Les conséquences reliées aux ITS

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les conséquences reliées aux ITS"

Transcription

1 Bulletin d information de santé publique MAURICIE ET CENTRE-DU-QUÉBEC VOLUME 12, NUMÉRO 2 AVRIL 2003 NUMÉRO SPÉCIAL SUR LE VIH/SIDA ET LES ITS Voici un numéro spécial du bulletin La Santé contagieuse portant sur le VIH/sida et les infections transmissibles sexuellement (ITS).La prévention demeure au cœur de nos interventions et nous continuons d y croire plus que jamais! D ailleurs, à l automne 2003, vous serez invités à une journée d échanges dont l objectif est de nous outiller davantage en prévention auprès des clientèles les plus à risque. Vous savez,tout comme nous,que cela représente de gros défis! C est donc avec la volonté d être SOLIDAIRES DANS LA PRÉVENTION en VIH/sida et ITS que nous vous invitons à lire ce numéro spécial. Bonne lecture! Les conséquences reliées aux ITS Marie-Paule Gauthier Infirmière B. Sc. Environ 70 % des femmes atteintes de chlamydiose génitale et 50 % des hommes infectés ne présentent pas de symptômes et une grande partie de ces infections ne serait pas diagnostiquée. Cette situation peut entraîner une atteinte inflammatoire pelvienne de l ordre de 20 à 25 % chez les femmes qui ne sont pas traitées. Des douleurs pelviennes chroniques, une salpingite, une grossesse ectopique et une infertilité tubaire sont d autres conséquences qui peuvent survenir suite à une infection gonococcique et à une chlamydiose génitale nontraitées. Soulignons que la probabilité de l infertilité tubaire peut atteindre jusqu à 60 % selon le nombre d épisodes d atteintes inflammatoires pelviennes. Membres de l équipe MTS-sida Direction de santé publique Quant au virus du papillome humain, des études ont démontré l existence d un lien entre cette infection et des lésions précancéreuses du col de l utérus et des organes génitaux chez l homme. L herpès génital peut entraîner des répercussions psychosexuelles chez certaines personnes comme la phobie d infecter l autre ou l abandon de toutes relations sexuelles. Une autre conséquence importante reliée aux ITS virales et bactériennes est que celles-ci facilitent la transmission du VIH. Leur présence chez des personnes qui ont le VIH augmenterait la quantité de virus dans leurs sécrétions génitales, tandis que les personnes qui n ont pas le VIH mais qui ont une ITS seraient plus sujettes à contracter le VIH en raison de l inflammation ou de l ulcération de la muqueuse. Les coûts d hospitalisation, de traitements, de services, la perte de revenus sont d autres conséquences reliées aux ITS. Enfin, les ITS peuvent être transmises aux nouveaux-nés. 1

2 Savez-vous ce que sont les ITS? Les ITS, ce sont les maladies transmissibles sexuellement (MTS) renommées au goût de la nomenclature internationale. L acronyme ITS veut donc dire «infections transmissibles sexuellement». L utilisation du mot «infection» plutôt que «maladie» convient mieux puisque toutes les personnes infectées ne sont pas malades. La chlamydiose génitale, la ITS à déclaration obligatoire la plus fréquente La chlamydiose génitale est la ITS à déclaration obligatoire la plus fréquente au Québec et dansla région de la Mauricie et du Centre-du-Québec. Les jeunes femmes de 15 à 19 ans sont les plus touchées. Au Québec, bien que le taux d incidence ait diminué entre 1992 et 1995, on observe une augmentation de 63 % des cas déclarés de chlamydiose entre 1996 et Les femmes (72 % des cas), particulièrement âgées de 15 à 24 ans, sont touchées par cette ITS. Cette situation est comparable dans notre région. Chlamydiose génitale Taux d incidence (nombre de cas par 100,000 personnes), région de la Mauricie et Centre-du-Québec et province de Québec) Le condom, plus que jamais! Inciter les personnes à adopter et à maintenir un comportement sécuritaire est, il va sans dire, le principal défi que les médecins et les intervenants ont à rencontrer. Une fois le climat de confiance installé, il est primordial d accompagner la personne dans cette démarche en : créant ou renforçant chez la personne le besoin d utiliser le condom ; discutant des facteurs qui favorisent ou qui font obstacle à l utilisation du condom ; échangeant avec la personne sur des solutions qui favoriseraient un changement progressif de comportement ; Nombre de cas de Chlamydiose génitale par sexe et par année en Mauricie et Centre-du-Québec assurant un soutien et un suivi en ce qui a trait aux efforts exigés pour le maintien du comportement. Marie-Paule Gauthier Infirmière B. Sc. 2

3 La détection de C. trachomatis Le test d amplification des acides nucléiques selon la méthode PCR est recommandé pour le dépistage de C. trachomatis (et l infection gonococcique) en raison des avantages définis ci-après. La performance du test : sensibilité entre 94,4 % et 95,5 % et spécificité entre 99,8 % et 100 %. Le test peut être effectué sur un prélèvement urinaire. Le dépistage est ainsi plus facile à réaliser particulièrement chez les hommes qui sont plus réticents à se faire tester. Notons que ce test peut se faire également à partir des sécrétions génitales (col chez la femme, urètre chez les deux sexes). Le test est disponible dans la région (CHRTR). Le traitement de la chlamydiose génitale Le traitement de choix chez les adolescents et adultes qui présentent une infection urétrale, endocervicale et rectale est l Azithromycine, 1 g p.o. en une dose. Les alternatives sont Doxycycline, 100 mg p.o. bid x 7 jours ou Ofloxacine, 300 mg p.o. bid x 7 jours. Chez les femmes enceintes ou qui allaitent, Amoxicilline, 500 mg p.o. bid x 7 jours ou Azithromycine, 1 g p.o. en 1 dose sont les traitements recommandés. Références : Article de l Actualité médicale du 12 février 2003, «Prévention en pratique médicale», adapté d un bulletin de la DSP de Montréal- Centre. Stratégie régionale de lutte contre le VIH/sida et les MTS, Direction de santé publique de la Régie régionale de la santé et des services sociaux de la Mauricie et du Centre-du-Québec, 2 e trimestre Marie-Paule Gauthier Infirmière B. Sc. Les ITS bactériennes resurgissent en force Andrée Côté Médecin-conseil en collaboration avec Guylaine Belzile, infirmière-conseil L observation de cette augmentation du nombre de cas de gonorrhée a entraîné une surveillance accrue de la part du MSSS et la production du rapport d analyse Enquêtes épidémiologiques réalisées suite à une déclaration d infection gonococcique, 1 er mars au 31 décembre Voici les principales conclusions : Nombre de cas de gonorhée génitale par sexe et par année en Mauricie et Centre-du-Québec L infection gonococcique : le retour Depuis 1996, le nombre annuel de cas de gonococcie a augmenté de 85 %. Au Québec, cette hausse a été de 112 % alors qu elle a été de 69 % dans la région de Montréal. Parmi les cas déclarés en 2002, 76 % sont des hommes pour la plupart âgés de 20 à 39 ans. Dans notre région, le nombre de cas de gonorrhée semble aussi en hausse, particulièrement chez les hommes, avec 20 cas en 2000, 12 en 2001 et 15 en

