ORGANISER UNE CEREMONIE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "ORGANISER UNE CEREMONIE"

Transcription

1 ORGANISER UNE CEREMONIE Nous proposons ici le produite de notre réflexion et de notre courte, mais féconde expérience, en matière d organisation de cérémonie tels que nous les mettons sur pied avec et pour des jeunes. Nous ne nous instaurons pas comme modèle exemplaire qu il faudrait suivre absolument, mais plutôt comme force de proposition pour ceux et celles qui pensent que la jeunesse est capable de se prendre en main, qu il faut l encourager, avec force, conviction mais sans concession, et qu elle nous offre toujours au centuple ce que l on attend d elle si on parvient à la toucher 1

2 PLAN CLASSIQUE D UNE CEREMONIE (Voir H. I.) -Propos liminaires du Maître de cérémonie. (Voir A.) -Premier Discours lu à l initiative des jeunes qui organisent. (Voir B.) -Deuxième Discours ou Texte-Hommage lu à l initiative des jeunes qui organisent. (Voir B. C.) -Dépôt des Gerbes : les jeunes, à l initiative de la Commémoration, déposent en dernier. (Voir D.) -L Acte du Souvenir. (Voir E.) -Moment de Recueillement. (Voir F.) -Prise de paroles des dignitaires invités (ne pas oublier de leur demander s ils désirent prononcer quelques mots avant le début de la cérémonie) : généralement, le plus «prestigieux» parle en dernier dans nos commémorations, mais ce n est pas une règle, loin de là (au Diable le Protocole!!!). -Dernier Texte-Hommage lu à l initiative des jeunes qui organisent. (Voir C.) -Les Hymnes : La Marseillaise puis Ô Canada. (Voir G.) -La Promesse du Souvenir, en guise de conclusion (Voir E.) -Dernière prise de parole (très très courte) du Maître de cérémonie : il remercie les spectateurs et surtout les vétérans, annonce la fin de la commémoration et invite les gens à venir se restaurer. (Voir A.) Dans le cas d une cérémonie bilingue, il faut bien sûr raccourcir les discours, voire en supprimer un, diminuer le nombre de dignitaires à prendre la parole. On peut aussi résumer les textes en anglais, ne pas les traduire in extenso et ne pas être bilingue tout au long de la cérémonie. 2

3 A. CHOISIR UN MAÎTRE DE CEREMONIE Le Maître de cérémonie est celui qui distribue la parole, scande la cérémonie. Il est celui qui parle en premier lieu. Il rappelle en quelques mots les circonstances qui ont conduit à l organisation de la commémoration et ceux et celles en sont à l initiative. Il remercie de leur présence les spectateurs, les «officiels» et bien évidemment et surtout les vétérans. Son texte peut s apparenter à un discours mais ce dernier doit alors être plus court et surtout il est là pour amener et justifier les discours à venir, amener la réflexion et justifier l engagement de ceux qui vont parler. En fait le Maître de cérémonie donne le rythme : offrir la parole aux différents intervenants, appeler au dépôt des gerbes, au chant des hymnes, à observer un moment de recueillement, tout cela doit se faire avec précision, sans précipitation, mais sans temps mort non plus, sans se perdre en détail sur celui ou celle qui va intervenir C est pourquoi, avant le début de la cérémonie, le Maître de cérémonie doit savoir exactement où se trouvent les différentes personnes qui vont intervenir, où elles devront se situer, non seulement pendant leur prestation, mais aussi lorsqu elles attendent qu on les appelle, cela afin d éviter les déplacements anarchiques et peu harmonieux qui peuvent perturber le déroulement de la commémoration et sa fluidité. Il faut ainsi éviter que les différents intervenants se croisent au risque de se bousculer et de perdre en lisibilité. Ainsi, le Maître de Cérémonie aura, avant le début de la Commémoration, noté le nom et le titre de ceux et celles (les dignitaires) qui iront déposer leur gerbe (à l exception des jeunes, trop nombreux bien évidemment). Il aura fait de même avec les personnalités désireuses de prononcer quelques mots. Il lui faut donc arriver suffisamment longtemps avant le début de la commémoration pour «repérer le terrain» et prendre ses marques Une commémoration est un ballet dont le maître de cérémonie est l ordonnateur. Mais le Maître de cérémonie est la malgré tout la discrétion incarnée. En aucun cas, il ne peut se mettre en avant ; bien au contraire, il s efface devant ceux et celles qui lisent ou agissent au cours de la commémoration. En fait, il ne reprend réellement la parole qu à l extrême fin de la commémoration, pour remercier encore une fois et inviter les gens à se restaurer. Cependant en aucun cas, il ne doit refaire un laïus qui s apparenterait à un discours. Il n est plus temps et il sortirait alors de son rôle. 3

4 B. ECRIRE UN DISCOURS Organiser une commémoration, c est mettre en scène le produit d une réflexion née d une émotion, c est réaliser un délicat équilibre entre le cœur et la raison, entre le nécessaire souvenir qu on doit à tous ces hommes et l impérieuse ouverture sur l avenir que ce souvenir doit susciter, afin de lui donner un supplément d âme. Le souvenir est bien entendu le fondement de la commémoration, mais cette dernière ne peut pas se résumer à cet exercice purement mémoriel. Bien sûr, il en est un élément essentiel, mais le Devoir de Mémoire implique une réflexion plus large sur les implications d un engagement fort, pris il y a plusieurs décennies, pour nous permettre d être libre aujourd hui. C est pourquoi, chacune de nos commémorations est un prétexte pour délivrer un message d avenir pour ceux et celles qui y assistent et qui ont alors devant eux le spectacle d un engagement qu ils n ont pas l habitude de voir pris en charge par de jeunes gens. Ceux qui la créent, nos élèves de Primaire ou de Secondaire, ont quant à eux réfléchi en amont, en cours ou hors temps scolaire, sur les enjeux de la Mémoire et ses vertus citoyennes, ils ont pris conscience de la valeur de tous les sacrifices consentis et en ont tiré des leçons pour le futur. C est l expression de cette prise de conscience qui forme le corps de ces cérémonies, et l émotion qui naît alors vient tout autant du contenu et de la mise en scène de la commémoration que de la sincérité de ceux et celles - enfants, jeunes - qui la dirigent. Exprimer cette prise de conscience et cet engagement, cette reconnaissance, passe par la création de discours et/ou de textes qui forment en fait le cœur même de la commémoration. Ecrire ces textes s avère être un exercice périlleux, dans la mesure où il faut éviter deux écueils majeurs : le pathos absolu, la recherche de l émotion pour l émotion, sans prise de recul, ou, au contraire, le cours d Histoire détaché du destin des Hommes, l érudition démonstrative, sèche et asséchante, sans âme. Non pas qu il faille ignorer ces deux démarches, mais elles doivent se nourrir l une l autre, elles doivent être au service l une de l autre afin de permettre l émergence de la leçon à en tirer pour l avenir d un Monde qu on voudrait meilleur. En fait la Grande Histoire et l émotion sont deux composantes importantes d un discours : expliquer pour mieux toucher les cœurs et partant de là, devenir parole citoyenne pour le plus grand nombre. Ainsi, un discours s achève forcément sur l ouverture aux autres et au monde, il est une promesse faite à tous ceux qui, vivants ou morts, ont décidé un jour (les canadiens étaient tous volontaires) de venir au secours d un pays qui n était pas le leur la promesse qu ils ne seront pas oubliés et que nous ferons tout ce qui est possible pour protéger le fragile héritage né de leur engagement la promesse que l avenir se mesurera à l aune de leur sacrifice et des leçons que nous aurons su en tirer. 4

