Impact de la baisse des cours des matières premières au Mexique

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1 Impact de la baisse des cours des matières premières au Mexique Le Mexique est le 10 ème producteur mondial de pétrole en 2014, ce qui explique que la baisse des cours des matières premières a quelque peu affecté sa balance commerciale et ses équilibres externes. Toutefois, l effet sur le Mexique n a pas été aussi important que pour d autres pays d Amérique latine tels que le Brésil, le Venezuela, la Colombie, le Pérou ou le Chili, du fait que le Mexique est beaucoup moins dépendant des exportations de matières premières que ces pays : les exportations de matières premières représentaient seulement 11,6% des exportations totales au T De plus, l effet de la baisse des prix sur la croissance mexicaine ne doit pas être exagéré au vu des autres facteurs externes qui expliquent le ralentissement de l économie. Les finances publiques ont également été affectées mais divers mécanismes expliquent qu en réalité les entrées fiscales augmentent. Le gouvernement, soucieux de transmettre un message de rigueur à destination des marchés et des investisseurs, communique sur des réductions budgétaires mais la dépense publique continue en réalité d augmenter ; dans le même temps, plusieurs projets d infrastructure publique ont été reportés et de nouvelles mesures visant à accroître l investissement privé ont été prises. 1. La baisse des cours des matières premières et de la production de pétrole a pour conséquence une légère dégradation de la balance commerciale et des équilibres externes ; par ailleurs, la fragilisation des finances publiques doit être relativisée. a) Une augmentation du déficit courant et des équilibres externes La chute des cours des matières premières a creusé le déficit de la balance commerciale du Mexique : - les exportations d hydrocarbures ont diminué de 42,8% entre le T et le T : elles représentaient ainsi 14,5% des exportations totales et 4,3% du PIB au S1 2013, contre 6,7% des exportations totales et 2,0% du PIB au S ; toutefois, la baisse des cours du pétrole n est pas la seule cause. En effet, le volume de la production diminue régulièrement depuis 10 ans 1 ; en cause : la réduction des gisements mais surtout la baisse des investissements de l entreprise publique PEMEX, dans l attente de l effet de l ouverture du secteur à la concurrence ; cette baisse explique en grande partie la chute des exportations de 2,1% (g.a.) au S ; - les importations d hydrocarbures ont également diminué (-24,5% entre le T et le T2 2015, passage de 3.6% du PIB à 2,5% du PIB). En effet, le Mexique exporte du pétrole brut et importe du pétrole raffiné ; - en revanche, le commerce de minerais et de matières premières agricoles a été peu affecté ; - le déficit de la balance commerciale, jusqu ici proche de l équilibre, a été multiplié par 13,6 à 4,05 Mds USD. 1 En 10 ans, la production a ainsi diminué de 32,1% si l on compare les 8 premiers mois de 2015 par rapport à la même période en 2005 : production de 2,54 millions de barils de pétrole par jour au T et de 2,23 au T

