PLANÈTE VIVANTE : PLANÈTE CONNECTÉE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "PLANÈTE VIVANTE : PLANÈTE CONNECTÉE"

Transcription

1 PNUE PLANÈTE VIVANTE : PLANÈTE CONNECTÉE PRÉVENIR LA FIN DES MIGRATIONS À TRAVERS LES RÉSEAUX ÉCOLOGIQUES RAPPORT D ÉVALUATION URGENTE 1

2 Nous devons collaborer pour que la faune migratrice puisse elle voyager, se ravitailler et parvenir à bon port 2

3 PRÉFACE Par voie d air, de terre ou d eau, plusieurs millions d animaux appartenant à plus de dix mille espèces voyagent autour du monde et tissent un réseau de chemins migratoires. La vie de ces animaux repose sur leur lien avec des endroits de la Terre auxquels ils s attachent et qu ils relient entre eux. La perte d une seule étape sur le trajet de migration peut mettre à mal la population tout entière; leurs rassemblements les rendent en outre très vulnérables à la surexploitation et au braconnage. Dans les régions septentrionales de la planète, les oies qui volent en chevrons en cacardant bruyamment en automne et au printemps annoncent une nouvelle saison. Dans les années 1900, dans le nord de la Norvège, les gens s émerveillaient en voyant les oies à front blanc. Elles se comptaient alors par milliers. Aujourd hui, elles sont si rares que les chercheurs ont un prénom pour chacune d entre elles. Des animaux emblématiques tels les gnous et les antilopes ont perdu 35 à 90% de leurs effectifs en quelques décennies, victimes de la surexploitation mais aussi des clôtures, des routes et autres infrastructures, qui sont autant d obstacles sur leur trajet. La recrudescence actuelle du braconnage démontre la nécessité de prendre de nouvelles mesures au niveau international pour juguler la chasse illégale, pour proposer aux populations d autres modes de subsistance et pour lutter contre la recrudescence du commerce d espèces menacées chassées pour leur fourrure, leur viande, leurs cornes ou leurs défenses. Les connaissances scientifiques sont encore balbutiantes quant aux conséquences que peuvent avoir les changements climatiques sur les animaux migrateurs et quant au rôle que jouent les réseaux d habitats fonctionnels pour permettre à ces espèces de s y adapter. Un certain nombre de migrateurs au long cours sont déjà sur le déclin en raison des changements climatiques, notamment les narvals et les tortues marines. Dans l océan, le bruit sous-marin provenant de l extraction pétrolière offshore, des sonars et du trafic maritime isole de plus en plus baleines et dauphins au cours de leur vie. Dans le monde moderne, nous bénéficions de réseaux de communication et de transport et nous en comprenons l importance pour la société. Des réseaux similaires sont indispensables à la survie des espèces migratoires. De même que nous coordonnons le trafic aérien, les routes, les rails et le transport de marchandises, nous devons collaborer pour que la faune migratrice puisse elle aussi voyager, se ravitailler et parvenir à bon port. Plus de 150 pays ont ratifié un ou plusieurs des instruments internationaux associés à la Convention sur les espèces migratrices (CMS). Cette convention est un fondement essentiel pour la collaboration internationale et c est le seul traité qui prend en compte la problématique combinée des migrations aériennes, maritimes et terrestres. Il faut que tous les pays s engagent à poursuivre ces démarches, de façon que les générations futures puissent elles aussi s émerveiller, s étonner et tirer profit de ces nomades qui tissent des liens sur notre planète. Elizabeth Maruma Mrema Secrétaire exécutive CMS Erik Solheim Ministre de l Environnement et du Développement international Norvège 3

4 RÉSUMÉ Dans le monde entier, les animaux sont en danger en raison de la perte et de la fragmentation de leur habitat, de la surexploitation et du braconnage, des changements climatiques et des espèces envahissantes. A l échelle mondiale, selon certains modèles, l abondance moyenne des espèces animales et végétales pourrait passer de 0,7 en 2007 à 0,63 en 2050 (1 représente l état naturel originel). Un tel déclin correspond à l éradication de toute vie animale et végétale sur une superficie égale à celle des Etats-Unis, du Canada ou de la Chine. Les espèces migratrices sont particulièrement vulnérables car leur habitat chevauche des réseaux écologiques plus vastes, parfois d un bout à l autre de la Terre. La vie de ces animaux dépend totalement de leur capacité à se déplacer librement à travers des écosystèmes en bon état de fonctionnement et ce tout au long de leur trajet. Ils doivent pourvoir se ravitailler, se reproduire, se reposer avant de poursuivre leur voyage. Nos systèmes modernes de transport, composés d aéroports, de ports et de routes ne pourraient pas exister sans accords internationaux et sans stations de ravitaillement dans différents pays. C est la même chose pour les espèces animales. Elles ne ne peuvent pas survivre sans zones-clés où se nourrir et faire halte. Il est essentiel, pour la survie des espèces migratoires, de comprendre qu elles dépendent de réseaux écologiques définis comme un système d infrastructures naturelles reliées entre elles et la collaboration internationale nécessaire à leur préservation. Il suffit qu un corridor central de migration ou un seul point de passage pour une espèce migratrice ne vienne à manquer et c est toute la population qui est en danger. Elle perd en effet sa capacité à migrer, à se ravitailler, à se reproduire ou à se reposer. Pour gérer de façon correcte la vie des animaux migrateurs sur toute leur aire de répartition, une plate-forme de collaboration unique est indispensable. De plus, comme ces animaux se concentrent périodiquement dans des plaques tournantes ou «hubs», ils sont très vulnérables à la surexploitation. De nombreuses espèces migratrices ont été décimées au cours des dernières décennies, le plus souvent à cause du braconnage et de la surexploitation. Au cours de cette période, les effectifs de nombreux ongulés, notamment les éléphants, les gnous, les rhinocéros, les guanacos, les antilopes du Tibet et les Saïgas se sont effondrés de 35% voire 90%. La lutte contre le braconnage a temporairement porté ses fruits en Afrique de la fin des années 1980 aux années 90, mais ce problème est actuellement en pleine recrudescence sur terre comme en mer. Les requins migrateurs, par exemple, sont victimes de la surpêche de la part de flottes hauturières dans le monde entier. Les conséquences de l expansion agricole, infrastructurelle et industrielle sont très préoccupantes le long de nombreuses routes migratoires. Les barrières dressées sur celles-ci ne font pas seulement du tord sur les migrateurs terrestres. Elles handicapent également les espèces qui passent par l air ou la mer en raison de la hausse de la demande en énergie et en autres ressources. Ce développement a fait des ravages en Afrique orientale et australe, lorsque des dizaines de milliers de gnous et de zèbres sont morts de soif, arrêtés dans leur migration par des clôtures. En 2010, un projet d autoroute a vu le jour à travers le Serengeti, écosystème de pâturage abritant la plus grande diversité biologique restant sur Terre depuis les grandes extinctions de la fin du Pléistocène. Le projet est à ce jour suspendu; il pourrait signer l arrêt de mort d une grande partie (entre et un million) de la popu- 4

