Rami Shehade : La Loi de l Occupant

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Rami Shehade : La Loi de l Occupant"

Transcription

1 Rami Shehade : La Loi de l Occupant La Loi de l Occupant par Rami Shehade Première partie : Les décrets militaires comme base législative de l administration de l Occupation Le 7 juin 1967, l armée israélienne occupe la Cisjordanie palestinienne, Jérusalem Est et la bande de Gaza. Le même jour, les forces d occupation font paraître la Première Proclamation Militaire, qui affirme contrôler ces territoires «dans l intérêt de la sécurité et de l ordre public». Dans les trentequatre années suivantes, plus de décrets seront promulguées sur les bases établies ce jour-là, créant ainsi une législation militaire qui régit aujourd hui tous les aspects de la vie des populations occupées. La pierre fondatrice de l édifice administratif israélien est la Proclamation Militaire n 2, qui déclare assumer le pouvoir et les biens du gouvernement précédent. Le Commandant des Territoires est donc le législateur suprême, le gouverneur et le juge du territoire occupé. Cette Proclamation prescrit également que les lois fiscales existantes restent en vigueur tant qu elles ne seront pas modifiées par un nouvel ordre militaire. Les populations sous occupation se voient ainsi obligées de contribuer financièrement au maintien de l Occupant, sous peine de sévères punitions pour ceux qui n obéiraient pas à ses lois. La Troisième Proclamation Militaire détaille les pouvoirs de l administration pour assurer «la sécurité». Parmi ceux-ci : la censure, le couvre-feu, le bouclage de zones, la confiscation de biens et, sous l article 67, le droit de n importe quel soldat d arrêter tout «contrevenant» et de le conduire dans un centre de «détention administrative», pour une période pouvant allant jusqu à six mois sans procès. En avril 1970, le décret militaire 378 annula ces dispositions, pour étendre encore la juridiction et les pouvoirs de l Occupant. Deuxième partie : Les décrets militaires et le droit humanitaire international Le XX siècle a été témoin d une terrifiante augmentation de l échelle et des effets de la guerre. Par la suite, tout un ensemble de principes humanitaires internationalement reconnus ont vu le jour, pour protéger les populations civiles des pires excès des conflits militaires. Les Conventions de Genève de 1949 sont au coeur de cette loi humanitaire. Elles constituent la réponse de la communauté internationale aux atrocités commises par les nazis pendant la II Guerre Mondiale. Etant donnée leur acceptation quasi universelle par la communauté des nations, ces Conventions font désormais partie du droit international coutumier, qui s applique à tous les Etats et en toutes circonstances. Chacune des quatre Conventions concerne une catégorie de personnes qui ne participe pas, ou ne participe plus, aux hostilités. La quatrième Convention de Genève traite plus spécifiquement de la protection des civils en temps de guerre. Au début de l Occupation, Israël prit soin d indiquer que la Quatrième Convention de Genève s appliquait bien aux Territoires palestiniens occupés. L article 35 de la Troisième Proclamation Militaire déclare en effet : «Les cours militaires (...) doivent respecter les termes de la Convention de Genève (...) En cas de contradiction, les dispositions de la Convention auront la prééminence». Quatre mois plus tard, en octobre 1967, l article 35 fut annulé par l Ordre Militaire n 144. Depuis lors, le gouvernement israélien soutient que la Quatrième Convention de Genève n est pas applicable dans le cas d espèce des Territoires palestiniens qu il occupe.

2 applicable dans le cas d espèce des Territoires palestiniens qu il occupe. Bien que signataire de la Quatrième Convention de Genève, l Etat d Israël nie être légalement tenu de l appliquer dans les Territoires occupés en Son argument principal est que la Quatrième Convention ne s applique que lorsque le souverain légitime du territoire considéré a été chassé par l occupant. Or, selon Israël, le gouvernement jordanien qui gouverna la Cisjordanie de 1949 à 1967 n en était pas le souverain légitime : la Convention ne peut donc s appliquer... Bien qu Israël réfute l applicabilité légale de la Convention, il affirme respecter en fait l esprit humanitaire de ses dispositions. La Quatrième Convention déclare pourtant expressément que la confiscation de terres, les attaques de zones civiles, la démolition de logements, les restrictions de déplacements, les déportations et la construction de colonies civiles - pratiques courantes de l occupation israélienne - sont autant de violations de ses visées humanitaires. Néanmoins, Israël a accepté comme légalement contraignante une autre base fondamentale du droit humanitaire : la Quatrième Convention sur les Lois et Coutumes de la Guerre sur Terre et ses Règlements annexes. Ces dispositions, élaborées au début du siècle, sont plus communément connues sous le nom de Règlements de La Haye de Dans plusieurs cas, la Haute Cour israélienne elle-même a confirmé l applicabilité des Règlements de La Haye. Elle a affirmé à la fois que le droit international fait partie du droit municipal israélien et que les Règlements de La Haye conditionnent l administration militaire des territoires occupés. Ceci étant et malgré la reconnaissance de l applicabilité des Règlements de La Haye, les experts juridiques israéliens ont interprété plusieurs de ses articles fondamentaux de façon très étroite, limitant ainsi leur portée en ce qui concerne la protection des populations occupées. Leur lecture de l Article 43 en est un bon exemple. L article déclare : «L autorité du pouvoir légitime étant de fait passée entre les mains de l occupant, ce dernier prendra toutes mesures en son pouvoir pour restaurer et assurer - autant que possible l ordre public et la sécurité, tout en respectant, à moins d en être absolument empêché, les lois en vigueur du pays.» Bien que l Article 43 restreigne ainsi grandement le droit du pouvoir occupant de changer les lois en vigueur dans un territoire occupé, Israël a justifié de manière répétée des changements significatifs dans les lois existantes en arguant que la clause «à moins d en être absolument empêché» leur permettait légalement de le faire. Troisième partie : le développement des décrets militaires jusqu à Oslo et après Oslo. Plus de 1300 décrets militaires ont désormais changé la structure légale qui existait avant l occupation de Le développement de la nouvelle structure légale de l administration militaire peut se diviser en quatre grandes phases, menant jusqu aux accords signés entre le gouvernement israélien et l OLP. Ce qui eut lieu après Oslo et la déclaration de principes de 1993 démontre que la même tendance se maintient : les décrets militaires facilitent d un côté le contrôle des populations occupées, et de l autre, la colonisation des terres palestiniennes. 1- La première phase avant Oslo, de 1967 à 1971, a eu pour but le contrôle de tous les aspects de la vie de la population palestinienne. Les libertés de réunion et d expression sont fortement restreintes par des décrets interdisant l assemblée de dix personnes ou plus et la publication ou la distribution de journaux sans l aval des autorités militaires. Les restrictions s appliquent tout autant à la vie économique. Les exemples abondent. Le décret militaire n 49 interdit le transfert de biens à l entrée et à la sortie des Territoires Occupés sans permission. Les décrets n 9 et 21 donnent aux autorités israéliennes pleins pouvoirs sur les fonds bancaires, leur permettant de geler des actifs et de confisquer la comptabilité, comme et quand elles le jugent nécessaire. Le décret n 25 criminalise toute opération commerciale touchant à la propriété foncière sans la permission expresse des autorités militaires.

