HISTOLOGIE DU SYSTEME NERVEUX CENTRAL
|
|
- Odette Sévérine Leduc
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 HISTOLOGIE DU SYSTEME NERVEUX CENTRAL 1
2 HISTOLOGIE DU SYSTEME NERVEUX CENTRAL Première partie: HISTOLOGIE DU TISSU NERVEUX CENTRAL 1) Les cellules du système nerveux (rappel!) 2) Les tissus nerveux (Histologie et Fonction) - Moelle épinière - Tronc cérébral, Cervelet - Cortex cérébral 2
3 INTRODUCTION Le système nerveux comprend 2 grands ensembles fonctionnels : le système nerveux central (cerveau et moelle épinière) et le système nerveux périphérique (filets nerveux destinés aux membres et aux viscères). Au niveau cellulaire, ce grand ensemble n est constitué que de deux grands types cellulaires : [1] les neurones, qui sont les cellules nobles, dotées d activités fonctionnelles variées et [2] les cellules gliales, qui sont les cellules les plus nombreuses du système nerveux et qui assurent le support physique et le soutien nutritionnel des neurones. 1. LES CELLULES DU SYSTEME NERVEUX CENTRAL a) Caractéristiques morphologiques *LES NEURONES Même s il existe différents types de neurones et des variations d une région à l autre du système nerveux, les neurones ont des caractéristiques communes (Figure 1). Ce sont des cellules dotées d un volumineux corps cellulaire, encore appelé «Soma», qui renferme un noyau proéminent avec un nucléole bien visible et une chromatine dispersée. Le cytoplasme péri nucléaire (péri caryon) se caractérise par la présence d un volumineux réticulum endoplasmique granuleux (REG) en amas, réalisant les corps de Nissl. Le cytoplasme renferme également de nombreuses mitochondries et un cytosquelette, constitué de filaments intermédiaires et de micro filaments. Figure 1 : Caractéristiques des neurones 3
4 Figure 2 : Caractéristiques des astrocytes Figure 3 : Caractéristiques des oligodendrocytes 4
5 La grande caractéristique des neurones est représentée par leurs prolongements cellulaires, initialement décrits au début du XXème siècle, par deux pionniers en Neurohistologie (Golgi et Cajal). Les neurones ont deux types de prolongements : les dendrites et l axone. Les dendrites sont en général courts, multiples et très ramifiés alors que l axone est unique, avec des terminaisons souvent multiples. L axone est entouré par une gaine lipido-protéique, la myéline, élaborée par un type de cellules gliales : les oligodendrocytes. Les neurones sont séparés par des jonctions inter cellulaires hautement spécialisées: les synapses, qui relient les neurones entre eux ou aux cellules effectrices (cellules musculaires). *LES CELLULES GLIALES Les astrocytes sont les cellules les plus nombreuses du système nerveux central (Figure 2). On parle de cellules étoilées car elles sont pourvues de prolongements ramifiés qui occupent tout l espace entre les neurones. Les astrocytes ont des prolongements cellulaires qui prennent appui contre les membranes des vaisseaux et elles participent ainsi à la constitution de la barrière hémato-encéphalique. Leur cytoplasme renferme un type particulier de filaments intermédiaires: la protéine glio fibrillaire acide (GFAP), que l on peut mettre en évidence sur une coupe de tissu à l aide d un anticorps spécifique, par la technique d immunohistochimie. Les oligodendrocytes (Figure 3) sont responsables de la myélinisation des axones. Il existe 2 principaux types d oligodendrocytes : - l oligodendrocyte clair est présent chez le fœtus et le nouveau né ; il s agit d une cellule de grande taille, active, fréquemment en division ; - l oligodendrocyte sombre rencontré chez l adulte est une cellule de petite taille, qui ne se divise pas. Une forme intermédiaire, entre la cellule claire et la cellule sombre, serait présente chez l adulte et donc capable, dans certaines circonstances, de synthétiser de la myéline. 5
6 b) Caractéristiques fonctionnelles des cellules du système nerveux De façon très synthétique, la fonction du système nerveux central est de percevoir un stimuli, qu il soit externe ou interne, de l intégrer, de l analyser et de fournir une réponse adaptée par l intermédiaire des organes effecteurs. Tout ceci repose sur une propriété fondamentale des neurones : «l excitabilité» et leur organisation en un réseau cellulaire interconnecté. L excitabilité du neurone est liée à l existence d un potentiel membranaire : - au repos, ce potentiel résulte d un déséquilibre entre les concentrations des ions NA+ et K+ entre le milieu extra et intra cellulaire. Ce déséquilibre est maintenu à l aide de pompes NA+/K+, qui fonctionnent en consommant la quasi-totalité de l énergie produite par les mitochondries du neurone. - en présence d un stimuli, il se produit une modification de la perméabilité membranaire, qui induit un mouvement ionique et entraine une dépolarisation de la membrane neuronale. L onde de dépolarisation va