Mémoire du DIU de Pédagogie Médicale. Année Richard Lévy
|
|
- Francine Lafleur
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 1 Mémoire du DIU de Pédagogie Médicale Année Richard Lévy Le Centre d Anatomie Cognitive : un outil pour l enseignement des bases neurales de la neuropsychologie et troubles du comportement
2 2 Résumé Le diagnostic topographique reste indispensable au raisonnement diagnostique en neurologie. Pourtant, celui-ci est d assimilation difficile, en particulier pour la neuropsychologie et les troubles du comportements, autant chez les étudiants en 2 ème cycle que ceux en 3 ème cycle des études médicales. Ainsi le but de ce mémoire est de proposer un enseignement du raisonnement topographique en neuropsychologie afin de mieux identifier les troubles cognitifs et du comportement, pouvoir les relier à un dysfonctionnement de circuits neuraux ou de structures cérébrales identifiables. Les objectifs secondaires sont d améliorer la qualité du diagnostic en neurologie, favoriser la prise en charge des troubles cognitifs et du comportement, intégrer les neurosciences en pratique clinique et répondre à une demande d enseignement dans un domaine perçu comme essentiel. Pour cela, nous avons élaboré puis utilisé un «outil», le Centre d Anatomie Cognitif (CAC), dont le but est de créer une banque de données concernant les patients présentant une lésion focales du cerveau et altérant les fonctions intellectuelles et le comportement. L obtention de données approfondies tant cliniques que neuropsychologiques ou d imagerie cérébrale, font du CAC un outil exploitable pour l enseignement de la neuropsychologie à partir de l exemple que représente chaque caspatient bien étudié. Le principe de l enseignement repose sur deux temps: 1) une présentation sous la forme d un cas clinique d un dossier de patient. Ce cas est l objet d une analyse interactive entre les étudiants et les enseignants, de la sémiologie puis de la localisation de la lésion ; 2) l observation présentée ouvre sur un ensemble de connaissances et de règles généralisables qui sont ensuite présentées sous une forme plus académique par l enseignant. Nous avons appliqué les principes de cet enseignement à la formation des étudiants en 3 ème cycle et aux professionnels en formation post-universitaire et, nous proposons dans ce mémoire d étendre l expérience aux étudiants en 2 ème cycle pour certains thèmes appartenant au programme de la validation finale du 2 ème cycle.
3 3
4 4 Sommaire Introduction p.3 Objectifs p.6 Le C.A.C : banque de données de corrélation clinico-radiologique p.6 Organisation pratique du CAC p.8 Le CAC : outil pour l enseignement pour la neurologie et les neurosciences p Enseignement du 3 ème cycle des études médicales, formation médicales postuniversitaire et 3 ème cycle de biologie (Master de Neurosciences) p A. Modalités d enseignement p B. Conduite pratique de l enseignement p.13 Préparation de la session p.13 Première partie de la session : la présentation du dossier p.13 Deuxième partie : intégration du dossier à la connaissance neuropsychologique p C. Exemple : un patient aphasique p Enseignement du 2 ème cycle des études médicales p.21 2.A. Pourquoi un enseignement fondé sur le CAC? p.21 2.B. Proposition d enseignement p.22 Discussion p.23 Références p.26
5 5 Introduction La proportion du volume cérébral dévolue à la cognition et à l élaboration des comportements dépasse de loin celle attribuée aux autres fonctions cérébrales. De fait, la plupart des affections neurologiques touchant le système nerveux central entraîne une altération de l intellect et des troubles comportementaux. Compte tenu de l impact des troubles des fonctions supérieures sur l adaptation sociale, une meilleure prise en charge de ceux-ci devrait représenter en enjeu majeur de santé publique. Cette prise en compte passe dans un premier temps par leur diagnostic, dépendant de notre capacité à détecter et à analyser correctement les désordres intellectuelles et à les relier à un désordre structurel clairement déterminé. Cette approche «structure-fonction» (ou de corrélation clinico-anatomique) est à la base du raisonnement diagnostique en neurologie, car il s agit de former à ce stade un diagnostic topographique permettant ensuite de formuler un diagnostic étiologique. Par exemple, il parait déterminant de différencier rapidement une aphasie de Wernicke d une confusion mentale ou un trouble visuel secondaire à une atteinte du nerf optique des conséquences d une lésion dans le cortex visuels associatif. Or, il apparaît que les personnels médicaux, y compris ceux qui travail dans un domaine médical les confrontant régulièrement aux dysfonctionnements du cerveau (neurologues, psychiatres, gérontologues, médecins généralistes...) connaissent très mal les fonctions supérieures, leurs bases neurales et la neuropsychologie. Par exemple, en France le diagnostic de maladie d Alzheimer n est porté qu une fois sur deux et le plus souvent à unstade de démence sévère (MMS < 15) (Girard et Canestri, 2000), ce qui est dommageable dès à présent et encore plus dans l avenir car les thérapeutiques en cours de développement devront être prescrite au stade précoce de l affection. Pourtant, malgré les patients atteints de cette affection, seuls quelques rares experts sont capables de porter le diagnostic de maladie d Alzheimer à un stade précoce. Dans le même ordre d idée, d une part la prise en charge rééducative des déficits cognitifs secondaires aux lésions séquellaires
6 6 cérébrales (AVC, traumatismes crâniens) et d autre part, l évaluation de la nature et de l intensité du handicap cognitif par les instances médico-socio-économiques (COTOREP...) sont largement minorés. Cependant, ces déficits (négligence visuo-spatiale, syndrome frontal ou syndrome amnésique) altèrent l autonomie de façon aussi voir plus importante que les troubles sensoriels ou moteurs. Le déficit de connaissance dans le domaine de la neuropsychologie pourrait provenir en grande partie d un défaut d enseignement. En effet, si l enseignement du diagnostic topographique en neurologie reste au centre du raisonnement diagnostique, un simple parcours des «textbooks» de neurologie montre la disproportion existant entre l hypertrophie des relations structure-fonction pour la motricité et de la sensibilité contrastant avec les faibles développement de la neuropsychologie. Plusieurs facteurs pourraient expliquer cela : 1) les bases neurales des fonctions supérieures sont loin d être totalement élucidées ; 2) l approche classique de la neuropsychologie vient renforcer la perception du caractère «ésotérique» de la neurologie, déjà appréhendée comme une discipline difficile ; 3) Enfin, et probablement le facteur le plus important, est la relative désaffection par les neurologues français de l enseignement des fonctions supérieures et de la neuropsychologie. Ainsi, un externe ou un interne passant dans un service de neurologie de la région parisienne a peu de chance d être correctement formé à cette sous-discipline. Pourtant, les connaissances dans le domaine des cognitions, du fait des progrès en neurosciences, principalement par la neuro-imagerie fonctionnelle, les travaux expérimentaux en electrophysiologie (homme-animal) et par l amélioration spectaculaire de la sémiologie neuropsychologique et de la résolution des techniques d imagerie anatomique facilitant la confrontation clinico-radiologique doivent être transférées dans le champs de l enseignement de la neurologie autant au stade du 3 ème cycle des études médicales (neurologie, psychiatrie, gérontologie), de la formation post-universitaires, de la formation des équipes paramédicales
