UNNEL DE CAP ROUX. Utilisation de levés scanner 3D en contrôle extérieur des travaux 1 - LES SCANNERS 3D
|
|
- Edith Primeau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 T UNNEL DE CAP ROUX Utilisation de levés scanner 3D en contrôle extérieur des travaux Gilles CHATENOUD CETU David FAVERGE PERAZIO Geometre TUNNEL DE CAP ROUX - UTILISATION DE LEVÉS SCANNER 3D EN CONTRÔLE EXTÉRIEUR DES TRAVAUX L'usage de levés par scanner 3D des ouvrages souterrains se développe, grâce à la mise au point de techniques de relevé et de logiciels de traitement permettant d obtenir rapidement des informations complètes et précises de l ouvrage. L'article propose des perspectives pour l'utilisation des scanners 3D en tunnels, en phase de projet ou de chantier, pour le suivi, le contrôle et le récolement des travaux. En exemple il est rendu compte du suivi topographique par scanner 3D des travaux du tunnel de Cap Roux, qui a permis de valider certaines applications des levés 3D, notamment en contrôle et en récolement de travaux. Une application particulière a consisté à établir une cartographie photographique, basée sur l'acquisition des textures réelles du parement du béton projeté qui forme le revêtement de l'ouvrage. Cette cartographie exploitable en DAO permettra de reporter précisément les désordres qui apparaîtront durant la vie de l'ouvrage. CAP ROUX TUNNEL - USE OF 3D SCANNER SURVEYS FOR WORKS CONTROL Use of 3D scanner surveys of underground infrastructure is on the increase, thanks to the development of in-field survey routines and office software that allow fast, complete and precise acquisition and processing of data. This article outlines some perspectives on the use of 3D scanners in tunnel environments, whether at project or construction stage, for the purposes of inspection, monitoring and checking. As an example, we describe a 3D scanner topographic survey of works at the Cap Roux tunnel, which confirmed the validity of certain 3D survey applications, especially monitoring and checking. One particular application consisted of establishing a photorealistic mapping of post-shotcrete wall lining. Such a data-set can be used in a CAD environment for precise reporting of disorders appearing during the lifetime of the infrastructure. 1 - LES SCANNERS 3D Les premiers scanners laser 3D développés en France dans les années 1990 (gamme SOISIC, constructeur MENSI, filiale d EDF) ont été utilisés afin d effectuer des relevés géométriques en milieu industriel (locaux nucléaires, locaux de sites pétrochimiques ), ou des relevés d objets culturels (statues ). Basés sur la technique de la triangulation plane, ces scanners sont toujours performants pour des relevés de précision (précision de mesure de +/-0.3 mm à 2 m). Depuis le début des années 2000, la nouvelle génération de scanners basée sur des mesures «Temps de vol» présente des caractéristiques plus adaptées aux relevés de grandes dimensions en terme de champ angulaire, de portée (plusieurs centaines de mètres), de vitesse (plus de 1000 points/seconde) tout en conservant une précision de mesure permettant de nombreuses applications. Pour garantir la précision finale des relevés par scanner, rappelons que ces levés doivent obligatoirement être associés à des mesures topographiques de précision, réalisées par des géomètres expérimentés, pour créer un référentiel et rattacher les nuages de points 3D. Tunnel de Saint Pancrasse Scanner SOISIC Scanner Trimble GX Dans les travaux souterrains, la technique a notamment été utilisée en 1998 pour un projet d'ascenseur (- 150m) sur le site de l Aven d Orgnac, puis en 2002 pour des relevés dans la grotte Chauvet. En 2003 le tunnel de Saint Pancrasse (38) d'une longueur de 500m a été «scanné» ainsi que l'ancienne route en encorbellement qui lui est contiguë et dont le tracé, très proche du tunnel, détermine localement des épaisseurs très faibles du piédroit rocheux, côté route. Les levés ont permis d'établir des profils en travers recoupant les deux ouvrages et de connaître ainsi les épaisseurs des piédroits existants pour aménager le tunnel. Le levé scanner de la falaise, saisi depuis l'ancienne route, a aussi permis de déterminer les pendages des bancs et des fractures rocheuses intéressant le projet. TUNNELS ET OUVRAGES SOUTERRAINS - N SEPTEMBRE/OCTOBRE
2 Perspectives pour les tunnels Les levés scanner 3D ont leur utilité dans les projets de rénovation de tunnels existants pour connaître en totalité la géométrie d un ouvrage à partir d un nuage de points x,y,z relevés tous les 3 à 5 cm sur l intrados du tunnel et aux abords des têtes. A partir de ce nuage de points, il est possible d obtenir des profils en travers de type profils lasers en tous points de l ouvrage. Mieux, des logiciels actuellement en cours de développement vont permettre au projeteur d intégrer le projet de rénovation dans le nuage relevé, pour obtenir rapidement une vue en 3D du projet et directement toutes les quantités réelles de déblai d'alésage, de béton projeté, de béton de revêtement. Les métrés ne seraient plus établis avec des volumes estimés par moyenne de surfaces entre deux profils en travers. La géologie du tunnel existant peut être portée dans la base 3D pour renseigner le projet. De la même façon pour un projet de tunnel neuf, des levés scanner peuvent être pris sur les zones de têtes envisagées et le projet intégré en 3D à partir des nuages de points topographiques levés aux têtes. Outre la quantification rapide des volumes réels liés au projet, la méthode permettrait de présenter les terrassements et l architecture des têtes dans l environnement du site de manière rigoureuse. En cours de chantier il est possible d effectuer des levés scanner pour réaliser certains contrôles. Les scanners lasers sont des matériels sophistiqués et coûteux dont l utilisation est réservée à des spécialistes, ce qui impose certaines limites à leur usage en phase de travaux. Les scanners 3D sont également vulnérables aux fortes densités de poussières, leur utilisation nécessite l interruption momentanée des autres travaux dans la zone relevée. Les déplacements des opérateurs qualifiés sont à optimiser pour limiter le coût d intervention et les perturbations faites au chantier. Actuellement il n est donc pas envisageable d assurer par scanner 3D le relevé rapproché de certains travaux, comme on le fait avec un profilomètre laser généralement utilisé par le topographe de l entreprise. Le suivi topographique rapproché des phases de creusement et de soutènement d excavation reste à réaliser traditionnellement. En travaux neufs le premier levé scanner s effectuerait sur l intrados du soutènement. Il est à réaliser juste avant la pose de la membrane d étanchéité. La prise de données