LA CROISSANCE DE L ENTREPRISE

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1 UNIVERSITE DE NANTES INSTITUT D ADMINISTRATION DES ENTREPRISES ECOLE DOCTORALE DROIT ET SCIENCES SOCIALES ANNEE 2005 LA CROISSANCE DE L ENTREPRISE LE CAS DES INDUSTRIES AGROALIMENTAIRES DE L ÉCONOMIE CAMEROUNAISE Thèse présentée et soutenue publiquement en vue de l obtention du Doctorat ès Sciences de Gestion Le 17 mars 2005, par Sabine Patricia MOUNGOU épouse MBENDA MEMBRES DU JURY : Directeur de thèse : Monsieur Jean-Pierre BRECHET Professeur à l Université de Nantes, Institut d Administration des Entreprises Rapporteurs : Monsieur Alain DESREUMAUX Professeur à l Université de Lille 1, Institut d Administration des Entreprises Monsieur Jean-Louis RASTOIN Professeur à l'école Nationale Supérieure d'agronomie de Montpellier Suffragants : Monsieur Denis BOUGET Professeur à l Université de Nantes, Directeur de la Maison des Sciences de l Homme Ange- Guépin Monsieur Pierre MEVELLEC Professeur à l Université de Nantes, Institut d Administration des Entreprises Monsieur TOUNA MAMA Professeur à l Université de Yaoundé II- Cameroun 0

2 L université n entend donner aucune approbation ni improbation aux opinions émises dans les thèses : ces opinions doivent être considérées comme propres à leurs auteurs. 1

3 REMERCIEMENTS Cette thèse est redevable de la confiance, de la participation active, du soutien et de l amitié que plusieurs personnes m ont témoignés. Je voudrais leur exprimer ma reconnaissance. J ai perçu le total engagement et l entière disponibilité du professeur Jean-Pierre Bréchet, directeur de cette thèse, comme une grande marque de confiance. C est cette confiance qui m a permis de conduire le projet jusqu à son terme. Je tiens aujourd hui à lui exprimer mes remerciements les plus sincères. Les professeurs Touna Mama et Pierre Mévellec ont véritablement été à l amont de ce travail, sans leur présence et leurs aides précieuses ce travail n aurait jamais commencé. Je voudrais, au travers de ces quelques mots, leur exprimer mes remerciements particuliers. Je remercie les professeurs Alain Desreumaux et Jean-Louis Rastoin, qui ont pris la peine d évaluer ce travail, et les professeurs Denis Bouget, Pierre Mévellec et Touna Mama pour leur participation au jury de thèse. Je ne saurais oublier Marie Catalo, Viviane Ondoua Biwolé, Nathalie Schieb-Bienfait, et Caroline Urbain qui ont fourni des remarques très profitables à l'amélioration de ce travail. Je remercie tout particulièrement Joseph Edzenguete Edzenguete et Pierre Ekoan pour leur aide cruciale lors de l enquête auprès des responsables d entreprises. Je remercie Théophile Nkomo et Jean Pierre Mbenda qui ont accepté la difficile tâche de relire ce travail. Je tiens aussi à remercier le professionnalisme, la gentillesse, la disponibilité et l amitié de Ellen Berjon-Erichsen, responsable de la bibliothèque de l IAE de Nantes. Merci également à la Communauté Urbaine de Nantes et à la Maison des Sciences de l Homme Ange-Guépin, qui ont apporté un soutien financier et logistique à ce travail au travers du prix Hampathé Bà. Je remercie l Institut National de la Statistique pour les précieuses données mises à ma disposition. Je ne saurais oublier Barnabé Okouda de l Institut National de la Statistique pour avoir facilité mon accès aux données ayant servies à la conduite de la recherche. 2

4 Je remercie aussi mes collègues de l université de Yaoundé II, plus particulièrement le doyen Séraphin Fouda, pour tous les encouragements. Il en est de même pour les équipes de l IAE de Nantes et de la Maison des Sciences de l Homme Ange-Guépin, cette thèse a pris forme grâce à leur accueil chaleureux et tolérant. Enfin, la confiance et l amour de ma famille ont été mes biens les plus précieux ces trois dernières années. Mon mari Jean-Pierre Mbenda, mes deux petites filles Hélène Monny Mbenda et Marie-Crescence Ngobo Mbenda ont toléré mon indisponibilité, les longues nuits sans sommeil, les départs incessants et les longues absences qui ont accompagné ce travail. Mes parents Jules Othon Ngong et Thérèse Abogo Bimena et mes frères m ont soutenu et encouragé incessamment. Mes sœurs Marie-Crescence Ngobo et Thérèse Prisca Abogo et ma belle-sœur Hélène Mbenda Monny ont souvent accepté d encadrer mes enfants pendant ces trois années consacrées à la thèse. Ma belle-famille a été tolérante toutes les fois où je n ai pas été disponible. J exprime aussi ma profonde reconnaissance à Marie Catalo qui m a offert, avec tant d amour, une autre famille quand j ai été si loin des miens. Je vous dois l aboutissement de ce travail et je vous le dédie. 3

