BULLETIN MENSUEL DES PRIX

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1 BULLETIN MENSUEL DES PRIX Analyse des prix nominaux des principales denrées de base FAITS SAILLANTS Mars 212 Après la légère baisse des prix de février, les marchés céréaliers tchadiens renouent une fois de plus avec la hausse. Les ventes subventionnées de l ONASA en début de l année et les récoltes de contre saison démarrées en février ont produit des effets éphémères sur les tendances haussières qu ont connues les marchés depuis octobre, période des récoltes des cultures pluviales au Tchad. Les prix des principales céréales qui ont commencé à s élever au-dessus de ceux de la crise de 21 depuis le début de l année s y maintiennent, avec des écarts de plus en plus importants au cours du mois de mars. A juger par les prix, la situation semble plus préoccupante qu en 21 car les difficultés d accès alimentaire causées par la hausse des prix touchent aussi bien les zones déficitaires du sahel que les marchés du sud qui étaient restés en marge de la hausse des prix de 21, facteur qui risquerait d aggraver la situation des ménages des zones déficitaires pendant la période de soudure. Malgré la légère amélioration des revenus du bétail, le niveau élevé du prix des céréales continuent d affecter négativement le pouvoir d achat des ménages pasteurs. Une détérioration de plus en plus importante des termes de l échange s observe au cours de ce premier trimestre 212 comparée au même trimestre en 211. Le prix moyen du kilogramme de mil en mars sur les principaux marchés urbains est : 278 FCFA dans la bande sahélienne et 211 FCFA dans la bande soudanienne. En hausse modérée de 1,52% dans la bande sahélienne mais en hausse sensible de 5,76% dans la bande soudanienne par rapport au prix du mois de février 212 ; En hausse de 24,85% et 32,7% dans la bande sahélienne et la bande soudanienne respectivement par rapport au prix du mois de mars 211 ; En hausse de 27,83% et 27,11% dans la bande sahélienne et la bande soudanienne respectivement par rapport à la moyenne de mars pour les cinq dernières années. Le prix moyen du kilogramme de sorgho en mars sur les principaux marchés urbains est : 214 FCFA dans la bande sahélienne et 182 FCFA dans la bande soudanienne. Celui-ci était : En hausse de 2,45% et 1,39% respectivement dans la bande sahélienne et la bande soudanienne par rapport au prix du mois de février 212 ; En hausse de 38,64% et 39,46% respectivement dans la bande sahélienne et la bande soudanienne par rapport au prix du mois de mars 211 ; En hausse de 41,71% et 33,82% respectivement dans la bande sahélienne et la bande soudanienne par rapport à la moyenne de mars pour les cinq dernières années.

