Les Pays Partenaires et l Initiative Internationale pour la Transparence de l Aide

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1 Les Pays Partenaires et l Initiative Internationale pour la Transparence de l Aide Rapport de Synthèse des six consultations régionales / sous régionales auprès des pays partenaires préparé pour le Comité de Pilotage de l IITA, le 30 septembre 2009 Juin Septembre 2009 I. Historique: Au cours de la période de juin à septembre 2009, le PNUD, en tant que membre du Secrétariat de l IITA avec pour mission d étendre ses programmes aux pays partenaires, a organisé des ateliers de consultations dont 4 au niveau régional et 2 au niveau sous régional au profit des pays partenaires sur l IITA. Ces consultations ont été financées par le DFID. Les bureaux de pays du PNUD ont également contribué financièrement en couvrant les frais de voyage et per diem d autres 1 représentants des gouvernements depuis leurs pays respectifs, ainsi qu'en fournissant des contributions en nature au niveau de la coordination et de la facilitation des préparatifs et de la présence des pays partenaires. Les consultations avec le pays partenaire (PP) avaient pour objectif de: familiariser le pays partenaire et autres parties prenantes sur l IITA et ses objectifs en ce qui concerne l'agenda d'action d'accra (AAA), et la Déclaration de Paris sur l'efficacité de l'aide ; identifier les besoins, actuellement non satisfaits, en information des Pays Partenaire, et faire des recommandations sur les domaines à intégrer dans le champ d'application des normes de l IITA, ainsi que des recommandations relatives au Code de conduite; discuter des moyens à faire avancer l IITA aux niveaux national, sous-régional, régional et mondial, y compris les besoins en développement des capacités du pays partenaire. faciliter l'échange entre les pairs et l'apprentissage de bonnes pratiques, les leçons apprises et les défis du déploiement des Systèmes de Gestion de l Information sur l Aide 1 Les prévisions budgétaires et les fonds reçus étaient basés sur 1 représentant du gouvernement par pays par consultation régionale /sous-régionale

2 et la façon dont l IITA peut contribuer à améliorer l'efficacité de ces systèmes, ainsi que la façon dont les meilleurs pratiques et les expériences des pays en termes d adoption des Systèmes de Gestion de l Information sur l Aide peuvent contribuer à l'élaboration des normes de l IITA. Le nombre de gouvernements des pays partenaires ayant pris part à ces consultations est de 74. Trois gouvernements, à savoir celui de la RDC, du Malawi et de la Tanzanie ont participé aux deux consultations sous-régionales en Afrique, tout en étant représentés par différentes institutions et départements. Dans ce dernier cas, leur participation à Accra a été entièrement financée par le PNUD CO. Le Tableau 1 à la page 2 donne un aperçu par région / sous-région. La liste complète des pays se trouve à l Annexe 1. Il convient également de noter que pour l'afrique, un certain nombre de pays ont choisi soit de participer à la réunion de Kigali ou à la réunion d'accra. Les réunions prévues devaient regrouper les experts, même si certains pays étaient représentés par des ministres/vice ministres. Les participants étaient pour la plupart des ministres de la planification, des finances et des affaires étrangères. Les consultations étaient ouvertes aussi bien aux autres groupes d'intervenants, comme les parlementaires, les représentants des OSC, les Bureaux de Pays du PNUD dans les régions, qu à la communauté des donateurs dans les pays d'accueil. La seule exception a été la réunion d'accra, qui ne comprenait pas de représentants de la communauté locale de donateurs tel que décidé par le ministère ghanéen des Finances et de la Planification Economique. Les représentants de Development Initiatives Poverty Research ont également participé et fait un exposé sur le Document de Portée à Kigali, Bangkok, Amman et Accra. Les représentants de Development Gateway Foundation et Synergy International Systems ont fait une présentation respectivement sur AMP et DAD, et leur appui aux Systèmes de Gestion de l Information sur l Aide des pays. Dans les régions d Asie, du Pacifique, d Amérique latine et des Caraïbes, des consultations virtuelles ont précédé les consultations en tête-à tête et ont servi de phase préparatoire. Les rapports des séances de consultation peuvent être consultés à l adresse suivante: à mesure qu'ils deviennent disponibles.

