L indice de risque immobilier MoneyPark augmente légèrementt
|
|
- Danièle Sévigny
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L indice de risque immobilier MoneyPark augmente légèrementt L indice de risque immobilier MoneyPark a augmenté légèrement et est passé de 3.0 à 3.3 points, ce qui indique un contexte risqué certes complexe mais plus stable que jamais pour les biens immobiliers Le marché immobilier se montre volatile au deuxième trimestre 2016 : les fluctuations d intérêts, notamment en raison du Brexit et du continuel ralentissement de la courbe de rendement, ont tendance à aggraver l incertitude des opérateurs du marché. 1 Les clients hypothécaires bénéficient certes de taux hypothécaires les plus favorables jusqu à maintenant, cependant la différence entre les prestataires les plus chers et les moins chers se creuse et rend le marché extrêmement opaque et difficile à appréhender. Le ratio d endettement des ménages continue à reculer, cependant il n en ressort pas clairement une tendance des prestataires à octroyer des crédits plus risqués malgré le contexte persistant de taux d intérêt bas. L indice de risque immobilier, Real Estate Risk Index (RERI) MoneyPark a légèrement augmenté en passant de 3.0 à 3.3 points au deuxième trimestre L indice reflète les fluctuations d intérêts et le ralentissement de la courbe de rendement, ce qui rend l estimation des risques plus difficile pour les opérateurs du marché, les banques manquant d expérience pratique dans une telle situation. Pour les emprunteurs hypothécaires, le marché est plus attractif que jamais : les emprunteurs hypothécaires bénéficient d une part des taux les plus bas jusqu à présent, d autre part, la hausse des prix de l immobilier continue à ralentir et stagne au deuxième trimestre 2016, à un niveau toutefois élevé. On continue à enregistrer des baisses de prix conséquentes dans le segment du marché du luxe. Indice de risque immobilier MoneyPark Q Q Q Q Q Q Q Q Q Q Q Q Q Q
2 Sous-indices RERI L endettement des ménages diminue en moyenne Le ratio d endettement diminue à 1.8 à un niveau toujours plus bas. Ce n est pas un hasard si, depuis la politique des taux négatifs à la fin 2014, les clients obtiennent un prêt hypothécaire malgré une mauvaise solvabilité ou que les prestataires financiers tendent à octroyer des prêts plus risqués. Au contraire : l endettement a diminué et les preneurs d hypothèque empruntent en moyenne presque le double du montant dont ils disposent en tant qu actifs sous forme d avoirs bancaires, de capital retraite ou de titres. Le risque de surendettement des ménages a diminué et amortit par conséquent les risques sur le marché hypothécaire malgré les taux d intérêts extrêmement bas. Augmentation de la moyenne du différentiel des taux d intérêts Au deuxième trimestre 2016, la différence entre les taux d intérêt entre les prestataires les moins chers et les plus chers a augmenté. Cet écart ne permet pas de savoir si les prestataires les plus compétitifs ont continué à diminuer leurs taux, ou si les prestataires les plus chers ont augmenté leur marge. On compare également trimestriellement la moyenne des prestataires les plus chers et les moins chers avec leurs taux indicatifs moyens respectifs et on examinera respectivement les écarts moyens pour les diverses échéances. Après l introduction de taux d intérêt négatifs au cours du premier trimestre 2015, les écarts se sont rapidement creusés : les prestataires les moins chers diminuent les taux d intérêt par rapport à la moyenne, tandis que les prestataires les plus chers relèvent les taux. Cela montre que les taux négatifs n ont pas le même effet selon les institutions financières ou qu elles réagissent très différemment à la nouvelle situation du marché. 2
3 Une structure différente de coût ou de bilan, ainsi que la décision stratégique de prolonger l octroi de l hypothèque plutôt que de l interrompre jusqu à ce que les taux d intérêt retournent à la normale, peut conduire à des réactions différentes. Néanmoins, il semble que les opérateurs du marché ont actuellement du mal à chiffrer les risques des engagements hypothécaires. Nous voyons actuellement des évaluations de risque très différents pour les engagements à moyen et à long terme, ce qui se reflète précisément dans des taux hypothécaires très différents, a déclaré Michael Hartmann, directeur des ventes de MoneyPark. Par ailleurs, on a pour l instant peu d expérience d une telle situation de marché, ce qui complique l estimation des risques pour les instituts financiers. Pour les clients, les différences importantes de taux d intérêt, avec les opportunités qu elles représentent, signifient qu il est possible de réaliser le financement ou le refinancement le plus avantageux jusqu à présent. Toutefois, il est indispensable de comparer dans un marché aussi hétérogène, car, bien que les taux moyens aient reculé pour toutes les échéances depuis