5 SOMMAIRE TABLE DES ILLUSTRATIONS 6 LISTE DES SIGLES 12 INTRODUCTION GENERALE 13 PARTIE I- LES STRATEGIES DE CROISSANCE DE L ENTREPRISE 39 INTRODUCTION 40 CHAPITRE I - LES THEORIES ET LES FORMES DE LA CROISSANCE DE L ENTREPRISE 42 Section I - De la croissance de l entreprise au développement des projets productifs 43 Section II - Les stratégies de croissance de l entreprise 67 Section III - Les performances des entreprises en matière de croissance 87 Conclusion du chapitre I 94 CHAPITRE II - LA QUESTION CENTRALE DE LA COMPÉTITIVITÉ 96 Section I - La compétitivité et la croissance : vers quelles relations? 97 Section II - Les facteurs de la croissance dans l analyse traditionnelle 113 Section III - La nécessaire prise en compte des sources de compétitivité 129 Section IV - Le rôle des facteurs de contingence de l environnement 141 Conclusion du chapitre II 153 CONCLUSION DE LA PARTIE I 155 4

6 PARTIE II- LES FACTEURS DE LA CROISSANCE DE L ENTREPRISE 159 INTRODUCTION 160 CHAPITRE III - LES ASPECTS MULTIDIMENSIONNELS DE LA CROISSANCE 161 Section I - La méthodologie d investigation 162 Section II - Le traitement statistique des données 170 Section III - Une analyse descriptive des entreprises en décroissance 185 Section IV - Une analyse descriptive des entreprises en croissance modérée 202 Section V - Une analyse descriptive des entreprises en croissance rapide 221 Conclusion du chapitre III 233 CHAPITRE IV - LES PERSPECTIVES POUR UNE CROISSANCE COMPETITIVE 234 Section I - La stratégie de spécialisation face à la mondialisation 235 Section II - Les solutions visant l amélioration des cadres économiques, institutionnels, légaux et réglementaires 254 Section III - Pour une stratégie de diversification suivie d un recentrage dans des niches abandonnées 263 Conclusion du chapitre IV 283 CONCLUSION DE LA PARTIE II 284 CONCLUSION GENERALE 285 GLOSSAIRE 301 REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES 305 ANNEXES 323 TABLE DES MATIERES 399 5

7 TABLE DES ILLUSTRATIONS INTRODUCTION GENERALE Figure 1- Production à prix courants du secteur agroalimentaire de 1994/1995 à 2000/2001 (en milliards de FCA), évolution absolue et relative 15 Figure 2- Evolution de la production dans le secteur des industries agroalimentaires de 1994/1995 à 2000/ Figure 3- Taux de croissance réel du Cameroun de 1994/1995 à 2000/2001(en %) 15 Figure 4- Le cadre de la recherche 22 Figure 5- Le modèle A2IA (Agro-Industries Industries Alimentaires) 30 Figure 6- Industries agroalimentaires au Cameroun 31 Figure 7- Répartition des entreprises suivant la branche d activité en 1998/ Figure 8- Répartition des entreprises suivant l effectif employé en 1998/ Figure 9- Répartition des entreprises suivant l âge en 1998/ Figure 10- Plan de la thèse 38 PARTIE I Figure 11- Plan de la Partie I 41 CHAPITRE I Figure 12- Exemple d objectifs des IAA-EC 53 Figure 13- Nature des objectifs des IAA-EC 53 Figure 14- Le système d offre schématisé 59 Figure 15- La spécificité alimentaire et ses conséquences stratégiques 64 Figure 16- Le continuum spécialisation/diversification 69 Figure 17- Typologies de Wrigley (1970) et de Rumelt (1974) 72 Figure 18- Statistiques descriptives du taux de croissance de la valeur ajoutée 1998/ /2002 (en million de FCFA) 91 Figure 19- Répartition des entreprises suivant l évolution de la valeur crée: 1998/ / Figure 20- Distribution des taux de croissance 92 Figure 21- Classes d entreprise selon les rythmes de croissance 93 CHAPITRE II Figure 22- Les dimensions de la qualité pour la firme agroalimentaire 106 Figure 23- Distribution des fréquences relative à la branche 114 Figure 24- Distribution de fréquences relative à l effectif employé 117 6

