L adolescent dans sa famille
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- Véronique Boudreau
- il y a 9 ans
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1 L adolescent dans sa famille L évolution de l interaction parents-enfants à l adolescence D une manière générale, l entrée dans l adolescence d un enfant va avoir des incidences sur les relations intrafamiliales. Dans le comportement de l adolescent en effet, on pourra observer deux mouvements: * une distanciation de la famille * la redéfinition de sa position au sein de celle-ci. Cette redéfinition passe par des apprentissages, des épreuves. Les échanges entre l adolescent(e) et ses parents évoluent donc avec l adolescence, mais aussi durant l adolescence. Ces changements seront discutés à la lumière des trois indicateurs suivants: la quantité, le contenu, la conflictualité. Changement en quantité Globalement, le temps passé en famille diminue à l adolescence, que ce soit dans la famille biparentale ou monoparentale. Mais dans les familles biparentales, la diminution porte surtout sur le temps passé avec la mère, alors qu il n y a pas de diminution sensible du temps passé avec le père. Par ailleurs, comme le temps passé avec la mère était jusqu ici nettement supérieur au temps passé avec le père, on assiste donc à l adolescence à une rééquilibration du temps passé avec chacun des parents. Le désir d autonomie de l adolescent(e) est un facteur important de cette diminution, mais l attitude des parents y contribue aussi, car ils valorisent eux aussi l autonomisation. Les enquêtes montrent que les parents valorisent aujourd hui davantage l autonomisation qu ils ne le faisaient dans les années par exemple. De nos jours peut-être encore plus que par le passé, un autre phénomène influence aussi cette diminution du temps passé avec la mère: la reprise d une activité professionnelle de celle-ci; on note alors volontiers certains réaménagements de l horaire de la semaine. Si la mère passe ainsi moins de temps avec les enfants durant la semaine, on observe souvent une compensation par les pères durant la semaine et par les deux parents durant le week-end (Nock & Kingston, 1988). Evolution en contenu La superficialité Durant l adolescence, les échanges parents-enfants deviennent de plus en plus empreints de superficialité; les discussions ne portent plus sur l existence, sur certaines valeurs fondamentales, comme c était parfois le cas au temps de l enfance notamment avec les fameux «pourquois». Par gêne mutuelle, aucun véritable débat ne s installe sur des thèmes tels que par exemple la vie sentimentale, la sexualité, mais plutôt simplement sur les notes, les horaires de sortie ou de rentrée, l ordre, etc... 1
2 Par ailleurs, la diminution du nombre de domaines d intérêts à l adolescence et le déplacement de ces derniers vers des thèmes spécifiques souvent peu connus des parents (le sport, la musique, etc.. ) ne favorisent pas non plus la conversation. Ainsi, au pic de l adolescence, l impression de distance d avec les parents atteint un point culminant (Steinberg, 1981). En ce qui concerne les filles, l accroissement de ce sentiment de distance se fait de manière parallèle avec le père et avec la mère. Pour les garçons, par contre, cette évolution est plus prononcée avec la mère qu avec le père. De nouveaux thèmes De nouveaux thèmes apparaissent avec l adolescence dans les échanges intergénérationnels: les sorties et heures de rentrée, l argent, la vie des parents. Ce dernier thème est lié à un changement des représentations qu ont, à l adolescence, les enfants de leurs parents. En effet, alors que pour l enfant, la mère et le père étaient seulement maman et papa, pour l adolescent ils deviennent aussi des individus dans le monde, c est-à-dire des personnes qui travaillent, qui ont des soucis, une carrière, plus ou moins d amis, mais aussi qui ont des comportements plus ou moins reluisants. En conséquence, les adolescent(e)s se mettent à juger le comportement de leurs parents, à leur faire des reproches, non seulement à propos de leur comportement envers eux, mais également à propos de leur comportement comme individu, de leurs activités professionnelles, de la conduite de leur vie sentimentale. Evolution en conflictualité On dit souvent que les conflits entre enfants et parents tendent à augmenter avec l adolescence, que ce soit en intensité ou en fréquence. Or s il est difficile d avoir une mesure