STADES DE VULNERABILITE DE LA GROSSESSE. F. ABIRACHED Service de Gynécologie-Obstétrique Centre Hospitalier Intercommunal Créteil
|
|
- Brigitte Lamarche
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 STADES DE VULNERABILITE DE LA GROSSESSE F. ABIRACHED Service de Gynécologie-Obstétrique Centre Hospitalier Intercommunal Créteil
2 RAPPEL EMBRYOLOGIQUE LA CONSULTATION PRE CONCEPTIONNELLE LES TERATOGENES CHIMIQUES LES MEDICAMENTS LE SYNDROME D ALCOOLISME FOETAL LE TABAC LE CANNABIS LES RADIATIONS IONISANTES LE CYTOMEGALOVIRUS LES FAUSSES COUCHES A REPETITION
3 RAPPEL EMBRYOLOGIQUE Fécondation fin de l implantation 12 jours Les cellules sont totipotentes LOI DU TOUT OU RIEN L embryogénèse 55 jours - organogénèse - LA PLUS SENSIBLE Développement fœtal - réduction du nombre de la taille cellulaire RCIU SNC - RISQUE FONCTIONNEL
4 Les malformations congénitales nitales représentent 2 à 3 % des naissances 25 % ont une cause génétique 5 à 10 %résultent d agents tératogènes connus. Médicaments. Virus. Radiations. Produits chimiques 65 à 70 % sont de cause inconnue interaction entre les produits chimiques et certains facteurs génétiques??
5 25 agents chimiques sont reconnus tératogènes dans l espèce humaine 800 agents sont tératogènes chez l animal Résistance? Incapacité à démontrer la relation
6 LA CONSULTATION PRE CONCEPTIONNELLE
7 Constitue le moment clé de la programmation d une grossesse : l autoriser ou non la planifier envisager le lieu du suivi en fonction des antécédents Permet de s entourer d un maximum de garanties pour limiter le risque de complications prévisibles tératogènes tabac alcool drogues médicaments...
8 CHECK LIST : DIABETE : - équilibre parfait - apprentissage de l autocontrôle - traitement des complications HTA : - bilan cardiovasculaire - bilan rénal - arrêt IEC, diurétiques - équilibre
9 CHECK LIST : LUPUS : - inactif depuis 1 an - corticothérapie < 20 mg/j - information sur les complications et les risques de poussée au cours du 3ème trimestre et du post partum. MALADIE THROMBOEMBOLIQUE : - bilan complet - la grossesse mais surtout le post partum sont des périodes à risques.
10 DYSTHYROIDIES : CHECK LIST CANCER du SEIN : - 15 % avant 40 ans - attendre 2 ans de rémission - la grossesse n aggrave pas le pronostic - conseil génétique si histoire familiale
11 CHECK LIST SEROPOSITIVITE POUR LE VIH - bilan de la maladie - peu d influence sur la grossesse si - asymptomatique -CD4 >500 /mm 3 SURCHARGE PONDERALE - 6 % des femmes enceintes ont un poids >90 Kg à l accouchement. Risque : Diabète gestationnel HTA et prééclampsie DAN Hémorragie de la délivrance
12 LES TERATOGENES
13 ACTION DES TERATOGENES 1- Période d administration 2- Voie d administration 3- Dose 4- Variation selon les espèces THALIDOMIDE Tératogène : homme - singe - lapin Non tératogène : souris - rat 5- Malnutrition (protéines - vitamines) 6- Age maternel
14 MECANISME D ACTION DES TERATOGENES Souvent inconnu Théorie de la tératogénèse-carcinogénèse - Syndrome d alcoolisme foetal et neuroblastome - Traitement par l hydantoïne et ganglioneuroblastome - Association malformations urogénitales et sarcome d Ewing - DES Fœtus plus susceptible que l adulte : - enzymes hépatiques - perméabilité de la membrane hématoméningée
15 MECANISME DE PROTECTION FOETALE Rôle du placenta taille de la molécule biotransformation mais parfois transport actif par pinocytose Mécanismes maternels par diminution des doses arrivant au fœtus métabolisme hépato-biliaire excrétion urinaire fixation aux protéines plasmatiques concentration dans le tissus adipeux ( DDT) concentration dans l os (métaux lourds)
