIQUE. Droit d accès
111 GUIDE PRATIQUE Droit d accès QU EST-CE QUE LE DROIT D ACCÈS? page 2 COMMENT EXERCER SON DROIT D ACCÈS? page 3 POUR ACCÉDER A QUOI? page 5 QUELLE RÉPONSE ATTENDRE? page 6 QUAND ET COMMENT SAISIR LA
Plus en détailI/ L adhésion au programme de fidélité des hôtels Roi Soleil
Conditions générales de la carte de Fidélité Les Cartes Gold s'inscrivent dans le programme de fidélité des Hôtels Roi Soleil, géré par la Sarl Hôtels Roi Soleil au capital de 11 650 000 dont le siège
Plus en détailFédération Nationale des Organismes de Gestion des Établissements de l Enseignement Catholique Questions Réponses Le mandat
277 rue Saint-Jacques 75240 PARIS Cedex 05 Tél. : 01.53.73.74.40 - Fax : 01.53.73.74.44 - mail : contact@fnogec.org Questions Réponses Le mandat 2 La référence unique de mandat (RUM) 3 La prénotification
Plus en détailDOSSIER-TYPE DE DEMANDE D AUTORISATION DE CREATION D UN SITE INTERNET DE COMMERCE ELECTRONIQUE DE MEDICAMENTS
DOSSIER-TYPE DE DEMANDE D AUTORISATION DE CREATION D UN SITE INTERNET DE COMMERCE ELECTRONIQUE DE MEDICAMENTS N.B. : la règlementation relative à la vente de médicaments par internet est susceptible de
Plus en détailRisques et dispositifs médicaux. «Responsabilités encourues» Isabelle Lucas-Baloup. 12, 13 et 14 octobre 2010
Risques et dispositifs médicaux «Responsabilités encourues» 1 Le circuit du dispositif médical Responsabilité D.M. approche systématique approche du produit implique analyse des missions et responsabilités
Plus en détailFormulaire de consultation publique du projet PARL OMPI Experts
CONSULTATION PUBLIQUE DU PROJET PARL OMPI EXPERTS 11 mars 2013 1 Formulaire de consultation publique du projet PARL OMPI Experts Nom Prénom Organisme Adresse Profession Adresse email J accepte que mes
Plus en détailLES GUIDES DE LA CNIL. PROFESSIONS DE SANTÉ : Fiches thématiques
LES GUIDES DE LA CNIL PROFESSIONS DE SANTÉ : Fiches thématiques AVANT-PROPOS Vous avez décidé d informatiser la gestion de votre cabinet. Pour cela, vous utilisez un ou plusieurs logiciels conçus pour
Plus en détailCharte de déontologie SMS+ applicable au 01/10/2013
Charte de déontologie SMS+ applicable au 01/10/2013 Principales évolutions : Les principales évolutions par rapport aux versions précédentes ont été surlignées en jaune. Article modifié Charte de déontologie
Plus en détailLES OUTILS. Connaître et appliquer la loi Informatique et Libertés
LES OUTILS Connaître et appliquer la loi Informatique et Libertés SEPTEMBRE 2011 QUE FAUT-IL DÉCLARER? Tous les fichiers informatiques contenant des données à caractère personnel sont soumis à la Loi Informatique
Plus en détailRèglement du jeu concours avec obligation d achat «JEU CONCOURS ANGEL»
Règlement du jeu concours avec obligation d achat «JEU CONCOURS ANGEL» Article 1 - société organisatrice La Société Clarins Fragrance Group S.A.S au capital de 3 280 000 Euros immatriculée au Registre
Plus en détailRèglement d INTERPOL sur le traitement des données
BUREAU DES AFFAIRES JURIDIQUES Règlement d INTERPOL sur le traitement des données [III/IRPD/GA/2011(2014)] REFERENCES 51 ème session de l Assemblée générale, résolution AGN/51/RES/1, portant adoption du
Plus en détailELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE
Référence HCL : Titre de l étude : ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Investigateur Coordonnateur : Méthode. Définition du niveau de risque
Plus en détailAvant-projet de loi. Loi modifiant le Code civil et d autres dispositions législatives en matière d adoption et d autorité parentale
PREMIÈRE SESSION TRENTE-NEUVIÈME LÉGISLATURE Avant-projet de loi Loi modifiant le Code civil et d autres dispositions législatives en matière d adoption et d autorité parentale Déposé par Madame Kathleen
Plus en détailAVANT-PROJET DE LOI. Portant diverses dispositions relatives au droit de la famille. Chapitre 1er Dispositions relatives à l autorité parentale
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE NOR : [ ] AVANT-PROJET DE LOI Portant diverses dispositions relatives au droit de la famille Chapitre 1er Dispositions relatives à l autorité parentale L article 372-2 du code civil
Plus en détailLES ETUDES CLINIQUES EN 20 QUESTIONS
LES ETUDES CLINIQUES EN 20 QUESTIONS La mise au point d un nouveau médicament est longue. Sur environ 10 000 médicaments potentiels subissant tous les tests nécessaires, un seul sera disponible au final
Plus en détailGuide sur la sécurité des échanges informatisés d informations médicales
Union régionale des caisses d assurance maladie Provence Alpes Côte d Azur Agence régionale de l hospitalisation Provence Alpes Côte d Azur Guide sur la sécurité des échanges informatisés d informations
Plus en détailProtocole. [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit.
