6 mars Les difficultés posées par la proposition de loi. Une initiative isolée de la France

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "6 mars 2015. Les difficultés posées par la proposition de loi. Une initiative isolée de la France"

Transcription

1 6 mars 2015 NOUVELLE PROPOSITION DE LOI N 2578 DU 11 FEVRIER 2015 «DEVOIR DE VIGILANCE DES SOCIETES MERES ET DES ENTREPRISES DONNEUSES D ORDRE» POSITION DES ENTREPRISES DE L AFEP Une nouvelle proposition de loi (PPL) intitulée «Devoir de vigilance des sociétés mères et des entreprises donneuses d ordre» a été déposée le 11 février 2015 par les députés du groupe SRC et apparentés. Elle vise à introduire en droit français une obligation pour les sociétés françaises dépassant certains seuils d établir et de mettre en œuvre un plan de vigilance comportant des mesures de vigilance raisonnable propres à identifier et à prévenir la réalisation de risques tout au long de la chaîne de valeur. Le non-respect de cette obligation fait peser sur les sociétés mères et entreprises donneuses d ordre trois sanctions : une amende civile pouvant atteindre 10 millions, une responsabilité civile pour faute, une publicité sanction. Les entreprises s accordent sur la nécessité de faire preuve de vigilance au-delà de leurs propres frontières, sociétaires et nationales. Les grands groupes français développent et mettent en œuvre depuis de nombreuses années des stratégies en ce sens. Ils sont parmi les plus soucieux du respect des standards internationaux en matière de droits humains, de protection de l environnement et de lutte contre la corruption et adhèrent aux principes de l OCDE et de l ONU. En revanche, les entreprises contestent l opportunité d une législation française qui ferait peser sur elles seules des obligations à la fois considérables et mal définies et susciterait de ce fait distorsion de concurrence, insécurité juridique majeure et atteinte grave à l attractivité du territoire français sans pour autant atteindre les objectifs de renforcement de la protection des droits de l Homme, des droits sociaux et de l environnement. Les difficultés posées par la proposition de loi Une initiative isolée de la France Contrairement à ce qui est affirmé dans l exposé des motifs, aucun autre pays au monde ne prévoit un dispositif aussi étendu de responsabilité des entreprises. Si d autres pays ont légiféré, ils l ont fait de manière très ciblée (par exemple sur la corruption au Brésil, aux Etats Unis, au Royaume-Uni ; sur l esclavage et la traite humaine en Californie ; sur la santé et la sécurité au Canada). L ambition de doter la France d une législation imposant une obligation aussi vaste en imaginant que les autres Etats suivront l exemple n est pas réaliste. Ainsi, il résulte de l examen des Plans pour la mise en œuvre des Principes directeurs de l ONU que chaque Etat membre a l obligation de produire (mais que la France n a toujours pas établi), qu aucun Etat n a envisagé de transposer les pratiques basées sur la soft law en une réglementation légalement contraignante et sanctionnée par la mise en cause de la responsabilité de la mère ou donneuse d ordre. A cet égard, le plan d action finlandais, adopté en octobre 2014, indique explicitement 1

2 que le fait de transformer la vigilance raisonnable en obligation légale n est pas envisageable en raison de la difficulté de définir le contenu de l obligation elle-même 1. A l échelle de l UE, ce sont des dispositifs volontaires qui sont à l étude. Ainsi, dans le domaine de l importation de minerais originaires de zones de conflit ; tirant les conséquences de l expérience américaine, la proposition de règlement de l UE sur la vigilance des importateurs européens de ces minerais prévoit de mettre en place un système non contraignant d auto-certification volontaire, au maillon le plus amont de la chaine de valeur. Une obligation dont le contenu n est pas précisément défini génère nécessairement une insécurité juridique considérable Les normes dont les entreprises sont censées veiller à l application ne sont pas déterminées par la loi. La PPL ne précise pas les règles que l obligation de vigilance doit concerner. Ainsi, la référence dans l article 1 aux «atteintes aux droits de l homme et aux libertés fondamentales, de dommages corporels ou environnementaux graves ou de risques sanitaires» ne permet pas de savoir en application de quel droit ces atteintes sont appréciées : s agit-il du droit local? du droit français? de l application directe du droit international (alors que les entreprises ne sont pas des sujets du droit international)? Si l exposé des motifs cite des textes internationaux de référence, tels que les Principes directeurs des Nations Unis, de l OCDE, ISO , ces textes ne sont pas suffisamment explicites pour permettre aux entreprises de connaitre avec certitude la règle qu il s agit de faire respecter sur le terrain (illustrations en annexe). Ces normes internationales s adressent aux Etats et nécessitent pour la plupart des cas une interprétation et une transposition par le législateur national. Le caractère indéterminé de l obligation posée par la PPL apparaît de façon flagrante quand on la compare aux obligations de vigilance déjà existantes dans la législation française et européenne. En effet, ces dernières établissent clairement, à l inverse de la PPL, les obligations des entreprises sur un champ bien déterminé. Ces obligations sont posées dans des termes précis, tant quant au contenu qu à la portée géographique. Ainsi en est-il par exemple : o o en droit social des obligations du donneur d ordre concernant la lutte contre l emploi d étrangers sans titre de travail et le travail dissimulé : l entreprise donneuse d ordre connait avec précisions les obligations sur lesquelles elle doit exercer sa vigilance (obligation qui de plus s exerce dès lors que l administration a alerté l entreprise du risque de défaillance du sous-traitant) ; en droit de l environnement concernant la lutte contre l exploitation illégale des forêts. Dans ce cas, la loi française repose sur un règlement européen définissant l ensemble des notions et obligations dont le non-respect expose les entreprises à des sanctions administratives. La définition du périmètre est elle-même mal définie et irréaliste. La notion «d influence déterminante» sur les fournisseurs et les sous-traitants (de la société mère et de ses filiales) ne correspond à aucune notion définie par la loi. Considérer que des filiales et des tiers (sous-traitants et fournisseurs) sont sur le même plan n est pas réaliste. 1 National Action Plan for the implementation of the UN Guiding Principles on Business and Human Rights, October 2014, point 3.1., p. 25: Transforming the due diligence process described above into a legally binding obligation is difficult to envisage. The problem with statutory due diligence for respecting human rights is the difficulty of defining the obligation included therein. On a national level, respecting human rights is defined in appropriate legislation, and careful actions may be important for assessing company responsibilities. 2