4 Les infections gonococciques semblent être rarement détectées dans un contexte de dépistage. En effet, 87,7 % des cas ont eu un prélèvement dans un contexte de diagnostic défini par la présence de symptômes. Il est donc probable que des personnes infectées, mais asymptomatiques, ne soient pas détectées par les activités de dépistage, particulièrement les hommes ayant des relations sexuelles avec d autres hommes (HARSAH) de plus de 25 ans. L intensification de la recherche de facteurs de risque et du dépistage ciblé serait à considérer. En général, le traitement prescrit respecte les lignes directrices canadiennes, mais des améliorations seraient souhaitables La présence continue d infections gonococciques résistantes aux quinolones met en lumière l importance de proposer la céfixime (suprax) comme le traitement de premier choix d une gonococcie.de plus,en présence d une gonorrhée, il est important de donner un traitement concomitant pour l infection à chlamydia. Les données sur les facteurs de risque indiquent clairement que les HARSAH constituent une clientèle prioritaire pour les activités de dépistage et pour la promotion de comportements sexuels sécuritaires.. La détection du N. gonorroeae Toutefois, avec cette méthode, il n est pas possible d établir le profil de résistance aux antibiotiques de la souche de N. gonorrhoeae. Syphilis en phase contagieuse : éclosion au sein de la communauté gaie La syphilis fait un retour explosif depuis l année La situation est particulièrement préoccupante à Montréal où le nombre de cas déclarés a triplé en 2002 (35 cas) par rapport à 2001 (11 cas). Tous ces cas sont survenus chez des HARSAH, sauf un cas. L augmentation du nombre de cas déclarés au Québec (en dehors de Montréal) laisse présager une extension à partir du foyer épidémique de Montréal. Face à ces augmentations, il faut : promouvoir l adoption de comportements sécuritaires (utilisation du condom, vaccination contre les hépatites A et B, etc.) ; reconnaître la présence de facteurs de risque et faire les tests de dépistage pertinents ; traiter rapidement les personnes infectées ; évaluer et traiter tous les partenaires sexuels rapidement. Références : article de l Actualité médicale du 12 février 2003, «Prévention en pratique médicale», adapté d un bulletin de la DSP de Montréal- Centre et rapport d analyse Enquêtes épidémiologiques réalisées suite à une déclaration d infection gonococcique 1 er mars - 31 décembre 2001, Sylvie Venne. L infection gonococcique peut être détectée par la méthode PCR sur prélèvement génital ou urinaire comme pour la détection de C. trachomatis. Traitement du N. gonorroeae Infection gonococcique-adolescents et adultes Infection urétrale, endocervicale, pharyngée, rectale Traitement de choix Alternatives Femme enceinte ou qui allaite Céfixime, 400 mg p.o. en 1 dose Ceftriaxone 125 mg IM en 1 dose ou Céfixime 400 mg p.o. en 1 dose ou Ciprofloxacine 500 mg p.o. en 1 dose Ceftriaxone 125 mg IM en 1 dose Plus traitement contre la chlamydia Plus traitement contre la chlamydia Plus traitement contre la chlamydia 4

5 Les services de dépistage anonyme du VIH : vers des services de dépistage intégrés du VIH, des MTS et des hépatites virales. Où en sommes-nous? En juin 2001, le ministère de la Santé et des Services sociaux a publié un document intitulé Les services de dépistage anonyme - Vers des services intégrés de dépistage du VIH, des MTS et des hépatites virales - Orientations. Il propose un virage concernant les services actuels de dépistage anonyme du VIH. Pour ce faire, il met en place les nouvelles orientations visant à améliorer les services de dépistage offerts aux populations vulnérables, à développer la polyvalence des services et à favoriser la continuité des soins des personnes infectées. Voici donc un rappel de ces nouvelles orientations concernant le dépistage anonyme et la lutte contre les MTS. Guylaine Belzile Infirmière-conseil Représentante de la DSP au groupe de travail pour les SID Maintenir l accessibilité au test de dépistage anonyme du VIH. Rejoindre les populations vulnérables ou à risque là où elles sont. Offrir les différents types de test de dépistage du VIH, des autres ITS et des hépatites virales (A, B et C). Assurer un soutien à l adoption et au maintien de comportements sécuritaires. Offrir un service de soutien à l intervention préventive auprès des partenaires (ex. : NOPA). Être en relation avec les services de première ligne des CLSC. Être partie intégrante de l éventail de services du réseau et maintenir un lien avec les organismes communautaires. Assurer une formation continue aux intervenants et aux intervenantes. Développer et mettre en œuvre des stratégies et des outils de sensibilisation adaptés aux populations vulnérables ou à risque. Développer et harmoniser des mécanisme d évaluation. Un groupe de travail provincial a été formé, composé de représentants du CQCS, des directions de santé publique, des CLSC et d organismes communautaires, pour faciliter l implantation des services de dépistage du VIH (SID), des ITSS (infections transmissibles sexuellement et par le sang) et des hépatites virales. Son mandat est de déterminer quels seront les services à offrir à la clientèle des SID, les besoins de formation, les mécanismes d évaluation, les stratégies et outils de sensibilisation. L implantation de ces services nécessitera pour certains établissements un réarrangement des plages horaires afin de rejoindre les clientèles vulnérables et de permettre une intégration des services de dépistage liés au VIH, aux ITS et aux hépatites virales. Il faudra également consolider le réseau des partenaires en place et le développer. Pour ce faire, une formation aux intervenants en quatre modules sera diffusée dans toutes les régions vers l automne Cette formation tiendra compte de l expertise du milieu en offrant des volets obligatoires et optionnels. Le groupe de travail poursuit présentement les travaux en matière d évaluation de ces services, de conception d outils provinciaux de collecte de données, d outils de promotion et de sensibilisation.au cours des prochains mois, les répondants des établissements concernés auront plus de détails sur les formations offertes à l automne. C est à surveiller. 5