progresser jusqu à la synapse et déclencher la libération du neuromédiateur, dont le type (inhibiteur ou excitateur) conditionnera l effet final. La fonction des neurones est elle-même conditionnée par les cellules gliales : les astrocytes sont qualifiés de «compagnons des neurones» depuis la période embryonnaire jusqu à l âge adulte. Les astrocytes sont indispensables à la fonction des neurones puisque [1] ce sont eux qui prélèvent dans le sang les substrats nécessaires au métabolisme énergétique des neurones et [2] qu ils régulent la composition du milieu extra cellulaire du système nerveux. Les oligodendrocytes sont responsables de la myélinisation des axones. Un autre type de cellule gliale, la microglie, correspond à des cellules mononuclées (monocyte-macrophage). Elles ne sont visibles qu en cas de lésion du système nerveux afin d en assurer sa défense. 6
7 2. ETUDE HISTOLOGIE DU SYSTEME NERVEUX CENTRAL Lorsque l on pratique une coupe de tissu nerveux, l aspect macroscopique retrouve toujours 2 aspects : de la substance grise et de la substance blanche. La substance grise correspond aux corps cellulaires des neurones alors que la substance blanche correspond aux axones des neurones (fibres nerveuses). La couleur blanche est due au contenu lipidique de la gaine de myéline. Selon les régions du système nerveux, la répartition substance blanche / substance grise va changer de même que leurs proportions respectives. 7
8 L histologie du système nerveux central sera détaillée au niveau de 4 grandes régions : la moelle épinière, le tronc cérébral, le cortex cérébelleux et le cortex cérébral. a) Moelle épinière De façon générale, la moelle épinière correspond à un cordon de système nerveux central : au niveau duquel : - la SG se trouve au centre, revêt un aspect en ailes de papillons. C est à son niveau que se trouvent les corps cellulaires des neurones moteurs et sensitifs. - la SB se trouve à la partie postérieure et ventro latérale de la moelle. C est à son niveau que se cheminent les fibres axonales sensitives ascendantes et motrices descendantes. La moelle renferme 4 sillons, dont les caractéristiques permettent une orientation sur une coupe transversale (Figure 4) : - un sillon ventral médian, profond - un sillon dorsal médian, petit - deux sillons latéraux : un dorsal et un ventral qui correspondent à l entrée et à la sortie des racines nerveuses, respectivement. La moelle comporte une commissure centrale qui correspond au canal de l épendyme, à l intérieur duquel chemine le liquide céphalo-rachidien (LCR). 8
9 Figure 4 : Vue globale d une coupe transversale de moelle épinière Figure 5 : Substance grise de la moelle épinière 9
10 *SUBSTANCE GRISE (SG) La partie antérieure «cornes ventrales» renferme les corps cellulaires des neurones moteurs. Il s agit de volumineux neurones, relais des neurones du cortex moteur. La partie postérieure «cornes dorsales» renferme des petits neurones sensitifs dits de 2 ème ordre. Au niveau de la moelle dorsale et lombaire supérieure, il existe des «cornes latérales» où se trouvent les corps cellulaires neurones sympathiques efférents pré ganglionnaires. *SUBSTANCE BLANCHE (SB) La SB postérieure correspond aux «cordons postérieurs» et renferme des fibres sensitives ascendantes. Ces fibres véhiculent la vibration, la proprioception et le toucher discriminatif. La SB ventro latérale renferme également des fibres axonales myélinisées. Il s agit de fibres sensitives ascendantes au niveau ventro latéral (faisceaux spino thalamique latéral : douleur, température et ventral : toucher superficiel) et de fibres descendantes motrices (faisceau cortico spinal). La moelle épinière va augmenter de volume de bas en haut, car les fibres qu elle renferme y sont de plus en plus nombreuses. 10
11 Figure 6 : Substance blanche Figure 7 : Coupe histologique de la moelle épinière 11
12 b) Tronc cérébral Le tronc cérébral constitue essentiellement une zone de passage des fibres axonales ascendantes et descendantes. Ces fibres sont à disposition longitudinale au niveau du bulbe (partie inférieure du tronc cérébral), longitudinale et transversale au niveau de la protubérance (partie moyenne du tronc cérébral). La SG correspond à des amas de corps cellulaires neuronaux, groupés en noyaux ou dispersés au sein de la SB. - Etage bulbaire (Figure 8) *SUBSTANCE BLANCHE La SB bulbaire est principalement représentée par les pyramides, situées à sa partie ventrale. En coupe transversale, les pyramides forment 2 faisceaux symétriques de fibres longitudinales groupées. Il s agit des fibres corticales motrices descendantes «faisceau pyramidal» dont 90 à 95% d entre elles vont décusser au niveau de la partie basse du bulbe. La SB du bulbe comporte également à sa partie médiane le Lemniscus «faisceau lemniscal» qui correspond à un faisceau de fibres ascendantes, relai des cordons postérieurs de la moelle. *SUBSTANCE GRISE Elle est essentiellement représentée par le noyau olivaire ou «olive bulbaire» : ce noyau comporte 3 parties (olive principale, dorsale et ventrale). Son aspect rubanné est caractéristique (Figure 9), avec de grands neurones. D un point de vue fonctionnel, il s agit d un noyau relai des fibres corticales et médullaires vers le cervelet. A la partie dorsale du bulbe, de part et d autre de la ligne médiane, se trouvent les noyaux de la XIIème paire de nerfs craniens (Grand hypoglosse). 12