3 foncière sans la permission expresse des autorités militaires. Ce système de contrôle est illustré par le système de la carte d identité. Ces cartes furent attribuées aux résidents des Territoires Occupés après le recensement effectué par les Israéliens en Les résidents furent alors légalement tenus de porter sur eux leur carte. En même temps, les autorités israéliennes se réservent le droit de la retirer à toute personne, sans justification. Les quelques 200 décrets militaires promulgués pendant cette première phase constituent aujourd hui encore la base légale de l occupation israélienne. Sauf qu à l époque, ces décrets n étaient pas publiés et que les avocats n y avaient pas accès. 2 - Pendant la deuxième phase, qui dure à peu près de 1971 à 1979, les décrets militaires ont surtout visé à faciliter l implantation des colonies juives dans les Territoires Occupés. La population des Territoires est désaffranchie par le décret n 418, qui supprime la participation de toutes les autorités ou institutions locales, ainsi que des comités nationaux de planification, dans le plan d occupation des sols. Ce qui a rendu possible la création de larges zones constructibles pour les colonies juives. Parallèlement, une administration juive séparée se développe : le décret n 569 porte création d un «département des transactions foncières spéciales» qui permet l enregistrement des terres pour les colonies juives. Enfin, par le biais du décret n 783, cinq conseils régionaux juifs sont établis en Cisjordanie, avec juridiction sur les groupes de colonies de leur secteur. 3) La troisième phase, de 1979 à 1981, voit le développement de ce processus de colonisation. L implantation de civils juifs israéliens se poursuit, mais surtout, les liens entre Israël et ses colons sont renforcés : les lois israéliennes sont étendues aux colons, qui ne relèvent plus désormais de la juridiction en vigueur dans les Territoires occupés. L administration des colonies est mise en conformité avec les règles du gouvernement juif local, tandis qu une Administration Civile est créée dans les Territoires (à l intention des Palestiniens), pour prendre en charge certaines des fonctions exercées par l Autorité militaire. 4 - La quatrième et dernière phase avant Oslo est centrée sur le détail des règlements de planification des colonies juives. Par ailleurs, tout un ensemble de règles sont promulguées concernant les questions financières en Cisjordanie et dans la bande de Gaza, en particulier pour contrôler l entrée et la sortie d argent des Territoires occupés. Plusieurs lois fiscales sont modifiées et la TVA introduite. Ces changements ont permis d augmenter les revenus prélevés par les Autorités d occupation sur la population occupée. * La période intérimaire envisagée par les Accords d Oslo en attendant les négociations finales entre l occupant et l occupé a été marquée par une accélération du processus mis en place depuis Les décrets militaires continuent d être utilisés pour modifier la situation sur le terrain. A l approche de la date butoir de 1999 qui doit décider du statut final des Territoire, les Autorités israéliennes cherchent de plus en plus à resserrer leur contrôle et à consolider leur présence physique en accélérant la colonisation. Ainsi, pendant toute cette période, les populations occupées ont continué à souffrir de la perte de leur maisons, de leur liberté et de leur vie : Entre 1987, début de la Première Intifada, et 1999, Palestiniens ont perdu leur foyer après que les forces israéliennes eurent démoli maisons. Un tiers de ces démolitions ont eu lieu après la signature des Accords d Oslo.

4 Entre 1993, année de la Déclaration de Principes, et 1999, date prévue pour le Statut final, 492 civils palestiniens ont été tués par les militaires ou les colons israéliens. En septembre 2000, il y avait encore Palestiniens dans les prisons israéliennes. Presque tous ont connu une forme ou une autre de torture. Enfin, un peu moins de cinq millions de réfugiés, de 48 ou de 1967, vivent toujours en exil. Parallèlement, la main-mise sur les terres occupées continue : Rien qu en 1999, Israël a confisqué plus de dunums de terres palestiniennes (plus de hectares). Depuis 1967, l Etat hébreux s est ainsi approprié 79% de la Cisjordanie et de la bande de Gaza. Ces terres confisquées servent aux colonies et à la construction des routes de contournement qui les desservent. Plus de 400 kilomètres de ces routes ont été construites entre 1994 et 2000 : elles divisent désormais les Territoires Occupés en poches de populations isolées les unes des autres. Depuis la signature des Accords d Oslo, le nombre de colons établis en Cisjordanie et dans la bande de Gaza a doublé. On l évalue aujourd hui à , sans prendre en compte le bloc de colonies qui entourent le quartier palestinien de Jérusalem Est. Dans la bande de Gaza, les faits sont particulièrement criants : 0,64% de la population (les colons israéliens) contrôlent 40% des terres. Quant à l eau, plus de 80% de la nappe phréatique palestinienne est confisquée par Israël, fournissant ainsi 25% de sa consommation totale, qui est quatre fois plus élevée per capita que chez les Palestiniens. Cette politique d expropriation des terres et d expansion des colonies a été menée à un rythme plus élevé sous le gouvernement du Premier ministre Travailliste Ehud Barak que sous celui de son prédécesseur du Likoud, Benyamin Netanyahu. Quatrième partie : les décrets militaires et l économie palestinienne Les décrets militaires israéliens ont eu un effet dévastateur sur tous les efforts entrepris pour construire une économie palestinienne viable. Ils ont été utilisés pour orchestrer et perpétuer une relation de contrôle et de dépendance entre le «centre» israélien et la «périphérie» palestinienne. Outre la confiscation de terres et la création de centaines de colonies juives (qui morcellent la société palestinienne et empêchent son développement économique), les décrets ont constamment visé à empêcher l investissement et à bloquer le développement de l industrie palestinienne. Pendant la Première Intifada ( ), plus de la moitié des décrets militaires ont porté directement sur des restrictions économiques. Cette tendance a continué avec les Accords de Paris d avril 1994, qui octroyaient à Israël un droit de contrôle sur les importations et les exportations de biens palestiniens si ceux-ci menaçaient d entrer en compétition avec une industrie israélienne quelconque. Mais l effet le plus dévastateur sur l économie naissante a été celui de la politique de bouclage : les autorités militaires entravent systématiquement la circulation entre les villes et les villages en établissant des checkpoints sur les routes principales et en élevant des barrières physiques sur de nombreuses routes secondaires. Les déplacements motorisés sont ainsi devenus presque impossibles et à haut risque personnel.