6 Colloque sur la promotion et la prévention en VIH/sida et ITS 2003 Marie-Claude Drouin Agente de planification Le 6 octobre 1999 avait lieu une première journée régionale en VIH/sida et ITS sous le thème «Partenaires dans l intervention». Quatre ans plus tard, nous vous invitons à participer à une journée axée davantage sur la prévention et qui s intitulera «Solidaires dans la prévention». En effet, au cours des derniers mois, la majorité des territoires de CLSC ont amorcé des travaux afin de planifier un projet concerté en VIH/sida et ITS. Dans le cadre de la préparation de ces Lors de cette journée colloque qui aura lieu le 3 octobre 2003 à Trois-Rivières, nous souhaitons outiller davantage les intervenants, non seulement dans le cadre des projets concertés, mais aussi pour leurs interventions préventives individuelles ou collectives en VIH/sida et ITS. La journée régionale «Solidaires dans la prévention» en VIH/sida et ITS sera donc une occasion d échanger et de s inspirer sur la façon et les moyens de prévenir le VIH/sida et les ITS. Veuillez réserver cette date à votre agenda.vous recevrez le programme complet et l'inscription en mai Message très important! De gauche à droite, 1 ère rangée : Marie Claude Drouin, RRSSS MCQ, Mélanie Lavallée, Refuge La Piaule. 2 ème rangée : André Beaudry, Bureau local d intervention traitant du sida (B.L.I.T.S.); Suzie Matteau, Centre de santé Wôlinak; Annie Bournival, Maison RE-NÉ inc.; Marie-Paule Gauthier, RRSSS MCQ, René Bellerose, Direction des services correctionnels sécurité publique. projets, nous retrouvons autour de la table des partenaires impliqués et, surtout, préoccupés par l importance de la prévention en VIH/sida et ITS. Actualisation du programme de formation LE TRAITEMENT À LA MÉTHADONE POUR LES HÉROÏNOMANES s adressant aux médecins. Cette formation se tiendra le 30 mai 2003 au Best Western Hotel Universel à Drummondville. Vous trouverez les informations complémentaires dans la lettre d invitation qui accompagne ce numéro. Si vous êtes intéressés(es) à suivre cette formation, n oubliez pas de remplir le couponréponse le plus tôt possible. Pour en savoir davantage vous pouvez communiquer avec madame Marie-Paule Gauthier au numéro de téléphone suivant : (819)

7 La prévention des hépatites et du VIH chez les UDI Johanne Milette Infirmière-conseil Malgré les actions entreprises ces dernières années, l infection au VIH et les hépatites B et C demeurent à l état épidémique chez les usagers de drogues par injection (UDI). Les UDI, dont le nombre est estimé à au Québec, constituent actuellement l une des populations où l incidence des infections au VIH est la plus élevée. De plus, de 50 à 90 % des UDI de Montréal seraient porteurs d un ou plusieurs marqueurs de l hépatite B. En ce qui concerne les infections au virus de l hépatite C (VHC), elles se transmettent à un rythme encore plus élevé que le VIH au sein de la clientèle UDI. Certaines études ont rapporté un taux de séroconversion de plus de 60 % après un an d injection et 90 % après cinq ans d injection. Ils souffrent également d une foule d autres problèmes de santé tels les abcès, les cellulites, les endocardites, les embolies, les surdoses, etc. Grâce à la collaboration de Domrémy Mauricie/Centre-du-Québec, certains CLSC et organismes communautaires, nous pouvons suivre l évolution du VIH chez cette clientèle. En effet, notre région participe au réseau de surveillance des infections au VIH chez les UDI (réseau SurvUDI ). Ainsi, nous pouvons avoir une idée du taux de prévalence chez les UDI de notre région, soit 4 %, alors que pour l ensemble du Québec, il est de 14 % et 16,5 % pour Montréal. Nous avons aussi accès à d autres types d information comme les produits consommés, la fréquence de consommation, le partage, la disposition des seringues, etc. Plusieurs programmes et services sont offerts dans notre région pour prévenir les hépatites et le VIH chez les utilisateurs de drogues injectables : le programme de distribution et d échange de seringues, la distribution du magasine FX sur l injection à risques réduits, la vaccination gratuite contre les hépatites A et B, le dépistage, l accessibilité gratuite aux condoms ainsi que la formation des intervenants sur la réduction des méfaits. En 2002, grâce à la collaboration des centres hospitaliers, des CLSC et de certains organismes communautaires, plus de seringues ont été distribuées gratuitement dans le cadre du programme de distribution et d échange de seringues. Les intervenants peuvent aussi offrir d autres services comme le dépistage des ITS et du VIH ainsi que la vaccination contre les hépatites A et B. La vaccination contre les hépatites A et B est offerte à la clientèle UDI dans les maisons de désintoxication, à Domrémy Mauricie/Centre-du- Québec ainsi qu au CLSC. Nous souhaitons que de nouveaux projets voient le jour pour rejoindre cette clientèle par le biais des projets concertés, subventionnés par la Direction de santé publique. 7