7 7 (orthophonistes, neuropsychologues, psychologues, ergothérapeutes), de la formation des neuroscientifiques (Master I et II) et de l enseignement du 2 ème cycle des études médicales. Concernant, l enseignement du 2 ème cycle des études médicales, cela est d autant plus justifié que des connaissances élémentaires de la neuropsychologie et des bases neurales des fonctions cognitives font partie de façon explicite ou implicite des critères d acquisition de fin de 2 ème cycle médical. En voici quelques exemples : (BO n 31 du 30 août 2001 : Objectifs pédagogiques terminaux pour les items de la 2ème partie du 2ème cycle des études médicales») module 4 : «Handicap, incapacité et dépendance ; objectifs généraux et aussi objectifs terminaux» ; n 49 : évaluation du handicap moteur, cognitif et sensoriel et n 53 : «Principales techniques de rééducation et de réadaptation. Savoir prescrire la massokinésithérapie et l'orthophonie». ; Module 9 : «Athérosclérose - hypertension thrombose» : n 133 : «Accidents vasculaires cérébraux». Module 11 : «Synthèse clinique et thérapeutique - de la plainte du patient à la décision thérapeutique urgences» : n 192 «Déficit neurologique récent» ; n 337 : «Trouble aiguë de la parole. Dysphonie».
8 8 Objectifs Le but de ce mémoire est de proposer un projet d enseignement du raisonnement topographique en neuropsychologie afin de répondre aux objectifs primaires suivants : mieux identifier les troubles cognitifs et du comportement, pouvoir les relier à un dysfonctionnement de circuits neuraux ou de structures cérébrales identifiables. Les objectifs secondaires sont d améliorer la qualité du diagnostic en neurologie, favoriser la prise en charge des troubles cognitifs et du comportement, intégrer les neurosciences en pratique clinique et répondre à une demande d enseignement dans un domaine perçu comme essentiel mais pourtant délaissé. Afin de mettre en place ce projet, nous avons élaboré puis utilisé un «outil», le Centre d Anatomie Cognitif (CAC) à l hôpital de la Salpêtrière, dont le but est de créer une banque de données (locale, puis nationale et européenne) concernant les patients présentant une lésion focales du cerveau et altérant les fonctions intellectuelles et le comportement. Les objectifs généraux sont triples : 1) l amélioration du service rendu clinique pour la neuropsychologie ; 2) la recherche et 3) l enseignement universitaire et post-universitaire. Dans ce mémoire, nous décrirons le projet C.A.C. puis ses applications actuelles et potentielles en terme d enseignement de la neuropsychologie. Le C.A.C : banque de données de corrélation clinico-radiologique Le projet de banque de données centré sur la corrélation clinico-radiologique repose sur les constatations suivantes : 1) l imagerie fonctionnelle cérébrale a permis d enrichir considérablement notre connaissance en cognition mais demeure insuffisante pour rendre compte des bases neurales de la cognition. En effet, elle décrit le réseau cérébral participant à une tâche ou une fonction mais ne permet pas d indiquer au sein de ce réseau les régions indispensables de celles qui sont accessoires. La corrélation anatomo-clinique permet, en revanche, de répondre à cette interrogation en montrant qu à une lésion focale bien définie
9 9 peut correspondre un déficit durable ou, au contraire pas de déficit ou un léger trouble rapidement compensé. Dans le premier cas, la région est indispensable à la fonction au sein du réseau détecté en imagerie fonctionnelle. Dans le second cas, la région n appartient pas au réseau ou son absence peut être compensé par d autres régions cérébrales : elle n est donc pas indispensable ; 2) L approche de corrélation anatomo-clinique a longtemps été basée sur la relation a posteriori entre une lésion cérébrale, dont le siège est prouvé de façon post-mortem (les exemples les plus fameux sont celles des patients décrits par Broca, Wernicke ou Déjerine) et un déficit observé chez un ou plusieurs patients. Or, les progrès réalisés au cours des dernières années permettent in vivo d envisager des corrélations «structure-fonction» d une grande précision. En effet, l imagerie du cerveau permet aujourd hui d améliorer la résolution anatomique des lésions cérébrales ; En outre, l imagerie anatomique tire partie de l imagerie fonctionnelle qui a permis de mettre au point des espaces anatomiques normalisés (par exemple, cerveaux normalisés dans le référentiel de Talaraich et Tournoux, 1988) et des modèles statistiques (telle que les cartes F sous SPM ; Friston et al., 1995), applicables dès à présent à l approche de corrélation anatomo-clinique. Cela permet, par exemple, d appliquer des méthodes telles que la voxel-based lesion-symptom mapping (VLSM), de superposer sur un cerveau normalisé les lésions de plusieurs sujets et de montrer quels voxels (voxel = unité élémentaire de volume) contribuent le plus à un déficit cognitif donné (pour revue Rorden et Karnath, 2004). De plus, grâce aux progrès de la neuropsychologie nous avons à notre disposition des outils efficaces d évaluation des fonctions supérieures ; Ainsi, l ensemble de ces progrès permet de nos jours de «re-visiter» l approche de corrélation anatomo-clinique ; 3) La corrélation «structure-fonction» regroupée dans une analyse synthétique est supérieure à la simple somme des deux disciplines (neuropsychologie et imagerie) et crée donc pour le clinicien une valeur ajoutée pour comprendre la relation entre la lésion et les troubles cliniques observés ; 4) la création d une base de données en cognition, projet inédit en Europe
