Dossier de presse. Conséquences de la hausse de l euro
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- Robert Mathieu
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1 Dossier de presse Conséquences de la hausse de l euro Conférence de presse Lundi 15 octobre 2007 Contact : Jean-Michel BOUSSEMART jmboussemart@coe-rexecode.fr Centre d Observation Économique et de Recherches pour l Expansion de l Économie et le Développement des Entreprises 1 Siège social : 29 avenue Hoche Paris Téléphone : +33 (0) Fax : +33 (0) Association régie par la loi du 1 er juillet 1901 APE 911C SIRET TVA FR
2 2 Conférence de presse - lundi 15 octobre 2007
3 Conférence de presse - lundi 15 octobre 2007 Conséquences de la hausse de l euro Jean-Michel BOUSSEMART Le désordre sur les marchés de changes s est encore accentué au cours de l été et reste vif aujourd hui. Contre le dollar, l euro se trouve propulsé sur de nouveaux records à plus de 1,42 et contre le yen, il est à nouveau juché sur des sommets à environ 167. Il en est de même contre le franc suisse à plus de 1,67, et contre le sterling à près de 0,70. Même contre le yuan, l euro s apprécie. Le renchérissement de l euro ne comporte pas que des désavantages, alors que les prix du pétrole et des autres produits de base sont tirés à la hausse. Cependant, les inconvénients l emportent. En dégradant encore plus la compétitivité de la zone, la hausse de l euro pousse à accélérer les délocalisations dans les pays à coûts de main d œuvre plus bas et tend à réduire encore plus la base industrielle de nos régions. L euro s est fortement réévalué depuis deux ans Depuis un point bas récent, touché à l automne 2005 alors qu il cotait 1,17 dollar, l euro s est réévalué de plus de 26 % contre le dollar. Vis-à-vis du yen, depuis son point bas de l été 2005 (131 yens pour un euro), il s est apprécié de 27 % environ. Sur la même période, il a gagné près de 8 % contre le franc suisse. Même contre le yuan chinois, la devise européenne s apprécie. Valant aujourd hui plus de 10,5 yuans, l euro est plus cher qu en juillet 2005 (10 yuans) au moment où les autorités monétaires chinoises ont accepté de laisser leur devise se réévaluer lentement contre le dollar (graphique diapo 2). L euro est haut contre les principales devises Si l on prend davantage de champ, l euro (ou l euro reconstitué) est au plus haut contre le dollar depuis le tout début des années Il l est aussi contre le yen depuis 1993, et pas loin des plus hauts contre le yuan depuis le milieu des années 1990 (graphique diapo 3). Le niveau haut de l euro, au regard des observations historiques, apparaît clairement lorsque l on calcule son taux de change effectif nominal moyen. Sur la base en 1997, celui-ci ressort en septembre 2007 à près de 112,5, bien au-dessus de sa moyenne située à 96,5, pas loin de ses records absolus. A l inverse, le change effectif nominal moyen du dollar est bas, il est en dessous de sa moyenne historique, pas loin de ses plus bas (graphiques diapos 4-5-6). Plus pertinente encore est la mesure du taux de change effectif réel moyen qui corrige les évolutions du change des devises des disparités entre pays en matière d inflation. Sur la base en 1997, le taux de change effectif réel de l euro est à l indice 115, près de 17 % au-dessus de sa moyenne située à 98,4. Il a pratiquement retrouvé ses records antérieurs (graphique diapo 7). Le change effectif réel du dollar est, quant à lui, à l indice 93, environ 9 % en dessous de sa moyenne de longue période. Il n est pas loin de ses plus bas. Celui du yen est tombé à l indice 80. Il est 24 % en dessous de la moyenne de ces vingt dernières années et a retrouvé la position qu il avait au début de l année 1986 (graphiques diapos 8 et 9). 3
4 Conférence de presse - lundi 15 octobre 2007 Distorsion anormale des prix et des coûts Le change de l euro se situe nettement au-dessus de sa parité de pouvoir d achat. Selon les données de l OCDE, le taux de change entre l euro, le dollar et le yen qui égaliserait le niveau moyen des prix des PIB européen, américain et japonais, est estimé à 1,18 dollar et 142 yens pour un euro. Avec la grille de changes actuelle, le niveau moyen des prix du PIB de la zone euro dépasse de 20 % celui des prix du PIB des Etats-Unis et de 18 % celui des prix du PIB du Japon (graphique diapo 10). Si l on se réfère aux mesures du coût horaire de la main d œuvre que font les organismes statistiques nationaux dans la zone euro, aux Etats-Unis et au Japon, la grille de changes (moyenne du troisième trimestre 2007) laisse un coût dans la zone euro supérieur de 40 % au coût américain, et supérieur de 85 % à celui du Japon. Il y a six ans, cette même grille de changes laissait les coûts salariaux horaires japonais et européens à parité. Il y a cinq ans, il en était de même entre les coûts salariaux