3 L obligation d établissement et de mise en œuvre d un plan de vigilance est présentée comme une obligation de moyens qui pourrait exonérer l entreprise des sanctions prévues à l article 2. Or, la formulation de l article 1 er, qui exige la mise en œuvre de manière effective de mesures propres à identifier et à prévenir la réalisation de risques, s apparente en réalité à une obligation de résultat : la survenance du dommage sera la preuve même de l insuffisance du plan de vigilance qui n aura pas été en mesure de le prévenir. Au-delà de la question de la conformité du texte aux exigences constitutionnelles, son imprécision et sa portée extrêmement large seront fort probablement sources de procédures judiciaires à la fois nombreuses, longues et coûteuses (en raison notamment du recours à l expertise). La judiciarisation des relations avec les parties prenantes L intérêt à agir pour faire prononcer une injonction ou une amende civile au juge est accordé à toute association régulièrement déclarée depuis au moins cinq ans dont l objet statutaire comporte la défense d intérêts couverts par la PPL. Cette habilitation extrêmement large n existe dans aucun autre texte du droit français. Elle institue les associations en «procureurs privés», les pouvoirs publics abandonnant le contrôle du respect de la loi à des intérêts privés pour lesquels aucune transparence, représentativité et exigence d honorabilité n est organisée. Au lieu d inciter les entreprises et leurs parties prenantes à engager et entretenir un dialogue constructif pour améliorer les pratiques et répondre aux situations locales, la PPL instaure un climat de défiance, qui incite à saisir le juge dans un but de sanctionner l entreprise plutôt que de la faire progresser, et de permettre à ces associations d obtenir des financements au titre des dommages et intérêts versés pour l atteinte aux intérêts statutaires défendus. Des distorsions de concurrence et des effets très défavorables à la compétitivité des entreprises françaises Seules les grandes entreprises françaises sont concernées par ces obligations. Tant les entreprises de moins de salariés français que les entreprises étrangères importatrices y échappent. Sur le marché français, cela pose très directement le risque de distorsion de concurrence au détriment des productions nationales (comment par exemple justifier que seuls les constructeurs automobiles français soient impactés et non les constructeurs étrangers qui vendent sur le territoire?). Cette différence de traitement n est justifiée par aucun motif relevant de l objet de la loi : la défense des droits de l Homme, des libertés fondamentales ou encore de la protection de l environnement doit s appliquer à tous, à proportion de leurs moyens. Une telle législation purement nationale peut contribuer à mettre en cause la localisation des centres de décisions des entreprises implantées en France. Il est illusoire de penser que la PPL aurait un effet bénéfique sur l activité économique en France : pour des raisons de faisabilité, de savoir-faire ou de coût, les entreprises ne pourront pas rapatrier l intégralité des marchés confiés à leurs sous-traitants et fournisseurs étrangers. Quoi qu il en soit, les entreprises françaises ont des besoins d approvisionnement, notamment en matières premières, qui ne peuvent être satisfaits par le territoire national. Au contraire, les donneurs d ordre seront amenés à imposer à leurs sous-traitants, PME prioritairement françaises, des contraintes n existant pas dans les autres pays, pénalisant ainsi le tissu entrepreneurial français. La loi n atteint pas les objectifs que se fixent ses auteurs Compte tenu de l objectif poursuivi par les auteurs du texte, on comprend mal son champ d application : ne pas viser les organisations publiques ou les entreprises de moins de

4 salariés exclut du champ de très nombreux acteurs. De même, sont hors champ les produits distribués sur le marché français par des sociétés étrangères. 4

5 Les alternatives à la proposition de loi Aider les entreprises françaises de toute taille, publiques et privées, à améliorer leurs pratiques Les grandes entreprises françaises sont parmi les plus avancées en matière de RSE. Elles attendent un accompagnement constructif de la part des pouvoirs publics, qui les aide à respecter leurs engagements sociaux, environnementaux et sociétaux sur la scène internationale et face à des concurrents souvent moins soucieux de ces questions. Cet accompagnement doit être déployé également en direction des entreprises de toute taille, publiques ou privées, les administrations et les collectivités territoriales, qui peuvent être fortement importatrices et donc autant concernées par les enjeux de maîtrise des risques tout au long de leurs chaînes d approvisionnement. C est en ce sens que la Plateforme RSE a fait des recommandations qui pour l instant ont trouvé peu d échos. Il faut favoriser, comme le font les autres Etats à l égard de leurs entreprises, une logique d amélioration continue des pratiques basées sur des guides d application spécifiques aux différentes thématiques (cf. le projet de lignes directrices sur la prévention de la corruption). Cette logique d encouragement a été retenue par le législateur il y a huit mois : ainsi dans la loi d'orientation et de programmation relative à la politique de développement et de solidarité internationale du 7 juillet 2014 il est clairement affiché que «La France encourage les sociétés ayant leur siège sur son territoire et implantées à l'étranger à mettre en œuvre les principes directeurs énoncés par l'organisation de coopération et de développement économiques à l'intention des entreprises multinationales et les principes directeurs sur les entreprises et les droits de l'homme adoptés par le Conseil des droits de l'homme de l'organisation des Nations unies.». Reconnaitre l efficacité de la soft law Il faut arrêter de considérer que la soft law n aurait pas en elle-même d effet contraignant. Les engagements volontaires en matière de RSE produisent d ores et déjà des effets juridiques et plusieurs décisions judiciaires le prouvent. De plus, les Points contact nationaux de l OCDE veillent au respect des Principes Directeurs en traitant les plaintes contre les entreprises opérant à partir des 45 pays adhérents aux Principes Directeurs. Le risque de réputation et de sanctions par le marché attaché à la soft law opèrent un changement des mentalités et constituent une véritable incitation au progrès. Les processus d autorégulation doivent être améliorés, tel que le prône la Commission européenne dans sa stratégie RSE. A ce titre, elle a mis en place une plateforme visant à établir, en coopération avec les entreprises et d autres organisations, des codes de bonnes pratiques pour différents secteurs économiques. La promotion de telles initiatives sectorielles menées au plan européen et international devrait donc constituer une priorité. Renforcer la transparence sur les mesures de vigilance mises en œuvre Les entreprises sont favorables à une approche reposant sur une meilleure explicitation du devoir de vigilance. Comme dans d autres pays européens, le plan d action national français sur la mise en œuvre des Principes directeurs de l ONU, pourrait être l occasion d une telle explicitation. Les entreprises sont favorables à une transparence accrue sur les mesures de «diligence raisonnable» qu elles mettent en œuvre conformément aux principes directeurs de l OCDE et de l ONU (codes de conduite ; chartes RSE ; procédures d alertes ; contractualisation des politiques d achat responsable ; cartographie des risques RSE ; évaluation des fournisseurs et sous-traitants ; plans d actions correctives ; audits RSE conduits par des tiers indépendants). 5

6 Cette transparence accrue est cohérente avec l approche européenne. En effet, la directive européenne 2014/95/UE du 22 octobre 2014 sur la publication d information non financière exige la publication des procédures de diligence raisonnable concernant les questions environnementales, sociales, de personnel, de respect des droits de l homme et de lutte contre la corruption, mises en œuvre tout au long de la chaîne d approvisionnement et de sous-traitance des entreprises. Elle permettra, une fois transposée en droit français, la publication harmonisée des «plans de vigilance» de toutes les sociétés cotées européennes de plus de 500 salariés. Elle exige également la publication des résultats de ces politiques et des principaux risques liés à ces questions. 6