le début de l année, les différences entre les offres les plus avantageuses et les plus chères ont augmenté et le marché manque ici de transparence. La différence entre les taux SWAP diminue Au deuxième trimestre 2016, la différence entre les taux SWAP à 10 ans et à 2 ans a drastiquement diminué. Cela signifie que la courbe de rendement s aplatit toujours plus, ce qui assombrit davantage les perspectives d augmentation des taux directeurs par la Banque Nationale Suisse ou qui attise les discussions sur un autre renforcement de la politique des taux négatifs, augmentant encore l incertitude des opérateurs du marché sur les risques futurs provenant de ces engagements. La raison de cette différence fortement réduite entre les taux pour les prêts à long terme et à court terme reposerait entre autres sur le referendum Brexit. Peu après les résultats du referendum, la livre s est écroulée et a perdu en valeur par rapport au dollar, à l euro et au franc suisse. L incertitude des opérateurs du marché se retrouve aussi dans les taux SWAP. Si les opérateurs du marché avaient prédit un «Non», le marché a corrigé drastiquement ces attentes après le résultat du référendum. Certes les taux SWAP montrent une tendance négative depuis le début de l année mais les mouvements à la baisse se sont encore accélérés après la décision du Brexit. Durant la deuxième semaine de juillet, les taux SWAP ont indiqué une légère reprise, même si la différence entre les taux SWAP à 10 ans et à 2 ans continuent à diminuer, ce qui indique, que les revenus pour les investissements à long terme continuent à fondre et que la différence entre les prêts à court et à long terme diminue. 3
4 Pour les banques, les taux SWAP négatifs signifient des coûts plus élevés pour garantir les crédits, mais aussi des coûts de refinancement très faibles. Avec la réduction supplémentaire des taux SWAP, le fait que le prêt dans son ensemble soit plus ou moins cher pour l établissement de crédit, dépend de la structure interne des coûts et les actifs et passifs au bilan de la banque. Cependant, les banques utilisent souvent les taux SWAP négatifs comme un argument pour augmenter le coût de leurs services, par exemple avec des frais plus élevés, ou en transférant les taux d intérêt négatifs aux épargnants ou encore en augmentant les taux hypothécaires. Cela, bien que pour de très nombreuses instituts financiers, les taux de base, que les départements financiers mettent à l actif, donc au crédit des banques, sont à zéro, ce qui indique qu à l interne, l argent ne coûte de facto (plus) rien. Evolution des prix de l immobilier et des biens de consommations La croissance de la valeur moyenne des transactions immobilières a nettement ralenti au cours des derniers trimestres. Au deuxième trimestre 2016, le prix de l immobilier n a augmenté en moyenne que de 0,04 pour cent, ce qui est bien inférieur au taux de croissance trimestriel de 0,85 pour cent et indique plutôt une stabilisation des prix à long terme, même à un niveau élevé, que de nouvelles hausses de prix. Avec les prix à la consommation, cependant, le pire semble avoir été atteint. La tendance à la baisse, qui dure depuis sept trimestres, a été interrompue pour la première fois et les prix augmentent légèrement. Toutefois, il est possible que cela soit dû principalement à la hausse des prix de l énergie et non pas à la politique monétaire expansionniste, qui n a jusqu à maintenant pas montré d effets économiques réels. Donc, par exemple un baril de pétrole coûtait encore en janvier presque 28 dollars, mais a explosé depuis juin, en franchissant plusieurs fois la limite de 50 dollars, indiquant une tendance globale à la hausse. 4
5 Taux de chômage stable Le taux de chômage, corrigé des variations saisonnières, reste stable à 3.3 pour cent, ce qui correspond à la moyenne à long terme. Certes le taux de chômage a plutôt tendance à augmenter depuis quelques trimestres, cependant le marché du travail se montre plus solide que jamais, malgré les circonstances économiques mondiales difficiles. L Indice des directeurs d achat (Purchasing Managers Index) donne un signal positif de croissance Le PMI continue à augmenter depuis début 2015 et a atteint 54 points au deuxième trimestre 2016, ce qui suggère un climat favorable selon les directeurs d achat et indique une conjoncture stable. Le Purchasing Managers Index (PMI) reflète les attentes des directeurs d achat quant à l évolution de la demande. Un PMI de plus de 50 est donc considéré comme un signal positif de la croissance économique. 5