5 Un discours peut donc s articuler autour d un fil conducteur : un fait, un événement qui fait date, un soldat, un régiment, auxquels on veut rendre un hommage tout particulier, ou tout simplement la nécessité de se souvenir et de promouvoir le Devoir de mémoire. Dans tous les cas, ce discours ne peut pas se réduire qu à ce seul fil conducteur qu on étirerait à l infini. Mais il est l élément fondateur à partir duquel on doit élargir le propos et faire réfléchir les spectateurs sur la problématique du devoir de mémoire et ses implications pour l avenir Il peut arriver qu on soit obligé malgré tout de parler longuement d un événement, avant d élargir le propos, soit que le fait soit peu connu ou qu il soit la justification de l organisation de la cérémonie. Dans ce cas, il peut être intéressant de faire lire le texte à plusieurs voix afin de créer une dynamique permettant de conserver l attention des spectateurs. C est aussi le même type de «problème» qu on peut rencontrer lorsque l on veut rendre hommage à un régiment ou à un homme en particulier. Dans ce dernier cas, éviter la description sèche et par là même sans vie de son histoire est une nécessité pour ne pas perdre son auditoire : sans doute faut-il alors faire l effort de faire surgir la personnalité, montrer l exemplarité de l individu, derrière quelques faits sélectionnés Il ne s agit pas de tendre à l exhaustivité d une existence mais de mettre l accent sur un bout de vie extraordinaire qui vaille la peine qu on s y attarde et qu on s y attache. C. ECRIRE UN TEXTE-HOMMAGE La grande différence entre un discours et ce que nous appelons un texte-hommage réside dans le fait que dans ce dernier cas, nous nous accordons toute liberté, à la fois dans le fond et la forme : il s agit d une texte d humeur, sans volonté didactique ou pédagogique, et qui n a pour d autre but que de rendre hommage de manière générale ou particulière Il fait généralement la part belle à l émotion et à l immense fierté que nous éprouvons d être là pour remercier. Il s agit de lettres fictives, de poèmes, de chansons, de saynètes lus à une ou plusieurs voix La liste n est bien évidemment pas exhaustive D. DEPOSER LES GERBES Déposer des gerbes doit se faire en rythme, sans temps mort ni précipitation (le rôle du Maître de cérémonie est prépondérant) ; il faut attendre que le ou les «déposeur(s)» que le Maître de cérémonie aura au préalable appelé(s) ait(ent) regagné sa(leur) place avant d appeler le ou les suivant(s). C est pourquoi il est très important de veiller à ce que les différents déposeurs ne soient pas éloignés de l endroit où ils devront déposer la gerbe, ou séparés de lui par le public, et ce, afin d éviter les bousculades, les temps morts et perdre en solennité ce moment 5

6 d hommage et de recueillement. Dans le même esprit, le Maître de cérémonie aura, avant le début de la Commémoration, noté le nom et le titre de ceux et celles (les dignitaires) qui iront déposer leur gerbe (à l exception des jeunes trop nombreux bien évidemment) Concernant nos commémorations, les élèves et autres jeunes et enfants qu ils ont repérés dans le public avant le début de la cérémonie et qu ils ont invités à se joindre à eux pour cet instant déposent chacun un coquelicot de papier maintenu au sol par un galet décoré ou non - ramassé sur une des plages du secteur Juno. Il est hors de question, pour des raisons de temps, que le dépôt se fasse élève par élève. L idéal est de le faire par deux ou trois à la fois, sans précipitation encore une fois. Il faut s accroupir, poser (non jeter) son coquelicot, le galet, se relever, observer quelques secondes de recueillement devant le monument, puis repartir à sa place, de manière à ne pas gêner le groupe suivant. Il faut éviter à la fois le temps mort et l embouteillage d où la nécessité de s entraîner E. LIRE L ACTE DU SOUVENIR ET LA PROMESSE DU SOUVENIR Ce sont deux textes très courts. L idéal est de les connaître par cœur pour signifier aux spectateurs qu au-delà du texte, les mots ont été assimilés et «intériorisés» par le jeune lecteur. L Acte du Souvenir est un texte nécessairement déclamé - il faut insister sur ce terme au cours d une cérémonie canadienne dont il est un des éléments obligatoirement présents. On ne peut y échapper. Quant à la Promesse du Souvenir, il semble qu elle ait disparu des commémorations canadiennes. Nous l avons rétablie dans nos commémorations parce qu elle est un gage pour l avenir, un engagement de la jeunesse, la preuve que rien ne sera oublié Elle clôture ainsi nos cérémonies de la plus belle des manières Dans les deux textes, les derniers mots prononcés sont : «Nous nous souviendrons d eux». A chaque fois, le public reprend ce vers. C est un moment d intense émotion et de communion qui permet aux spectateurs de devenir passeur de mémoire Ce vers clôt généralement nos textes et autres discours, si bien que la voix du public qui le répète vient scander chaque étape de notre commémoration et ainsi participe pleinement à son déroulement Il faut rappeler que l Acte du Souvenir et la Promesse du Souvenir sont les seuls textes dont la lecture n est pas suivie d applaudissement. 6

