dénutrition Diagnostic Dépistage et prise en charge

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "dénutrition Diagnostic Dépistage et prise en charge"

Transcription

1 dénutrition Diagnostic Dépistage et prise en charge

2 introduction Toute altération de l état nutritionnel augmente la morbidité et constitue un facteur pronostique indépendant aggravant les affections médicochirurgicales. L'altération de l'état nutritionnel est souvent le résultat d'une inadéquation entre les apports et les besoins en protéines et/ou énergie

3 introduction(2) La prévalence de la dénutrition en ambulatoire est de 2 à 10% selon la population visée à l hôpital elle est de 30 à 50% (sévère dans 25% des cas) Elle touche de façon préférentielle les personnes défavorisées, précaires et les sujets les plus agés.

4 Définition (1) Malnutrition : État pathologique par déficience ou excès d'un ou plusieurs nutriments Signifie que les apports alimentaires ne sont pas équilibrés Primaire ou secondaire (sans rapport avec l'alimentation) Englobe : Dénutrition Malnutrition protéinoénergétique Alimentation inadéquate Suralimentation par excès d'alimentation

5 Définition (2) État pathologique provoqué par l inadéquation persistante entre les besoins métaboliques de l organisme et la bio-disponibilité en énergie et/ou protéines et/ou micronutriments. Mécanismes potentiels multiples.

6 Définition(3) Réduction des apports -> dénutrition globale, protéinoénergétique d évolution chronique (anorexie). Hypermétabolisme -> associé à l insuffisance des apports est caractéristique des états d agression (syndrôme inflammatoire, chirurgie lourde, ) Augmentation des pertes (grêle court,...)

7 Définition (4) Qu elle que soit l origine de la dénutrition elle se caractérise par une perte de masse maigre et souvent de masse grasse en particulier chez l enfant comme chez l adulte. Elle induit des changements mesurables des fonctions corporelles physiologiques responsables d une aggravation du pronostic des maladies.

8

9 Qui? Pathologies chroniques Suite de thérapeutiques lourdes Toutes personnes hospitalisée pour une affection significative et/ou après une durée supérieure à 7 à 10 jours Personnes âgées et dans le quart monde Personnalités addictives ou avec troubles du comportement alimentaire

10

11 Pourquoi? Morbidité et mortalité accrues par elle même Symptôme qui isolé doit faire rechercher une maladie parfois grave Cancer Troubles du comportement alimentaire Pathologie inflammatoire,

12 physiopathologie L homme est adapté pour stocker les nutriments absorbés et utiliser les réserves constituées, alternativement. Les conséquences du jeûne sont divisées en 4 phases : Jeûne immédiat ou phase postabsorptive Phase d adaptation Phase de jeûne prolongé Phase terminale

13 Conséquences médicales La dénutrition s accompagne d une perte de masse maigre qui induit des changements mesurables des fonctions corporelles physiologiques. Elle se répercute sur la qualité de vie et sur l état général de la personne. Le pronostic est lié aux réserves protéiques.

14

15 Relations perte de masse maigre et complications de la dénutrition («traité de nutrition artificielle de l'adulte, SFNEP»)

16

17 Complications liées à la dénutrition

18 IMC moyen en fonction de la durée d hospitalisation chez l adulte

19 Diagnostic de dénutrition Perte de poids > ou = à 10% Perte de poids > ou = à 5% en 1 mois ou >ou = à 10% en 6 mois La mesure du poids est simple mais prise isolément peu interprétable La vitesse de perte de poids est utile mais n est pas suffisante pour apprécier la gravité de la dénutrition et l efficacité de sa correction.