3 Tableau 1: Quelques faits sur les consultations auprès des pays partenaires Région/sous-région: Dates: Pays Partenaire Hôte Nbr de Gouv de PP*: Afrique orientale Juin 2009 Rwanda 11 et Australe Europe and CIS 6-7 Juillet 2009 Monténégro 9 Etats Arabes August 2009 Jordanie 9 Asie et Pacifique Août 2009 Thaïlande 17 Afrique de l Ouest 8-9 Septembre 2009 Ghana 19** Centrale Amérique latine Septembre 2009 République Dominicaine 12 et Caraïbes Nombre total des gouvernements des pays partenaires participants: ** * L effectif inclut le pays hôte. ** Trois gouvernements notamment celui de la RDC, du Malawi de la Tanzanie ont participé aux réunions de Kigali et Accra.

4 II. Résultats des consultations régionales/sous régionales auprès des Pays Partenaires : 1. Partage des connaissances: Comme illustré ci-dessus, ces consultations ont permis aux représentants gouvernementaux de 77 pays d'être informés, dans certains cas, pour la première fois, sur les objectifs de l'initiative, les recherches préliminaires menées, et le processus politique et technique pour l élaboration des Normes de l IITA et du Code de Conduite. Elles ont également servi de forum pour l'échange entre les pairs et l apprentissage sur la façon dont les gouvernements gèrent la circulation de l'information au sujet de l aide au niveau des pays, les Systèmes de Gestion des Informations sur l Aide et les défis qu'ils doivent relever en matière de transparence, la responsabilité mutuelle et d'autres principes et engagements de la Déclaration de Paris et de l'aaa. 2. Soutien plus élargi de l IITA au sein des Pays Partenaires: Les consultations ont également servi d élément catalyseur à deux des gouvernements hôtes, à savoir celui du Monténégro et de la République Dominicaine, pour approuver l'initiative. Un deuxième groupe de pays a exprimé son intérêt d approuver éventuellement la Déclaration de l IITA à Accra en 2008 au cours des consultations, mais ce geste pourrait nécessiter un engagement des dirigeants politiques. 3. Augmentation du nombre de pays partenaires (PP) membres dans organes de l IITA: Suite aux demandes formulées par les Pays Partenaires pour une meilleure représentation, le Secrétariat de l IITA a tendu la main à la Colombie et à la République Dominicaine (les deux seuls pays de la région de l Amérique latine ayant approuvé l IITA mais qui ne sont pas représentés au Comité de Pilotage ( CP)), ainsi que les deux pays pilotes, à savoir le Burkina Faso et le Malawi, pour participer le 30 Septembre 2009 à la réunion du Comité de Pilotage. Les consultations ont également permis d'identifier des experts gouvernementaux qui sont intéressés à contribuer à l'élaboration des normes et du Code de Conduite. Par conséquent, la réunion du Groupe Consultatif Technique (TAG) du 2 au 3 septembre 2009 a, pour la première fois ouvert ses portes aux représentants des gouvernements des Pays Partenaires, notamment la Colombie, la Jordanie, le Kirghizistan, le Népal et SUPRO, une Organisation de la Société Civile du Bangladesh.