10 10 (à notre connaissance un seul projet de ce type existe dans le monde, aux Etats-Unis) «redynamise» la recherche en neuropsychologie, qui doit rester centrale dans l approche médicale des fonctions supérieures : en effet, colliger de façon standardisée des données cliniques, radiologiques et neuropsychologiques et les mettre en relation à travers un moteur de recherche à critères multiples fournit à la communauté un outil exceptionnel pour la recherche et l enseignement. Au total, le projet C.A.C a pour but de répondre à trois objectifs en parallèle : 1) amélioration du service clinique pour un patient donné ; 2) développement d un outil (banque de données) mise à la disposition de la communauté scientifique et, 3) création de données et de connaissances utilisables pour l enseignement. Organisation pratique du CAC Le principal critère d inclusion dans le CAC est l existence d une lésion vasculaire (ischémique ou hémorragique) uni ou bilatérale après la phase aiguë (> 6 mois). Pour chaque patient adressé au CAC, le programme suivant est mis en route : une hospitalisation de un à trois jours pour : examen clinique évaluation neuropsychologique, du langage et du comportement, IRM anatomique dans les trois plans de l espace et éventuellement imagerie métabolique (SPECT), avis d un rééducateur en médecine fonctionnelle. L ensemble des examens est effectué selon la même procédure pour tous les patients (évaluations utilisant les mêmes tests et échelles et IRM 3D selon des paramètres pré-établis). Toutefois, selon la symptomatologie, des tests ou échelles supplémentaires et ciblés sont utilisés. Les données obtenues vont alors être retravaillées : 1) une synthèse neuropsychologique est faite et 2) la lésion est reconstruite dans les trois plans de l espace et localisée précisément. La reconstruction en 3D de l encéphale et de la lésion se fait grâce au logiciel de traitement d images Volume analysis, GE. La définition de la localisation anatomique se fait à partir de
11 11 ces représentations 3D, selon trois référentiels anatomiques possibles : l anatomie sulcogyrale en utilisant la nomenclature de la Neuronames Brain Hierarchy ; les aires cytoarchitectoniques de Brodmann ; et les coordonnées x, y, z dans le référentiel de Talairach et Tournoux (1988). On ajoute à la description anatomique le calcul du volume de l encéphale et de celui du volume de la lésion. A partir des informations cognitives et anatomiques est réalisée une synthèse anatomo-fonctionnelle par un expert pour chaque patient. Ainsi, une fois acquise, l ensemble des données amène a rédiger un compte rendu de corrélation anatomoclinique (Figure 1), qui à la différence des classiques compte rendus de neuropsychologie, associe imagerie, clinique, neuropsychologie et éventuellement l avis d un rééducateur pour aboutir en fin de document à une synthèse anatomo-clinique incluant ces différents paramètres. Le compte rendu est adressé au(x) médecin(s) traitant(s). Ce travail répond à l objectif de service rendu au patient.
12 12 Figure 1. Exemple d un compte rendu adressé au neurologue traitant. page 1 page 4 page 2 page 5 page 3
13 13 Les données pour chaque patient sont alors anonymisées et introduites dans la banque de données selon un protocole standardisée. La banque de donnée est interrogeable à partir d un thésaurus basé sur une dénomination standardisé. N importe quel croisement de données est réalisable. Par exemple, il est possible de formuler la requête suivante : «je souhaiterai obtenir la liste des patients droitiers, dont l age se situe entre 40 et 75 ans, présentant une fluence verbale inférieure à 5 et une lésion cérébrale touchant l aire de Broca et épargnant l aire 46 de Brodmann gauche». Ce type de requête peut être formulé par un chercheur ayant accès à la base de données (c est à dire dans le cadre d un protocole de recherche avec promotion et avis favorable d un CCPPRB). Des projets basés sur la banque de données sont déjà publiés (par exemple, Batrancourt et al., 2002a; 2002b ; Volle et al., 2002 ; Thibaut et al., 2005). La constitution d une banque de données fait aussi l objet de demandes de financement pour regroupement de plusieurs centres à l échelle nationale (projet RENADOC) et à l échelle européenne. Enfin le projet CAC est déjà utilisé pour l enseignement et des extensions dans le domaine de l enseignement sont envisagées. La partie «enseignement» est l objet des chapitres suivants. Le CAC : outil pour l enseignement pour la neurologie et les neurosciences L obtention de données approfondies tant cliniques que neuropsychologiques ou d imagerie cérébrale, font du CAC un outil exploitable pour l enseignement de la neuropsychologie à partir de l exemple que représente chaque cas-patient bien étudié. Afin de répondre aux objectifs de l enseignement (voir la section «objectifs»), le principe de l enseignement, quel que soit le niveau des étudiants, repose sur une méthode à deux temps: 1) une présentation sous la forme d un cas clinique l un des dossiers de patients. Ce cas est l objet
14 14 d une analyse interactive entre les étudiants et les enseignants, de la sémiologie puis de la localisation de la lésion ; 2) l observation présentée ouvre sur un ensemble de connaissances et de règles généralisables qui sont ensuite présentées sous une forme plus académique et directive par les enseignants. 1. Enseignement du 3 ème cycle des études médicales, formation médicales postuniversitaire et 3 ème cycle de biologie (Master de Neurosciences) A ce jour, l enseignement de la neuropsychologie à l aide du CAC est déjà utilisé pour l enseignement du 3 ème cycle et la formation post-universitaire. Dans ce cadre, des sessions sont organisées dans le cadre de l enseignement combiné : DU de Neuropsychologie- Master 2 de Neurosciences (Université Paris VI). Ce cursus est, entre autre, suivi par de nombreux médecins en formation post-universitaire (gériatres, rééducateurs, psychiatres), par des DES en neurologie et en psychiatrie, par des psychologues et des orthophonistes. De plus, pendant trois ans ( ) une séance d enseignement du CAC a été organisée de façon hebdomadaire à la Fédération de Neurologie de l hôpital de la Pitié-Salpêtrière et elle était ouverte aux internes, CCA, «seniors», psychologues, neuropsychologues, orthophonistes. Elle a attiré régulièrement entre 30 et 50 personnes, y compris des professionnels extérieurs à l hôpital de la Salpêtrière. Le programme de cet enseignement recouvre l ensemble des troubles neuropsychologiques (les aphasies, les amnésies, le syndrome frontal et les troubles dysexécutifs, les négligences spatiales et l ensemble des troubles visuo-spatiaux, les agnosies aperceptives et associatives, les apraxies et les troubles de la programmation gestuelle, les troubles de l attention, de la motivation, des émotion et des affects...) ainsi que l ensemble des structures cérébrales qui les sous-tendent.