16 MECANISME DE PROTECTION FŒTALEF Mécanismes foetaux : enzymes hépatiques perméabilité de la membrane hématoméningée induction génétique par réaction au cytochrome P450 d enzymes capables de métaboliser ces agents : - Benzopyrènes - Défoliants - Insecticides
17 1) LES DIFFERENTS TYPES DE TERATOGENES 1) MONOXYDE DE CARBONE Concentration urbaine moyenne 3-10ppm jusqu à 50 à 100 ppm : - 4 à 6 % carboxyhémoglobine - équivalent à 20 cigarettes Traverse le placenta et le taux de carboxyhémoglobine dépasse celui de la mère de 10 à 15 %. demi-vie 1h30 à 2 h
18 1 A/ Effet sur le conceptus (rats et lapins) : fausse couche RCIU augmentation de la mortalité périnatale à ppm : - anomalies cérébrales - anomalies des extrémités MIU : 57 % des cas après 30 minutes de carboxyhémoglobine à 15%
19 1/ B Effet sur le foetus : mort périnatale - carboxyhémoglobine 20 à 49 % chez les survivants - retard psychomoteur - épilepsies dans les cas d intoxication chronique l autopsie confirme l atrophie cérébrale
20 2) EXPOSITION PROFESSIONNELLE risque de fausses couches multiplié par deux risque de malformation augmenté de 60 % chez les anesthésistes, infirmières anesthésistes, conjointes d anesthésistes. Les principaux étant le protoxyde d azote et l halothane.
21 3) VAPEURS DE SOLVANTS ORGANIQUES source industrielle : Benzène source ménagère : peintures colles essence Tératogènes chez l animal effet non prouvé chez l homme
22 4) METAUX LOURDS A- mercure : neurotoxicité concentration dans le cerveau fœtal est 4 fois supérieure que chez la mère taux sanguin plus élevé de 28%
23 B- plomb : neurotoxicité fausses couches (x3) RCIU RPM (4,1 17%) prématurité * accumulation au niveau du : -placenta -de l os - des mitochondries * action compétitive au niveau des récepteurs enzymatiques
24 5 ) PASSAGE DANS LE LAIT Certains produits toxiques qui ne traversent pas le placenta peuvent contaminer le nouveau-né à travers l allaitement maternel. caractéristiques : - liposolubles - faible biodégradation - excrétion lente 3 principaux : - hexachlorobenzène - pesticides - tétrachloréthylène
25 LES MEDICAMENTS
26 RISQUES DES MEDICAMENTS le placenta n est pas une barrière. à l exception des grosses molécules tous les médicaments traversent le placenta dans des proportions variables. les paramètres pharmacologiques qui conditionnent le passage : - liposolubilité - liaison aux protéines plasmatiques
27 Médicaments qui ne posent pas de problèmes majeurs 1) ANTIBIOTIQUES :. De principe aucun n est formellement contre indiqué. L efficacité thérapeutique maternelle doit primer
28 Quelques effets secondaires connus : cyclines : coloration des dents Streptomycine - Kanamycine : atteinte cochléo vestibulaire Sulfamides : ictère Quinolones : le risque d atteinte articulaire transplacentaire est théorique une tuberculose en cours de grossesse doit être prise en charge comme chez tout adulte
29 2) TRAITEMENT HORMONAUX :. Les risques de virilisation du fœtus de sexe féminin sont exceptionnels. La prise par mégarde d une contraception progestative ou oestro-progestative n expose pas à ce risque
30 3) VACCINS :. Toute prévention vaccinale nécessaire chez une femme enceinte doit être pratiquée à défaut de pouvoir l écarter du risque de contamination.. Seule la vaccination contre la rubéole ne répond pas à ce principe.