5 et à haut risque personnel. Depuis Oslo, le bouclage a continué en tant qu instrument d oppression collective. La domination sans partage des Israéliens leur permet, d une part, d isoler les différents centres de population palestinienne des zones A («autonomes») et d autre part, de séparer les villes et villages sous contrôle israélien (zones C) ou sous contrôle «partagé» (zones B). Les conséquences économiques de cette politique de bouclage sont immenses. Dès les premiers jours d un bouclage général, le chômage passe de 11% à presque 30% : Palestiniens obligés d aller travailler en Israël par suite du retard (programmé) de l économie palestinienne, perdent du jour au lendemain leur emploi - et autres sont empêchés de se rendre à leur travail dans les Territoires occupés, en raison des restrictions internes de déplacement. Au cours du dernier trimestre de l an 2000, le chômage a ainsi atteint 38% de la population active et le taux de pauvreté a augmenté de 50%. Après quelques semaines de bouclage, plus d=un tiers des Palestiniens ont été réduits à vivre sur deux dollars par jour. Enfin, et ce n est pas le moins grave, la désorganisation du système éducatif palestinien est lourde de dommages économiques à long terme : les restrictions de déplacement et les attaques directes d écoles portent gravement atteinte au système scolaire et risquent de laisser toute une génération sans les capacités qui leur permettraient de développer un meilleur avenir dans la région.

Ce projet de loi fixe un plafond pour le budget de la Défense et un plancher pour le budget de l Aide internationale.

Ce projet de loi fixe un plafond pour le budget de la Défense et un plancher pour le budget de l Aide internationale. NOTES EXPLICATIVES Ce projet de loi crée les Forces d autodéfense du Québec. Il vise à modifier la politique québécoise de défense nationale dans le sens d une renonciation au droit de belligérance, sauf

Plus en détail

Le monde a besoin de paix en Palestine

Le monde a besoin de paix en Palestine ANALYSE 2007 Le monde a besoin de paix en Palestine Publié avec le soutien du service de l éducation permanente de la Communauté française Pax Christi Wallonie-Bruxelles Le monde a besoin de paix en Palestine

Plus en détail

Dans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours.

Dans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours. Dans un siècle, il y a 100 ans. Dans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours. Dans un trimestre, il y a 3 mois.

Plus en détail

La lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme

La lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme SEPTEMBRE 2015 HORS-SÉRIE LES MINI-GUIDES BANCAIRES www.lesclesdelabanque.com Le site pédagogique sur la banque et l argent La lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme Ce

Plus en détail

Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence

Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence ministérielle sur la migration et le développement. Plan d Action

Plus en détail

Introduction : Chapitre XII Les débuts du judaïsme

Introduction : Chapitre XII Les débuts du judaïsme Introduction : Chapitre XII Les débuts du judaïsme Chapitre XII Les débuts du judaïsme Introduction : Cette Bible a été trouvée près de la Mer Morte, non loin de Jérusalem. Chapitre XII Les débuts du judaïsme

Plus en détail

CERTIFICATS DE SÉCURITÉ Qu est-ce qu un certificat de sécurité?

CERTIFICATS DE SÉCURITÉ Qu est-ce qu un certificat de sécurité? CERTIFICATS DE SÉCURITÉ Qu est-ce qu un certificat de sécurité? Automne 2011 QU EST-CE QU UN CERTIFICAT DE SÉCURITÉ? Créée en 1978, la procédure actuelle trouve son fondement dans la loi sur l immigration

Plus en détail

LE DISPOSITIF ENVOL AIDE A LA CREATION OU REPRISE D ENTREPRISES 2014-2015

LE DISPOSITIF ENVOL AIDE A LA CREATION OU REPRISE D ENTREPRISES 2014-2015 LE DISPOSITIF ENVOL AIDE A LA CREATION OU REPRISE D ENTREPRISES 2014-2015 OBJET Le dispositif ENVOL est destiné aux personnes résidant en Champagne-Ardenne, désireuses de créer leur propre emploi par la

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE L ENGAGEMENT D UNE PROTECTION CLASSIQUE DE L INDIVIDU À TRAVERS L ACTION EN PROTECTION DIPLOMATIQUE...

TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE L ENGAGEMENT D UNE PROTECTION CLASSIQUE DE L INDIVIDU À TRAVERS L ACTION EN PROTECTION DIPLOMATIQUE... TABLE DES MATIÈRES REMERCIEMENTS... VII PRÉFACE....IX LISTE DES ABRÉVIATIONS... XXVII INTRODUCTION... 1 PREMIÈRE PARTIE L ENGAGEMENT D UNE PROTECTION CLASSIQUE DE L INDIVIDU À TRAVERS L ACTION EN PROTECTION

Plus en détail

LOI N 61-10 DU 7 MARS 1961 déterminant la nationalité sénégalaise, modifiée

LOI N 61-10 DU 7 MARS 1961 déterminant la nationalité sénégalaise, modifiée LOI N 61-10 DU 7 MARS 1961 déterminant la nationalité sénégalaise, modifiée (JO n 4984 p. 13) L assemblée nationale à délibéré et adopté, Le président de la république promulgue la loi dont la teneur suit

Plus en détail

En devenant majeur-e, vous devenez responsable de vos actes, c est-à-dire que vous en mesurez toutes les conséquences.