2 Concernant les équilibres externes, le déficit du compte courant se creuse légèrement à 2,7% du PIB au T contre 2,4% au T tandis que le compte financier reste excédentaire à 5,8% du PIB au T contre 7,8% au T Entre le T et le T2 2014, le peso a perdu plus de 16% de sa valeur face au dollar même si la baisse des cours du brut n en est pas la seule raison 2. L appréciation du dollar a pour conséquence d augmenter les coûts de financement et d endettement en dollars des agents publics que privés. La dette externe brute a fortement augmenté entre décembre 2013 et juin 2015 (de 254 Mds USD, soit 19,5% du PIB, à 291 Mds USD, soit 22,4% du PIB), à la fois en ce qui concerne le secteur public fédéral (de 134 Mds USD à 162 Mds USD, soit +20%) et le secteur privé (de 120 Mds USD à 128 Mds USD, +6,6%). Néanmoins, les conditions de financement restent assez favorables : par exemple, la dette externe du secteur public est à 96,5% à long terme au T b) Une fragilisation seulement partielle des finances publiques La baisse combinée des cours des hydrocarbures et de la production ont généré une chute des revenus pétroliers au Mexique (-43,7% g.a. au S1 2015) : les revenus pétroliers représentaient 30,7% des revenus publics au S et seulement 18,6% au S Toutefois, l impact sur les finances publiques doit être relativisé : en effet, les recettes fiscales du secteur public ont augmenté de 3,8% (g.a.) sur les 8 premiers mois de En particulier, 60% de la baisse des revenus pétroliers est compensée par une hausse de la taxe sur l essence : par le maintien du prix de détail, la subvention à la consommation et à l importation d essence est devenue à partir de janvier 2015 une source de revenus pour le gouvernement 4. Le reste de l augmentation des recettes fiscales s explique par l effet de la réforme fiscale ( contribuables entre fin 2014 et juin ), la hausse de la fiscalité sur les boissons sucrées, le tabac et l alcool et par une hausse de la consommation et donc des recettes issues de la TVA. c) La baisse des prix a affecté le rythme de croissance, mais d autres facteurs expliquent le ralentissement de la croissance mexicaine D après le Ministère des finances mexicain, la chute des cours du brut affecte la croissance mexicaine à hauteur de 0,4 point pour En octobre 2015, le FMI a révisé à la baisse ses prévisions de croissance pour le Mexique en 2015 et 2016, respectivement à 2,3% et 2,8% (resp. -0,1 et -0,2 point par rapport aux prévisions de juillet). La CEPAL a également révisé à la baisse ses prévisions de croissance pour le Mexique en 2015 et 2016, respectivement à 2,2% et 2,5% (resp. -0,2 point et -0,5 point par rapport à juillet). En effet, la baisse des cours du pétrole conjuguée à la baisse de la production a eu un effet sur le commerce extérieur du pays de 1,2 points de PIB entre le T et le T (-1,1 pts sur les importations, -2,3 pts sur les exportations). Cette diminution des prix a aussi affecté l économie dans son ensemble : le gouvernement a réagi par une augmentation de la fiscalité qui a eu un effet négatif sur la consommation de l avis quasi-unanime des observateurs, et par des annonces de coupes budgétaires (voir partie suivante - de grands projets 2 La normalisation de la politique monétaire de la FED et la volatilité sur les marchés de capitaux, la grande liquidité du peso qui est la monnaie émergente la plus échangée et le ralentissement de la croissance mondiale expliquent également le phénomène. 3 Donnée pour 1 USD = 16 pesos 4 L augmentation de l Impôt Spécial sur la Production et les Services (IEPS, impôt indirect qui s applique à la production, la vente ou l importation d essence, d alcool, de sodas et de tabac, payé par les consommateurs finaux au même titre que la TVA) sur l essence à la pompe a rapporté 127,4 Mds USD sur les 7 premiers mois de l année 2015 tandis que sur la même période, la chute des revenus pétroliers du fait de la baisse des cours et de la production a été de 241,8 Mds USD. Les années précédentes, l IEPS sur l essence à la pompe était «négatif», constituant une subvention sur l essence du gouvernement fédéral. 5 Passage de à contribuables 2

3 d infrastructure publique ont notamment été reportés ou annulés) qui s est traduit par une baisse de l investissement public (- 8,1% g.a. en termes réels sur les 8 premiers mois de 2015) 6. Toutefois, la baisse des cours du brut n est pas l unique facteur qui explique les révisions à la baisse des prévisions de croissance pour La relative de lenteur de mise en œuvre des réformes structurelles, la volatilité des marchés de capitaux, le ralentissement de la croissance de nombreuses économies émergentes et développées et la reprise américaine plus lente qu annoncée sont aussi des facteurs à prendre en compte. 2. Des mesures de nature monétaire ont été mises en œuvre ; l ajustement budgétaire se fait pour l instant attendre a) Le gouvernement communique sur les réductions budgétaires mais continue de dépenser Dans son discours, le Gouvernement dit faire le choix d une baisse de la dépense publique pour ne pas augmenter les prélèvements fiscaux ni creuser l endettement public, et a annoncé des coupes budgétaires pour 2015 et Toutefois, la réalité est pour l instant une augmentation continue de la dépense sur l année 2015, et la hausse de l endettement public est davantage le fait de cette augmentation de la dépense que de la chute des revenus pétroliers. En effet, malgré la baisse de l investissement public et contrairement aux annonces, la dépense nette du secteur public fédéral a augmenté dans des proportions importantes : +5,1% (g.a.) en termes réels sur les 8 premiers mois de l année (contre -2 % d objectif sur l ensemble de 2015 le SER estime que les réductions sur les 4 derniers mois de l année devraient ainsi être de 17,8% pour respecter les annonces). De ce fait, la dette du secteur public fédéral est passée de 36,8% du PIB en décembre 2013 à 40,3% en décembre 2014 et 43,7% en juin Pour 2016, le Centre de recherche économique et budgétaire mexicain (CIEP) prévoit que la dette atteigne 52,6% du PIB (contre 47,8% dans le paquet économique). Dans son rapport d août 2015, la Cour des comptes signale ce décalage entre le discours et la réalité de la dépense publique et l absence d explications de l exécutif. Le FMI et la Banque centrale (dont le gouverneur a retrouvé une grande liberté de ton avec sa reconduction en septembre 2015) ont d ailleurs demandé au gouvernement de s en tenir à ses annonces de sérieux budgétaire et de stabiliser le niveau de dette publique / PIB à des niveaux soutenables à long terme. En parallèle, le gouvernement souhaite davantage s appuyer sur l investissement privé. Ainsi, une loi de 2011 favorise le recours à des partenariats public-privé, même si ce dispositif de financement n a jusqu alors pas rencontré le succès escompté ; par ailleurs, plusieurs instruments de financement sont en cours de création. Le plus commenté est un véhicule d investissement dans les infrastructures et dans l énergie (FIBRA-E), dont les caractéristiques financières et fiscales doivent encore être précisées. Les émetteurs pourraient être de grandes entreprises mexicaines souhaitant se défaire de leurs actifs (entreprises publiques PEMEX, CFE, ou privées comme le géant du génie civil ICA). Les fonds de pension nationaux (Afores) pourraient investir dans cet instrument. Les fonds d investissement de plusieurs pays étrangers (Chine, Canada, etc.) regardent également le 6 Rubrique «investissement physique» des dépenses publiques dans les communiqués du Ministère des Finances 7 Le 31 janvier 2015, des coupes budgétaires à hauteur de 8,6 Mds USD pour l exercice 2015, soit 2,66% de la dépense publique nette prévue dans le budget 2015, et environ 0,7% du PIB. Par rapport à la dépense effective en 2014, la dépense en 2015 devrait donc être inférieure de 3,25 % en termes réels. Par ailleurs, le projet de budget pour l exercice 2016 envisage une réduction des dépenses de 97 Mds de pesos en 2016 (5,8 Mds USD), soit moins que les 135 Mds pesos annoncés en mars Les Ministères les plus touchés par ces coupes seront ceux des Finances (-40,5% g.a.), de l Economie (-26,9% g.a.), des Communications et Transports (-25,0% g.a.) et de l Agriculture (-19,6% g.a.). 3