13 Figure 8 : Etage bulbaire Figure 9 : Aspect caractéristique du noyau dentelé 13
14 - Etage protubérantiel (Figure 10) *SUBSTANCE BLANCHE Elle a l aspect d un réseau de fibres entrecroisées occupant toute la partie ventrale de la protubérance. Il s agit de fibres longitudinales descendantes du cortex moteur ; ces fibres sont dispersées au niveau de la protubérance alors qu elles vont se rassembler à l étage bulbaire (pyramides). Les fibres transversales proviennent de fibres corticales descendantes après qu elles aient fait synapse avec les neurones du pont. Ces fibres se destinent au cervelet, via le pédoncule cérébelleux moyen. Les pédoncules cérébelleux correspondent à des faisceaux de fibres afférentes (pédoncule inférieur et moyen) et efférentes au cervelet (pédoncule supérieur). *SUBSTANCE GRISE A la partie ventrale de protubérance, la SG correspond aux corps cellulaires des neurones du pont (Figure 11). Il s agit de neurones de taille moyenne, à noyaux bien visibles, dispersés au sein des fibres entrecroisées. C est avec ces neurones que les fibres descendantes corticales vont faire synapse, pour ensuite rejoindre le cervelet. A la partie dorsale de la protubérance, se trouvent des amas de neurones qui correspondent aux noyaux des Vème, VIème et VIIème paires de nerfs crâniens. 14
15 Figure 10 : Protubérance Figure 11 : Aspect des neurones du pont 15
16 c) Cortex cérébelleux Le cervelet est situé à la partie dorsale de la protubérance. Il comporte une partie centrale «vermis» et 2 hémisphères. D un point de vue histologique, tout cet ensemble est constitué de façon identique. La SG (cortex) est en périphérie, forme des circonvolutions très ramifiées «foliées» et entoure une SB (médullaire) centrale. Le cortex cérébelleux est constitué de 3 couches de cellules (Figure 12) : - la première couche (externe) ou «couche moléculaire» est de faible cellularité et renferme essentiellement des dendrites et des axones qui font synapse ; - la deuxième couche correspond à l assise des «neurones de Purkinje». Il s agit de volumineux neurones, agencés de façon discontinue. Ces neurones ont de nombreux dendrites, qui se ramifient dans l assise moléculaire. Leur axone, unique, descend dans la SB en traversant la couche interne ; - la troisième couche (interne) ou couche granulaire renferme de nombreux neurones granulaires, de petite taille. Ces neurones sont pourvus de petits dendrites. Leurs axones remontent dans la couche moléculaire et ont un trajet parallèle avant de former des synapses avec les dendrites des neurones de Purkinje. 16
17 Figure 12 : Organisation du cortex cérébelleux Figure 13 : Correspondance avec l histologie 17
18 Principes fonctionnels du cortex cérébelleux Brièvement, la fonction du cervelet est l intégration mouvement, le contrôle de l équilibre et du tonus musculaire. Le cervelet reçoit des afférences supérieures (corticales) et inférieures (médullaires) via les pédoncules cérébelleux dont les fibres vont établir des connections avec les dendrites des neurones granulaires et des neurones de Purkinje. Les afférences du cervelet sont les axones des neurones de Purkinje qui vont traverser la couche des grains et gagner la SB afin d établir des relais aux niveaux de noyaux gris. d) Cortex cérébral Les 2 hémisphères du cerveau sont faits de circonvolutions de substance grise (cortex) et d une masse centrale de substance blanche où cheminent les fibres axonales efférentes et afférentes au cortex. Chez les êtres inférieurs, le cortex cérébral est constitué de 3 couches cellulaires dont la fonction principale est l odorat, alors que chez les mammifères, le cortex est à 6 couches (néo cortex). Chez l homme, 90% du cortex cérébral est à 6 couches (aires motrices, sensitives, associatives). Il persiste un cortex à 3 couches au niveau du cortex olfactif et du système limbique lobe temporal qui représente 10% du cortex cérébral. 18
19 Figure 14 : Cellule pyramidale Figure 15 : Cellule granulaire 19