En devenant majeur-e, vous devenez responsable de vos actes, c est-à-dire que vous en mesurez toutes les conséquences. 3La responsabilité La responsabilité civile La responsabilité pénale La procédure judiciaire applicable La protection judiciaire pour les jeunes majeurs En devenant majeur-e, vous devenez responsable de

Plus en détail

Leçon n 11 : «Géopolitique du monde actuel»

Leçon n 11 : «Géopolitique du monde actuel» Leçon n 11 : «Géopolitique du monde actuel» Introduction : Au début des années 90, la Guerre Froide se termine avec l éclatement de l URSS. Un monde unipolaire, dominé par les États-Unis, accouche d un

Plus en détail

Règlement relatif aux sanctions et à la procédure de sanction

Règlement relatif aux sanctions et à la procédure de sanction Règlement relatif aux sanctions et à la procédure de sanction (dans la version du 24 décembre 2012) La commission de l'organisme d'autorégulation de l'association Suisse des Sociétés de Leasing (OAR /

Plus en détail

Berne, mai 2007. Questions fréquentes au sujet de l aide sociale

Berne, mai 2007. Questions fréquentes au sujet de l aide sociale 1 Berne, mai 2007 Questions fréquentes au sujet de l aide sociale 2 Pourquoi la CSIAS en tant qu association privée peut-elle établir des normes en matière d aide sociale? La CSIAS est l association professionnelle

Plus en détail

la voie bilatérale reste la meilleure option

la voie bilatérale reste la meilleure option WWW.ELECTIONS.CH FICHE THEMATIQUE : SUISSE-UE la voie bilatérale reste la meilleure option L UE est un des principaux partenaires commerciaux de la Suisse. A l inverse, la Suisse est le deuxième partenaire

Plus en détail

Après la victoire éclair de la Guerre des Six Jours, il devient le borgne le plus célèbre au monde et entre de plain pied dans la légende d Israël.

Après la victoire éclair de la Guerre des Six Jours, il devient le borgne le plus célèbre au monde et entre de plain pied dans la légende d Israël. Moshé Dayan par Daniel Haïk Verbatim du cours visible sur www.akadem.org/pour-commencer Juillet 2013 Moshé Dayan, héros de la Guerre des Six Jours Il fut le prototype du sabra israélien, né les armes à

Plus en détail

JEF. Programme pour les Jeunes en Formation

JEF. Programme pour les Jeunes en Formation 1 JEF Programme pour les Jeunes en Formation 2, un programme du BCAS, fondation privée reconnue d utilité publique, qui agit : Pour les enfants et les jeunes : SOS-Enfants Genève Le Biceps Pour les adultes

Plus en détail

Les principales méthodes d évaluation

Les principales méthodes d évaluation Attention : Cette fiche n a pas pour objet de fixer administrativement la valeur des biens. Elle ne doit pas être assimilée à une instruction administrative. Elle propose les principales méthodes d évaluation

Plus en détail

Convention d assurance chômage

Convention d assurance chômage Aux Union Départementales Aux Fédérations Nationales Paris, le 28 mars 2014 Secteur Formation Professionnelle Emploi/Assurance chômage Réf. : JCM/SL/DD Circ. : n 058-2014 Convention d assurance chômage

Plus en détail

Corruption: définition, causes et conséquences

Corruption: définition, causes et conséquences Formation multidisciplinaire à l attention des avocats et auxiliaires de justice en matière de détection de la corruption et des conflits d intérêt Corruption: définition, causes et conséquences Tunis

Plus en détail

CORRECTION BREVET PONDICHERY 2014

CORRECTION BREVET PONDICHERY 2014 CORRECTION BREVET PONDICHERY 2014 PREMIERE PARTIE : HISTOIRE (13 POINTS) 1. Questions (6 points) 1. A quels siècles correspond l «âge des églises gothiques»? (1 point) L «âge des églises gothiques» va

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DU REDRESSEMENT PRODUCTIF PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES, INNOVATION ET ÉCONOMIE NUMÉRIQUE Ordonnance n o 2014-329 du 12 mars 2014 relative à l

Plus en détail

United Nations (8) Nations Unies

United Nations (8) Nations Unies United Nations (8) Nations Unies HEADQUARTERS SIEGE NEW YORK, NY 10017 TEL.: 1 (212) 963.1234' FAX: 1 (212) 963.4879 Distr. SECOND INTERNA1l0NAL DECADE FOR THE ERADICATION OF COLONIALISM RESTRICTED PRS/2010/CRP.9

Plus en détail

Rapport du Commissaire général de l Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient

Rapport du Commissaire général de l Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient Nations Unies Rapport du Commissaire général de l Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient Budget-programme 2010-2011 Assemblée générale Documents

Plus en détail

Les Recommandations du GAFI

Les Recommandations du GAFI NORMES INTERNATIONALES SUR LA LUTTE CONTRE LE BLANCHIMENT DE CAPITAUX ET LE FINANCEMENT DU TERRORISME ET DE LA PROLIFÉRATION Les Recommandations du GAFI février 2012 GROUPE D ACTION FINANCIÈRE Le Groupe

Plus en détail

POLITIQUE RELATIVE AUX LOIS ANTI CORRUPTION D ALCOA, INC.

POLITIQUE RELATIVE AUX LOIS ANTI CORRUPTION D ALCOA, INC. POLITIQUE RELATIVE AUX LOIS ANTI CORRUPTION D ALCOA, INC. CONTEXTE : Alcoa Inc. («Alcoa») et sa direction se sont engagés à mener toutes leurs activités dans le monde entier, avec éthique et en conformité

Plus en détail

LIVRET SERVICE. Portail Déclaratif Etafi.fr

LIVRET SERVICE. Portail Déclaratif Etafi.fr LIVRET SERVICE Portail Déclaratif Etafi.fr LS-YC Portail Déclaratif Etafi.fr-11/2013 ARTICLE 1 : PREAMBULE LIVRET SERVICE PORTAIL DECLARATIF ETAFI.FR Les télé-procédures de transfert de données fiscales

Plus en détail

Décision unilatérale de l employeur instituant une garantie complémentaire de remboursement de frais médicaux

Décision unilatérale de l employeur instituant une garantie complémentaire de remboursement de frais médicaux Décision unilatérale de l employeur instituant une garantie complémentaire de remboursement de frais médicaux Sur papier à en-tête de l entreprise M À, le Objet : Généralisation de la complémentaire santé

Plus en détail

Cour européenne des droits de l homme. Questions & Réponses

Cour européenne des droits de l homme. Questions & Réponses Cour européenne des droits de l homme Questions & Réponses Questions & Réponses Qu est-ce que la Cour européenne des droits de l homme? Ces questions et réponses ont été préparées par le Greffe de la Cour.