7 Annexe Difficultés de mise en œuvre par les entreprises des concepts contenus dans les conventions internationales en matière de droits de l Homme ou de protection de l environnement Droits de l homme A titre liminaire, il convient de rappeler que les traités internationaux qui peuvent être reconnus par les entreprises comme des références dans le domaine des droits de l homme ont été écrits à l attention des Etats qui les ratifient. Tant les principes directeurs de l OCDE que ceux de l ONU sont des lignes directrices sans caractère contraignant pour les entreprises. Le «destinataire» des traités internationaux, c est l Etat auquel il appartient de prendre les dispositions appropriées pour préciser les conditions d application des principes inscrits dans les textes internationalement reconnus, en définissant les règles permettant aux justiciables de connaître et exercer leurs droits. La déclinaison des principes est de la compétence de l Etat (souveraineté nationale), en fonction des caractéristiques propres de son pays et notamment de son niveau de développement. La problématique du respect des droits de l homme est surtout sensible dans les pays à faible gouvernance. Or ces pays n ont pas toujours ratifié les conventions internationales de défense des droits de l homme. Les entreprises multinationales s engagent à respecter les principes des conventions internationales de défense des droits de l homme. Or les principes de ces conventions internationales qui ont été initialement rédigées à l attention des Etats ne sont pas toujours facilement transposables par les entreprises. Si l on prend par exemple le grand principe selon lequel les hommes naissent libres et égaux en droit, ce principe doit être transposé pour être applicable (par exemple, par la mise en œuvre de politiques de ressources humaines dédiées visant à garantir l égalité des rémunérations entre hommes et femmes, etc.) En l absence de lois locales protectrices des droits de l homme, ce sont les entreprises qui définissent en interne des standards en s inspirant des bonnes pratiques. En cas de conflits entre une loi locale et un principe de droit international, les entreprises devront, tout en respectant la lettre de la loi locale, respecter l esprit des standards internationaux. En conclusion, des guides de bonnes pratiques sur ces sujets sont indispensables à l instar de ce que le SCPC s apprête à faire sur l anti-corruption. Selon les pays, l entreprise peut être confrontée à différentes situations : Dans certains pays, la loi nationale est en contradiction directe avec un principe figurant dans un texte reconnu internationalement de sorte que l atteinte résulte directement du respect de la loi nationale : - recevoir la candidature d une femme pour un emploi d agent commercial dans un pays où il est interdit aux femmes de conduire ; - faire appel à un sous-traitant implanté dans un pays qui interdit la création de syndicat ; - loi qui impose le recrutement de salariés locaux ou la sous-traitance obligatoire à des entreprises locales en violation du principe de non discrimination ; - loi nationale discriminatoire imposant aux entreprises une obligation de dénonciation. 7

8 Dans d autres pays, l entreprise peut être confrontée à une situation d absence de règle nationale de sorte que les conditions d application du principe ne sont ni définies ni garanties. Il peut également exister un écart entre la loi nationale et les règles prises dans d autres Etats pour appliquer le même principe internationalement reconnu. Face à ce silence, l entreprise va chercher à définir un «standard» à mettre en œuvre ou un comportement approprié sans disposer de règles universelles. Dans son rapport sur la mise en œuvre des principes directeurs de l OCDE dans la filière textile, le PCN français reconnait que le désengagement des entreprises d un pays peut constituer «un préjudice très lourd pour le pays et pour sa population, en particulier pour les femmes, qui constituent l essentiel de la main d œuvre dans le secteur du textile habillement ( ) L action des entreprises multinationales pour la mise en œuvre des principes peut représenter un facteur positif dans ce qui ne peut être qu un processus progressif (p. 55 du rapport). Mais il appartient aux autorités bangladaises d apporter leur indispensable contribution à cette mise en œuvre pour limiter le risque de désengagement, dans un mode où les facteurs de production sont aisément relocalisables. Environnement La situation est similaire dans le domaine de l environnement car les réglementations nationales sont très inégales selon les pays (peu ou pas de règles selon les compartiments environnementaux considérés : eau, air, sols, nature et espèces protégées, ). A l absence de définition de seuils ou de normes s ajoutent les contraintes liées au niveau de développement économique du pays qui fait que certaines activités y sont inexistantes : filières de gestion des déchets par exemple. 8

GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP)

GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP) Strasbourg, 22 août 2014 CDDH-CORP(2014)10 COMITÉ DIRECTEUR POUR LES DROITS DE L'HOMME (CDDH) GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP) Projet de recommandation du Comité

Plus en détail

CHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013

CHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013 1 CHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013 2 Groupama Asset Management s engage par le biais de cette présente Charte à appliquer et promouvoir une politique de Responsabilité Sociale de

Plus en détail

Les Règles Contraignantes d Entreprise francophones (RCEF) Foire aux questions (FAQ) Version pour les entreprises décembre 2014

Les Règles Contraignantes d Entreprise francophones (RCEF) Foire aux questions (FAQ) Version pour les entreprises décembre 2014 Les Règles Contraignantes d Entreprise francophones (RCEF) Foire aux questions (FAQ) Version pour les entreprises décembre 2014 Résumé Ce document a été rédigé à l attention des entreprises candidates

Plus en détail

RELATIONS AVEC LES PARTENAIRES COMMERCIAUX

RELATIONS AVEC LES PARTENAIRES COMMERCIAUX RELATIONS AVEC LES PARTENAIRES COMMERCIAUX Politique Groupe Keolis - Mai 2015 - Document à usage interne et externe RE Rappels des principes fondamentaux posés par le GUIDE ETHIQUE DE CONDUITE DES AFFAIRES

Plus en détail

Propositions de Transparency International France sur la transparence de la vie économique

Propositions de Transparency International France sur la transparence de la vie économique Propositions de Transparency International France sur la transparence de la vie économique Lors de ses vœux aux corps constitués le 20 janvier dernier, le Président de la République a annoncé l élaboration

Plus en détail

Questionnaire Entreprises et droits humains

Questionnaire Entreprises et droits humains Membres du Avec & Asset Management Questionnaire Entreprises et droits humains 1 2 Présentation des organisations Le CCFD-Terre Solidaire est la première association française de développement. Elle a

Plus en détail

Secrétariat permanent de la Plateforme 7 mai 2014 Martin Boekstiegel

Secrétariat permanent de la Plateforme 7 mai 2014 Martin Boekstiegel Secrétariat permanent de la Plateforme 7 mai 2014 Martin Boekstiegel Traduction non officielle du texte diffusé fin avril 2014 par le Conseil du Développement Durable (Allemagne) dans le cadre de la consultation

Plus en détail

T : +33 1 47 38 55 00 F : +33 1 47 38 55 55 info@cms-bfl.com www.cms-bfl.com Neuilly-sur-Seine, le 14 décembre 2011

T : +33 1 47 38 55 00 F : +33 1 47 38 55 55 info@cms-bfl.com www.cms-bfl.com Neuilly-sur-Seine, le 14 décembre 2011 CMS Bureau Francis Lefebvre 1-3 Villa Emile Bergerat, 92522 Neuilly-sur-Seine Cedex, France T : +33 1 47 38 55 00 F : +33 1 47 38 55 55 info@cms-bfl.com www.cms-bfl.com Neuilly-sur-Seine, le 14 décembre

Plus en détail

CHARTE ETHIQUE GROUPE HEURTEY PETROCHEM

CHARTE ETHIQUE GROUPE HEURTEY PETROCHEM CHARTE ETHIQUE GROUPE HEURTEY PETROCHEM SOMMAIRE I. OBJET DE LA CHARTE ETHIQUE GROUPE... 1 II. DROITS FONDAMENTAUX... 1 1. Respect des conventions internationales... 1 2. Discrimination et harcèlement...