5 III. Conclusions et recommandations issues des consultations régionales / sous-régionales de l IITA des pays partenaires: 1. Espace pour les PP au niveau de l IITA : L'une des exigences constantes des PP à travers les consultations a été une meilleure représentation des PP au Comité de Pilotage et au TAG (Groupe Consultatif Technique), ainsi qu un meilleur équilibre régional dans la composition de ces organes. Le Secrétariat de l IITA a déjà pris des mesures à cet égard (voir point 3 ci-dessus). En outre, la région Asie-Pacifique a avancé une proposition pour l'identification d'un pays pilote de l IITA. La question de l'espace pour les PP devrait être traitée d'une manière qui soit objective, rationnelle et durable à la lumière du nombre croissant de PP susceptibles d'adhérer à l IITA dans un proche avenir. Le Secrétariat de l IITA avec la direction du PNUD et le Comité de Pilotage doivent définir une stratégie de sensibilisation et d'engagement des PP, qui répondrait à l exigence de représentation et au processus de participation. Lors des assises d Accra, les PP ont également demandé si les OSC des pays du Sud pourraient intégrer le Comité de Pilotage. 2. Processus d'élaboration des normes de l IITA et du Code de Conduite: Les PP estiment qu ils ont besoin de davantage de consultations aux niveaux : mondial et régional, mais aussi au niveau des pays. On a constaté en Europe et au sein de la Communauté des Etats Indépendants (CEI) un soutien manifeste pour que l ONU continue à assurer la facilitation de ce processus. La sensibilisation des pays partenaires de l IITA devrait prendre de l ampleur. En outre, les gouvernements exigent plus de temps pour des consultations internes et également avec des partenaires locaux en développement sur les propositions techniques élaborées par le TAG. La disponibilité de documents traduits en arabe, en français et en espagnol faciliterait le partage de l information / la sensibilisation et la mise à disposition de contributions de la part des partenaires d expression arabe, française et espagnole. 3. L IITA & le programme élargi de l efficacité de l aide et les mécanismes de coordination existants/calendrier au-delà de 2009: Les PP ont demandé plus de clarté dans ce domaine, notamment quant à la façon dont l IITA s'inscrit dans le programme du WP-EFF et ses groupes, en particulier le groupe C. En outre un calendrier pour l IITA au-delà de 2009 aiderait les PP dans leurs plans de coopération avec l'initiative. 4. Les Donateurs signataires de l IITA: Au cours de toutes les consultations régionales, il s est dégagé un consensus selon lequel davantage de donateurs membres du CAD / OCDE et non membres du CAD devraient adhérer à l IITA. Il y un problème qu il ne faut

6 pas sous-estimer, selon lequel un certain nombre de donateurs, dont certains fournissent une grande partie de l Aide Publique au Développement (OPD), restent en dehors de l IITA. Il en va de même pour les donateurs non membres du CAD. Le Secrétariat de l IITA et le Comité de Pilotage doivent définir une stratégie pour s engager dans la communauté des donateurs semblable à celle des PP. 5. Engagement mondial et national des donateurs: Les PP encouragent les partenaires au développement signataires de l IITA à bien préparer les représentants de leurs pays à coopérer conformément aux normes et au Code de Conduite de l IITA. Il y a encore des cas où les partenaires locaux en développement ne sont pas pleinement au courant de l'initiative. 6. Engagement et contraintes du côté des donateurs: Les PP estiment que les donateurs au niveau des pays n'accordent pas suffisamment de priorité à la mise à disposition d information au sujet de l aide aux autorités nationales. Une telle situation sape les efforts de mise en place de Systèmes de Gestion de l Information sur l Aide et d obtention de statistiques fiables et des informations actualisées disponibles pour la prise de décision au niveau des pays. Les PP ont souligné les contraintes rencontrées par certains partenaires locaux en développement en raison du manque d autorité pour faire rapport directement aux gouvernements des PP sur l aide qu'ils fournissent. Pour ces cas, les PP encourager la décentralisation de l'autorité. Dans d autres cas, les autorités nationales éprouvent des difficultés à obtenir des renseignements en temps opportun auprès des donateurs non résidents ou pour l aide qui est directement gérée à partir du siège des donateurs et pour laquelle les représentants des donateurs locaux ont peu ou pas d'information. Certains partenaires au développement manquent de capacités en ressources humaines pour faire des rapports, une situation à laquelle il faut remédier. Il y a des cas où la tâche de reportage a été confiée aux agents de départements de finance et administration qui n ont pas nécessairement de connaissances sur les programmes / projets et cela conduit à des données inexactes ou incomplètes. Il a été suggéré que les donateurs désignent des points focaux qui sont responsables de la fourniture de l information sur l'aide aux autorités nationales. Cela se fait déjà dans beaucoup de pays mais le renforcement et la systématisation sont nécessaires. Il y avait une opinion partagée selon laquelle les organisations mondiales, régionales et multilatérales, y compris le Système des Nations Unies doivent aussi améliorer les informations qu elles mettent à la disposition des PP. Le double comptage de l'aide continue d'être un problème au niveau des pays.