8 Figure 25- Distribution de fréquences relative à l âge 118 Figure 26- Distribution de fréquences relative à la composition du capital social 120 Figure 27- Distribution de fréquences relative au statut juridique 121 Figure 28- Distribution de fréquences relative à la réalisation d une dépense d investissement au cours de l exercice 1998/ Figure 29- Distribution de fréquences relative au taux d investissement 122 Figure 30- Distribution de fréquences relative à la répartition géographique des ventes 124 Figure 31- Distribution de fréquences relative à l emplacement 125 Figure 32- Distribution de fréquence relative au degré de diversification 126 Figure 33- Distribution de fréquences relative au niveau de formation du dirigeant 127 Figure 34- Distribution de fréquences relative à la confusion direction/propriété 127 Figure 35- Distribution de fréquences relative aux sources de compétitivité 137 Figure 36- Les acteurs de la normalisation alimentaire 145 Figure 37- Distribution de fréquences relative aux obstacles à la croissance 151 CONCLUSION PARTIE I Figure 38- Le cadre de la recherche 156 PARTIE II Figure 39- Plan de la partie II 160 CHAPITRE III Figure 40- Répartition des entreprises par branche d activité 166 Figure 41- Synthèse des variables de la recherche 167 Figure 42- Résultats des tests KMO et de Bartlett' 174 Figure 43- Matrice des composantes après rotation 176 Figure 44- Matrice de structure 179 Figure 45- Fonctions au barycentre de groupe 180 Figure 46- Test Results 181 Figure 47- Matrice de confusion 182 Figure 48- Les caractéristiques des entreprises en décroissance rapide 186 Figure 49- Profil discriminant de BO 187 Figure 50- Trajectoire de croissance de BO 188 Figure 51- Profil discriminant de UN 188 Figure 52- Trajectoire de croissance de UN 189 Figure 53- Les voies de développement des entreprises en décroissance rapide 190 Figure 54- Profil de MIL 190 7

9 Figure 55- Trajectoire de croissance de MIL 191 Figure 56- Profil discriminant de PAT 191 Figure 57- Trajectoire de croissance de PAT 192 Figure 58- Profil discriminant de CAC 192 Figure 59- Trajectoire de croissance de CAC 193 Figure 60- Les caractéristiques des entreprises en décroissance modérée 194 Figure 61- Profil discriminant de TR 195 Figure 62- Trajectoire de croissance de TR 196 Figure 63- Profil discriminant de US 196 Figure 64- Trajectoire de croissance de US 197 Figure 65- Les voies de développement des entreprises en décroissance modérée 197 Figure 66- Profil discriminant de PAL 198 Figure 67- Trajectoire de croissance de PAL 199 Figure 68- Profil discriminant de VI 199 Figure 69- Trajectoire de croissance de VI 200 Figure 70- Profils types des entreprises en décroissance modérée et rapide 201 Figure 71- La bonne gestion de l'entreprise 203 Figure 72- Profil discriminant de PR 204 Figure 73- Trajectoire de croissance de PR 204 Figure 74- Profil discriminant de CO 205 Figure 75- Trajectoire de croissance de CO 206 Figure 76- Les liens, coopérations (écrits, tacites, formels et informels) 206 Figure 77- Profil discriminant de GC 207 Figure 78- Trajectoire de croissance de GC 208 Figure 79- La maîtrise des circuits de distribution/vente et des relations avec les clients 209 Figure 80- Profil discriminant de BC 209 Figure 81- Trajectoire de croissance de BC 210 Figure 82- Les obstacle au développement de l activité 211 Figure 83- L'emplacement de l'entreprise 212 Figure 84- L emplacement, l enclavement, les transports et les ressources énergétiques et la fiscalité 212 Figure 85- Profil discriminant de SPA 214 Figure 86- Trajectoire de croissance de SPA 214 Figure 87- Profil discriminant de CH 215 Figure 88- Trajectoire de croissance de CH 216 Figure 89- Les matières premières agricoles (disponibilité, coûts, qualité) 216 Figure 90- L emplacement de l entreprise et les matières premières (disponibilité, qualité, coût) 217 8