15 15 1. A. Modalités d enseignement Une session comporte plusieurs temps. Schématiquement la première partie est centrée sur la présentation d un des cas-patients de la banque de données du CAC aboutissant par raisonnement mené de façon interactive à proposer un diagnostic qui est ensuite dévoilé. La seconde partie est consacrée à un exposé fait par l enseignant ou l un des participants et portant sur une ou plusieurs des questions soulevées par le dossier présenté. 1.B. Conduite pratique de l enseignement Préparation de la session Dans l exemple des sessions hebdomadaires du CAC, qui ont lieu le mardi de 16h30 à 18h, le mardi matin, l équipe participant au CAC se réunit pour décider du dossier à présenter la semaine suivante, de vérifier que l ensemble des documents média sont disponibles (vidéo de l examen clinique, l évaluation neuropsychologique ainsi que les reconstructions 3D), de vérifier que la corrélation clinico-radiologique est source d enseignement, et de choisir le thème de l exposé qui suivra. La répartition des tâches (animation de la discussion du diagnostic et présentation de l exposé) est aussi définie. L équipe est composée de deux neurologues, d un neurologue/neuroradiologue, d un neuropsychologue et d un orthophoniste. Première partie de la session : la présentation du dossier Le matériel nécessaire est constitué d un vidéo-projecteur et d un tableau. Un enseignant anime la séance en suscitant la discussion et en s assurant que le «timing «de la première partie est bien respecté. La séance commence par la présentation succincte (sur une seule diapositive) de l histoire clinique telle qu elle a été prise à l admission (y
16 16 compris avec les principales données de l examen clinique). Cette présentation est suivie d une vidéo montée des moments les plus intéressant de l évaluation neuropsychologique et/ou de l examen clinique. A l issue de cette présentation, l animateur demande à l auditoire de faire une synthèse de la sémiologie. Celle-ci est progressivement notée au tableau et modifiée au fur à mesure des interventions de l auditoire. Le neuropsychologue ou l orthophoniste livre alors la conclusion de l examen neuropsychologique. La phase suivante est abordée par la question : «où est la lésion?». L animateur présente alors un cerveau standard vide de lésion et propose à l auditoire de localiser la lésion responsable des troubles. Les hypothèses topographiques sont apposées sur le cerveau «vierge». Une fois, toute les hypothèses représentées au tableau, la solution topographique est donnée par le neuroradiologue en présentant la lésion sous la forme de reconstructions 3-D permettant une analyse topographique précise en terme de gyri, sulcus et aires de Brodmann. Deuxième partie : intégration du dossier à la connaissance neuropsychologique Dans ce second temps, un exposé (30 à 45 minutes, suivi de 5 à 10 minutes de questions) est réalisé par l un des enseignants sur un ou plusieurs des thèmes abordés par la présentation du dossier. 1.C. Exemple : un patient aphasique Voici le déroulement de la session :
17 17 a) Présentation des données cliniques principales b) Présentation d une vidéo montrant l évaluation du langage et permettant de discuter de la sémiologie ; c) L animateur de la séance demande à l auditoire de donner les principaux éléments de la sémiologie de l aphasie. Il note au tableau les réponses données ; d) Le neuropsychologue fait la synthèse sur diapositives des données du bilan neuropsychologiques ;
18 18 e) L animateur pose la question du diagnostic syndromique («De quel type d aphasie s agit-il? Argumenter votre diagnostic») ;
19 19 L auditoire doit arriver à la conclusion qu il s agit d une aphasie de conduction. Que la réponse soit trouvée ou pas, cela conduit l animateur ou un autre enseignant à faire un bref exposé sur le syndrome en question. f) Un résumé de l ensemble du dossier clinique est alors proposé :
20 20 g) La question de la corrélation anatomo-clinique est alors posée : La discussion est aidée par une représentation au tableau d un cerveau vide sur lequel les étudiants doivent proposer une ou plusieurs localisation en fonction des données cliniques. Une fois les hypothèses formulées, la réponse est donnée sous la forme d une synthèse neuroradiologique ; h) La solution radiologique et mise en perspective avec la clinique : i)
21 21 i) Exposé par l enseignant : Dans le cas présent, l exposé porte sur deux axes : 1) les bases neurales de l aphasie de conduction et, 2) l organisation fonctionnelle du cortex pariétal (siège de la lésion). Voici quelques unes des diapositives de cet exposé : Explication lésionnelle de l aphasie de conduction :
22 22
23 23 Rappel sur l organisation anatomo-fonctionnelle du cortex pariétal 2. Enseignement du 2 ème cycle des études médicales 2.A. Pourquoi un enseignement fondé sur le CAC? Nous pensons que le CAC, dans un format modifié et répondant à un programme pédagogique adapté, peut être appliqué à l enseignement de la neurologie pour les étudiants de 2 ème cycle des études médicales. En effet : 1) Un certain nombre d objectifs de validation du 2 ème cycle font référence à la connaissance structure-fonction dans le cerveau ou nécessitent des connaissances dans ce domaine. Les thèmes dans lesquels le CAC peut être intégré sont : module 4 : «Handicap, incapacité et dépendance ; objectifs généraux et aussi objectifs terminaux» ; n 49 : Evaluation du handicap moteur, cognitif et sensoriel et n 53 : «Principales techniques de rééducation et de réadaptation. Savoir prescrire la masso-kinésithérapie et l'orthophonie». ; Module 9 : «Athérosclérose - hypertension thrombose» : n 133 : «Accidents vasculaires cérébraux». Module 11 : «Synthèse clinique et
24 24 thérapeutique - de la plainte du patient à la décision thérapeutique urgences» : n 192 «Déficit neurologique récent» ; n 337 : «Trouble aiguë de la parole. Dysphonie») ; En particulier, le CAC peut être utilisé dans les enseignements dirigés (E.D.) portant sur les démences (diagnostics positif et différentiel de la maladie d Alzheimer) et les accidents vasculaires cérébraux (diagnostic topographique des AVC) ; 2) Le diagnostic topographique reste central au raisonnement en neurologie. L enseignement du CAC repose pleinement sur ce principe ; 3) L enseignement dans le cadre du CAC s intègre dans l approche moderne de la pédagogie médicale reposant sur le raisonnement et l interactivité sans s affranchir des connaissances factuelles indispensables pour asseoir le raisonnement. 2.B. Proposition d enseignement Dans le cadre d E.D. destinés aux étudiants ayant reçu un enseignement de neuroanatomie (premier cycle) et un enseignement de sémiologie neurologique (au CHU de la Pitié-Salpétrière, ce module est validé durant le DCEM1), pourrait être abordé les objectifs décrit en «1)» au cours de quelques séances de CAC de 1 à 2 heures. Prenons l exemple d un ED portant sur les AVC : Deux patients du CAC présentant chacun un AVC avec une sémiologie classique sont présentés. Le premier cas pourrait être un patient avec une aphasie de Broca et une hémiparésie gauche à prédominance brachio-faciale. Le second, un patient présentant une cécité corticale (ces deux observations existent dans la banque de données du CAC). Les deux cas sont présentés séparément. Pour chacun des cas, des documents multimédias sont présentés (vidéo de la clinique et reconstruction 3D des lésions). Dans