Protocole [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit. 1. 2. Descriptif du dispositif Le contexte... p. 4 Les objectifs... p. 5 Les bénéficiaires... p. 5 Le chéquier et les coupons... p.
Plus en détailFICHE N 2 LA GESTION COMMERCIALE DES CLIENTS ET PROSPECTS POUR LE SECTEUR DES ASSURANCES (NS 56)
Pack de conformité - Assurance 14 FICHE N 2 LA GESTION COMMERCIALE DES CLIENTS ET PROSPECTS POUR LE SECTEUR DES ASSURANCES (NS 56) LES TRAITEMENTS DE DONNÉES PERSONNELLES AU REGARD DE LA LOI I&L Finalités
Plus en détailConditions Générales du RME
1. Champ d application 1 2. Règlement RME 1 3. Prestations du RME 1 3.1 Généralités 1 3.2 Enregistrement 1 3.3 Liste des Méthodes 2 3.4 Conditions d Enregistrement 2 3.5 Demandes d enregistrement 2 3.6
Plus en détailBANQUE DE LUXEMBOURG Vol des espèces retirées - Déclaration de sinistre (Page 1 sur 5) Numéro de police L2.040.140 INFORMATIONS GENERALES
Vol des espèces retirées - Déclaration de sinistre (Page 1 sur 5) INFORMATIONS GENERALES Assureur : Gestionnaire sinistre : Emetteur de la Carte : AIG Europe Limited, succursale Belge AIG Europe Limited,
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailCommission Statut et Juridique AH-HP. COMMENTAIRES et OBSERVATIONS sur le PROJET du CODE de DEONTOLOGIE du CONSEIL NATIONAL de l ORDRE des INFIRMIERS
Commission Statut et Juridique AH-HP COMMENTAIRES et OBSERVATIONS sur le PROJET du CODE de DEONTOLOGIE du CONSEIL NATIONAL de l ORDRE des INFIRMIERS Février 2010 1 Origine du code de déontologie Faisant
Plus en détailConditions générales d utilisation
Conditions générales d utilisation L utilisation du site internet www.fastt-mut.org (le Site) est régie par les présentes Conditions générales d utilisation. Les présentes Conditions générales d utilisation
Plus en détailREGLEMENT-CADRE. Jeux-concours Nouvelle Vie Magazine et site Internet www.nouvelle-vie-magazine.fr.