5 Il suffit qu un corridor central de migration ou un seul point de passage ne vienne à manquer et c est toute la population qui est en danger lation de gnous, qui se monte actuellement à un million et demi - sans compter les ravages qu elle ferait dans le réseau écosystémique dans son ensemble, notamment les autres animaux qui paissent, les grands félins et la végétation dont ils dépendent. Ce n est pas le seul exemple On peut citer les projets de voie ferrée Qinghai-Tibet, l autoroute Golmud-Lhassa, la voie ferrée Ulaanbaatar-Beijing et les clôtures vétérinaires en Afrique orientale et australe déjà citées. Des réalisations de moindre ampleur sont tout aussi néfastes. Mises bout à bout, elles érodent l habitat saisonnier des ongulés dans le monde entier, des tropiques à l océan Arctique. Il faut citer l expansion de l élevage en Argentine et au Chili aux dépens de guanacos et des vigognes ainsi que d autres développements, notamment les cultures de biocarburants en Amérique, en Afrique, en Europe, en Asie et en Australasie. Un vaste et croissant réseau d oléoducs, d éoliennes, de lignes à haute tension, de routes et de barrages bloque les migrations et restreint le mouvement des espèces non sédentaires aux quatre coins du globe. Dans les océans, les captures accidentelles menacent de nombreuses espèces de mammifères marins migrateurs tels que les tortues, ainsi que les requins et les oiseaux marins, victimes des filets ou des lignes de pêche. Les mammifères marins ne doivent pas seulement éviter les filets, mais sont aussi exposés à une pollution sonore en forte augmentation provenant des sonars marins, des navires et des infrastructures développées sur des dizaines, voire des centaines de kilomètres. Ces industries océaniques lourdes déplacent des nombres colossaux d animaux marins chaque année, menaçant les migrations et la survie même d espèces entières. Un grand projet de mine de fer sur l île de Baffin, dans les régions arctiques du Canada, et le trafic maritime intense que cela implique en pleine route de migration du bélouga blanc peut menacer de façon décisive la migration d est en ouest de ces animaux. Pour les oiseaux et les chauves-souris migrateurs, la plus grande menace provient de la disparition de leur habitat. Les sites permettant la reproduction, le ravitaillement et le repos ont baissé de plus de 50% lors du siècle précédent. Plusieurs d entre eux sont pourtant indispensables pour les longues migrations de ces animaux. Le développement côtier s accélère et les projections indiquent qu il affectera 91% de tous les littoraux tempérés et tropicaux vers 2050 et sera responsable de plus de 80 % de l ensemble de la pollution marine.. Cette situation pèsera lourd sur les oiseaux migrateurs. En mer des Wadden, les vasières productives fournissent un abri et de la nourriture aux oiseaux de passage, ce qui a été bien compris dans le cadre de la coopération germano-dano-néerlandaise pour la région. Cette zone est un lieu de transit central le long des couloirs de migration des oiseaux vers l Atlantique est; le Secrétariat de la mer des Wadden est l un des principaux promoteurs de la coopération internationale le long de ce couloir de migration, avec pour objectif de créer un réseau de zones marines protégées de grande ampleur. Il faut qu une coopération internationale similaire se développe pour protéger des zones de transit tout aussi importantes pour d autres trajets de migration. Les vasières intertidales de la mer Jaune, sur le trajet qui court de l est de l Asie à l Australasie, subissent une très forte pression humaine. Il faut s y intéresser d urgence. Les Réseaux écologiques sont essentiels pour la liberté de mouvement et la survie de toutes les espèces migratrices. Il est urgent de mettre sur pied un cadre international avec le plus grande nombre de signataires possible pour permettre la meilleure gestion possible de ces réseaux. 116 Etats sont Parties de la CMS à ce jour / A ce jour, 116 Etats sont Parties de la CMS. Si l on considère l ensemble des accords conclus sous l égide de la Convention, celle-ci compte 150 pays. Il faut noter qu une grande partie d importants trajets migratoires dans la région circumpolaire, dans les Amériques, l Eurasie et l Asie du Sud, soit environ un tiers des terres émergées n est cependant pas concernés par ces accords.. Une collaboration plus étroite est nécessaire avec les États non Parties dans ces régions, de façon à garantir la survie des espèces migratoires, qui, elle, ne connaissent pas de frontières. 5