américains et européens. Avec la hausse de l euro depuis 2002, hausse qui a repris un deuxième élan depuis le début 2006, les conditions de la compétition sur les marchés mondiaux à l exportation se sont donc profondément modifiées au détriment des européens et à l avantage des américains et plus encore des japonais (graphique diapo 11). N oublions par le yuan La surévaluation croissante de l euro va peser d autant plus sur les performances économiques de la zone qu elle s opère aussi contre les devises des pays émergents qui restent accrochées au dollar, ou dont les autorités qui les gèrent interviennent pour limiter leur appréciation vis-à-vis de la devise américaine. C est le cas notamment des devises asiatiques et notamment du yuan. Valant aujourd hui 10,5 yuans, l euro tend à s apprécier contre la devise chinoise, ce qui est totalement contre nature. Le dumping monétaire chinois est flagrant, le déficit commercial de la zone euro avec la Chine ne fait que croître. Il ressort à plus de 110 milliards d euros l an (graphique diapo 12). Les importations de la zone euro en provenance de Chine représentent plus de 11 % des importations totales consolidées de la zone. A la fin de la décennie précédente, elles en représentaient moins de 4,5 %. La zone euro perd des parts de marché De 2002 à 2006, période de forte appréciation de l euro contre la plupart des devises, on constate que la croissance des exportations en volume de la zone euro a été de 5 % par an, alors que la progression de la demande mondiale adressée à l ensemble de la zone euro aurait dû conduire à une augmentation des exportations en volume de 7,6 % (à parts de marché inchangées). Ce constat est valable pour tous les pays membres de la zone euro qui ont tous vu la progression de leurs exportations être inférieure à celle de la demande mondiale qui leur était adressée. Seule l Allemagne a vu ses exportations progresser au même rythme que la demande mondiale qui lui était adressée durant cette période (voir tableau page suivante). La France et l Italie ont particulièrement reculé. Evolution des exportations et de la demande mondiale adressée aux pays membres de la zone euro de 2002 à 2006 Taux de croissance annuel moyen (en %) 2006 comparé à 2002 Demande Export. mondiale adressée (d) (e) (e-d) Zone euro 7,6 5,0-2,6 Allemagne 7,8 7,8 0,1 France 7,7 2,9-4,8 Italie 8,4 1,4-6,9 Espagne 6,7 3,9-2,9 Pays-Bas 7,0 5,6-1,4 Belgique 7,2 3,9-3,3 Taux de change moyen sur la période euro = dollar 1,22 Source : Comptabilité Nationale pour les exportations et calculs Coe-Rexecode pour la demande mondiale adressée. 4
5 Conférence de presse - lundi 15 octobre 2007 A titre de comparaison, entre 1999 et 2002, période pendant laquelle l euro avait coté en moyenne 0,92 dollar, la progression des exportations de la zone euro avait été de 5,8 % par an, soit plus que la progression de la demande mondiale adressée à la zone euro (5,1 % par an). Entre 1999 et 2002, tous les principaux pays de la zone euro, à l exception de l Italie, ont vu leurs exportations progresser à un rythme supérieur à celui de la demande mondiale qui leur était adressée. Quelques observations La réévaluation de l euro ne comporte pas que des désavantages. Elle contribue à passer sur l inflation dans la zone et rend meilleur marché les actifs étrangers. Cependant, elle a l inconvénient majeur de peser sur les marges des entreprises européennes exposées à la concurrence internationale et donc d handicaper ces dernières dans leur préparation à la compétition sur les marchés mondiaux dans l avenir à moyen terme. La question du change de l euro portant à débat, il n est pas inutile d y revenir après avoir montré en première page qu avec la grille de change actuelle, la compétition sur les marchés à l exportation n était pas loyale pour les producteurs européens. La hausse de l euro pèse sur les prix à l importation Les prix à l importation notamment ceux des matières premières généralement libellés en dollar sur les marchés mondiaux voient leur hausse amortie par la progression de l euro. Le renchérissement de l euro contribue ainsi à contenir l inflation dans la zone, ce qui est favorable au pouvoir d achat des ménages. Cet avantage est d autant plus sensible aujourd hui que les prix en dollar du pétrole restent inscrits sur une tendance haussière. Illustrons ce point en rappelant que le change effectif nominal de l euro s est réévalué de 4,2 % entre septembre 2006 et septembre 2007 et que les importations de marchandises «extra-zone euro» représentent 12 % de la ressource (PIB + importations de biens et services). Toutes choses égales par ailleurs, la hausse du change de l euro a pesé sur l inflation dans la zone à concurrence de 0,5 point (12 % x 4,2 %). Evidemment pour que l avantage soit manifeste, il faut que les exportateurs à