objective de la quantité des conflits, il est vrai que subjectivement, les adolescents ont l impression de vivre davantage de conflits avec leurs parents qu avant, même si les parents n ont pas toujours cette même impression (Smetana, 1989). La présence de tels conflits ne semble cependant pas peser nécessairement sur la relation parents-enfants ; environ 3/4 des familles disent avoir des relations chaleureuses et agréables durant l adolescence. (Palmonari, 1987) Conflits On constate que des désaccords entre parents et enfants existent depuis que l enfant est très jeune. Cependant, le fait que l adolescent répond maintenant à ses parents alors qu avant il évitait la confrontation, augmente l impression de conflit. Fréquence et intensité Dans l ensemble, les conflits sont deux fois plus nombreux avec la mère (35%) qu avec le père (14%), ceci même dans les familles où les deux parents sont présents. Le restant (51%) sont des conflits considérés comme concernant les deux parents. 2
3 En ce qui concerne l intensité des conflits, on constate qu elle évolue durant l adolescence, les conflits devenant de plus en plus orageux. Pour les filles, l intensité des conflits évolue en fonction de l âge, cette évolution étant sans rapport avec le retard ou l avance dans le développement. Pour les garçons, les conflits sont d autant plus forts que l adolescence est précoce. Mais, paradoxalement, lorsqu on les interroge, les mères estiment être davantage en désaccord avec leurs garçons lorsque ceux-ci sont retardés dans leur développement que lorsqu ils sont précoces. Objet des conflits Les conflits portent rarement sur des choses importantes, comme les valeurs, la religion, la politique, mais presque toujours à propos de circonstances de la vie de tous les jours. Durant l adolescence, on observe de légers déplacements des sujets de conflits (Smetana, 1989). Certains thèmes restent constants (vie à la maison, ménage, etc... ) alors que d autres diminuent (apparence, politesse). Certains culminent puis diminuent : les conflits sur l école et les devoirs connaissent un pic au début de la scolarité secondaire. D autres augmentent tout au long de l adolescence: les conflits sur l argent. Certains thèmes se spécialisent avec un parent plutôt qu avec l autre; par exemple, l organisation de l horaire reste un problème avec la mère mais diminue avec le père. A l inverse, les reproches sur le comportement diminuent avec la mère mais restent un objet de conflit avec le père. Argumentation/Oppositions Du point de vue argumentatif, on constate que la nature des arguments employés par les deux parties est différente: en effet, l adolescent avance plutôt des arguments personnels (désirs, autonomisation, préférences, besoins personnels etc...), alors que ceux des parents sont généralement des arguments conventionnels (droits, norme, règles, etc...) ou pragmatiques (raisons pratiques). Chose intéressante, les adolescents se disent davantage prêts à accepter les arguments des parents que l inverse. Explications théoriques des conflits intergénérationnels Dans de nombreux cas, les conflits ne sont pas seulement l issue involontaire de la relation parents-enfants, ils sont souvent recherchés par les adolescents, pour diverses raisons. On trouve plusieurs explications de la cause de ces conflits. Les interprétations psychanalytiques Blos Le psychanalyste Peter Blos (BIO) voit dans cette opposition à l adulte la manifestation et la conséquence du besoin de détachement d avec les parents, corollaire du mouvement de recherche de partenaires sexuels. 3
4 Freud L adolescent dans sa famille Pour Freud (BIO), le complexe d Oedipe (EXT) possède deux faces: il représente d une part la volonté de prendre la place du parent de même sexe et d autre part la volonté de séduire le coeur du parent de sexe opposé. Ce complexe présente une phase aiguë entre 5 et 7 ans environ puis est en quelque sorte étouffé vers 7 ans avec l endormissement de la sexualité et l entrée dans ce que Freud a appelé la période de latence. Il se résorbe plutôt qu il ne se résoud. A l adolescence, avec le réveil des pulsions sexuelles, ce complexe resurgit, mais surtout sur le plan de la volonté d opposition au parent de même sexe. Ainsi, un réveil de la pulsion sexuelle se manifeste et se déplace sur un autre objet, plus conforme socialement, et mieux accepté. L objectif est le suivant: prendre la place et l importance que le père occupe dans la