8 La campagne jeunes «Parler, c est grandir» «Parler, c est grandir», cela vous dit-il quelque chose? C est la toute dernière campagne du MSSS visant les jeunes de 11 à 17 ans et qui regroupe, sous un même chapeau, des problématiques auxquelles ils peuvent être confrontés durant l adolescence : ITS-sida agression sexuelle dépendance (jeu excessif et toxicomanie) détresse tabagisme Nous sommes présentement dans la deuxième année de cette campagne triennale. Dans le cadre de la thématique ITS-sida, deux projets retiennent notre attention cette année. Projet bal : distribution d une pochettecondom ayant pour thème «J capote pour toi» pour tous les jeunes finissants du secondaire (pour l après-bal). Trucs pour amoureux futés : distribution d un petit livret d information à tous les jeunes du deuxième cycle du secondaire. Ce livret comprend de l information sous forme de jeux. De plus, un site Web a été créé pour les jeunes. Nous vous invitons également à le consulter à l adresse suivante : La campagne jeunes se réalise avec plusieurs partenaires tels que le milieu de l éducation et les organismes communautaires concernés. Elle vise à rejoindre les jeunes dans l environnement où ils évoluent.ainsi, mises à part les publicités à la radio, à la télévision et au cinéma, des événements ont lieu dans la région : pièces de théâtre, exposition itinérante et concours dans les maisons de jeunes. Ainsi, un grand nombre d adolescents a la chance de participer à l une ou l autre de ces activités. Marie-Claude Drouin Agente de planification en MTS-sida Fanny Houle Conseillère en communication Responsable Martine Fréchette, Conseillère en communication Collaborateurs Guylaine Belzile, infirmière-conseil Andrée Côtée, médecin-conseil Marie-Claude Drouin, agente de planification Marie-Paule Gauthier, infirmière-conseil Fanny Houle, conseillère en communication Johanne Milette, infirmière-conseil Pour joindre la santé publique Déclaration dans les 48 heures : Par la poste : Secrétariat des MADO Direction régionale de la santé publique 550, rue Bonaventure Trois-Rivières, G9A 2B5 Par téléphone : Secrétariat des MADO Par télécopieur : Nouveau numéro unique : DSP-MADO

Évaluation du programme québécois de gratuité des médicaments pour le traitement des infections transmissibles sexuellement, de 2000 à 2004

Évaluation du programme québécois de gratuité des médicaments pour le traitement des infections transmissibles sexuellement, de 2000 à 2004 Rapport Évaluation du programme québécois de gratuité des médicaments pour le traitement des infections transmissibles sexuellement, de 2000 à 2004 UNITÉ SCIENTIFIQUE SUR LES INFECTIONS TRANSMISSIBLES

Plus en détail

Complément québécois. C o m p l é m e n t q u é b é c o i s C o m p l é m e n t q u é b é c o i s C o m p l é m e n t q u é b é c o i s

Complément québécois. C o m p l é m e n t q u é b é c o i s C o m p l é m e n t q u é b é c o i s C o m p l é m e n t q u é b é c o i s S y p h i l i s V I H C h l a m y d i a H e r p è s g é n i t a l C o n d y l o m e s G o n o r r h é e L G V S y p h i l i s V I H C h l a m y d i a Herpès génital Condylomes Gonorrhée LGV Syphilis VIH

Plus en détail

Item 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre)

Item 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre) Annales de dermatologie et de vénéréologie (2012) 139, A57 A61 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com I. MODULES TRANSDISCIPLINAIRES Module 7 : Santé et environnement, maladies transmissibles Item

Plus en détail

Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées

Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones

Plus en détail

Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles

Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et

Plus en détail

Rapport sur la mise à jour des indications de dépistage des infections transmissibles sexuellement et par le sang

Rapport sur la mise à jour des indications de dépistage des infections transmissibles sexuellement et par le sang Rapport sur la mise à jour des indications de dépistage des infections transmissibles sexuellement et par le sang Rapport sur la mise à jour des indications de dépistage des infections transmissibles

Plus en détail

Maladies transmises sexuellement (MTS)

Maladies transmises sexuellement (MTS) Maladies transmises sexuellement (MTS) La sexualité est une dimension normale et saine de la vie De nos jours, de nombreuses infections se transmettent par les relations sexuelles. On les appelle infections

Plus en détail

Une approche selon la réduction des méfaits pour les utilisateurs de drogues injectables (UDI) Position adoptée en janvier 2005

Une approche selon la réduction des méfaits pour les utilisateurs de drogues injectables (UDI) Position adoptée en janvier 2005 1 Le partenariat des organismes communautaires du Nouveau-Brunswick liés au sida ÉNONCÉ DE POSITION Une approche selon la réduction des méfaits pour les utilisateurs de drogues injectables (UDI) Position

Plus en détail

Liste de vérification pour la planification des services d approche

Liste de vérification pour la planification des services d approche Liste de vérification pour la planification des services d approche Janvier 2014 La présente liste de vérification s adresse aux praticiens de la santé publique qui font du travail de proximité auprès

Plus en détail

IST et SIDA : s'informer pour se protéger!

IST et SIDA : s'informer pour se protéger! IST et SIDA : s'informer pour se protéger! Tous concernés! De quoi s agit-il? Les Infections Sexuellement Transmissibles (IST) sont des infections dues à des virus, des bactéries, des parasites ou des

Plus en détail

LE VIH AU CANADA TENDANCES ET ENJEUX QUI AFFECTENT LA PRÉVENTION DU VIH, LES SOINS, LE TRAITEMENT ET LE SOUTIEN...

LE VIH AU CANADA TENDANCES ET ENJEUX QUI AFFECTENT LA PRÉVENTION DU VIH, LES SOINS, LE TRAITEMENT ET LE SOUTIEN... LE VIH AU CANADA TENDANCES ET ENJEUX QUI AFFECTENT LA PRÉVENTION DU VIH, LES SOINS, LE TRAITEMENT ET LE SOUTIEN... DÉCEMBRE 2010 CATIE est la source canadienne de renseignements à jour et impartiaux sur

Plus en détail

Optimiser le dépistage et le diagnostic de l infection par le virus de l immunodéficience humaine

Optimiser le dépistage et le diagnostic de l infection par le virus de l immunodéficience humaine Optimiser le dépistage et le diagnostic de l infection par le virus de l immunodéficience humaine INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Avis Optimiser le dépistage et le diagnostic de l infection

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

VIH : Parlons-en franchement!