7 7. Des normes internationales et un Code de Conduite, mais suffisamment souples: certes les PP reconnaissent la nécessité et la valeur ajoutée des normes et du Code de Conduite de l IITA, mais ils ont aussi exprimé clairement tout au long des consultations que ces normes et ce code de conduite devraient être suffisamment souples pour permettre l'adaptation aux contextes des pays, aux priorités nationales en matière de développement (par exemple le reportage sur les résultats), les systèmes nationaux (par exemple le cycle budgétaire/le renforcement des Systèmes locaux de Gestion de l Information sur l Aide/ la fréquence des rapports/le type d informations requises du gouvernement). 8. Le respect des normes futures de l IITA: Les PP restent sceptiques quant à leur capacité à garantir le respect des normes mondiales au niveau des pays, ainsi que le respect par les donateurs. La lenteur des progrès dans la mise en œuvre des objectifs de la Déclaration de Paris dans les pays en est un exemple éloquent. Les mécanismes de responsabilité mutuelle sont trop faibles; l agenda de l'aide continue d'être dicté par les donateurs dans de nombreux cas et les gouvernements des pays en développement ont peu d'outils pour assurer le respect des normes. La collecte de données sur l aide entamée par les partenaires en développement produit des résultats mitigés en termes de rapidité, de qualité et de conformité avec les exigences nationales (portée / format des rapports). La pression des pairs a joué dans certains cas, mais elle a ses limites. Certains donateurs restent en dehors des mécanismes de coordination de l'aide au niveau des pays ou ne s engagent pas suffisamment dans le dialogue sur l efficacité de l'aide. 9. Portée des normes de l IITA: Les PP ont largement confirmé que les domaines prioritaires pris en compte dans le champ d'application des normes de l IITA, tel que défini dans le Document de Portée 2 de l IITA, répondent à leurs besoins en information. En temps opportun, les informations actualisées et fiables sur les flux d'aide actuels et futurs sont supposées figurer en tête d affiche de l agenda des priorités. Les informations sur les flux d'aide futurs (prévisions de 3 à 5 ans) sont considérées comme étant d'une grande importance en termes de planification budgétaire et de gestion macro-économique. De même, des informations plus détaillées sur l endroit, le moment, la façon et dans quels secteurs l'aide est dépensée sont très critiques aux fins de la prise de décisions par les gouvernements des pays partenaires. Les pays partenaires ont également souligné la nécessité d'une meilleure information qui leur permettrait d assurer le suivi des résultats et l'impact de l'aide dans leur pays. Les 2 Development Initiatives Poverty Research, le document de portée de l IITA pour la consultation, Mars Voir en particulier le chapitre intitulé "Overview of gaps and opportunities", pages 16-21

