LE SCANNER MEDICAL DR ABDOULAYE TAYE UNIVERSITE ALIOUNE DIOP DE BAMBEY PRESENTATION AU SEMINAIRE DU JEUDI 15 AVIL 2014

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LE SCANNER MEDICAL DR ABDOULAYE TAYE UNIVERSITE ALIOUNE DIOP DE BAMBEY PRESENTATION AU SEMINAIRE DU JEUDI 15 AVIL 2014"

Transcription

1 LE SCANNER MEDICAL DR ABDOULAYE TAYE UNIVERSITE ALIOUNE DIOP DE BAMBEY PRESENTATION AU SEMINAIRE DU JEUDI 15 AVIL 2014 À l hopital Abass NDAO

2 PLAN GENERAL OBJECTIFS INTRODUCTION NATURE, PRORIETES ET PRODUCTION DES RAYONS X CONSTITUTION ET FONCTIONNEMENT D UN TUBE A RAYON X FORMATION DE L IMAGE LE SCANNER MEDICAL PARAMETRES D ACQUISITION ET DE RECONSTRUCTION

3 INTRODUCTION La tomodensitométrie X (TDM) ou scanographie, appelée «Computerized Tomography» par les Anglo-Saxons, est une méthode de diagnostic radiologique tomographique, permettant d'obtenir des coupes transversales, reconstruites à partir de la mesure du coefficient d'atténuation du faisceau de rayons X dans le volume étudié. La tomodensitométrie a connu un essor considérable, justifié par son intérêt diagnostique et l'amélioration continue de ses performances techniques. Elle représente l'une des applications les plus réussies et les plus fécondes de l'application de l'informatique à la médecine et à l'imagerie médicale. Le scanner utilise le même principe que la radiologie normale sauf que dans ce cas, le tube a rayons X tourne rapidement autour du patient couché, permettant ainsi une découpe précise de l'endroit du corps à observer. Le scanner permet d'observer l'ensemble du corps en trois dimensions. La technique du scanner permet l exploitation précise de nombreux organes. L avantage de cette technique par rapport à la radiologie classique est l obtention, grâce à sa sensibilité, de résultats, coupe par coupe, des éléments jusqu alors confondus sur les clichés radiographiques standards. En effet, en radiologie classique, le faisceau de rayons X projette sur une plaque radiographique les ombres des organes traversés en les confondant. Les zones entourées par des tissus plus denses (comme les os) ne sont donc pas visibles.

4 INTRODUCTION Le scanner X pallie cet inconvénient : il permet de visualiser tous les éléments profonds de l organisme. Son principe est en effet de choisir un plan de coupe et d effectuer de multiples projections sous différents angles afin de connaître le coefficient d atténuation en chaque point du plan. Le procédé est du à Bocage (1920) et la première tomographie a été réalisée par Chamberlain (1935). L objectif de ce cours est de comprendre la constitution et le fonctionnement de l appareil scanner. Après un rappel sur le principe de formation de l'image et les flous qui la détériorent dans le chapitre 3, les différents éléments constitutifs de la chaîne d'acquisition de l'image en scannographie sont décrits dans cette partie en insistant brièvement sur le principe de mesure et de calcul mathématique et le système de détection qui est en constante évolution. Dans la suite seront abordés les paramètres d'acquisition et de reconstruction de l'image en soulignant les différences entre acquisition monocoupe et multicoupe. Enfin, l'analyse des paramètres gouvernant la qualité d'image permet de démontrer les progrès importants obtenus notamment en termes de résolution spatiale et temporelle.

5 BASES PHYSIQUES DE LA TOMODENSITOMETRIE La tomodensitométrie repose sur deux principes fondamentaux : 1 On mesure la densité de tissus traversés par un faisceau de RX à partir du calcul du coefficient d'atténuation. Si le faisceau de RX, à la sortie du tube, est rendu monochromatique ou quasi-monochromatique par une filtration appropriée, on peut calculer le coefficient d'atténuation correspondant au volume de tissu irradié, par application de la formule générale d'absorption des rayons X dans la matière. I : intensité du faisceau de RX après traversée d'une épaisseur x de matière, Io : intensité initiale du faisceau de RX, x : épaisseur de matériau traversé µ : coefficient d'absorption linéaire du matériau traversé (exprimé en cm-1)

6 BASES PHYSIQUES DE LA TOMODENSITOMETRIE Hounsfield a choisi une échelle qui affecte aux quatre densités fondamentales les valeurs suivantes : Air = Graisse = - 60 à Eau = 0 Os = Ainsi, on définit l'indice Hounsfield (IH) par la formule mathématique suivante:

7 BASES PHYSIQUES DE LA TOMODENSITOMETRIE 2 L'image de la coupe d'un objet irradié par un faisceau fin de RX, est reconstituée à partir d'un grand nombre de mesures du coefficient d'atténuation, effectuées selon diverses incidences. On recueille ainsi toutes les données, qui proviennent des volumes élémentaires de matière, grâce aux détecteurs. A l'aide d'un calculateur, on attribue aux surfaces élémentaires de l'image reconstruite à partir des données projetées sur une matrice de reconstruction, une tonalité plus ou moins importante en fonction des coefficients d'atténuation.

8 BASES PHYSIQUES DE LA TOMODENSITOMETRIE Le scanner X, étudie l'atténuation d'un faisceau de rayons X, au cours de la traversée d'un segment du corps. Toutefois, plusieurs éléments le différencient de la radiologie classique : L'étude de l'atténuation se fait sur un faisceau de rayons X étroit, défini par une collimation portant à la fois sur le faisceau et le détecteur de rayons X. Les détecteurs étaient faits de cristaux à scintillation ou de chambres d'ionisation permettant de quantifier l'atténuation du faisceau de RX. Actuellement, les détecteurs à semi-conducteurs ont pris le dessus dans la technologie des détecteurs des scanners hélicoïdaux, donnant une bien meilleure réponse : Plus de 90% de l'information est restituée pour des détecteurs à semi-conducteurs Et un rendement de 50 à 90 % pour les détecteurs à gaz (chambre d'ionisation au Xe).

9 BASES PHYSIQUES DE LA TOMODENSITOMETRIE Quelque soit le détecteur, la sensibilité est considérablement plus grande que celle des films radiologiques. L'ensemble générateur et détecteurs de rayons X est solidarisé par un montage mécanique rigide qui définit un plan de détection. L'objet à étudier est placé dans le faisceau, le dispositif fournit une mesure de l'atténuation du rayonnement dans ce plan. A l'aide des détecteurs, on obtient une série de mesures de l'atténuation résultant de la traversée d'une tranche du corps. Une seule de ces projections (ensemble des signaux électriques fourni par la totalité des détecteurs pour un angle de rotation donné) ne suffit pas à reconstituer la structure de la coupe. Un mouvement de rotation de l'ensemble autour du grand axe de l'objet examiné, permet alors d'enregistrer des profils résultants de la traversée de la même coupe suivant différentes directions. L'utilisation de méthodes mathématiques complexes nécessitant l'emploi d'ordinateurs conduit, par «rétro projection» sur une matrice de reconstruction des différents profils, à construire l'image de la distribution des coefficients d'atténuation au niveau de la section examinée. La matrice des scanographes récents varie entre 320*320 et 512*512, ce qui représente un grand nombre de mesures et une bonne définition de l'image scannographique (le pixel est la surface de la base du voxel, qui est très inférieur à 1 mm², ses côtés mesurent 0.2 mm avec les matrices 512*512). Quant à l'épaisseur de coupe, hauteur du voxel, elle varie actuellement entre 1 et 10 mm selon les appareils et les régions à explorer.