Plus en détail

Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS

Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS 23 mars 2015 Synthèse Avec plus de 12.000 évaluations

Plus en détail

N'imprimez ce document que si nécessaire. Protégez l'environnement. Principes de Conduite ÉTHIQUE. des affaires. SPIE, l ambition partagée

N'imprimez ce document que si nécessaire. Protégez l'environnement. Principes de Conduite ÉTHIQUE. des affaires. SPIE, l ambition partagée Protégez l'environnement. N'imprimez ce document que si nécessaire Principes de Conduite ÉTHIQUE des affaires SPIE, l ambition partagée Les ENGAGEMENTS de SPIE LES 10 PRINCIPES DIRECTEURS COMPORTEMENT

Plus en détail

CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD

CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD AVANT-PROPOS Établissement public, l Agence Française de Développement exerce une mission d intérêt public, principalement à l international. CHARTE D ÉTHIQUE

Plus en détail

Peut-on envisager un effet direct?

Peut-on envisager un effet direct? Les implications de la convention des Nations Unies relative aux droits des personnes handicapées sur la législation de l UE concernant le handicap Peut-on envisager un effet direct? Peut-on envisager

Plus en détail

Code à l intention des partenaires commerciaux

Code à l intention des partenaires commerciaux Code à l intention des partenaires commerciaux Groupe Axpo Code à l intention des partenaires commerciaux 02 03 Table des matières Introduction... 05 I. Éthique commerciale et intégrité... 07 II. Respect

Plus en détail

Avril 2015. Code de conduite des fournisseurs de Bio Rad

Avril 2015. Code de conduite des fournisseurs de Bio Rad Avril 2015 Code de conduite des fournisseurs de Bio Rad Présentation Notre mission : Proposer des produits utiles et de qualité supérieure qui font avancer la recherche scientifique et améliorent les soins

Plus en détail

3F4/2 Modalités de renfort en personnels dans les domaines non sanitaires

3F4/2 Modalités de renfort en personnels dans les domaines non sanitaires FICHE-MESURE Plan pandémie grippale 3F4/2 Modalités de renfort en personnels dans les domaines non sanitaires Validation : 13/10/2011 Ministère-pilote et rédacteur : Ministère chargé de l intérieur Ministères

Plus en détail

72% des Français prêts à payer plus cher un produit fabriqué en France. Mais pas à n importe quel prix!

72% des Français prêts à payer plus cher un produit fabriqué en France. Mais pas à n importe quel prix! Communiqué de presse 21 novembre 2011 Une étude CEDRE/Ifop 1 propose le regard croisé des consommateurs et des chefs d entreprises français sur le «Made in France» 72% des Français prêts à payer plus cher

Plus en détail

CODE DE CONDUITE FOURNISSEUR SODEXO

CODE DE CONDUITE FOURNISSEUR SODEXO CODE DE CONDUITE FOURNISSEUR SODEXO Avril 2014 SOMMAIRE INTRODUCTION 3 INTEGRITE DANS LA CONDUITE DES AFFAIRES 4 DROITS DE L HOMME - DROITS FONDAMENTAUX AU TRAVAIL 5 Elimination de toute forme de travail

Plus en détail

Entreprendre autrement avec le Global Compact 24 octobre 2013 World Forum Lille

Entreprendre autrement avec le Global Compact 24 octobre 2013 World Forum Lille Entreprendre autrement avec le Global Compact 24 octobre 2013 World Forum Lille Session animée par Geert Demuijnck, professeur d éthique de l entreprise à l EDHEC Business School PLAN I. Présentation du

Plus en détail

Après quatre tests d évaluation passés dans des pays différents (USA et Amérique latine), la norme SA 8000 a été validée et diffusée.

Après quatre tests d évaluation passés dans des pays différents (USA et Amérique latine), la norme SA 8000 a été validée et diffusée. LA NORME SA 8000 Les origines de la norme SA 8000 La norme SA 8000 est le résultat, entre autre, du constat de la multiplication des normes et des standards existants sur le marché. C est en octobre 1997

Plus en détail

PACTE MONDIAL L engagement du Groupe CIS

PACTE MONDIAL L engagement du Groupe CIS PACTE MONDIAL L engagement du Groupe CIS Depuis 1992, CIS a développé une gamme complète de services pour ses clients du secteur pétrolier et parapétrolier (Total, Shell, Bouygues, Technip, KBR, Hyundaï,

Plus en détail

2.5. Pacte mondial des Nations Unies

2.5. Pacte mondial des Nations Unies 2.5. Pacte mondial des Nations Unies Priorité stratégique : soutenir les principes du Pacte Nous sommes l un des signataires du Pacte, la plus importante initiative au monde dans le domaine de la responsabilité

Plus en détail

ASSURANCE RC MANDATAIRES SOCIAUX Questions/Réponses. Questions relatives à l objet des garanties :

ASSURANCE RC MANDATAIRES SOCIAUX Questions/Réponses. Questions relatives à l objet des garanties : ASSURANCE RC MANDATAIRES SOCIAUX Questions/Réponses Cette synthèse a pour objet de répondre aux questions les plus fréquemment posées relatives au contrat d assurance RC MANDATAIRES SOCIAUX Questions relatives

Plus en détail

Synthèse. Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers. Propositions et axes de réflexion des IEEC

Synthèse. Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers. Propositions et axes de réflexion des IEEC Synthèse Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers Propositions et axes de réflexion des IEEC Introduction Alors que les marchés internationaux ont toujours été un

Plus en détail

Recommandations pour les entreprises qui envisagent de souscrire à des services de Cloud computing

Recommandations pour les entreprises qui envisagent de souscrire à des services de Cloud computing Recommandations pour les entreprises qui envisagent de souscrire à des services de Cloud computing D un point de vue juridique, la CNIL constate que le Cloud computing soulève un certain nombre de difficultés

Plus en détail

Diriger nos business de façon durable

Diriger nos business de façon durable Code de bonne conduite Diriger nos business de façon durable Afin de guider et soutenir les parties prenantes du marché dans leur démarche d excellence et de création de valeur dans le long terme, les

Plus en détail

Deuxième Cycle d Evaluation. Addendum au Rapport de Conformité sur la Hongrie

Deuxième Cycle d Evaluation. Addendum au Rapport de Conformité sur la Hongrie DIRECTION GENERALE DES DROITS DE L HOMME ET DES AFFAIRES JURIDIQUES DIRECTION DES MONITORINGS Strasbourg, 11 juin 2010 Public Greco RC-II (2008) 4F Addendum Deuxième Cycle d Evaluation Addendum au Rapport