10 Figure 91- Profil discriminant de SS 217 Figure 92- Trajectoire de croissance de SS 218 Figure 93- Profil discriminant de SOM 219 Figure 94- Trajectoire de croissance de SOM 219 Figure 95- Profil type de l entreprise en croissance modérée 220 Figure 96- Taux de croissance de l'investissement 222 Figure 97- Profil discriminant de BPA 222 Figure 98- Trajectoire de croissance de BPA 223 Figure 99- Evolution de l investissement de BPA 224 Figure 100- Profil de croissance de SOR 224 Figure 101- Trajectoire de croissance de SOR 225 Figure 102- Evolution de l investissement de SOR 225 Figure 103- La pratique des prix bas (PRIX) 226 Figure 104- La branche d activité 227 Figure 105- Failles du système de contrôle et de normalisation de la qualité 227 Figure 106- Profil discriminant de NC 228 Figure 107- Trajectoire de croissance de NC 229 Figure 108- Profil discriminant de PP 229 Figure 109- Trajectoire de croissance de la valeur ajoutée de PP 230 Figure 110- Profil discriminant de TB 230 Figure 111- Trajectoire de croissance de TB 231 Figure 112- Profil discriminant type de l entreprise en croissance rapide 232 CHAPITRE IV Figure 113- Activités des entreprises de l échantillon par branches 237 Figure 114- Branche d activité et répartition géographie des ventes 248 Figure 115- Taux d exportation et taux d importation par branche en 1998/1999 (en %) 249 Figure 116- Structure des dépenses alimentaires des ménages au Cameroun (en %). 262 Figure 117- Répartition de la production à prix courant par branche d activité (en milliards de FCFA) 265 Figure 118- Répartition de la valeur ajoutée par branche à prix courant (en milliard de FCFA) CONCLUSION GENERALE Figure 119- Cadre d analyse des stratégies de croissance des industries agroalimentaires de l économie camerounaise 286 9

11 ANNEXES Figure 120- Extrait de la nomenclature des activités du Cameroun : les industries agroalimentaires 344 Figure 122- Investissement et variation relative de l investissement 348 Figure 123- Chiffre d affaires et variation relative du chiffre d affaires 349 Figure 124- Ratio de spécialisation 350 Figure 125- Indice du degré d intégration verticale 352 Figure 126- Valeur ajoutée et taux de croissance de la valeur ajoutée 353 Figure 127- La branche d'activité (BRCH) * La pratique des prix bas (PRIX) 357 Figure 128- La branche d'activité (BRCH) * La maîtrise des coûts ( COUT) 358 Figure 129- La branche d'activité (BRCH) * Les ressources (humaines, financières, informationnelles) (RESS) 359 Figure 130- La branche d'activité (BRCH) * La qualité des produits (QUAL) 360 Figure 131- La branche d'activité (BRCH) * La maîtrise des approvisionnements est des relations avec les fournisseurs ( APPR) 361 Figure 132- La branche d'activité (BRCH) * L'innovation produit/process (ING) 362 Figure 133- La branche d'activité (BRCH) * La bonne gestion de l'entreprise (GEST) 363 Figure 134- La branche d'activité (BRCH) * La logistique interne et externe (LOGI) 364 Figure 135- La branche d'activité (BRCH) * La maîtrise de la technologie et de l'outil de production (PROD) 365 Figure 136- La branche d'activité (BRCH) * Les liens, coopérations (écrits, tacites, formelles et informelles) avec les partenaires et divers publics (Liens) 366 Figure 137- La branche d'activité (BRCH) * La maîtrise des circuits de distribution/vente et des relations avec les clients (Vent) 367 Figure 138- Les matières premières agricoles (disponibilité, coûts, qualité) (MPA) * L'emplacement de l'entreprise (LIEU) 368 Figure 139- Les services à la production (disponibilité, coût, qualité) (SP) * L'emplacement de l'entreprise (LIEU) 369 Figure 140- Les ressources humaines (compétence,expérience, disponibilité, santé) (RH) * L'emplacement de l'entreprise (LIEU) 370 Figure 141- L'environnement juridique et judiciaire (EN) * L'emplacement de l'entreprise (LIEU) 371 Figure 142- Les failles du système de contrôle et de normalisation de la qualité (SCQ) * L'emplacement de l'entreprise (LIEU) 372 Figure 143- L'enclavement (ENC) * L'emplacement de l'entreprise (LIEU) 373 Figure 144- L'étroitesse de marché local, faiblesse des revenus (EML) * L'emplacement de l'entreprise (LIEU) 374 Figure 145- La faiblesse du tissu industriel (FTI) * L'emplacement de l'entreprise (LIEU) 375 Figure 146- La corruption (CRP) * L'emplacement de l'entreprise (LIEU)

12 Figure 147- La fiscalité à l'intérieur et aux portes du pays (FISC) * L'emplacement de l'entreprise (LIEU) 377 Figure 148- Les ressources énergétiques (RE) * L'emplacement de l'entreprise (LIEU) 378 Figure 149- Les transports (qualité et coûts) (TRP) * L'emplacement de l'entreprise (LIEU) 379 Figure 150- Les variables et leurs abréviations