10 BASES PHYSIQUES DE LA TOMODENSITOMETRIE En fonction des chiffres périphériques d'absorption (Figure 1.3. a), l'ordinateur calcule les différentes densités rencontrées par le rayonnement dans chaque unité de volume (Voxel), la projection étant le pixel, (Figure 1.3. b).

11 PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT Le patient est placé sur une table qui se déplace dans le sens longitudinal à l intérieur d un court anneau (généralement aux alentours de 70 centimètres de diamètre).

12 Celui-ci contient un tube à rayons X qui génère un faisceau d une épaisseur de 1 à 10 millimètres et qui va tourner autour du patient. En face du tube sont disposés des milliers de détecteurs qui vont mesurer l intensité résiduelle du faisceau qui a traversé le corps. PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT

13 Dans un scanographe, un premier détecteur électronique (le capteur Co du schéma ci-contre) mesure l intensité du fin pinceau de rayons X émis par le tube à rayons X avant qu il ne balaie point par point la tranche du corps à examiner. Pour explorer cette coupe, le tube effectue une rotation complète degré par degré. Une partie du rayonnement incident (celui qui entre en contact avec le corps) est absorbé par les tissus traversés. Le rayonnement émergent (celui qui ressort) est capté par un détecteur électronique (le capteur C1 quand la source est en S1) qui tourne en même temps que le tube (de façon synchrone). Quand la source est en S2, le capteur est en C2, etc. Au cours de la rotation, rayons X incidents et rayons X émergents captés sont comparés et convertis en signaux électriques. PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT

14 PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT Le scanner utilise l absorption des rayons X en relation directe avec la densité des tissus que les rayons ont rencontrés. Un peu plus de 2 millions de données sont enregistrés en quelques secondes par l ordinateur. Le programme de celui-ci permet de calculer l absorption du rayonnement en chaque point de la coupe. Les résultats sont alors mis en mémoire. Un traitement informatique complexe permet ensuite de faire apparaître sur l écran l image reconstituée d une coupe axiale de 1 à 10 millimètres d épaisseur. Cette image traduit les variations d absorption des tissus traversés auxquelles sont associées des variations de nuances (noir, gris, blanc) ou des couleurs conventionnelles. L image est modélisée par une matrice.

15 LA CHAINE SCANNOGRAPHIQUE

16 LA CHAINE SCANNOGRAPHIQUE La chaine scannographique comporte : un système d acquisitions de mesures oude données - Un tube de rayons X produit le pinceau de rayons X qui se propage selon un axe dit axe de détection. - Des détecteurs électroniques recueillent le rayonnement résiduel après traversée de l organe à explorer et, par comparaison avec un rayonnement témoin, mesurent l atténuation des rayons X dans l axe du pinceau. Les détecteurs convertissent les signaux des rayons X en signaux électriques eux-mêmes convertis en informations numériques exploitables par les programmes de l ordinateur.

17 LA CHAINE SCANNOGRAPHIQUE Un signal recueilli selon un seul angle ne peut à lui seul donner une information suffisante. Mais, en tournant simultanément la source de rayons X et le détecteur autour d un point (en réalité un petit volume), l ensemble des signaux reçus renseigne sur l absorption autour de ce point : une rotation de 360 degrés, degré par degré, donne 300 à 400 mesures. A chaque mesure correspond un profil d absorption des rayons X. Il est possible actuellement de convertir numériquement des millions de profils avec une durée d acquisition des mesures variant de 0,6 à 4 ou 6 secondes! L'acquisition des données se fait grâce à un tube à rayons X couplé à un ensemble de détecteurs, disposés en arc de cercle ou en éventail (fan Beam). L'ensemble tube/détecteurs est solidaire et animé d'un mouvement synchrone, circulaire, dans le même sens, selon un plan perpendiculaire à l'objet examiné. Pendant l'acquisition, les séquences suivantes s'opèrent : Le faisceau émis par le tube à RX, irradie plusieurs détecteurs et permet de faire de multiples mesures de densité sur différents axes. On obtient ainsi un «profil de densité» selon un angle de projection α (Figure 2.2).

18 LA CHAINE SCANNOGRAPHIQUE Lorsque le faisceau de RX tourne autour de l'objet, on obtient une grande quantité de mesures et de projections dans le plan de référence avec différents angles de projections α (voir figure 2.2). Le nombre de projections effectué, dépend de la géométrie du système et en particulier de la largeur du faisceau. Pour chaque valeur angulaire α, on obtient un profil de densité P. La sommation de tous ces profils de densité obtenus pour ces différentes valeurs angulaires, s'appelle un «sinogramme» (Figure 2.3) ou modélisation du faisceau par rotation.

19 LA CHAINE SCANNOGRAPHIQUE Unsystème de traitement du signal et de l image En imagerie médicale, la coupe à représenter étant toujours une tranche mince, un voxel est un petit élément de volume de celle-ci). La durée de la reconstitution de l image varie de 3 à 8 secondes. On notera que l ordinateur peut commander aussi le tube de rayons X et l étalonnage des récepteurs. Il peut archiver sur disque optique toutes les données et stocker des informations concernant le patient. Le rayonnement X reçu par les détecteurs, est transformé en courant électrique. Cette conversion aboutit à un signal qui va être amplifié et numérisé. La numérisation consiste à transformer le signal de type analogique en données chiffrées qu'un ordinateur peut classer, stocker dans une matrice de reconstruction et traiter ensuite. Les signaux électriques sont convertis en nombres binaires : , , etc. L ordinateur utilisé est programmé pour digérer ces millions de données numériques et traduire en image par des niveaux de gris les différences d atténuation des rayons X dans les divers volumes élémentaires de l organe examiné, ses voxels (le mot voxel vient de l anglais volume element c est-à-dire élément de volume. Le traitement proprement dit du signal, comporte en fait en une reconstruction de l'image à partir des données recueillies par le système d'acquisition. On sait, depuis les travaux des mathématiciens, reconstituer un objet à partir de ses projections sur un plan de référence.

20 a) Méthode de la transformée de Radon. La mesure de l'intensité du faisceau de rayons X, dépend de l'atténuation le long de l'axe de propagation et est indépendante des changements spectraux. Elle est donc donnée par la formule suivante : LA CHAINE SCANNOGRAPHIQUE Les projections sont des données brutes converties en valeurs numériques échantillonnées avec une adresse spatiale. On effectue pour ces projection deux opérations : 1) Une «Rétro-projection» ou épandage : c'est le temps de reconstruction, consistant à projeter les valeurs numériques obtenues sur le plan image, en leur attribuant des cordonnées spatiales correspondantes à celles qu'elles avaient dans le plan de coupe examiné. 2) Une «déconvolution» ou filtrage : améliore la qualité d'image de l'objet reconstruit, pour le rapprocher du modèle initial. Ces opérations mathématiques nécessitent des moyens de calcul puissants qui ne peuvent être obtenus que par des ordinateurs. La reconstruction proprement dite s'effectue par une méthode algébrique (calcul matriciel) ou par la méthode de la transformée de Radon ou de Fourier.