20 D un point de vue architectural, le néo cortex comporte 5 types de neurones différents (dont 2 principaux) qui vont s agencer en 6 couches. Ces couches n ont pas de démarcation nette de l une à l autre ; il s agit de différences portant sur l aspect, la taille, la densité des neurones et de variations d une région corticale à l autre, selon l épaisseur du cortex et sa fonction. *LES DIFFERENTS NEURONES DU CORTEX CEREBRAL Les cellules pyramidales (Figure 14) ont un corps cellulaire en forme de «pyramide» dont le sommet est orienté vers la surface du cortex. L axone part de la base et traverse la SB. Les cellules pyramidales ont de multiples dendrites : 1 dendrite épais qui se ramifie en surface et plusieurs petits dendrites, ramifiés latéralement. Les cellules pyramidales sont de taille variable ; les petites sont plutôt en surface alors que les grandes cellules pyramidales du cortex moteur «Cellules de Betz» sont en profondeur. Les cellules pyramidales ont comme médiateur le glutamate, qui est excitateur de l influx nerveux. Les cellules granulaires «grains» (Figure 15) sont des petites cellules étoilées, pourvues de dendrites multiples, courts et d un petit axone vertical. Ces cellules ont comme médiateur le GABA qui est inhibiteur de l excitabilité. 20
21 Figure 16 : Cellules de Martinotti Figure 17 : Cellules fusiformes Figure 18 : Cellules de Cajal 21
22 Trois autres types de neurones sont rencontrés dans le cortex cérébral : - les cellules de Martinotti (Figure 16) sont des petits neurones polygonaux avec des dendrites peu nombreux, courts et un axone fin qui se dirige vers la surface où il chemine horizontalement ; - les cellules fusiformes (Figure 17) ressemblent à un fuseau orienté perpendiculairement à la surface corticale ; les dendrites sont multiples, ramifiés latéralement et l axone, unique, remonte vers la surface ; - les cellules de Cajal (Figure 18) sont horizontales, fusiformes et orientées parallèlement à la surface corticale ; elles se trouvent dans la couche superficielle du cortex où leur axone fait synapse avec les cellules pyramidales. *LES DIFFERENTS COUCHES DU CORTEX CEREBRAL Les 5 types de neurones vont s agencer en 6 couches cellulaires (Figure 19). De dehors en dedans, on distingue : La Couche I ou «Couche Plexiforme» qui est faiblement cellulaire ; celle-ci renferme de rares corps cellulaires (cellules de Cajal), mais surtout les dendrites et les axones des neurones corticaux qui viennent y faire synapse ; La Couche II : «Couche Granulaire externe» renferme une dense population de cellules associant des neurones granulaires mais aussi des petites cellules pyramidales ; 22
23 Figure 19 : Différentes couches du cortex cérébral Figure 20 : Correspondance avec l histologie 23
24 Figure 21 : Détail de la couche V (Ganglionnaire) La Couche III : «Couche Pyramidale externe» est peuplée de cellules pyramidales taille moyenne ; La Couche IV : «Couche Granulaire interne» est très dense, faite de neurones granulaires tassés les uns contre les autres ; La Couche V : «Pyramidale interne» ou couche ganglionnaire renferme de grandes cellules pyramidales, mais aussi des petites cellules étoilées et des cellules de Martinotti ; La Couche VI: «Multiforme», renferme un mélange de cellules de petite taille (étoilées, pyramidales, Martinotti). 24
25 *PRINCIPES FONCTIONNELS DU CORTEX CEREBRAL Bien que les connections synaptiques revêtent à l étage cérébral un caractère extrêmement complexe, un certain nombre de principes peuvent être énoncés : Toutes les unités fonctionnelles sont à disposition verticale, comme l orientation générale des axones et des dendrites ; Les fibres afférentes vont faire synapse dans la partie superficielle du cortex ; Les fibres efférentes (axones des cellules pyramidales) vont gagner la substance blanche mais aussi se ramifier vers la superficie et établir des communications avec d autres neurones corticaux (granulaires). Au niveau cellulaire, les neurones exercent des activités fonctionnelles différentes selon les aires dans lesquelles elles se trouvent ; mais, de façon générale, les cellules pyramidales ont une fonction excitatrice alors que les cellules granulaires ont une fonction inhibitrice de l excitabilité. Ouvrages de Référence Histologie fonctionnelle. Traduction de la 4 ème édition anglaise : Wheather s Functional Histology. A Text and coloour Atlas, Fourth Edition by B. Young and JW Heath. Churchill Livingston. Harcourt Publishers Limited, Embryologie Humaine. 2 ème édition française. Ouvrage original : Human Embryology, Third Edition by WJ. Larsen. Churchill Livingstone, Reproduction et Développement : 3ème édition corrigée. C Humeau et F Arnal. Editions Sauramps Médical,
Fonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI
Fonction de conduction de la moelle épinière Dr F. TOUMI I. GENERALITES : Communication Moelle avec les centres supra spinaux Communication Intra segmentaire (ipsilatérale / controlatérale) Communication
Plus en détailNEUROPHYSIOLOGIE (2)
NEUROPHYSIOLOGIE (2) B - LE SYSTEME NERVEUX (SUITE) - NEURONES ET GLIOCYTES IV - LES NEURONES ET LES GLIOCYTES 1) OBJET DE LEUR ETUDE La NEUROPHYSIOLOGIE est l étude du fonctionnement du système nerveux.