REGLEMENT-CADRE Jeux-concours Nouvelle Vie Magazine et site Internet www.nouvelle-vie-magazine.fr. ARTICLE 1 : PRESENTATION DES SOCIETE ORGANISATRICES Blopresse au capital de 30.000, immatriculée au RCS
Plus en détailLes dispositions à prendre lors de la prise de fonction du tuteur
TRIBUNAL D INSTANCE D AMIENS Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction du tuteur Ces dispositions ne concernent pas les renouvellements à l identique des mesures de tutelle. Par contre, si
Plus en détailL euthanasie et l assistance au suicide
L euthanasie et l assistance au suicide Loi du 16 mars 2009 français 25 questions 25 s L euthanasie et l assistance au suicide Loi du 16 mars 2009 En collaboration avec le Ministère de la Sécurité sociale,
Plus en détailTable ronde n 1 Ateliers de Giens 2013
Table ronde n 1 Ateliers de Giens 2013 Comment promouvoir la place des paramédicaux dans la recherche clinique: type d activités, place et statuts, reconnaissance, formations La recherche clinique fait
Plus en détailUtilisation des médias sociaux par les organes publics en conformité avec la protection
AIDE-MEMOIRE Utilisation des médias sociaux par les organes publics en conformité avec la protection des données I. Introduction Cet aide-mémoire s'adresse aux organes publics qui sont soumis à la législation
Plus en détailLe guide. Don d organes. Donneur ou pas. Pourquoi et comment je le dis. à mes proches.
Don d organes. Donneur ou pas à mes proches. Le guide Pourquoi et comment je le dis Don d organes. Pourquoi est-ce si important d en parler? En matière de don et de greffe d organes, la loi française prévoit
Plus en détailAssociation d Accueil aux Médecins et Personnels de Santé Réfugiés en France (APSR)
Association d Accueil aux Médecins et Personnels de Santé Réfugiés en France (APSR) POUVOIR EXERCER LA PHARMACIE EN FRANCE POUR LES PHARMACIENS À DIPLOME NON COMMUNAUTAIRE ET POUR LES PHARMACIENS À DIPLOME
Plus en détailDossiers personnels de l élève
Dossiers personnels de l élève Pauline Ladouceur Octobre 2008 - 2 - Principes de base à respecter: La protection des renseignements personnels repose sur trois principes de base : le nombre de renseignements
Plus en détailLa recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux
La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une
Plus en détailCHARTE DE PROTECTION DE LA VIE PRIVEE Au 1 er janvier 2015
CHARTE DE PROTECTION DE LA VIE PRIVEE Au 1 er janvier 2015 1. Préambule Notre Charte de protection de la vie privée (la «Charte») fixe la manière dont nous traitons l'information que nous recueillons à
Plus en détailCHARTE D UTILISATION DE GÉOANJOU : PLATEFORME MUTUALISEE POUR LE PARTAGE
CHARTE D UTILISATION DE GÉOANJOU : PLATEFORME MUTUALISEE POUR LE PARTAGE D'INFORMATIONS GEOLOCALISEES EN MAINE ET LOIRE PREAMBULE Dans le cadre du projet Anjou Dynamique Numérique (développement des services
Plus en détailREGLEMENT DU PROGRAMME DE FIDELITE COFFEA
REGLEMENT DU PROGRAMME DE FIDELITE COFFEA 1. Principes de la carte privilège COFFEA 1.1. La carte «Privilège COFFEA» s inscrit dans le programme de fidélité COFFEA, géré par COFFEA, société au capital
Plus en détailCONDITIONS GÉNÉRALES D ACCÈS ET D UTILISATION (C.G.A.U.) DU SERVICE BIXI PAR LES ABONNÉS 1 AN OU 30 JOURS ARTICLE 1 OBJET DU SERVICE BIXI
CONDITIONS GÉNÉRALES D ACCÈS ET D UTILISATION (C.G.A.U.) DU SERVICE BIXI PAR LES ABONNÉS 1 AN OU 30 JOURS ARTICLE 1 OBJET DU SERVICE BIXI 1.1 BIXI est un système de vélos en libre-service (le «Service»).
Plus en détailCHAPITRE III: L'ENSEIGNEMENT ET LA RECHERCHE
CHAPITRE III: L'ENSEIGNEMENT ET LA RECHERCHE : L'ENSEIGNEMENT SOUS-.1: LES ÉTUDES DE PREMIER CYCLE PROCÉDURE RELATIVE À L'OCTROI DU GRADE DE PAGE: 1 Adoptée: CAD-5661 (20 12 94) CAD-9042 (10 03 09) Modifiée:
Plus en détailPOLITIQUE 4.4 OPTIONS D ACHAT D ACTIONS INCITATIVES
POLITIQUE 4.4 OPTIONS D ACHAT Champ d application de la politique Les options d achat d actions incitatives servent à récompenser les titulaires d option pour les services qu ils fourniront à l émetteur.