13 LISTE DES SIGLES AFRISTAT : AIEA2 : BCD : CAC : CDSR-AC : CEMAC : CIRAD : CREA : CRETES : DRSP : DSCN : FAO : FMI : FONADER : Franc CFA : GIC : GICAM : GTZ : IAA-EC : IDE : IRAD : MINAGRI : MINDIC : MINEFI : MINPAT : OCDE : ONG : PPTE : SFEA SIM : SODEPA : Observatoire Economique et Statistique d Afrique Subsaharienne Association Internationale d'economie Alimentaire et Agro-industrielle Banque Camerounaise de Développement. Crédit Agricole du Cameroun. Centre de Développement Sous-Régional pour l Afrique Centrale. Communauté Economique et Monétaire de l Afrique Centrale. Centre de Coopération International en Recherche Agronomique pour le Développement. Consortium pour la Recherche en Afrique. Centre de Recherche et d Etude en Economie et Sondage Document de Stratégie de Réduction de la Pauvreté Direction de la Statistique et de la Comptabilité Nationale. Fond and Agriculture Organisation Fond Monétaire International. Fond National de Développement Rural. Franc de la Coopération Financière Africaine Groupement d Intérêt Collectif Groupement Interprofessionnel du Cameroun Deutsche Gesellschaft für technische Zusammenarbeit Industries AgroAlimentaires de l Economie Camerounaise Investissements Directs Etrangers. Institut des Recherches Agricoles pour le Développement Ministère de l Agriculture Ministère du Développement Industriel et Commercial Ministère de l Economie et des Finances Ministère du Plan et de l Aménagement du Territoire. Organisation pour la Coopération et le Développement Economique. Organisation Non Gouvernementale initiative d appui aux Pays Pauvres Très Endettés Société Française d'economie Alimentaire et Agro-industrielle Système d Information sur les Marchés. Société de Développement des Productions Animales. 12

14 INTRODUCTION GENERALE «Le secteur industriel est considéré à moyen terme comme le vrai levier de la croissance pour la réduction de la pauvreté. L ambition d une croissance annuelle au taux de 6-7% pour atteindre les objectifs de la stratégie à l horizon 2015 nécessite une plus grande contribution de l industrie et des services à la croissance. Le Cameroun dispose d atouts compétitifs non négligeables, notamment une position géographique privilégiée dans le Golfe de Guinée, avec un marché potentiel de 200 millions de consommateurs d Afrique Centrale et du Nigeria, et la disponibilité ou un fort potentiel dans des facteurs de production clés tels que l énergie et une main-d œuvre qualifiée» (DRSP 1, 2003, p. xii). Cet extrait du Document de Stratégie de Réduction de la Pauvreté (DSRP) situe globalement le contexte politique et économique de la question de la croissance au Cameroun et son enjeu empirique pour l économie camerounaise. Il souligne le rôle central assigné au secteur industriel pour tirer la croissance économique. En outre, il relève l intérêt de la compétitivité dans la recherche d une croissance économique durable et montre une perception traditionnelle des sources de la compétitivité fondée sur la dotation factorielle du Cameroun en ressources de production et la proximité des débouchés potentiels. La croissance et la compétitivité de l économie camerounaise constituent des préoccupations actuelles des milieux public et privé camerounais. Un comité de compétitivité a été créé par décret présidentiel n 97/0235 du 31 décembre 1997, afin de favoriser la concertation et le dialogue entre les secteurs privés et publics. L objectif ultime de ce comité est de contribuer au renforcement de la compétitivité de l économie camerounaise, par l instauration d un environnement des affaires propice au développement des investissements privés productifs. 1 Le Document de Stratégie de Réduction de la Pauvreté (DRSP) cadre l accès des pays pauvres aux ressources de l initiative d Appui aux Pays Pauvres très Endettés (PPTE). Au Cameroun, il se veut la résultante «d un processus dynamique ouvert, mettant à contribution la pleine participation des populations à la base, de la société civile, du secteur privé et des partenaires au développement, aux côtés des administrations publiques» (DRSP, 2003, p. I). Il s agit d un nouveau cadre de définition de référence de la politique économique et sociale du Cameroun, qui est actuellement centrée sur la définition d une stratégie de lutte contre la pauvreté. 13