6 RECOMMANDATIONS 1) 2) 3) 4) Encourager la participation des pays non Parties, où vivent une grande partie des espèces migratoires du monde et qui totalisent plus du tiers des terres émergées. Ces pays doivent prendre des engagements fermes en faveur de la gestion des migrations animales, notamment en ratifiant la CMS et les instruments associés, afin de combler les lacunes existantes sur les routes de migration à l échelle mondiale. Identifier les 30 sites et couloirs de migration les plus gravement menacés dans le monde afin d assurer une protection et une gestion conjointes des espèces migratoires qui parcourent la planète. Un tel classement par priorités devrait être mis en place sur la base d une démarche cartographique et consultative appelée à se généraliser. Les Parties à la CMS et d autres pays doivent s impliquer dans ces démarches. Classer par priorités les sites de conservation essentiels le long des trajets de migration en préservant et en restaurant les habitats, en mettant l accent sur les zones particulièrement menacées telles que les vasières intertidales et les zones côtières en mer Jaune. Il faut multiplier les exemples encourageants de zones protégées implantées le long du parcours estatlantique, notamment par le truchement d accords similaires et de partenariats que permet la CMS. Classer par priorités la protection des zones littorales, des couloirs marins et des habitats de haute mer. Il s agit notamment d établir et de gérer des réseaux de zones marines protégées, le long des routes de migrations les plus importantes (y compris celles des baleines, des requins et des tortues) en mettant éventuellement des limites, à la construction, au transport maritime, aux manœuvres militaires et à la pêche. 5) 6) 7) 8) Réclamer des évaluations internationales indépendantes lorsque des projets de développement d infrastructure pourraient interrompre les trajets de migration des espèces migratoires, notamment les clôtures, les routes, les voies ferrées, les oléoducs, les lignes à haute tension, les barrages, les fermes d éoliennes et les rails maritimes, en particulier lorsqu ils constituent des violations de la Convention sur les espèces migratoires. Renforcer l application des lois et le renseignement afin de lutter contre la criminalité internationale vis-à-vis des espèces menacées avec le soutien d Interpol, de la CITES et de l Organisation mondiale des Douanes (OMD), notamment en jugulant le braconnage et la contrebande d animaux, de cornes ou d autres membres d animaux capturés dans l illégalité. En raison de l ampleur mondiale du trafic de produits issus de la faune sauvage, il faudra un effort international concerté pour lutter contre les prélèvements illégaux y mettre un terme et mieux appliquer la législation nationale en termes de criminalité environnementale. Créer des stimulations pour lutter contre l usage non durable des zones sensibles, notamment en développant des moyens de subsistance de remplacement, en assurant la pleine participation des collectivités locales dans les processus décisionnels, et en rendant plus accessibles les revenus et les emplois issus de l écotourisme et d un usage durable des terres. Développer un système international d alerte, pour notifier les parties prenantes concernées lorsque sont menacés des zones ou des couloirs migratoires particulièrement sensibles, et leur évolution posent des défis aux dimensions internationales. 6

7 Les populations de plusieurs mammifères à sabots ont chuté de 35 à 90 pour cent au courant de la dernière décennie Les prises accessoires ou accidentelles représentent la plus grande menace que font face les mammifères marins; elles sont responsables pour une perte annuelle de plus de 600,000 individus Environ 1,800 des 10,000 espèces d oiseaux du monde sont des espèces migratrices de longues distances 7

8 Programme des Nations Unies pour l environnement P.O. Box Nairobi, Kenya Tel.: Fax: uneppub@unep.org PNUE/GRID-Arendal Teaterplassen 3 N-4836 Arendal Norvège grid@grida.no Ministry of the Environment Myntgaten 2 N-0151 Oslo Norway postmottak@md.dep.no md.dep.no PNUE CMS Secretariat Hermann-Ehlers-Str Bonn Germany secretariat@cms.int

Le Plan stratégique de l AEWA 2009-2017. L Accord sur la Conservation des Oiseaux d Eau Migrateurs d Afrique-Eurasie (AEWA)

Le Plan stratégique de l AEWA 2009-2017. L Accord sur la Conservation des Oiseaux d Eau Migrateurs d Afrique-Eurasie (AEWA) Le Plan stratégique de l AEWA 2009-2017 L Accord sur la Conservation des Oiseaux d Eau Migrateurs d Afrique-Eurasie (AEWA) Accord sur la conservation des oiseaux d eau migrateurs d Afrique-Eurasie (AEWA)

Plus en détail

CENTRALES HYDRAULIQUES

CENTRALES HYDRAULIQUES CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des

Plus en détail

LES FEMMES SONT EN PREMIÈRE LIGNE

LES FEMMES SONT EN PREMIÈRE LIGNE PNUE LES FEMMES SONT EN PREMIÈRE LIGNE SEXOSPÉCIDU CHANGEMENT CLIMATIQUE RISQUES FIQUES ET ESPOIRS ÉVALUATION RAPIDE DE LA SITUATION 2 AVANT-PROPOS Les femmes tiennent un rôle beaucoup plus important que

Plus en détail

Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique

Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Conception, rédaction, réalisation : Parménion/RFF - Crédit photos : Biotope, CREN Poitou-Charentes, Ecosphère, RFF Impression

Plus en détail

CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE

CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse

Plus en détail

VI/23. Espèces exotiques qui menacent des écosystèmes, des habitats ou des espèces

VI/23. Espèces exotiques qui menacent des écosystèmes, des habitats ou des espèces Page 265 VI/23. Espèces exotiques qui menacent des écosystèmes, des habitats ou des espèces La Conférence des Parties I. SITUATION ET TENDANCES 1. Prend note du rapport sur la situation, les impacts et

Plus en détail

Discovering Hidden Value

Discovering Hidden Value Discovering Hidden Value A la découverte de la valeur cachée Consultation pour les Opérations de Forage Proposées en Offshore Marocain 2013 Qui est Cairn Energy? Cairn est une société de pétrole et de

Plus en détail

ENQUÊTE SUR LE COMMERCE D'ESPÈCES SAUVAGES SUR L'INTERNET

ENQUÊTE SUR LE COMMERCE D'ESPÈCES SAUVAGES SUR L'INTERNET 1 ENQUÊTE SUR LE COMMERCE D'ESPÈCES SAUVAGES SUR L'INTERNET Introduction L Internet a révolutionné notre façon d échanger des idées, des informations et des marchandises. Tout naturellement, cette technique

Plus en détail

SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE...

SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE... SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE... Éditions Mariko Francoeur Miguel Hortega IL Y A DES ANIMAUX? 1 Mon école est à Montréal, rue Berri. C est une belle école primaire toute faite de briques. En temps

Plus en détail

UNE LOGISTIQUE FIABLE POUR LE SECTEUR DE L ENERGIE ÉOLIENNE. Continuer

UNE LOGISTIQUE FIABLE POUR LE SECTEUR DE L ENERGIE ÉOLIENNE. Continuer UNE LOGISTIQUE FIABLE POUR LE SECTEUR DE L ENERGIE ÉOLIENNE Continuer Contents Sommaire Comprendre COMPRENDRE VOS BESOINS Comprendre Après avoir progressé en moyenne de 25% par an au cours de la dernière

Plus en détail

UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT

UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT The New Climate Economy Report EXECUTIVE SUMMARY La Commission Mondiale sur l Économie et le Climat a été établie pour déterminer s il est possible de parvenir