VIH : Parlons-en franchement! VihCouv_vert(2011_02) 08/02/11 13:27 Page1 DESSINS PHILIPPE DELESTRE VIH : Parlons-en franchement! VIH : Parlons-en franchement! LE VIH C EST QUOI? Le VIH est un virus. C est le virus du Sida. VIH ÇA VEUT

Plus en détail

Document de synthèse : Hépatite B et hépatite C. Sommaire :

Document de synthèse : Hépatite B et hépatite C. Sommaire : Document de synthèse : Hépatite B et hépatite C Sommaire : Au Canada, l hépatite B et l hépatite C demeurent de graves enjeux de santé publique en raison de taux de prévalence élevés, de coûts élevés pour

Plus en détail

L accès au suivi et au traitement pour les personnes atteintes de l hépatite C au Québec 1

L accès au suivi et au traitement pour les personnes atteintes de l hépatite C au Québec 1 L accès au suivi et au traitement pour les personnes atteintes de l hépatite C au Québec 1 DOCUMENT SYNTHÈSE Lina Noël, Julie Laforest, Pier-Raymond Allard, Marc Dionne, INTRODUCTION Au Québec, près de

Plus en détail

INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC RAPPORT

INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC RAPPORT INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC RAPPORT Statistiques sur les services relatifs aux programmes de prévention du virus de l immunodéficience humaine (VIH) et des hépatites B et C auprès des

Plus en détail

Cadre de travail sur les relations avec les gouvernements et la défense des droits. Société canadienne de la sclérose en plaques

Cadre de travail sur les relations avec les gouvernements et la défense des droits. Société canadienne de la sclérose en plaques Cadre de travail sur les relations avec les gouvernements Société canadienne de la sclérose en plaques Juin 2009 Table des matières Contexte... 3 1.0 Mission de la Société canadienne de la sclérose en

Plus en détail

+ Questions et réponses

+ Questions et réponses HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de

Plus en détail

Le VIH-sida, qu est-ce que c est?

Le VIH-sida, qu est-ce que c est? LES DROITS DE l ENFANT FICHE THÉMATIQUE Le VIH-sida, qu est-ce que c est? UNICEF/ NYHQ2010-2622 / Roger LeMoyne Chaque jour dans le monde, plus de 7 000 nouvelles personnes sont infectées par le VIH, 80

Plus en détail

Les maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST)

Les maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST) Les maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST) MST est le terme utilisé pour décrire toute maladie, toute infection transmise par un rapport sexuel avec une personne déjà contaminée, et qui

Plus en détail

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins

Plus en détail

Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1

Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,

Plus en détail

Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise*

Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise* INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise* Denis Hamel, statisticien Unité Connaissance-surveillance MISE

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES

Plus en détail

Un test Pap pourrait vous sauver la vie

Un test Pap pourrait vous sauver la vie Un test Pap pourrait vous sauver la vie Un test Pap pourrait vous sauver la vie Vous avez 21 ans ou plus et êtes sexuellement active? Passez un test Pap! Si vous saviez qu un test Pap, qui prend 5 minutes,

Plus en détail

Etablissement Français du Sang

Etablissement Français du Sang Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES Document de préparation à l entretien médical préalable au don de sang Partie médicale La sécurité

Plus en détail

Ensemble vers de saines habitudes de vie!

Ensemble vers de saines habitudes de vie! Ensemble vers de saines habitudes de vie! Du plan d action gouvernemental «Investir«pour l avenir» et du Fonds pour la promotion des saines habitudes de vie aux balises de déploiement du soutien de Québec

Plus en détail

L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015

L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d

Plus en détail

1 ère manche Questions fermées

1 ère manche Questions fermées Quiz VIH 2011 1 ère manche Questions fermées Crips Ile-de-France / Mise à jour : août 2015 Thème : Dépistage Un test VIH négatif indique toujours que la personne qui a fait le test n est pas contaminée

Plus en détail

SUPER GO UN PROGRAMME DE RENFORCEMENT DES JEUNES FILLES

SUPER GO UN PROGRAMME DE RENFORCEMENT DES JEUNES FILLES SUPER GO UN PROGRAMME DE RENFORCEMENT DES CAPACITES DES JEUNES FILLES CONTEXTE DU PROGRAMME SUPER GO Féminisation du VIH : quelques chiffres clés (EIS-2005) 0,4% des filles de 15 à 19 ans sont infectées

Plus en détail

GUIDE POUR LA PRISE EN CHARGE DES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES

GUIDE POUR LA PRISE EN CHARGE DES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES GUIDE PR LA PRISE EN CHARGE DES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ Catalogage à la source : Bibliothèque de l OMS Organisation mondiale de la Santé. Guide pour la

Plus en détail

Le VIH et votre foie

Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)

Plus en détail

La Mutuelle Des Etudiants, 10 ans de lutte contre le VIH

La Mutuelle Des Etudiants, 10 ans de lutte contre le VIH La Mutuelle Des Etudiants, 10 ans de lutte contre le VIH www.lmde.com La Mutuelle des Étudiants - LMDE : mutuelle soumise aux dispositions du livre II du code de la Mutualité. SIREN 431 791 672. Siège

Plus en détail

Orientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action

Orientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action Orientations gouvernementales en matière d agression sexuelle Plan d action Édition produite par : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux Pour obtenir d autres

Plus en détail

Spectre de rue rapport annuel 2009-2010

Spectre de rue rapport annuel 2009-2010 Spectre de rue rapport annuel 2009-2010 présentation de l'organisme historique C est par l intermédiaire de l organisme Projet 80, actif dans le quartier depuis trente ans, que Spectre de rue a connu son

Plus en détail

CCRRA. Québec, le 4 juillet 2002

CCRRA. Québec, le 4 juillet 2002 CCRRA Canadian Council of Insurance Regulators Conseil canadien des responsables de la réglementation d assurance Copie à: Mr. Michael Grist Chair, CCIR Committee on Streamlining and Harmonization Québec,

Plus en détail

Dossier de Presse SAFETY FIRST

Dossier de Presse SAFETY FIRST Dossier de Presse SAFETY FIRST 10 Février 2015 Pour vous médias, votre rôle primordial est de nous accompagner tout au long de cette campagne. Votre pierre à l édifice se traduirait par votre rôle de relais

Plus en détail

Rendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte

Rendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte Rendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte Il est prévu que les recommandations contenues dans ce document resteront valables jusqu

Plus en détail

Hépatite C une maladie silencieuse..