7 F. LE MOMENT DE RECUEILLEMENT Plusieurs manières de procéder sont possibles : - Soit un clairon est présent ; dans ce cas, deux solutions : ou il joue la «Sonnerie aux Morts» telle qu on la connaît en France, Sonnerie suivie d un moment de recueillement que le Maître de cérémonie aura annoncé avant que le clairon ne joue, ou il connaît «Last Post» et «le Réveil», qui forment la Sonnerie aux Morts dans les cérémonies canadiennes ; dans ce dernier cas, le moment de recueillement est inséré entre les deux morceaux, sans que le Maître de cérémonie ait besoin d intervenir. - Soit, s il n y a pas de clairon, il revient au Maître de cérémonie d annoncer quelques instants de recueillement. S il est possible de bénéficier de moyens de sonorisation, il est envisageable de faire jouer «artificiellement» la Sonnerie de son choix (il évident que la «version» canadienne est idéale). G. CHANTER LES HYMNES Il faut faire l effort d apprendre les hymnes par cœur. Il faut les chanter sans excès de voix : il s agit bien de chanter, non de crier. Nous insistons tout particulièrement sur ce point : même si la Marseillaise, hymne au combien «pompier», se prête aux démonstrations sonores, il faut se contraindre à la chanter posément. En ce qui concerne Ô Canada, c est un hymne qui se chante vraiment sans éclat mais avec douceur. Il faut rappeler que c est l hymne d un pays bilingue ; il se peut que le public soit majoritairement anglais, ce qui est parfois déroutant lorsqu on le chante en français en même temps Dans tous les cas, nos élèves chantent les hymnes A Capella et c est très bien ainsi H. TEMPS D UNE CEREMONIE Une cérémonie n excède généralement pas mns ; au-delà, le risque est grand de «perdre» son auditoire. Mais il arrive que cela dure plus longtemps ; dans ce cas, il faut être vigilant à multiplier les «éléments», afin de passer d un texte à l autre, d une action à l autre, pour capter en permanence l attention du public. Il faut forcément éviter dans ce cas, les discours interminables et/ou répétitifs. 7

8 I. CONCLUSION Hormis le Dépôt des Gerbes, le Moment de Recueillement (sous une forme ou une autre), l Acte du Souvenir (obligatoire pour une cérémonie canadienne), qui sont autant d éléments nécessaires et essentiels dans une commémoration, la liberté est totale pour organiser une cérémonie. Bien sûr, nous conseillons de déposer tout d abord les gerbes, d ensuite réciter l Acte du Souvenir, avant de faire donner le Moment de Recueillement, cela pour créer une gradation dans l intensité du moment, mais même là, rien n est figé. Le Protocole, sans être absent, peut et doit être aménagé, voire parfois occulté. Une commémoration est un moment d une rare charge émotive, il appartient à ceux et celles qui la prennent en charge de se l approprier et d en faire LEUR moment, celui où ils vont pouvoir remercier et s engager. Alors, si pour cela, il faut bousculer les conventions, qu il en soit ainsi dans le respect et la reconnaissance 8

C1. L'élève sera capable de se situer face aux réalités linguistiques et culturelles francophones de son milieu et d'ailleurs.

C1. L'élève sera capable de se situer face aux réalités linguistiques et culturelles francophones de son milieu et d'ailleurs. C1. L'élève sera capable de se situer face aux réalités linguistiques et culturelles francophones de son milieu et d'ailleurs. C2. L'élève sera capable d'exprimer dans son milieu certaines valeurs et de

Plus en détail

GUIDE DE PARTICIPATION À UNE VIDÉOCONFÉRENCE SERVICE DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DES COMMUNICATIONS

GUIDE DE PARTICIPATION À UNE VIDÉOCONFÉRENCE SERVICE DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DES COMMUNICATIONS GUIDE DE PARTICIPATION À UNE VIDÉOCONFÉRENCE SERVICE DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DES COMMUNICATIONS 2 GUIDE DE PARTICIPATION À UNE VIDÉOCONFÉRENCE FACULTÉ DE MÉDECINE ET DES SCIENCES DE LA SANTÉ

Plus en détail

PRÉPARER LA PREMIÈRE ÉPREUVE ORALE D ADMISSION OPTION EPS. DEVOIRS SUPPLÉMENTAIRES 1 et 2

PRÉPARER LA PREMIÈRE ÉPREUVE ORALE D ADMISSION OPTION EPS. DEVOIRS SUPPLÉMENTAIRES 1 et 2 CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DES ÉCOLES PRÉPARER LA PREMIÈRE ÉPREUVE ORALE D ADMISSION OPTION EPS DEVOIRS SUPPLÉMENTAIRES 1 et 2 Rédaction Jean-Pierre GUICHARD Conseiller pédagogique en EPS Ministère

Plus en détail

Le menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire

Le menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire Le menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire Type d outil : Outil pour favoriser la mise en mémoire et développer des démarches propres à la gestion mentale. Auteur(s) : Sarah Vercruysse,

Plus en détail

L'art d'établir un ordre du jour efficace

L'art d'établir un ordre du jour efficace L'art d'établir un ordre du jour efficace Par Denise Edwards Extrait de : http://www.omafra.gov.on.ca/french/rural/facts/05 038.htm Table des matières Introduction Sources des points à l ordre du jour

Plus en détail

PRET DE LISEUSES EN BIBLIOTHEQUE Les principaux enseignements de l expérimentation

PRET DE LISEUSES EN BIBLIOTHEQUE Les principaux enseignements de l expérimentation PRET DE LISEUSES EN BIBLIOTHEQUE Les principaux enseignements de l expérimentation CARACTERISTIQUES DU PROJET DE PRET DE LISEUSES Les partenaires : la BDY, bibliothèques des Yvelines, le MOTif, observatoire

Plus en détail

LES INDICATEURS CLÉ DE PERFORMANCE : DÉFINIR ET AGIR

LES INDICATEURS CLÉ DE PERFORMANCE : DÉFINIR ET AGIR Online Intelligence Solutions LES INDICATEURS CLÉ DE PERFORMANCE : DÉFINIR ET AGIR Comment intégrer les KPI à sa stratégie d entreprise? Par Jacques Warren WHITE PAPER WHITE PAPER A PROPOS DE JACQUES WARREN

Plus en détail

«Si quelqu un veut venir après moi qu il renonce à lui-même, qu il se charge chaque jour de sa croix et qu il me suive» Luc 9 : 23.