Plus en détail

S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée

S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée Rapport de situation 2013 RÉSUMÉ L UNICEF s est engagé à publier des rapports annuels de situation relatifs à la survie de l enfant en soutien

Plus en détail

Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD

Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat

Plus en détail

Redéploiement et conservation des Antilopes Sahélo-Sahariennes en Tunisie Atelier technique, Douz, 18 et 19 avril 2004

Redéploiement et conservation des Antilopes Sahélo-Sahariennes en Tunisie Atelier technique, Douz, 18 et 19 avril 2004 Redéploiement et conservation des Antilopes Sahélo-Sahariennes en Tunisie Atelier technique, Douz, 18 et 19 avril 2004 Atelier technique tenu à l invitation de la Direction Générale des Forêts de Tunisie,

Plus en détail

Canada. Bulletin d information. Réfugiés pris en charge par le gouvernement. Réinstallation des réfugiés au

Canada. Bulletin d information. Réfugiés pris en charge par le gouvernement. Réinstallation des réfugiés au Réfugiés pris en charge par le gouvernement Canada Réinstallation des réfugiés au Bulletin d information Vous souhaitez vous réinstaller au Canada et votre demande a fait l objet d un examen initial par

Plus en détail

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement

Plus en détail

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre

Plus en détail

Bien vivre, dans les limites de notre planète

Bien vivre, dans les limites de notre planète isstock Bien vivre, dans les limites de notre planète 7e PAE le programme d action général de l Union pour l environnement à l horizon 2020 Depuis le milieu des années 70, la politique environnementale

Plus en détail

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT Mise à jour avec rétroinformation technique de décembre 2012 Chaque jour, près de 800 femmes meurent durant la grossesse ou l accouchement

Plus en détail

Info-commerce : Incertitude économique mondiale

Info-commerce : Incertitude économique mondiale Info-commerce : Incertitude économique mondiale avril 2012 Panel de recherche d EDC Résultats du sondage de février 2012 Faits saillants Même si les É.-U. restent une importante destination commerciale,

Plus en détail

LE SERVICE PAR L EXCELLENCE BOURBONOFFSHORE.COM

LE SERVICE PAR L EXCELLENCE BOURBONOFFSHORE.COM LE SERVICE PAR L EXCELLENCE BOURBONOFFSHORE.COM UNE PRÉSENCE GLOBALE, UNE EXPERTISE LOCALE EUROPE MEDITERRANEE MOYEN-ORIENT 83% d effectifs locaux AMERIQUES 89% d effectifs locaux ASIE 79% d effectifs

Plus en détail

Assemblée générale. Nations Unies A/AC.105/772

Assemblée générale. Nations Unies A/AC.105/772 Nations Unies A/AC.105/772 Assemblée générale Distr.: Générale 7 décembre 2001 Français Original: Anglais Comité des utilisations pacifiques de l espace extra-atmosphérique Rapport du deuxième Atelier

Plus en détail

Bilan de l an 1 de SOMMAIRE RAPPORT DU COMITÉ AVISEUR DE SOLIDARITÉ JEUNESSE

Bilan de l an 1 de SOMMAIRE RAPPORT DU COMITÉ AVISEUR DE SOLIDARITÉ JEUNESSE Bilan de l an 1 de SOMMAIRE RAPPORT DU COMITÉ AVISEUR DE SOLIDARITÉ JEUNESSE Le Sommaire constitue un abrégé du document intitulé Bilan de l an I de Solidarité jeunesse : Rapport du Comité aviseur de Solidarité

Plus en détail

Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence

Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence ministérielle sur la migration et le développement. Plan d Action

Plus en détail

DIVERSITÉ CULTURELLE JOURS FÉRIÉS Pour en savoir Plus, veuillez vous adresser à :

DIVERSITÉ CULTURELLE JOURS FÉRIÉS Pour en savoir Plus, veuillez vous adresser à : Le Manitoba en bref Le Manitoba : Province du Canada depuis 1870. Manitoba signifie «lieu où vit l Esprit» dans les langues des peuples autochtones de la province. Chef politique : Premier ministre (Greg

Plus en détail

5 ème SESSION DE LA RÉUNION DES PARTIES CONTRACTANTES 14 18 mai 2012, La Rochelle, France

5 ème SESSION DE LA RÉUNION DES PARTIES CONTRACTANTES 14 18 mai 2012, La Rochelle, France Accord sur la conservation des oiseaux d eau migrateurs d Afrique-Eurasie Doc.: AEWA/MOP 5.10 Point 9d de l ordre du jour Original : anglais Date : 2 mai 2012 5 ème SESSION DE LA RÉUNION DES PARTIES CONTRACTANTES

Plus en détail

au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde

au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources

Plus en détail

De l'exploitation forestière illégale au blanchiment du bois

De l'exploitation forestière illégale au blanchiment du bois De l'exploitation forestière illégale au blanchiment du bois Un commerce de plus de 30 milliards de dollars (USD), structuré par le crime organisé, responsable de 90% de la déforestation tropicale Un rapport

Plus en détail

Favoriser la création d emplois et la croissance dans l industrie et l innovation

Favoriser la création d emplois et la croissance dans l industrie et l innovation Un leadership fort Favoriser la création d emplois et la croissance dans l industrie et l innovation Le gouvernement Harper tient sa promesse de rétablir l équilibre budgétaire en 2015. Le Plan d action

Plus en détail

Morcellement du paysage

Morcellement du paysage Morcellement du paysage L indicateur «Morcellement du paysage» montre comment le paysage en dessous de 100 mètres est morcelé par des barrières artificielles telles que des routes ou des zones d habitation.