Hépatite C une maladie silencieuse.. Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle

Plus en détail

RÉFÉRENCES LEXIQUE 151

RÉFÉRENCES LEXIQUE 151 LEXIQUE 151 1. GOUVERNEMENT DU QUÉBEC (mise à jour 1 er août 2010). Loi sur les services de santé et les services sociaux. Ouvrage consulté sur le site Web en septembre 2010 : http://www2.publicationsduquebec.gouv.qc.ca/

Plus en détail

Avis d'emploi vacant. Poste(s) supervisé(s) : Date d'affichage : 18 mars 2015. À propos de CATIE

Avis d'emploi vacant. Poste(s) supervisé(s) : Date d'affichage : 18 mars 2015. À propos de CATIE Titre du poste : Service : Relève de : Poste(s) supervisé(s) : Statut : Endroit : Courtier en connaissances, Programmes de santé sexuelle des hommes gais Échange des connaissances Directrice associée,

Plus en détail

Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction

Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction OFDT Note n 2010-12 Saint-Denis, le 09/08/2010 Introduction Les premières structures

Plus en détail

Vivre avec le VIH. Point de départ

Vivre avec le VIH. Point de départ Vivre avec le VIH Point de départ Vous venez d apprendre que vous avez le VIH et vous cherchez des repères? Nous pouvons vous aider. Voici quelques questions auxquelles vous trouverez réponse dans ce livret

Plus en détail

Sélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA. Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005

Sélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA. Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005 Sélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005 Sélection et Évaluation Quantitative Références Sélection

Plus en détail

Traitement et questions connexes

Traitement et questions connexes Traitement et questions connexes L essentiel du congrès sur le sida AIDS 2012 (et des ateliers du congrès 14 th International Workshops on Comorbidities and Adverse Drug Reactions in HIV, juillet 2012)

Plus en détail

médicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.

médicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada. DEPUIS PLUSIEURS ANNÉES, la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) interroge ses membres sur plusieurs aspects touchant leur pratique professionnelle à l aide de sondages, de groupes de

Plus en détail

D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S

D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les

Plus en détail

Sexe au présent : le plus grand sondage mené auprès des hommes gais et bisexuels au Canada

Sexe au présent : le plus grand sondage mené auprès des hommes gais et bisexuels au Canada Sexe au présent : le plus grand sondage mené auprès des hommes gais et bisexuels au Canada Webinaire de CATIE Le 5 février 2015 Ordre du jour Qui sommes-nous? Il était une fois «Sexe au présent» Qu avons-nous

Plus en détail

SOMMAIRE. AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES

SOMMAIRE. AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES Faits saillants du sondage 2 Contexte et méthode de sondage 3 Profil des répondants 3 Investissements

Plus en détail

Nouvellement diagnostiqué? Voici un guide pour bien vivre avec le VIH. Numéro 2, mars 2010.

Nouvellement diagnostiqué? Voici un guide pour bien vivre avec le VIH. Numéro 2, mars 2010. Fondation des personnes de Toronto atteintes du sida Bulletin traitement Nouvellement diagnostiqué? Voici un guide pour bien vivre avec le VIH Numéro 2, mars 2010. Avis aux lecteurs Le programme de ressources

Plus en détail

Les offres de services spécialisés

Les offres de services spécialisés Les offres de services spécialisés Le contexte et les enjeux, incluant les offres de services spécialisés aux familles et aux proches, aux partenaires ainsi que notre engagement dans la collectivité. PAVILLON

Plus en détail

Z I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor

Z I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE

Plus en détail

Ce que les parents devraient savoir

Ce que les parents devraient savoir Renvoi : Ce que les parents devraient savoir Un climat positif à l école et un milieu d apprentissage et d enseignement sécuritaire sont indispensables à la réussite scolaire des élèves. Un climat positif

Plus en détail

ÊTES-VOUS SÛRS DE TOUT SAVOIR sur le VIH

ÊTES-VOUS SÛRS DE TOUT SAVOIR sur le VIH ÊTES-VOUS SÛRS DE TOUT SAVOIR sur le VIH et le SIDA? ÉDITION 2014 FRANÇAIS SOMMAIRE SAVOIR PAGE 5 Qu est-ce que LE VIH? PAGE 6 Qu est-ce que LE SIDA? PAGE 7 Comment peut se transmettre le VIH? PAGE 8 Lors

Plus en détail

Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang

Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang Pour des raisons de simplification, les dénominations masculines s appliquent également aux femmes. La transplantation de cellules souches du

Plus en détail

Atelier Campagne Marketing social

Atelier Campagne Marketing social Atelier Campagne Marketing social Vous devez mettre sur pied, au cours de ce bref atelier, une campagne de marketing social. Vous devrez aussi justifier vos activités de communication. Le nom d une organisation

Plus en détail

Infection par le VIH/sida et travail

Infection par le VIH/sida et travail Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage

Plus en détail

ACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030

ACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030 ACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030 Mettre fin à l épidémie de sida ces mots renferment de tels espoirs et de telles promesses. Grâce à des engagements mondiaux et à des objectifs précis,

Plus en détail

Pierre-Yves Comtois, Marc Leclerc, Bruno Lemay, Karina Ortega Révision scientifique : Benoît Lemire, pharmacien

Pierre-Yves Comtois, Marc Leclerc, Bruno Lemay, Karina Ortega Révision scientifique : Benoît Lemire, pharmacien P RTAIL VIH / sida du Québec Hépatite C Retour sur les symposiums hépatite C 2012 Pierre-Yves Comtois, Marc Leclerc, Bruno Lemay, Karina Ortega Révision scientifique : Benoît Lemire, pharmacien Le 3 et

Plus en détail

313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013

313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,

Plus en détail

Accélérer la croissance des PME grâce à l innovation et à la technologie

Accélérer la croissance des PME grâce à l innovation et à la technologie CONSEIL NATIONAL DE RECHERCHES CANADA PROGRAMME D AIDE À LA RECHERCHE INDUSTRIELLE Accélérer la croissance des PME grâce à l innovation et à la technologie MANDAT Stimuler la création de richesses au Canada