2 FCFA/Kg TENDANCE DES PRIX DES DENREES ALIMENTAIRES DE BASE L alimentation des ménages tchadiens est basée essentiellement sur la consommation de quelques produits, notamment les céréales sèches que sont le mil, le sorgho et dans une moindre mesure, le maïs et le riz. Ainsi, le suivi des prix de ces produits sur les principaux marchés céréaliers est important pour apprécier l accès alimentaire des populations concernées. 1. Mil Après la légère baisse de février, une reprise de la hausse semble s observer de nouveau sur les marchés céréaliers tchadiens, en particulier pour les céréales sèches locales. L effet bénéfique des ventes subventionnées conjugué à la mise sur le marché des produits de contre saison a été éphémère. En effet, le prix du mil y a connu une hausse de 2.37% en moyenne entre février et mars 212. Les marchés d approvisionnement de l est et du sud font face à une pression importante de la demande. A Goz Béida, Koukou, Sarh et Goré, les prix y ont respectivement augmenté de 24%, 5%, 13%, 2% entre février et mars 212. Cela pourrait être le signe d une reprise des transactions entre certains marchés en ce temps où l effet des ventes subventionnées s est dissipé et la disponibilité des produits de contre-saison incitent au réapprovisionnement des commerçants. Sur le marché d Ati situé dans la région du Batha -région qui dépend beaucoup du Ouaddaï pour son approvisionnement- la baisse observée durant deux mois consécutifs sur le marché de Abéché a permis à la région de se réapprovisionner conduisant à une stabilisation des prix. Les écarts entre les prix observés en mars 212 et ceux de mars 211 ainsi que la moyenne quinquennale au cours de ce mois se resserrent de plus en plus. Malheureusement, cela n est pas un signe de soulagement pour les ménages dont la plupart s approvisionne sur les marchés, car cette réduction s explique simplement par le fait que l année dernière également, très tôt, les prix des céréales avaient commencé à augmenter (à partir de mars pour la plupart des marchés). Aussi, la tendance à un niveau de prix plus élevé en 212 comparée à l année de crise de 21 observable depuis le début de cette année, se généralise sur la presque totalité des marchés céréaliers tchadiens en mars (en-dehors de Abéché et de Guéréda), avec des écarts de plus en plus importants (Mao (13%), Moussoro (3%), Mongo (12%), Goz Béida (18%), N Djamena (24%), Moundou (23%), Sarh (19%), Goré (22%), Haraze (46%)). Malgré la relative bonne production agricole en 211 dans la bande soudanienne, la présente crise semble embarquer également les marchés du sud qui étaient pourtant restés en marge des niveaux de prix élevés permettant l approvisionnement des zones déficitaires lors de la crise de Evolution du prix de détail à la consommation du mil à Abéché Moy. 5 ans Année 211 Année Sorgho Suite à la mise sur les marchés des produits de contre-saison, le prix du kilogramme de sorgho a connu une baisse (5.6%) entre janvier et février 212. Le mois de mars est marqué par une reprise de la hausse, hausse du même ordre que celle du mil (2.38%). Cette tendance haussière globale a été davantage tirée vers le haut par les marchés de la bande sahélienne, 1

3 FCFA FCFA en particulier le sahel centre (Mongo et Ati) et ouest (Mao) qui ont été le siège d une forte hausse au cours de ce dernier mois. Des différences importantes de prix entre le mil et le sorgho (8FCFA le kilo à Ati et 12FCFA à Mongo en février) auraient conduit à un report de consommation sur cette céréale qui est la seule céréale de substitution au mil dans la zone (absence de maïs). Sur le marché de Mao, le niveau élevé du prix du mil décourage les consommateurs qui se reportent sur les produits de substitution (sorgho et maïs) relativement bon marché, conduisant à une forte hausse de leur prix. Malgré leur niveau élevé, les marchés de la bande soudanienne jouissent d une position relativement meilleure car les prix continuent à baisser. Toutefois à Sarh, marché situé dans une zone ayant connu une baisse de production agricole lors de la campagne 211/212, les prix des céréales sont repartis à la hausse en mars après une détente en février liée probablement aux ventes subventionnées. 4 Evolution du prix de détail à la consommation du sorgho à Moundou Moy. 5 ans Année 211 Année Maïs Le prix du maïs a connu une hausse plus importante (4.55%) entre le mois de février et mars 212 comparé aux autres céréales. Considéré comme premier produit de substitution dans les régions du Kanem et Bahr El Gazal, face à la hausse de plus en plus importante du prix du mil, la demande se reporte sur ce produit. De fait, les prix ont augmenté de 23.75% et 5.67% respectivement à Mao et à Moussoro. D importantes hausses des prix ont été également observées sur tous les autres marchés tchadiens. Le début des récoltes du maïs dans le Lac, zone de grande production du maïs au Tchad, n a pas conduit à une baisse des prix à Bol. Compte tenu de la sécheresse conduisant à l intensification de l utilisation des surfaces irriguées, facteur augmentant le coût de production du maïs dans la zone, le sac de maïs s échangeait à 27 FCFA en début du mois d avril, un prix record compte tenu de la saison, ce qui compromettrait l approvisionnement normal des autres marchés qui dépendent de cette zone pour leur consommation en maïs. 4 Evolution du prix de détail à la consommation du maïs à Moussoro Moy. 5 ans Année 211 Année 212 2