21 LA CHAINE SCANNOGRAPHIQUE Io est l'intensité du faisceau sans l'objet y' est la distance sur l'axe du faisceau. En linéarisant l'équation 1 ci-dessus, on obtient les données suivantes : Pour un objet µ(x,y) vu sous un angle q, par un faisceau étroit de RX, selon la direction x' à la distance t de l'axe Ox', direction de propagation du faisceau, t est exprimé par : t = x cosq + y sinq. La deuxième équation est résolue pour déterminer la fonction µ(x,y), sa résolution se fait analytiquement en utilisant sur les machines CT la rétro projection filtrée. La transformée de Radon a permis en 1917 de résoudre ce genre d'équation. Actuellement, on utilise des méthodes de convolution pour retrouver µ(x,y). La reconstruction s'effectue en deux temps :

22 LA CHAINE SCANNOGRAPHIQUE Une première convolution des projections avec un Kernel g Une rétro projection pour obtenir l'image. On a donc l'équation de convolution de g par P(t, q) : est rétro-projeté pour obtenir la distribution spatiale des coefficients linéaires d'atténuations µ(x,y). b) Méthode de la transformée de Fourier. L'idée est une reconstruction 2D de la transformée de Fourrier de l'image sous forme de projection, suivie d'un filtrage et de la transformée inverse pour obtenir l'image finale. Une méthode utilisant la transformée de Fourier 1D, a été mise en place. Elle consiste en une transformation de chaque projection, suivie d'une reconstruction ou rétro-projection dans le domaine fréquentiel, puis d'un filtrage et de la transformée inverse pour obtenir l'image voulue.

23 Unsystème de visualisation de l image LA CHAINE SCANNOGRAPHIQUE Chaque donnée numérique va être convertie, sur un écran d ordinateur (un moniteur) en un point lumineux dont l intensité (blanc, gris, noir) est proportionnelle à l absorption des rayons X. On obtient alors une image écran classique. En scanographie, 10 millions d images sont à effectuer pour produire une seule image. Seul un ordinateur ultra- puissant peut les réaliser. L opérateur peut intervenir sur le type de calculs programmés et ainsi choisir une fenêtre de visualisation (un zoom), mesurer des densités et des distances, examiner la coupe transversale sous différents angles (une inclinaison de 25 à 30 degrés est possible), reconstituer une image en 3 dimensions, La 3D permet une vue de l objet sous différents angles, ce qui facilitent notamment l étude de fractures d os courts et compacts. Elle permet, par exemple, d obtenir des vues éclatées de l os du talon fracturé en plus de trois fragments. Le chirurgien dispose ainsi d une bien meilleure approche du travail qu il doit accomplir Les images sont présentées sur l'écran vidéo de la console. La matrice de présentation peut être équivalente à la matrice de reconstruction ou présenter un plus grand nombre d'éléments image ( jusqu'à 1024 X 1024 pixels).

24 Fenêtre et niveaux LA CHAINE SCANNOGRAPHIQUE Les images comportent des niveaux de gris qui traduisent les coefficients Hounsfield. Compte tenu de la dynamique propre des appareils vidéo et des performances de l'oeil humain, il est nécessaire de se limiter à l'étude d'une fraction des densités qui peuvent s'étaler sur une large échelle de à Le scanner permet de projeter une fraction de l'échelle de densité sur toute l'échelle de gris de l'écran vidéo grâce à la fonction de fenêtrage (redistribution des niveaux de gris). On appelle fenêtre la plage de densité étudiée. On la caractérise par sa largeur d'ouverture (L) et son niveau (N). Par exemple : Pour les tissus mous : N=40 à 50 et L = -50 à +50. Dans l'exemple, on fait glisser la fenêtre de largeur 30 (20-50) sur l'ensemble des valeurs de Hounsfield pour pouvoir analyser ou voir des zones de densité différentes proches. D'autres traitements d'image sont possibles tels que : la reproduction des images, la filtration, la reconstruction, l'agrandissement simple, les fonctions de mesure de longueur, de volume, de surface et surtout de densité. La filtration est très importante lors de la reconstruction de l'image en TDM, on utilise des filtres de convolution ou d interpolation, qui sont des programmes de calcul, pour améliorer l'aspect final de l'image. Il existe des filtres de densité, un filtre spatial, un filtre standard servant à atténuer les hautes fréquences de l'image.

25 PRINCIPE DE MESURE ET DE CALCUL MATHEMATIQUE

26 LA CHAINE SCANNOGRAPHIQUE Unsystème de commande Le contrôle des mesures, de l acquisition des images et de leur traitement est assuré par un système de commandes.

27 LES RISQUES DE L EXPOSITION Les risques à l examen Des rayons X : Ils sont sans danger du fait des très faibles doses utilisées. Des précautions seront prises chez les femmes enceintes. Du produit de contraste : Une réaction allergique peut se produire, mais reste exceptionnelle. Si vous êtes allergique à l'iode, des comprimés donnés la veille et le jour de l'examen limiteront la réaction. Ci-contre: les organes plus ou moins sensibles aux rayons X. Bleue = faible sensibilité rouge = sensibilité moyenne jaune = forte sensibilité

28 1ere et 2ieme Génération : Translation-rotation du tube et des détecteurs autour de l'objet étudié (La première génération ne comportait que 2 détecteurs séparés permettant d'obtenir 2 coupes simultanément avec un temps d'acquisition de plusieurs minutes) HISTORIQUE: EVOLUTIONS TECHNOLOGIQUES La tomodensitométrie a bénéficié, depuis sa mise au point en 1971, de nombreuses améliorations parmi lesquelles deux évolutions technologiques majeures : l'acquisition hélicoïdale en 1989 puis l'acquisition multicoupe en Plusieurs variétés de géométrie de scanner ont été produites, pour acquérir les données de transmission des rayons X nécessaires à la reconstruction de l'image en CT. Certaines géométries ont été nommées «génération» de CT scanner et ce label est très pratique dans la différentiation des modèles de scanner. Il existe 4 générations de modèles de scanner :

29 HISTORIQUE: EVOLUTIONS TECHNOLOGIQUES C'était la technique initialement utilisée, où le tube de rayons X était solidaire avec les détecteurs. Le mouvement des scanners de géométrie de deuxième génération est décrit sur la figure 1.4. Une rotation d'angle θ de l'ensemble est égale à l'angle d'ouverture du mince faisceau de rayons X, suivie d'une translation linéaire de la source et de la barrette de détecteurs en travers de l'objet étudié. Le nombre de translations-rotations est égal à 180 /θ. Par exemple, si l'angle d'ouverture du faisceau est de 10 et combiné à un nombre suffisant de détecteur pour absorber les rayons X émergents, seules 18 translations-rotations sont nécessaires pour obtenir des données adéquates pour la reconstruction de l'image. Les derniers scanners de 2ieme génération ont des temps d'acquisition de 10 à 20 secondes. Le handicap de la 2ieme génération est du au fait qu'il a un temps d'acquisition très long et est plus utilisé pour l'imagerie des parties du corps que pour celle de la tête.

30 HISTORIQUE: EVOLUTIONS TECHNOLOGIQUES 3ieme Génération (plus nombreux actuellement) : Le tube et les détecteurs effectuent un mouvement de rotation autour de l'objet. Du fait que cette technologie possède une couronne de détecteurs face au tube de RX, elle permet d'obtenir la coupe en une dizaines de secondes. C'est un système à rotation unique (géométrie à Rotation-Rotation). La figure 1.5 montre ce modèle de scanner avec un faisceau de rayons X ouvert, englobant entièrement le corps du patient pendant l'intervalle d'acquisition, pour limiter les artefacts. Le faisceau de rayons X est absorbé par la rangée de détecteurs en arc de cercle et en rotation avec lui. Les anciennes machines de 3ieme génération avaient à peu près 300 détecteurs mais actuellement on dépasse les 1000 détecteurs avec une ouverture angulaire de l'ordre de 50 sur les scanners Philips.