25 25 un premier temps, il est demandé aux étudiants de reconnaître les syndromes cliniques et d argumenter. L enseignant notant au tableau les réponses proposées. Puis, une discussion est initiée sur le siège possible des lésions. Après cette discussion, la solution radiologique est donnée par la présentation des IRM 3D. A ce stade l enseignant peut prendre le relais et faire un bref exposé, qui dans le premier cas portera sur les différentes formes cliniques des aphasies d origine vasculaire (principalement Broca et Wernicke), sur la somatotopie des voies motrices (homonculus, différence en terme d interprétation topographique entre atteinte brachio-faciale, «crurale» et proportionnelle) et leur relation avec l anatomie et les différents territoires de la carotide interne (les étudiants apprendront la topographie de des AVC dans les territoires superficiel et profond de l artère cérébrale moyenne et dans le territoire de l artère cérébrale antérieure). Dans le second cas, l enseignement portera sur la sémiologie des troubles visuels d origine neurologique (neuropathie optique, atteinte chiasmatique, hémianopsies homonymes, cécité corticale, négligence visuospatiale et agnosie visuelle) et les AVC dans les territoires des artères cérébrales postérieures, vertébrales et du tronc basilaire. Discussion Le format de présentation du CAC paraît adapté pour l enseignement de 3 ème cycle et de la formation post-universitaire car il permet d asseoir des connaissances anatomofonctionnelles préalablement acquises par l analyse de cas concrets renforçant les connaissances théoriques. Sa faisabilité est excellente car il repose sur une banque de données déjà établies et balayant les principaux syndromes neuropsychologiques connus. De plus, la partie recherche du CAC permet de générer de nouvelles connaissances pouvant être directement injectées dans la connaissance pré-établie voir même modifier le champs de connaissances. Cela est particulièrement bénéfique pour l enseignement post-
26 26 universitaire. Les séances du CAC ont eu un vif succès montrant que cette approche répond à une attente des étudiants. L extension de cet enseignement au second cycle des études médicales est possible si elle répond au programme. Dans ce sens, plusieurs domaines médicaux devant être validés par les étudiants peuvent être enrichis par l approche du CAC. L avantage du CAC repose sur un axe fondateur de la neurologie : le diagnostic topographique, engageant toute la démarche diagnostique et thérapeutique ultérieure. La description de cas concrets ancre la connaissance et l interactivité permet de solliciter les capacités de raisonnement médical. Le format de l enseignement est à envisager dans le cadre des services de neurologie ou en enseignement dirigé car l interactivité nécessaire limite son utilisation dans le cadre d un auditoire plus large (amphithéâtre). Dans tous les cas, les limites de cet enseignement sont : 1) l absence éventuelle dans la banque de données de cas typiques de pathologies spécifiques; 2) la charge de préparation d un tel enseignement, nécessitant plusieurs étapes lourdes en charge de travail par comparaison à un enseignement typique : en effet, le matériel multimédia demande pour chaque dossier plusieurs heures de préparation (montage vidéo, IRM 3D). Néanmoins, cette limite est facilement contournée à ce jour par le nombre de dossiers déjà préparés (plus de 60) ; 3) Il nécessite des enseignants formés au CAC et par conséquent, il n est pas extensible actuellement à l ensemble des universités enseignant la neurologie. Cependant, le CAC fait l objet de demande de financement pour créer un réseau de services hospitalouniversitaires concourant à la banque de données. Il n est donc pas exclue qu à terme, il puisse être enseigné au delà de l université de Paris VI ; 4) Enfin, la bonne réussite d une session nécessite la participation active des étudiants. Or, si les connaissances minimales antérieures (sémiologie et neuro-anatomie) ne sont pas présentes chez les étudiants, il est difficile de passer à cette phase de travaux dirigés. C est pourquoi nous le proposons dans
27 27 le cadre du DES, de la formation post-universitaire et dans un champs limités à quelques items du programme de validation du 2 ème cycle des études médicales.
28 28 Références Batrancourt B, Lévy R, Lehericy S, Samson Y, Lavallée I, Lamure M, Dubois B (2002a). Création d'une base de données sur le cerveau pour une synthèse anatomofonctionnelle. C.R. Biologies 325: Batrancourt B, Bonnevay S, Lamure M, Levy R, Dubois B (2002b) An anatomofunctional brain knowledge. Proceedings of the fifth international conference on information fusion. Fusion 2002, Annapolis, USA. Pp Friston K, Holmes A, Worsley K, Poline J, Frith C, Frackowiak R (1995) Statistical parametric maps in functional imaging: a general linear approach. Hum Brain Mapping 2: Girard JF, Canestri A (2000). La maladie d Alzheimer. Rapport ministerial. Rorden C, Karnath H-O (2004) Using human brain lesions to infer function: a relic from a past era in the fmri age? Nature Neuroscience Reviews, 21 : Talairach J, Tournoux P (1988) Co-planar stereotaxic atlas of the human brain: an approach to cerebral imaging. New York: Thieme Verlag.M. Thiebaut de Schotten M, Urbanski M, Duffau H, Volle E, Levy R, Dubois B, Bartolomeo P (2005). Temporary unilateral neglect during brain surgery in Human patients. Science (in press). Volle E, Beato R, Levy R, Dubois B (2002). Forced Collectionism. Neurology. 58:
Les mécanismes de la récupération neurologique. PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007
Les mécanismes de la récupération neurologique PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007 Introduction Plasticité cérébrale / Récupération après lésion cérébrale Récupération spontanée
Plus en détailLe logiciel EduAnatomist.