«Si quelqu un veut venir après moi qu il renonce à lui-même, qu il se charge chaque jour de sa croix et qu il me suive» Luc 9 : 23. «Si quelqu un veut venir après moi qu il renonce à lui-même, qu il se charge chaque jour de sa croix et qu il me suive» Luc 9 : 23. Pour faire suite au récit des disciples sur le chemin d Emmaüs et pour

Plus en détail

Guide d accompagnement à l intention des intervenants

Guide d accompagnement à l intention des intervenants TABLE RÉGIONALE DE L ÉDUCATION CENTRE-DU-QUÉBEC Campagne de promotion la de la lecture Promouvoir Guide d accompagnement à l intention des intervenants Présentation Le projet sur la réussite éducative

Plus en détail

Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive

Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Transcription et traduction de la communication de Verity DONNELLY colloque Éducation inclusive, la question

Plus en détail

Toronto (Ontario) Le vendredi 26 octobre 2007 L ÉNONCÉ FAIT FOI. Pour de plus amples renseignements, s adresser à :

Toronto (Ontario) Le vendredi 26 octobre 2007 L ÉNONCÉ FAIT FOI. Pour de plus amples renseignements, s adresser à : Allocution présentée par la surintendante Julie Dickson Bureau du surintendant des institutions financières Canada (BSIF) dans le cadre du Colloque des affaires réglementaires du Bureau d assurance du

Plus en détail

AVIS FORMEL DU CONSEIL D ETAT. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs les membres de la commission, * * *

AVIS FORMEL DU CONSEIL D ETAT. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs les membres de la commission, * * * CONSEIL D ETAT Château cantonal 1014 Lausanne Commission thématique de la modernisation du parlement Secrétariat général du Grand Conseil Place du Château 6 1014 Lausanne Réf. : PM/15007041 Lausanne, le

Plus en détail

devant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable

devant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable VERSION DÉFINITIVE Allocution prononcée par Anthony Ariganello, CGA Président-directeur général CGA-Canada devant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable Toronto (Ontario) Le 20 octobre

Plus en détail

Dragon Naturally Speaking 13

Dragon Naturally Speaking 13 Année 2015 Dragon Naturally Speaking 13 Guide premier pas Nathalie Macé / Grégoire Duval PROJET ORDYSCAN 1 Table des matières Introduction 3 Pourquoi utiliser Dragon Naturally Speaking avec les élèves

Plus en détail

Je les ai entendus frapper. C était l aube. Les deux gendarmes se tenaient derrière la porte. J ai ouvert et je leur ai proposé d entrer.

Je les ai entendus frapper. C était l aube. Les deux gendarmes se tenaient derrière la porte. J ai ouvert et je leur ai proposé d entrer. Je les ai entendus frapper. C était l aube. Les deux gendarmes se tenaient derrière la porte. J ai ouvert et je leur ai proposé d entrer. Mais je me suis repris : En fait, je préférais les recevoir dans

Plus en détail

Dans ce nouveau siècle, aussi inégalitaire que le précédent mais aussi riche

Dans ce nouveau siècle, aussi inégalitaire que le précédent mais aussi riche ÉDITORIAL Pour la Corse et pour la France, une démocratie politique et sociale vraiment neuve Dans ce nouveau siècle, aussi inégalitaire que le précédent mais aussi riche de réalisations possibles, la

Plus en détail

TD n o 8 - Domain Name System (DNS)

TD n o 8 - Domain Name System (DNS) IUT Montpellier - Architecture (DU) V. Poupet TD n o 8 - Domain Name System (DNS) Dans ce TD nous allons nous intéresser au fonctionnement du Domain Name System (DNS), puis pour illustrer son fonctionnement,

Plus en détail

CONCOURS EUROPEEN D EDUCATION ROUTIERE FIA REGLEMENT 2015

CONCOURS EUROPEEN D EDUCATION ROUTIERE FIA REGLEMENT 2015 CONCOURS EUROPEEN D EDUCATION ROUTIERE FIA REGLEMENT 2015 3-6 Septembre 2015 Vienne, Autriche 1. Objectifs et but du Concours Les dispositions juridiques et techniques touchant à la circulation routière,

Plus en détail

Statuts de l'association «CAP ou pas cap?»

Statuts de l'association «CAP ou pas cap?» Statuts de l'association «CAP ou pas cap?» Préambule L'éclosion et la multiplication des actions citoyennes participatives et décentralisées constituent un formidable terreau démocratique. Une nouvelle

Plus en détail

Proposition liée à l utilisation des débits intermembres Comprend un cadre de travail proposé pour la correction des erreurs de paiement de facture

Proposition liée à l utilisation des débits intermembres Comprend un cadre de travail proposé pour la correction des erreurs de paiement de facture Proposition liée à l utilisation des débits intermembres Comprend un cadre de travail proposé pour la correction des erreurs de paiement de facture juillet 2012 SOMMAIRE 3 I. CONTEXTE ET PRÉSENTATION 6

Plus en détail

LE FOREX ou marché des changes

LE FOREX ou marché des changes LE FOREX ou marché des changes L essentiel sur $ Le risque est au bout du clic En partenariat avec Qu est-ce que c est? Le Forex est le marché des changes (FOReign EXchange en anglais, marché des devises).

Plus en détail

RECOMMANDATIONS PROPOSÉES

RECOMMANDATIONS PROPOSÉES SYNDICAT CANADIEN DE LA FONCTION PUBLIQUE RECOMMANDATIONS PROPOSÉES (Ce guide doit être utilisé avec le Programme de vérification des syndics) **Ce n est pas nécessaire de le retourner au Bureau national**

Plus en détail

PRÉFACE. représenter le roi ou la nation? Préface

PRÉFACE. représenter le roi ou la nation? Préface PRÉFACE Avaient-ils le don d ubiquité? Aux origines de ce livre, il y a une constatation qui a suscité la curiosité du chercheur : parmi les représentants de l Angleterre à l étranger, certains appartiennent

Plus en détail

10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF

10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF 10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX

Plus en détail

Différencier, d accord oui mais comment organiser sa classe.

Différencier, d accord oui mais comment organiser sa classe. Différencier, d accord oui mais comment organiser sa classe. Quand on est convaincu que l on ne peut pas travailler tout le temps avec toute sa classe en même temps et que l on souhaite mettre en place

Plus en détail

L enfant sensible. Un enfant trop sensible vit des sentiments d impuissance et. d échec. La pire attitude que son parent peut adopter avec lui est

L enfant sensible. Un enfant trop sensible vit des sentiments d impuissance et. d échec. La pire attitude que son parent peut adopter avec lui est L enfant sensible Qu est-ce que la sensibilité? Un enfant trop sensible vit des sentiments d impuissance et d échec. La pire attitude que son parent peut adopter avec lui est de le surprotéger car il se

Plus en détail

Le livret des réponses

Le livret des réponses Le livret des réponses Achat 1 Avant de dépenser tout ton argent, il faut réfléchir aux conséquences de cet achat. Auras-tu besoin d argent pour faire d autres activités dans les semaines qui viennent,