31 4ieme Génération: Le scanner Hélicoïdal La couronne de détecteurs est fixe et seul le tube tourne autour de l'objet. Le mouvement des scanners de la quatrième génération est représenté en figure 1.6. Seul le tube de rayons X tourne autour de l'objet examiné et il est plus près de l'objet que les détecteurs lors sa rotation. Cette génération est aussi appelée, scanner à géométrie courte car l'ouverture du faisceau est beaucoup plus importante pour couvrir tout l'objet examiné. HISTORIQUE: EVOLUTIONS TECHNOLOGIQUES Dans cette configuration, les détecteurs voient la source de rayons X toujours sous la même incidence à travers l'objet. Une grille concentre le faisceau de RX en sortie du patient pour réduire le rayonnement diffusé dans les détecteurs, qui ne peuvent pas être calibrés pendant l'examen et doivent avoir une grande sensibilité, ce qui explique le lent développement des machines de 3ieme génération. En comparaison avec la seconde génération, la troisième génération réduit le temps d'acquisition par un facteur deux. Les temps d'acquisition des machines de troisième génération sont de l'ordre de la seconde et même sub-seconde (ex : scan Time de 0.7 s). Pour optimiser l'acquisition et augmenter la résolution spatiale, seulement ¼ des détecteurs de chaque côté du détecteur central est utilisé.

32 HISTORIQUE: EVOLUTIONS TECHNOLOGIQUES Le nombre de profils obtenu est limité par le nombre de détecteurs entourant le patient. Dans ce système de détection, une partie du faisceau est utilisée pour calibrer les détecteurs, l'autre pour la formation de l'image. Du fait que le tube est plus près de l'objet, la résolution spatiale est relativement dégradée à 4800 détecteurs sont nécessaires pour disposer d'un appareil possédant de bonnes performances. Les scanners classiques à rotation séquentielle ont été longuement utilisés pour l'exploration du corps humain. Avec les progrès technologiques et les recherches effectuées dans le domaine de l'informatique, de l'imagerie et de l'électronique, l'ensemble des constructeurs s'orientent vers une nouvelle génération de machine : Le scanner hélicoïdal ou encore appelé le scanner à rotation continue.

33 Principes physiques du scanner hélicoïdal Le balayage hélicoïdal en scanner est permis par deux opérations : La première est représentée par la rotation continue d'un tube à rayons X. Elle est étroitement couplée à un système de détecteurs répartis en couronne autour du lit où repose le patient. La seconde par la progression à vitesse constante du lit. Ainsi ce balayage nous permet d'accéder très rapidement l'acquisition d'informations concernant un volume, puis aux différents traitements secondaires de ces mêmes informations. HISTORIQUE: EVOLUTIONS TECHNOLOGIQUES Le scanner hélicoïdal est caractérisé par la rotation continue du tube autour d'un lit d'examen se déplaçant à vitesse constante durant l'acquisition. Le tube à rayons X réalise ainsi un déplacement en hélice, décrivant un cylindre, si on se place dans un repère lié à la table. Les avantages de cette acquisition hélicoïdale volumique sont multiples et en particulier en ce qui concerne l'étude vasculaire en diagnostic. De nombreuses explorations vasculaires permettent l'analyse des artères et des veines, avec une précision plus ou moins importante, de façon plus ou moins invasive et avec un coût plus ou moins grand. L'angioscanner hélicoïdal des vaisseaux est une méthode d'analyse vasculaire très fiable, non invasive, rapide et à moindre coût, qui tend à remplacer les techniques invasives.

34 HISTORIQUE: EVOLUTIONS TECHNOLOGIQUES Au lieu de calculer pour chaque rotation, à partir des données brutes, une image comme en géométrie planaire, les images sont reconstruites par interpolation entre deux projections correspondantes, obtenues avec la même position angulaire sur deux rotations consécutives. Ces deux projections permettent de reconstruire des coupes à n'importe quel niveau le long de l'axe de déplacement longitudinal du lit d'examen. Les données brutes acquises constituent une représentation fidèle du volume balayé. Les données de projections, obtenues à partir d'un niveau de coupe spécifique, subissent la rétroprojection filtrée. Le nombre d'images, la taille du champ de visualisation, la position de l'image sur l'axe Z et l'axe de déplacement du lit sont choisis de façon rétrospective, par l'utilisateur pour un volume balayé donné. Du fait de la rotation continue du tube à rayons X, celle-ci peut prendre différentes vitesses de rotation. Elle peut prendre les valeurs comprises entre 0.6 s et 4 s par tour. Ainsi cette rapidité de rotation permet une acquisition hélicoïdale plus rapide, de l'ordre de 30 secondes, permettant en particulier son utilisation en pédiatrie. Le scanner hélicoïdal permet de faire l'imagerie des parties du corps, qui sont en mouvement perpétuel comme les pics artériels, les retours veineux ou les temps d'équilibre. Cette imagerie est rarement possible sur un scanner planaire, car les mouvements involontaires du patient introduisent du flou dans l'image.

35 HISTORIQUE: EVOLUTIONS TECHNOLOGIQUES Aussi, un autre avantage de ces scanners hélicoïdaux, c'est la parfaite continuité des différentes coupes transversales, du volume balayé. Le traitement secondaire des informations acquises, permet de faire des reconstructions, 2D multiplanaires (MPR Multiplanar Reconstruction), 3D surfacique, 3D volumique, MIP (Maximum Intensity Projection) ou bien encore de l'endoscopie virtuelle d'excellente qualité. Pour une même longueur de déplacement de table, le volume irradié est plus important en hélicoïdal, qu'en imagerie séquentielle. La dose attribuée n'est pas forcement plus importante dans le cas du scanner hélicoïdal. Le mouvement continu, de l'ensemble tube, détecteurs et table, a permis aux constructeurs d'optimisé la dose reçue par le patient au cours de l'examen.

36 CONCLUSION L objectif de ce chapitre a été une compréhension détaillée de l utilisation de l appareil médical qu est le scanner pour obtenir des images qui permettent au corps médical d explorer les différentes parties internes du corps humain à la recherche d anomalies ou de maladies qui étaient invisibles jadis. Ainsi, un discernement particulier a été porté sur le principe du fonctionnement, de mesure et calcul de cet appareil et des détecteurs électroniques. Les principaux facteurs de qualité de l image en coupe obtenue en scanner sont la résolution spatiale, la résolution en contraste et la résolution temporelle. Certains artefacts peuvent cependant dégrader la qualité de l image qui est indissociable de la dose délivrée donc de l irradiation. Toutefois, il est à noter que malgré les avantages de l utilisation de cet appareil qui sont impressionnants, celui-ci présente des risques de danger sur le corps humains si ce dernier est exposé plusieurs fois aux rayons X de cet appareil.