31 4) QUELQUES EXEMPLES : A- Lithium : malformations cardiaques dans 4 à 8% Pas d ITG Echocardiographie fœtale. B- Antiépilieptiques : Valproate de Sodium carbamazépine - Anomalies de fermeture du tube neural 1 à 2% - Prévention (sans preuve d efficacité) par l apport d acide folique : 5 mg/j. - Surveillance échographique
32 C- Anticoagulants oraux : - warfarin fœtal syndrome 4 à 6% des cas - dysmorphie faciale - hypoplasie des dernières phalanges - période à risque : 6 à 12 SA - Echographie - IRM - Relais par HBPM
33 D- AINS dont les inhibiteurs de COX 2 : E- IEC : -HTAP - fermeture prématurée du canal artériel - oligoamnios par oligurie voir IR définitive Contre indication absolue dès le 6ème mois Eviter toute prise chronique - contre indication - relai rapide
34 ALCOOL
35 ENQUETES PERINATALES NATIONALES INSERM Unité 149 CONSOMMATION QUOTIDIENNE < 1 VERRE 1 VERRE > 2 VERRES % 5% 1,4 % % 4% 0,8 % RELATION DOSE-EFFET EFFET Alcoolisation chronique > 2 verres /j Alcoolisation aïgue > 5 verres /j En dessous de 2 verres???
36 SAF 2/1000 RETENTISSEMENT FOETAL Dysmorphie philtrum aplati ensellure marquée lèvres fines RCIU modéré 10ème percentile Malformations le plus souvent : cardiaques osseuses Neurologique 1/2 des enfants QI <70 suivis jusqu à l adolescence
37 PROBLEMES NEUROLOGIQUES - Formation et migration neuronales - Anomalies et agénésie du corps calleux
38 CONSEQUENCES CLINIQUES DES L AGE L PRE- SCOLAIRE (4ANS) Diminution de la performance intellectuelle (abstraction, calcul) Troubles de l attention +++ Manque de tenacité Sentiments négatifs, agressivité (à l adolescence)
39 EN RESUME Tératogène au premier trimestre (doses faibles) Toxique à tous les trimestre de la grossesse surtout au niveau du cerveau Action directe, passe le placenta rapidement TAUX MATERNEL = TAUX FŒTAL
40 INFORMER LES PATIENTES Interrogatoire difficile Question difficile Type alcool : bière, vin, apéritif, digestif Combien??
41 INFORMER LA PATIENTE Ma mandante me précise que malgré le caractère tout à fait patent de son alcoolisme aucun professionnel de santé n a pendant tout le temps de son suivi de sa grossesse attiré son attention sur la nécessité de cesser toute consommation d alcool ni sur les effets puissament tératogènes de cette molécule. Préjudice personnel subi par Madame peut-être utilement fixé à la somme de euros tous préjudices confondus et 5 fois plus l enfant.
42 TABAC
43 1 femme sur 2 fume à 18 ans et utilise une contraception orale Evolution du tabagisme chez la femme enceinte Avant la grossesse 17 % 27 % 39 % 48 % Pendant la grossesse 10 % 15 % 25 % 28 %
44 Titration chez une patiente de 23 ans qui a diminué le nombre de cigarettes Nombre de cigarettes fumées Taux de CO dans l air expiré 05/04/02 15 cigarettes 15 ppm 16/04/02 5 cigarettes 18 ppm 26/04/02 arrêt 3 ppm
45 Les pathologies gravidiques liées au tabac : Accouchement prématuré : risque x 2 Hypotrophie fœtale : risque x 2 Diminution g par rapport aux non fumeuses. Diminution moindre si le tabac est arrêté avant ou tout au début de grossesse. RCIU Hématome rétro placentaire : risque x 2
46 Sevrage : La grossesse est une période favorable au sevrage. Un arrêt est toujours bénéfique même tardivement prouvé par la réduction des risques. L utilisation des substitutifs nicotiniques est autorisée. Une méthode discontinue est préférable (accumulation dans le placenta)
47 CANNABIS
48 Drogue illicite en France. L une des drogues les plus consommées. Plus de 50% des femmes de 18 à 25 ans ont fumé En France, dans la tranche d âge ans : - 25 % des femmes en ont déjà fumé - 4 % en fument toujours
49 peu d effet sur le déroulement de la grossesse et sur le fœtus. Tout au plus peut-on le rendre responsable d un petit retard de croissance (216g). Trouble du comportement chez l enfant et l adolescent exposés in utéro par atteinte de la région frontale???