Plus en détail

janvier 2010 Construire en zone agricole Ce qu il faut savoir PRÉFECTURE DU RHÔNE

janvier 2010 Construire en zone agricole Ce qu il faut savoir PRÉFECTURE DU RHÔNE janvier 2010 Construire en zone agricole Ce qu il faut savoir PRÉFECTURE DU RHÔNE Préambule Pourquoi ce guide? Avant propos Dans le département du Rhône, l étalement urbain grandissant et les grands projets

Plus en détail

Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres

Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus

Plus en détail

Décision n 05-D-20 du 13 mai 2005 relative à une saisine de la société le casino du Lac de la Magdeleine

Décision n 05-D-20 du 13 mai 2005 relative à une saisine de la société le casino du Lac de la Magdeleine RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Décision n 05-D-20 du 13 mai 2005 relative à une saisine de la société le casino du Lac de la Magdeleine Le Conseil de la concurrence (section I), Vu la lettre enregistrée le 28 février

Plus en détail

SYSTEME NATIONAL DE RETRAITE

SYSTEME NATIONAL DE RETRAITE SYSTEME NATIONAL DE RETRAITE I.- PRINCIPES FONDAMENTAUX DU SYSTEME NATIONAL DE RETRAITE L assurance vieillesse n a été instituée pour l ensemble des salariés qu en 1953 ; avant cette date, quelques corporations

Plus en détail

CONTRAT DE DOMICILIATION COMMERCIALE ET DE PRESTATIONS DE SERVICES ENTRE LES SOUSSIGNES

CONTRAT DE DOMICILIATION COMMERCIALE ET DE PRESTATIONS DE SERVICES ENTRE LES SOUSSIGNES CONTRAT DE DOMICILIATION COMMERCIALE ET DE PRESTATIONS DE SERVICES ENTRE LES SOUSSIGNES La société «HCD centres d affaires», Eurl au capital de 1000 Euros, inscrite au RCS Marseille sous le numéro 520280397,

Plus en détail

DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES INSTRUCTION DU 4 OCTOBRE 2011 5 B-13-11

DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES INSTRUCTION DU 4 OCTOBRE 2011 5 B-13-11 DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES INSTRUCTION DU 4 OCTOBRE 2011 5 B-13-11 IMPOT SUR LE REVENU. REDUCTION D IMPOT SUR LE REVENU. CONSEQUENCES DE L ABROGATION DU COMPTE EPARGNE CODEVELOPPEMENT. COMMENTAIRES

Plus en détail

Centre d information sur les renseignements et le terrorisme au Centre d études spéciales

Centre d information sur les renseignements et le terrorisme au Centre d études spéciales 5 novembre 2008 Centre d information sur les renseignements et le terrorisme au Centre d études spéciales Escalade dans la bande de Gaza : pour éviter l enlèvement de soldats, Tsahal est engagé dans des

Plus en détail

CONTRAT DE DOMICILIATION ET DE PRESTATIONS DE SERVICES

CONTRAT DE DOMICILIATION ET DE PRESTATIONS DE SERVICES CONTRAT DE DOMICILIATION ET DE PRESTATIONS DE SERVICES Entre les soussignés : La société LYON COMMERCE INTERNATIONAL, SAS au capital de 180 000, dont le numéro d agrément préfectoral, lequel a été signé

Plus en détail

1er sept. 1939 Les troupes allemandes... C'est le début de la Seconde Guerre mondiale.

1er sept. 1939 Les troupes allemandes... C'est le début de la Seconde Guerre mondiale. Le contexte historique : la France pendant la Seconde Guerre mondiale Complétez la chronologie suivante. Vous pouvez vous référer au site http://www.e-chronologie.org/monde/ww2.php 1er sept. 1939 Les troupes

Plus en détail

Situation sanitaire dans le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est

Situation sanitaire dans le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est SOIXANTE-HUITIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A68/INF./4 Point 20 de l ordre du jour provisoire 15 mai 2015 Situation sanitaire dans le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est Le Directeur

Plus en détail

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant

Plus en détail

La fraude fiscale : Une procédure pénale dérogatoire au droit commun. Par Roman Pinösch Avocat au barreau de Paris

La fraude fiscale : Une procédure pénale dérogatoire au droit commun. Par Roman Pinösch Avocat au barreau de Paris La fraude fiscale : Une procédure pénale dérogatoire au droit commun Par Roman Pinösch Avocat au barreau de Paris La volonté affichée au printemps 2013 par le Président de la République d intensifier la

Plus en détail

fin d une époque Négoce de devises et de métaux précieux:

fin d une époque Négoce de devises et de métaux précieux: Négoce de devises et de métaux précieux: fin d une époque L assujettissement des négociants en devises à la Loi sur les banques et les autres restrictions imposées par la CFB ont mis un sérieux coup d

Plus en détail

STATUT DE LA MUTUELLE NATIONALE DE L ENSEIGNEMENT DE TUNISIE

STATUT DE LA MUTUELLE NATIONALE DE L ENSEIGNEMENT DE TUNISIE STATUT DE LA MUTUELLE NATIONALE DE L ENSEIGNEMENT DE TUNISIE STATUT www.mnetpourtous.com Page 1/16 STATUT www.mnetpourtous.com Page 2/16 ART 1 (Disposition Obligatoire ) STATUTS DE LA MUTUELLE NATIONALE

Plus en détail

75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010

75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010 75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en

Plus en détail

JAPON. Nomenclature. nationale (prestations de maladie) Pension nationale Assurance pension des salariés. Assurance maladie gérée par des sociétés

JAPON. Nomenclature. nationale (prestations de maladie) Pension nationale Assurance pension des salariés. Assurance maladie gérée par des sociétés JAPON Nomenclature CHIHO-KOMUIN-KYOSAI CHIHO-KOMUIN-ONKYU CHIHO-KOMUIN-SAIGAI HOSYO CHIHO-KOKUMINN-KYOSAI- KYUGYO-KYUFU-TO IZOKU-NENKIN JIDEO-TEATE JIDO-FUYO-TEATE KOKKA-KOMUIN-KYOSAI KOKKA-KOMUIN-ONKYU

Plus en détail

REGISTRE DE LA MÉMOIRE DU MONDE. LE BREVET BENZ DE 1886 (Allemagne)

REGISTRE DE LA MÉMOIRE DU MONDE. LE BREVET BENZ DE 1886 (Allemagne) REGISTRE DE LA MÉMOIRE DU MONDE LE BREVET BENZ DE 1886 (Allemagne) Réf. : n 2010-61 PARTIE A INFORMATIONS ESSENTIELLES 1 RÉSUMÉ La motorisation individuelle, qui a presque 150 ans d histoire, a donné naissance

Plus en détail

Code de conduite pour les responsables de l'application des lois

Code de conduite pour les responsables de l'application des lois Code de conduite pour les responsables de l'application des lois Adopté par l'assemblée générale des Nations Unies le 17 décembre 1979 (résolution 34/169) Article premier Article 2 Les responsables de

Plus en détail

L appréhension pénale du terrorisme Plan détaillé de la dissertation ENM 2014

L appréhension pénale du terrorisme Plan détaillé de la dissertation ENM 2014 L appréhension pénale du terrorisme Plan détaillé de la dissertation ENM 2014 «Je ne connais rien de plus servile, de plus méprisable, de plus lâche, de plus borné qu'un terroriste» (Chateaubriand, Mémoires

Plus en détail

Tableau méthodique des mots matières contenus dans l'index alphabétique

Tableau méthodique des mots matières contenus dans l'index alphabétique Tableau méthodique des mots matières contenus dans l'index alphabétique Administration générale - Administration communale - Administration départementale - Administration préfectorale - Bâtiment administratif

Plus en détail

DEPOSER UNE MARQUE : Quel intérêt et comment faire?