Traitement numérique de l'image. Raphaël Isdant - 2009

Traitement numérique de l'image. Raphaël Isdant - 2009 Traitement numérique de l'image 1/ L'IMAGE NUMÉRIQUE : COMPOSITION ET CARACTÉRISTIQUES 1.1 - Le pixel: Une image numérique est constituée d'un ensemble de points appelés pixels (abréviation de PICture

Plus en détail

Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE

Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE LAURENT Rémy laurent@clermont.in2p3.fr http://clrpcsv.in2p3.fr Journées des LARD Septembre 2007 M2R

Plus en détail

DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h

DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme

Plus en détail

DIFFRACTion des ondes

DIFFRACTion des ondes DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène

Plus en détail

Ligne Dentaire. Système Dentaire Panoramique et 3D

Ligne Dentaire. Système Dentaire Panoramique et 3D Ligne Dentaire Système Dentaire Panoramique et 3D La Société Villa Sistemi Medicali est fière de présenter son nouveau panoramique Rotograph Evo 3D, un système d'imagerie dentaire avec fonctionnalité 3-en-1:

Plus en détail

Sytème de Diagnostic d'imagerie Numérique simple et évolutif

Sytème de Diagnostic d'imagerie Numérique simple et évolutif Sytème de Diagnostic d'imagerie Numérique simple et évolutif Un système simple et évolutif Scanner Ceph - Temps d'exposition : minimum 4 sec - Mode HD Fonction de prévisualisation Décidez ainsi immédiatement

Plus en détail

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Approche d'un projecteur de diapositives...2 I.Questions préliminaires...2 A.Lentille divergente...2 B.Lentille convergente et

Plus en détail

ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE

ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE CS 9300 ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que des

Plus en détail

TP SIN Traitement d image

TP SIN Traitement d image TP SIN Traitement d image Pré requis (l élève doit savoir): - Utiliser un ordinateur Objectif terminale : L élève doit être capable de reconnaître un format d image et d expliquer les différents types

Plus en détail

Guide de l'utilisateur de l'utilitaire d'installation de caméra Avigilon

Guide de l'utilisateur de l'utilitaire d'installation de caméra Avigilon Guide de l'utilisateur de l'utilitaire d'installation de caméra Avigilon Version 4.10 PDF-CIT-D-Rev1_FR Copyright 2011 Avigilon. Tous droits réservés. Les informations présentées sont sujettes à modification

Plus en détail

Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information

Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information Connaissances et compétences : - Identifier les éléments d une chaîne de transmission d informations. - Recueillir et exploiter des informations concernant

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information

Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information I. Nature du signal I.1. Définition Un signal est la représentation physique d une information (température, pression, absorbance,

Plus en détail

Les rayons X. Olivier Ernst

Les rayons X. Olivier Ernst Les rayons X Olivier Ernst Lille La physique pour les nuls 1 Une onde est caractérisée par : Sa fréquence F en Hertz (Hz) : nombre de cycle par seconde Sa longueur λ : distance entre 2 maximum Sa vitesse

Plus en détail

Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D)

Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D) Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D) Thinking ahead. Focused on life. Veraviewepocs 3De Le générateur à Rayons X pour tous vos besoins

Plus en détail

facilitez-vous la vie avec Ray Technologie avancée pour le Confort

facilitez-vous la vie avec Ray Technologie avancée pour le Confort Dose réduite - Scan ultra-rapide - Tube x-ray pulsé - Plusieurs modes de balayage partielles 3 détecteurs exclusifs - Procédure fiable - Aucun risque de dommage - Longue durée de vie Mise à niveau facile

Plus en détail

UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. CS 9300 / CS 9300C

UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. CS 9300 / CS 9300C CS 9300 / CS 9300C UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que

Plus en détail

Développement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel

Développement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel Développement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel E. de Kerviler, C. de Bazelaire, P. Coulon*, S. Gotman**, J Yanof***, C. Bauer***J. Sapir**. Service de Radiologie,

Plus en détail

Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses. Guillaume Martinez 17 décembre 2007

Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses. Guillaume Martinez 17 décembre 2007 Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses Guillaume Martinez 17 décembre 2007 1 Table des matières 1 Le projet 3 1.1 Objectif................................ 3 1.2 Les choix techniques.........................

Plus en détail

Le GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit :

Le GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit : Secrétariat du Grand Conseil PL 10267 Projet présenté par le Conseil d Etat Date de dépôt: 22 mai 2008 Projet de loi ouvrant un crédit au titre d'indemnité cantonale d'investissement de 3 000 000 F, pour

Plus en détail

FRANCAIS. Distributé par : QR srl - Via Silvestrini, 20-37135 Verona Italy Tel. +39 045 8202727-045 583500 info@newtom.it www.newtom.

FRANCAIS. Distributé par : QR srl - Via Silvestrini, 20-37135 Verona Italy Tel. +39 045 8202727-045 583500 info@newtom.it www.newtom. GiANO - R14.1 - FR FRANCAIS Distributé par : QR srl - Via Silvestrini, 20-37135 Verona Italy Tel. +39 045 8202727-045 583500 info@newtom.it www.newtom.it Produit par : CEFLA S.C. - CEFLA DENTAL GROUP Via

Plus en détail

Usage des photos pour Internet et pour la presse

Usage des photos pour Internet et pour la presse Usage des photos pour Internet et pour la presse Que ce soit sur Internet ou dans la presse, l'usage de photographies a la même fonction qui est d illustrer le propos. Pour bien jouer son rôle d information

Plus en détail

Projet de traitement d'image - SI 381 reconstitution 3D d'intérieur à partir de photographies

Projet de traitement d'image - SI 381 reconstitution 3D d'intérieur à partir de photographies Projet de traitement d'image - SI 381 reconstitution 3D d'intérieur à partir de photographies Régis Boulet Charlie Demené Alexis Guyot Balthazar Neveu Guillaume Tartavel Sommaire Sommaire... 1 Structure

Plus en détail

Opérations de base sur ImageJ

Opérations de base sur ImageJ Opérations de base sur ImageJ TPs d hydrodynamique de l ESPCI, J. Bico, M. Reyssat, M. Fermigier ImageJ est un logiciel libre, qui fonctionne aussi bien sous plate-forme Windows, Mac ou Linux. Initialement

Plus en détail

Utilisation de XnView

Utilisation de XnView http://www.rakforgeron.fr 27/02/2015 Utilisation de XnView Les photos d'actes généalogiques, les scans de documents réalisés par vous, ou vos saisies d'écran de documents téléchargés sur Internet, au-delà

Plus en détail

Scanner de film numérique

Scanner de film numérique HD-CR 35 NDT Le nouveau standard de la radiographie numérique avec la technologie TroisFocales Scanner de film numérique Données techniques HD-CR 35 NDT Taille ajustable des spots laser : 12,5-25 - 50

Plus en détail

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner

Plus en détail

Réussir et traiter ses photos sous UV avec Photoshop

Réussir et traiter ses photos sous UV avec Photoshop Réussir et traiter ses photos sous UV avec Photoshop par Rémi BORNET le 29/12/2009 Beaucoup de personnes n'arrivent pas à obtenir de bons résultats en photos sous UV et ne trouvent pas de conseils. Cet

Plus en détail

Chapitre 13 Numérisation de l information

Chapitre 13 Numérisation de l information DERNIÈRE IMPRESSION LE 2 septembre 2013 à 17:33 Chapitre 13 Numérisation de l information Table des matières 1 Transmission des informations 2 2 La numérisation 2 2.1 L échantillonage..............................