famille et dans la société, qu il s agisse du père réel ou des «pères sociaux», soit la génération de ses parents. Ceci fonctionne également pour la jeune fille, qui, elle, cherchera à s opposer à la mère (VID). Mais, pour que le complexe d Oedipe joue, il importe que le père soit vécu comme fort, que sa position soit ressentie comme enviable, que le jeune ait envie de s identifier à lui, qu il rêve de pouvoir l imiter, en acquérir la place, la puissance dans la famille et dans la société. Cette vision date peut-être un peu; pour nombre d adolescents, le père n est plus cet être tout- puissant; ils le voient plus souvent privé de la capacité de décider, se faire imposer des choses qu il ne souhaiterait pas faire, être dépassé par les événements, plongé dans les difficultés, etc. Mendel On trouve alors, au sein de la tradition psychanalytique, une autre explication, capable de s appliquer à ce dernier cas, c est l explication de Mendel (1969), socio-psychanalyste influencé par Freud, mais aussi par Marx et Marcuse. Mendel fait le constat suivant: de nos jours, le père ne peut plus si facilement être pris comme le modèle auquel l adolescent peut s identifier, car son pouvoir apparaît bien diminué: son espace de décision est faible et il apparaît souvent écrasé par ses obligations, son patron, les institutions, la société technologique, etc. L adolescent ne désire alors plus prendre sa place, mais plutôt refuse d avoir à s identifier à lui, d où un rejet, un refus de l héritage socio-culturel et des valeurs que le père représente. Cette attitude peut déboucher sur le refus de mûrir, ou l opposition au père. Mais le problème de cette explication réside dans le fait que les conflits ont autant lieu (si ce n est plus) avec la mère qu avec le père, quel que soit le sexe de l adolescent. Pour Mendel, le conflit avec la mère existe, parce que dans notre inconscient, depuis la plus tendre enfance, la mère a toujours été la personne qui crée, qui engendre le bon (la nourriture, le calme) et le mauvais (les frustrations). Sur cette image de la mère comme créatrice de tout, l adolescent va naturellement constituer l idée que les choses qui écrasent le père ont été engendrées par celle dont tout naît: la mère, ou plutôt la femme en général, personnalisée dans la famille par la mère. 4
5 L interprétation mendélienne va donc au-delà de la famille proprement dite, même si elle prend les membres de celle-ci comme cible. La crise des générations représente alors en quelque sorte pour Mendel un phénomène réactionnel à l emprise progressive de la société sur l homme. Les explications socio-psychologiques Schachter (1951) Selon Schachter (1951), entrer en conflit permet de recevoir de l attention et de se faire reconnaître comme individu à part entière. Le conflit revêt ainsi une importance certaine: les expériences de groupes de discussion montrent en effet que le personnage qui adopte une attitude ou un jugement déviants par rapport à l avis qui prévaut dans le groupe se voit certes rejeté par le groupe, mais il reçoit beaucoup plus d attention (mesurée par exemple par le nombre des échanges verbaux qui lui sont directement adressés) qu un personnage qui se conforme aux avis émis par le groupe. La recherche d attention peut aussi prendre des formes détournées, non verbales. On note par exemple assez fréquemment qu à l adolescence, les jeunes utilisent des objets que valorisent les parents pour entrer en conflit avec eux (par exemple, vase chinois, souvenir de...etc), ou les matières scolaires; délibérément «plonger» dans celles-ci pour faire réagir les parents constitue une manière relativement fréquente d attirer l attention à l adolescence. Ausubel L explication d Ausubel (1954, 1970) met la responsabilité autant sur les parents que sur l adolescent. Pour lui, le conflit provient du choc entre la recherche d indépendance, de self-governance de la part de l adolescent, et du refus de l accorder de l autre, ce refus étant lié aux habitudes éducatives prises par les parents lorsque leur enfant était jeune. Aux yeux d Ausubel existent fondamentalement trois habitudes éducatives différentes, trois formes de rapports entre parents et enfants: le rejet, la surévaluation et la satellisation de l enfant. Chacune de ces trois formes va se résoudre à l adolescence par des conflits spécifiques. Le rejet de l enfant par les parents Ce rejet est soit réel, soit ressenti comme tel par l enfant. Avec