6 Conclusion Le deuxième trimestre 2016 a été marqué par les fluctuations du taux de change, notamment en raison du Brexit, et la politique hésitante des taux d intérêt de la réserve fédérale américaine, qui s est répercutée également du côté des taux. Les taux SWAP pour les échéances à long terme en cours continuent à reculer et rendent les courbes de rendement encore plus plates, ce qui alimente la discussion sur un renforcement des taux d intérêt négatifs en Suisse et augmente les incertitudes des institutions financières. Pour les emprunteurs hypothécaires, les taux d intérêt bas et la courbe de rendement plate signifient que les écarts de taux d intérêt entre les prêts hypothécaires à long terme et à court terme s amoindrissent et peuvent permettre d atteindre des conditions de plus en plus attractives quelles que soient les échéances, même pour les échéances à long terme en cours. On peut généralement sécuriser un emprunt à long terme maintenant par une faible majoration du taux d intérêt. Cependant les emprunteurs hypothécaires devraient, en raison des grandes différences entre les taux de prestataires, toujours chercher à obtenir plusieurs offres des banques et assurances, et être conseillés professionnellement. Méthodologie L indice de risque immobilier MoneyPark repose sur six sous-indices, qui prennent en compte les facteurs macroéconomiques tels que taux de chômage ou indice des directeurs d achat et considèrent également les données spécifiques d octroi de prêts et du marché financier. L indice est compris entre 1 et 6, plus l indice est élevé, plus les risques du marché sont élevés. Par ailleurs cet indice peut couvrir aussi bien une chute imminente des prix, par exemple une baisse de la demande, qu une surchauffe du marché, par exemple une forte dissociation entre les prix de l immobilier et le niveau des prix. A propos MoneyPark MoneyPark est, en Suisse, la plus grande plate-forme de conseil indépendant pour les produits financiers, à la pointe de la technologie, et se spécialise sur l intermédiation indépendante d hypothèques et de produits de prévoyance ainsi que la gestion de patrimoine. MoneyPark ne propose aucun produit financier «maison», et offre, en revanche, aux clients le maximum de choix, un conseil indépendant et la finalisation du contrat. Un entretien conseil personnalisé peut avoir lieu dans une des agences MoneyPark ou en ligne grâce aux outils de conseil. Mentions légales L indice de risque immobilier est élaboré par MoneyPark avec son meilleur savoir-faire. Toutes les informations, opinions et estimations sont valides seulement au moment de la publication et peuvent changer à tout moment. Le contenu se base sur les données et estimations des experts MoneyPark et ne représente en aucun cas un conseil ou une incitation à investir dans des produits ou à acheter un bien immobilier. Pour élaborer cet indice de risques, les experts MoneyPark se fondent sur des sources fiables. MoneyPark décline toute responsabilité contractuelle ou tacite pour des informations erronées ou incomplètes. 6
Le présent chapitre porte sur l endettement des
ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation
Plus en détailB - La lecture du bilan
8.2 La lecture des comptes annuels B - La lecture du bilan Référence Internet Saisissez la «Référence Internet» dans le moteur de recherche du site www.editions-tissot.fr pour accéder à ce chapitre actualisé
Plus en détailDétention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes?
1 Numéro 200, juin 2013 Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? I) Un taux de détention en baisse La détention au plus bas historique A la fin de l année 2012, seulement 48,6%
Plus en détailRapport de Russell sur la gestion active
FÉVRIER 2015 La chute des prix du pétrole entraîne la plus importante variation des rendements des gestionnaires depuis 2008 : au Canada 65 % des gestionnaires canadiens à grande capitalisation ont devancé
Plus en détailDérivés Financiers Contrats à terme
Dérivés Financiers Contrats à terme Mécanique des marchés à terme 1) Supposons que vous prenez une position courte sur un contrat à terme, pour vendre de l argent en juillet à 10,20 par once, sur le New
Plus en détailLes dépenses et la dette des ménages
Les dépenses et la dette des ménages Les dépenses des ménages représentent près de 65 % 1 du total des dépenses au Canada et elles jouent donc un rôle moteur très important dans l économie. Les ménages
Plus en détailCAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES
Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications
Plus en détailC O M M U N I Q U É D E P R E S S E
C O M M U N I Q U É D E P R E S S E Information réglementée* Bruxelles, Paris, 13 mai 2009 7h00 Résultat net de EUR 251 millions au 1 er trimestre 2009 Ratio Tier 1 de 10,7 % et core Tier 1 de 9,8 % Faits
Plus en détailLa Banque Nationale divulgue des résultats record au premier trimestre de 2014
COMMUNIQUÉ PREMIER TRIMESTRE 2014 La Banque Nationale divulgue des résultats record au premier trimestre de 2014 L information financière contenue dans le présent document est basée sur les états financiers
Plus en détailEuropimmo LFP. SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT
LFP Europimmo SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine.