s'opère à l avancement des travaux par tronçons de 200 m environ, pendant un arrêt programmé du chantier, les engins mobiles étant déplacés hors de la zone à relever. Ce premier levé permet de vérifier que l intrados du soutènement ne présente pas de saillies à l intérieur du gabarit prévu pour loger le revêtement. Le levé sert aussi à valider les profils laser que l entreprise effectue après la mise en place du soutènement et à contrôler la géométrie de l intrados entre les profils fournis. En fin de travaux un second levé scanner serait effectué sur le parement du revêtement de l ouvrage. L intégration du nuage de points du levé du revêtement au nuage du levé du soutènement permettant de connaître, en tous points de l ouvrage, l épaisseur du revêtement. L intérêt des précisions nouvelles acquises avec les scanners 3D concernent aussi bien le suivi des travaux que l enrichissement du dossier de récolement de l ouvrage. Pour cela le levé du revêtement doit être effectué après la mise en place des différents équipements de l'ouvrage (éclairage, accélérateurs de ventilation, signalisation, etc.) Les volumes de béton de revêtement sont établis par comparaison entre le levé du soutènement et celui du revêtement. Le récolement des travaux gagne en précision grâce à la densité des points relevés aux différentes étapes de la construction de l ouvrage. De plus, il ne peut pas subsister d incertitudes (dues par exemple à des imprécisions de report du pm 0 du chantier par rapport à la définition de celui de l ouvrage achevé) sur la position de la géologie reconnue et des différents soutènements à l arrière du revêtement. Enfin, le levé scanner du revêtement pourrait être complété par une cartographie développée du revêtement basée sur l acquisition de textures réelles du béton et des équipements du tunnel, par photographies couleurs de haute résolution. La cartographie serait exploitable sous DAO pour servir de support aux levés des désordres lors des futures inspections de l ouvrage. 2 - ESSAI DE VALIDATION DE LA METHODE AU TUNNEL DE CAP ROUX La Direction des Routes a programmé en 2002 la rénovation des tunnels non revêtus situés sur les Routes Nationales du Département des Alpes Maritimes. Les ouvrages concernés sont les tunnels des Pyramides, de St Michel et d'eze sur la RN 7 (moyenne corniche) ; de Chaudan Sud et de Chaudan Nord sur le RN 202 (vallée du Var) ; de Cap Roux sur la RN 98 (basse corniche). La maîtrise d œuvre des études et des travaux a été assurée par la DDE 06 avec l'assistance du Centre d'études des tunnels (Cetu). Globalement les travaux de rénovation ont consisté à mettre les tunnels au gabarit de 4,30 m par alésage local, à purger les excavations et à les conforter par boulonnage et béton projeté, à refaire les chaussées et l'éclairage de certains ouvrages. Les travaux de rénovation du tunnel de Cap Roux ont été réalisés à l automne Ils comprenaient un alésage du rocher de l excavation et la mise en place d un soutènement par boulons d ancrage à scellement continu associés à une épaisseur nominale de 10 cm de béton fibré. Tunnel de Cap Roux Le chantier de Cap Roux a servi de support au Centre d études des tunnels pour tester l'utilisation de levés au Scanner 3D en contrôle extérieur et en récolement de travaux. Les travaux de topographie ont été attribués au cabinet Guy PERAZIO, Géomètre Expert, suite à un appel d offres lancé par le Cetu en Mars Principes du suivi topographique des travaux a- Etablissement du référentiel Un référentiel topographique a été créé et matérialisé sur le site par des repères en bronze scellés dans les ouvrages existants (stations et repères de nivellement). La précision requise pour la détermination des repères est de +/-1mm en XYZ. Ce référentiel couvre la zone de travaux et est étendu sur environ 100 m de part et d autre de l'ouvrage afin d assurer la pérennité des repères notamment pendant le chantier. Tous les levés scanner 3D ont été rattachés à ce seul référentiel afin de pouvoir établir des comparaisons sûres. b- Levé du tunnel existant Un relevé initial a été réalisé par scanner laser 3D, avant les travaux au printemps 2005, sur 50 m. (22 m en tunnel et 14 m de part et d autre). La densité requise pour le levé était 276 TUNNELS ET OUVRAGES SOUTERRAINS - N SEPTEMBRE/OCTOBRE 2006
3 275a280CAP 1/09/06 15:01 Page 277 T unnel de Cap Roux - Utilisation de levés scanner 3D en contrôle extérieur des travaux d un point tous les 3 cm sur la surface du rocher du tunnel et des encorbellements de têtes. A partir du levé initial une vue en plan de la plate-forme routière et une tabulation de 50 profils en travers ont été établies sur 50 m. Chaque profil comportait les coordonnées XYZ de son origine, son gisement et une cotation de la plate-forme. c- Levé du tunnel après l alésage En cours de chantier un second levé scanner 3D a été réalisé après une première purge des éléments instables et l alésage de mise au gabarit du rocher. Le second levé est établi dans le même référentiel et avec les mêmes caractéristiques de densité et de précision que le levé initial. Rapproché de celui-ci, le second levé a permis de quantifier les volumes excavés et de vérifier qu'après les travaux d alésage, le gabarit est bien respecté sur toute la longueur de l ouvrage. Il faut noter qu'avec une vérification traditionnelle par profils laser, il subsiste des zones non reconnues entre les profils qui déterminent des imprécisions sur les contrôles de gabarit et sur les différents volumes calculés. Le traitement des données a été réalisé sur le logiciel Realworks Survey (TRIMBLE). Avec les levés scanner les calculs de volumes sont réalisés de manière globale, par comparaison directe de deux nuages de points. Le calcul est basé sur la création de cellules parallélépipédiques de section cohérente avec la densité du nuage (4cm*4cm pour ce chantier). Orientées selon une direction de projection perpendiculaire aux surfaces à analyser, ces cellules viennent s insérer entre les deux nuages à comparer. Le volume global est calculé à partir de la somme du volume élémentaire de chaque cellule. La hauteur de chaque cellule correspond à la distance moyenne séparant les 2 nuages au droit de la cellule analysée. Cette distance correspond à l épaisseur réelle de rocher alésé (dans le cas de la comparaison d un nuage relevé après alésage, à un nuage relevé sur le rocher initial). Après le second levé, l entreprise a mis en œuvre le soutènement et le revêtement en béton projeté de l excavation. Gabarit et zones à aléser (en bleu à l'intérieur du gabarit gris) Profil initial et gabarits Gabarit et zones à aléser Contrôle après premier alésage (il reste quelques zones à reprendre) TUNNELS ET OUVRAGES SOUTERRAINS - N SEPTEMBRE/OCTOBRE