Plus en détail

4. Résultats et discussion

4. Résultats et discussion 17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les

Plus en détail

Rapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne. Résumé

Rapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne. Résumé Rapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne Résumé 1 Rapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne Au cours de la dernière décennie,

Plus en détail

Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP)

Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) F CDIP/12/INF/4 ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 3 OCTOBRE 2013 Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) Douzième session Genève, 18 21 novembre 2013 RÉSUMÉ DE L ÉTUDE SUR LA PROPRIÉTÉ

Plus en détail

Proposition en vue de la préparation du budget fédéral 2015

Proposition en vue de la préparation du budget fédéral 2015 Proposition en vue de la préparation du budget fédéral 2015 Recommandations pour appuyer la croissance et le développement de la production commerciale de biocarburants cellulosiques pour une économie

Plus en détail

Comprendre les négociations internationales sur le climat. Contexte, historique et enjeux

Comprendre les négociations internationales sur le climat. Contexte, historique et enjeux Comprendre les négociations internationales sur le climat Contexte, historique et enjeux Chapitre 1 LE CONTEXTE: L URGENCE CLIMATIQUE La planète s est déjà réchauffée de +0,8 C Les impacts Les impacts

Plus en détail

L ÉOLIEN. UNE ÉNERGIE QUI N A PLUS DE SECRET. Bâtir un système énergétique plus robuste, plus propre et abordable.

L ÉOLIEN. UNE ÉNERGIE QUI N A PLUS DE SECRET. Bâtir un système énergétique plus robuste, plus propre et abordable. L ÉOLIEN. UNE ÉNERGIE QUI N A PLUS DE SECRET Bâtir un système énergétique plus robuste, plus propre et abordable. L ÉNERGIE ÉOLIENNE. BÂTIR PLUS ROBUSTE, PLUS P L énergie éolienne est une nouvelle source

Plus en détail

Convention sur la haute mer

Convention sur la haute mer Convention sur la haute mer 1958 Faite à Genève le 29 avril 1958. Entrée en vigueur le 30 septembre 1962. Nations Unies, Recueil des Traités, vol. 450, p. 82. Copyright Nations Unies 2005 Article 30 1.

Plus en détail

ASSISTANCE ET RENFORCEMENT DES CAPACITÉS OFFERTS DANS D AUTRES INSTANCES INTERNATIONALES. Document soumis par l Unité d appui à l application *

ASSISTANCE ET RENFORCEMENT DES CAPACITÉS OFFERTS DANS D AUTRES INSTANCES INTERNATIONALES. Document soumis par l Unité d appui à l application * RÉUNION DES ÉTATS PARTIES À LA CONVENTION SUR L INTERDICTION DE LA MISE AU POINT, DE LA FABRICATION ET DU STOCKAGE DES ARMES BACTÉRIOLOGIQUES (BIOLOGIQUES) OU À TOXINES ET SUR LEUR DESTRUCTION BWC/MSP/2009/MX/INF.4

Plus en détail

ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE)

ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) Philippe LUSTRAT 33 rue de la garenne 77760 VILLIERS SOUS GREZ Lustrat P. (1999) - Estimation de la taille

Plus en détail

Intervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève ***

Intervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève *** Atelier de présentation du Programme Améliorer les capacités institutionnelles pour la gouvernance des migrations de main-d oeuvre en Afrique du Nord et de l Ouest (Bamako, Mali, 3 au 5 mars 2009) Intervention

Plus en détail

AXA et la CUHK sont fiers d annoncer le lancement de la Chaire AXA en géographie et gestion des ressources

AXA et la CUHK sont fiers d annoncer le lancement de la Chaire AXA en géographie et gestion des ressources COMMUNIQUÉ DE PRESSE Hong Kong, le 21 octobre 2013 AXA et la CUHK sont fiers d annoncer le lancement de la Chaire AXA en géographie et gestion des ressources Protéger l homme grâce à la recherche sur les

Plus en détail

PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON

PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON Pe s t i c i d e A c t i o n N e t w o r k U K PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON Résumé exécutif et Recommendations 5 St Peter s St London N1 8JD Royaume Uni t: +44 (0)20 7359 0440 f: +44 (0)20

Plus en détail

Ces efforts ont déjà contribué significativement à l atteinte des objectifs de l OTAN depuis 2014.

Ces efforts ont déjà contribué significativement à l atteinte des objectifs de l OTAN depuis 2014. Dès le début de la crise ukrainienne et compte tenu de la menace potentielle perçue par ses alliés d Europe centrale et du Nord à leurs frontières, l OTAN a pris un ensemble de mesures politiques et militaires

Plus en détail

Les Flux Financiers Illicites et la Question des Transferts nets de Ressources en Provenance de l Afrique, 1980-2009

Les Flux Financiers Illicites et la Question des Transferts nets de Ressources en Provenance de l Afrique, 1980-2009 Les Flux Financiers Illicites et la Question des Transferts nets de Ressources en Provenance de l Afrique, 1980-2009 Rapport Conjoint Banque Africaine de Développement ET Global Financial Integrity Mai

Plus en détail

LES DÉFIS DE L EXPANSION

LES DÉFIS DE L EXPANSION LES DÉFIS DE L EXPANSION DU MONDE 49 e ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DES ÉLEVEURS DE PORCS DU QUÉBEC JEAN-LOUIS ROY, 28 MAI 2015 L ESPACE AGRICOLE GLOBAL JEAN-LOUIS ROY, MAI 2015 Tous les pays du monde 1,35 milliards

Plus en détail

Les Français et la nature

Les Français et la nature Les Français et la nature Contact Frédéric Micheau Directeur des études d opinion Directeur de département Tel : 01 78 94 90 00 fmicheau@opinion-way.com http://www.opinion-way.com Mars 2015 1 Méthodologie

Plus en détail

Évolution du climat et désertification

Évolution du climat et désertification Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture

Plus en détail

résumé un développement riche en emplois

résumé un développement riche en emplois ne pas publier avant 00:01 Gmt le mardi 27 mai 2014 résumé un développement riche en emplois Rapport sur le Travail dans le Monde 2014 Un développement riche en emplois Résumé ORGANISATION INTERNATIONALE

Plus en détail

Bureau du Procureur chargé des droits de la personne El Salvador

Bureau du Procureur chargé des droits de la personne El Salvador Bureau du Procureur chargé des droits de la personne El Salvador La Protection des droits humains des personnes migrantes Mandat du Bureau du Procureur Le mandat constitutionnel et juridique du Bureau

Plus en détail

Passage du marketing par e-mail à l automatisation du marketing

Passage du marketing par e-mail à l automatisation du marketing Passage du marketing par e-mail à l automatisation du marketing L automatisation du marketing est une technologie qui permet de fidéliser les prospects grâce à des campagnes automatisées. Étant donné que

Plus en détail

CONVENTION DE BÂLE SUR LE CONTRÔLE DES MOUVEMENTS TRANSFRONTIÈRES DE DÉCHETS DANGEREUX ET DE LEUR ÉLIMINATION. www.basel.int

CONVENTION DE BÂLE SUR LE CONTRÔLE DES MOUVEMENTS TRANSFRONTIÈRES DE DÉCHETS DANGEREUX ET DE LEUR ÉLIMINATION. www.basel.int www.basel.int CONVENTION DE BÂLE Secretariat of the Basel Convention International Environment House 15 chemin des Anémones 1219 Châtelaine, Switzerland Tel : +41 (0) 22 917 82 18 Fax : +41 (0) 22 797

Plus en détail

Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis

Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis L espace d un an suffit pour constater la richesse et la diversité des populations d insectes qui prospectent dans le moindre carré de jardin.