Le logiciel EduAnatomist. Les travaux de l équipe ACCES (Actualisation Continue des Connaissances des Enseignants en Sciences) de l INRP restent, hélas, largement méconnus des enseignants de SVT. Pourtant,
Plus en détailA PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES
IED PARIS 8 A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES La procédure d équivalence permet de dispenser les étudiants de certains enseignements dans la mesure où ils peuvent justifier de l acquisition
Plus en détailRééducation des accidents vasculaires cérébraux
Module «Système nerveux central et MPR» Septembre 2008 Rééducation des accidents vasculaires cérébraux G. Rode, S. Jacquin-Courtois, A. Yelnik Ce document est le support des cours «AVC» faits lors de la
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailmentale Monsieur Falize la création et l utilisation d imagerie interactive, les associations noms-visages, la méthode des lieux.
Pr Anne-Marie Ergis le vieillissement entraîne le déclin d un certain nombre de fonctions cognitives, comme la vitesse de traitement, les ressources attentionnelles, la mémoire de travail, la mémoire épisodique
Plus en détailFonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation
DIALOGUE ESPRIT / CERVEAU : CIRCULARITE CRP -OU Santé ANTAGONISME? Fonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation Charles Pull Directeur du «Laboratoire
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailLe patient ouvre les yeux et regarde dans. Les yeux ouverts, mais l esprit absent. Médecine
NEUROBIOLOGIE «Il faut parler à une personne dans le coma» entend-on souvent dans les films.tout dépend de ce qu on appelle coma. Entre l état végétatif, où le patient peut encore remuer, sourire ou sursauter
Plus en détailEpilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire?
Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? L épilepsie concerne plus de 500 000 personnes en France, dont la moitié sont des enfants ou des adolescents.
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral Vivre avec un accident vasculaire cérébral Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailQuels sont les indices observés chez les enfants présentant un trouble de traitement auditif?
Le trouble de traitement auditif _TTA Entendre n est pas comprendre. Détecter les sons représente la première étape d une série de mécanismes auditifs qui sont essentiels pour la compréhension de la parole
Plus en détailPartenaires: w w w. c o g m a s t e r. n e t
Partenaires: w w w. c o g m a s t e r. n e t Une approche interdisciplinaire et intégrative neuropsychologie psychologie neuroanatomie linguistique philosophie SCIENCES COGNITIVES logique/probas neurosciences
Plus en détailLa prise en charge de votre épilepsie
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide
Plus en détailBERTHIER E, CHRISTIANO M, PHILIPPE M O, IEHL J, TATARU N, DECAVEL P, VUILLIER F, ELISEEF A, MOULIN T. Introduction (1). Contexte de l étude
REPRODUCTIBILITE INTEROBSERVATEUR DU TEST «NIHSS» (National Institutes of Heath Stroke Scale) RÉALISÉ PAR VIDÉOCONFÉRENCE : EXPÉRIENCE DU RÉSEAU DES URGENCES NEUROLOGIQUES (RUN) BERTHIER E, CHRISTIANO
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailLES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION DU HANDICAP : Les personnes handicapées motrices à domicile (enquête HID 1999)
Délégation ANCREAI Ile-de-France CEDIAS - 5 rue Las-Cases 75007 PARIS Tél : 01 45 51 66 10 Fax : 01 44 18 01 81 E-mail : creai.idf@9online.fr Contact : Carole PEINTRE LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION
Plus en détailL Étudiant en Psychologie
L Étudiant en Psychologie Peu de débouchés, trop de candidats : la psychologie est l une des filières universitaires les plus embouteillées! Les études se déroulent généralement à l université, mais il
Plus en détail2013-2014. psychologie. UFR des Sciences de l Homme
2013-2014 DU LYCÉE À L UNIVERSITÉ psychologie UFR des Sciences de l Homme OBJECTIFS de la formation Vous êtes intéressé par les études de psychologie? A l Université Bordeaux Segalen, cette formation s
Plus en détailLa lettre. Le Dossier. Neurosciences et clinique Je t aime, moi non plus. Internes en médecine ou pharmacie : les années-recherche
O T O La lettre Automne - Hiver 1998 Le Dossier Neurosciences et clinique Je t aime, moi non plus Internes en médecine ou pharmacie : les années-recherche MD-PhD : l expérience américaine Photographie
Plus en détailTDAH et adaptations scolaires - niveau primaire et secondaire-
Le trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) est un problème neurologique qui peut entraîner des difficultés à moduler les idées (inattention), les gestes (bougeotte physique),
Plus en détailSpécial Praxies. Le nouveau TVneurones est enfin arrivé! Les métiers. NOUVEAUX JEUX de stimulation cognitive, orientés praxies.
Enfants Adolescents AdultesPersonnesÂgéesPlasticité NeuronalePathologiesMaintienCognitif MémoireAttentionLangage FonctionsExécutivesVisuoSpatial Les métiers Spécial Praxies Le nouveau est enfin arrivé!
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailThierry DELZESCAUX. «biopicsel» group, URA CNRS-CEA 2210 Service MIRCen, I²BM, CEA Fontenay-aux-Roses, France. Thierry.Delzescaux@cea.