Plus en détail

Livret du jeune spectateur

Livret du jeune spectateur Page1 Livret du jeune spectateur NOM : PRENOM : CLASSE : ETABLISSEMENT : PROFESSEUR DATE DE L'OPERA / DU CONCERT : LIEU DE L'OPERA / DU CONCERT : Page2 AVANT D'ALLER AU CONCERT / A L'OPERA : SE PREPARER

Plus en détail

Devoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire

Devoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire Devoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire Pourquoi traiter des devoirs et leçons avec les TDA/H? Parce que c est un des problèmes le plus souvent rencontrés avec les enfants hyperactifs

Plus en détail

Le secrétariat du médecin libéral

Le secrétariat du médecin libéral Le secrétariat du médecin libéral Patrice MARIE Le premier contact du patient avec votre cabinet aura lieu par téléphone. Ce premier accueil du patient est donc primordial puisque de sa qualité dépendra

Plus en détail

LES SALLES RECEVANT DU PUBLIC

LES SALLES RECEVANT DU PUBLIC 7 7.1 SALLES DE RÉUNION / SALLES DE CLASSE FOCUS 1 : CIRCULATIONS, ESPACES DE ROTATION ET EMPLACEMENTS PRINCIPES GÉNÉRAUX DE L ACCESSIBILITÉ Les salles de réunion et autres salles de classe doivent être

Plus en détail

Guide de la demande d autorisation pour administrer un régime volontaire d épargneretraite

Guide de la demande d autorisation pour administrer un régime volontaire d épargneretraite Guide de la demande d autorisation pour administrer un régime volontaire d épargneretraite Mars 2015 TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION... 3 À QUI S ADRESSE CE GUIDE?... 3 AVANT DE DÉBUTER... 4 SERVICE DE

Plus en détail

des valeurs 2006 PRINCIPES VALEURS FONDEMENTS

des valeurs 2006 PRINCIPES VALEURS FONDEMENTS L arbre des valeurs 2006 le fondement philosophique de l éthique /// les valeurs clés de notre éthique /// les principes issus des valeurs clés PRINCIPES VALEURS FONDEMENTS L ARBRE des valeurs Au cœur

Plus en détail

Français langue étrangère Savoir-faire - Actes de paroles - Supports d apprentissage -Tâches

Français langue étrangère Savoir-faire - Actes de paroles - Supports d apprentissage -Tâches Niveau C1 Descripteur global Français langue étrangère Savoir-faire - Actes de paroles - Supports d apprentissage -Tâches La personne peut : comprendre en détail de longs discours et des échanges complexes

Plus en détail

Projet éducatif vacances enfants et adolescents

Projet éducatif vacances enfants et adolescents Projet éducatif vacances enfants et adolescents SOMMAIRE 1- Présentation du mouvement 2- Valeurs et finalités 3- Nos objectifs 4- Nos orientations éducatives 5- L équipe d encadrement 6- Les activités

Plus en détail

Bonjour et bienvenue à l assemblée publique du conseil d administration du RTL, en ce jeudi 12 mars 2015.

Bonjour et bienvenue à l assemblée publique du conseil d administration du RTL, en ce jeudi 12 mars 2015. MOT DE LA PRÉSIDENTE Séance du conseil d administration du RTL, le 12 mars 2015 Le texte lu fait foi. Bonjour et bienvenue à l assemblée publique du conseil d administration du RTL, en ce jeudi 12 mars

Plus en détail

PLAN STRATÉGIQUE 2013-2016. Institut de la gestion financière du Canada (igf*fmi)

PLAN STRATÉGIQUE 2013-2016. Institut de la gestion financière du Canada (igf*fmi) PLAN STRATÉGIQUE 2013-2016 Institut de la gestion financière du Canada (igf*fmi) Ce rapport a été préparé par : 205, rue Catherine, Suite 300 Ottawa, Ontario K2P 1C3 Tél. : 613.230.6424 Fax : 613.567.1504

Plus en détail

PROJET D ETABLISSEMENT

PROJET D ETABLISSEMENT PROJET D ETABLISSEMENT «Amener chacun à une autonomie responsable» INTRODUCTION Dans l esprit du Projet Educatif défini par le Pouvoir Organisateur du Collège Notre-Dame et dans la volonté de respecter

Plus en détail

Chapitre 15. La vie au camp

Chapitre 15. La vie au camp Chapitre 15. La vie au camp Chapitre 15. La vie au camp 227 1. Intensité de la vie du camp 230 2. Loin de la maison 230 A. Sentiment de sécurité 230 B. Les coups de cafard de l enfant 231 227 Un camp,

Plus en détail

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure

Plus en détail

Spip 2. Premiers pas pour créer son site web. Anne-Laure Quatravaux Dominique Quatravaux. Avec la contribution de Sandrine Burriel

Spip 2. Premiers pas pour créer son site web. Anne-Laure Quatravaux Dominique Quatravaux. Avec la contribution de Sandrine Burriel Anne-Laure Quatravaux Dominique Quatravaux Spip 2 Premiers pas pour créer son site web Avec la contribution de Sandrine Burriel Groupe Eyrolles, 2009, ISBN : 978-2-212-12502-3 Pourquoi choisir Spip? Vous

Plus en détail

Les 100 plus belles façons. François Gagol

Les 100 plus belles façons. François Gagol Les 100 plus belles façons d'aimer François Gagol Les 100 plus belles façons d Aimer François Gagol François Gagol, 2003. Toute reproduction ou publication, même partielle, de cet ouvrage est interdite

Plus en détail

Le Québec, terre de traduction

Le Québec, terre de traduction Le Québec, terre de traduction S il est un endroit au monde où les traducteurs ont un marché établi, c est bien le Canada. Et le Québec, au sein du Canada, jouit d une situation encore plus privilégiée.

Plus en détail

Quand les enfants apprennent plus d une langue

Quand les enfants apprennent plus d une langue Quand les enfants apprennent plus d une langue En tant que parent d un enfant qui apprendra deux langues ou plus, vous avez peut-être des questions. Cette brochure basée sur des recherches récentes vous

Plus en détail

2013 2014 LIVRET D ACCUEIL CANTINE - GARDERIE

2013 2014 LIVRET D ACCUEIL CANTINE - GARDERIE 2013 2014 LIVRET D ACCUEIL CANTINE - GARDERIE Chers parents, L éducation de vos enfants est une priorité. Ce domaine représente une part importante de nos investissements financiers. Votre ou vos enfants

Plus en détail

Animer une association

Animer une association FICHE PRATIQUE N 7 www.animafac.net gestion de projet Animer une association Une association vit mieux si elle est composée de plusieurs membres partageant un projet collectif. Si la loi 1901 est une loi

Plus en détail

Je vous souhaite la bienvenue à la Cité des Sciences pour ces deux journées de colloque consacré à la sécurité alimentaire dans le monde.