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailLe sens du goût. Une infinité de saveurs.
Le sens du goût. Que serait le goût sans la vue, la mémoire, la senteur, le plaisir? Lorsqu on parle du goût, on ne pense pas toujours à l ensemble des sensations qui permettent d identifier ce que l on
Plus en détail1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :
La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailL ELECTRICITE : SON IMPLICATION DANS LE FONCTIONNEMENT DU CERVEAU ET DANS LES SOINS
LES RENDEZ-VOUS PRESSE DU NEURODON L ELECTRICITE : SON IMPLICATION DANS LE FONCTIONNEMENT DU CERVEAU ET DANS LES SOINS Dossier réalisé avec l aide des : Professeur Yehezkel BEN ARI Directeur de l INMED
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailExamen neurologique de l enfant
Examen neurologique de l enfant 2 SYSTÈMES ANATOMIQUEMENT DISTINCTS différents dans la chronologie de leur maturation Système SOUS CORTICOSPINAL Issu du Tronc cérébral Archaïque Maintient de la posture
Plus en détailL univers vivant De la cellule à l être humain
L univers vivant De la cellule à l être humain La cellule humaine Voir : http://www.biologieenflash.net/sommaire.html Voir : http://fr.wikipedia.org/ La cellule humaine Unité de base de tous les êtres
Plus en détailNeurologiques gq Centrales EMPR LE NORMANDY GRANVILLE
La Marche dans les Affections Neurologiques gq Centrales S Injeyan JL Isambert Y Bebin S Le Doze M Cano P Fages W Loisel La Marche Fonction complexe Organisée hiérarchiquement au niveau spinal Contrôlée
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailChapitre 9 TONUS ET MOTRICITE
1 ère partie : Neuroanatomie fonctionnelle Chapitre 9 TONUS ET MOTRICITE La physiologie du mouvement comprend la motricité, les réflexes et le tonus musculaire. Les mécanismes qui contrôlent le mouvement
Plus en détailMicroscopie Multiphotonique
Microscopie Multiphotonique Philippe Guillaud 2014 Université Pierre et Marie Curie Paris 6 Principaux problèmes rencontrés en microscopie confocale La dégradation rapide des échantillons biologiques et
Plus en détailLe système nerveux entérique ou deuxième cerveau - LE VENTRE -
1 Le système nerveux entérique ou deuxième cerveau - LE VENTRE - Par Isabelle Simonetto, Dr en Neurosciences Introduction Le yoga considère depuis toujours le ventre, et plus particulièrement l estomac
Plus en détailBulletin. Le mot du président Quel avenir pour les interférons et le Copaxone?
Bulletin Numéro 34 I Novembre 2013 Vaincre la Sclérose en Plaques par la recherche Le mot du président Quel avenir pour les interférons et le Copaxone? Depuis 1992, les interférons (IFNs) et le Copaxone
Plus en détailhttp://www.neur-one.fr/ Cerveau & Psycho - N 28
1 Cerveau & Psycho - N 28 Les souvenirs sont gravés dans la mémoire sous forme de combinaisons particulières de modifications de synapses, les jonctions entre neurones. Ces modifications doivent être consolidées,
Plus en détailC EST QUOI LE STRESS?
C EST QUOI LE STRESS? Une réaction d adaptation «Le stress est la réponse non spécifique de l organisme à toute demande d adaptation qui lui est faite». Hans Selye Une réaction d adaptation Par exemple,
Plus en détailLa langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale,
LES «ANNEXES» DE LA CAVITE ORALE La Langue La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale, occupe l espace dans cette cavité orale, dans la concavité de l arche mandibulaire,
Plus en détailAllégez la charge! Dossier d enseignement: Soulever et porter des charges Exercices de consolidation niveau 2
Allégez la charge! Dossier d enseignement: Soulever et porter des charges Exercices de consolidation niveau 2 Objectif Les apprenants soulèvent et portent des charges correctement. Public-cible - Des apprenants
Plus en détailTest d immunofluorescence (IF)
Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit
Plus en détailChapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire
UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailMicroscopie Confocale. Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire
Université Paris Descartes L3 - Licence Professionnelle «Industries chimiques et Pharmaceutiques Option Biotechnologie» Microscopie Confocale Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire Bruno
Plus en détailComprendre la mort cérébrale
Comprendre la mort cérébrale Imprimeur de la Reine pour l Ontario, 2010. Adaptation et reproduction autorisées. 1 Comprendre la mort cérébrale Il est difficile d imaginer une expérience plus douloureuse
Plus en détailDIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h
ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme
Plus en détailLE DIAGNOSTIC. Diagnostic clinique
LE DIAGNOSTIC Diagnostic clinique Jusqu'il y a peu de temps, le diagnostic de SEP fut posé uniquement sur les signes cliniques et dans la plupart des cas il ne pouvait être donné avec certitude avant plusieurs
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailManuel d hygiène bucco-dentaire Destiné à la formation de prophylaxistes
Manuel d hygiène bucco-dentaire Destiné à la formation de prophylaxistes élaboré pour le SDI par Graziella Secci hygiéniste dentaire g_secci@bluewin.ch SDI 2006 / 2007; Ed. n 1 La cavité buccale - Anatomie
Plus en détailInformation génétique
chapitre 3 Information génétique et division cellulaire L étude de la division cellulaire est abordée pour découvrir comment est transmise et conservée l information génétique portée par les chromosomes.