50 RAYONNEMENTS IONISANTS
51 Situation fréquente mais impossible à évaluer avec précision en l absence d un signalement systématique. Unité d évaluation de l hôpital Tenon Registre depuis cas de grossesses débutantes (2003). - 44% concernent l Ile de France - 65 % concernent la région du pelvis - 2,8% de malformations -12% d IVG
52 RELATION DOSE-EFFET EFFET dose inférieure à 100 mgy pas de risque tératogène dose entre 100 et 200 mgy décision au cas par cas doses supérieures à 200 mgy réel risque tératogène
53 RISQUES DE L IRRADIATION L IN UTERO Avortement spontané Doses mgy : l œuf qui survit a un développement ultérieur normal Malformations surtout SNC: Spina bifida Anencéphalie Hydrocéphalie irradiation > 500 mgy : entre la 3 ème et la 8 ème SA
54 ANOMALIES FONCTIONNELLES SANS MALFORMATIONS ASSOCIEES sensibilité maximale entre la 8 ème et la 15 ème SA - retard mental au delà de 150 mgy QI <70 3% population générale en radiodiagnostic on atteint rarement 100 mgy. Le risque le plus important est lié à l injection de produit iodé.
55 cancérogénèse radio industrielle : risque faible. Risque relatif 1,4 après une dose fœtale d environ 10 mgy. Probabilité individuelle après une irradiation in utéro : 0,3 à 0,4 % naturelle de cancer de l enfant : 0, 2 à 0,3 %
56 Probabilité de porter un enfant sain en fonction de la dose d exposition Dose absorbée Probabilité que l enfant ne Probabilité que au fœtus (en mgy) en plus ne présente pas de l enfant ne développe du rayonnement naturel malformation pas de cancer 0 97 % 99,7 % 0,5 97 % 99,7 % 1,0 97 % 99,7 % 2,5 97 % 99,7 % 5 97 % 99,7 % % 99, 6 % % 99,4 % 100 proche de 97 % 99,1 %
57 Dose reçue au niveau de l utérus Rachis lombaire (face et profil) 10 à 20 mgy Urographie intraveineuse (environ 10 clichés) 25 mgy Hystérographie 20 à 50 mgy Lavement baryté 5 à 45 mgy Scanner du thorax 2 mgy Scanner du rachis lombaire 15 mgy Scanner du bassin 40 mgy Irradiations extra abdominales dose 100 panoramique dentaire, radios du crâne, du genou fois plus Mammographie faible
58 EN PRATIQUE : Si un examen radiologique est effectué en cas de grossesse méconnue il est important de déterminer : le type d examen. la région concernée. la dose correspondante. l âge de la grossesse au moment de l irradiation. les antécédents.
59 Les conditions de travail des femmes enceintes doivent être telles que la dose supplémentaire que le fœtus risque de recevoir pendant la grossesse ne dépasse pas 1 mgy Décret relatif à la protection générale des personnes contre les dangers des RI (JO N
60 CYTOMEGALOVIRUS
61 Le dépistage systématique est sujet à controverse depuis plusieurs années. 1 % d infections maternelles. 6,4 % des formes séquellaires graves. 9 % de surdité.
62 Le dépistage systématique augmente le nombre d amniocentèse pour séro-conversion de 8 %. 20 % PCR positives. on éviterait : - 75 % des morts néonatales - 75 % des formes séquellaires graves - 15 % des surdités. Mais on perdrait 20 % d enfants infectés,sans séquelles
63 Alternative au dépistage d systématique Cibler le dépistage aux personnes à risques. Prévention : - lavage fréquent des mains. - ne pas mélanger les ustensiles de repas et de toilette. - éviter de «goûter» les biberons Préventions «habituelles» pour le personnel médical et paramédical.