4 d- Levé du tunnel après béton projeté Un troisième levé scanner a ensuite été exécuté, la nuit suivant la fin des travaux de béton projeté, pour contrôler la conformité des épaisseurs par rapport au marché. Les insuffisances éventuelles ont été établies en regard du levé scanner pris sur le rocher après l'alésage. Au vu des éléments fournis par le géomètre, le maître d œuvre a précisé les zones de sous-épaisseur devant être complétées par l entreprise. Le géomètre a eu en charge le marquage, sur le parement du béton existant, des zones à reprendre. L'épaisseur du béton projeté est déterminée grâce aux cellules parallélépipédiques construites entre les nuages de points du levé du rocher alésé et celui du béton projeté (cf. volume du déblai d'alésage) Chaque cellule 3D de comparaison reçoit une couleur en fonction de sa hauteur, qui correspond à l'épaisseur de béton. L analyse de l épaisseur de béton se fait en projetant les cellules colorées sur une surface de référence théorique. Cette surface de référence est établie en décomposant l'intrados du béton projeté en grandes surfaces élémentaires géométriques. Au tunnel de Cap Roux la surface de référence est composée de 4 surfaces élémentaires, deux plans pour les piédroits et deux surfaces cylindriques pour la voûte. La projection des cellules s'effectue normalement à la surface de référence. En développant la surface de référence on obtient une carte de synthèse 2D dont les couleurs représentent les épaisseurs du béton. Le haut du piédroit est la zone la moins chargée en béton (0 à 20mm d épaisseur). Des outils d édition de la carte (sélection de zones, filtres ) permettent d en retirer les volumes, surfaces, et des profils permettant de visualiser les épaisseurs. Le rattachement des nuages relevés sur le béton ainsi que la carte 2D ont été réalisés sur le site, à l'avancement du relevé. Le Légende : Unité, mm maître d œuvre a ainsi pu analyser la carte 2D directement sur le chantier pour déterminer les zones qu'il souhaitait faire recharger. Profil de contrôle d épaisseur Projection plane d un piédroit Les contours des zones à recharger sont définis sur la carte de synthèse 2D. Les points de chaque sommet des contours des zones à reprendre sont ensuite insérés sur le nuage 3D du béton afin de connaître leurs coordonnées XYZ dans le référentiel topographique. L implantation et le marquage des zones à recharger peuvent alors être tracés sur le parement du béton existant ainsi que l'indication des épaisseurs manquantes. e- Levé du tunnel après compléments de béton projeté Les compléments de béton projeté ont été réalisés dans la journée qui a suivi de marquage des zones à reprendre. Un quatrième levé scanner 3D a ensuite été exécuté. Il permet de contrôler les compléments apportés et de quantifier le volume total de béton projeté en place après les travaux. En rapprochant le volume total de celui de la surface relevée, il est aussi possible de comparer globalement l'épaisseur moyenne du Extrait de la carte de synthèse 2D. Piédroit côté mer 278 TUNNELS ET OUVRAGES SOUTERRAINS - N SEPTEMBRE/OCTOBRE 2006
5 béton projeté à celle qui est prévue au marché. Le quatrième levé est intégré aux documents de récolement. Enfin le Cetu souhaitait vérifier la possibilité d'établir une cartographie «photographique» de la développée de la voûte et des parois du tunnel, basée sur l acquisition des textures réelles du béton après travaux. La cartographie devait être exploitable sous DAO afin d'y représenter ultérieurement les désordres éventuellement constatés lors des futures inspections périodiques de l'ouvrage. f- Acquisition des textures par matrice numérique couleur L acquisition des textures réelles par matrice numérique couleur avait pour objectif de texturer le modèle 3D final constitué par le maillage de récolement du béton projeté (quatrième levé). L acquisition des textures a été réalisée par une matrice numérique couleur, de 17 millions de pixels. Le tunnel a été divisé en cinq tronçons de 5 m de longueur. Chaque tronçon est photographié par 2 clichés avec un recouvrement dans la zone de clé de voûte. L acquisition des textures est réalisée perpendiculairement à la surface de la voûte et des piédroits selon une maille de 1 pixel pour 3 à 5mm maximum de surface sur le béton. Les éclairages sont optimisés pour chaque cliché. Le tunnel du Cap Roux ne disposant pas d une possibilité d'alimentation sur secteur 220V, le choix du type et de la puissance de l éclairage a été limité. Les clichés, géoréférencés, ont été projetés sur le maillage 3D. Ce modèle texturé peut alors être analysé sous un logiciel de visualisation en diffusion libre. Le modèle a aussi été développé pour obtenir une cartographie 2D de la voûte et des parois du tunnel au 1/20 e et 1/50 e. Le document est exploitable sous logiciel de DAO. L image ci-dessous est le développé de 25m de piédroit du tunnel (échelle # 1/150 e ) Profil de récolement L image ci-dessous est un extrait du développé au 1/20 e, qui servira de support aux futures inspections de l ouvrage. (longueur de la zone présentée : 3.4m, secteur PM 5) TUNNELS ET OUVRAGES SOUTERRAINS - N SEPTEMBRE/OCTOBRE
6 3 - ANALYSE DE LA PRECISION La précision des résultats obtenus par scanner, comme par profilomètre-laser dépend : de la précision de mesure du point 3D ; incertitude combinée (erreurs aléatoires et résidus de systématismes) de +/-4 à +/-6 mm à 50 m pour le scanner. de la précision de rattachement des points 3D au référentiel topographique (+/- 3 mm) de la précision du référentiel topographique mis en œuvre dans le tunnel (+/- 2 mm) de la densité de points mesurés qui est fonction de l irrégularité de la surface à relever. (1 point tous les 3 cm pour le chantier de Cap Roux). La vérification de la précision des levés scanner 3D dans le tunnel de Cap Roux a été établie de la manière suivante : en superposant les levés des zones extérieures, à proximité des têtes du tunnel, qui n'ont pas été concernées par l'alésage ni revêtues de béton. L'écart moyen constaté entre les différents levés est de l ordre de 5 mm, (pics inférieurs au centimètre). en procédant à quelques petits carottages dans le béton pour contrôler l'épaisseur du béton qui s'est révélée être en cohérence avec celle qui est obtenue par les levés. Outre la précision du scanner, la précision du résultat final dépendra toujours de la qualité des matériels topographiques utilisés pour ce type de levé, de l expérience et du savoirfaire en travaux souterrains des géomètres intervenant sur site et traitant l information. Globalement en tunnel, la précision à retenir pour les levés scanner 3D, en considérant les prises de données et leur traitement, est inférieure au centimètre. Cette valeur est à prendre en compte dans la précision attendue pour les contrôles et la détermination des quantités liées aux travaux. 