Plus en détailComprendre le financement des placements par emprunt. Prêts placement
Comprendre le financement des placements par emprunt Prêts placement Comprendre le financement des placements par emprunt Le financement des placements par emprunt consiste simplement à emprunter pour
Plus en détailINFORM OBLIGATIONS DE PREMIÈRE QUALITÉ ET OBLIGATIONS À HAUT RENDEMENT: AUGMENTER LE RENDEMENT ET DIMINUER LE RISQUE GRÂCE À UNE JUSTE COMBINAISON
2 2002 INFORM INFORMATIONS FINANCIÈRES ESSENTIELLES POUR LES CAISSES DE PENSION OBLIGATIONS DE PREMIÈRE QUALITÉ ET OBLIGATIONS À HAUT RENDEMENT: AUGMENTER LE RENDEMENT ET DIMINUER LE RISQUE GRÂCE À UNE
Plus en détailL INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH»
193-202.qxp 09/11/2004 17:19 Page 193 L INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH» Département analyse et prévision de l OFCE La rentabilité des entreprises s'est nettement redressée en 2003 et 2004. Amorcée aux
Plus en détailSituation financière des ménages au Québec et en Ontario
avril Situation financière des ménages au et en Au cours des cinq dernières années, les Études économiques ont publié quelques analyses approfondies sur l endettement des ménages au. Un diagnostic sur
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailLes Canadiens continuent de négliger des moyens simples de régler leurs dettes personnelles plus rapidement
POUR PUBLICATION IMMÉDIATE Le 6 décembre 2011 #dettes #hypothèque Les Canadiens continuent de négliger des moyens simples de régler leurs dettes personnelles plus rapidement Waterloo Les résultats du plus
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détail[ les éco_fiches ] Situation en France :
Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d
Plus en détailLFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES
LFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement
Plus en détailHausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada
Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des
Plus en détailCrédit hypothécaire : croissance durable
Union Professionnelle du Crédit Communiqué de presse Crédit hypothécaire : croissance durable Bruxelles, le 6 mai 2011 Au cours du premier trimestre de 2011, 24 % de crédits hypothécaires de plus ont été
Plus en détailTaux fixe, taux variable ou les deux : Comment choisir le type de taux hypothécaire qui vous convient?
Financement immobilier Taux fixe, taux variable ou les deux : Comment choisir le type de taux hypothécaire qui vous convient? L une des décisions les plus importantes que doivent prendre les propriétaires
Plus en détailPlacements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques
Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques Je ne caractériserais pas la récente correction du marché comme «une dégringolade». Il semble
Plus en détailIDENTIFICATION DES RISQUES LIÉS À L INVESTISSEMENT DANS UNE SCPI
PRIMOPIERRE Société Civile de Placement Immobilier IDENTIFICATION DES RISQUES LIÉS À L INVESTISSEMENT DANS UNE SCPI Facteurs de risques L investissement en parts de SCPI est un placement dont la rentabilité
Plus en détailLa stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves
La stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves Que peut-on acheter pour dix euros? Et si, avec cet argent, vous pouviez acheter deux maxi CD
Plus en détailDélais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM
Délais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM Septembre 2012 Table des matières : 1. Facts and figures :...2 1.1. Lien entre retards de paiement et faillites :... 2 1.2. Délais de paiement...
Plus en détailLES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ
3. Les crédits 3.1 Les crédits en cours 3.1.1 Les ménages ayant au moins un crédit en cours Un peu plus du quart, 31%, des ménages en situation de déclarent avoir au moins un crédit en cours. Il s agit
Plus en détail«Regroupement de crédits : halte aux idées reçues» C O N F E R E N C E D E P R E S S E, 1 7 d é c e m b r e 2 0 1 3
«Regroupement de crédits : halte aux idées reçues» C O N F E R E N C E D E P R E S S E, 1 7 d é c e m b r e 2 0 1 3 INTRODUCTION : RAPPELS SUR LE REGROUPEMENT DE CREDITS 1 LE REGROUPEMENT DE CRÉDITS, QUAND?
Plus en détailLes crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014
Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 214 Gwenaëlle FEGAR Direction des Statistiques monétaires et financières Service d Analyse des financements nationaux Après une forte progression
Plus en détailQuels sont les risques sous-jacents liés au trading sur indice boursier?