4 FCFA 4. Riz importé Le retour sur le marché mondial des grands importateurs de riz et les incertitudes qui planent sur la production mondiale 212 ont contribué à une volatilité du cours mondial du riz au mois de mars 1. En février, le prix moyen du riz importé a baissé de 1.5% entre janvier et février 212 sur les marchés tchadiens. La reprise de la hausse au niveau mondial semble affecter les marchés locaux tchadiens, avec une hausse de 1.12% observée en moyenne sur le prix du riz importé au Tchad. Toutefois, l écart entre le prix de mars 212 et celui de mars 211 s est fortement réduit (1.68% en moyenne) même si le niveau de prix reste suffisamment élevé par rapport à la moyenne quinquennale (23.8%). Depuis le début de l année 212, malgré la mauvaise campagne agricole qu a connu le pays, il faut signaler que la relative stabilité dans les approvisionnements en provenance du Soudan et le cours mondial favorable du riz depuis le dernier trimestre 211 et ce, jusqu en février ont été un facteur de soulagement pour les marchés de la bande sahélienne ouest et est. En raison du conflit qui a éclaté en Libye en février 211 conduisant à la fermeture de l important corridor Libye - Tchad et du niveau de prix élevé pour le riz sur le marché mondial, à la même époque l année dernière les prix étaient plutôt élevés pour une année de production record au Tchad. Les prix actuels se situent entre 5% et 25% en-dessous de leur niveau de 211 à Mao, Moussoro et Abéché. 6 Evolution du prix de détail à la consommation du riz importé à N'Djamena Moy. 5 ans Année 211 Année 212 Perspectives : l arrivée sur les marchés des produits de contre-saison et les ventes subventionnées n ont permis qu une détente de courte durée aux marchés céréaliers tchadiens. En particulier, la portée limitée des produits de contre-saison sur la baisse des prix pourrait s expliquer par un niveau élevé de concurrence entre grossistes dans les zones de production. En effet, vue comme une dernière occasion pour augmenter leur niveau de stock, il est possible qu au moment de la vente de ces produits, la concurrence qui existe généralement entre les grossistes pour l achat des produits en année de crise soit à la base de la nouvelle hausse observée. Il est à craindre que les marchés céréaliers tchadiens aient perdu définitivement leur chance de connaître une réelle baisse des prix au cours de la campagne de consommation 211/212 et l accès alimentaire des ménages dépendant des marchés risquent d être davantage difficile pour les prochains mois. 1 Rapport mensuel du marché mondial du riz, CIRAD, mars

5 Kg de mil/mouton Prix en FCFA EVOLUTION DES TERMES DE L ECHANGE BETAIL/CEREALES L analyse des termes de l échange permet d appréhender le niveau d accessibilité alimentaire des ménages éleveurs. On l exprimera en termes de quantité de céréales qu un éleveur peut obtenir en vendant un mouton ou un bovin. La campagne passée (21/211) s est caractérisée par une nette amélioration des revenus des éleveurs. En effet, les données recueillies sur les marchés ainsi que les rapports indiquent que les revenus du bétail s étaient améliorés en 211 comparés aux mêmes mois en 21. Les récentes collectes des données montrent que les prix continuent à s apprécier dans le sud du pays, dans le sahel est et ouest au cours de ce premier trimestre 212. Dans le sahel centre par contre, une baisse des prix du bétail est observée depuis février. Malgré tout, comparé au mois de mars 211, les termes de l échange bétail/céréales restent défavorables à l éleveur à cause du niveau élevé des prix céréaliers. Cette détérioration des termes de l échange est davantage accentuée dans la bande sahélienne ouest (surtout à Mao) et centre (Mongo) en raison surtout du niveau élevé du prix des céréales. A Moussoro, marché qui combine un faible niveau de prix du mouton et un niveau élevé du prix du mil, un mouton peut offrir au mieux un demi sac de mil à l éleveur. Sous l effet conjugué d une amélioration du prix du mouton et d une baisse de prix du mil, le marché de Abéché est le seul à connaître une amélioration sensible des termes de l échange par rapport au mois de février Evolution du prix du mouton sur les marchés tchadiens Mao Moussoro Mongo Abéché Goré Evolution des termes de l'échange mouton/mil Mao Moussoro Mongo Abéché Goré Mars 211 Février 212 Mars 212 Les rapports de terrain dans le Kanem font mention de l indisponibilité du pâturage jouant sur l embonpoint du bétail et l apparition des maladies, même si cela ne semble affecter pour l instant que le gros bétail (dromadaires). Les mois qui suivent risqueraient de voir se généraliser cette situation qui toucherait également les petits ruminants. Or, ces derniers 4