4 - CONCLUSION Les essais topographiques avec les scanners 3D au tunnel de Cap Roux ont été très complets et ont permis de valider de nombreuses possibilités d'utilisation des levés au scanner 3D. Les essais ont démontré une bonne souplesse d'utilisation des levés scanner 3D qui ont pu être exécutés et exploités à l'avancement des travaux, moyennant des contraintes très réduites imposées au chantier. Comparativement les atouts des levés scanner 3D sont les suivants : En projet, l'avantage d un relevé laser 3D est de constituer une base de données géométriques exhaustive d un tunnel existant ou des zones de têtes d'un tunnel en projet, en une seule prise de données sur le terrain. On peut ensuite exploiter les nuages de points en bureau au cours de l avancement du projet, selon différents niveaux de traitement allant du simple profil à l intégration complète du projet 3D et aux métrés des travaux projetés. Des logiciels vont permettre aux utilisateurs de travailler directement sur les nuages de points, sans recourir au géomètre pour des opérations courantes (création de profils, cubatures, dessins 3D,...). Ces logiciels, en cours de développement par diverses sociétés, devraient permettre l'exploitation des nuages de points relevés par les différents scanners disponibles sur le marché, quel que soit le prestataire effectuant la prise de données. Pendant les travaux, la précision apportée par un levé scanner 3D ne réside pas seulement dans les paramètres évoqués ci-dessus, mais aussi dans l exhaustivité du relevé. Cette technique apporte davantage d'information car elle permet d analyser l ensemble de la surface du tunnel du point de vue du contrôle du gabarit, de la connaissance des épaisseurs de béton et du calcul des différents volumes et surfaces utiles aux vérifications. En récolement d'ouvrage, la base de données constituée grâce aux levés scanner 3D permettra de connaître précisément un ouvrage en tous points et sur tous les aspects (géologiques, position des soutènements, épaisseurs de revêtement, position des équipements). Cette base pourra servir de support aux inspections durant la vie des ouvrages. 280 TUNNELS ET OUVRAGES SOUTERRAINS - N SEPTEMBRE/OCTOBRE 2006
Mesures de déformations géodésiques
Mesures de déformations géodésiques Rue de la Métralie 26 Case postale 803 3960 Sierre T: 027 455 91 31 F: 027 455 91 21 Géomat SA/AG est une entreprise commune aux bureaux Schneider AG à Coire et RUDAZ+PARTNER
Plus en détailLe Scanner 3D Dynamique
Le Scanner 3D Dynamique Présentation & Références 2015 Page 1 / 9 1. Présentation Techniques Topo, est une société de Géomètres Experts créée en 1964 comptant aujourd hui près de 120 collaborateurs répartis
Plus en détailLe projet 3D de la Ville de Liège: réflexions sur l'exploitation des données. Bernard Lechanteur, Responsable Cellule cartographie Ville de Liège
Le projet 3D de la Ville de Liège: réflexions sur l'exploitation des données Bernard Lechanteur, Responsable Cellule cartographie Ville de Liège La cellule cartographie La cellule cartographie n est pas
Plus en détailContrôle et Monitoring
Contrôle et Monitoring De la conception jusqu au suivi de l ouvrage Philippe WELTER, SPW Direction de la Géotechnique (philippe.welter@spw.wallonie.be) Journée d étude SBGIMR 10/03/2015 Les techniques
Plus en détailRéalité virtuelle au service de la maintenance
Réalité virtuelle au service de la maintenance Christian Boucheny EDF R&D SINETICS Séminaire Cartographie d intérieur et d extérieur ENSMP 04/09/2013 Sommaire 1. Application 1 : ADRM Aide à la Décision
Plus en détailLIDAR LAUSANNE 2012. Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés
LIDAR LAUSANNE 2012 Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés LIDAR 2012, nouveaux modèles altimétriques 1 Affaire 94022 /
Plus en détailBusiness Center - HCE
Business Center - HCE Votre chantier, connecté en permanence Business Center - Heavy Construction Edition (HCE) de Trimble est l'unique logiciel de bureau nécessaire pour gérer, analyser et traiter les
Plus en détailVision industrielle et télédétection - Détection d ellipses. Guillaume Martinez 17 décembre 2007
Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses Guillaume Martinez 17 décembre 2007 1 Table des matières 1 Le projet 3 1.1 Objectif................................ 3 1.2 Les choix techniques.........................
Plus en détailSillage Météo. Notion de sillage
Sillage Météo Les représentations météorologiques sous forme d animation satellites image par image sont intéressantes. Il est dommage que les données ainsi visualisées ne soient pas utilisées pour une
Plus en détailLa solution à vos mesures de pression
Mesure de force linéique La solution à vos mesures de pression Sensibilité Répétabilité Stabilité Le système X3 de XSENSOR propose un concept innovant spécialement adapté pour vos applications de mesure
Plus en détailPlan présentation RATP
Plan présentation RATP Présentation réseau RATP Présentation de la maintenance des caténaires Risques rupture caténaire Sélection du nouveau système Présentation du réseau RATP NANTERRE T1 T2 T3 VAL DE
Plus en détailEt si l avenir de votre CFD passait par OPEN FOAM?
ACE MENU Et si l avenir de votre CFD passait par OPEN FOAM? OPEN FOAM solution d avenir? Pour qu Open FOAM soit une solution d avenir pour vos sociétés il faut : Que vous en soyez convaincus dès maintenant
Plus en détailRapport du projet CFD 2010
ISAE-ENSICA Rapport du projet CFD 2010 Notice explicative des différents calculs effectués sous Fluent, Xfoil et Javafoil Tanguy Kervern 19/02/2010 Comparaison des performances de différents logiciels
Plus en détailScanner laser HDS7000 Ultra rapide, à portée étendue
> 1 million de points / sec Scanner laser HDS7000 Ultra rapide, à portée étendue > 180 m de portée HDS7000 Scanner laser ultra rapide pour les professionnels exigeants Les scanners à mesure de phase sont
Plus en détailLe polissage par laser
B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 Le polissage par laser Contexte Un traitement de surface est généralement réalisé dans le but d améliorer les caractéristiques
Plus en détailCartographie Mobile à MINES ParisTech
Cartographie Mobile à MINES ParisTech Entre robotique, géomatique et nouveaux usages Pr. François Goulette Plan 4 septembre 2013 2 Automatisation de maintenance en environnements industriels (1993) Automatisation
Plus en détailZone 2 L aventure de la copie
EXPOSITION INTERNATIONALE INTERNATIONAL EXHIBITION Zone 2 L aventure de la copie 1. Synopsis... 2 2. Scénographie... 3 3. Mobiliers... 3 4. Supports graphiques... 4 5. Eclairage... 4 6. Audiovisuels...