Indices boursiers Factsheet Introduction Trading sur indice boursier Les indices boursiers proposés sur les plateformes eforex de Swissquote sont des contrats sur dérivés de gré à gré (OTC) dont le sous-jacent
Plus en détailPrésentation Macro-économique. Mai 2013
Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%
Plus en détailLE PROCESSUS D OCTROI D UN CREDIT COMMERCIAL ET LES CRITERES DE DECISION
LE PROCESSUS D OCTROI D UN CREDIT COMMERCIAL ET LES CRITERES DE DECISION Marija Vukmanovic, Director, chef de secteur clientèle entreprises Office de Promotion Economique du Canton de Genève Petit-déjeuner
Plus en détailRésultats financiers et d exploitation du quatrième trimestre et de l exercice 2005
Résultats financiers et d exploitation du quatrième trimestre et de l exercice 2005 16 février 2006 P. 1 Mise en garde - énoncés prospectifs Certains énoncés contenus dans cette présentation concernant
Plus en détailComptes et plans d épargne-logement
Page 1 of 6 Alerte Banques n 2 - avril 2006 ARCHIVES I IMPRIMER Comptes et plans d épargne-logement L avis du CNC relatif à la comptabilisation des CEL et PEL pose le principe suivant : les conséquences
Plus en détailVotre coupon augmente avec la hausse des taux d intérêt. Crédit Agricole CIB (AA- / Aa3) Interest Evolution 2018 STRATÉGIE P. 2. DURÉE p.
Crédit Agricole CIB (AA- / Aa3) STRATÉGIE P. 2 Crédit Agricole CIB - fait bénéficier l investisseur d un coupon brut annuel intéressant pendant 8 ans. Concrètement, le calcul du coupon s opère sur la base
Plus en détailBaromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011
Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011 Baromètre établi à partir des sources suivantes: 2010 - Données transmises par la Direction
Plus en détailUn climat des affaires conforté
JUILLET 2015 Un climat des affaires conforté Même si une part toujours importante de TPE/PME enregistre un recul du chiffre d affaires, le bilan du 2 e trimestre marque une amélioration sensible, confirmée
Plus en détailLes paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013. 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison?
Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison? 2013 : scénarios pour l économie française Scénario central 80% de probabilité
Plus en détailFloored Floater. Cette solution de produit lui offre les avantages suivants:
sur le taux d intérêt LIBOR CHF à trois mois avec emprunt de référence «Sony» sur le taux d intérêt EURIBOR EUR à trois mois avec emprunt de référence «Sony» Dans l environnement actuel caractérisé par
Plus en détailInvestir à long terme
BMO Gestion mondiale d actifs Fonds d investissement Investir à long terme Conservez vos placements et réalisez vos objectifs Concentrez-vous sur l ENSEMBLE de la situation Le choix des bons placements
Plus en détailAmundi Immobilier. Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 2013. Tendances. Le contexte macroéconomique
Trimestriel 27 Janvier 214 nº2 Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 213 Tendances > Progressif redémarrage de l activité attendue au 4 e trimestre 213, mais l évolution du PIB devrait rester
Plus en détailCOMMENTAIRE. Services économiques TD LES VENTES DE VÉHICULES AU CANADA DEVRAIENT DEMEURER ROBUSTES, MAIS LEUR CROISSANCE SERA LIMITÉE
COMMENTAIRE Services économiques TD LES VENTES DE VÉHICULES AU CANADA DEVRAIENT DEMEURER ROBUSTES, MAIS LEUR CROISSANCE SERA LIMITÉE Faits saillants Les ventes de véhicules au Canada ont atteint un sommet
Plus en détailL immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise
ÉTUDE EN BREF Octobre 2011 L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise Pour les investisseurs, l Europe de l immobilier de bureaux n est pas celle qui est délimitée par les accords
Plus en détailTable des matières. Rapport annuel ASBCEF 2012
2 Table des matières 1. L Association Page 3 1.1. Comité directeur de l ASBCEF Page 3 1.2. Membres de l ASBCEF Page 3 1.3. Secrétariat Page 3 1.4. Présentation d une branche économique Page 4 2. Rapport
Plus en détail2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée?