Je vous souhaite la bienvenue à la Cité des Sciences pour ces deux journées de colloque consacré à la sécurité alimentaire dans le monde. Note à Eléments de langage Chers amis, Je vous souhaite la bienvenue à la Cité des Sciences pour ces deux journées de colloque consacré à la sécurité alimentaire dans le monde. Des colloques sur ce sujet,

Plus en détail

AZ A^kgZi Yj 8^idnZc

AZ A^kgZi Yj 8^idnZc Bienvenue à l âge de la majorité! l État vous présente vos droits et devoirs ainsi que les principes fondamentaux de la République à travers «Le Livret du Citoyen» Nom... Prénom... Date de naissance...

Plus en détail

Local de retrait PASS

Local de retrait PASS Local de retrait PASS PRINCIPE : (Programme Alternatif à la Suspension Scolaire PASS) Suite à un retrait de classe, l élève est avisé qu à sa réintégration au cours, il doit reprendre, pendant son temps

Plus en détail

Mémoire Présenté au Ministère des Finances et au Ministère de la Famille et des Aînés du Québec

Mémoire Présenté au Ministère des Finances et au Ministère de la Famille et des Aînés du Québec MÉMOIRE SUR LE PROJET DE LOI 8 ÉLARGISSANT LA VENTE D ASSURANCES FUNÉRAIRES AU QUÉBEC Mémoire Présenté au Ministère des Finances et au Ministère de la Famille et des Aînés du Québec Septembre 2007 15 avril

Plus en détail

MINISTERE DE LA DEFENSE

MINISTERE DE LA DEFENSE MINISTERE DE LA DEFENSE SECRETARIAT GENERAL POUR L ADMINISTRATION DIRECTION DE LA MEMOIRE, DU PATRIMOINE ET DES ARCHIVES SOUS-DIRECTION DE L ACTION CULTURELLE ET EDUCATIVE DEMANDE DE SUBVENTION (Monument

Plus en détail

SAVOIR SE RECENTRER : UN ATOUT AU QUOTIDIEN

SAVOIR SE RECENTRER : UN ATOUT AU QUOTIDIEN SAVOIR SE RECENTRER : UN ATOUT AU QUOTIDIEN QUE SIGNIFIE "ÊTRE CENTRÉ"? Etre centré signifie être aligné entre Ciel et Terre. C'est-à-dire connecté à l'énergie du Ciel et ancré dans l énergie de la Terre;

Plus en détail

Qu est-ce qu une tâche?

Qu est-ce qu une tâche? Qu est-ce qu une tâche? «Tâches», «Perspective actionnelle», «activités centrées sur le sens» Ce sont des concepts dont on entend beaucoup parler dans notre profession, mais que signifient-ils exactement?

Plus en détail

Eclipse atelier Java

Eclipse atelier Java Eclipse atelier Java Table des matières 1. Introduction...2 2. Télécharger eclipse...3 3. Installer eclipse...3 4. Premier lancement d eclipse...3 5. Configurer eclipse pour faire du Java...5 6. Développer

Plus en détail

Or 4 victimes sur 5 qui survivent à un arrêt cardiaque ont bénéficié de ces gestes simples pratiqués par le premier témoin.

Or 4 victimes sur 5 qui survivent à un arrêt cardiaque ont bénéficié de ces gestes simples pratiqués par le premier témoin. La mort subite est la conséquence d un arrêt cardiaque et respiratoire. Elle survient soudainement chez un individu qui se livre à ses occupations habituelles : au travail, en faisant ses courses, mais

Plus en détail

CODE DE CONDUITE DES AGENTS IMMOBILIERS CHARTE DE DÉONTOLOGIE

CODE DE CONDUITE DES AGENTS IMMOBILIERS CHARTE DE DÉONTOLOGIE CODE DE CONDUITE DES AGENTS IMMOBILIERS ET CHARTE DE DÉONTOLOGIE 26 AVENUE VICTOR HUGO 75116 PARIS Tél.: 01-53-64-91-91 Fax.: 01-53-64-91-92 www.snpi.com PRÉAMBULE Le SNPI, organisme professionnel national

Plus en détail

Règlement intérieur de l Espace Jeunes (11/17 ans)

Règlement intérieur de l Espace Jeunes (11/17 ans) Règlement intérieur de l Espace Jeunes (11/17 ans) 16, rue des Ecoles 38090 Vaulx-Milieu 07.88.54.25.95 espacejeunes.vaulx-milieu@orange.fr Mairie de Vaulx-Milieu 7 place de l Eglise- BP1-38090 VAULX-MILIEU

Plus en détail

Céline Nicolas Cantagrel CPC EPS Grande Section /CP Gérer et faciliter la continuité des apprentissages

Céline Nicolas Cantagrel CPC EPS Grande Section /CP Gérer et faciliter la continuité des apprentissages Céline Nicolas Cantagrel C EPS Grande Section / Gérer et faciliter la continuité des apprentissages GS Quelques pistes par rapport à l équipe pédagogique : renforcer les liens, clarifier les paramètres

Plus en détail

MSHIS11. PODCAST : Le travail à travers les âges. La face cachée du travail. Le travail féminin

MSHIS11. PODCAST : Le travail à travers les âges. La face cachée du travail. Le travail féminin MSHIS11 PODCAST : Le travail à travers les âges La face cachée du travail. Le travail féminin Semestre printemps 2013 Professeurs formateurs J.-B Clerc, E. Honoré, I. Zosso Etudiants Letizia Guarna Michaël

Plus en détail

L écoute ritualisée au cycle 3

L écoute ritualisée au cycle 3 L écoute ritualisée au cycle 3 Documents d application des programmes La sensibilité, l imagination, la création Éducation artistique école élémentaire Ministère de la Jeunesse, de l Éducation nationale

Plus en détail

BILAN DE L EDUCATION PHYSIQUE A L ECOLE PRIMAIRE RAPPORT DE LA COMMISSION DES INSPECTEURS DU VALAIS ROMAND (CPI)

BILAN DE L EDUCATION PHYSIQUE A L ECOLE PRIMAIRE RAPPORT DE LA COMMISSION DES INSPECTEURS DU VALAIS ROMAND (CPI) Département de l'éducation, de la culture et du sport Service de l enseignement Inspectorat de la scolarité obligatoire BILAN DE L EDUCATION PHYSIQUE A L ECOLE PRIMAIRE RAPPORT DE LA COMMISSION DES INSPECTEURS