Plus en détail

Annexe A : tableau des Indicateurs GRI

Annexe A : tableau des Indicateurs GRI Annexe A : tableau des Indicateurs GRI Ce tableau présente les indicateurs de la Global Reporting Initiative (GRI) ayant été utilisés dans la préparation de notre rapport. Symboles I Inclus P Partiellement

Plus en détail

COMMUNICATION SUR LE PROGRES GLOBAL COMPACT

COMMUNICATION SUR LE PROGRES GLOBAL COMPACT COMMUNICATION SUR LE PROGRES GLOBAL COMPACT NOVEMBRE 2013 2 Le mot de la direction Lorsque nous avons fondé NEXEO, nous avions déjà une expérience significative du métier de la prestation intellectuelle

Plus en détail

4 avril. Formation IDSE 2012 10 mai 2012

4 avril. Formation IDSE 2012 10 mai 2012 4 avril 203 Formation IDSE 2012 10 mai 2012 La politique de responsabilité sociétale de Vivendi, enjeux et gouvernance Pascale Thumerelle Directrice de la responsabilité sociétale d entreprise (RSE) Webinaire

Plus en détail

Lignes directrices relatives à la notion de personnes politiquement exposées (PPE)

Lignes directrices relatives à la notion de personnes politiquement exposées (PPE) Janvier 2010 Lignes directrices relatives à la notion de personnes politiquement exposées (PPE) Document de nature explicative (Version actualisée avec mise à jour des dispositions législatives et réglementaires

Plus en détail

Convention. Entre. ci-après désignée «Bureau de Business France en Pologne» d une part,

Convention. Entre. ci-après désignée «Bureau de Business France en Pologne» d une part, Convention Entre Business France établissement public industriel et commercial, immatriculé au Registre du commerce et des sociétés de Paris sous le numéro 451 930 051, dont le siège social est sis 77

Plus en détail

Charte Ethique CMA CGM

Charte Ethique CMA CGM Charte Ethique CMA CGM L esprit CMA CGM L esprit CMA CGM, des valeurs familiales pour un Groupe responsable. Depuis sa création en 1978, notre Groupe s est toujours développé avec la même passion. Nous

Plus en détail

Position de la CSF sur le projet de loi relatif à la consommation

Position de la CSF sur le projet de loi relatif à la consommation Position de la CSF sur le projet de loi relatif à la consommation Dans son ensemble, la CSF accueille favorablement le projet de loi, mais reste néanmoins mobilisée contre la volonté du gouvernement de

Plus en détail

La Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones

La Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones Note d information La Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones La Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones a été adoptée par l Assemblée Générales

Plus en détail

L INSPECTION PRÉACHAT DANS LE DOMAINE IMMOBILIER ÀSSOIÀTION PES CONSOMMATEURS POUR LA QUALITÉ PANS LÀ CONSTRUCTION POUR UNE MEILLEURE PROTECTION

L INSPECTION PRÉACHAT DANS LE DOMAINE IMMOBILIER ÀSSOIÀTION PES CONSOMMATEURS POUR LA QUALITÉ PANS LÀ CONSTRUCTION POUR UNE MEILLEURE PROTECTION POUR LA QUALITÉ PANS LÀ CONSTRUCTION ÀSSOIÀTION PES CONSOMMATEURS DES ACHETEURS ET DES VENDEURS POUR UNE MEILLEURE PROTECTION IMMOBILIER DANS LE DOMAINE PRÉACHAT L INSPECTION L INSPECTION PRÉACHAT DANS

Plus en détail

Guide sur les initiatives RSE sectorielles Fiche n 6 Engagements RSE dans le secteur des industries électriques, électroniques et de communication

Guide sur les initiatives RSE sectorielles Fiche n 6 Engagements RSE dans le secteur des industries électriques, électroniques et de communication MEDEF - ORSE octobre 2014 Guide sur les initiatives RSE sectorielles Fiche n 6 dans le secteur des industries électriques, électroniques et de communication Fédération des Industries Electriques, Electroniques

Plus en détail

Déclaration de Campagne de Play Fair 2008

Déclaration de Campagne de Play Fair 2008 Jeux olympiques de Pékin Déclaration de Campagne de Play Fair 2008 Cette déclaration de campagne a pour objet de guider les actions des organisations engagées dans une campagne mondiale visant à attirer

Plus en détail

Le règlement REACH. Transparence des entreprises au sujet de leur mise en conformité

Le règlement REACH. Transparence des entreprises au sujet de leur mise en conformité Le règlement REACH Transparence des entreprises au sujet de leur mise en conformité Impacts économiques, risques extra-financiers et opportunités pour les entreprises Résumé de l étude réalisée par EthiFinance,

Plus en détail

Délais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM

Délais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM Délais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM Septembre 2012 Table des matières : 1. Facts and figures :...2 1.1. Lien entre retards de paiement et faillites :... 2 1.2. Délais de paiement...

Plus en détail

REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL

REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL L important développement à l international du groupe OVH et de ses filiales, conduit à l adoption des présentes règles internes en matière

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DU REDRESSEMENT PRODUCTIF PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES, INNOVATION ET ÉCONOMIE NUMÉRIQUE Ordonnance n o 2014-329 du 12 mars 2014 relative à l

Plus en détail

Consultation publique PARL OMPI EXPERTS PRESENTATION ET ETAT D AVANCEMENT DU PROJET PARL OMPI EXPERTS

Consultation publique PARL OMPI EXPERTS PRESENTATION ET ETAT D AVANCEMENT DU PROJET PARL OMPI EXPERTS Consultation publique PARL OMPI EXPERTS PRESENTATION ET ETAT D AVANCEMENT DU PROJET PARL OMPI EXPERTS PRESENTATION ET ETAT D AVANCEMENT DU PROJET PARL OMPI EXPERTS 2 Présentation et état d avancement du

Plus en détail

RESPONSABILITE DU DIRIGEANT EN DROIT DU TRAVAIL

RESPONSABILITE DU DIRIGEANT EN DROIT DU TRAVAIL RESPONSABILITE DU DIRIGEANT EN DROIT DU TRAVAIL 02/06/2015 En matière de droit du travail, la responsabilité de l employeur peut être engagée dans de nombreuses situations que nous allons examiner ci-dessous.

Plus en détail

POLITIQUE RELATIVE AUX LOIS ANTI CORRUPTION D ALCOA, INC.