Thierry DELZESCAUX «biopicsel» group, URA CNRS-CEA 2210 Service MIRCen, I²BM, CEA Fontenay-aux-Roses, France Thierry.Delzescaux@cea.fr Thierry DELZESCAUX Ingénieur chercheur CEA Experience Since 2008:
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailLe bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009
Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Introduction L attention est une fonction de base dont l intégrité est nécessaire au bon fonctionnement cognitif
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailLes troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson
Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson Comprendre la maladie de Parkinson La maladie de Parkinson se définit classiquement par des troubles moteurs. Néanmoins, de nombreux autres symptômes,
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailPlace de la PSP et des AMS. «Parkinson plus!» Ce qui doit alerter. Paralysie supra-nucléaire progressive (PSP) Ce qui doit alerter
«Parkinson plus!» Pr Marc Verny Centre de Gériatrie, pav. M. Bottard Hôpital de la Salpêtrière Place de la PSP et des AMS Maladie de Parkinson : diagnostic clinique et certitude neuropathologique. Etude
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailwww.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie
www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie Une formation approfondie à la réflexion éthique appliquée aux secteurs du soin et de la santé En formation continue,
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailMINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES, DE LA SANTÉ ET DES DROITS DES FEMMES SANTÉ
MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES, DE LA SANTÉ ET DES DROITS DES FEMMES _ SANTÉ Professions de santé Arrêté du 23 septembre 2014 relatif à la création d une annexe «Supplément au diplôme» pour les formations
Plus en détailLes soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques
Les soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques France MARCHAND Nagi MIMASSI Psychologue clinicienne stagiaire doctorante Praticien hospitalier Consultation des douleurs chroniques
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailPROGRAMME DE FORMATION CONTINUE DES ORTHOPHONISTES. SDOFOLi ANNEE 2015
SDOFOLi Savoirs Des Orthophonistes Formation Ligériens PROGRAMME DE FORMATION CONTINUE DES ORTHOPHONISTES SDOFOLi ANNEE 2015 SDOFOLi - 9 rue de la Calade - 42660 ST-GENEST-MALIFAUX RENSEIGNEMENTS PRATIQUES
Plus en détailDevenez expert en éducation. Une formation d excellence avec le master Métiers de l Enseignement, de l Education et de la Formation
Institut Universitaire de Formation des Maîtres Université de Provence - Aix-Marseille Université 20 ans d expérience dans la formation des professionnels dans les métiers de l enseignement, de l éducation
Plus en détaileduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel
eduscol Ressources pour la voie professionnelle Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel Français Présentation des programmes 2009 du baccalauréat professionnel Ces documents
Plus en détailNeurologiques gq Centrales EMPR LE NORMANDY GRANVILLE
La Marche dans les Affections Neurologiques gq Centrales S Injeyan JL Isambert Y Bebin S Le Doze M Cano P Fages W Loisel La Marche Fonction complexe Organisée hiérarchiquement au niveau spinal Contrôlée
Plus en détailSpécial Tablette. Spécial Tablette. Rentrez dans l ère tactile. nouveau! Le must * de la rééducation sur tablette tactile Android
Spécial Tablette nouveau! Rentrez dans l ère tactile EnfantsAdolescents AdultesPersonnesÂgées CabinetDomicileEtablissement PratiqueRapideMotivant ErgonomiqueCoordination DésignationAccessibilité Spécial
Plus en détailPermis de conduire et maladie d Alzheimer. Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes
Permis de conduire et maladie d Alzheimer Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes Introduction Conduite automobile : Tâche complexe à forte exigence cognitive Liberté
Plus en détailPACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation
PACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation Centre Hospitalier d Argenteuil (95) F. Lémann, PH-coordonnateur de la gestion des risques associés aux soins Co-facilitateur
Plus en détailN.-B. 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4. 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4
Profil démographique 1 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4 Groupe d âge 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4 Sexe Niveau de scolarité Homme 48,0 40,5 47,8 52,3
Plus en détailDélivrance de l information à la personne sur son état de santé
Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du
Plus en détailL IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique. http://www.e-mri.
L IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique http://www.e-mri.org D HOA, A MICHEAU, G GAHIDE, E LE BARS, C CYTEVAL, M ZANCA, P DUJOLS,
Plus en détailLes maladies vasculaires cérébrales
Les maladies vasculaires cérébrales Zlokovic et Apuzzo. Neurosurgery 1998; 43(4): 877-78 cité sur http://www.ohsu.edu/bbb/forprof_program.html Centre Mont-Royal, 5 juin 2014 Dr Yan Deschaintre Présentateur
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie de Parkinson
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie de Parkinson Vivre avec une maladie de Parkinson Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous
Plus en détailCOMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE
COMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE DESCRIPTION DU MÉTIER Le masseur-kinésithérapeute ou «kiné» dans le langage courant, effectue sur prescription médicale des actes de gymnastique médicale, de massage, de
Plus en détailquestions/réponses sur les DYS
D Y S L E X I E, D Y S P H A S I E, D Y S P R A X I E, Les DYS, un handicap émergeant? La Dysphasie trouble du langage oral? La Dyspraxie, trouble de la coordination du geste? La Dyslexie, trouble du langage
Plus en détailL aptitude à la conduite des seniors : l approche belge
L aptitude à la conduite des seniors : l approche belge Thomas OTTE Institut Belge pour la Sécurité Routière Ergothérapeute, expert en aptitude à la conduite et en adaptation de véhicules 2 Le CARA et
Plus en détailDocument d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis
Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron à Saint-Louis Cancers & imagerie médicale Un progrès majeur pour une meilleure prise en charge des patients. Accroitre les possibilités
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailAssociation France - DFT
Association France - DFT Dégénérescences Fronto-Temporales Pour nous contacter Nous écrire Association France - DFT 41, rue de Richelieu 75001 Paris Nous adresser un mail Le site internet www.dft-france.org
Plus en détailLa conduite automobile et le vieillissement
La conduite automobile et le vieillissement Présenté par Martin Lavallière, M.Sc. Étudiant au doctorat, Faculté de Médecine Document préparé par Martin Lavallière, Marie Eve Roussel et Philippe Voyer Bonjour,
Plus en détailIFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015. M. BLOT Ergothérapeute. CHU de NIMES
IFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015 M. BLOT Ergothérapeute CHU de NIMES Introduction Définition de l hémiplégie Causes Evolution Conséquences Description Prise en charge du patient en fonction de l activité
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailContenu. Introduction. Établissement des priorités pour l élaboration des indicateurs. Retrait de certains indicateurs. Répondants au sondage
Contenu Introduction Répondants au sondage Établissement des priorités pour l élaboration des indicateurs Pour chacun des quadrants Pour les dimensions des quadrants Retrait de certains indicateurs Indicateurs
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailMieux connaître les publics en situation de handicap
Mieux connaître les publics en situation de handicap Plus de 40 % des Français déclarent souffrir d une déficience 80 Comment définit-on le handicap? au moins une fois au cours de leur vie et 10 % indiquent
Plus en détailLes troubles spécifiques des apprentissages
Les troubles spécifiques des apprentissages www.apedys78-meabilis.fr En collaboration avec L. Denariaz, psychologue cognitiviste Points clefs Définitions et repérage Quelle est l origine du trouble? Vers
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailTransformez votre relation au monde!
