D'après photos Eurokoumé Leroy Gabon
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- Violette Briand
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1 D'après photos Eurokoumé Leroy Gabon
2 Fondements techniques souhaitables des négociations internationales forestières Document diffusé par la France lors des réunions préparatoires à la CNUED Face au foisonnement actuel d'initiatives internationales portant sur la forêt, certains pays ont fait connaître leurs interrogations, voire leur scepticisme, quant à la possibilité de négocier des accords qui soient à la fois concrets et respectueux des spécificités écologiques, économiques et sociales qui caractérisent le contexte forestier de chaque grande région du monde. Néanmoins un accord international peut vraisemblablement se dégager autour des trois principes suivants : reconnaissance du rôle de la fo rêt dans la constitution du cadre de vie des sociétés humaines, notamment en ce qui concerne le maintien des sols, l'économie de l'eau, l'impact sur le climat, l'harmonie des paysages, et d'une façon générale la production pérenne de biens et de services, nécessité impérative de situer la conservation et la mise en valeur des forêts (et des produits fo restiers) dans une approche globale d'aménagement du territoire, intégrant les aspects écologiques, sociaux et économiques, reconnaissance de l'opportunité d'une approche qui soit pertinente à la fois pour les forêts tempérées, boréales et tropicales, reposant sur le concept de gestion durable des ressources naturelles renouvelables, décliné suivant les grandes zones écologico-socio-économiques. QUELQUES SUJETS SENSIBLES Le succès de telles négociations internationales dépendra grandement de la capacité à aborder ensemble certains sujets sensibles, dont la complexité est parfois masquée par de fausses évidences, la passion ou la polémique. Sur chacune de ces questions, il est indispensable de promouvoir une approche raisonnée et raisonnable. 1. Les surfaces fo restières et les modes de gestion de ces surfaces sont, avant tout, la résultante d' équilibres socio-économiques qui se jouent, pour une part importante, en dehors du territoire fo restier. Le niveau général de satisfaction des besoins alimentaires et énergétiques (pour le chauffage et la cuisson des aliments) est en effet l'élément déterminant dans la fixation de ces équilibres de surface entre la forêt et l'agriculture, toujours remis en cause par l'évolution démographique, les progrès des rendements agricoles, le développement des agglomérations situées à proximité, les successions d'années sèches, etc. Il est donc illusoire de prétendre traiter de façon pertinente les problèmes fo restiers dès lors qu'ils ne sont pas intégrés dans une approche globale d' aménagement du territoire.
3 2. Dans ce contexte, il est logique que les territoires fo restiers puissent fluctuer dans des proportions importantes en quelques siècles, à la condition que le potentiel de production des sols et la diversité biologique soient préservés, garantissant ainsi la réversibilité du processus. Au cours des vingt derniers siècles, la surface de la fo rêt française a connu plusieurs cycles de contractions et d'extension. Le doublement de surface au cours des deux derniers siècles, après une phase de contraction de trois siècles aboutissant à 7 millions d'hectares à la fin du XVIII' siècle, est largement dû aux effets bénéfiques de la révolution agricole et industrielle qui s'est amorcée au XIX' siècle. Les temples mayas et cambodgiens en pleine forêt tropicale sont les témoins d'une époque où le dynamisme social et économique des sociétés correspondantes avait largement reculé les limites de la fo rêt. Il est néanmoins probable que l'évolution démographique et économique actuelle augmente fortement le risque que les évolutions constatées dans certaines régions du globe ne se fassent toujours dans le même sens, et ne soient pas facilement réversibles pour cause d'érosion. Néanmoins refuser d'appréhender cette dynamique spatiale et temporelle dans les discussions internationales conduit à vouloir figer la situation existante qui n'a probablement rien d'optimale. 3. Lhistoire fo restière est souvent faite d'une longue succession de conflits entre les fo restiers et les communautés rurales sur l'usage des territoires boisés. En Europe, berceau de la fo resterie, elle a néanmoins abouti, à fo rce de patience, à un certain équilibre dans l'aménagement du territoire, permettant la protection des sols et des bassins versants, la production forestière, l'exercice de la chasse, la conservation des biotopes intéressants, la fréquentation touristique... Les équilibres trouvés ont su évoluer en fonction du contexte socio-économique général de l'espace rural, et notamment de l'agriculture. Cette histoire tumultueuse permet de mieux comprendre la nécessité d'une approche globale des problèmes que connaissent les communautés rurales. Les actions forestières doivent prendre en compte les impératifs agronomiques et socio-économiques des sociétés au sein desquelles elles s'inscrivent. 