Plus en détailR A P P O R T. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs, Bref historique
Commune de Peseux Conseil communal R A P P O R T du Conseil communal au Conseil général relatif à une demande de crédit de CHF 1'910'000.- pour la rénovation des conduites d'eau, de gaz, d'électricité,
Plus en détailMesures de l état du réseau Domaine Voie Tendances, perspectives et innovations
Mesures de l état du réseau Domaine Voie Tendances, perspectives et innovations Symposium Infra - Direction de la maintenance du réseau : Régis Ambert, Division Ingénierie de la Maintenance de la Voie
Plus en détailExemple d application en CFD : Coefficient de traînée d un cylindre
Exemple d application en CFD : Coefficient de traînée d un cylindre 1 Démarche générale Avec Gambit Création d une géométrie Maillage Définition des conditions aux limites Avec Fluent 3D Choix des équations
Plus en détailInfrastructure de recharge >22kW
Directives EVite Directives EVite Infrastructure de recharge >22kW Version 2 1. Le principe EVite... 2 2. Principe... 2 3. Procédure de réalisation d'une station de recharge EVite... 2 3.1. Inscription
Plus en détailMémoire de PFE : Maintenance des Installations Fixes de Traction Electrique Ferroviaire de Bourgogne Franche Comté
Résumé Mémoire de PFE : Maintenance des Installations Fixes de Traction Electrique Ferroviaire de Bourgogne Franche Comté Juin 2011 Raphaël DAVID INSA de Strasbourg - Spécialité Génie Electrique, Option
Plus en détailModeling reality with the latest in 3D technology: Virtualisation. Aperçu
Rencontres art, science, technique & architecture (RASTA_02) De l acquisition à la restitution de données numériques 3D 31 octobre 2002 C2RMF-DMF 6 rue des Pyramides75 041 Paris Modeling reality with the
Plus en détailLe No.1 de l économie d énergie pour patinoires.
Le No.1 de l économie d énergie pour patinoires. Partner of REALice system Economie d énergie et une meilleure qualité de glace La 2ème génération améliorée du système REALice bien connu, est livré en
Plus en détailSociété de Geo-engineering
Gestion de la maintenance des réseaux le géoréférencement inertiel direct, technologie automatisée d'acquisition d'objets 2D / 3D vers les SIG Société de Geo-engineering Activité d'expertise et d'ingénierie
Plus en détailMise en pratique : Etude de spectres
Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La
Plus en détail4.4. Ventilateurs à filtre. Les atouts. Montage rapide. Polyvalence et fonctionnalité
Les atouts L'utilisation de ventilateurs à filtre est une méthode extrêmement économique pour évacuer d'importantes quantités de chaleur en dehors des armoires électriques. Deux conditions fondamentales
Plus en détailCAP CAMION A ASSISTANCE PNEUMATIQUE
Séminaire mi parcours Stock-e 2010 CAP CAMION A ASSISTANCE PNEUMATIQUE Iyad Balloul Renault Trucks - iyad.balloul@volvo.com Eric Bideaux INSA Lyon - eric.bideaux@insa-lyon.fr Marc Michard LMFA - Marc.Michard@ec-lyon.fr
Plus en détailOFFRES DE SERVICE 1/2
Décembre 2013 SOMMAIRE 1. Offres de service 2. Etudes Techniques Avant Projet 3. Documents d Exécution 4. Suivi du déroulement des travaux 5. Savoir Faire 6. Organisation 7. Compétences Projet 8. Références
Plus en détailUne onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de courant de pointe
«Société Électrique de l Our» Une onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de courant de pointe Pour un meilleur équilibre entre production d électricité et pointes de consommation Afin d'augmenter
Plus en détailNom : Groupe : Date : 1. Quels sont les deux types de dessins les plus utilisés en technologie?
Nom : Groupe : Date : Verdict Chapitre 11 1 La communication graphique Pages 336 et 337 1. Quels sont les deux types de dessins les plus utilisés en technologie? Les dessins de fabrication. Les schémas.
Plus en détailGéoréférencement et RGF93
Géoréférencement et RGF93 Théorie et concepts - Fiche T3 Les projections coniques conformes 9 zones T3 Décembre 2008 2008/54 Historique Ces projections ont été définies par l'ign, suite à une recommandation
Plus en détailAide à l'utilisation de l'application 'base de données communales' intégrée à la plate-forme PEGASE. Interface 'Front-Office'
DREAL POITOU CHARENTE Aide à l'utilisation de l'application 'base de données communales' intégrée à la plate-forme PEGASE Interface 'Front-Office' Base de données communales Poitou- Charentes Alkante 2013
Plus en détailAssurance qualité du côté de l'entreprise (1) pour l'utilisation de systèmes de peintures intumescentes
Assurance qualité du côté de l'entreprise (1) pour l'utilisation de systèmes de peintures intumescentes sur acier (en tant qu'annexe 3 de la publication SZS C2.5 «Peintures intumescentes» reconnue officiellement
Plus en détail5.2. EVOLUTION DU TRAIT DE COTE SUR LES PHOTOGRAPHIES AERIENNES DE L'IGN ET LES CARTES ANCIENNES DU SHOM
5.2. EVOLUTION DU TRAIT DE COTE SUR LES PHOTOGRAPHIES AERIENNES DE L'IGN ET LES CARTES ANCIENNES DU SHOM La digitalisation des traits de côte (pied de falaise) a été réalisée pour les cartes anciennes
Plus en détailCANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR SOMMAIRE
CAHIER DES CHARGES AFG CANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR RSDG 5 15 décembre 2002 SOMMAIRE 1. - REGLES GENERALES 2 1.1. - Objet du cahier des charges 2 1.2.
Plus en détailTraitement numérique de l'image. Raphaël Isdant - 2009
Traitement numérique de l'image 1/ L'IMAGE NUMÉRIQUE : COMPOSITION ET CARACTÉRISTIQUES 1.1 - Le pixel: Une image numérique est constituée d'un ensemble de points appelés pixels (abréviation de PICture
Plus en détailOnce the installation is complete, you can delete the temporary Zip files..
Sommaire Installation... 2 After the download... 2 From a CD... 2 Access codes... 2 DirectX Compatibility... 2 Using the program... 2 Structure... 4 Lier une structure à une autre... 4 Personnaliser une
Plus en détailModélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs.
Modélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs. H. ZAÏDI a, S. FOHANNO a, R. TAÏAR b, G. POLIDORI a a Laboratoire
Plus en détailCommune X. Quelles nouvelles exigences pour l accessibilité de la voirie? Les prescriptions techniques de l arrêté du 15 janvier 2007
Commune X Quelles nouvelles exigences pour l accessibilité de la voirie? Les prescriptions techniques de l arrêté du 15 janvier 2007 Centre d'études Techniques de l'équipement Méditerranée Les cheminements
Plus en détailLOGICIELS ET ORGANISATION POUR GERER LES DONNEES ET L INFORMATION GEOGRAPHIQUE DES RESEAUX DE DISTRIBUTION
LOGICIELS ET ORGANISATION POUR GERER LES DONNEES ET L INFORMATION GEOGRAPHIQUE DES RESEAUX DE DISTRIBUTION Pascal Bertolini, Alberto Rica EDENOR Azopardo 1025-1107 BUENOS AIRES (ARGENTINE) Tél : 54 1 43
Plus en détailMise en œuvre des filets de sécurité en grandes nappes
RECOMMANDATION R 446 Recommandation adoptée par le comité technique national du bâtiment et des travaux publics lors de sa réunion du 14 mai 2009. Cette recommandation annule et remplace la recommandation
Plus en détailSTAGES DE FORMATION INTER-ENTREPRISES PÔLE 45 BUREAUTIQUE
STAGES DE FORMATION INTER-ENTREPRISES PÔLE 45 BUREAUTIQUE Vous trouverez ci-dessous notre première proposition de formations interentreprises pour ce début d'année 2013. Pour tout complément d'informations
Plus en détailCahier des Clauses techniquesparticulières
ARCHES PUBLICS MAIRIE DE BASTIA Avenue Pierre Guidicelli 20410 BASTIA CEDEX MARCHE D ETUDES A MAITRISE D OUVRAGE EN VUE DE L ORIENTATION ET DU DEVELOPPEMENT DU SYTEME D INFORMATION GEOGRAPHIQUE SERVICE
Plus en détailSimulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE
Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE LAURENT Rémy laurent@clermont.in2p3.fr http://clrpcsv.in2p3.fr Journées des LARD Septembre 2007 M2R
Plus en détailChapitre 18 : Transmettre et stocker de l information
Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information Connaissances et compétences : - Identifier les éléments d une chaîne de transmission d informations. - Recueillir et exploiter des informations concernant
Plus en détailInrap / Les étapes de l archéologie préventive
Les étapes de l archéologie préventive LE DIAGNOSTIC Lorsque l on aménage un terrain à des fins publiques ou privées (pour construire une route ou un immeuble par exemple), le sol est remanié. Bien avant
Plus en détailLes drones civils Gatewing X100 et UX5 pour la production d orthophotos, Modèles Numériques de Surface (MNS) et cartes NDVI
Les drones civils Gatewing X100 et UX5 pour la production d orthophotos, Modèles Numériques de Surface (MNS) et cartes NDVI Benjamin HUGONET (Redbird) Frédéric DUBOIS (D3E Electronique) D3E Electronique
Plus en détailAméliorations du schéma de nuage et de EDKF dans AROME/MésoNH
Améliorations du schéma de nuage et de EDKF dans AROME/MésoNH Sébastien Riette Météo-France CNRM/GMME Réunion des utilisateurs de Méso-NH, 13 et 14 octobre 2011 Les composantes du schéma de nuage d'arome
Plus en détailNUAGE VERT 2008 Dossier Technique. Aide à la production Dossier Nº M2114/48 /2007
NUAGE VERT 2008 Dossier Technique Aide à la production Dossier Nº M2114/48 /2007 Le dispositif technique sur lequel repose Nuage Vert consiste en une caméra thermosensible, un logiciel de tracking en vision
Plus en détailPROGRAMMES ET DES PARTENARIATS EN MATIÈRE D'ÉDUCATION ET DE DÉVELOPPEMENT SOCIAL INFRASTRUCTURES COMMUNAUTAIRES
RAPPORT AU COMITÉ D ÉVALUATION (CVÉ), DE MESUR DU RENDEMENT ET D EXAMEN EN DATE DU 30 SEPTEMBRE 09 1) Le Ministère devrait continuer de fournir de l assistance aux Premières nations pour la construction,
Plus en détailUtilisation du monitoring en temps réel
Utilisation du monitoring en temps réel Sur internet, rendez-vous à : www.gmgnow.co.kr Vous voici en prise directe avec un outil sophistiqué. Choisissez l endroit que vous voulez visiter, par exemple :
Plus en détailDécrète : Ce règlement est applicable aux zones définies à l'article premier. Fait à Rabat, le 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964). Ahmed Bahnini.
Décret n 2-64-445 du 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964) définissant les zones d'habitat économique et approuvant le règlement général de construction applicable à ces zones.( BO n 2739 du 28 Avril 1965)
Plus en détailIPSAS 32 «Service concession arrangements» (SCA) Marie-Pierre Cordier Baudouin Griton, IPSAS Board
IPSAS 32 «Service concession arrangements» (SCA) Marie-Pierre Cordier Baudouin Griton, IPSAS Board 1 L élaboration de la norme IPSAS 32 Objectif : traitement comptable des «service concession arrangements»
Plus en détailSommaire. Introduction. Nouveautés d Adobe InDesign CS3. Visite guidée d Adobe InDesign
Sommaire Introduction À propos de ce manuel................................ 1 Contexte d utilisation.................................. 2 Installation d Adobe InDesign.......................... 2 Installation
Plus en détailCONSOLIDATION ET ETANCHEISATION DE LA TOITURE DU TUNNEL STEPHANIE A BRUXELLES.