Plus en détail

S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement

S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 13 avril 2015 Français Original: anglais E/ECE/1471/Rev.1 Commission économique pour l Europe Soixante-sixième session Genève, 14-16 avril 2015

Plus en détail

RENFORCER LE CAPITAL NATUREL:

RENFORCER LE CAPITAL NATUREL: RENFORCER LE CAPITAL NATUREL: Comment REDD+ peut soutenir une Economie Verte Ce texte est une traduction provisoire de la synthèse à l intention des décideurs politiques. La version finale de cette synthèse

Plus en détail

La sécurité & sûreté maritime en Tunisie. Ministère du transport Direction Générale de la Marine Marchande

La sécurité & sûreté maritime en Tunisie. Ministère du transport Direction Générale de la Marine Marchande La sécurité & sûreté maritime en Tunisie Ministère du transport Direction Générale de la Marine Marchande 1 QUELQUES DONNEES Une façade maritime de 1300 Km de côtes. La flotte nationale Tunisienne comporte

Plus en détail

MONITORING DE LA COMPÉTITIVITÉ DU TRANSPORT AÉRIEN SUISSE

MONITORING DE LA COMPÉTITIVITÉ DU TRANSPORT AÉRIEN SUISSE MONITORING DE LA COMPÉTITIVITÉ DU TRANSPORT AÉRIEN SUISSE 2015 Résumé Le niveau et la dynamique de développement du transport aérien suisse sont analysés et évalués dans le cadre d un vaste monitoring

Plus en détail

LES AIRES PROTÉGÉES MULTICLASSES ET LA CATÉGORIE VI DE L UICN. De nouvelles perspectives de conservation à l échelle régionale

LES AIRES PROTÉGÉES MULTICLASSES ET LA CATÉGORIE VI DE L UICN. De nouvelles perspectives de conservation à l échelle régionale LES AIRES PROTÉGÉES MULTICLASSES ET LA CATÉGORIE VI DE L UICN De nouvelles perspectives de conservation à l échelle régionale INTRODUCTION: Une petite perspective internationale CONVENTION SUR LA DIVERSITÉ

Plus en détail

NOTE DE SYNTHÈSE DU REM (INFORM)

NOTE DE SYNTHÈSE DU REM (INFORM) NOTE DE SYNTHÈSE DU REM (INFORM) Politiques, pratiques et données statistiques sur les mineurs isolés étrangers (MIE) dans les États membres de l UE et en Norvège 1. INTRODUCTION Cette note de synthèse

Plus en détail

COMMISSION INTERNATIONALE POUR LA CONSERVATION DES THONIDES DE L ATLANTIQUE. GT sur les espèces. Sous-comité des statistiques

COMMISSION INTERNATIONALE POUR LA CONSERVATION DES THONIDES DE L ATLANTIQUE. GT sur les espèces. Sous-comité des statistiques CHAPITRE 1 : PERSPECTIVE GLOBALE 1. PERSPECTIVE GLOBALE 1.1 Qu est-ce que l ICCAT? Introduction AUTEUR : SECRÉTARIAT DERNIÈRE MISE À JOUR : 25 janv. 2006 Les thonidés et les autres grandes espèces de grands

Plus en détail

Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations gouvernementales Tél. : 613-688-2064 Téléc. : 613-852-9696 smith@electricity.

Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations gouvernementales Tél. : 613-688-2064 Téléc. : 613-852-9696 smith@electricity. Proposition prébudgétaire 2015 de l Association canadienne de l électricité (ACÉ) présentée au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations

Plus en détail

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.

Plus en détail

Asie centrale. Environnement opérationnel. Kazakhstan. Kirghizistan. Ouzbékistan. Tadjikistan. Turkménistan

Asie centrale. Environnement opérationnel. Kazakhstan. Kirghizistan. Ouzbékistan. Tadjikistan. Turkménistan Environnement opérationnel Kazakhstan Kirghizistan Ouzbékistan Tadjikistan Turkménistan Les abondantes réserves de pétrole et de gaz de l Asie centrale expliquent en partie l importance géopolitique que

Plus en détail

Recommandation M96-04 du Bureau (le 25 avril 1996)

Recommandation M96-04 du Bureau (le 25 avril 1996) RÉÉVALUATION DES RÉPONSES DE TRANSPORTS CANADA À LA RECOMMANDATION EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ MARITIME M96-04 NORMES DE CONSTRUCTION ET INSPECTION PAR TRANSPORTS CANADA Introduction Le 11 août 1993, le Tan

Plus en détail

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler

Plus en détail

SOMMAIRE CYCLE 1. Des jeux tout prêts. Des activités à préparer. Les solutions

SOMMAIRE CYCLE 1. Des jeux tout prêts. Des activités à préparer. Les solutions CYCLE 1 SOMMAIRE Des jeux tout prêts Colorie les animaux Le pelage des animaux Mères et petits Les modes de locomotion Animaux mélangés Plumes, poils et écailles Ranger les familles par ordre de taille

Plus en détail

Où sont les Hommes sur la Terre

Où sont les Hommes sur la Terre Où sont les Hommes sur la Terre Introduction : Notre planète est constituée de régions peuplées et d autres qui sont presque vides, ainsi 90% de la population vit dans l hémisphère nord. Dans certains

Plus en détail

Traité de Copenhague nécessaire

Traité de Copenhague nécessaire Traité de Copenhague nécessaire version 1.0 Une proposition des ONG pour un protocole de Copenhague Résumé A4-TraiteResume.indd 1 6/07/09 17:58:38 Une proposition des ONG pour un protocole de Copenhague