Plus en détailLES DROITS DE L ENFANT
LES DROITS DE L ENFANT Maître Viviane SCHMITZBERGER HOFFER Avocat, Ancien Bâtonnier du Barreau de METZ Colloque du 11 octobre 2013 Syndrome du bébé secoué au Ministère de la Santé Mise en garde Article
Plus en détailCe dispositif vous intéresse?
DEPARTEMENT DE LA GUYANE REPUBLIQUE FRANCAISE Liberté - Egalité - Fraternité Le Compte Epargne Temps (CET) Questions Réponses! Délibération N AP/11/DRH/SGEM-171 Par délibération n AP/11/DRH/SGEM-171 du
Plus en détailPartie 1. Principes. Karmela Krleža-Jerić, An-Wen Chan, Kay Dickersin, Ida Sim, Jeremy Grimshaw, Christian Gluud, for the Ottawa GroupT 1
Déclaration d Ottawa sur l enregistrement des essais d interventions de santé: Proposition pour l enregistrement international d informations relatives au protocole et de résultats des essais réalisés
Plus en détailINTERNET ET SANTÉ. Proposition de titre : La certification : un moyen d améliorer la qualité des sites dédiés à la santé
QUESTIONS REPONSES INTERNET ET SANTÉ Proposition de titre : La certification : un moyen d améliorer la qualité des sites dédiés à la santé LE CONTEXTE Dispose t-on de données relatives à la fréquentation
Plus en détailDOSSIER PREFECTURE ET CNIL MOINS DE 8 CAMERAS ET NE FILMANT PAS LA VOIE PUBLIQUE
DOSSIER PREFECTURE ET CNIL MOINS DE 8 CAMERAS ET NE FILMANT PAS LA VOIE PUBLIQUE 1 attestation de remise des documents Je soussigné, Mr de la société.. atteste avoir reçu ce jour de la société ADS FRANCE,
Plus en détailPUBLICITÉ ET CRÉDIT À LA CONSOMMATION. Les modifications apportées par la Loi du 1 er juillet 2010
PUBLICITÉ ET CRÉDIT À LA CONSOMMATION Les modifications apportées par la Loi du 1 er juillet 2010 La Directive «crédit à la consommation» du 23 avril 2008 a été transposée par la loi n 2010-737 du 1 er
Plus en détailNOTE AUX ELEVES EFFECTUANT UN SEMESTRE OU UNE ANNEE D ETUDES A L ETRANGER AU TITRE DE L ANNEE SCOLAIRE 2015-2016
Institut Mines-Télécom Bureau d aide sociale aux élèves Alès, le 8 juillet 2015 sylvie.leze@mines-ales.fr Tél. : 04 66 78 50 72 NOTE AUX ELEVES EFFECTUANT UN SEMESTRE OU UNE ANNEE D ETUDES A L ETRANGER
Plus en détailFICHE 1 : INFORMATIONS DESTINEES AUX FAMILLES ET AUX JEUNES ACCUEILLIS A L INSTITUT MEDICO-EDUCATIF LES ECUREUILS CE QU IL FAUT SAVOIR :
FICHE 1 : INFORMATIONS DESTINEES AUX FAMILLES ET AUX JEUNES ACCUEILLIS A L INSTITUT MEDICO-EDUCATIF LES ECUREUILS LE PASSAGE A L AGE ADULTE, UNE PERIODE CHARNIERE CE QU IL FAUT SAVOIR : Nécessité de posséder
Plus en détailLA RECHERCHE CLINIQUE
LA RECHERCHE CLINIQUE De la découverte scientifique à la mise à disposition d'un produit sur le marché (médicament, vaccin, outil diagnostic, dispositif médical...), il se passe plusieurs années, environ
Plus en détailREGLEMENT POUR LES JEUX REALISES A L ANTENNE DE RIRE ET CHANSONS ACCESSIBLES PAR SMS (Audiotel), PAR INTERNET ET PAR APPEL AU STANDARD TELEPHONIQUE
REGLEMENT POUR LES JEUX REALISES A L ANTENNE DE RIRE ET CHANSONS ACCESSIBLES PAR SMS (Audiotel), PAR INTERNET ET PAR APPEL AU STANDARD TELEPHONIQUE APPLICABLE A COMPTER DU MOIS DE JANVIER 2014 ARTICLE
Plus en détailEt les conférences : Conférence des Présidents d Université (CPU), Conférence des Directeurs des Ecoles Françaises d Ingénieurs (CDEFI),
Accord de reconnaissance mutuelle d études et diplômes en vue de la poursuite d études supérieures dans les établissements d enseignement supérieur français et taiwanais Les associations : Association
Plus en détailInformation DES CURATEURS (Curatelle Renforcée)