POLITIQUE RELATIVE AUX LOIS ANTI CORRUPTION D ALCOA, INC. POLITIQUE RELATIVE AUX LOIS ANTI CORRUPTION D ALCOA, INC. CONTEXTE : Alcoa Inc. («Alcoa») et sa direction se sont engagés à mener toutes leurs activités dans le monde entier, avec éthique et en conformité

Plus en détail

SESSION 2013 BTS ASSURANCE CORRIGE E3

SESSION 2013 BTS ASSURANCE CORRIGE E3 SESSION 2013 BTS ASSURANCE CORRIGE E3 U3 Corrigé Page 1 Sujet n 1 1. Indiquez les éléments pris en compte pour déterminer une cotisation d assurance. La prime dépend de : (3x0,5 pt = 1,5) - La fréquence

Plus en détail

Projets de principes sur la répartition des pertes en cas de dommage transfrontière découlant d activités dangereuses 2006

Projets de principes sur la répartition des pertes en cas de dommage transfrontière découlant d activités dangereuses 2006 Projets de principes sur la répartition des pertes en cas de dommage transfrontière découlant d activités dangereuses 2006 Texte adopté par la Commission du droit international à sa cinquante-huitième

Plus en détail

Quelles sont les obligations en matière d assurance pour les structures sportives?

Quelles sont les obligations en matière d assurance pour les structures sportives? Quelles sont les obligations en matière d assurance pour les structures sportives? La pratique sportive est génératrice de risque et d accident matériel ou corporel. C est pourquoi il existe de nombreuses

Plus en détail

CHARTE DU SYSTEME D'ECHANGE LOCAL DU VAL D YERRES

CHARTE DU SYSTEME D'ECHANGE LOCAL DU VAL D YERRES CHARTE DU SYSTEME D'ECHANGE LOCAL DU VAL D YERRES Le principe d un Système d Echange Local (SEL) est d offrir la possibilité d échanger autrement et librement, en privilégiant le lien plutôt que le bien,

Plus en détail

CONSOMMATION Proposition de directive relative aux droits des consommateurs Position et Amendements de la CGPME

CONSOMMATION Proposition de directive relative aux droits des consommateurs Position et Amendements de la CGPME CONSOMMATION Proposition de directive relative aux droits des consommateurs Position et Amendements de la CGPME La Confédération Générale des Petites et Moyennes Entreprises (CGPME) est une organisation

Plus en détail

CHARTE ETHIQUE DE WENDEL

CHARTE ETHIQUE DE WENDEL CHARTE ETHIQUE DE WENDEL Mars 2015 1 Message du Directoire Wendel est l une des toutes premières sociétés d investissement en Europe. Grâce au soutien d un actionnariat familial stable, Wendel a su se

Plus en détail

LE DOCUMENT UNIQUE DE DELEGATION

LE DOCUMENT UNIQUE DE DELEGATION LE DOCUMENT UNIQUE DE DELEGATION 1 Document Unique de Délégation Un document qui permet de définir les responsabilités : civiles - pénales Des dirigeants pleinement conscients de leur périmètre de responsabilité,

Plus en détail

Les chartes de France Investissement

Les chartes de France Investissement Les chartes de France Investissement Introduction : le dispositif France Investissement Les PME les plus dynamiques ou à fort potentiel de croissance apportent une contribution essentielle au développement

Plus en détail

AUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre?

AUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre? Réunion CCI Franche-Comté - Besançon 13 mai 2014 AUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre? Paule.nusa @afnor.org Nour.diab@afnor.org

Plus en détail

ACCORD DU 15 DÉCEMBRE 2011

ACCORD DU 15 DÉCEMBRE 2011 MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3364 Convention collective nationale RÉGIME SOCIAL DES INDÉPENDANTS IDCC : 2796.

Plus en détail

I. Une nouvelle loi anti-discrimination

I. Une nouvelle loi anti-discrimination Extrait du Bulletin de Liaison Le Défi n 17, LHFB, Juillet 2004 Discriminations et assurances ; les apports de la Loi du 25 février 2003 et le rôle du Centre pour l'égalité des chances et la lutte contre

Plus en détail

COALITION FRANCE POUR L EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE

COALITION FRANCE POUR L EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE COALITION FRANCE POUR L EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE PROPOSITIONS COMMUNES Mise en œuvre de la rénovation énergétique du parc existant de bâtiments Contact CFEE : Joël VORMUS Tél. : 01 55 86 80 08 joel.vormus@cler.org

Plus en détail

ARROW ELECTRONICS, INC.

ARROW ELECTRONICS, INC. 7459 South Lima Street Englewood, Colorado 80112 Aout 2013 P 303 824 4000 F 303 824 3759 arrow.com CODE DE CONDUITE DES PARTENAIRES COMMERCIAUX ARROW ELECTRONICS, INC. Cher partenaire commercial, Le succès

Plus en détail

CODE DE CONDUITE CONFORMITÉ AUX EXIGENCES JURIDIQUES

CODE DE CONDUITE CONFORMITÉ AUX EXIGENCES JURIDIQUES CODE DE CONDUITE LE PRÉSENT CODE DE CONDUITE EST FONDÉ SUR LES VALEURS DE GMI- DISTRIBUTION. IL A POUR OBJET DE GARANTIR QUE L ENSEMBLE DES EMPLOYÉS, DES GESTIONNAIRES ET DES DIRIGEANTS DE GMI-DISTRIBUTION

Plus en détail

Réponse de la MAIF à la consultation de la Commission européenne sur son Livre vert «Le cadre de la gouvernance d entreprise dans l UE».

Réponse de la MAIF à la consultation de la Commission européenne sur son Livre vert «Le cadre de la gouvernance d entreprise dans l UE». Réponse de la MAIF à la consultation de la Commission européenne sur son Livre vert «Le cadre de la gouvernance d entreprise dans l UE». A propos de la MAIF La MAIF (Mutuelle d Assurance des Instituteurs

Plus en détail

Colgate-Palmolive Company. Code de conduite des fournisseurs

Colgate-Palmolive Company. Code de conduite des fournisseurs Colgate-Palmolive Company Code de conduite des fournisseurs Cher fournisseur de Colgate, Au cours des années, Colgate-Palmolive Company s est forgé la réputation d une organisation utilisant des pratiques

Plus en détail

_Règlement Caritas Protection des enfants

_Règlement Caritas Protection des enfants _Règlement Caritas Protection des enfants 2 Convaincus que les enfants ont le droit d être protégés et stimulés dans leur développement, respectés comme des acteurs indépendants et associés aux décisions,

Plus en détail

RESPONSABILITES ET ASSURANCE DANS LE DOMAINE ASSOCIATIF

RESPONSABILITES ET ASSURANCE DANS LE DOMAINE ASSOCIATIF RESPONSABILITES ET ASSURANCE DANS LE DOMAINE ASSOCIATIF L ASSOCIATION : Construction humaine, Construction juridique. RAPPEL Un cadre législatif fondamental - article 1 loi du 1 juillet 1901 : «l association

Plus en détail

ÉTHIQUE DE LA RELATION COMMERCIALE : PRINCIPES DIRECTEURS

ÉTHIQUE DE LA RELATION COMMERCIALE : PRINCIPES DIRECTEURS ÉTHIQUE DE LA RELATION COMMERCIALE : PRINCIPES DIRECTEURS MAI 2013 RESPECT INTÉGRITÉ LOYAUTÉ HONNÊTETÉ COMPLIANCE ÉTHIQUE & SOMMAIRE ÉTHIQUE DE LA RELATION COMMERCIALE : INTERVIEW DE GÉRARD MESTRALLET,

Plus en détail

Notre approche pour les investissements en bourse

Notre approche pour les investissements en bourse TlB Notre approche pour les investissements en bourse Introduction Ce document présente la stratégie d investissement dans les entreprises cotées en bourse adoptée par Triodos Investment Management B.V.*

Plus en détail

ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES

ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES PPB-2006-8-1-CPA ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES Introduction 0. Base légale 1. Le contrôle interne 1.1. Définition et éléments constitutifs 1.2. Mesures

Plus en détail

Déclaration des droits sur Internet

Déclaration des droits sur Internet Déclaration des droits sur Internet 1 Préambule Internet a décisivement contribué à redéfinir l espace public et privé, à structurer les rapports entre les personnes et entre celles-ci et les institutions.