4. Les écosystèmes forestiers présentent un niveau de complexité élevé dans l'organisation spatiale et temporelle de l'occupation d'un territoire. Ils sont souvent fragiles et exigent une politique de gestion respectueuse de leurs modes de fonctionnement et de régénération. Face à un nouveau problème écologique ou à une incertitude sur les grands problèmes qui agitent l'opinion publique internationale, la tendance générale actuelle est de privilégier la recherche et, dans l'attente de résultats longs à venir, de proscrire les actions de gestion, en prônant une politique strictement conservatrice. Ceci est tout particulièrement vrai pour les forêts tropicales, alors qu'on admet généralement la légitimité d'une action de gestion parallèle à un effort de recherche dans le domaine des forêts tempérées. C'est oublier que, dans la plupart des cas, les grandes lois écologiques sont d'ores et déjà suffisamment connues pour pouvoir apprécier qualitativement l'impact des grandes orientations possibles, même s'il est incontestablement nécessaire de renforcer l'effort parallèle de recherche. Il est plus que jamais nécessaire de ne pas réduire les problèmes de gestion des forêts au domaine de la recherche ou à une politique de mise en réserve intégrale, et de préconiser un équilibre entre recherche, gestion et conservation. 5. Après avoir donné, de façon probablement excessive, la priorité au domaine économique dans l'élaboration des projets de coopération internationale, il serait tout aussi illégitime et illusoire de vouloir désormais ne considérer que les seuls aspects touchant à la protection de l'environnement. Cette crainte n'est pas dénuée de fondements pour ce qui concerne les débats qui mobilisent l' opinion publique internationale et sollicitent une implication des gouvernements. Les pays en voie de développement sont en droit de redouter de faire les frais des préoccupations écologistes des sociétés prospères. Tout particulièrement dans le domaine 115
4 fo restier, l'expérience européenne montre néanmoins qu'économie et environnement ne sont pas nécessairement antagonistes. La foresterie européenne a fait les preuves de sa capacité à assumer toutes les contraintes d'une gestion patrimoniale sans négliger les préoccupations économiques. Il est donc nécessaire de préconiser une démarche globale associant développement économique et actions de protection de l'environnement. Très vraisemblablement, dans un premier temps ceci conduit à zoner très clairement la plupart des territoires forestiers selon leur vocation principale. 6. Une des conditions préalables à l'efficacité de politiques forestières consiste dans la clarification de la situation foncière, permettant d'identifier et de responsabiliser les acteurs impliqués dans les changements d'affectation du sol. Le long terme inhérent aux opérations fo restières est incompatible avec l'incertitude dans l'affectation du sol aux différents usages possibles. Tant que cette incertitude n'est pas levée dans le cadre de la définition du droit de propriété et/ou d'usage local, l'essentiel de l'énergie des administrations forestières et des communautés rurales est absorbé par des conflits sur les lisières, empêchant les investissements à long terme dans la gestion des massifs forestiers. Aider les pays qui le souhaitent à avancer dans la clarification de leur situation foncière (dans le respect de leurs caractéristiques nationales en matière de droit de propriété et d'usage), grâce à la technicité des pays européens en matière de cadastre ou de livres fonciers, pourrait représenter un chantier prioritaire. 