Plus en détail

Les atouts et faiblesses des caméras TEP dédiées, TEP corps entier, TEP-CT, TEMP pour la quantification

Les atouts et faiblesses des caméras TEP dédiées, TEP corps entier, TEP-CT, TEMP pour la quantification Les atouts et faiblesses des caméras TEP dédiées, TEP corps entier, TEP-CT, TEMP pour la quantification Irène Buvat U494 INSERM CHU Pitié-Salpêtrière, Paris buvat@imed.jussieu.fr http://www.guillemet.org/irene

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

LES CAPTEURS CCD/CMOS

LES CAPTEURS CCD/CMOS Jérôme SIX Léo MEIGNAN Licence Professionnelle Gestion de la Production Industrielle, spécialité Vision Industrielle LES CAPTEURS CCD/CMOS Introduction...3 I) CCD...4 I.1) Historique...4 I.2) Fonctionnement...4

Plus en détail

OP200 D ORTHOCEPH ORTHOPANTOMOGRAPH OC200 D. VT Tomographie Volumétrique OP200 D OC200 D VT. VT Tomographie Volumétrique

OP200 D ORTHOCEPH ORTHOPANTOMOGRAPH OC200 D. VT Tomographie Volumétrique OP200 D OC200 D VT. VT Tomographie Volumétrique OP200 D OC200 D VT Imagerie panoramique numérique Imagerie céphalométrique dentaire numérique VT Tomographie Volumétrique ORTHOPANTOMOGRAPH OP200 D ORTHOCEPH OC200 D VT Tomographie Volumétrique 1 À la

Plus en détail

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3

Plus en détail

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire

Plus en détail

C.F.A.O. : Conception et Fabrication Assistées par Ordinateur.

C.F.A.O. : Conception et Fabrication Assistées par Ordinateur. C.F.A.O. : Conception et Fabrication Assistées par Ordinateur. La CFAO réunit dans une même démarche informatique les actions de conception et de fabrication d un objet. La technique utilisée permet à

Plus en détail

Q6 : Comment calcule t-on l intensité sonore à partir du niveau d intensité?

Q6 : Comment calcule t-on l intensité sonore à partir du niveau d intensité? EXERCICE 1 : QUESTION DE COURS Q1 : Qu est ce qu une onde progressive? Q2 : Qu est ce qu une onde mécanique? Q3 : Qu elle est la condition pour qu une onde soit diffractée? Q4 : Quelles sont les différentes

Plus en détail

F210. Automate de vision hautes fonctionnalités. Caractèristiques. Algorithmes vectoriels

F210. Automate de vision hautes fonctionnalités. Caractèristiques. Algorithmes vectoriels Automate de vision hautes fonctionnalités Caractèristiques Algorithmes vectoriels Les algorithmes permettent de sélectionner les éléments de traitement requis dans la bibliothèque, puis les combinent et

Plus en détail

VOS PREMIERS PAS AVEC TRACENPOCHE

VOS PREMIERS PAS AVEC TRACENPOCHE Vos premiers pas avec TracenPoche page 1/16 VOS PREMIERS PAS AVEC TRACENPOCHE Un coup d'oeil sur l'interface de TracenPoche : La zone de travail comporte un script, une figure, un énoncé, une zone d analyse,

Plus en détail

Analyse d images. Edmond.Boyer@imag.fr. Edmond Boyer UFRIMA 1

Analyse d images. Edmond.Boyer@imag.fr. Edmond Boyer UFRIMA 1 Analyse d images Edmond.Boyer@imag.fr Edmond Boyer UFRIMA 1 1 Généralités Analyse d images (Image Analysis) : utiliser un ordinateur pour interpréter le monde extérieur au travers d images. Images Objets

Plus en détail

Analyse des trajectoires acceptables en approche de virage assistance aux conducteurs

Analyse des trajectoires acceptables en approche de virage assistance aux conducteurs DIVAS Analyse des trajectoires acceptables en approche de virage assistance aux conducteurs N 3.C.1 Décembre 2008 Projet financé par l Agence Nationale de la Recherche Responsable : S. Espié Projet ANR

Plus en détail

PHYSIQUE 2 - Épreuve écrite

PHYSIQUE 2 - Épreuve écrite PHYSIQUE - Épreuve écrite WARIN André I. Remarques générales Le sujet de physique de la session 010 comprenait une partie A sur l optique et une partie B sur l électromagnétisme. - La partie A, à caractère

Plus en détail

COMMUNICATEUR BLISS COMMANDE PAR UN SENSEUR DE POSITION DE L'OEIL

COMMUNICATEUR BLISS COMMANDE PAR UN SENSEUR DE POSITION DE L'OEIL COMMUNICATEUR BLISS COMMANDE PAR UN SENSEUR DE POSITION DE L'OEIL J. TICHON(1) (2), J.-M. TOULOTTE(1), G. TREHOU (1), H. DE ROP (2) 1. INTRODUCTION Notre objectif est de réaliser des systèmes de communication

Plus en détail

Sommaire. Aide Page 1

Sommaire. Aide Page 1 Aide Page 1 Sommaire Objectif du logiciel............ 2 Présentation................ 2 Créer un nouveau quadrillage... 3 Démarrer un nouveau plan..... 3 Sélectionner une ligne......... 3 Insérer une nouvelle

Plus en détail

Utilisation du logiciel ImageJ gratuit

Utilisation du logiciel ImageJ gratuit Utilisation du logiciel ImageJ gratuit on peut récupérer sur le lien suivant : http://rsbweb.nih.gov/ij/ à partir duquel ce résumé très bref (!!) a été élaboré Lancer ImageJ Vous avez une fenêtre qui s'ouvre

Plus en détail

IFO. Soleil. Antoine COUSYN 29/07/2012 08/02/2015. Vidéo. Manipur, Inde. Saturation du capteur CMOS. 19 Juin 2011. 15h11 heure locale.

IFO. Soleil. Antoine COUSYN 29/07/2012 08/02/2015. Vidéo. Manipur, Inde. Saturation du capteur CMOS. 19 Juin 2011. 15h11 heure locale. Rapport d expertise IPACO Nom de l expert Antoine COUSYN Date du rapport 29/07/2012 Dernière mise à jour 08/02/2015 Type IFO Classe A Explication Saturation du capteur CMOS Complément Soleil Document Lieu

Plus en détail

PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE

PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE Un microscope confocal est un système pour lequel l'illumination et la détection sont limités à un même volume de taille réduite (1). L'image confocale (ou coupe optique)

Plus en détail

Fête de la science Initiation au traitement des images

Fête de la science Initiation au traitement des images Fête de la science Initiation au traitement des images Détection automatique de plaques minéralogiques à partir d'un téléphone portable et atelier propose de créer un programme informatique pour un téléphone

Plus en détail

FORMATS DE FICHIERS. Quels sont les différents types d informations numériques dans un document multimédia?