l âge, l impression de rejet devient de plus en plus forte, du fait notamment que les signes affectifs directs diminuent, et que, comme chacun le sait, l adolescent se présente toujours sous des aspects moins aimables que le jeune enfant. Face à ce rejet, l adolescent réagit de plus en plus fort, ce qui donne lieu à une boucle inflationniste et des conflits de plus en plus violents. La surévaluation de l enfant Cette habitude éducative apparaît notamment lorsque les parents n acceptent pas l enfant tel qu il est, mais le prennent pour ce qu ils n ont pas réussi eux-mêmes à être, pour ce qu ils voudraient qu il soit. Cela correspond en fait à un rejet de l enfant tel qu il est. La surévaluation débouche aussi sur la révolte de l enfant puis de l adolescent contre les parents, l adolescence se marquant précisément par la crise d identité (Erikson,1972), la révolte de ne pas être accepté tel qu on est. 5
6 La satellisation Dans cette situation qui ne se crée que si elle est acceptée par les deux partenaires, les parents acceptent de jouer le rôle de «soleil» et les enfants celui de «satellite». C est la situation appropriée pour l enfance, et celle qui à ce stade conduit à un nombre réduit de difficultés. A l adolescence, la situation dégénère parce que le désir du jeune d acquérir son indépendance va priver les parents de leurs satellites, c est-à-dire finalement de ce qui faisait leur image de parent. Ceux-ci, ayant pris l habitude et appréciant avoir un satellite, ne sont pas prêts à s en passer. La désatellisation implique un changement de statut non seulement du jeune (du statut de satellite de ses parents à celui de planète pour elle-même) mais aussi des parents. Le mode de résolution de cette situation passe souvent par la resatellisation, c est-à-dire la recherche d un statut, et d un nouveau «soleil» ( ami, mentor, modèle, groupe, etc...). Mais cette opération inverse de resatellisation est encore plus difficile que la désatellisation. Lewin Chez Lewin (1947), le conflit est l occasion d un renouveau de la communication, une nécessité fonctionnelle permettant le changement. Pour ne pas faire éclater le groupe dans lequel il apparaît, le conflit pousse à la négociation puis au changement. Les recherches montrent que le changement le plus important a lieu suite à un conflit plutôt que dans une situation où le pouvoir essaie d imposer quelque chose. Les explications cognitives Les explications cognitives ne doivent pas être négligées; de nombreux conflits entre adolescents et parents ont, en effet, davantage lieu pour des questions de forme que de fond. Augmentation de la capacité et de la volonté argumentatives A l adolescence, la capacité de raisonnement devient plus solide et l adolescent devient capable de raisonner sur du possible et même de l impossible. (voir développement cognitif au stade des opérations formelles (Piaget, BIO) Sa confiance dans la toute-puissance de sa logique est alors souvent exacerbée. Il entre en conflit pour tester sa propre capacité à argumenter, se mesurer sur le plan de la rhétorique. Il cherche l argument, la discussion philosophique. Il se fera peut-être même l avocat du diable. Par la même occasion, il cherche aussi à tester la solidité argumentative des autres et de ses parents en particulier. Le besoin d explications Muni de sa nouvelle logique, l adolescent ne se contente plus d ordres, de justifications branlantes; il se met à demander des explications plus solides, plus cohérentes et plus claires sur lesquelles il pourra exercer sa sagacité et son raisonnement nouveau. Il poussera les parents dans leurs retranchements pour tester leur «solidité intellectuelle», la logique de leur discours. 6
7 L impact des situations familiales post-modernes sur le développement de l enfant et l adolescent Les conséquences du travail de la mère La première conséquence du travail de la mère sur l enfant et l adolescent est une diminution du temps qu elle peut leur consacrer. On ne dispose par contre que de peu de données sur le temps que passe le père en compagnie de ses enfants adolescents, excepté qu on peut observer deux mouvements: les pères qui sont plus impliqués et ceux qui se désengagent totalement (Furstenberg, 1990). Il manque également des données sur la manière dont la nouvelle division du travail affecte l exercice des responsabilités parentales. Quant aux résultats concernant les effets du travail de la mère sur le développement