Plus en détail

LE GUIDE COMPLET PRETS A PARIER

LE GUIDE COMPLET PRETS A PARIER LE GUIDE COMPLET PRETS A PARIER Ce guide va vous proposer deux manières de profiter des jeux «Prêts à Parier» disponibles sur le site Promoturf. Ces pronostics sont le résultat d une amélioration majeure

Plus en détail

eduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel

eduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel eduscol Ressources pour la voie professionnelle Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel Français Présentation des programmes 2009 du baccalauréat professionnel Ces documents

Plus en détail

Le Leadership. Atelier 1. Guide du formateur. Atelier 1 : Le Leadership. Objectifs

Le Leadership. Atelier 1. Guide du formateur. Atelier 1 : Le Leadership. Objectifs Guide du formateur Atelier 1 Objectifs Obtenir un premier contact avec le groupe; présenter la formation Jeune Leader; transmettre des connaissances de base en leadership; définir le modèle de leader du

Plus en détail

Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative

Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative BULLETINS DU PIRAP Volume 1, numéro 11 : Février 2013 Programme d'aide et d'accompagnement social : Le PIRAP comme PAAS-

Plus en détail

Méthode universitaire du commentaire de texte

Méthode universitaire du commentaire de texte Méthode universitaire du commentaire de texte Baptiste Mélès Novembre 2014 L objectif du commentaire de texte est de décrire la structure argumentative et de mettre au jour les concepts qui permettent

Plus en détail

LE STAGE EN ENTREPRISE

LE STAGE EN ENTREPRISE LE STAGE EN ENTREPRISE 1. Le stage : un projet à part entière Le stage est un projet qui s étale sur une longue période d environ dix mois (de la recherche de l entreprise à la soutenance) avec des objectifs,

Plus en détail

Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans) 2014-2015

Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans) 2014-2015 Maison de l Enfance et de la Jeunesse 2 route de Keroumen 29480 Le Relecq Kerhuon 02 98.28.38.38 02.98.28.41.11 E-Mail : mej@mairie-relecq-kerhuon.fr Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans)

Plus en détail

D où viennent nos émotions

D où viennent nos émotions D où viennent nos émotions Il y a des émotions qui sont vraiment désagréables : l anxiété, la culpabilité, la colère, les grosses rages qui nous réveillent la nuit, la dépression, la tristesse, la peur,

Plus en détail

Statuts de l association AMACC

Statuts de l association AMACC Toutes les fonctions s appliquent aussi bien aux hommes qu aux femmes 1. GENERALITES 1.1.1 Sous la dénomination AMACC, Animation, Musique, Art et Culture Cormoret, l'association a pour but l'animation

Plus en détail

Lorsqu une personne chère vit avec la SLA. Guide à l intention des enfants

Lorsqu une personne chère vit avec la SLA. Guide à l intention des enfants Lorsqu une personne chère vit avec la SLA Guide à l intention des enfants 2 SLA Société canadienne de la SLA 3000, avenue Steeles Est, bureau 200, Markham, Ontario L3R 4T9 Sans frais : 1-800-267-4257 Téléphone

Plus en détail

Un contrat de respect mutuel au collège

Un contrat de respect mutuel au collège Apprentissage du respect - Fiche outil 01 Un contrat de respect mutuel au collège Objectifs : Décrire une action coopérative amenant élèves et adultes à s interroger sur leurs propres comportements en

Plus en détail

L ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK

L ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK L ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK NORMES SUR L EMPLOI DE LA TECHNOLOGIE DANS LA PRATIQUE DU TRAVAIL SOCIAL 2010 Adopté le 5 juin 2010 Table des matières Remerciements p. 3 Préface

Plus en détail

Nouveau! Accédez directement à vos messages vocaux, sans mot de passe, en faisant le nouveau code 9 8 * à partir du téléphone

Nouveau! Accédez directement à vos messages vocaux, sans mot de passe, en faisant le nouveau code 9 8 * à partir du téléphone Nos services de messagerie vocale mettent à votre portée toute la puissance du téléphone et l innovation du Web. Ils vous permettent de gérer vos activités courantes avec le maximum d efficacité, de votre

Plus en détail

Ry Moran Directeur de la consignation des déclarations de la CVR, responsable du Centre national de recherches

Ry Moran Directeur de la consignation des déclarations de la CVR, responsable du Centre national de recherches Compte rendu de la deuxième conférence téléphonique : Appel de propositions pour héberger en permanence le Centre national de recherches sur les pensionnats indiens Date : Mercredi 11 janvier 2012 Endroit

Plus en détail

Complément d information concernant la fiche de concordance

Complément d information concernant la fiche de concordance Sommaire SAMEDI 0 DÉCEMBRE 20 Vous trouverez dans ce dossier les documents correspondants à ce que nous allons travailler aujourd hui : La fiche de concordance pour le DAEU ; Page 2 Un rappel de cours

Plus en détail

le leader mondial du voyage de groupe

le leader mondial du voyage de groupe le leader mondial du voyage de groupe 2 Qui sommes-nous? www.kuonigrouptravel.com le leader mondial du voyage de groupe Kuoni Group Travel Experts est né de la fusion de deux départements exceptionnellement

Plus en détail

Document 7. 13. Pourquoi ce discours de 1995 marque-t-il un moment important?

Document 7. 13. Pourquoi ce discours de 1995 marque-t-il un moment important? Pages 77-78. Passage en italique. «Je crois devoir attirer votre attention sur le fait qu en exécution des ordres reçus du commandeur des SS, les arrestations ont été opérées uniquement par la police française

Plus en détail

La gestion des ressources humaines, un enjeu incontournable

La gestion des ressources humaines, un enjeu incontournable Petit-Matin RH Adecco : «Les défis d avenir de la gestion des ressources humaines» par Florent Francoeur, CRHA Le premier Petit-Matin RH 2013 organisé par Adecco s est déroulé le 21 février dernier au

Plus en détail

Assises de l Enseignement Catholique Intervention de Paul MALARTRE Paris Cité des Sciences de La Villette 8 juin 2007

Assises de l Enseignement Catholique Intervention de Paul MALARTRE Paris Cité des Sciences de La Villette 8 juin 2007 Assises de l Enseignement Catholique Intervention de Paul MALARTRE Paris Cité des Sciences de La Villette 8 juin 2007 Quand je pense à ces nouveaux Chefs d établissement qui me disaient récemment avoir