FORMATS DE FICHIERS. Quels sont les différents types d informations numériques dans un document multimédia? FORMATS DE FICHIERS Choisir et justifier un format de fichier pour réaliser un document multimédia 1 ) Le problème d Amélie Amélie et Léa ont publié leur premier article sur leur propre blog. Amélie constate

Plus en détail

Celestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008

Celestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008 GMPI*EZVI0EFSVEXSMVIH%WXVSTL]WMUYIHI&SVHIEY\ 1. Introduction à Celestia Celestia 1.1 Généralités 1.2 Ecran d Ouverture 2. Commandes Principales du Menu 3. Exemples d Applications 3.1 Effet de l atmosphère

Plus en détail

Les bases physiques de l'imagerie radiologique

Les bases physiques de l'imagerie radiologique Les bases physiques de l'imagerie radiologique Radiographie 1895 Röentgen Découverte des propriétés des rayons X par Roentgen. Les rayons X permettent de voir uniquement l'os, le poumon et les produits

Plus en détail

Tune Sweeper Manuel de l'utilisateur

Tune Sweeper Manuel de l'utilisateur Tune Sweeper Manuel de l'utilisateur www.wideanglesoftware.com Table des matières Introduction 2 Démarrage rapide 5 Recherche de doublons 9 Sélection des pistes à conserver 12 Éliminer les doublons 15

Plus en détail

Par Richard Beauregard. Novembre 2011

Par Richard Beauregard. Novembre 2011 Par Richard Beauregard Novembre 2011 La lutte contre le bruit et autres parasites lumineux Le temps d exposition versus le compositage Les images de prétraitement L'image de précharge (Offset ou Bias)

Plus en détail

PLATE-FORME COMMUNE UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ. Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR

PLATE-FORME COMMUNE UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ. Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ Vous pouvez faire confiance aux systèmes CR et DR de Carestream pour leur qualité de prise d images. Maintenant

Plus en détail

S.P.S.N. Lac du Der 2008

S.P.S.N. Lac du Der 2008 S.P.S.N. Lac du Der 2008 Qu'est-ce qu'un histogramme? C'est un graphique qui montre la répartition des pixels de l'image en fonction de leur luminosité. Chaque type d'image (normale, surexposée, sous exposée,

Plus en détail

Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs

Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs COURS 1. Exemple d une chaîne d acquisition d une information L'acquisition de la grandeur physique est réalisée par un capteur qui traduit

Plus en détail

Projet Matlab/Octave : segmentation d'un ballon de couleur dans une image couleur et insertion d'un logo

Projet Matlab/Octave : segmentation d'un ballon de couleur dans une image couleur et insertion d'un logo Projet Matlab/Octave : segmentation d'un ballon de couleur dans une image couleur et insertion d'un logo Dans ce projet, nous allons réaliser le code qui permet d'insérer sur une image, un logo sur un

Plus en détail

Immersion - Vision 3D dans la RV.

Immersion - Vision 3D dans la RV. Cours RVS Master II IVA Immersion - Vision 3D dans la RV. Cours de Réalité Virtuelle et Simulation Master II - IVA A. Mebarki - Maître de Conférences Département d'informatique Faculté des Mathématiques

Plus en détail

Orthopantomograph OP100 D Orthoceph OC100 D. Imagerie dentaire

Orthopantomograph OP100 D Orthoceph OC100 D. Imagerie dentaire Orthopantomograph OP100 D Orthoceph OC100 D Imagerie dentaire Imagerie panoramique et céphalométrique en acquisition digitale directe Orthopantomograph OP100 D et Orthoceph OC100 D L Orthopantomograph

Plus en détail

GE Healthcare. Senographe Crystal Un choix aussi clair qu un cristal

GE Healthcare. Senographe Crystal Un choix aussi clair qu un cristal GE Healthcare Senographe Crystal Un choix aussi clair qu un cristal Senographe Crystal Un choix aussi clair qu un cristal. Le mammographe Senographe* Crystal facilite la transition vers la mammographie

Plus en détail

Découverte et prise en main de SWEET HOME 3D

Découverte et prise en main de SWEET HOME 3D Découverte et prise en main de SWEET HOME 3D Auteur du tutoriel : ALLARDIN Jérémie - Prof. Génie Mécanique. Site : http://www.technologie-tutoriel.fr/ Dans la première partie du TP, vous créerez les murs

Plus en détail

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique?

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique? ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique? Temps de préparation :...2 h 15 minutes Temps de présentation devant le jury

Plus en détail

Dentiste Numérique Zfx. Un cabinet dentaire certifié avec la technologie innovante signée Zfx

Dentiste Numérique Zfx. Un cabinet dentaire certifié avec la technologie innovante signée Zfx Dentiste Numérique Zfx Un cabinet dentaire certifié avec la technologie innovante signée Zfx Dentiste Numérique Zfx Des technologies novatrices parfaitement adaptées Zfx offre aux dentistes des technologies

Plus en détail

Nb. De pages : 24 MANGO. Manuel d'utilisation. Version 1.2. décembre 2010

Nb. De pages : 24 MANGO. Manuel d'utilisation. Version 1.2. décembre 2010 N. de page : 1 MANGO Manuel d'utilisation Version décembre 2010 N. de page : 2 Table des matières 1.Présentation...3 Description technique... 3 2.Caractéristiques techniques...5 Aspect technique d'une

Plus en détail

FICHE 1 Fiche à destination des enseignants

FICHE 1 Fiche à destination des enseignants FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 8 (b) Un entretien d embauche autour de l eau de Dakin Type d'activité Activité expérimentale avec démarche d investigation Dans cette version, l élève est

Plus en détail

INTÉRÊT DU SCANNER 3D DANS LA MESURE DE L'ANTÉVERSION DES COLS FÉMORAUX

INTÉRÊT DU SCANNER 3D DANS LA MESURE DE L'ANTÉVERSION DES COLS FÉMORAUX INTÉRÊT DU SCANNER 3D DANS LA MESURE DE L'ANTÉVERSION DES COLS FÉMORAUX F. COLAS, R. CARLIER, C. LE BRETON, D. SAFA, D. MOMPOINT, F. ROFFI, E. M. KOCHEIDA, S. MOKHTARI, S. M KAOUAR, C. VALLÉE HÔPITAL RAYMOND

Plus en détail

MOTORISATION DIRECTDRIVE POUR NOS TELESCOPES. Par C.CAVADORE ALCOR-SYSTEM WETAL 2013 10 Nov

MOTORISATION DIRECTDRIVE POUR NOS TELESCOPES. Par C.CAVADORE ALCOR-SYSTEM WETAL 2013 10 Nov 1 MOTORISATION DIRECTDRIVE POUR NOS TELESCOPES Par C.CAVADORE ALCOR-SYSTEM WETAL 2013 10 Nov Pourquoi motoriser un télescope? 2 Pour compenser le mouvement de la terre (15 /h) Observation visuelle Les

Plus en détail

Des ondes ultrasonores pour explorer le corps humain : l échographie

Des ondes ultrasonores pour explorer le corps humain : l échographie Seconde Thème santé Activité n 3(expérimentale) Des ondes ultrasonores pour explorer le corps humain : l échographie Connaissances Compétences - Pratiquer une démarche expérimentale pour comprendre le

Plus en détail

RVG 6100/5100. Un standard. Deux solutions.

RVG 6100/5100. Un standard. Deux solutions. RVG 6100/5100 Un standard. Deux solutions. Doublement innovants À la recherche de l excellence Les systèmes de radiologie numérique RVG 5100 et 6100 vous apportent une technologie d'imagerie de pointe.

Plus en détail

Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction

Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources

Plus en détail

Sur trois couches, on obtient donc 2563 = 16 777 216 de couleurs, soit 24bpp (Bit Per Pixel).