Plus en détailLes Applications industrielles et commerciales des cellules souches. Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises
Les Applications industrielles et commerciales s cellules souches Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises Matthieu COUTET, Responsable du Pôle Jean-François RAX, Business Analyst 1 Plan Cellules souches
Plus en détailULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne
ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une
Plus en détailTables. Tables individuelles réglables en hauteur manuellement
Table réglable en hauteur Ropox Ergobasic, largueur 90 cm, inclinable Cette table économique réglable en hauteur est basée sur la table thérapeutique ROPOX ST, depuis des années une image fidèle dans les
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailLe patient ouvre les yeux et regarde dans. Les yeux ouverts, mais l esprit absent. Médecine
NEUROBIOLOGIE «Il faut parler à une personne dans le coma» entend-on souvent dans les films.tout dépend de ce qu on appelle coma. Entre l état végétatif, où le patient peut encore remuer, sourire ou sursauter
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailActivités oscillatoires haute fréquence et fonctions exécutives chez l Homme
École doctorale Neurosciences et Cognition Université Claude Bernard Lyon I Activités oscillatoires haute fréquence et fonctions exécutives chez l Homme THÈSE présentée et soutenue publiquement le 24 Octobre
Plus en détailLe logiciel EduAnatomist.
Le logiciel EduAnatomist. Les travaux de l équipe ACCES (Actualisation Continue des Connaissances des Enseignants en Sciences) de l INRP restent, hélas, largement méconnus des enseignants de SVT. Pourtant,
Plus en détailLE LARYNX VUE ANTERIEURE DU LARYNX : Décembre 2007 Sources Étudiantes. Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes
LE LARYNX Le larynx est un conduit aérien qui joue un rôle essentiel dans la phonation mais aussi dans la respiration. Suite au larynx, se trouve la glotte, une zone rétrécie qui délimite les voies aériennes
Plus en détailDéfinition. Spasticité. physiopathologie. Le réflexe d étirement. Spastikos : étirer
Définition Spasticité Physiopathologie et aspects cliniques Docteur Jacques Luauté Service de Rééducation Neurologique Professeur Dominique Boisson Hôpital Henry Gabrielle Spastikos : étirer «la spasticité
Plus en détailPour un principe matérialiste fort. Jean-Paul Baquiast
Pour un principe matérialiste fort Jean-Paul Baquiast Plan détaillé :. Pour un matérialisme fort Le retour en force du dogmatisme religieux Nécessité d un renouvellement du matérialisme Que sont les nouvelles
Plus en détailLa maladie de Huntington, une maladie du cerveau
Actualités à propos de la recherche sur la maladie de Huntington. Expliqué simplement. Écrit par des scientifiques. Pour la communauté mondiale HD. La greffe de moelle osseuse dans la maladie de Huntington
Plus en détailATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION
ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus
Plus en détailLA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE
Biologie LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Février 2006 I. L'INTRODUCTION Chaque cellule d'un organisme supérieur provient de la multiplication d'une cellule préexistante (cellule
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailDéficit moteur et/ou sensitif des membres
1 Item 301 Déficit moteur et/ou sensitif des membres I. UN TROUBLE DE LA MOTILITÉ PEUT AVOIR DE NOMBREUSES CAUSES NON NEUROLOGIQUES II. L ORIENTATION DIAGNOSTIQUE, FACE À UN DÉFICIT MOTEUR OU SENSITIF
Plus en détailLes mécanismes de la récupération neurologique. PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007
Les mécanismes de la récupération neurologique PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007 Introduction Plasticité cérébrale / Récupération après lésion cérébrale Récupération spontanée
Plus en détailLe tremblement orthostatique primaire TOP
Le tremblement orthostatique primaire TOP La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée
Plus en détailSTRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES
Plan de cours STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES 101-FYA-PT Pondération 3-1-2 Gilles Bourbonnais (C360) gilles.bourbonnais@dgpc.ulaval.ca Sciences de la Nature / PASC@L http://ici.cegep-ste-foy.qc.ca/profs/gbourbonnais/
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire
Plus en détail& BONNES POSTURES TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES. Le guide. Guide offert par la MNT