Plus en détail

La gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre!

La gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre! La gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre! Directives volontaires pour une gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forêts dans le contexte de

Plus en détail

Délais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM

Délais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM Délais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM Mars 2013 RÉSUMÉ :... 2 NOTE INTÉGRALE :... 3 1. LIEN ENTRE RETARDS DE PAIEMENT ET FAILLITES :... 3 2. DÉLAIS DE PAIEMENT... 4 3. RETARDS

Plus en détail

L appréhension pénale du terrorisme Plan détaillé de la dissertation ENM 2014

L appréhension pénale du terrorisme Plan détaillé de la dissertation ENM 2014 L appréhension pénale du terrorisme Plan détaillé de la dissertation ENM 2014 «Je ne connais rien de plus servile, de plus méprisable, de plus lâche, de plus borné qu'un terroriste» (Chateaubriand, Mémoires

Plus en détail

The Promotion of Employee Ownership and Participation

The Promotion of Employee Ownership and Participation The Promotion of Employee Ownership and Participation Study prepared by the Inter-University Centre for European Commission s DG MARKT (Contract MARKT/2013/0191F2/ST/OP) Final report October 2014 French

Plus en détail

TROPHEE RSE DE LA PROFESSION COMPTABLE 2014 CATEGORIE MEILLEURE DEMARCHE RSE

TROPHEE RSE DE LA PROFESSION COMPTABLE 2014 CATEGORIE MEILLEURE DEMARCHE RSE TROPHEE RSE DE LA PROFESSION COMPTABLE 2014 CATEGORIE MEILLEURE DEMARCHE RSE Nom de la société : Adresse : INFORMATIONS GÉNÉRALES N téléphone : Adresse de messagerie : Etablissement(s) secondaire(s) ou

Plus en détail

La fraude fiscale : Une procédure pénale dérogatoire au droit commun. Par Roman Pinösch Avocat au barreau de Paris

La fraude fiscale : Une procédure pénale dérogatoire au droit commun. Par Roman Pinösch Avocat au barreau de Paris La fraude fiscale : Une procédure pénale dérogatoire au droit commun Par Roman Pinösch Avocat au barreau de Paris La volonté affichée au printemps 2013 par le Président de la République d intensifier la

Plus en détail

GUIDE DU BENEVOLE. Mai 2011

GUIDE DU BENEVOLE. Mai 2011 Mai 2011 GUIDE DU BENEVOLE Le présent document précise les engagements de tout adhérent 1 à Electriciens sans frontières. Ces engagements déclinent de manière opérationnelle les valeurs et principes énoncées

Plus en détail

Communication sur le progrès. Rapport annuel 2014

Communication sur le progrès. Rapport annuel 2014 Communication sur le progrès Rapport annuel 2014 En adhérant au Pacte Mondial des Nations Unies en janvier 2013, JORDENEN s est engagé à appliquer et à soutenir la Responsabilité Sociale et Environnementale

Plus en détail

TRAVAIL EMPLOI FORMATION

TRAVAIL EMPLOI FORMATION TRAVAIL EMPLOI FORMATION Mannequin MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL Direction générale du travail Sous-direction des relations individuelles du travail

Plus en détail

CHARTE R.S.E. Responsabilité Sociétale d'entreprise

CHARTE R.S.E. Responsabilité Sociétale d'entreprise CHARTE R.S.E. Responsabilité Sociétale d'entreprise ENVIRONNEMENT SOCIAL ETHIQUE des AFFAIRES ACHATS RESPONSABLES SERMA GROUP est historiquement sensibilisé par tout ce qui touche l environnement, la sphère

Plus en détail

Conscient de ces enjeux vitaux pour l entreprise, Vae Solis Corporate met tout en œuvre pour agir en conformité avec les plus hautes normes éthiques.

Conscient de ces enjeux vitaux pour l entreprise, Vae Solis Corporate met tout en œuvre pour agir en conformité avec les plus hautes normes éthiques. Charte éthique et anti-corruption 1. Préface d Arnaud Dupui-Castérès, président et fondateur de Vae Solis Corporate «L'intégrité est une condition essentielle dans la conduite des affaires et soutient

Plus en détail

QU EST- CE QU UNE CONSTITUTION

QU EST- CE QU UNE CONSTITUTION QU EST- CE QU UNE CONSTITUTION La Constitution est un ensemble de textes juridiques qui définit les différentes institutions composant l État et qui organise leurs relations. Elle peut comporter également

Plus en détail

Association 22 rue de Milan 75009 Paris France Téléphone : +33(0)1.42.21.33.25 Contact : marie-caroline.caillet@asso-sherpa.org www.asso-sherpa.

Association 22 rue de Milan 75009 Paris France Téléphone : +33(0)1.42.21.33.25 Contact : marie-caroline.caillet@asso-sherpa.org www.asso-sherpa. Association 22 rue de Milan 75009 Paris France Téléphone : +33(0)1.42.21.33.25 Contact : marie-caroline.caillet@asso-sherpa.org www.asso-sherpa.org L e s E n t r e p r i s e s T r a n s n a t i o n a l

Plus en détail

Comprendre les négociations internationales sur le climat. Contexte, historique et enjeux

Comprendre les négociations internationales sur le climat. Contexte, historique et enjeux Comprendre les négociations internationales sur le climat Contexte, historique et enjeux Chapitre 1 LE CONTEXTE: L URGENCE CLIMATIQUE La planète s est déjà réchauffée de +0,8 C Les impacts Les impacts

Plus en détail

COSMIC. Information sur la responsabilité sociale des entreprises (RSE) dans le secteur de la Mode. En collaboration avec

COSMIC. Information sur la responsabilité sociale des entreprises (RSE) dans le secteur de la Mode. En collaboration avec COSMIC CSR Oriented Supply chain Management to Improve Competitiveness Information sur la responsabilité sociale des entreprises (RSE) dans le secteur de la Mode En collaboration avec Co financed by European

Plus en détail

Les Principes fondamentaux

Les Principes fondamentaux Les Principes fondamentaux DU MOUVEMENT INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE ET DU CROISSANT-ROUGE Christoph von Toggenburg/CICR Les Principes fondamentaux du Mouvement international de la Croix-Rouge et du

Plus en détail

Rapport d évaluation de la licence professionnelle

Rapport d évaluation de la licence professionnelle Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Entrepreneuriat de l Université Paris 13 - Paris-Nord Vague D 2014-2018 Campagne d évaluation 2012-2013 Section

Plus en détail

ISO 27001 conformité, oui. Certification?