20 évaluation Anamnèse pondérale semi-récente et récente ->poids de forme ->évolution pondérale ->évaluation en % du poids usuel ->IMC Mesure de la circonférence musculaire brachiale Évaluation des ingestas Modification de l activité physique

21 État nutritionnel en fonction de l'imc selon l'oms IMC État nutritionnel <10 Dénutrition gradev 10 à 12.9 Dénutrition grade IV 13 à 15.9 Dénutrition grade III 16 à 16.9 Dénutrition grade II 17 à 18.4 Dénutrition grade I 18.5 à 24.9 normal 25 à 29.9 surpoids 30 à 34.9 Obésité grade I 35 à 39.9 Obésité grade II > 40 Obésité grade III

22 MNA

23 nsga

24

25 clinique Mesure du poids Mesure de la taille formule de Chumlea et coll : taille homme (cm) = (2.03*distance talon-genou (cm)) (0.04*âge) taille femme (cm) = (1.83*distance talon-genou (cm)) (0.24*âge) poids idéal Formule de Lorentz : poids idéal théorique (kg) =taille (cm) 100 (taille (cm)-150)/(2.5 (femmes) ou 4 (hommes)) IMC par référence aux tables des compagnies d assurances-maladies américaines : PI (kg) = 22* taille (m)²

26 IMC selon ossature

27 Dénutrition critères de la HAS Avant 70 ans Perte de poids* > 10% Perte de poids** > 5% en 1 mois hypoalbuminém < 30 g/l ie IMC <17 Après 70 ans > 10% en 6 mois > 5% en 1 mois < 35 g/l < 21 *Involontaire ou restriction volontaire **en l absence de syndrome inflammatoire. Avant 70 ans une transthyrétinémie < 110 mg/l peut aussi être utilisée

28 Signes cliniques d une dénutrition Signes cliniques Déficit en : Peau sèche, crevasses Vitamine A, zinc, acides gras essentiels Pétéchies, ecchymoses Vitamine K ou C Langue dépapillée, rouge, stomatite excoriante Carence en folates, niacine, riboflavine, fer, vitamine B12 Sclérose de la cornée, opacité de la cornée Vitamine A Cheveux secs, cassants, bifides, clairsemées +/- dépigmentés, facile à arracher, ongles striés déformés (koïlonychie) Protéines, zinc Paresthésies, ataxie Thiamine, vitamine B12 Pertes des masses musculaires Protéines, sélénium hépatomégalie protéines Élargissement des articulations Vitamine D tachycardie Protéines, sélénium

29 Marqueurs biologiques Albumine Transthyrétinémie CRP RBP Creatininémie Dosage des concentrations plasmatiques des minéraux (calcium, phosphore, magnésium), des oligoéléments (fer, zinc, sélénium,..) et vitamines (25-OH-D3, B12, folate,..) à réaliser selon le contexte.

30 albumine Augmentation de la morbidité en chirurgie programmée si < 35 g/l (conférence de consensus de nutrition artificielle périopératoire) Protéine sérique la plus abondante. Responsable à 80% de la pression oncotique. Vitesse de synthèse hépatique lente (150 mg/kg/j) suivi évolutif à long terme avec demi vie biologique de 20 jours. Catabolisme : foie, rein, tractus digestif Norme entre 35 et 50 g/l Si < 30 g/l dénutrition protéique sévère. Syndrome inflammatoire!!

31 Préalbumine ou transthyrétine Protéine vectrice des hormones thyroïdiennes Synthèse : foie, pancréas, plexus choroïdes Demi vie courte : 2 jours Norme entre 250 et 350 mg/l Marqueur sensible de la malnutrition protéinoénergétique

32 RBP Alfa2globuline Synthèse hépatique inhibée par un manque d'apport en tryptophane, zinc, azote et rétinol Synthèse augmentée si IR, IHC ou insuffisance thyroïdienne ou par certains médicaments Spécificité faible Si normal = alimentation équilibrée en vit A, zinc et triptophane.

33 transferrine Béta1globuline Transport du fer Marqueur très sensible de dénutrition mais très faible spécifité car augmentation lors des syndromes inflammatoires

34 Excrétion urinaire normale de la créatinine (g/j) chez l'adulte de de 54 ans. hommes femmes taille creatininurie taille creatininurie % de créatininurie par décade au delà de 55 ans

35 PINI (pronostic inflammatory and nutritional index) PINI = (CRP*orosomucoïde) / (albumine * transthyrétine) PINI < 1 patients non infectés Entre 1 et 10 risque faible Entre 11 et 20 risque modéré Entre 21 et 30 risque élevé > à 30 risque vital