Flash Stratégie Janvier 2015 2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée? Jean Borjeix Paris, le 20 janvier 2015 Dans ce document nous allons tout d abord rapprocher nos
Plus en détailEndettement, insolvabilité et prêts hypothécaires en souffrance : la situation québécoise
Endettement, insolvabilité et prêts hypothécaires en souffrance : la situation québécoise Le maintien de très faibles taux d intérêt depuis la dernière récession incite les ménages canadiens à s endetter
Plus en détailPrediagri Retraite. Préparer sa retraite, c est essentiel. Solutions Assurances Agriculteurs
Solutions Assurances Agriculteurs Complément de retraite Préparer sa retraite, c est essentiel. Votre retraite, c est à vous d en décider. Plus tôt vous la préparez, plus vous mettez d atouts de votre
Plus en détailCONFÉRENCE TÉLÉPHONIQUE SUR LES RÉSULTATS RÉSULTATS POUR LE TRIMESTRE CLOS LE 31 MARS 2015. 5 mai 2015
CONFÉRENCE TÉLÉPHONIQUE SUR LES RÉSULTATS RÉSULTATS POUR LE 5 mai 2015 FAITS SAILLANTS La Société a connu un trimestre difficile. Pour le T1 2015, les produits, principalement touchés par des prix défavorables,
Plus en détailLe marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success.
Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 214 Accelerating success. PERSPECTIVES Une année 215 dans la continuité > Après le creux de 213, l activité sur le marché des bureaux francilien
Plus en détail5 raisons d investir dans des fonds d actions américaines
5 raisons d investir dans des fonds d actions américaines Avec toute la volatilité qui règne sur les marchés ces derniers temps, nombreux sont les investisseurs qui cherchent à diversifier leur portefeuille.
Plus en détailCroissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés
POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance
Plus en détailGuide pratique de l épargnant
Guide pratique de l épargnant Article 83 euro rendre votre contrat / Effectuer des versements individuels facultatifs / La vie de votre contrat en 8 questions / C otre complément de revenu / Consulter
Plus en détailAnnexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif
Annexe 1 Stratégie de gestion de la dette 2014 2015 Objectif La Stratégie de gestion de la dette énonce les objectifs, la stratégie et les plans du gouvernement du Canada au chapitre de la gestion de ses
Plus en détailBaromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013
Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 L UCM a créé un indicateur de conjoncture pour les PME wallonnes et bruxelloises. Ce "baromètre" est réalisé chaque trimestre, sur base des réponses
Plus en détailREFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES
REFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES DOSSIER DE PRESSE FICHE 1 Une réforme pour réduire le coût des crédits renouvelables et
Plus en détailLes entreprises paient avec un retard de 19,3 jours la morale de paiement en berne à cause de l effet domino
Statistiques des comportements de paiement: le comporte Statistiques des comportements ment de paiement: de paiement le comportement des de entreprises en Suisse 4 ème trimestre et perspectives 2009 Editeur:
Plus en détailDiagnostic des causes et conséquences de la précarité énergétique en Belgique, Espagne, France, Italie et Royaume-Uni
Diagnostic des causes et conséquences de la précarité énergétique en Belgique, Espagne, France, Italie et Royaume-Uni WP2 - Deliverable 5 Mentions légales Le contenu de cette publication n'engage que la
Plus en détailQu est-ce que l effet de levier?
EMPRUNTER POUR INVESTIR : CE N EST PAS POUR TOUT LE MONDE Qu est-ce que l effet de levier? L effet de levier consiste à investir en empruntant une partie ou la totalité des sommes. De cette façon, vous
Plus en détailLes durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes
Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse
Plus en détailDU CERCLE DE L EPARGNE, DE LA RETRAITE ET DE LA PREVOYANCE
LA LETTRE DU CERCLE DE L EPARGNE, DE LA RETRAITE ET DE LA PREVOYANCE N 6 oct. 2014 Dans quelques jours, le Cercle s agrandit avec l arrivée d un partenaire. Rendez-vous au mois de novembre! L Edito Du
Plus en détailMutex Indépendance Services - 10 % si vous adhérez en couple. Gardez le contrôle de votre vie!