A5-MNTrefonte.indd 1 28/07/2011 08:28:01 & BONNES S TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES Le guide Guide offert par la MNT A5-MNTrefonte.indd 2 28/07/2011 08:28:02 SOULEVER UN OBJET LOURD OU UNE PERSONNE
Plus en détailTUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013
TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline
Plus en détail2015-2016. Médecine Pharmacie Dentaire Sage-femme ANNÉE UNIVERSIT AIRE
Médecine Pharmacie Dentaire Sage-femme ANNÉE UNIVERSIT AIRE 2015-2016 SudMédical Montpellier-Nîmes Établissement d Enseignement Supérieur Privé Espace Saint-Charles - 300, rue Auguste Broussonnet - 34090
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailUn laboratoire d auto-immunité paperless : mythe ou réalité? L.Lutteri Laboratoire d auto-immunité Service de Chimie Clinique CHU Liège
Un laboratoire d auto-immunité paperless : mythe ou réalité? L.Lutteri Laboratoire d auto-immunité Service de Chimie Clinique CHU Liège Immunofluorescence Dépistage Aspect Titre Cellules Hep 2: Connectivites
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailAthénée Royal d Evere
Athénée Royal d Evere Prévention des hernies discales en milieu scolaire et dans la vie de tous les jours Présenté par Didier Vanlancker LEVAGE DE CHARGES POSITION INITIALE Levage de charges Jambes légèrement
Plus en détailMoyens d étude de la peau
Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de
Plus en détailReprise de la marche chez le blessé médullaire Etat actuel, nouvelles perspectives
Reprise de la marche chez le blessé médullaire Etat actuel, nouvelles perspectives Professeur Bernard BUSSEL Service de Rééducation Neurologique, Hôpital Raymond Poincaré 92380 GARCHES Tel. 01 47 10 70
Plus en détailFORMATION : POSTURE COACH, LES METIERS D ACCOMPAGNEMENT
FORMATION : POSTURE COACH, LES METIERS D ACCOMPAGNEMENT Que vous soyez parent, enseignant, formateur, pédagogue, coach, manager Que votre activité professionnelle ou simplement la quête de vous-même vous
Plus en détailManuel de l ergonomie au bureau
Manuel de l ergonomie au bureau 1 Manuel préparé par le Service environnement, santé et sécurité de l Université Concordia. Pour tout complément d information sur l ergonomie, les étirements et les autres
Plus en détailThérapies par cellules souches dans la SEP
Thérapies par cellules souches dans la SEP Rédigé en partenariat avec Sommaire Introduction 3 Qu est-ce que la SEP? 4 Que sont les cellules souches? 5 Qu est-ce qu une thérapie par cellules souches? 6
Plus en détailArticulations du coude et de l avant-bras
Articulations du coude et de l avant-bras 1 Articulation du coude 1.1 Définition Le coude est l articulation intermédiaire du membre supérieur. Elle comprend trois articulations distinctes entre l humérus,
Plus en détailCytokines & Chimiokines
Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur
Plus en détailLe cliché thoracique
Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2
Plus en détailLes Animaux habitent presque toutes les parties de la biosphère. La structure et la fonction chez les Animaux : principes fondamentaux.
40 La structure et la fonction chez les Animaux : principes fondamentaux Concepts clés- 40.1 Les lois de la physique et le milieu régissent la taille et la forme des Animaux 40.2 Il y a une corrélation
Plus en détaildos La qualité au service de votre santé Avenue Vinet 30 1004 Lausanne - Suisse p r e n d r e s o i n d e s o n
dos p r e n d r e s o i n d e s o n Avenue Vinet 30 1004 Lausanne - Suisse La qualité au service de votre santé Cette information, éditée par l Institut de physiothérapie de la Clinique de La Source, vous
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailLes tumeurs du cerveau
Juin 2010 Les tumeurs du cerveau collection GUIDEs de référence le CERVEAU LES TUMEURS DU CERVEAU LE DIAGNOSTIC LES TRAITEMENTS LA RECHERCHE LA VIE QUOTIDIENNE www.e-cancer.fr L Institut national du cancer
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailFLUORESCENCE ET TESTS FONCTIONNELS Association Française aise de Cytométrie. 18 janvier 2007
FLUORESCENCE ET TESTS FONCTIONNELS Association Française aise de Cytométrie trie Journée e Thématique 18 janvier 2007 Cécile COTTET Laboratoire de Bioénerg nergétique Fondamentale et Appliquée e - Inserm
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailBIOPSIE de MOELLE OSSEUSE
BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par
Plus en détailGènes du développement et structuration de l organisme