36 NRI (buzby ou nutritional risk index) NRI = (1.519*albuminémie) *(poids actuel/poids usuel)*100 NRI > 97.5% - état nutritionnel normal 83.5% < NRI < 97.5% - dénutrition modérée NRI < 83.5% - dénutrition sévère

37 Principe de l'impédance bioélectrique(1) Le corps humain peut être assimilé à une suspension de cellules dans un milieu hydroélectrique L'impédance (Z) correscpond à la résistance qu'opposent les tissus au passage d'un courant alternatif Quand la fréquence du courant alternatif s'élève, le courant commence (à partir de 10kHz) à franchir les membranes cellulaires À fréquence basse calcul de l'eau extracellulaire À fréquence haute, calcul de l'eau totale.

38 Modèle multi-compartiments Masse non grasse (masse cellulaire active = masse maigre volume d'eau extracellulaire) Corps de référence Brozek et al 25 % Eau extracellulaire 37 % Eau intracellulaire 16 % protéines 6% minéraux 16% graisse

39 Principe de l'impédance bioélectrique(2) Quelle que soit la fréquence, le courant ne peut passer à travers la masse grasse. Pour estimer la composition corporelle il faut assimiler le corps à un cylindre conducteur de résistivité r connue. On pourra calculer la masse non grasse en posant l'hypothèse qu'en moyenne la MNG contient 73.2% d'eau.

40

41 Méthodes de mesure Densitométrie : volume du corps dans l'air et dans l'eau (pesée hydrostatique) MG (%) = ((4.95/densité) 4.5) * 100 Comptage au potassium 40 : peu utilisée, utilise le fait que 98% du potassium est intracellulaire RMN, TDM Anthropométrie : Mesure des plis cutanés (adipomètre) Circonférence des membres

42 Mesure des plis cutanés

43 Prise en charge Dénutrition modérée et/ou les ingestas sont >2/3 des besoins -> enrichir l alimentation + CO Dénutrition sévère et/ou ingestas <2/3 des besoins -> nutrition entérale (+++) ou parentérale (+/-)

44 Conseils diététiques Évaluation systématique première Augmenter la fréquence des prises alimentaires Éviter une période de jeûne nocturne trop longue Privilégier des produits riches en énergie et/ou protéines Adapter les menus au gouts de la personne + adapter la texture Aide technique et/ou humaine Prendre les repas dans un environnement agréable

45 CNO

46 Compléments oraux Le niveau calorique des CNO réellement consommés est habituellement limité à 1000 kcal/j (en pratique souvent beaucoup moins) Grande variétés d arômes, de présentation et de textures Ne doivent pas se substituer aux repas Cno spécifiques ou immunonutriments

47 Critères de choix et de prescription des cno Nature des protéines : animales («goût de lait») > végétales («goût de pois») Densité énergétique (1 à 2 Kcal/ml) Osmolarité : proportionnelle à la concentration des substances dissoutes (attention si jeune ou np prolongée) Lactose : tolérance possiblement altérée Gluten Fibres Présentation commerciale et gouts du patient

48 CNO Alzheimer : augmentation significative du poids ou de la masse maigre sans bénéfice sur les fonctions cognitives, l'autonomie ou la mortalité. Polypathologies : pas d'effet significatif sur la mortalité mais diminution des morbidités Avc : amélioration de la récupération fonctionnelle motrice et le retour à domicilede patients dénutris en ssr au décours d'un avc, 0 par ailleurs.

49 CNO(2) Chirurgie orhtopédique : réductions significatives des complications postopératoires Escarres : chez les patients à haut risque, effet préventif dans 25% des cas. Résultats contradictoires si escarres constitués.

50 CNO et cancer Augmentation des apports énergétiques, protéiques et le poids (NS), mais pas de modification de la survie, la qualité de vie, le taux de réponse au traitement ou la survenue de complications. Intérêt des acides gras oméga-3 sur la qualité de vie? Cno et chirurgie?