Plus en détail

CONSULTATIONS COMMUNAUTAIRES 2014-2015

CONSULTATIONS COMMUNAUTAIRES 2014-2015 CONSULTATIONS COMMUNAUTAIRES 2014-2015 RAPPORT DE SYNTHÈSE Est de Terre-Neuve Ouest de Terre-Neuve Labrador TABLE DES MATIERES 1. Introduction... 3 2. Portrait de la population répondante... 4 3. Les avis

Plus en détail

Activité pour développer le concept de phrase et de mot

Activité pour développer le concept de phrase et de mot Combien de mots? Activité d apprentissage : en petits groupes ou en grand groupe Faire prendre conscience aux élèves qu une phrase est formée de mots. Bâtonnets Déroulement Dire une courte phrase (p. ex.,

Plus en détail

OLIVER L ENFANT QUI ENTENDAIT MAL

OLIVER L ENFANT QUI ENTENDAIT MAL OLIVER L ENFANT QUI ENTENDAIT MAL «Oliver l enfant qui entendait mal» est dédié à mon frère, Patrick, qui est malentendant, à la famille, aux amis, et aux professionnels, qui s impliquèrent pour l aider.

Plus en détail

Réaliser un journal scolaire

Réaliser un journal scolaire Réaliser un journal scolaire 1/ Connaître le journal et ses contenus Pour que les élèves puissent à leur tour devenir producteurs, il faut absolument qu ils apprennent à connaître le journal et ses contenus.

Plus en détail

Discours d ouverture de Michèle Bourque présidente et première dirigeante Société d assurance-dépôts du Canada Ottawa mercredi 6 février 2013

Discours d ouverture de Michèle Bourque présidente et première dirigeante Société d assurance-dépôts du Canada Ottawa mercredi 6 février 2013 1 Première conférence du Comité régional de l AIAD (Association internationale des assureurs-dépôts) pour l Amérique du Nord sur les règlements transfrontières et les institutions-relais Discours d ouverture

Plus en détail

Une école adaptée à tous ses élèves

Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS

Plus en détail

Expérimentation tablettes Ecoles maternelles Publiques de Lorient. Année scolaire 2012/2013

Expérimentation tablettes Ecoles maternelles Publiques de Lorient. Année scolaire 2012/2013 Expérimentation tablettes Ecoles maternelles Publiques de Lorient Année scolaire 2012/2013 Introduction : A la fin de l année scolaire 2012, un constat a été réalisé dans les écoles maternelles de la circonscription

Plus en détail

L évolution (révolution) du métier d enseignant-chercheur est-elle favorable à une plus grande employabilité?

L évolution (révolution) du métier d enseignant-chercheur est-elle favorable à une plus grande employabilité? 1 L évolution (révolution) du métier d enseignant-chercheur est-elle favorable à une plus grande employabilité? Prof. Gérard CLIQUET Président de la CIDEGEF IGR-IAE, Université de Rennes 1, FRANCE L année

Plus en détail

Aider une personne à cesser de fumer UNE ÉTAPE À LA FOIS. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca

Aider une personne à cesser de fumer UNE ÉTAPE À LA FOIS. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Aider une personne à cesser de fumer UNE ÉTAPE À LA FOIS Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Documents imprimés Une étape à la fois 1 2 Pour les personnes qui ne veulent pas cesser

Plus en détail

Les concours de l Assemblée nationale

Les concours de l Assemblée nationale A S S E M B L É E N A T I O N A L E Les concours de l Assemblée nationale Les informations contenues dans cette brochure ont été mises à jour en septembre 2012 ASSEMBLÉE NATIONALE Service des Ressources

Plus en détail

Facebook. Pour une organisation ou une entreprise!

Facebook. Pour une organisation ou une entreprise! Facebook Pour une organisation ou une entreprise! Réalisé en mars 2010 Révisé en décembre 2010 Par : Sultana Ahamed, Isabelle Leblanc et Joline LeBlanc Qu est-ce que Facebook? Facebook est un réseau social

Plus en détail

PRÉPARER SA CLASSE EN QUELQUES CLICS

PRÉPARER SA CLASSE EN QUELQUES CLICS PROFESSEUR DES ÉCOLES PRÉPARER SA CLASSE EN QUELQUES CLICS Éric SEGOUIN Denis BASCANS Une méthode et un outil d aide à la conception et à la programmation de séquences d enseignement pour l école primaire

Plus en détail

NETWORKING WITH EDHEC ALUMNI

NETWORKING WITH EDHEC ALUMNI NETWORKING WITH EDHEC ALUMNI 1. RÉSEAUTER C EST D ABORD UN ÉTAT D ESPRIT 2. QUEL COMPORTEMENT ADOPTER? Bonnes pratiques Erreurs à éviter Quelques conseils spécifiques aux Réseaux Sociaux RÉSEAUTER C EST

Plus en détail

STATUTS BUT ET COMPOSITION DE L ASSOCIATION

STATUTS BUT ET COMPOSITION DE L ASSOCIATION STATUTS BUT ET COMPOSITION DE L ASSOCIATION ARTICLE 1 er : L arrondissement, constituée sous le régime de la Loi du 1 er juillet 1901 et en conformité avec le Code de la Famille et de l Aide Sociale, groupe

Plus en détail

Tranche d'age Durée Lieux Partie

Tranche d'age Durée Lieux Partie Voici le déroulement du Lip Dub dans son intégralité. On reprends ici les paroles, la durée et les différents lieux. La chanson choisie est Je veux de ZAZ car le clip finira par la chanson du Mas Eloi

Plus en détail

Copropriété JE SUIS COPROPRIETAIRE QU EST-CE QUE LE CONSEIL SYNDICAL?

Copropriété JE SUIS COPROPRIETAIRE QU EST-CE QUE LE CONSEIL SYNDICAL? Copropriété Le Conseil Syndical en 10 Questions JE SUIS COPROPRIETAIRE QU EST-CE QUE LE CONSEIL SYNDICAL? Association des Responsables de Copropriété 29, rue Joseph Python 75020 PARIS Tél. : 01 40 30 12

Plus en détail

Présentation du Club Info Saison 2010/2011

Présentation du Club Info Saison 2010/2011 Présentation du Club Info Saison 2010/2011 Club Informatique Esp@ce Clic Les locaux L esp@ce clic appartient à la Communauté de Communes Moselle et Madon. C est un lieu public mis gratuitement à la disposition

Plus en détail

Camus l a joliment formulé : le seul. introduction

Camus l a joliment formulé : le seul. introduction introduction Camus l a joliment formulé : le seul choix qui s offre à nous, aujourd hui, est d être soit un pessimiste qui rit, soit un optimiste qui pleure. L optimiste croit que tout va bien. Dans La

Plus en détail