15 Dans cette perspective, plusieurs études 2 ont été réalisées pour déterminer les sources de la croissance et les conditions de la compétitivité du Cameroun en général, et du secteur industriel en particulier. Ces études sont généralement orientées vers les questions des atouts et insuffisances du secteur industriel, de l identification des secteurs et des filières à fort potentiel de croissance et de compétitivité, du recensement des menaces environnementales, de la désignation des axes prioritaires d action des politiques économiques. Cependant, une remarque liminaire peut être faite. Les études conduites jusqu ici mettent en avant les dimensions macro-économiques et méso-économiques de la croissance et de la compétitivité (croissance et compétitivité nationale et/ou sectorielle), au détriment d une analyse centrée sur les entreprises et leurs projets. En outre, la croissance et la compétitivité cohabitent dans ces études, mais celles-ci ne montrent pas suffisamment les interactions entre ces deux objectifs stratégiques 3. Sur un autre plan, une observation des données sectorielles et macro-économiques du Cameroun montre une tendance à la croissance depuis l année Ainsi, la production du secteur des industries agroalimentaires de l économie camerounaise (le terrain de cette recherche) connaît, dans son ensemble comme dans la majorité de ses branches, une croissance très appréciable. Le tableau ci-après montre la production à prix courants du secteur des industries agroalimentaires de 1994/1995 à 2000/2001 5, la croissance absolue qui matérialise l évolution nette de la production entre deux périodes successives, ainsi que la croissance relative. 2 On peut citer deux études relativement récentes : N. Gergley (2002), «Etude sur l amélioration de la commercialisation et de la compétitivité des produits agricoles au Cameroun», qui vise l identification des obstacles à la commercialisation des produits agricoles ; Comité de Compétitivité, GTZ (2003), «Etude documentaire sur la compétitivité de l économie camerounaise», qui vise l évaluation des atouts compétitifs du cadre général et les filières particulières de l économie camerounaise, plus spécifiquement, la présentation de la situation actuelle de la compétitivité de l économie camerounaise, des potentialités de développement et de croissance des secteurs et filières productives et l identification des secteurs et filières particulièrement porteuses sous les aspects de réduction de la pauvreté et de compétitivité. 3 Quelques extraits du Document de Stratégie de Réduction de la Pauvreté (DRSP) sont proposés à l annexe afin d illustrer l approche actuelle de la question de la croissance et de la compétitivité au Cameroun. 4 Au Cameroun, l année 1994 est généralement présentée comme l année de sortie d une décennie de crise économique. 5 Les données en question sont produites par l Institut National de la Statistique. Elles correspondent à l exercice comptable qui court du mois de juillet au mois de juin de l année suivante dans la nomenclature comptable OCAM. Depuis l année 2003, la nomenclature OCAM est remplacée par la nomenclature OHADA (Organisation pour l Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires). 14

16 Figure 1- Production à prix constants du secteur agroalimentaire de 1994/1995 à 2000/2001 (en milliards de FCA), évolution absolue et relative Années 94/95 95/96 96/97 97/98 98/99 99/00 00/01 Production à prix constants du secteur agroalimentaire 576,54 616,87 650,36 686,16 717,03 732,38 767,82 Croissance absolue 40,33 33,49 35,80 30,87 15,35 35,44 Taux de croissance (en %) 6,99 5,42 5,50 4,49 2,14 4,83 Source de données : Institut National de la Statistique : Extraits comptabilité nationale Dans ce tableau, le taux de croissance de la production est positif sur l ensemble de la période. On peut noter un fort taux de croissance entre les exercices 1994/1995 et 1996/1997. Le graphique ci-après retrace l évolution de la production. Figure 2- Evolution de la production à prix constants dans le secteur des industries agroalimentaires de 1994/1995 à 2000/2001 Production à prix constants /95 95/96 96/97 97/98 98/ 99 99/ / 01 Exercices Source de données : Institut National de la Statistique : Extraits comptabilité nationale On peut observer qu en l espace de sept exercices successifs, la production du secteur a évolué constamment. Cette évolution de la production est positive comme celle de la croissance économique globale, qui est passée de 3,11% au cours de l exercice 94/95 à 5,3% au cours de l exercice 2000/2001, comme on peut l observer dans le tableau ci-après. Figure 3- Taux de croissance réel du Cameroun de 1994/1995 à 2000/2001(en %) A nnées 94/95 95/96 96/97 97/98 98/99 99/ /2001 Taux de 3,11 4,97 5,10 5,0 4,50 4,40 5,3 croissance réel du Cameroun Source de données : Institut National de la Statistique : Extraits comptabilité nationale