- 10 % si vous adhérez en couple Mutex Indépendance Services Gardez le contrôle de votre vie! Les 10 raisons de souscrire Mutex Indépendance Services Une rente mensuelle de 300 f à 2000 f en fonction de
Plus en détailMarchés immobiliers et croissance économique : enseignements de la vague de refinancements aux États-Unis 1
Akash Deep +1 617 495 134 akash_deep@harvard.edu Dietrich Domanski +41 61 28 8353 dietrich.domanski@bis.org Marchés immobiliers et croissance économique : enseignements de la vague de refinancements aux
Plus en détailLes pratiques de simulation de crise: enquête auprès de quarante-trois grands établissements financiers
Ingo Fender (+41 61) 280 9458 ingo.fender@bis.org Michael S. Gibson (+1 202) 452 2495 michael.s.gibson@frb.gov Les pratiques de simulation de crise: enquête auprès de quarante-trois grands établissements
Plus en détailLa finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012
La finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012 Sommaire I - Le rôle prépondérant des marchés financiers I.1 - Financiarisation de l'économie mondiale I.2 Lien avec l'entreprise
Plus en détailGestion de portefeuilles RBC
Gestion de portefeuilles RBC Plus qu un investissement Que vous y recouriez pour assurer une croissance à long terme ou tirer un flux de trésorerie régulier de votre épargne, le programme Gestion de portefeuilles
Plus en détailRapport intermédiaire. Comptes du Groupe au 30 juin 2015
Rapport intermédiaire Comptes du Groupe au 30 juin 2015 2 Message des présidents En présentant de très bons résultats semestriels dans un environnement global incertain, la BCV démontre une nouvelle fois
Plus en détailPrésentation DEMETRIS Salon du Crédit et de l Assurance ZA. 23/02/2015 - Kinepolis Imagibraine - Braine l Alleud
Présentation DEMETRIS Salon du Crédit et de l Assurance ZA 23/02/2015 - Kinepolis Imagibraine - Braine l Alleud Demetris Qui est Demetris? Demetris sa fait partie d un groupe solide, BNP Paribas Group
Plus en détailLa dette des ménages canadiens demeure très élevée
12 septembre 2014 La dette des ménages canadiens demeure très élevée Faits saillants États Unis : accélération bienvenue des ventes au détail. Forte hausse du crédit à la consommation en juillet aux États
Plus en détailCOMPRENDRE LA BOURSE
COMPRENDRE LA BOURSE Les principaux indicateurs économiques Ce document pédagogique n est pas un document de conseils pour investir en bourse. Les informations données dans ce document sont à titre informatif.
Plus en détailInvestissements des entreprises au Québec et en Ontario : amélioration en vue?
28 avril 2015 Investissements des entreprises au Québec et en Ontario : amélioration en vue? Beaucoup d espoir repose sur les entreprises du centre du pays pour permettre à la croissance économique de
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée Basé sur les notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables) Elle fait
Plus en détailAVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014
AVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014 Orientations Budgétaires 2015 ORIENTATIONS BUDGÉTAIRES 2015 AVIS SUR LE RAPPORT GÉNÉRAL DU PRÉSIDENT DU CONSEIL RÉGIONAL Président : Patrick TASSIN Séance
Plus en détailRéglementés d électricité
Fin des Tarifs Réglementés d électricité Bienvenue dans un monde nouveau 7 RepÈres pour vous y retrouver sommaire 1 2 3 4 5 6 7 Quels sont les sites concernés par la fin des tarifs? 1 Q uels sont les sites
Plus en détailLA LETTRE DE L EPARGNE ET DE LA RETRAITE DU CERCLE DE L EPARGNE. N 3 juillet 2014
LA LETTRE DE L EPARGNE ET DE LA RETRAITE DU CERCLE DE L EPARGNE N 3 juillet 2014 L Edito de Philippe Crevel L épargnant des temps nouveaux frappe à la porte En 2017, les «digital natives» auront pris le
Plus en détailCompte d exploitation 2012. Assurance vie collective.