7. Beaucoup des problèmes les plus << choquants >> pour les experts et l'opinion publique tiennent à des situations de gaspillage de ressources rares, et non au principe même d'une exploitation raisonnée de ces ressources. C'est le cas des modes de combustion du bois énergie, ainsi que d'un certain nombre de pratiques agricoles et forestières grandes consommatrices d'espaces nouveaux ou d'espèces très particulières. Une politique de vulgarisation technique prenant en compte l'ensemble des objectifs et des contraintes des acteurs locaux peut aider à faire évoluer ces situations. En matière d'exploitation forestière, une politique cohérente de protection intégrale de certains massifs doit s'accompagner d'une optimisation des modes d'exploitation sur le reste du territoire forestier, éliminant les gaspillages dans le choix des essences exploitées. I.:actuelle polarisation du débat écologique autour des flux internationaux de bois tropicaux illustre de ce point de vue, dans la très grande majorité des cas, une insuffisance d'analyse. La réduction, ou l'élimination des gaspillages passe nécessairement par la compréhension et la maîtrise des mécanismes économiques de filières (production, récolte, échanges ou commercialisation, transformations éventuelles, consommation). Laménagement forestier doit donc intégrer les préoccupations de l'ensemble des acteurs, responsabiliser les exploitants forestiers avec l'octroi de concessions longues, et mettre en œuvre des dispositions permettant de reconstituer la ressource après exploitation. 8. Le système économique actuel ne permet généralement pas de couvrir à long terme les risques financiers inhérents à la production forestière. Dès lors, les mécanismes qui financent les opérations fo restières sont très souvent largement inadaptés à la longueur des cycles de production, principalement quand les opérations de plantation ou de gestion concernent des bois d'œuvre. En l'absence d'acteurs économiques trouvant leur intérêt particulier dans la gestion fo restière, et compte tenu d'une incapacité d'autofinancement local pour des opérations à rentabilité très différée, les financements publics, nationaux ou internationaux sont tout au plus, dans leurs modalités actuelles, capables d'accompagner les dix ou vingt premières années d'investissement, ce qui limite leur champ d'application à la production de bois de trituration ou de bois énergie. La révision de ces mécanismes de financement, et la contractualisation de l'aide pour une durée adaptée aux cycles biologiques fo restiers sont indispensables pour accroître l'efficacité des actions internationales concertées.
5 Huit domaines d'action Parmi l'ensemble des préoccupations ou projets qui mobilisent l'attention des responsables forestiers et des opinions publiques, huit correspondent à des enjeux majeurs, aussi bien dans la zone tempérée que tropicale ou subtropicale. À ce titre, ces domaines d'action possible méritent plus particulièrement une réflexion et une action concertées, valorisant la richesse et la diversité des savoir-faire et des expériences, et associant des opérations de recherche, de formation et de gestion. 1. Les politiques d'affectation des terres entre l' agriculture et la forêt, passant par une bonne gestion du potentiel de production des sols et l'entretien de leur fertilité. Pour protéger efficacement les territoires forestiers, il est indispensable d'améliorer la productivité et la sédentarisation de l'agriculture. 2. La protection des biotopes les plus intéressants et la conservation des ressources génétiques, passant par une politique de mise en réserve de certains territoires ou par des modalités particulières de gestion. 3. La réduction des incendies de fo rêts et de végétations sub-forestières, et la limitation des processus d'érosion des sols et de dégradation des formations végétales qui les accompagnent généralement. 4. La gestion durable des peuplements fo restiers, impliquant des modes d'exploitation et de régénération adaptés, prenant en compte les modalités de fonctionnement et les risques de dysfonctionnement des écosystèmes fo restiers, tout spécialement pour les plus fragiles d'entre eux. 5. Les politiques de boisement et de reboisement, permettant la fourniture de biens et de services adaptés aux besoins des populations locales et du marché, tout en s'efforçant de créer des peuplements écologiquement en équilibre. 6. La réduction des gaspillages dans l'exploitation et la valorisation du bois. 7. I:utilisation du bois dans la construction, premier débouché de ce matériau dans l'hémisphère Nord. 8. La valorisation énergétique de la biomasse, selon des procédés techniquement performants, dans le cadre d'une gestion rationnelle de la ressource, permettant d'économiser autant que possible des énergies fossiles. Extrait de La gestion durable des forêts françaises1, plan national de mise en œuvre de la déclaration de principes forestiers adoptée par la CNUED (Rio de ja neiro, 1992), Ministère de l'agriculture et de la Pêche, avril 1994, 76 pages. Ce document, du plus grand interet, est tout entier consacré à la présentation des orientations de la politique française en la matière.
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