17 Cette croissance sectorielle peut globalement s expliquer par la conjonction de deux phénomènes bien décrits par Bienaymé (1971), Kemp et al. (2001) : la création de nouvelles entreprises dans le secteur, les entreprises existantes gardant la même taille au cours de la période ; ou alors l expansion des entreprises existantes qui compense et dépasse les décroissances occasionnées par les entreprises défaillantes qui disparaissent du secteur. On peut alors légitimement se demander si les industries agroalimentaires de l économie camerounaise ont des comportements de croissance. En d autres termes, la croissance observée du secteur agroalimentaire de l économie camerounaise est-elle occasionnée par les entreprises existantes? Cependant, cette interrogation bien qu importante paraît insuffisante. Une analyse des statistiques sectorielles sur les performances industrielles peut renseigner sur la dynamique de la vie économique globale des entreprises (disparition, création, expansion et décroissance des entreprises existantes) sans pour autant renseigner sur les caractéristiques des stratégies de croissance des entreprises prises individuellement, ainsi que sur les éléments de contingence interne et externe qui régissent et pèsent sur la réussite de ces stratégies. Cette réalité n a pas suffisamment été prise en compte par les études réalisées sur les entreprises camerounaises. C est l un des constats dont nous sommes parti pour conduire cette recherche. Nous envisageons d inscrire les objectifs de la recherche dans un cadre théorique approprié (I). Il importe par la suite de dire pourquoi la recherche présente des intérêts et une pertinence empiriques (II). Par ailleurs, la recherche repose sur une démarche méthodologique adaptée (III) et les différentes étapes sont agencées dans un plan en deux parties (IV). I- Cadre théorique et objectifs de la recherche Bien que la croissance de l entreprise soit une problématique ancienne et récurrente 6, le phénomène de croissance n est pas encore définitivement qualifié. Ce constat est dressé après l examen des approches qui lui sont consacrées. On peut ainsi relever les différences dans l appréhension du phénomène, la spécification des modalités et l examen des facteurs 6 La croissance de l entreprise fait l objet de travaux fondamentaux anciens comme ceux de E.T. Penrose (1959, traduction française), H.I. Ansoff (1965, traduction française), A. Bienaymé (1971, 1973), B. De Montmorillon (1986, 1989). 16

18 explicatifs ou caractéristiques importantes pour assurer la croissance de l entreprise. Il en ressort une pluralité de lectures, que nous avons regroupées en deux grandes approches, suivant l apparition chronologique des apports théoriques au cours des cinq dernières décennies : les approches économiques de la croissance de l entreprise ; les approches de la croissance dans une perspective stratégique. Ce regroupement laisse transparaître l instabilité du statut théorique de la croissance de l entreprise. D abord centrée sur des préoccupations dimensionnelles et sur des questions relatives à l évolution de la taille (approches économiques), la problématique de la croissance de l entreprise a progressivement orienté ses interrogations sur les questions relatives aux choix des activités, à l évolution des métiers et des missions de l entreprise, qui relèvent du domaine du management stratégique. Ces approches, à notre sens, se sont développées successivement dans une certaine ambivalence centrée sur un questionnement concernant la définition même de l entreprise. Dans les approches économiques, l hypothèse de la croissance fonde l explication principale du comportement de l entreprise. «La vocation d une entreprise authentique est de croître» (Bienaymé, 1971, p. 6). La croissance est à la fois l action d accroître la dimension de l entreprise et le résultat de cet accroissement. Elle est plus ou moins explicitement ancrée dans la problématique du développement de l entreprise, comme il ressort des analyses effectuées au sein des travaux découlant de l interprétation de la firme néo-classique, des approches par l évolution, notamment la théorie du cycle de vie de l entreprise (Marshall, 1920 ; Boulding, 1950 ; Alchian, 1950 ; Greiner, 1972), de la théorie du processus de croissance (Penrose, 1963), à laquelle sont souvent associées les approches récentes dites «ressources» (Wernerfelt, 1984 ; Barney, 1991). Ces différentes analyses admettent fondamentalement la firme comme une fonction de production, bien qu à des degrés d analyse différents. Comme le soulignent Desreumaux et Bréchet (1998), la perspective production est tangible et relativement statique dans l approche économique classique, et intangible et dynamique dans les approches par l évolution et les approches «ressources». Le thème de la croissance va ainsi graviter autour des préoccupations relatives à l accroissement de la production de l entreprise. 17