1 CONSOLIDATION ET ETANCHEISATION DE LA TOITURE DU TUNNEL STEPHANIE A BRUXELLES. ir. VINCENT THIBERT Région de Bruxelles-Capitale Bruxelles Mobilité Direction Gestion et Entretien des Voiries Résumé Samenvatting
Plus en détailLA 3D AU SERVICE DE L OBSERVATION ARCHÉOLOGIQUE ET DE SON ILLUSTRATION SCIENTIFIQUE
Archeologia e Calcolatori Supplemento 5, 2014, 128-136 LA 3D AU SERVICE DE L OBSERVATION ARCHÉOLOGIQUE ET DE SON ILLUSTRATION SCIENTIFIQUE 1. Introduction Le présent article s intéresse à quelques usages
Plus en détailPréparer le fond de plan
Préparer le fond de plan Objectif et résultat attendu L opération d adressage doit être précédée d un travail préparatoire qui consiste à récupérer un maximum d informations urbaines et géographiques sur
Plus en détailLa surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers
Symposium on Innovation and Technology in The Phosphate Industry - SYMPHOS May 6-10, 2013 Agadir, Marocco La surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers Méthodes et Technologies
Plus en détailMonte escalier à siège ou pour chaise roulante. sur plan incliné, suspendu à un monorail fixé au plafond
GRAND-DUCHE DE LUXEMBOURG Luxembourg, le 10 février 2006 ITM-CL 317.1 Monte escalier à siège ou pour chaise roulante sur plan incliné, suspendu à un monorail fixé au plafond Prescriptions de sécurité types
Plus en détailASSURER LA QUALITE DES RESULTATS D ESSAI ET D ETALONNAGE Assuring the quality of test and calibration results
ASSURER LA QUALITE DES RESULTATS D ESSAI ET D ETALONNAGE Assuring the quality of test and calibration results Soraya Amarouche Armelle Picau Olivier Pierson Raphaël Deal Laboratoire National de Métrologie
Plus en détail3615 SELFIE. http://graffitiresearchlab.fr HOW-TO / GUIDE D'UTILISATION
3615 SELFIE http://graffitiresearchlab.fr HOW-TO / GUIDE D'UTILISATION Hardware : Minitel Computer DIN FM545 45 connector (http://www.gotronic.fr/art-fiche-din-fm545-4747.htm) Cable Arduino compatible
Plus en détailAble Informatique bvba Zakske 16 B-8000 Brugge Belgique Téléphone : + 32 50 34 59 04 www.admiralsoft.com
Able Informatique bvba Zakske 16 B-8000 Brugge Belgique Téléphone : + 32 50 34 59 04 www.admiralsoft.com Logiciel de marketing opérationnel multitâches Votre support de marketing direct Data Quest est
Plus en détailSimplifiez-vous la recharge avec Freshmile. Freshmile SAS, Aéroport Strasbourg, Bâtiment Blériot, 67960 Entzheim
Simplifiez-vous la recharge avec Freshmile Freshmile SAS, Aéroport Strasbourg, Bâtiment Blériot, 67960 Entzheim 1 Une offre de services complète Marque principale, conseil et prestations intellectuelles
Plus en détailForge. Présentation ( )
( RetourListeFichesParThèmes ) Forge Présentation Définition Objectifs Services fournis, fonctions disponibles Services en ligne d hébergement de projets La solution des logiciels intégrés pour le déploiement
Plus en détailFranck VAUTIER, Jean-Pierre TOUMAZET, Erwan ROUSSEL, Marlène FAURE, Mohamed ABADI, Marta FLOREZ, Bertrand DOUSTEYSSIER
Utilisation d images dérivées d un jeu de données LIDAR pour la détection automatisée de vestiges archéologiques (programme de recherche méthodologique LiDARCHEO) Franck VAUTIER, Jean-Pierre TOUMAZET,
Plus en détailLes mesures à l'inclinomètre
NOTES TECHNIQUES Les mesures à l'inclinomètre Gérard BIGOT Secrétaire de la commission de Normalisation sols : reconnaissance et essais (CNSRE) Laboratoire régional des Ponts et Chaussées de l'est parisien
Plus en détailNouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT
COMPTE RENDU DE VISITE ECOLE CENTRALE PARIS Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT Introduction Pour la dernière journée de notre voyage d intégration, nous avons été accueillis le vendredi
Plus en détailNotice d utilisation. Présentation générale...p 2 à 3. Installation...P 3 à 6. Fonctionnement...P 9. Agréé une marque déposée par La Poste
Notice d utilisation Agréé une marque déposée par La Poste Présentation générale...p 2 à 3 Installation...P 3 à 6 Fonctionnement...P 9 Présentation générale La centrale Vachette FACILY PASS propose une
Plus en détailLes 11 métiers présents dans les Travaux Publics
Les 11 métiers présents dans les Travaux Publics Conducteur de travaux //////////////////////////////////////////////////////////////////// page 2 Chef de chantier /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailGESTION DE PROJET SÉANCE 2 : LES CYCLE DE VIE D'UN PROJET
GESTION DE PROJET SÉANCE 2 : LES CYCLE DE VIE D'UN PROJET 1 Tianxiao LIU Licence Professionnelle Réseaux & Sécurité Université de Cergy-Pontoise http://depinfo.u-cergy.fr/~tliu/lpg.php PLAN Objectif et
Plus en détailVu le dahir du 7 kaada 1371 (30 Juillet 1952) relatif à l urbanisme et, notamment, son article 18 ;
Décret n 2-64-445 du 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964) définissant les zones d habitat économique et approuvant le règlement général de construction applicable à ces zones. (B.O. n 2739 du 28-4-1965,
Plus en détailDouille expansibleécarteur
08/2011 Instructions de montage 999415003 fr Douille expansibleécarteur 15,0 Référence 581120000 Description La douille expansible écarteur 15,0 sert à l ancrage du coffrage une face dans le béton. Il
Plus en détailSOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique
SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des
Plus en détailSystèmes de transmission
Systèmes de transmission Conception d une transmission série FABRE Maxime 2012 Introduction La transmission de données désigne le transport de quelque sorte d'information que ce soit, d'un endroit à un
Plus en détailINDUSTRIALISATION ET RATIONALISATION
INDUSTRIALISATION ET RATIONALISATION A. LA PROBLEMATIQUE La mission de toute production informatique est de délivrer le service attendu par les utilisateurs. Ce service se compose de résultats de traitements
Plus en détailChapitre 5 Mesures géophysiques
Chapitre 5 Mesures géophysiques Plan 5.1 Introduction 5.2 Sismique réfraction 5.3 Prospection électrique 5.4 Radar géologique 5.1 Introduction Pour tous les projets de construction connaissance préalable
Plus en détailJean-Luc Archimbaud. Sensibilisation à la sécurité informatique.