Transformez votre relation au monde! Formations certifiantes PNL QUEST interactive 2013-2014 Qu est-ce que la PNL? La PNL (Programmation Neuro-linguistique) est une discipline développée dans les années
Plus en détailTRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ
TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ «Un atelier de deux jours en spécialité EMDR» Présenté par Dr Steven MARCUS,, Ph.D 30 AVRIL & 1er MAI 2011 A PARIS SAMEDI 30 AVRIL : 9H - 16H30 - DIMANCHE 1ER
Plus en détailQuels masters envisageables après un BA en Psycho/Éd à Neuchâtel?
Quels masters envisageables après un BA en Psycho/Éd à Neuchâtel? Présentation des masters de Genève, Lausanne, Fribourg et Neuchâtel Association des étudiants en psychologie/ éducation, en psychologie
Plus en détaileduscol Santé et social Enseignement d'exploration
eduscol Consultation nationale sur les programmes Projets de programmes de la classe de seconde générale et technologique Santé et social Enseignement d'exploration L'organisation de la consultation des
Plus en détailAnne-Lise Paradis. To cite this version: HAL Id: tel-00157092 https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00157092
Exploration par IRM fonctionnelle de la perception visuelle des formes tridimensionnelles ; dessin de paradigmes d acquisition et outils d analyse appliqués au domaine de la vision Anne-Lise Paradis To
Plus en détailQu est-ce que la maladie de Huntington?
Qu est-ce que la maladie de Huntington? Description sommaire Qu est-ce que la maladie de Huntington? La maladie de Huntington (MH) est une maladie neurodégénérative longtemps connue sous le nom de Chorée
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détail[FORMAT AGRANDI DE LA POLITIQUE D ACCESSIBILITÉ POUR LES PERSONNES HANDICAPÉES]
Type de doc. Politique Section Administration Prochain examen Décembre 2016 [FORMAT AGRANDI DE LA ] 1. Portée La présente politique s applique à tous les services et programmes fournis par le Centre de
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailMIEUX CONNAÎTRE LES HANDICAPS, ADAPTER SON COMPORTEMENT
MIEUX CONNAÎTRE LES HANDICAPS, ADAPTER SON COMPORTEMENT Chaque handicap est différent. Si la classification des handicaps en grandes familles peut, au premier abord, paraître réductrice, elle a cependant
Plus en détailProjet de loi n o 21 (2009, chapitre 28)
PREMIÈRE SESSION TRENTE-NEUVIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 21 (2009, chapitre 28) Loi modifiant le Code des professions et d autres dispositions législatives dans le domaine de la santé mentale et
Plus en détailZOOM ETUDES Les études paramédicales. Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013
ZOOM ETUDES Les études paramédicales Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013 L enseignement supérieur français - santé Études de médecine, pharmacie et odontologie : Universités en partenariat
Plus en détailPascal LACHAISE Paul TORNER. Matthieu PICARD
La communication médecins/ pharmaciens/patients Enquête sur les attentes des différents acteurs. Quelles solutions pour améliorer la concertation médecin/pharmacien pour le bénéfice du patient? Pascal
Plus en détailAnnonce. Beyrouth, le 4/6/2013. La Doyenne. Nina SAADALLAH. UNIVERSITE LIBNAISE Faculté de Santé Publique Décanat
UNIVERSITE LIBNAISE Faculté de Santé Publique Décanat Annonce La Doyenne de la Faculté de Santé Publique annonce le début du dépôt des dossiers de candidature pour les différents Masters Professionnels
Plus en détailExemple 1: Entorse cheville. ÉVALUATION INITIALE: entorse cheville
DPPS 4.0 RAPPORT EXEMPLES Les rapports que vous trouvez ci-joints ont étés élaborés en utilisant certains protocoles d exemple que vous trouvez dans le dossier C:\Delos\User\Trials\Dossier Général. On
Plus en détailUn guide à l attention des familles et proches COMA ET ÉTATS DE CONSCIENCE ALTÉRÉE SUITE À UNE ATTEINTE CÉRÉBRALE
Un guide à l attention des familles et proches COMA ET ÉTATS DE CONSCIENCE ALTÉRÉE SUITE À UNE ATTEINTE CÉRÉBRALE Table des matières Introduction...2 Qu est-ce que la conscience?...3 Comment la conscience
Plus en détailL ACCESSIBILITÉ DU CADRE BÂTI
L ACCESSIBILITÉ DU CADRE BÂTI Les ERP «ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC» Le nouveau dispositif réglementaire Première partie CONTEXTE ET POLITIQUES PUBLIQUES Le contexte Le point de départ L accessibilité
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailI/ Qu est-ce que l aphasie? French
I/ Qu est-ce que l aphasie? French Vous avez, vraisemblablement, récemment eu à faire à l aphasie et ce, pour la première fois. L aphasie appelle d emblée quelques questions comme : qu est-ce que l aphasie,
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détailSport et traumatisme crânien
Sport et traumatisme crânien Sylma M Pamara DIABIRA Neurochirurgie, CHU Rennes Commotion cérébrale «Perturbation physiologique, en général transitoire, de la fonction cérébrale à la suite d'un traumatisme
Plus en détailIl est sept heures du matin. Votre réveil sonne, La volonté d agir est-elle libre? Clés comportementales
NEUROBIOLOGIE Clés comportementales La volonté d agir est-elle libre? Gilles LAFARGUE et Angela SIRIGU Il est sept heures du matin. Votre réveil sonne, vous devez vous lever. Qu est-ce qui détermine l
Plus en détailAvertissement. La pagination du fichier PDF est ainsi demeurée en tous points conforme à celle de l original.
Avertissement Pour faciliter la consultation à l écran, les pages blanches du document imprimé (qui correspond à la page 4) ont été retirées de la version PDF. On ne s inquiétera donc pas de leur absence
Plus en détailMédecine en 2014. Médecine en 2014. Exigences techniques
Pierre Bonnet, Félix Scholtes - Université de Liège - Sciences biomédicales Michel Raze - Centre Hospitalier Universitaire de Liège Stéphane Safin - Université de Paris 8 - laboratoire Paragraphe-C3U Médecine
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR ÉPREUVE DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES BOITIER PHARMA
BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR ÉPREUVE DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES BOITIER PHARMA La commission de choix de sujets a rédigé cette proposition de corrigé, à partir des enrichissements successifs apportés
Plus en détail