6 représentent une source de revenus qui permettrait aux ménages pauvres d assurer leur accès alimentaire au cours de la prochaine période de soudure. FLUX TRANSFRONTALIERS La différence de prix entre les marchés locaux tchadiens et les marchés frontaliers soudanais, nigérians et camerounais d une part et, d autre part, l appréciation des taux de change sont des facteurs incitatifs pour les importations et les exportations des produits alimentaires et la vente du bétail. Depuis 27, suite à des déficits céréaliers récurrents au Soudan, on assiste à une hausse du prix des céréales, notamment celui du mil sur les marchés soudanais. De plus, l appréciation progressive de la Livre Soudanaise depuis juillet 211 (8.3% entre juillet-décembre) exerce une pression importante sur les marchés tchadiens. Toutefois, la hausse des prix et la rareté du mil dans les zones qui commercent avec le Soudan (à Goz Béida de 22 FCFA le sac en février à 27 FCFA en mars) peut limiter l intérêt des commerçants soudanais pour les importations du mil. Le Soudan continue à approvisionner les marchés à l est du Tchad en produits transformés (pâtes alimentaires, sucre, riz, huile). Des échanges réguliers ont lieu entre le Tchad qui dépend du Cameroun pour sa consommation en sucre, en farine de blé, en riz importé, en huile. Cependant, même si certains ménages continuent à s approvisionner sur le marché camerounais, la faible différence de prix du maïs entre N Djamena et Kousseri (moins de 15 FCFA au kilogramme) ne motive pas de grosses importations de la part des commerçants. Par ailleurs, la fermeture de la frontière nigériane - zone qui en pareille crise approvisionne le sahel ouest - constitue un manque à gagner tant pour les ménages pasteurs qui auraient pu exporter leur bétail et profiter des meilleurs prix que pour les consommateurs qui pourraient bénéficier des importations de maïs et de produits transformés. CONCLUSION Les prix des céréales sont repartis à la hausse après une courte détente en février. L offre supplémentaire en céréales de contre-saison et les ventes subventionnées de l ONASA n ont produit qu un effet passager sur les marchés locaux tchadiens ; La forte hausse des prix et la rareté du mil dans les zones qui commercent avec le Soudan doublé des mesures de contrôles de sortie des céréales de part et d autre de la frontière pourraient réduire la motivation des commerçants soudanais pour l importation du mil tchadien. Malgré les inquiétudes d une suroffre de bétail suite à la fermeture de la frontière au Nigéria, les prix du bétail continuent à augmenter dans le sahel ouest (Mao, Moussoro, Bol) et est (Abéché, Guéréda) et au sud du pays. Des baisses de prix ont été observées dans le sahel centre. Toutefois, sur l ensemble du territoire, en raison du niveau de prix élevé des céréales, les termes de l échange se sont détériorés entre mars 211 et mars 212. Nous remercions tous les collègues de terrain et les partenaires pour leurs contributions à la collecte des données. Vos suggestions sont les bienvenues pour l amélioration du contenu de ce document. Ce bulletin est le fruit d'un partenariat entre le Programme Alimentaire Mondial (PAM) et le Système d Information sur les Marchés des Produits Agricoles (SIMPA) de la Direction de la Production et des Statistiques Agricoles (DPSA) du Ministère de l Agriculture et de l Irrigation (MAI). Pour plus d information, contacter: Unite VAM, PAM: Madjioudal Allarabaye: Madjioudal.Allarabaye@wfp.org Wilfred Nkwambi: Wilfred.Nkwambi@wfp.org BP 678 Ndjamena Chad. Tel: / SIMPA / DPSA: Ngaro Brousse : SIMPA: ngarobrousse@yahoo.fr, Tel : Tao Bouraye : SIMPA taobouraye@yahoo.fr, Tel : Direction de la Production et des Statistiques Agricoles : dpsa.maitchad@yahoo.fr 5