ISO 27001 conformité, oui. Certification? ISO 27001 conformité, oui. Certification? Eric Wiatrowski CSO Orange Business Services Lead Auditor ISMS Conférences normes ISO 27001 21 Novembre 2007 1 sommaire Conformité vs certification La démarche

Plus en détail

Les Cahiers du Conseil constitutionnel Cahier n 24

Les Cahiers du Conseil constitutionnel Cahier n 24 Les Cahiers du Conseil constitutionnel Cahier n 24 Commentaire de la décision n 2007-557 DC du 15 novembre 2007 Loi relative à la maîtrise de l immigration, à l intégration et à l asile Déposé sur le bureau

Plus en détail

APPEL A MANIFESTATION D INTERET SELECTION D UN GESTIONNAIRE D UN FONDS PROFESSIONNEL DE CAPITAL INVESTISSEMENT CIBLANT LE DOMAINE DES MATERIAUX

APPEL A MANIFESTATION D INTERET SELECTION D UN GESTIONNAIRE D UN FONDS PROFESSIONNEL DE CAPITAL INVESTISSEMENT CIBLANT LE DOMAINE DES MATERIAUX Pôle Entreprises Service Accompagnement et Projets d entreprises APPEL A MANIFESTATION D INTERET SELECTION D UN GESTIONNAIRE D UN FONDS PROFESSIONNEL DE CAPITAL INVESTISSEMENT CIBLANT LE DOMAINE DES MATERIAUX

Plus en détail

Note à Messieurs les : Objet : Lignes directrices sur les mesures de vigilance à l égard de la clientèle

Note à Messieurs les : Objet : Lignes directrices sur les mesures de vigilance à l égard de la clientèle Alger, le 08 février 2015 Note à Messieurs les : - Présidents des Conseils d Administration ; - Présidents Directeurs Généraux ; - Directeurs Généraux ; - Présidents des Directoires ; - Directeur Général

Plus en détail

Algérie. Loi relative aux associations

Algérie. Loi relative aux associations Loi relative aux associations Loi n 90-31 du 4 décembre 1990 [NB - Loi n 90-31 du 4 décembre 1990 relative aux associations (JO 1990-31)] Titre 1 - Dispositions générales Art.1.- La présente loi a pour

Plus en détail

cartographie des parties prenantes Orange France Alain Liberge Directeur Environnement et Responsabilité sociale jeudi 24 novembre 2011

cartographie des parties prenantes Orange France Alain Liberge Directeur Environnement et Responsabilité sociale jeudi 24 novembre 2011 cartographie des parties prenantes Orange France Alain Liberge Directeur Environnement et Responsabilité sociale jeudi 24 novembre 2011 ordre du jour 1 - vision locale vs. vision globale 2 - historique

Plus en détail

La responsabilité sociétale des entreprises

La responsabilité sociétale des entreprises La responsabilité sociétale des entreprises Position et plan d action du Conseil fédéral concernant la responsabilité des entreprises à l égard de la société et de l environnement Berne, le 1 er avril

Plus en détail

www.thalesgroup.com GUIDE DE CONDUITE ÉTHIQUE DES AFFAIRES Conflit d Intérêts

www.thalesgroup.com GUIDE DE CONDUITE ÉTHIQUE DES AFFAIRES Conflit d Intérêts www.thalesgroup.com GUIDE DE CONDUITE ÉTHIQUE DES AFFAIRES Conflit d Intérêts Sommaire Préface...p.3 Définition et types de conflit d intérêts...p.4 Comment identifier un conflit d intérêts...p.6 Exemples

Plus en détail

Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export

Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Depuis 2012, un ensemble d actions est engagé au service du renforcement

Plus en détail

Synthèse des réponses à la consultation publique sur le Cloud computing lancée par la CNIL d octobre à décembre 2011 et analyse de la CNIL

Synthèse des réponses à la consultation publique sur le Cloud computing lancée par la CNIL d octobre à décembre 2011 et analyse de la CNIL Synthèse des réponses à la consultation publique sur le Cloud computing lancée par la CNIL d octobre à décembre 2011 et analyse de la CNIL 1. Définition du Cloud computing Dans la consultation publique,

Plus en détail

Conférence des Cours constitutionnelles européennes XIIème Congrès

Conférence des Cours constitutionnelles européennes XIIème Congrès Conférence des Cours constitutionnelles européennes XIIème Congrès Les relations entre les Cours constitutionnelles et les autres juridictions nationales, y compris l interférence, en cette matière, de

Plus en détail

LA PROTECTION DES DONNÉES À CARACTÈRE PERSONNEL AUX ÉTATS-UNIS : CONVERGENCES ET DIVERGENCES AVEC L APPROCHE EUROPÉENNE. Winston J.

LA PROTECTION DES DONNÉES À CARACTÈRE PERSONNEL AUX ÉTATS-UNIS : CONVERGENCES ET DIVERGENCES AVEC L APPROCHE EUROPÉENNE. Winston J. LA PROTECTION DES DONNÉES À CARACTÈRE PERSONNEL AUX ÉTATS-UNIS : CONVERGENCES ET DIVERGENCES AVEC L APPROCHE EUROPÉENNE Winston J. MAXWELL Aux yeux des autorités européennes, les États-Unis ne disposent

Plus en détail

MASTER EUROPEEN EN MANAGEMENT ET STRATEGIE D ENTREPRISE SPECIALISATION MANAGEMENT DU DEVELOPPEMENT DURABLE

MASTER EUROPEEN EN MANAGEMENT ET STRATEGIE D ENTREPRISE SPECIALISATION MANAGEMENT DU DEVELOPPEMENT DURABLE MASTER EUROPEEN EN MANAGEMENT ET STRATEGIE D ENTREPRISE SPECIALISATION MANAGEMENT DU DEVELOPPEMENT DURABLE Diplôme Européen reconnu par la Fédération Européenne des Ecoles ; www.fede.org - BAC+5 Présentation

Plus en détail

LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte

LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte La GRH constitue une préoccupation permanente de toute entreprise, de tout dirigeant, qu il s agisse de

Plus en détail

Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales»

Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales» Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales» Les chaînes d activité mondiales (CAM) Les chaînes d activité recouvrent la gamme complète des fonctions et des tâches

Plus en détail

Comment financer sa stratégie d efficacité énergétique

Comment financer sa stratégie d efficacité énergétique Partageons le succès de nos expériences Comment financer sa stratégie d efficacité énergétique Pascal Lesage Directeur Commercial 06 86 68 85 92 01 41 42 33 95 14 Novembre 2014 5 domaines d intervention

Plus en détail