Plus en détail

les télésoins à domicile

les télésoins à domicile Hiver 2013 Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Au Canada comme ailleurs dans

Plus en détail

POLITIQUE DE COMMUNICATION

POLITIQUE DE COMMUNICATION POLITIQUE DE COMMUNICATION DU COMITÉ DE GESTION DE LA TAXE SCOLAIRE DE L ÎLE DE MONTRÉAL (Adoptée le 16 décembre 2004 par la résolution 19 par le Comité de gestion de la taxe scolaire de l île de Montréal)

Plus en détail

Bonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici

Bonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général

Plus en détail

RAPPORT FINAL. Avril 2009. École secondaire de la Rivière-des-Français. Muskies Supers Partenaires (MSP)

RAPPORT FINAL. Avril 2009. École secondaire de la Rivière-des-Français. Muskies Supers Partenaires (MSP) La corporation des services en éducation de l Ontario Projet de prévention de l intimidation et de la violence RAPPORT FINAL Avril 2009 École secondaire de la Rivière-des-Français Muskies Supers Partenaires

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA

Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA Réunion Icône 2015 STRASBOURG Laurence Boyer - PH -SMIT- CHU Nancy Contexte Plan VIH/Sida/IST- 2010/14: Augmenter le dépistage:

Plus en détail

Hépatite. ses causes ses conséquences sa prévention

Hépatite. ses causes ses conséquences sa prévention Hépatite ses causes ses conséquences sa prévention Hépatite : l essentiel en bref Qu est-ce que l hépatite et quelles sont les conséquences de cette maladie? L hépatite est une inflammation du foie, dont

Plus en détail

Ma vie Mon plan. Cette brochure appartient à :

Ma vie Mon plan. Cette brochure appartient à : Ma vie Mon plan Cette brochure est pour les adolescents(es). Elle t aidera à penser à la façon dont tes décisions actuelles peuvent t aider à mener une vie saine et heureuse, aujourd hui et demain. Cette

Plus en détail

Une forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux

Une forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux 27 novembre 2013 Nouveaux anti-coagulants oraux : une étude de l Assurance Maladie souligne la dynamique forte de ces nouveaux médicaments et la nécessité d une vigilance accrue dans leur utilisation Les

Plus en détail

l hépatite b Une maladie qui peut être grave.

l hépatite b Une maladie qui peut être grave. l hépatite b Une maladie qui peut être grave. Sommaire Qu est-ce que l hépatite B? L hépatite B est-elle fréquente? Comment attrape-t-on l hépatite B? Comment savoir si l on est atteint d une hépatite

Plus en détail

Le Complément. Le nouveau journal des complémentaires. Dossiers. Novembre 2011. Année scolaire 2011-2012. Pour un développement global des jeunes

Le Complément. Le nouveau journal des complémentaires. Dossiers. Novembre 2011. Année scolaire 2011-2012. Pour un développement global des jeunes Le Complément Pour un développement global des jeunes Novembre 2011 Dossiers La collaboration école famille- communauté La santé et le bien- être L éducation à la sexualité L approche orientante L interculturalisme,

Plus en détail

Surveillance du VIH chez les nourrissons et les enfants de moins de 18 ans. sur la surveillance mondiale du VIH/sida et des IST

Surveillance du VIH chez les nourrissons et les enfants de moins de 18 ans. sur la surveillance mondiale du VIH/sida et des IST Groupe de travail ONUSIDA/OMS sur la surveillance mondiale du VIH/sida et des IST Surveillance du VIH chez les nourrissons et les enfants de moins de 18 ans Catalogage à la source: Bibliothèque de l OMS:

Plus en détail

QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA

QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA INFORMATIONS SUR LE TEST DE DEPISTAGE Q. Quels examens médicaux doit-on faire pour détecter

Plus en détail

Taux de participation au Programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS)

Taux de participation au Programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS) Taux de participation au Programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS) Introduction Le Programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS) offre, à tous les deux ans, une mammographie

Plus en détail

Avis sur la pertinence des services d'injection supervisée ANALYSE CRITIQUE DE LA LITTÉRATURE INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC

Avis sur la pertinence des services d'injection supervisée ANALYSE CRITIQUE DE LA LITTÉRATURE INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Avis sur la pertinence des services d'injection supervisée ANALYSE CRITIQUE DE LA LITTÉRATURE INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Avis sur la pertinence des services d'injection supervisée ANALYSE

Plus en détail

Cadre complet de mieux-être en milieu travail Présenté par : Marilyn Babineau, Réseau de santé Horizon Isabelle Duguay, Réseau de santé Vitalité Le 7

Cadre complet de mieux-être en milieu travail Présenté par : Marilyn Babineau, Réseau de santé Horizon Isabelle Duguay, Réseau de santé Vitalité Le 7 Cadre complet de mieux-être en milieu travail Présenté par : Marilyn Babineau, Réseau de santé Horizon Isabelle Duguay, Réseau de santé Vitalité Le 7 novembre 2012 Cadre de mieux-être en Le cadre de notre

Plus en détail

Acteur majeur de la lutte contre le sida Antenne genevoise de l Aide Suisse contre le Sida Membre de la Coalition internationale PLUS

Acteur majeur de la lutte contre le sida Antenne genevoise de l Aide Suisse contre le Sida Membre de la Coalition internationale PLUS Acteur majeur de la lutte contre le sida Antenne genevoise de l Aide Suisse contre le Sida Membre de la Coalition internationale PLUS Groupe sida Genève 9, rue du Grand-Pré CH-1202 Genève info@groupesida.ch

Plus en détail

Projet de loi n o 20

Projet de loi n o 20 Loi édictant la Loi favorisant l accès aux services de médecine de famille et de médecine spécialisée et modifiant diverses dispositions législatives en matière de procréation assistée Mémoire présenté

Plus en détail

La «période fenêtre» des ITSS

La «période fenêtre» des ITSS Les ITSS II : comment relever le défi La «période fenêtre» des ITSS pour optimiser et non empêcher la prévention! Marc Steben et Rhonda Y. Kropp 4 Josée a eu des relations sexuelles extraconjugales sans

Plus en détail

Le genre féminin utilisé dans ce document désigne aussi bien les femmes que les hommes.