Commentaire [1]: 308entetead.wp d Entête de lettre avec destinataire (intégrant charte graphique) Tribunal d instance de RAMBOUILLET Service de la Protection des majeurs Information DES CURATEURS (Curatelle
Plus en détailREGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF DENTAIRE PARTIE 3 OBTENTION DE LA CERTIFICATION
REGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF DENTAIRE PARTIE 3 OBTENTION DE LA CERTIFICATION SOMMAIRE 3.1. Constitution du dossier de demande 3.2. Processus d'évaluation initiale Rev. 9 mai 2012 PROCESSUS D'OBTENTION
Plus en détailFormation CTOM «Printemps 2013»
Formation CTOM «Printemps 2013» Formation intensive avec mise en œuvre opérationnelle 105 heures de formation en centre Formation professionnelle qualifiante au métier de Clinical Trials Operations Manager
Plus en détailLa protection de vos données médicales chez l assureur
La protection de vos données médicales chez l assureur Brochure 2009 2 Questions & Réponses fréquentes FAQ 2009 La communication de données est le point de passage obligé pour le bon fonctionnement de
Plus en détailLes responsabilités des professionnels de santé
Chapitre 5 : UE6 - Le Droit pharmaceutique Les responsabilités des professionnels de santé Martine DELETRAZ-DELPORTE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailResponsabilité du promoteur et obligations des soustraitants. cliniques : conformité aux Bonnes Pratiques Cliniques et point de vue de l inspection
Responsabilité du promoteur et obligations des soustraitants dans les essais cliniques : conformité aux Bonnes Pratiques Cliniques et point de vue de l inspection Anne RAISON Chef de l Unité Inspection
Plus en détailÀ l'intention des parents
Septembre 2011 À l'intention des parents Information sur les examens en vue de l'obtention du diplôme Votre fils ou votre fille passera bientôt des examens en vue de l'obtention du diplôme? Voici de l'information
Plus en détailPrincipes Généraux de l Université d Orléans : Propriété de résultats issus de projets collaboratifs
Principes Généraux de l Université d Orléans : Propriété de résultats issus de projets collaboratifs DEFINITIONS : CONNAISSANCES PROPRES : Toutes les informations et connaissances techniques et/ou scientifiques,
Plus en détailIntervenant en Prévention des Risques Professionnels. Formulaire de demande d enregistrement
Ministère du travail, de l emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social DIRECTION RÉGIONALE DES ENTREPRISES, DE LA CONCURRENCE, DE LA CONSOMMATION, DU TRAVAIL ET DE L EMPLOI DE BOURGOGNE
Plus en détailGUIDE DE LA GÉOLOCALISATION DES SALARIÉS. Droits et obligations en matière de géolocalisation des employés par un dispositif de suivi GSM/GPS
GUIDE DE LA GÉOLOCALISATION DES SALARIÉS Droits et obligations en matière de géolocalisation des employés par un dispositif de suivi GSM/GPS De plus en plus d entreprises, par exemple les sociétés de dépannage
Plus en détailLes dispositions à prendre en cours de fonction
TRIBUNAL D INSTANCE D AMIENS Les dispositions à prendre lors de la prise de fonction de Curateur dans le cadre d une curatelle dite renforcée (article 472 du code civil) Ces dispositions ne concernent
Plus en détail1 OBJET DE LA PROCÉDURE
1 OBJET DE LA PROCÉDURE La procédure décrit comment soumettre une expérimentation médicale dont l investigateur est cadre médical permanent des CUSL au Comité d Ethique Hospitalo-Facultaire pour avis.
Plus en détailConvention Beobank Online et Beobank Mobile
Convention Beobank Online et Beobank Mobile Lisez attentivement cette Convention ("la Convention"). Lisez en tout cas la Section 1 - Conditions générales Beobank Online et Beobank Mobile. Ces conditions
Plus en détail