4 sujet avec attention. Or, les entreprises publiques Pemex et CFE sont dans une situation financière compliquée 8, ont réduit leurs investissements et sont les premiers candidats pour la session d actif au travers de ces instruments : indirectement, le gouvernement semble en train de procéder à une privatisation du secteur qui ne dit pas son nom (car invendable politiquement). A noter toutefois que l attrait de ces investissements ne sera pas simple : il est difficile d évaluer la valeur résiduelle d une raffinerie, d un oléoduc, d un gazoduc ou d une ligne de transmission électrique. Les investisseurs devront par ailleurs faire confiance à la jeune réforme énergétique mexicaine, sachant que pour beaucoup de ces actifs, le seul client est l Etat (situation de monopsone) et que les stratégies locales en termes de mix énergétiques ne sont pas connues avec précision : un gouvernement local peut choisir de fortement développer les énergies renouvelables, avec une diminution en conséquence de la rentabilité des actifs du secteur du gaz ou du pétrole situés dans la même zone. b) Le gouvernement continue de souscrire des couvertures pétrolières Comme chaque année, le gouvernement a souscrit des couvertures pétrolières : 1,09 Md pour assurer 212 M barils à 49 USD en 2016 contre 773 MUSD pour assurer 228 M barils à 76,4 USD en 2015 : l assurance pour 2016 est ainsi la 2 ème assurance la plus chère après celle de 2012 à 1,2 Md USD. c) La Banque centrale a cherché à freiner la dépréciation de la monnaie La Banque centrale a mis en œuvre plusieurs mécanismes de politique monétaire pour la défense de la monnaie, sans réel effet sur le marché des changes : depuis le 31 juillet et jusqu au 30 septembre (prolongé de 2 mois), 200 MUSD sont vendus chaque jour et 200 MUSD supplémentaires chaque jour où le peso se déprécie de plus de 1% face au dollar. Les réserves de la banque centrale sont ainsi passées de 195 Mds USD fin juin à 181 Mds USD début octobre. Des économistes et analystes du secteur bancaire estiment que la Banque centrale pourrait vendre jusqu à 10,2 Mds USD supplémentaires d ici le 30 novembre prochain, en vue de contenir la dépréciation du peso et d alimenter les marchés en liquidités. Il convient de préciser que l inflation a atteint des niveaux historiquement bas à 2,5% (v.a.) en septembre Si plusieurs facteurs expliquent ce phénomène 9, la baisse des cours des matières premières est sans doute l un des plus importants. Cependant, l appréciation du dollar vis-à-vis du peso et la hausse du taux directeur par la FED devraient, ces prochains mois exercer une pression sur les prix à la consommation au Mexique. Dans ce contexte, la Banque centrale sera sans doute amenée réévaluer sa politique monétaire et ses interventions sur le marché des changes. 8 Elles sont concernées par les coupes budgétaires pour 2016 à travers une réduction de leur budget de dépenses de respectivement 11,5% et 4,7% (g.a.) 9 Notamment la nouvelle législation sur le secteur des télécommunications qui a fait baisser les tarifs, la baisse des tarifs de l électricité, la stagnation des salaires et la faible productivité. 4

5 Annexes 1/ Economie réelle 5

6 2/ Equilibres externes 6

7 3/ Finances publiques 7

8 Clause de non-responsabilité - Le service économique s efforce de diffuser des informations exactes et à jour, et corrigera, dans la mesure du possible, les erreurs qui lui seront signalées. Toutefois, il ne peut en aucun cas être tenu responsable de l utilisation et de l interprétation de l information contenue dans cette publication. 8

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