51 Cno et chirurgie digestive Chirurgie digestive : réduction significative des complications postopératoires et de diminuer la la perte de poids et de masse musculaire. Cas particulier de la chirurgie carcinologique digestive : les CNO enrichies en acides gras n-3, en ARN et arginine reduisent la morbidité périopératoire, le nombre d'épisodes infectieux et réduisent la durée d'hospitalisation

52 Compléments oraux

53 Nutrition préopératoire (patients non dénutris) Compléments oraux enrichis en acides gras n-3, en L-arginine, en acides ribonucléiques et en antioxydants -> réduction de la morbidité

54 Prise en charge périopératoire Prise en charge nutritionnelle précoce Patients non dénutris -> oral impact Patients dénutris -> nutrition artificielle (25 kcal/kg g d azote/kg) Postopimmédiat -> réduire les apports hydrosodés Réalimentation posopératoire précoce

55 Algorithme de prise en charge en cancérologie viscérale Diagnostic du cancer viscéral Bilan d extension Évaluation nutritionnelle Dénutrition sévère Perte de poids > 10% Alb < 30 g/l ESG stade C Renutrition avant et après chirurgie Immunonutrition entérale de préférence Si voie entérale impossible nutrition parentérale Dénutrition modérée Perte de poids de 5 à 10% Alb 30 à 35 g/l ESG stade B Pas de dénutrition Perte de poids < 5% Alb >35 g/l ESG stade A Immunonutrition orale avant la chirurgie + Réalimentation précoce après Réalimentation orale précoce + Compléments nutritionnels oraux

56 Cno et BPCO, IRC, IHC Bpco et ir : pas d'effets significatifs sur les paramètres anthropométriques et les capacités respiratoires mais joue sur la qualité de vie. Hémodialysés : bénéfice notamment lors des séances d'hémodialyse. Paramètres anthropométriques, biologiques, fonctionnels et survie. IHC : effets bénéfiques sur la fonction hépatocellulaire et morbi-mortalité.

57 Cno (synthèse) Personnes agées Personnes hémodialysés Période périopératoire. Bronchite chronique ou cancer (?) Escarres prévention oui, mais cicatrisation(?)

58 Nutrition entérale

59 Mise en place d'une GPE

60 Nutrition entérale Les sondes nasales (polyuréthane ou silicone) : nutrition courte Les stomies digestives : nutrition spérieure à 1 mois. Site jéjunal si risque d'inhalation bronchique Recours à une pompe non obligatoire mais nécessaire dans certaines pathologies digestives Nutrition entérale cyclique = technique de choix Besoin énergétique = 1.4 * DER (Harris et Benedict)

61 Nutrition entérale (choix) Mélanges polymériques (les plus utilisés) : produits iso osmotiques Calories Protéines Fibres Mélanges semi élémentaires Élémentaires

62 Nutrition entérale (complications) Diarrhée Constipation Vomissements Complications locales Reflux gastrooesophagien Pneumopathie d'inhalation Syndrome de rénutrition inapproprié

63 Syndrome de renutrition Manifestations adverses survenant lors de la renutrition des patients dénutris ou ayant subi un jeune prolongé. Hypophosphorémie (++) avec hypokaliémie et hypomagnésémie. Effondrement des composés phosphorés riches en énergie complications ubiquitaires (cœur, foie, hémato,...)

64 Syndrome de renutrition (prise en charge) Réalimentation par paliers Équilibrer le bilan hydroélectrolytique Adjonction de phosphore, de vitamines et d'oligoéléments.

65 palliatif Ceci doit être discuté au cas par cas : Contraintes Risques Rapidité d évolution de la maladie État général du patient En phase terminale cela ne répond pas de toute façon à la problématique du patient.

66 orexigènes

67 Medicaments orexigènes Pas d'indication si anorexie Pas d'indication en périopératoire, radiothérapie et/ou chimiothérapie Situation palliative :? Acétate de mégestrol ou acétate de médroxyprogestérol Prednisolone Pas d'indication aux cannabinoïdes, sulfate d'hydralazine, pentoxyfilline, nandronolone, étanercept,infliximab

68 Dronabinol (THC) Dérivé du cannabis (non disponible en France) Action antiémétique et antalgique Effets secondaires neuropsychologiques Étude de phase II sur portant sur 18 patients positive (dronabinol 2.5 mg*2) < acetate mégestrol Phase III contre placebo chez 245 patients(ns)