8 résultats devraient être alignés sur les résultats induits et les résultats directs définis dans les stratégies et plans nationaux de développement. Une meilleure couverture des flux de l aide de la part d un plus large éventail de donateurs, y compris les donateurs non membres du CAD, les agences multilatérales, les ONG, les fondations constitue également une priorité. Les ressources que les fonds mondiaux sont en train d acheminer vers les pays doivent également être exploitées. Le dialogue et le partage d informations avec les ONG varient selon les pays, cependant, le sentiment général est qu une grande partie des aides passant par les ONG n est pas signalée aux autorités nationales. Les informations relatives aux conditions, mais aussi aux conditionnalités étaient réputées essentielles pour les PP. L'absence de ces informations porte atteinte à l appropriation par les PP. Un certain nombre de PP sont déjà en train de suivre les progrès au niveau des pays sur les objectifs de la Déclaration de Paris et cela a été considéré comme étant une partie utile de la norme, ainsi que la possibilité de cartographier les dépenses d'aide par rapport aux indicateurs sexospécifiques et de changement climatiques convenus de commun accord. Le contrat et les modalités d'approvisionnement ont été moins importants pour les PP par rapport aux autres domaines des normes de l IITA. Les informations non statistiques (documents relatifs à la stratégie, à la politique, aux évaluations, etc.) ont été considérées comme étant essentielles car elles tendaient à mettre en place le cadre de dialogue et de coopération entre les gouvernements des pays partenaires et les partenaires en développement. 10. D'autres domaines d'information sur l'aide répondant aux besoins des PP: Dans certains cas, les entités décentralisées (par exemple, villes ou municipalités) fournissent une assistance à des entités décentralisées dans le PP. Les administrations centrales sont incapables d intégrer ces informations dans leurs Systèmes de Gestion de l Information sur l Aide. Il a été suggéré que la portée des normes couvre ces flux d'aide. Dans la région des Pays de l Amérique Latine, le fait de comprendre et d avoir une définition et une méthodologie communes pour la monétarisation de la coopération Nord-Sud a été considéré comme ayant une importance capitale. 11. Rôle des PP à fournir des informations au sujet de l aide: Les PP ont également affirmé qu'ils ont un rôle à jouer dans la mise à disposition des informations sur l aide. De tels cas comprennent toute l aide qui passe par les budgets nationaux ou lorsque les produits ou services sont achetés au moyen de systèmes nationaux d'approvisionnement; la responsabilité partagée avec les donateurs lorsque les gouvernements partagent les coûts. De même, les PP ont la responsabilité de faire rapport sur les résultats relatifs aux plans nationaux de développement ou aux stratégies sectorielles.

9 12. Le rôle des Systèmes de Gestion de l Information sur l Aide au niveau des pays: les PP dans toutes les régions investissent des ressources (humaines et financières) et du temps dans la création et la gestion des Systèmes locaux de Gestion de l Information sur l Aide. Dans de nombreux cas cela se fait avec l'appui des partenaires au développement. Les exigences de reportage varient d'un pays à l'autre, mais, en général, elles relèvent du champ d'application des normes de l IITA. Un grand nombre d'exemples positifs ont été donnés sur les capacités de ces systèmes à fournir des informations sur les engagements d'aide et les décaissements par secteur, dans le suivi des progrès vers les objectifs nationaux de développement, les OMD ou les objectifs de la Déclaration de Paris, etc. L inquiétude, cependant, est que, globalement, le respect des exigences nationales de reportage varie du niveau faible au niveau modéré et que les PP sont incapables d en assurer le respect total. L IITA devrait soutenir de tels systèmes et renforcer le respect du système de reportage au niveau des pays. 13. Le Code de conduite de l IITA: Les PP considèrent le Code de Conduite comme un instrument essentiel pour assurer la transparence et la responsabilisation. Le Code doit être robuste et renfermer des actions et des indicateurs vérifiables. Il devrait également être souple et permettre de s adapter aux besoins des gouvernements des pays partenaires (par exemple la fréquence des rapports). Pendant les consultations dans les Etats arabes et les pays de l Amérique latine, certains pays ont souhaité qu il y ait un instrument juridique ayant force obligatoire tandis que dans la région d Asie et du Pacifique, on craignait que le terme «code de conduite» ne soit interprété par certains comme nécessitant une incorporation dans la loi avant la signature. Malgré ces différences, ils se sont mis d accord sur le fait que faire respecter les normes de l IITA serait d une importance primordiale pour permettre à l initiative d atteindre ses objectifs. À cet égard, l option privilégiée a été le suivi indépendant pour s assurer du respect. Les évaluations par les pairs sont considérées comme étant insuffisantes. Le consensus était que les PP devraient jouer un rôle important dans tous les mécanismes ou processus de suivi qui seraient mis en place. Dans la région d Asie et du Pacifique, on proposait la création d un organe indépendant, autre que le Secrétariat de l IITA. Cet organe serait composé de représentants des pays partenaires (PP), des donateurs et des OSC, qui devraient tous travailler par rotation. Il y avait une inquiétude quant au caractère indépendant des évaluations si celles-ci étaient commandées par les donateurs. Un autre point soulevé était de savoir quelles seraient les conséquences en cas de non-respect. Les PP ont aussi voulu savoir si le code de conduite serait signé par les donateurs seulement ou si les PP signeraient aussi.