des adolescents, ils sont globalement plutôt positifs. On peut en effet observer dans ce cas: * une augmentation du degré de maturité des adolescents * une meilleure image de la femme Gelles (1987) observe même que lorsque la mère travaille à l extérieur, on constate moins de violence parentale de la part de la mère, dans le cas où le travail à l extérieur s accompagne d une diminution de l importance et du stress lié au travail ménager. Il y a généralement aussi diminution de la violence de la part du père parce que le fait que sa femme contribue également à l entretien de la famille diminuera à ses yeux son image de père tout-puissant, image dont on sait qu elle est un facteur important des réactions de violence du père à l égard de sa famille. Ainsi, la question n est pas tant si la mère travaille ou non, mais dans quelles conditions celle-ci travaille: volontairement ou parce qu elle y est forcée, sous stress, etc... D autres variables entrent également en jeu: sexe, âge, classe sociale, personnalité de l enfant et surtout qualité de la structure de compensation (Belsky, 1990). Les effets du divorce sur l adolescent Le divorce ne reste pas sans effet sur les enfants. Certaines expériences ou réactions consécutives au divorce se retrouvent chez les enfants de tous âges, alors que certaines sont spécifiques aux adolescents. Dans le cas où le divorce survient alors qu un enfant se trouve en période d adolescence, celui-ci doit faire face à la fois à la transition naturelle de l adolescence et à la transition de la situation familiale (Hetherington & Anderson, 1987). La plupart des adolescents passent par une période de perturbation qui suit le divorce mais s en remettent, alors que d autres souffrent d un retard de développement (EXT). Lorsque le divorce se passe avant l adolescence, il peut arriver que les effets du divorce ne se manifestent que plus tard, au moment de l adolescence (Hetherington, 1989). Selon Hetherington (1991), dans la période qui suit immédiatement le divorce, les enfants de tous âges, y compris les adolescents, sont affectés par : 7
8 * l absence du parent ayant quitté le domicile (le père généralement) * le stress lié aux conflits entre les parents * la désorganisation familiale * l appréhension due à l adaptation nécessaire aux nouvelles relations avec les parents Consécutivement à cela, peuvent apparaître : * une perturbation du comportement : notamment de fréquentes manifesta tions d agressivité * un bouleversement émotionnel * un sentiment de colère, de ressentiment * de l anxiété * de la dépression * de la culpabilité L impact des relations familiales complexes On connaît peu l impact de ces relations sur le fonctionnement de la famille, mais on sait que les principales difficultés se situent au niveau de la gestion des rivalités, de l établissement de relations de confiance, ainsi que de la maîtrise de l attraction sexuelle (EXT). Une étude a montré que les adolescents ne sont qu occasionnellement intégrés dans les réseaux familiaux ou sociaux des belles-familles (Furstenberg, 1990). Mais aucune étude n éclaire les effets de ces liens au cours de l adolescence ou plus tard (EXT). A plus long terme, il semble qu on puisse observer certains effets du divorce et de la reconstitution de familles sur les comportements face au mariage et à la grossesse. La violence à l égard des enfants Définition Une constante apparaît dans les différentes manières de circonscrire la notion de violence, et plus précisément la violence envers les enfants et les adolescents: la nécessité de tenir compte de toutes ses formes, y compris la violence psychique. Voici quelques exemples de définition: «Doivent être considérés comme de la violence tous les actes ou omissions qui mettent en danger la vie d un individu, son intégrité physique ou psychique, sa liberté ou son développement personnel.» (Recommandation du Conseil des ministres des Etats membres du Conseil de l Europe, 1985 ) (EXT). «Le concept de maltraitance envers les enfants évoque encore, la plupart du temps, à la conscience du public et des professionnels, l image d enfants gravement blessés physiquement. Cette représentation erronée des phénomènes de maltraitance ne tient pas compte de leur complexité. 8