7 Prix des principaux produits alimentaires sur les principaux marchés urbains suivis au cours du mois de mars 212 bassins commerçiaux bassin oriental bassin occidental Zone agro écologique Bande sahélienne Moyenne bassin ouest Moyenne bassin est Moyenne ensemble NB: Bande soudanienne Marchés Abéché Mongo Ati Mao Moussoro N'Djamena Moyenne bande sahélienne Moundou Sarh Moyenne bande soudanienne Produits Courant (Mar-12) Feb-12 PRIX Mar-11 Moy. 5 ans Varition des prix 1M 1A M5A Mi l Sorgho Ma ïs Ri z i mporté Mi l Sorgho Ri z i mporté Mi l Sorgho Mi l Sorgho Ma ïs Ri z i mporté Mi l Sorgho Ma ïs Ri z i mporté Mi l Sorgho Ma ïs Ri z i mporté Mi l Sorgho Mi l Sorgho Mi l Sorgho Ma ïs Mi l Sorgho Mi l Sorgho Mi l Sorgho Mi l Sorgho Ma ïs Ri z i mporté M: Variation des prix par rapport au mois précédent, 1A: Variation des prix par rapport au même mois l'année dernière, M5A: Variation des prix par rapport à la moyenne des cinq dernières années La couleur "ROUGE" indique une hausse importante des prix, La couleur "VERTE" indique une baisse importante des prix, La couleur "BLEUE" indique une hausse ou une baisse moins importante des prix qu'on peut qualifier de variation normale (comprise entre -5 et +5), La couleur " JAUNE" indique une stabilité des prix. N/A: Les données manquent pour effectuer les calculs 6

8 Prix des principaux produits alimentaires sur les marchés secondaires suivis au cours du mois de mars 212 PRIX Varition des prix Marchés Produits Courant (Mar-11) Feb-12 Mar-11 Moy. 3 ans 1M 1A Moy. 3 ans Farchana Koukou Goz béïda Mi l Sorgho Ri z i mporté Mi l Sorgho Ma ïs Ri z i mporté Mi l Sorgho Ma ïs Ri z i mporté Mi l Guereda Sorgho Ri z i mporté Mi l Iriba Sorgho Ri z i mporté Mi l Haraze Sorgho Ma ïs Ri z i mporté Mi l Goré Sorgho Ma ïs Ri z i mporté Mi l Moyenne Sorgho Ma ïs Ri z i mporté NB: 1M: Variation des prix par rapport au mois précédent, 1A: Variation des prix par rapport au même mois l'année passée, Moy. 3 ans: Variation des prix par rapport à la moyenne des trois dernières années La couleur "ROUGE" indique une hausse importante des prix, La couleur "VERTE" indique une baisse importante des prix, La couleur "BLEUE" indique une hausse ou une baisse moins importante des prix qu'on peut qualifier de variation normale (comprise entre -5 et +5), La couleur "JAUNE" indique une stabilité des prix. 7

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