64 LES FAUSSES COUCHES
65 Les fausses couches à répétition 3 ou plus Risque spontané : 15 % Risque de faire 3 fausses couches successives : 0,33 % Concerne 1 à 3 % des couples 50 % resteront inexpliquées
66 Bilan de Base après s 3 fausses couches Echographie pelvienne (3D) Anticorps anticardiolipines, antinucléaires TCA (et éventuellement recherche anticorps circulant) Bilan Hormonal Thyroïdien Caryotype du couple Recherche cause infectieuse 1% tout au plus
67 Prise en charge Ecouter - Expliquer - Informer - Accompagner psychologiquement Traitement chirurgical des anomalies utérines Stimulation de l ovulation? - Risque de grossesses multiples HBPM Antibiotiques
Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005. Tabac et Grossesse M. COLLET
Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005 Tabac et Grossesse M. COLLET Tabac et grossesse Problème majeur de santé publique 25 à 33 % des femmes fument pendant la grossesse Nombreuses conséquences obstétricales
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailF us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou
Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant
Plus en détailModule 2. De la conception à la naissance
Module 2. De la conception à la naissance ITEM 17. Principales complications de la grossesse Diagnostics différentiels d une hémorragie génitale Hématurie Rectorragie Diagnostics différentiels de l HTA
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailConférence de Presse 11/09/2013. «Système de Surveillance de la Santé Périnatale au Luxembourg»
Conférence de Presse 11/09/2013 «Système de Surveillance de la Santé Périnatale au Luxembourg» La Santé Périnatale au Luxembourg Etat des lieux Présentation de deux rapports : Surveillance de la Santé
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailMa vie Mon plan. Cette brochure appartient à :
Ma vie Mon plan Cette brochure est pour les adolescents(es). Elle t aidera à penser à la façon dont tes décisions actuelles peuvent t aider à mener une vie saine et heureuse, aujourd hui et demain. Cette
Plus en détailUn environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir?
Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir? Renseignements sur la fumée secondaire et tertiaire Qu est-ce que la fumée secondaire? La fumée secondaire est une combinaison de fumée
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailBiométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) -
Biométrie foetale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/071011 Table des matières I Techniques de biométrie...3 I.1 Mesure de la longueur cranio-caudale...3 I.2 Mesure
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailAlcool et grossesse :
Alcool et grossesse : comment en parler? Actualisation des connaissances Repères pour la pratique professionnelle pour : une démarche d information auprès de toutes les femmes un accompagnement des femmes
Plus en détailMÉDICAMENTS CONTENANT DU VALPROATE ET DÉRIVÉS
MÉDICAMENTS CONTENANT DU VALPROATE ET DÉRIVÉS GUIDE À DESTINATION DES MÉDECINS PRESCRIPTEURS Ce guide est remis dans le cadre des mesures de minimisation du risque mises en place pour le valproate, dans
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailTraitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)
Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailLa Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse
Plus en détailPourtant, la preuve est faite, de manière scientifique, que le tabagisme passif comporte des risques réels pour la santé.
Si plus des trois quarts des personnes se disent gênées par la fumée des autres, les risques liés au tabagisme passif restent largement sous-estimés : les non-fumeurs sont seulement 15 % à craindre, pour
Plus en détailFécondation in vitro avec don d ovocytes
Fécondation in vitro avec don d ovocytes Ref. 155 / abril 2009 Service de Médecine de la Reproduction Gran Vía Carlos III 71-75 08028 Barcelona Tel. (+34) 93 227 47 00 Fax. (+34) 93 491 24 94 international@dexeus.com
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détail313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013
313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,
Plus en détailCompliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1
Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,
Plus en détailPREUVE D ASSURABILITÉ DESCRIPTION DE LA PROTECTION
PREUVE D ASSURABILITÉ DESCRIPTION DE LA PROTECTION La présente demande d assurance comprend deux formulaires : Preuve d assurabilité Description de la protection et Questionnaire relatif aux renseignements
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailSuivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées
Suivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées Grossesse a priori «normale» Quelle prise en charge? Sécurité médicale RPC EBM Opinion des usagers
Plus en détailMédicaments à visée cardiovasculaire et grossesse. Dr Capucine Coulon Praticien hospitalier Maternité Jeanne de Flandre CHRU Lille
Médicaments à visée cardiovasculaire et grossesse Dr Capucine Coulon Praticien hospitalier Maternité Jeanne de Flandre CHRU Lille PRE TEST Quels sont les classes de médicaments contre-indiqués pendant
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailLE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport
LE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport LES FEMMES ET LE SPORT LES FEMMES ONT LE CŒUR MOINS SENSIBLE Moins de maladie cardiovasculaire protection hormonale sauf tabac + pilule LES
Plus en détailPrincipales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2
Objectifs : Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2 Diagnostiquer et connaître les principes de prévention et de prise en charge de l hypertension
Plus en détailDéclaration médicale. Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur.