Sur trois couches, on obtient donc 2563 = 16 777 216 de couleurs, soit 24bpp (Bit Per Pixel). Camera raw La fonction Camera Raw d'adobe Photoshop permet d'accéder facilement et rapidement aux images au format «raw» (brut), utilisé par de nombreux appareils photo numériques professionnels et milieu

Plus en détail

Cours de numérisation sur Epson Perfection

Cours de numérisation sur Epson Perfection Cours de numérisation sur Epson Perfection 1- Vérifiez la propreté de la vitre, placez l original sur celle-ci. À savoir, on peut numériser des transparents avec ce scanner ; il a un capteur CCD dans le

Plus en détail

Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide

Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide I Rappels : Référentiel : Le mouvement d un corps est décris par rapport à un corps de référence et dépend du choix de ce corps. Ce corps de référence

Plus en détail

L'ORDINATEUR ET LA VUE

L'ORDINATEUR ET LA VUE 45 L'ORDINATEUR ET LA VUE On parle beaucoup des troubles liés au travail devant écran d'ordinateur. Qu'en est-il des recherches dans ce domaine? On peut dire que les problèmes de la vision sur écran en

Plus en détail

SAVOIR-FAIRE ET RADIOPROTECTION

SAVOIR-FAIRE ET RADIOPROTECTION SAVOIR-FAIRE ET RADIOPROTECTION Y-S Cordoliani pour le Groupe de travail Radioprotection de la SFR Le savoir-faire en imagerie utilisant les rayons X impose la connaissance des risques que ceux-ci peuvent

Plus en détail

www.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage

www.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage 2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits

Plus en détail

BAMOSONIC IT. - Mesure de niveau -

BAMOSONIC IT. - Mesure de niveau - - Mesure de niveau - Le capteur de niveau F est destiné à la mesure de niveau de liquide sur des cuves de forme cylindrique ou rectangulaire avec possibilité d'un affichage en niveau, distance, volume

Plus en détail

Comparatif entre Matrox RT.X2 et Adobe Premiere Pro CS3 (logiciel seul)

Comparatif entre Matrox RT.X2 et Adobe Premiere Pro CS3 (logiciel seul) Comparatif entre et Adobe Premiere Pro CS3 (logiciel seul) offre la puissance de montage en temps réel et les outils de productivité supplémentaires dont vous avez besoin pour tirer pleinement parti d'adobe

Plus en détail

Géométrie discrète Chapitre V

Géométrie discrète Chapitre V Géométrie discrète Chapitre V Introduction au traitement d'images Géométrie euclidienne : espace continu Géométrie discrète (GD) : espace discrétisé notamment en grille de pixels GD définition des objets

Plus en détail

L'astrophotographie au Cercle

L'astrophotographie au Cercle L'astrophotographie au Cercle Introduction générale à l'astrophotographie Le matériel Les différents domaines: imagerie sur trépied, du ciel profond... Réaliser des images sur trépied Réaliser des images

Plus en détail

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre

Plus en détail

Leica DM4000 B LED. Une imagerie facilitée par un éclairage brillant!

Leica DM4000 B LED. Une imagerie facilitée par un éclairage brillant! Leica DM4000 B LED Une imagerie facilitée par un éclairage brillant! Microscope numérique Leica avec éclairage à LED pour les applications biomédicales LEICA DM4000 B LED UN ÉCLAIRAGE BRILLANT POUR L'IMAGERIE!

Plus en détail

Évaluation (HTA) de l'imagerie 3D à faisceau conique (CBCT) pour l'imagerie dentomaxillofaciale. Emmanuel Charpentier, Anne-Florence Fay, Natalie

Évaluation (HTA) de l'imagerie 3D à faisceau conique (CBCT) pour l'imagerie dentomaxillofaciale. Emmanuel Charpentier, Anne-Florence Fay, Natalie Évaluation (HTA) de l'imagerie 3D à faisceau conique (CBCT) pour l'imagerie dentomaxillofaciale. Emmanuel Charpentier, Anne-Florence Fay, Natalie Vongmany, Antoinette Césari, Laurence Rolland-Burger, Catherine

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

INFO 2 : Traitement des images

INFO 2 : Traitement des images INFO 2 : Traitement des images Objectifs : Comprendre la différence entre image vectorielle et bipmap. Comprendre les caractéristiques d'une image : résolution, définition, nombre de couleurs, poids Etre

Plus en détail

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN 21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de

Plus en détail

Simple. Intelligent. Précis. Capteurs intra-buccaux pour la radiographie dentaire

Simple. Intelligent. Précis. Capteurs intra-buccaux pour la radiographie dentaire Simple. Intelligent. Précis. Capteurs intra-buccaux pour la radiographie dentaire Les meilleurs capteurs intra-buccaux SOREDEX dispose de plus de 30 ans d expérience dans les systèmes d imagerie dentaire

Plus en détail

Chapitre 7 Les solutions colorées

Chapitre 7 Les solutions colorées Chapitre 7 Les solutions colorées Manuel pages 114 à 127 Choix pédagogiques. Ce chapitre a pour objectif d illustrer les points suivants du programme : - dosage de solutions colorées par étalonnage ; -

Plus en détail

IMAGES NUMÉRIQUES MATRICIELLES EN SCILAB

IMAGES NUMÉRIQUES MATRICIELLES EN SCILAB IMAGES NUMÉRIQUES MATRICIELLES EN SCILAB Ce document, écrit par des animateurs de l IREM de Besançon, a pour objectif de présenter quelques unes des fonctions du logiciel Scilab, celles qui sont spécifiques

Plus en détail

Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu

Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu (TP multiposte : groupes de 4 élèves qui se répartissent sur les 4 postes une fois chaque poste travaillé, un bilan sera établi

Plus en détail

(aq) sont colorées et donnent à la solution cette teinte violette, assimilable au magenta.»

(aq) sont colorées et donnent à la solution cette teinte violette, assimilable au magenta.» Chapitre 5 / TP 1 : Contrôle qualité de l'eau de Dakin par dosage par étalonnage à l'aide d'un spectrophotomètre Objectif : Vous devez vérifier la concentration massique d'un désinfectant, l'eau de Dakin.

Plus en détail

A chaque couleur dans l'air correspond une longueur d'onde.

A chaque couleur dans l'air correspond une longueur d'onde. CC4 LA SPECTROPHOTOMÉTRIE I) POURQUOI UNE SUBSTANCE EST -ELLE COLORÉE? 1 ) La lumière blanche 2 ) Solutions colorées II)LE SPECTROPHOTOMÈTRE 1 ) Le spectrophotomètre 2 ) Facteurs dont dépend l'absorbance

Plus en détail

Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque

Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque I- Présentation Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque L énergie solaire photovoltaïque est une forme d énergie renouvelable. Elle permet de produire de l électricité par transformation d

Plus en détail

INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE

INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE Le schéma synoptique ci-dessous décrit les différentes étapes du traitement numérique

Plus en détail

Les images numériques. 1. Le dessin vectoriel

Les images numériques. 1. Le dessin vectoriel Les images numériques 1 Le dessin vectoriel 2 Les images bitmap 3 Image en noir et blanc 4 Les codages de la couleurs 5 La synthèse additive (RVB) 6 La synthèse soustractive 7 Les couleurs indexées 8 Comment

Plus en détail

Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt

Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt Notice MESURACOLOR Colorimètre à DEL Réf. 22020 Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt Indicateur Etalonnage Bouton Marche/Arrêt Indicateur de sélection de la longueur d'onde Indicateur de mode chronomètre

Plus en détail

pka D UN INDICATEUR COLORE

pka D UN INDICATEUR COLORE TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant

Plus en détail

Mise en pratique : Etude de spectres

Mise en pratique : Etude de spectres Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La

Plus en détail