DEPOSER UNE MARQUE : Quel intérêt et comment faire? DEPOSER UNE MARQUE : Quel intérêt et comment faire? FICHE CONSEIL Page : 1/7 Le choix d un nom sous lequel exercer son activité, la création d un logo, l élaboration d une charte graphique ne sont pas

Plus en détail

DÉCISION DU TRIBUNAL DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Division générale Assurance-emploi

DÉCISION DU TRIBUNAL DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Division générale Assurance-emploi [TRADUCTION] Citation : T. S. c. Commission de l assurance-emploi du Canada, 2014 TSSDGAE 65 N o d appel : GE-14-745 ENTRE : T. S. Appelant et Commission de l assurance-emploi du Canada Intimée DÉCISION

Plus en détail

Les évolutions de vos régimes au cours des prochaines années

Les évolutions de vos régimes au cours des prochaines années Les évolutions de vos régimes au cours des prochaines années La généralisation de la couverture complémentaire santé à tous les salariés La loi relative à la sécurisation de l emploi du 14 juin 2013 prévoit

Plus en détail

lj~ion DE L'EUROPE_OCCIDENT ALE Plate-forme sur les interets europeens en matiere de securite La Haye, 27 octobre 1987

lj~ion DE L'EUROPE_OCCIDENT ALE Plate-forme sur les interets europeens en matiere de securite La Haye, 27 octobre 1987 lj~ion DE L'EUROPE_OCCIDENT ALE Plate-forme sur les interets europeens en matiere de securite La Haye, 27 octobre 1987 I. Soulignant I'attachement de nos pays aux principes qui fondent nos democraties

Plus en détail

3. Un crédit à la consommation responsable

3. Un crédit à la consommation responsable 3. Un crédit à la consommation responsable Comité consultatif du secteur financier Rapport 2009-2010 49 Au cours de l exercice 2009-2010, le CCSF a suivi de près l évolution du texte de loi sur la réforme

Plus en détail

Révision de l ombudsman du texte sur le camp d extermination nazi de Sobibor en Pologne, diffusé au Téléjournal le 30 novembre 2009.

Révision de l ombudsman du texte sur le camp d extermination nazi de Sobibor en Pologne, diffusé au Téléjournal le 30 novembre 2009. Révision de l ombudsman du texte sur le camp d extermination nazi de Sobibor en Pologne, diffusé au Téléjournal le 30 novembre 2009. SOMMAIRE Un plaignant estime que le Téléjournal du 30 novembre a commis

Plus en détail

QUEL IMPACT DU CHANGEMENT DE RESIDENCE FISCALE SUR LES IMPOTS SUR LE REVENU?

QUEL IMPACT DU CHANGEMENT DE RESIDENCE FISCALE SUR LES IMPOTS SUR LE REVENU? FISCALITÉ DES RETRAITÉS FRANÇAIS S INSTALLANT AU PORTUGAL Note de Maître Hugelin Laurent- Avocat au Barreau de Paris pour http://www.maison-au-portugal.com INTRODUCTION Le Portugal a engagé une politique

Plus en détail

RAPPORT ISR TRIMESTRIEL

RAPPORT ISR TRIMESTRIEL RAPPORT ISR TRIMESTRIEL Libertés & Solidarité Juillet 2015 Pour plus d informations, se reporter au prospectus complet du fonds. Pour toute question : gestionethique@labanquepostale-am.fr 31/07/2015 Mouvements

Plus en détail

MUNICIPALITÉ DU DISTRICT DE CLARE ARRÊTÉ N 28 ARRÊTÉ CONCERNANT LES REVENDEURS TEMPORAIRES DE VÉHICULES MOTORISÉS

MUNICIPALITÉ DU DISTRICT DE CLARE ARRÊTÉ N 28 ARRÊTÉ CONCERNANT LES REVENDEURS TEMPORAIRES DE VÉHICULES MOTORISÉS MUNICIPALITÉ DU DISTRICT DE CLARE ARRÊTÉ N 28 ARRÊTÉ CONCERNANT LES REVENDEURS TEMPORAIRES DE VÉHICULES MOTORISÉS Compétences En vertu de l article 171 de la loi sur les administrations municipales (Municipal

Plus en détail

Notions générales INTRODUCTION. 1 Sources du droit des assurances Historique

Notions générales INTRODUCTION. 1 Sources du droit des assurances Historique Notions générales INTRODUCTION L assurance fait partie de notre quotidien. Technique de protection contre les aléas de la vie (incendie, vol, dégât des eaux...) elle répond à un besoin viscéral de sécurité.

Plus en détail

Tout savoir sur les accords bilatéraux Suisse-UE

Tout savoir sur les accords bilatéraux Suisse-UE Tout savoir sur les accords bilatéraux Suisse-UE Table des matières 1. Introduction Présentation des 7 accords : Qu est-ce que les Accords bilatéraux et que vont-ils changer? Ce qui ne change pas 2. Libre

Plus en détail

CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT)

CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) FACONNER ENSEMBLE L OIT DU FUTUR «Pour tout ce qui a été, merci. Pour tout ce qui sera, oui.» (Dag

Plus en détail

P.A.R.A.D.S. PÔLES D ACCUEIL EN RÉSEAU POUR L ACCÈS AUX DROITS SOCIAUX

P.A.R.A.D.S. PÔLES D ACCUEIL EN RÉSEAU POUR L ACCÈS AUX DROITS SOCIAUX P.A.R.A.D.S. PÔLES D ACCUEIL EN RÉSEAU POUR L ACCÈS AUX DROITS SOCIAUX MAI 2011 SOMMAIRE ADMINISTRATIF - DOMICILIATION - C.N.I Carte Nationale d Identité - EXTRAIT D ACTE DE NAISSANCE - DEMANDE D ASILE