Plus en détail

Programme de l UICN en Afrique du Nord 2013-2016

Programme de l UICN en Afrique du Nord 2013-2016 Programme de l UICN en Afrique du Nord 2013-2016 VERSION FINALE Centre de Coopération pour la Méditerranée de l UICN Septembre 2012 2 Sommaire Liste d acronymes... 3 Avant-propos... 4 Introduction... 5

Plus en détail

Objectif 3 : Confinement et certification

Objectif 3 : Confinement et certification Objectif 3 : Confinement et certification CONFINEMENT ET CERTIFICATION Principaux objectifs Indicateurs de réalisation Principales activités Certifier l éradication et le confinement de tous les poliovirus

Plus en détail

MÉMOIRE L ORGANISATION DU TRANSPORT COLLECTIF DANS LA MRC DE L ASSOMPTION

MÉMOIRE L ORGANISATION DU TRANSPORT COLLECTIF DANS LA MRC DE L ASSOMPTION MÉMOIRE L ORGANISATION DU TRANSPORT COLLECTIF DANS LA MRC DE L ASSOMPTION PRÉSENTÉ DANS LE CADRE DU PROJET PLAN D AMÉNAGEMENT ET DÉVELOPPEMENT MÉTROPOLITAIN PMAD 13 OCTOBRE 2011 1 INTRODUCTION La communauté

Plus en détail

GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES

GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES CRIME EN EAUX PROFONDES LE MOBILE DU CRIME ET LE COMPLICE Parce qu on pêche trop, trop loin, trop profond, nos océans sont en train de mourir, tout spécialement

Plus en détail

Recommandation CP(2014)17 sur la mise en œuvre de la Convention du Conseil de l Europe sur la lutte contre la traite des êtres humains par Saint-Marin

Recommandation CP(2014)17 sur la mise en œuvre de la Convention du Conseil de l Europe sur la lutte contre la traite des êtres humains par Saint-Marin Comité des Parties de la Convention du Conseil de l'europe sur la lutte contre la traite des êtres humains Recommandation CP(2014)17 sur la mise en œuvre de la Convention du Conseil de l Europe sur la

Plus en détail

8 juillet 2015. Débat Public Projet de parc éolien en mer. Dieppe - Le Tréport. Présentation du projet Criel-sur-Mer

8 juillet 2015. Débat Public Projet de parc éolien en mer. Dieppe - Le Tréport. Présentation du projet Criel-sur-Mer 8 juillet 2015 Débat Public Projet de parc éolien en mer Dieppe - Le Tréport Présentation du projet Criel-sur-Mer Présentation du projet 2 Le cadre et les objectifs du projet Participer à la transition

Plus en détail

Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde

Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Résumé d orientation La tuberculose reste l une des maladies transmissibles causant le plus de décès dans le monde. En 2013, selon les estimations,

Plus en détail

Résumé. 1 Les chiffres du recensement général de la population et de l habitat (RGPH2) de 2009 sont en cours exploitation. Les données seront rendues

Résumé. 1 Les chiffres du recensement général de la population et de l habitat (RGPH2) de 2009 sont en cours exploitation. Les données seront rendues Résumé Cette étude a été lancée par l Organisation Internationale pour les Migrations à la demande du Gouvernement du Tchad par le biais du Ministère des Affaires Etrangères et de l Intégration Africaine.

Plus en détail

Exposé au Comité spécial sur les coopératives de la Chambre des communes 7 août 2012

Exposé au Comité spécial sur les coopératives de la Chambre des communes 7 août 2012 Exposé au Comité spécial sur les coopératives de la Chambre des communes 7 août 2012 Introduction Le Groupe Co-operators limitée est détenu et dirigé par 45 membres-propriétaires de tout le Canada, issus

Plus en détail

CAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION POUR LA PROTECTION DE NOTRE PATRIMOINE MARITIME & TERRESTRE DOSSIER DE PRESENTATION

CAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION POUR LA PROTECTION DE NOTRE PATRIMOINE MARITIME & TERRESTRE DOSSIER DE PRESENTATION CAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION POUR LA PROTECTION DE NOTRE PATRIMOINE MARITIME & TERRESTRE DOSSIER DE PRESENTATION LES STANDS DES PARTENAIRES DE FAMILLES DE FRANCE Les partenaires de Familles de

Plus en détail

Pourquoi le Canada a besoin de services bancaires postaux

Pourquoi le Canada a besoin de services bancaires postaux Pourquoi le Canada a besoin de services bancaires postaux Symposium international sur les services bancaires postaux John Anderson 613-290-0016 andersjs1@gmail.com «Ils sont des millions à ne pas avoir

Plus en détail

Le HCR est pleinement conscient. Le budget du HCR pour l exercice 2013. Le processus de planification

Le HCR est pleinement conscient. Le budget du HCR pour l exercice 2013. Le processus de planification Identification des be Le HCR est pleinement conscient de la nécessité de travailler en étroit partenariat avec ses principaux bailleurs de fonds pour rassembler les ressources dont il doit disposer pour

Plus en détail

Désignation/mise en place des points focaux nationaux RSI

Désignation/mise en place des points focaux nationaux RSI 1 GUIDE DES POINTS FOCAUX NATIONAUX RSI Désignation/mise en place des points focaux nationaux RSI 1. Introduction Le Règlement sanitaire international (2005) (RSI(2005)) définit un point focal national

Plus en détail

Des problèmes de protection ont continué à se produire le long de la frontière de la Turquie avec la Grèce et la Bulgarie.