Déclaration médicale Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur. Les données communiquées ci-après seront nécessaires pour pouvoir formuler une offre d assurance. Important Le candidat
Plus en détailExposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de diagnostic médical en 2012
R A P P O R T Exposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de Pôle Radioprotection, Environnement, Déchets et Crise RESUME Ce rapport met à jour, pour l année 2012, les
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détail19 thèmes dans 10 villes
SATISFAIRE À VOS OBLIGATION DE DPC FACILEMENT GRÂCE AU CNGOF DPC réalisés par le CNGOF et financée par l Agrément CNGOF : 11 75 32 07 175 - FMC 100 098 Indemnité de 345 par jour et prise en charge hôtellerie
Plus en détailL agénésie isolée du corps calleux
L agénésie isolée du corps calleux Agénésie calleuse Dysgénésie du corps calleux La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus
Plus en détailLA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE
Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie
Plus en détailLe Plomb dans l eau AGENCE NATIONALE POUR L AMÉLIORATION DE L HABITAT
Le Plomb dans l eau De quoi s agit-il? De quoi parle-t-on? Où le trouve-t-on? Quelle est son origine? Responsabilités Quels sont les effets néfastes du plomb dans l eau sur la santé? Comment les détecter?
Plus en détailLa planification familiale
La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailLes drogues POUR EN SAVOIR PLUS. 1. L avis du psychologue. 2. Les risques et leur prévention. Quelques chiffres
Les drogues POUR EN SAVOIR PLUS 1. L avis du psychologue La consommation de drogues, qu elles soient licites (alcool, tabac) ou illicites (cannabis, crack, etc.), fait partie des conduites à risques fréquemment
Plus en détailHématome rétro-placentaire ( HRP )
Hématome rétro-placentaire ( HRP ) L hématome rétroplacentaire (HRP) ou abruptio placentae correspond au décollement prématuré d un placenta normalement inséré (DPPNI). La lésion anatomique est formée
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailLes gencives et la santé générale. Qu est-ce qu une maladie des gencives? d autres types de problèmes de santé ou en causer de nouveaux.
Les gencives et la santé générale Nous savons tous que la prévention est l une des clés du maintien de la santé générale. Nous faisons de l exercice et nous surveillons notre alimentation pour nous aider
Plus en détailLa prise en charge de votre cardiopathie valvulaire
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre cardiopathie valvulaire Vivre avec une cardiopathie valvulaire Décembre 2008 En cas de cardiopathie valvulaire opérée
Plus en détailUn test Pap pourrait vous sauver la vie
Un test Pap pourrait vous sauver la vie Un test Pap pourrait vous sauver la vie Vous avez 21 ans ou plus et êtes sexuellement active? Passez un test Pap! Si vous saviez qu un test Pap, qui prend 5 minutes,
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailLa drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)
La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailInfection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet
Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailLes Applications industrielles et commerciales des cellules souches. Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises
Les Applications industrielles et commerciales s cellules souches Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises Matthieu COUTET, Responsable du Pôle Jean-François RAX, Business Analyst 1 Plan Cellules souches
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailMERCI DE RETOURNER LE BON DE PRISE EN CHARGE ET/OU LA FICHE RÉCAPITULATIVE DANS L ENVELOPPE T
À l attention du bénéficiaire : BILAN SANTÉ RETRAITE AUTO-QUESTIONNAIRE Ce questionnaire servira de fil conducteur à la consultation avec votre médecin traitant. À l issue de l entretien, vous pouvez soit
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailGONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral intramusculaire
ésumé des Caractéristiques du Produit 1 sur 5 21/09/2010 14:31 Mis à jour : 16/02/2010 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT GONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral
Plus en détailLA CONTRACEPTION SUR L INFORMATION REÇUE EN
LA CONTRACEPTION 1 SATISFACTION DES PATENTES SUR L INFORMATION REÇUE EN POST PARTUM INTRODUCTION Contexte : 2 Élargissement des compétences de SF (contraception & gynécologie de prévention) (1) Rôle dans