19 Par ailleurs, l approche économique semble adhérer, implicitement ou non, à une vision positive de la grande taille. Cette vision positive s exprime soit en admettant que l augmentation de la taille de l entreprise s apparente au succès et que les organisations qui croissent en taille ont des capacités particulières (Penrose, 1963), soit en faisant intervenir un processus naturel d adaptation au cours duquel certains groupes développent, les caractéristiques attendues par leur environnement (Alchian, 1950). Dans cette perspective, l entreprise qui ne croît pas présente forcément des insuffisances. Cette vision est fortement remise en cause par des phénomènes tels que l apparition des seuils de diversification au-delà desquels les entreprises diversifiées deviennent moins rentables, les mouvements de recentrage des firmes autour de leurs métiers de base, la multiplication et la pérennité des formes organisationnelles de taille réduite. Il convient d intégrer les phénomènes ci-dessus évoqués pour qualifier le processus de développement de l entreprise. La prise en compte de cette multitude des formes organisationnelles s effectue d abord au sein des travaux consacrés à la croissance par les auteurs dans le domaine du management stratégique. On peut se référer à l examen des modalités de la croissance. Au départ, le débat se focalise sur l opposition entre la croissance interne et la croissance externe (Paturel, 1981) sans une prise en compte consciente de l incidence sur les formes organisationnelle. Les contributions récentes soulignent, avec intérêt, les corollaires organisationnels et retiennent des formes patrimoniale, managériale et contractuelle de la croissance de l entreprise (De Montmorillon, 1997). L idée de croissance s estompe dans la théorie lorsque les préoccupations deviennent relatives au choix des produits et des métiers de l entreprise. D abord, le développement de l entreprise est appréhendé au travers de l évolution de son portefeuille d activités (Ansoff, 1989). L objectif assigné est de combler l écart de planification stratégique matérialisé par la différence entre le chiffre d affaires et les résultats de l entreprise et les objectifs de chiffre d affaires et des résultats souhaités. L idée de croissance est encore présente, mais elle est perçue au travers de la valorisation ou du renouvellement des marchés et produits actuels de l entreprise, comme l illustre le vecteur de croissance de Ansoff (1989, p. 116). En outre, les différentes voies de développement (diversification, spécialisation, intégration verticale, internationalisation) sont parfois présentées, au même titre que les modalités de la croissance, comme les stratégies de la croissance (Lavalette et Niculescu, 1999). 18

20 Ce faisant, l intérêt porté par Desreumaux et Bréchet (1998) à une théorisation de la firme propre aux sciences de gestion pourrait réorienter les débats. L entreprise est considérée avant tout comme un projet productif porté par les acteurs (De Montmorillon, 1986, 1997 ; Bréchet, 1994, 1996 ; Desreumaux et Bréchet, 1998). Dans cette perspective, les auteurs en management stratégique suggèrent de ne plus axer l analyse sur les entreprises qui augmentent en taille, mais sur les projets productifs qui se diffusent via plusieurs voies de développement et formes de systèmes d offre. La croissance est comprise et analysée au travers d une hypothèse globale de développement des projets productifs. Pour la comprendre, il faut s appuyer sur la connaissance des projets et des acteurs, ainsi que sur les différentes logiques intervenant dans la structuration de l action. Cette approche stratégique requiert une réflexion relative, mettant en jeu, la concurrence et la compétitivité, au sens de la capacité à mobiliser les ressources, les compétences et les débouchés dans un environnement disputé (Pfeffer et Salancik, 1978). En définissant l entreprise par les notions immatérielles que sont le projet et le système d offre, il devient possible de concevoir la croissance comme un projet de gestion et comme un outil de gestion, par conséquent, d en établir un rapport avec le profit et la compétitivité (De Montmorillon, 1997). Un examen de la relation entre la croissance et la compétitivité laisse entrevoir une interdépendance, dans le sens où la croissance apporte la compétitivité à l entreprise (De Montmorillon, 1997) et un projet ne peut se développer s il ne peut s imposer dans un environnement disputé. Il convient ainsi de se soumettre à l examen des éléments et des processus susceptibles de conférer de telles performances à l entreprise. Pour ce faire, le management stratégique recourt généralement au concept d avantage concurrentiel. Si on se place dans cette perspective, l approche économique des facteurs de la croissance peut s enrichir de cette analyse stratégique et ne plus reposer uniquement sur les caractéristiques internes et externes de l entreprise, ainsi que sur les valeurs, aspirations et caractéristiques du dirigeant. Dès lors, il est possible de parler de «croissance compétitive» de l entreprise pour matérialiser cette proximité de la croissance et de la compétitivité en contexte concurrentiel. Toutefois, si l on vient à appréhender les facteurs de croissance au travers de la question centrale de la compétitivité, plusieurs éléments sont à prendre en compte. La compétitivité de l entreprise relève non seulement du positionnement concurrentiel (associé aux travaux de Porter, 1986), mais aussi de la nature idiosyncratique de la firme que lui 19

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