Compte d exploitation 2012. Assurance vie collective. 2012 Votre assureur suisse. 1/12 Compte d exploitation Assurance vie collective 2012 2012: des résultats positifs et encore plus de transparence. Chère
Plus en détailCinq ans après le début de la crise financière, l économie
52 5 L immobilier d entreprise allemand et les investisseurs Par Marcus Cieleback, directeur de recherche, PATRIZIA Immobilien AG. 5.1/ SITUATION GÉNÉRALE Cinq ans après le début de la crise financière,
Plus en détailBulletin trimestriel de conjoncture n 59
Bulletin trimestriel de conjoncture n 59 2 ème trimestre 2013 Repli accentué au 2 ème trimestre (-2%) du volume de travaux d entretienrénovation de logements Cette baisse d activité correspond à une baisse
Plus en détailFORTUNA di GENERALI. Fiche info financière assurance-vie pour la branche 23. FORTUNA di GENERALI 1
FORTUNA di GENERALI 1 TYPE D ASSURANCE-VIE GARANTIES Assurance-vie dont le rendement est lié à des fonds d investissement (branche 23). Fortuna di Generali garantit des prestations en cas de vie ou en
Plus en détailMegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant
MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité
Plus en détailLE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE
TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de
Plus en détailFloored Floater sur le taux d intérêt LIBOR CHF à trois mois avec emprunt de référence «General Electric Capital Corporation»
sur le taux d intérêt LIBOR CHF à trois mois avec emprunt de référence «General Electric Capital Corporation» Dans l environnement actuel caractérisé par des taux bas, les placements obligataires traditionnels
Plus en détailENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010
Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques
Plus en détailPoint d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015
Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la
Plus en détailAnalyse Financière Les ratios
Analyse Financière Les ratios Présenté par ACSBE Traduit de l anglais par André Chamberland andre.cham@sympatico.ca L analyse financière Les grandes lignes Qu est-ce que l analyse financière? Que peuvent
Plus en détailRAPPORT FINAL. Étude sur la littératie financière chez les jeunes POR # 441-07
POR # 441-07 RAPPORT FINAL Étude sur la littératie financière chez les jeunes Préparé pour : L Agence de la consommation en matière financière du Canada Date du rapport : Août 2008 This report is also
Plus en détailentreprises. Ensuite, la plupart des options d achat d actions émises par Corporation
28RE_chap_EP4.qx:quark de base 7/16/09 7:37 PM Page 858 Troisième partie : Le financement des ressources Les principales caractéristiques des travaux suggérés Questions de révision (N os 1 à 25) Exercices
Plus en détailLe Data Mining au service du Scoring ou notation statistique des emprunteurs!
France Le Data Mining au service du Scoring ou notation statistique des emprunteurs! Comme le rappelle la CNIL dans sa délibération n 88-083 du 5 Juillet 1988 portant adoption d une recommandation relative
Plus en détailLa valeur présente (ou actuelle) d une annuité, si elle est constante, est donc aussi calculable par cette fonction : VA = A [(1-1/(1+k) T )/k]
Evaluation de la rentabilité d un projet d investissement La décision d investir dans un quelconque projet se base principalement sur l évaluation de son intérêt économique et par conséquent, du calcul
Plus en détailEffet «La Marseillaise»
DTZ Research PROPERTY TIMES Effet «La Marseillaise» Marseille Bureaux T4 214 1 Février 215 Sommaire Contexte économique 2 Demande placée et valeurs locatives 3 Offre 4 Définitions 5 Le marché marseillais
Plus en détailDans la plupart des économies avancées, les prix immobiliers ont fortement
Les prix immobiliers en France : une évolution singulière Mickaël Clévenot Division Synthèse conjoncturelle Dans la plupart des économies avancées, les prix immobiliers ont fortement augmenté entre 2000
Plus en détailPARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES
SO00BM24 Introduction aux politiques économiques PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES CHAPITRE 2 : LA POLITIQUE MONETAIRE I. Préambules sur la Monnaie II. 1. La création monétaire A. Comment
Plus en détailProfessionnels de Santé
Professionnels de Santé Des solutions d assurance et d assistance spécifiquement adaptées à votre activité et à votre vie privée. www.allianz.fr Avec vous de A à Z En partenariat avec : Union Nationale
Plus en détailDébat participatif. La vie chère. «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse»
Débat participatif La vie chère «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse» Ségolène ROYAL Les enjeux de notre débat : Réconcilier les Français
Plus en détailLa dette extérieure nette du Canada à la valeur marchande
N o 11 626 X au catalogue N o 018 ISSN 1927-5048 ISBN 978-1-100-99873-2 Document analytique Aperçus économiques La dette extérieure nette du Canada à la valeur marchande par Komal Bobal, Lydia Couture
Plus en détailSOLIDARITÉS CIL-PASS ASSISTANCE. présentation du CIL-PASS ASSISTANCE schéma d ensemble bénéficiaires. aides :
FORMATION DROM 2014 CIL-PASS ASSISTANCE présentation du CIL-PASS ASSISTANCE schéma d ensemble bénéficiaires Des difficultés de logement? Amallia est à vos côtés. aides : prêts action logement aides complémentaires
Plus en détailManuel de l agent de crédit Banco Solidario
Manuel de l agent de crédit Banco Solidario Extraits sur la prévention du surendettement des clients texte original en espagnol La philosophie «Vivre la solidarité» peut s appliquer à toute notre vie.
Plus en détailTaux d intérêt nominaux négatifs «Terra incognita»
Apériodique n 5/5 avril 5 Taux d intérêt nominaux négatifs Au vu de ses objectifs immédiats (baisse des taux d intérêt gouvernementaux et des primes de risque acquittées par les pays dits périphériques),
Plus en détail