destination de la zone euro ne modifient pas leurs prix dans leur propre devise pour capter dans leurs marges l effet d aubaine associée au recul de leur devise contre l euro. Plus ou moins values patrimoniales Un autre avantage du renchérissement de l euro est que les dettes des résidents libellées en monnaie étrangère s allègent en expression euro. En outre, la hausse de la devise rend les actifs étrangers bon marché en expression euro, ce qui permet des acquisitions à bon compte. Ces avantages sont cependant contrebalancés par les pertes patrimoniales qui s opèrent en même temps sur les stocks de créances détenues par les résidents sur les non-résidents, pertes qui l emportent sur les gains, dans la mesure où la position extérieure nette de la zone euro est créditrice. Une erreur d analyse, un mécanisme insidieux Une erreur d analyse est souvent faite qui présente la zone euro comme étant à l abri des mouvements de change en insistant sur le fait que la plus grosse partie du commerce extérieur des pays membres se fait avec leurs partenaires de l Union monétaire. C est oublier que les producteurs étrangers sont aussi des compétiteurs sur le marché intérieur de la zone euro, et que les prix de facturation de certaines marchandises peuvent être libellés en dollar. En outre, un mécanisme insidieux est souvent mal perçu. L impact de la hausse du change d une devise sur les pertes de parts de marché à l exportation n est pas immédiat. Il peut même mettre beaucoup de temps à se manifester. Les entreprises pénalisées par la hausse du change de leur devise peuvent en effet comprimer leurs prix, et donc leurs marges à l exportation pour ne pas être évincées du marché. Ce faisant, par rapport à leurs concurrentes, elles obèrent leurs facultés de 5
6 Conférence de presse - lundi 15 octobre 2007 développement en réduisant leurs moyens pour financer leurs investissements, leur R & D, etc Illustrons ce point à partir du marché américain par exemple. En comparant ce qui se passe pour les entreprises japonaises, allemandes et françaises. Sur ce marché, les prix en dollar des importations en provenance du Japon (donc les prix à l exportation du Japon) se trouvaient en septembre dernier plus bas qu en décembre 2003 (- 1 %). Les prix des importations en provenance de France ou d Allemagne étaient en revanche plus hauts de respectivement 9,5 et 8,5 %. En tenant compte de la baisse du yen et de la hausse de l euro, il s avère que les prix des exportations japonaises en yen sont en hausse de 6 % sur cette même période, alors que les prix des exportateurs allemands et français, en euro, ont baissé respectivement de 4 % et de 3 %. On imagine ce qui en résulte pour les entreprises au niveau de leurs marges d exploitation d autant qu au Japon, le coût de la main d œuvre baisse, qu il monte modérément en Allemagne et un peu plus significativement en France. Pour préparer l avenir à moyen terme, les entreprises japonaises engrangent des atouts pendant que les allemandes et françaises ont à surmonter un handicap qui peut d ailleurs menacer à terme leur existence (graphiques diapos 13, 14 et 15). 6
7 Déjeuner de presse Conséquences de la hausse de l euro Lundi 15 octobre
8 Marché des changes - cours de l'euro =... $ =... yens J FMAM J J A S ON D J FMAM J J A S OND J FMAM J J A S ON D J euro = yuan J FMAM J J A S ON D J FMAM J J A S ON D J FMAM J J A S OND J =... franc suisse J FMAM J J A S OND J FMAM J J A S OND J FMAM J J A S OND J J FMAM J J A S OND J FMAM J J A S ON D J FMAM J J A S OND J
9 Marché des changes - cours de l'euro =... $ =... yens euro = yuan =... franc suisse
10 Taux de change effectif nominal de l'euro = (moy )
11 Taux de change effectif nominal du dollar = 110 (moyenne )
12 Taux de change effectif nominal du yen = (moy )
13 Taux de change effectif réel de l'euro = (moy )
14 Taux de change effectif réel du dollar = 110 (moyenne )
15 Taux de change effectif réel du yen = (moy )
16 Change de l'euro contre le dollar Taux de change et taux de PPA 1 Euro =... $ US Euro =... $ US Taux de ppa des prix du PIB Taux de change
17 Coût horaire de la main d'œuvre Ensemble de l'economie hors services non marchands Etats-Unis - Japon - Royaume-Uni - Zone euro 120 Zone euro= Etats-Unis Japon Royaume-Uni
18 Zone euro Part des importations en provenance de Chine dans les importations consolidées de la zone Déficit commercial de la zone euro avec la Chine 12 (mm/3 mois en % des importations de la zone euro) 0 Milliards d'euros au taux annuel
19 Etats-Unis : prix à l'importation sur le marché américain 112 en dollar décembre 2003 = Japon Allemagne France
20 Taux de change contre dollar décembre 2003= Euro Yen
21 Etats-Unis : prix à l'exportation sur le marché américain en monnaie nationale décembre 2003 = Japon Allemagne France
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