Plus en détail

Les Cahiers du Conseil constitutionnel Cahier n 24

Les Cahiers du Conseil constitutionnel Cahier n 24 Les Cahiers du Conseil constitutionnel Cahier n 24 Commentaire de la décision n 2007-557 DC du 15 novembre 2007 Loi relative à la maîtrise de l immigration, à l intégration et à l asile Déposé sur le bureau

Plus en détail

Décision du Défenseur des droits n MLD -2013-6

Décision du Défenseur des droits n MLD -2013-6 Paris, le 28 février 2013 Décision du Défenseur des droits n MLD -2013-6 Le Défenseur des droits, Vu l article 71-1 de la Constitution du 4 octobre 1958 ; Vu la loi organique n 2011-333 du 29 mars 2011

Plus en détail

Article. «Arafat : le passé, le présent et les options futures» Marie-Joëlle Zahar. Études internationales, vol. 34, n 4, 2003, p. 631-638.

Article. «Arafat : le passé, le présent et les options futures» Marie-Joëlle Zahar. Études internationales, vol. 34, n 4, 2003, p. 631-638. Article «Arafat : le passé, le présent et les options futures» Marie-Joëlle Zahar Études internationales, vol. 34, n 4, 2003, p. 631-638. Pour citer cet article, utiliser l'information suivante : URI:

Plus en détail

LES DOCUMENTS DE TRAVAIL DU SÉNAT

LES DOCUMENTS DE TRAVAIL DU SÉNAT LES DOCUMENTS DE TRAVAIL DU SÉNAT Série LÉGISLATION COMPARÉE LE NUMÉRO UNIQUE D IDENTIFICATION DES PERSONNES PHYSIQUES n LC 181 Décembre 2007 - 3 - LE NUMÉRO UNIQUE D IDENTIFICATION DES PERSONNES PHYSIQUES

Plus en détail

LOI DE SÉCURISATION DE L EMPLOI N 2013 504 du 14 juin 2013

LOI DE SÉCURISATION DE L EMPLOI N 2013 504 du 14 juin 2013 LOI DE SÉCURISATION DE L EMPLOI N 2013 504 du 14 juin 2013 Les changements concernant la protection sociale complémentaire Les dates clés 11 janv. 2013 : Signature de l Accord National Interprofessionnel

Plus en détail

I. OUVERTURE D UNE PROCEDURE COLLECTIVE SUR ASSIGNATION DU CREANCIER

I. OUVERTURE D UNE PROCEDURE COLLECTIVE SUR ASSIGNATION DU CREANCIER DROITS DES CREANCIERS 23/07/2012 Lorsqu une entreprise éprouve des difficultés financières telles qu elle se trouve en état de cessation des paiements, il y a lieu d ouvrir une procédure judiciaire. Cette

Plus en détail

Le chantier du tramway de Jérusalem au regard du droit international

Le chantier du tramway de Jérusalem au regard du droit international 27 Mireille Mendès France En 2020, une fois le tramway réalisé, la ville de Jérusalem sera forte d un réseau de huit lignes sur 50 km avec un ensemble de 75 stations dont plusieurs terminus situés dans

Plus en détail

Demande d aide juridictionnelle

Demande d aide juridictionnelle 1 Cerfa n 12467*02 Demande d aide juridictionnelle (Loi n 91-647 du 10 juillet 1991 et décret n 91-1266 du 19 décembre 1991) Vous-même : Avez-vous un contrat d assurance de protection juridique ou un autre

Plus en détail

Réglementation. Import/Export CHAPITRE 6

Réglementation. Import/Export CHAPITRE 6 CHAPITRE 6 Réglementation Import/Export Dans ce chapitre: Rubriques / pages Prescriptions du Traité/ 187 Mesures Législatives et Administratives / 191 Conformité / 194 Diffusion / 196 Programme d Assistance

Plus en détail

CONSOMMATION ÉVOLUTION DU DROIT DE LA CONSOMMATION

CONSOMMATION ÉVOLUTION DU DROIT DE LA CONSOMMATION CONSOMMATION ÉVOLUTION DU DROIT DE LA CONSOMMATION suscitée par la loi n 2010-737 du 1 er juillet 2010 portant réforme du crédit à la consommation Réforme du crédit à la consommation et lutte contre le

Plus en détail

CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE

CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse

Plus en détail

Ensemble, soutenons le Bleuet de France!

Ensemble, soutenons le Bleuet de France! DOSSIER DE PRESSE Il ne peut y avoir de Solidarité sans Mémoire Depuis 1991, les fonds récoltés par l Œuvre Nationale du Bleuet de France (ONBF) permettent d accompagner la politique mémorielle de l ONACVG.

Plus en détail

RETOUR SUR LA RÉFORME DES ALLOCATIONS D INSERTION

RETOUR SUR LA RÉFORME DES ALLOCATIONS D INSERTION Annexe 2 (doc. IW/13/CM.08) RETOUR SUR LA RÉFORME DES ALLOCATIONS D INSERTION (an c i e n n e m e n t «a l l o c a t i o n s d a t t e n t e») D ici exactement 475 jours, le 1 er janvier 2015, 30.000 personnes

Plus en détail

exigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.

exigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises. R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,

Plus en détail

BANQUE MONDIALE. DiRectives pour les décaissements applicables aux projets

BANQUE MONDIALE. DiRectives pour les décaissements applicables aux projets BANQUE MONDIALE DiRectives pour les décaissements applicables aux projets mai 2006 BANQUE MONDIALE DIRECTIVES POUR LES DÉCAISSEMENTS APPLICABLES AUX PROJETS DÉPARTEMENT DES PRÊTS 1 ER MAI 2006 Copyright

Plus en détail

NATIONS UNIES. Déclaration des droits des personnes appartenant à des minorités nationales ou ethniques, religieuses et linguistiques

NATIONS UNIES. Déclaration des droits des personnes appartenant à des minorités nationales ou ethniques, religieuses et linguistiques NATIONS UNIES Déclaration des droits des personnes appartenant à des minorités nationales ou ethniques, religieuses et linguistiques www2.ohchr.org/english/issues/minorities Droits des minorités Introduction

Plus en détail

Numéro du rôle : 3717. Arrêt n 36/2006 du 1er mars 2006 A R R E T

Numéro du rôle : 3717. Arrêt n 36/2006 du 1er mars 2006 A R R E T Numéro du rôle : 3717 Arrêt n 36/2006 du 1er mars 2006 A R R E T En cause : la question préjudicielle relative aux articles 147, 148, 149 et 152 du Code des droits de succession, posée par le Tribunal

Plus en détail

Convention sur les missions spéciales

Convention sur les missions spéciales Convention sur les missions spéciales 1969 Adoptée par l Assemblée générale des Nations Unies le 8 décembre 1969. Entrée en vigueur le 21 juin 1985. Nations Unies, Recueil des Traités, vol. 1400, p. 231.