Le genre féminin utilisé dans ce document désigne aussi bien les femmes que les hommes. Programme d intéressement pour l implantation du rôle de l infirmière praticienne spécialisée Modalités d application 15-919-04W RÉDACTION Direction des soins infirmiers Direction générale des services

Plus en détail

COMMISSARIAT À LA PROTECTION DE LA VIE PRIVÉE DU CANADA. Vérification de la gestion des ressources humaines

COMMISSARIAT À LA PROTECTION DE LA VIE PRIVÉE DU CANADA. Vérification de la gestion des ressources humaines COMMISSARIAT À LA PROTECTION DE LA VIE PRIVÉE DU CANADA Vérification de la gestion des ressources humaines 13 mai 2010 Préparée par le Centre de gestion publique Inc. TABLE DES MATIÈRES 1.0 Sommaire...

Plus en détail

Chez les étudiantes consommatrices de cannabis, 2 fois plus de recours à la pilule du lendemain et 4 fois plus d IVG

Chez les étudiantes consommatrices de cannabis, 2 fois plus de recours à la pilule du lendemain et 4 fois plus d IVG Dossier de presse 11 février 2014 Enquête santé / Vie étudiante / Chiffres clés La sexualité des étudiants en 2013 8 ème enquête nationale Chez les étudiantes consommatrices de cannabis, 2 fois plus de

Plus en détail

Le programme de maîtrise avec stage

Le programme de maîtrise avec stage Le programme de maîtrise avec stage Le programme de maîtrise avec stage comporte 45 crédits, répartis comme suit : - 15 crédits de cours - 12 crédits de stage - 18 crédits pour la rédaction d'un rapport

Plus en détail

La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde

La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant

Plus en détail

z z La rédaction d un projet d intervention De «A» jusqu à Coalition des organismes communautaires québécois de lutte contre le sida COCQ-sida

z z La rédaction d un projet d intervention De «A» jusqu à Coalition des organismes communautaires québécois de lutte contre le sida COCQ-sida La rédaction d un projet d intervention De «A» jusqu à z z z z Coalition des organismes communautaires québécois de lutte contre le sida COCQ-sida juillet 2002 Rédaction : Régis Pelletier Révision : Centre

Plus en détail

4720.5560.46 (septembre 2009) 30 %

4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % 4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % Prévenir le jeu excessif chez les adolescents C est toujours gagnant! Pourquoi ce dépliant? [ ] Le rôle des parents est déterminant dans la prévention du jeu excessif

Plus en détail

Plan québécois de promotion de la vaccination

Plan québécois de promotion de la vaccination Plan québécois de promotion de la vaccination INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Plan québécois de promotion de la vaccination Direction des risques biologiques et de la santé au travail Octobre

Plus en détail

Situation Agent Schéma posologique*

Situation Agent Schéma posologique* Le besoin d une antibioprophylaxie pour la prévention d une endocardite infectieuse et d une infection hématogène à la suite d une arthroplastie doit être envisagé sur une base individuelle et en collaboration

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES ET FORMULAIRE DE DEMANDE POUR LE PROGRAMME DE BOURSE D ÉTUDES.

LIGNES DIRECTRICES ET FORMULAIRE DE DEMANDE POUR LE PROGRAMME DE BOURSE D ÉTUDES. LIGNES DIRECTRICES ET FORMULAIRE DE DEMANDE POUR LE PROGRAMME DE BOURSE D ÉTUDES. Renseignements d ordre général Établie depuis 1880, Johnson Inc. est une société d assurance et d avantages sociaux des

Plus en détail

RAPPORT ANNUEL 2011 2012

RAPPORT ANNUEL 2011 2012 RAPPORT ANNUEL 2011 2012 Des professionnels... Des solutions... Depuis presque 35 ans 1977 2012 505, rue Sainte-Hélène, 2e étage, Longueuil (Québec) J4K 3R5 Téléphone : 450 646-3271 Télécopieur : 450 646-3275

Plus en détail

La prise en charge de votre cardiopathie valvulaire

La prise en charge de votre cardiopathie valvulaire G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre cardiopathie valvulaire Vivre avec une cardiopathie valvulaire Décembre 2008 En cas de cardiopathie valvulaire opérée

Plus en détail

Site pilote de l IMBCI en Amérique du Nord

Site pilote de l IMBCI en Amérique du Nord CSSS La Pommeraie, Hôpital Brome Missisquoi Perkins certifié de l Initiative Ami des bébés 1999 Hôpital recertifié 2004 CLSC certifié 2005 CSSS certifié mai 2010 Site pilote de l IMBCI en Amérique du Nord

Plus en détail

Calendrier du Programme de formation automne 2015

Calendrier du Programme de formation automne 2015 Calendrier du Programme de formation automne 2015 Atelier Série sur le leadership (présidents) Le rôle du président dans la planification stratégique un atelier interactif La responsabilité des administrateurs

Plus en détail

L ANGINE. A Epidémiologie :

L ANGINE. A Epidémiologie : L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable

Plus en détail

LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention

LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC

Plus en détail

ot de la direction Sylvie Boivin Julien Montreuil

ot de la direction Sylvie Boivin Julien Montreuil Mot de la présidente C est avec grand plaisir que je jette un regard sur cette belle année qui vient de s écouler, sous le signe du défi. Je chaussais pour la toute première fois les grands souliers de

Plus en détail

PIL Décembre 2009. Autres composants: acide tartrique, macrogol 4000, macrogol 1000, macrogol 400, butylhydroxyanisol.

PIL Décembre 2009. Autres composants: acide tartrique, macrogol 4000, macrogol 1000, macrogol 400, butylhydroxyanisol. Notice publique MOTILIUM Veuillez lire attentivement l intégralité de cette notice avant d utiliser ce médicament. Gardez cette notice, vous pourriez avoir besoin de la relire. Si vous avez d autres questions,

Plus en détail

POLITIQUE DE COMMUNICATION CDC MRC DE L ASSOMPTION

POLITIQUE DE COMMUNICATION CDC MRC DE L ASSOMPTION 1 Politique de communication Corporation de développement communautaire MRC de L Assomption Introduction Mise en contexte Issue de la Table de concertation des organismes communautaires MRC de L Assomption,

Plus en détail