9 La maltraitance se définit par rapport à ses effets destructeurs sur la santé et inhibiteurs des potentialités de développement physique, psychique et social des mineurs. Elle s exerce par les soins inadéquats, les carences d apports, les agressions envers enfants qui portent atteinte à leur santé et entravent leur développement somatique, psychique et social.» Enfance maltraitée en Suisse, rapport présenté par le Groupe de travail Enfance maltraitée, Berne, juin 1992 Selon Jean-Pierre Pourtois (1995), la maltraitance pose la question du sens et de l orientation de l éducation qui s opère dans et par la famille ; la maltraitance s avère être en effet révélatrice d un processus éducatif particulier, alors que le plus souvent elle est réduite à ses dimensions observables de violence physique incontrôlée vis-à-vis de l enfant. Dans la définition de la violence, il importe de tenir compte également des sévices psychiques afin que l enfant soit considéré dans sa «totalité d être» : «(...) une définition opérationnelle de la maltraitance doit nécessairement intégrer les trois dimensions majeures que sont les sévices physiques, les sévices psychiques et la maltraitance.» Pourtois propose ainsi d élargir l acception du terme de maltraitance à «toute forme de comportement parental mettant en péril un besoin fondamental de l enfant». (p.18) Ampleur du phénomène Si l on essaie de mesurer l ampleur du problème de la maltraitance, on se heurte au fait que dans la réalité, le concept de mauvais traitement est pris dans son sens le plus étroit: seuls les cas les plus graves aboutissent en justice. Les statistiques ne montrent ainsi que la pointe de l iceberg. On considère que seulement 5 % des cas de violence à l encontre des enfants et adolescents sont reconnus et jugés comme tels (Perrez & Moggi, 1993). De plus, seul un sur cinq cas annoncés aboutit en jugement, ce qui mène alors au chiffre de à cas d abus par an en Suisse. Ce chiffre a été avancé en 1986 par l agence de presse des enfants «kinag» (Kindernachrichtenagentur). On appelle processus de «filtrage» (EXT) ces sélections qui interviennent entre l annonce, la plainte et le jugement. Des statistiques issues d autres sources viennent corroborer ces estimations. En effet, l ampleur du phénomène s observe également dans les données recueillies auprès d institutions médicales et sociales. De nombreux cas sont découverts dans ces services, sans qu ils n apparaissent pour autant dans les statistiques criminelles. Par exemple, au Service universitaire de psychiatrie de l enfant et de l adolescent à Lausanne, il s est avéré que 190 patients sur 369 reçus en 1989 avaient subi des mauvais traitements infantiles, ce qui représente 51 % des cas. A la clinique médicale et chirurgicale de l Hôpital de l Ile à Berne, 63 % des 355 enfants traités entre 1974 et 1989 avaient subi des mauvais traitements, et 37% en étaient fortement menacés. D autre part, le groupe interdisciplinaire de ce même service a mis en évidence une forte augmentation des cas de maltraitance suite au travail d information du public ainsi que des efforts de supervision et de formation continue (Perrez & Moggi, 1993, p. 116). En ce qui concerne la violence sexuelle, une enquête réalisée par l Institut de médecine sociale et préventive de l Université de Lausanne (Michaud, 1994) pour le compte de l Office de la Santé Publique auprès de adolescents en Suisse, a émis les données suivantes: 9
10 la violence sexuelle touche actuellement en Suisse 18% des filles et 4% des garçons 82 % des mauvais traitements ont lieu à l intérieur de la famille au sens large. Mauvais traitements et âge La maltraitance ne concerne pas que les petits enfants. Selon une étude prospective en Suisse ( ), 23,6 % des cas annoncés entre le et le , (soit une période d un an) concernaient des jeunes âgés de 12 à 16 ans. Bien sûr, ces chiffres présentent certainement une distorsion différente selon les catégories d âge puisque la violence est plus difficile à débusquer avant l école que chez les enfants d âge scolaire. Les traces de violence peuvent en effet apparaître lors de la visite chez le médecin scolaire, à la piscine...etc. L entrée à l école représente par ailleurs une occasion pour l enfant de découvrir un autre mode de fonctionnement social, d autres valeurs, et en cela offre un point de comparaison avec ce qu il vit à la maison. Il aura également la possibilité de nouer une relation privilégiée, une relation de confiance avec une personne extérieure à la famille, son enseignant(e), à qui il pourra éventuellement se confier. Fréquence selon le sexe de l enfant Globalement, les