03-Gènes du développement_00/maquette imports 19/01/10 10:45 Page99 Revue des Questions scientifiques, 2010, 181 (1) : 99-110 Gènes du développement et structuration de l organisme René Rezsohazy Unité
Plus en détailFONCTION DU POUCE. Pr Gilbert VERSIER Service de chirurgie orthopédique HIA Begin 94160 ST-MANDE
FONCTION DU POUCE Pr Gilbert VERSIER Service de chirurgie orthopédique HIA Begin 94160 ST-MANDE L iconographie est notamment issue des ouvrages de Mr Netter et Kapandji. LA COLONNE DU POUCE Constituée
Plus en détailH) ATTEINTE NEUROLOGIQUE PERIPHERIQUE NEUROPATHIES ET MYOPATHIES
H) ATTEINTE NEUROLOGIQUE PERIPHERIQUE NEUROPATHIES ET MYOPATHIES Auteur : Prof. Annoni, aidé par le cours de C Bader Table des Matières 1. Objectifs du cours... 3 2. Quelques definitions :... 3 3. Physiopathologie
Plus en détailLa perception des couleurs par l'œil
Travaux Personnels Encadrés Thème: Images La perception des couleurs par l'œil Haïba Lekhal Per Einar Ellefsen 1 ère S 3 2001-2002 Lycée Français Jean Monnet La perception des couleurs par l'oeil par Haïba
Plus en détailLe fonctionnement de l'organisme
Seconde partie Le fonctionnement de l'organisme 1 Le système cardio-pulmonaire...2 1.1 Anatomie et fonctionnement du coeur...2 1.2 La distribution du sang aux organes...4 2 Communication et intégration
Plus en détailLa prévention c est pour la vie! LES MAUX DE DOS. La colonne vertébrale : un assemblage bien pensé
D O S S I E R S P É C I A L LES MAUX DE DOS La colonne vertébrale : un assemblage bien pensé La source du mal Éviter les maux de dos Écouter son corps Quand la douleur demeure : les maux de dos chroniques
Plus en détailAllégations relatives à la teneur nutritive
Allégations relatives à la teneur nutritive Mots utilisés dans les allégations relatives à la teneur nutritive Ce que le mot signifie Exemples Sans Faible Réduit Source de Léger Une quantité insignifiante
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailMonitoring et suivi du comportement des chaussées
Monitoring et suivi du comportement des chaussées Pierre Hornych Juliette Blanc IFSTTAR - LAMES 1/xx MONITORING ET SUIVI DU COMPORTEMENT DES CHAUSSÉES DÉVELOPPEMENTS RÉCENTS ET PERSPECTIVES Introduction
Plus en détailLes escaliers nécessitent quelques particularités pour assurer la sécurité de tous.
SUJETS DE LA FICHE-CONSEILS 1. Marches et contremarches 2. Mains-courantes 3. Dégagement sous une volée d escaliers 4. Surfaces repères et sécurité fonctionnelle Les escaliers nécessitent quelques particularités
Plus en détailVersion 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s)
Département Enveloppe et Revêtements Division HygroThermique des Ouvrages N affaire : 12-007 Le 10 avril 2012 Réf. DER/HTO 2012-093-BB/LS CALCUL DES COEFFICIENTS DE TRANSMISSION SURFACIQUE UP ET DES COEFFICIENTS
Plus en détailComment expliquer ce qu est la NANOTECHNOLOGIE
Comment expliquer ce qu est la NANOTECHNOLOGIE Vous vous souvenez que tout est constitué d atomes, non? Une pierre, un stylo, un jeu vidéo, une télévision, un chien et vous également; tout est fait d atomes.
Plus en détailFonctions non ventilatoires
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 11 : Fonctions non ventilatoires Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailAGORA 2014 Appel à idées Habiter les toits à Bordeaux Et pour compléter
AGORA 2014 Appel à idées Habiter les toits à Bordeaux Et pour compléter 1 SOMMAIRE Vues générales des toits 3 Type de charpentes, de la plus simple à la plus sophistiquée quelques coupes transversales
Plus en détailMaintien. Maintien et Immobilisation
Maintien Maintien et Immobilisation Sangles de maintien pour fauteuil et lit Le système d attache rapide permet une fixation sûre et permanente des ceintures ARPEGIA. Dans tous les cas, une boucle unique
Plus en détailL AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS
L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace
Plus en détailL apprentissage automatique
L apprentissage automatique L apprentissage automatique L'apprentissage automatique fait référence au développement, à l analyse et à l implémentation de méthodes qui permettent à une machine d évoluer
Plus en détailLa fonction respiratoire
La fonction respiratoire Introduction Fonction vitale : Au-delà de 3 min = atteintes graves Après 5 min = très altérés On parle de 3 phénomènes : Ventilation : respiration visible, échanges aériens intérieur
Plus en détailFonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation
DIALOGUE ESPRIT / CERVEAU : CIRCULARITE CRP -OU Santé ANTAGONISME? Fonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation Charles Pull Directeur du «Laboratoire
Plus en détail