10 14. Les contraintes capacitaires et les besoins des PP par rapport à l IITA: les PP sont pleinement conscients de leurs engagements à améliorer les systèmes nationaux. Ils sont aussi pleinement conscients des contraintes qu'ils rencontrent dans le respect de ces engagements et dans l amélioration de l accès à l'information, aux flux d'information et à la transparence au sein des gouvernements, des parlements et des citoyens. Ils ont abouti à un accord selon lequel les Systèmes de Gestion de l Information sur l Aide serviraient cette cause, toutefois, de nombreux participants ont également souhaité la fourniture d informations aux parlementaires, aux OSC et aux citoyens qui servirait à leurs besoins particuliers et se familiariser avec la terminologie/le jargon de l'aide. Dans beaucoup de régions, on a remarqué le désir de partage accru de l information régionale et de coordination au sein des pays partenaires sur les questions touchant à l efficacité de l aide et l IITA. Bien que la région Asie-Pacifique dispose d un tel mécanisme3, les participants à Amman, Accra et Santo Domingo ont convenu qu'ils avaient aussi besoin de plates-formes régionales d où leur proposition de travailler avec le PNUD et d autres partenaires pour soutenir leur mise en place. La codification et le partage d'expériences en matière de gestion et de coordination de l information sur l aide etc. et les différents outils/modalités y relatifs ont été identifiés par les participants, notamment des études de cas, les meilleures pratiques, les leçons apprises, l'apprentissage et les échanges entre les pairs, etc. En Europe et dans la Communauté des Etats Indépendants (CEI), on proposait des «experts itinérants» issus des pays qui pourraient favoriser l apprentissage par les pairs dans la région. Une autre proposition visant à faire avancer l IITA au niveau des pays est de disposer de points focaux dévoués au sein du gouvernement, ainsi que de tenir des consultations avec les pays à propos de l IITA (au sein du gouvernement, entre le gouvernement et les donateurs locaux et avec d autres intervenants). En termes de besoins de développement des capacités, les PP apprécieraient le soutien de l IITA dans le renforcement des capacités locales pour analyser et utiliser les informations améliorées sur l aide dans la planification, la budgétisation et la prise de décisions. Les participants à Kigali ont également suggéré la création d'un fonds dédié au soutien des PP pour couvrir les coûts de développement des compétences et d amélioration des infrastructures pour les Systèmes de Gestion de l Information sur l Aide. Dans la région Asie-Pacifique, il y avait une demande d appui au développement des capacités ciblant les parlementaires. Les participants à Monténégro et à Accra ont souhaité qu il y ait une vaste sensibilisation et une communication au 3 Facilité de renforcement des capacités pour l efficacité du développement:

11 public en général. Toutefois, les PP ont également demandé plus de clarté de la part de l IITA sur le soutien au développement des capacités qu elle serait en mesure d'offrir. 15. Les pays en conflit et les pays sortant d un conflit: Les participants qui ont délibéré sur les expériences de ces pays étaient tombés d accord que les besoins en informations sur l aide ne sont pas différents, mais qu ils sont plutôt aggravés par la capacité faible d'institutions nationales de collecter et d analyser les données, ainsi que d assurer la conformité aux conditions de reportage. Dans de tels contextes, l'aide humanitaire est d une grande importance, de même que l aide passant par les ONG. La fragmentation des informations sur l'aide s aggrave davantage d autant que la plupart de l'aide ne provient pas du budget national, et ne figure pas non plus dans le budget. Il est difficile de poursuivre la responsabilité mutuelle dans de tels contextes ; ainsi, il serait très important d avoir des normes de l'iati et un code de conduite rigoureux. Un certain nombre des pays sortant d un conflit établissent des AIMS et ces derniers se sont avérés positifs, malgré les difficultés de faire fonctionner ces systèmes sans le respect total du système de reportage, ni d infrastructures adéquates et avec le manque de personnel qualifié, entre autres contraintes. I. Etapes suivantes: La liste des étapes prochaines proposées ci-dessous provient des soucis principaux exprimés par les pays partenaires des consultations. Les membres du comité de coordination sont invités à fournir les observations/suggestions dans le cadre de les améliorer et de permettre au secrétariat d élaborer les propositions: a. Le secrétariat de l IITA doit préparer avec le PNUD à la tête, et le comité de coordination d'iati doit approuver, une stratégie visant la collectivité pour les pays partenaires à l exemple du premier tour des consultations régionales et de la conférence d'iati à La Haye b. Le TAG avec l'appui du PNUD doit progresser dans la définition de la stratégie de développement des capacités en réponse aux besoins de pays partenaires dans la mise en œuvre et l'utilisation de la norme de l IITA et du Code de Conduite au niveau de pays. c. Le secrétariat de l IITA doit préparer et le comité de coordination de l IITA doit approuver, une stratégie d engagement avec OECD/DAC et les donateurs non- DAC d. Le secrétariat de l IITA doit préparer, et le Comité de Coordination doit approuver, un calendrier d IITA conduisant au HLF IV

12 Annexe 1: Listes des gouvernements des pays partenaires ayant pris part dans les consultations régionales / sous-régionales Région/sub-région Dates: Pays partenaire hôte: Nombre des gouvernements des pays partenaires : Afrique de l Est et juin 2009 Rwanda 11 Afrique Australe 1. Burundi 2. Ile Comores 3. République démocratique du Congo 4. Malawi 5. Ile Maurice 6. Namibie 7. Rwanda 8. Sud Soudan 9. Soudan 10. Swaziland 11. Tanzanie Europe et CIS 6-7 juillet 2009 Monténégro 9 1. Albanie 2. Arménie 3. Bosnie Herzégovine 4. Géorgie 5. Kosovo 1244 RSC 6. Kirghizstan 7. Monténégro 8. Ukraine 9. Ouzbékistan Etats Arabes aout 2009 Jordanie 9 1. Algérie 2. Djibouti 3. Iraq

13 4. Jordanie 5. Liban 6. Libye 7. Maroc 8. Somalie 9. Syrie Asie et Pacifique aout 2009 Thaïlande Afghanistan 2. Bangladesh 3. Cambodge 4. Inde 5. Indonésie 6. Corée (République de)lao 7. Mongolie 8. Népal 9. Pakistan 10. Papouasie Nouvelle Guinée 11. Philippines 12. Iles Salomon 13. Sri Lanka 14. Thaïlande 15. Timor Lest 16. Viêt-Nam Afrique de l Ouest 8-9 Septembre 2009 Ghana 19 Afrique Centrale 1. Bénin 2. Botswana 3. Burkina Faso 4. Cape Vert 5. Cote d Ivoire 6. Congo (République du) 7. République démocratique du Congo* 8. Ethiopie 9. La Gambie 10. Ghana

14 11. Guinée 12. Guinée Bissau 13. Liberia 14. Malawi* 15. Niger 16. Sénégal 17. Sierra Leone 18. Tanzanie* 19. Togo * Ces pays ont participé dans les consultations sous-régionales de Kigali et d'accra. La participation des gouvernements à Accra a été financée par le PNUD CO Amérique Latine et Septembre 2009 République Dominicaine 12 Les Caraïbes 1. Bolivia 2. Colombie 3. République Dominicaine 4. Equateur 5. El Salvador 6. Haïti 7. Mexico 8. Nicaragua 9. Panama 10. Paraguay 11. Pérou 12. St. Vincent et les Grenadines

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