Des problèmes de protection ont continué à se produire le long de la frontière de la Turquie avec la Grèce et la Bulgarie. En Turquie, plus de 9 200 personnes ont pris contact avec le HCR pour demander l asile, soit une augmentation de 18 pour cent par rapport à l année précédente. Près de 45 pour cent des demandeurs étaient

Plus en détail

Le cadre juridique de la fibre optique au Sénégal? Baye Samba DIOP Chef service affaires juridiques ARTP Sénégal baye.diop@artp.sn

Le cadre juridique de la fibre optique au Sénégal? Baye Samba DIOP Chef service affaires juridiques ARTP Sénégal baye.diop@artp.sn Le cadre juridique de la fibre optique au Sénégal? Baye Samba DIOP Chef service affaires juridiques ARTP Sénégal baye.diop@artp.sn PLAN EN TROIS QUESTIONS OU? QUOI? COMMENT? Ou? Le Sénégal se situe à l

Plus en détail

Qui mange quoi? Filtrer avec des fanons

Qui mange quoi? Filtrer avec des fanons Filtrer avec des fanons Malgré leur taille gigantesque, les baleines se nourrissent de petites proies : du krill ou des petits poissons qu elles piègent à travers leurs fanons. Ces «peignes» peuvent faire

Plus en détail

ÉTUDE D IMPACT ENVIRONNEMENTAL SOMMAIRE EXÉCUTIF

ÉTUDE D IMPACT ENVIRONNEMENTAL SOMMAIRE EXÉCUTIF DELTA Terminal 2 proposé à Roberts Bank Terminaux existants à Roberts Bank PROJET DU TERMINAL 2 À ROBERTS BANK ÉTUDE D IMPACT ENVIRONNEMENTAL SOMMAIRE EXÉCUTIF mars 2015 CONFIDENTIEL Port Metro Vancouver

Plus en détail

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres

Plus en détail

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013 Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013 Monitoring actif dans l avifaune sauvage En 2013, dans le cadre du monitoring actif, 3.181 oiseaux sauvages ont été échantillonnés.

Plus en détail

La question sociale globale et les migrations. Présentation de Jean Michel Severino aux semaines sociales, 28 Novembre 2010

La question sociale globale et les migrations. Présentation de Jean Michel Severino aux semaines sociales, 28 Novembre 2010 La question sociale globale et les migrations Présentation de Jean Michel Severino aux semaines sociales, 28 Novembre 2010 1. Nous connaissons un moment sans précédent de victoire contre la pauvreté 2.

Plus en détail

ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L EDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE COMITÉ POUR LA PROTECTION DES BIENS CULTURELS EN CAS DE CONFLIT ARMÉ

ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L EDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE COMITÉ POUR LA PROTECTION DES BIENS CULTURELS EN CAS DE CONFLIT ARMÉ CLT-10/CONF.204/6 PARIS, le 14 septembre 2010 Original anglais ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L EDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE COMITÉ POUR LA PROTECTION DES BIENS CULTURELS EN CAS DE CONFLIT

Plus en détail

D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S

D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les

Plus en détail

Chapitre 2 : La logistique. Pour le commerce international, les modes de transport utilisés sont :

Chapitre 2 : La logistique. Pour le commerce international, les modes de transport utilisés sont : I) La chaine logistique internationale. A. Le concept de logistique. Chapitre 2 : La logistique. Les activités de logistique et de transport permettent de gérer l ensemble des flux de matières et de produits,

Plus en détail

PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale

PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE 1 PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Résumé Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE

Plus en détail

Programme des Nations Unies pour l environnement

Programme des Nations Unies pour l environnement EP Programme des Nations Unies pour l environnement UNEP(DEPI)/MED WG.382/Inf 2 26 Juin 2013 FRANCAIS ORIGINAL: ANGLAIS / FRANCAIS PLAN D'ACTION POUR LA MEDITERRANEE Onzième Réunion des Points Focaux pour

Plus en détail

Étude de cas : création d une section nationale de GOPAC

Étude de cas : création d une section nationale de GOPAC Étude de cas : création d une section nationale de GOPAC www.gopacnetwork.org Note du Secrétariat mondial de GOPAC Le document suivant se veut un point de départ dans l engagement d autres parlementaires

Plus en détail

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections

Plus en détail

Sécurité nucléaire. Résolution adoptée le 26 septembre 2014, à la neuvième séance plénière

Sécurité nucléaire. Résolution adoptée le 26 septembre 2014, à la neuvième séance plénière L atome pour la paix Conférence générale GC(58)/RES/11 Septembre 2014 Distribution limitée Français Original : anglais Cinquante-huitième session ordinaire Point 14 de l ordre du jour (GC(58)/22) Sécurité

Plus en détail

Le PROGRAMME ENVIRONEMENT D INTERPOL

Le PROGRAMME ENVIRONEMENT D INTERPOL Le PROGRAMME ENVIRONEMENT D INTERPOL INTERPOL Organisation International de Police Criminelle crée en 1923 siège a Lyon ( France).190 pays membres, 6 BR( Bureau Régional), 1 Bureau de liaison a Bangkok

Plus en détail

Consultations prébudgétaires 2011-2012

Consultations prébudgétaires 2011-2012 Présenté au Comité permanent des finances de la Chambre des communes 12 août 2011 Sommaire Dans le cadre des consultations prébudgétaires du Comité permanent des finances de la Chambre des communes, le

Plus en détail

CADRE DECENNAL DE PROGRAMMATION CONCERNANT LES MODES DE CONSOMMATION ET DE PRODUCTION DURABLES (10YFP) RIO + 20 ADOPTE LE 10YFP

CADRE DECENNAL DE PROGRAMMATION CONCERNANT LES MODES DE CONSOMMATION ET DE PRODUCTION DURABLES (10YFP) RIO + 20 ADOPTE LE 10YFP CADRE DECENNAL DE PROGRAMMATION CONCERNANT LES MODES DE CONSOMMATION ET DE PRODUCTION DURABLES (10YFP) RIO + 20 ADOPTE LE 10YFP La Conférence des Nations Unies sur le développement durable (Rio +20) a

Plus en détail

RENFORCEMENT DES CAPACITES DES INSPECTEURS DE TRAVAIL DANS LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS MIGRANTS EN MAURITANIE, MALI ET SÉNÉGAL

RENFORCEMENT DES CAPACITES DES INSPECTEURS DE TRAVAIL DANS LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS MIGRANTS EN MAURITANIE, MALI ET SÉNÉGAL RENFORCEMENT DES CAPACITES DES INSPECTEURS DE TRAVAIL DANS LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS MIGRANTS EN MAURITANIE, MALI ET SÉNÉGAL Project type: Secondary project type: Geographical coverage: Executing

Plus en détail

demain Aujourd hui ACDIC A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS

demain Aujourd hui ACDIC A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS ACDIC Aujourd hui & demain A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS D. QUATRE THEMES D ACTIONS PRIORITAIRES E. NOS AMBITIONS

Plus en détail