Plus en détailECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE
ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailVade-mecum. Tableau de bord wallon des maisons médicales. Encodage, extraction, analyse. Tout ce que vous devez savoir pour participer au projet
Vade-mecum Tableau de bord wallon des maisons médicales Encodage, extraction, analyse Tout ce que vous devez savoir pour participer au projet n 3 - juin 2013 Page 2 Table des matières PREAMBULE 5 TABLEAU
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailPrise en charge du nouveau-né prématuré «attendu» atteint d un syndrome de Bartter
Prise en charge du nouveauné prématuré «attendu» atteint d un syndrome de Bartter Docteur JeanFrançois Magny Institut de Puériculture et de Périnatalogie Problématique double Prise en charge de la prématurité
Plus en détailQUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA
QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA INFORMATIONS SUR LE TEST DE DEPISTAGE Q. Quels examens médicaux doit-on faire pour détecter
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailGrossesse et tabagisme. Observatoire des perceptions et comportements de la femme enceinte face au tabac sur les forums internet
Observatoire des perceptions et comportements de la femme enceinte face au tabac sur les forums internet Grossesse et tabagisme Les points clés d une étude inédite Grossesse et tabagisme : un risque trop
Plus en détailQU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE?
QU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE? Information pour les patients TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION 1 LA TUBERCULOSE GÉNÉRALITÉS 1.1 Qu est-ce que la tuberculose? 1.2 La tuberculose est-elle toujours contagieuse?
Plus en détailFondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre
Fondation PremUp Mieux naître pour mieux vivre Une fondation de coopération scientifique initiée par les pouvoirs publics en 2007 6 membres fondateurs : L Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, l Inserm,
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailIndications de la césarienne programmée à terme
Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire
Plus en détailDes soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6
Des soins après avortement : Amis des Jeunes Cartes à conseils 1-6 SAA: Avant l intervention Accueillir cordialement la cliente et la mettre à l aise Garantir la confidentialité et l intimité Prendre les
Plus en détailGROSSESSE et lupus/sapl
GROSSESSE et lupus/sapl Nathalie Costedoat-Chalumeau Centre de référence maladies autoimmunes et systémiques rares Service Médecine Interne Hôpital Cochin Paris Rappels et définitions Critères cliniques
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailRégime de soins de santé des étudiants étrangers
Régime de soins de santé des étudiants étrangers LA GREAT WEST COMPAGNIE D ASSURANCE-VIE Le régime de soins de santé des étudiants étrangers fournit une couverture des soins hospitaliers et médicaux nécessaires
Plus en détailPLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE
Royaume du Maroc Ministère de la Santé PLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE Fin du Compte à rebours 2015 Avec l appui de Contexte En souscrivant aux
Plus en détailPROJET DE LOI DE SANTE
Dossier de presse PROJET DE LOI DE SANTE Changer le quotidien des patients et des professionnels de santé 15 octobre 2014 Contact Presse : Ministère des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des
Plus en détailMaladies neuromusculaires
Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailCONTRACEPTION DU POST-PARTUM ET VISITE POST-NATALE
CONTRACEPTION DU POST-PARTUM ET VISITE POST-NATALE Présenté par JAOUEN Léna DIU Suivi gynécologique LE SCANFF Ghislaine DIU Périnalité Addictions Contraception du post-partum Une constatation: 5 % des
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailANNEXE A : CERTIFICAT D ASSURANCE
ANNEXE A : CERTIFICAT D ASSURANCE Assurance maladie grave collective en vertu de la Police collective 90341 POLICE COLLECTIVE : 90341 émise à Services le Choix du Président inc. RÉDUCTIONS EN RAISON DE
Plus en détailService évaluation des actes professionnels
TRAITEMENT DES AGÉNÉSIES DENTAIRES MULTIPLES LIÉES AUX DYSPLASIES ECTODERMIQUES OU À D'AUTRES MALADIES RARES, CHEZ L ENFANT ATTEINT D OLIGODONTIE, AVEC POSE DE 2 IMPLANTS (VOIRE 4 MAXIMUM) UNIQUEMENT DANS
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détail