Plus en détail

Thèmes et situations : La poste et la banque. Fiche pédagogique

Thèmes et situations : La poste et la banque. Fiche pédagogique Ressources pour les enseignants et les formateurs en français des affaires Activité pour la classe : CFP Crédit : Joelle Bonenfant, Jean Lacroix Thèmes et situations : La poste et la banque Fiche pédagogique

Plus en détail

Comité permanent du droit des marques, des dessins et modèles industriels et des indications géographiques

Comité permanent du droit des marques, des dessins et modèles industriels et des indications géographiques F SCT/31/8 REV.4 ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 23 MARS 2015 Comité permanent du droit des marques, des dessins et modèles industriels et des indications géographiques Trente et unième session Genève, 17 21

Plus en détail

LA REFORME DU SECTEUR DE LA SECURITE

LA REFORME DU SECTEUR DE LA SECURITE UNION AFRICAINE CADRE D ORIENTATION SUR LA REFORME DU SECTEUR DE LA SECURITE COMMISSION DE L UNION AFRICAINE ADDIS ABEBA, ETHIOPIE PREAMBULE La Conférence des Chefs d Etat et de Gouvernement de l Union

Plus en détail

CONDITIONS PARTICULIERES SITE BUILDER

CONDITIONS PARTICULIERES SITE BUILDER CONDITIONS PARTICULIERES SITE BUILDER Version en date du 28/03/2012 Design : Kit graphique constituant un modèle de site internet. Le Client peut changer le Design de son Site Internet par l intermédiaire

Plus en détail

Lydian Webinar. La nouvelle Loi sur les Assurances

Lydian Webinar. La nouvelle Loi sur les Assurances Lydian Webinar La nouvelle Loi sur les Assurances Hugo Keulers & Anne Catteau 12 juin 2014 Aperçu 1. Contexte 2. Champ d application 3. Nouvelles dispositions 4. Entrée en vigueur 2 1. Contexte Nouveau

Plus en détail

La qualité de l emploi dans l économie sociale et solidaire: analyse et enjeux. une enquête en Alsace et en Lorraine

La qualité de l emploi dans l économie sociale et solidaire: analyse et enjeux. une enquête en Alsace et en Lorraine La qualité de l emploi dans l économie sociale et solidaire: analyse et enjeux Les associations et la question de la qualité de l emploi: une enquête en Alsace et en Lorraine Etude réalisée pour la DIIESES

Plus en détail

Une école adaptée à tous ses élèves

Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS

Plus en détail

Ordonnance sur le Registre fédéral des bâtiments et des logements

Ordonnance sur le Registre fédéral des bâtiments et des logements Ordonnance sur le Registre fédéral des bâtiments et des logements du 31 mai 2000 Le Conseil fédéral suisse, vu l art. 10, al. 3 bis, de la loi du 9 octobre 1992 sur la statistique fédérale 1, arrête: Section

Plus en détail

GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP)

GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP) Strasbourg, 22 août 2014 CDDH-CORP(2014)10 COMITÉ DIRECTEUR POUR LES DROITS DE L'HOMME (CDDH) GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP) Projet de recommandation du Comité

Plus en détail

COMMENT DEPOSER UN NOM DE DOMAINE?

COMMENT DEPOSER UN NOM DE DOMAINE? Le nom de domaine est l identité d une entreprise ou organisation sur Internet. Il se compose de deux éléments. 1 - un domaine de 2 ème niveau appelé aussi «racine» : suite de caractères correspondant

Plus en détail

Responsabilité des dirigeants d entreprise en société

Responsabilité des dirigeants d entreprise en société Responsabilité des dirigeants d entreprise en société François MOISES, avocat Un des objectifs de la constitution d une société est de mettre son patrimoine privé à l abri des poursuites des créanciers

Plus en détail

La transition école travail et les réseaux sociaux Monica Del Percio

La transition école travail et les réseaux sociaux Monica Del Percio Institut de psychologie et éducation Faculté des lettres et sciences humaines Espace Louis-Agassiz 1 CH-2000 Neuchâtel La transition école travail et les réseaux sociaux Monica Del Percio Institut de psychologie

Plus en détail

Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable

Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement

Plus en détail

SARL NGP INFORMATIQUE au capital de 45059, RCS Rennes 400910931 NAF 4741Z siège social 9, square du 8 mai 1945 35000 RENNES CONDITIONS GENERALES

SARL NGP INFORMATIQUE au capital de 45059, RCS Rennes 400910931 NAF 4741Z siège social 9, square du 8 mai 1945 35000 RENNES CONDITIONS GENERALES CONDITIONS GENERALES D UTILISATION DES SERVICES e.coodentist gestion de cabinets dentaires en mode SAAS PREAMBULE L utilisation de l ensemble du site et des fonctionnalités du progiciel e.coodentist (ci-après

Plus en détail

La question palestinienne : défi risqué pour Obama et comment l Europe peut l aider

La question palestinienne : défi risqué pour Obama et comment l Europe peut l aider La question palestinienne : défi risqué pour Obama et comment l Europe peut l aider Auteur : Jacques Charmelot : Journaliste pour l'agence France Presse depuis 1980. Il a dirigé les bureaux de Téhéran,

Plus en détail

Réforme de la politique de la ville. Rencontre territoriale (Auvergne, Bourgogne, Rhône-Alpes) Lyon - 8 juillet 2014

Réforme de la politique de la ville. Rencontre territoriale (Auvergne, Bourgogne, Rhône-Alpes) Lyon - 8 juillet 2014 Réforme de la politique de la ville Rencontre territoriale (Auvergne, Bourgogne, Rhône-Alpes) Lyon - 8 juillet 2014 Restitution de l atelier n 3 : Intitulé : Les communes et agglomérations concernées par

Plus en détail

Idées reçues et autres contre-vérités

Idées reçues et autres contre-vérités Idées reçues et autres contre-vérités "Juger, c'est de toute évidence, ne pas comprendre ; si l'on comprenait, on ne pourrait plus juger." Citation d'andré Malraux A l occasion des prochaines manifestations

Plus en détail