Sensibilisation à la sécurité informatique Jean-Luc Archimbaud To cite this version: Jean-Luc Archimbaud. Sensibilisation à la sécurité informatique. lieux en France, 1997, pp.17. École
Plus en détailLouis-Philippe Gagnon Auditeur De Système D Alarme LABORATOIRES DES ASSUREURS DU CANADA 12 Novembre, 2014
Louis-Philippe Gagnon Auditeur De Système D Alarme LABORATOIRES DES ASSUREURS DU CANADA 12 Novembre, 2014 UL and the UL logo are trademarks of UL LLC 2012 2 OBJECTIFS DE LA MISE À L'ESSAI ET INSPECTION
Plus en détailLe bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détailLA FONCTION QUALITE & LE LEAN MANUFACTURING 6 MARS 2009. François Liotard Directeur Développement Industriel Directeur Ressources Humaines
LA FONCTION QUALITE & LE LEAN MANUFACTURING 6 MARS 2009 François Liotard Directeur Développement Industriel Directeur Ressources Humaines QUALITE ET LEAN MANUFACTURING SOMMAIRE INTRODUCTION SUR LE LEAN
Plus en détailCette Leçon va remplir ces attentes spécifiques du curriculum :
Dev4Plan1 Le Plan De Leçon 1. Information : Course : Français Cadre Niveau : Septième Année Unité : Mes Relations Interpersonnelles Thème du Leçon : Les Adjectifs Descriptifs Date : Temps : 55 minutes
Plus en détailLa nouvelle plateforme communautaire dédiée à l enseignement en ligne
FUTUR EN SEINE 2013 Dossier de Presse La nouvelle plateforme communautaire dédiée à l enseignement en ligne Futur en Seine 2013 AAP 1 Intitulé du projet Résumé du projet ou du prototype (3 lignes max)
Plus en détailANNEE 2014 Montant de l'unité : 0,265
NOMENCLATURE DES DROITS DE VOIRIE I - DROITS D'OCCUPATION PERMANENTE II - DROITS D'OCCUPATION TEMPORAIRE ET DE STATIONNEMENT III - DROITS DE PREMIER ETABLISSEMENT ANNEE 2014 Montant de l'unité : 0,265
Plus en détailM. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y
M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y 15 Octobre 1954 BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES GEOPHYSIQUES
Plus en détailMunicipalité de la Commune d'arzier - Le Muids. Préavis No 15/2013 Au Conseil communal
Municipalité de la Commune d'arzier - Le Muids Préavis No 15/2013 Au Conseil communal Demande de crédit de CHF 371'500. concernant la mise en séparatif de la partie inférieure du chemin Prés-du-Marguiller
Plus en détailUNE TECHNOLOGIE INNOVANTE AUX MULTIPLES APPLICATIONS Rapide Économique Écologique Sans béton
www.krinner.ch BÂTIMENTS TEMPORAIRES ET CONSTRUCTIONS MODULAIRES SIGNALISATION ET PUBLICITÉ MOBILIER URBAIN CLÔTURES CONSTRUCTION BOIS UNE TECHNOLOGIE INNOVANTE AUX MULTIPLES APPLICATIONS Rapide Économique
Plus en détail(B.O. n 2739 du 28-4-1965, page 489) LE PREMIER MINISTRE,
DECRET N 2-64-445 DU 21 CHAABANE 1384 (26 DECEMBRE 1964) DEFINISSANT LES ZONES D HABITAT ECONOMIQUE ET APPROUVANT LE REGLEMENT GENERAL DE CONSTRUCTION APPLIABLE A CES ZONES (B.O. n 2739 du 28-4-1965, page
Plus en détailCarrotAge, un logiciel pour la fouille de données agricoles
CarrotAge, un logiciel pour la fouille de données agricoles F. Le Ber (engees & loria) J.-F. Mari (loria) M. Benoît, C. Mignolet et C. Schott (inra sad) Conférence STIC et Environnement, Rouen, 19-20 juin
Plus en détailUtilisation d informations visuelles dynamiques en asservissement visuel Armel Crétual IRISA, projet TEMIS puis VISTA L asservissement visuel géométrique Principe : Réalisation d une tâche robotique par
Plus en détailphysicien diplômé EPFZ originaire de France présentée acceptée sur proposition Thèse no. 7178
Thèse no. 7178 PROBLEMES D'OPTIMISATION DANS LES SYSTEMES DE CHAUFFAGE A DISTANCE présentée à l'ecole POLYTECHNIQUE FEDERALE DE ZURICH pour l'obtention du titre de Docteur es sciences naturelles par Alain
Plus en détailSystème combiné pour cloisons WEK 120
Système combiné pour cloisons WEK 120 Optimat I profi line I power line WEK 120 sa particularité: la co Highlight: 1 seul opérateur La WEK est une combinaison entre une station d'assemblage pour ossatures
Plus en détailMoteur DC: Comment faire varier sa vitesse?
Moteur DC: Comment faire varier sa vitesse? Zone d'utilisation Moteur à excitation shunt Influence I e Petite perturbation : e.g. augmentation vitesse À partir de P : couple moteur P'' < couple résistant
Plus en détailGE Security. KILSEN série KSA700 Centrale de détection et d alarme Incendie analogique adressable. Manuel d utilisation
GE Security KILSEN série KSA700 Centrale de détection et d alarme Incendie analogique adressable Manuel d utilisation g ination imag at work Kilsen is a brand name of GE Security. www.gesecurity.net COPYRIGHT
Plus en détailCR 30-Xm. Unité de numérisation CR 30-Xm
U n i t é d e n u m é r i s at i o n CR 30-Xm 'Solution complète' de mammographie numérique et pour toutes les applications de radiographie générale L unité CR 30-Xm est une unité de radiographie numérisée
Plus en détailNOTRE OFFRE GLOBALE STAGES INTER-ENTREPRISES
NOTRE OFFRE GLOBALE STAGES INTER-ENTREPRISES HYDRAULIQUE MOBILE 5 Stages de 4 jours ----- HM1 HM2 HM3 HM4 HM5 2 Stages SAUER DANFOSS de 2 jours ----- PVG 32 ----- POMPE 90 MOTEUR 51 ELECTRONIQUE EMBARQUEE
Plus en détailPrésentation du Système Informatique Mobile PARADIDACT
Présentation du Système Informatique Mobile PARADIDACT www.parat.fr pourquoi un Systeme Informatique Mobile PARADIDACT? PARADIDACT : un véritable système modulaire et évolutif. Les ordinateurs portables
Plus en détailLogiciel Survey Pro. Équipé de Spectra Precision Central : La solution cloud de Spectra Precision. Survey Pro: le meilleur, tout simplement
Logiciel Survey Pro Équipé de Spectra Precision Central : La solution cloud de Spectra Precision Survey Pro: le meilleur, tout simplement SURVEY PROSimplicité, fiabilité et sécurité Carnet de terrain Spectra
Plus en détailAnalyse de la vidéo. Chapitre 4.1 - La modélisation pour le suivi d objet. 10 mars 2015. Chapitre 4.1 - La modélisation d objet 1 / 57
Analyse de la vidéo Chapitre 4.1 - La modélisation pour le suivi d objet 10 mars 2015 Chapitre 4.1 - La modélisation d objet 1 / 57 La représentation d objets Plan de la présentation 1 La représentation
Plus en détailCONCOURS DE L AGRÉGATION INTERNE «ÉCONOMIE ET GESTION» SESSION 2015 SECONDE ÉPREUVE
CONCOURS DE L AGRÉGATION INTERNE «ÉCONOMIE ET GESTION» SESSION 2015 SECONDE ÉPREUVE Épreuve de cas pratique dans la spécialité correspondant à l'option choisie par le candidat Option D Durée de préparation
Plus en détail