victimes de mauvais traitements sont plus souvent des filles. Mais cette différence est principalement due aux violences à caractère sexuel qui touchent de manière nettement différente les filles que les garçons. Quant aux mauvais traitements non sexuels (physiques et/ou psychiques), ils atteignent plutôt les garçons. filles garçons violence en général 55,5 % 44,5 % violence sexuelle 78,2 % 21,8 % violence physique/psychique 45,8 % 54,2 % Typologie des mauvais traitements Le rapport Enfance maltraitée en Suisse (1992) distingue, à des fins didactiques, différents types de mauvais traitements: * les négligences * les mauvais traitements psychologiques (chantages, punitions, menaces, enfermement, etc...) * la maltraitance physique (coups à main nues ou avec objet, sévices, brûlures, etc...) * l abus sexuel Dans la réalité, ces diverses formes de maltraitance apparaissent souvent conjointement. En effet, dans les milieux dans lesquels la violence domine, celle-ci se manifeste généralement sous diverses formes. Il reste cependant que la violence sexuelle correspond à une problématique différente de celle des négligences et de la violence physique et psychique, notamment en regard de sa complexité et de l extrême gravité de ses conséquences. 10
11 La description de ces types de violence est tirée du rapport précité. Les négligences Cette forme de maltraitance touche des jeunes de tous les âges et débute généralement très tôt dans l enfance. Elle se manifeste sous la forme de carences, que ce soit au niveau alimentaire, relationnel ou par une hygiène défectueuse. Il s agit de la forme de mauvais traitements la plus répandue. Elle est souvent la résultante des conditions de vie des parents qui, débordés par leurs propres problèmes, sont incapables d engager une relation harmonieuse avec leur(s) enfant(s). Ces derniers sont perçus alors comme une charge. Un diagnostic précoce ainsi qu un traitement approprié sont rarement faits à temps; les négligences conduisent alors souvent à des arriérations mentales à divers degrés, des difficultés d apprentissage scolaire, des perturbations de l attention ou de la concentration, ainsi que des troubles du langage. Une prévention efficace nécessite la détection précoce des contextes à risque et un suivi dès le plus jeune âge de ces enfants. Les mauvais traitements psychologiques Ce type de mauvais traitements peut se manifester autant dans des contextes institutionnels, nourriciers et scolaires que familiaux. Ils apparaissent sous différentes formes: * lorsqu un enfant ou un adolescent est pris comme bouc émissaire par un adulte qui l a pris en grippe, le menace, le critique, l isole ou le punit de manière inadéquate (Garbarino, Guttmann & Seeley, 1986). Ces agressions ont des effets destructeurs sur l estime de soi des jeunes qui en sont victimes. * des systèmes éducatifs trop rigides: le jeune n a pas droit à son individualité, ses sentiments, ses idées ou ses projets. Les effets peuvent consister en de sévères troubles d individuation dont les symptômes éclatent souvent à l adolescence: troubles du comportement, déficits du rendement scolaire, tentatives de suicides, psychoses, troubles psychosomatiques (dont anorexie et obésité), toxicomanies. * une inversion des rôles: il arrive que des parents immatures cherchent soutien et réconfort auprès de leur(s) enfant(s). De telles situations, qui souvent apparaissent sur fond d alcoolisme ou de dépression, s avèrent ingérables pour les enfants. * un autre cas de maltraitance est celui où un jeune est pris dans les turbulences du déchirement entre ses parents et où chacun des deux essaie de l attirer dans son camp. L enfant assiste parfois à des scène de violence, cela occupe constamment sa pensée et ses sentiments, le laissant dans l angoisse qu il arrive un accident. La maltraitance physique Il arrive que des adultes ne se maîtrisent plus et se déchargent sur leurs enfants de tensions accumulées. Sur le moment, ils ne voient plus en ces derniers des êtres humains, et sont affolés de constater le résultat de leurs actes lorsqu ils reviennent à eux. Les effets des mauvais traitements physiques sont de gravités diverses, allant parfois jusqu à la mort: troubles neurologiques, sensoriels, arriérations mentales, lésions plus ou moins réversibles de différents organes. Les mauvais traitements sont souvent accompagnés d effets psychiques. 11
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