69 conclusion Patients à risques Évaluation faite en priorité sur le poids et les ingestas En cas de dénutrition modérée la prise en charge les passe par les cno après enrichissement de l alimentation Une dénutrition sévère nécessite la mise en place d un prise en charge plus lourde (nutrition entérale en priorité)

70 Changement sonde

71 Dénutrition sévère, critères de la HAS

72 Prise en charge nutritionnelle de première intention puis spécialisée

73 Tableau 1. Méthodes d évaluation de l état nutritionnel recommandées à l entrée du patient à l hôpital. Méthodes anthropométriques : Poids, taille,calcul de l IMC Méthodes biologiques et/ou biochimiques : Aucune méthode recommandée à titre systématique Index : Calcul du score de dépistage par le MNA-SF chez les patients ³ < 70 ans Évaluation de la prise alimentaire : Évaluation nécessaire Méthode(s) laissée(s) à l appréciation des professionnels

74 Jeûne immédiat ou phase postabsorptive

75 Nutrition entérale (choix)

Les Jeudis de l'europe

Les Jeudis de l'europe LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :

Plus en détail

epm > nutrition Formation & Conseil

epm > nutrition Formation & Conseil CATALOGUE FORMATIONS THEME : NUTRITION et SANTE Septembre 2011 Juin 2012 Journée Spéciale pour les Pharmaciens «Conseils Nutritionnels en Officine» Journées de Formation sur Paris «Nutrition de l Adulte»

Plus en détail

Le soin diététique réalisé par un diététicien en établissement de santé

Le soin diététique réalisé par un diététicien en établissement de santé Recommandations pour la pratique clinique Le soin diététique réalisé par un diététicien en établissement de santé Recommandations Mai 2011 Association Française des Diététiciens Nutritionnistes 35 allée

Plus en détail

Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile

Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n

Plus en détail

Besoins Nutritionnel. Besoins. ANC / Besoin. 3 niveaux : Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes

Besoins Nutritionnel. Besoins. ANC / Besoin. 3 niveaux : Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes Besoins Nutritionnel N 110 - Besoins nutritionnels et apports alimentaires de l adulte. Évaluation de l état nutritionnel. Dénutrition. Exposer les besoins nutritionnels de l adulte, de la personne âgée,

Plus en détail

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 19 octobre 2011 PEDIAVEN AP-HP G15, solution pour perfusion 1000 ml de solution en poche bi-compartiment, boîte de 4 (CIP: 419 999-0) PEDIAVEN AP-HP G20, solution pour

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

epm > nutrition Formation & Conseil

epm > nutrition Formation & Conseil CATALOGUE FORMATIONS THEME : Nutrition et Santé Septembre 2014 Décembre 2015 Vous exercez déjà une profession ou souhaitez le faire et vous voulez vous former en Nutrition pour donner des Conseils en Nutrition,

Plus en détail

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 % 24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

o Non o Non o Oui o Non

o Non o Non o Oui o Non Enquête générale (à remplir une fois) [ ] = plusieurs réponses possibles o = une seule réponse possible Date de votre réponse à ce questionnaire Nombre de lits dans l'unité Connaissez-vous l incidence

Plus en détail

LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie

LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7

Plus en détail

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme

Plus en détail

Fiches techniques Alimentation par sonde Nutrison

Fiches techniques Alimentation par sonde Nutrison Fiches techniques Alimentation par sonde Nutrison 2 Fiches techniques Alimentation par sonde Nutrison Renseignements téléphoniques : 0844 844 802 Commandes téléphoniques : 0844 844 808 Version : juillet

Plus en détail

DENUTRITION : UN RISQUE MAJEUR EN INSTITUTION. Un exemple de prise en charge réussie sur 2009 au sein d un EHPAD de 63 lits

DENUTRITION : UN RISQUE MAJEUR EN INSTITUTION. Un exemple de prise en charge réussie sur 2009 au sein d un EHPAD de 63 lits Université René Descartes-Paris Faculté Cochin Port Royal DENUTRITION : UN RISQUE MAJEUR EN INSTITUTION Un exemple de prise en charge réussie sur 2009 au sein d un EHPAD de 63 lits Docteur Françoise Waignier

Plus en détail

Stratégie de prise en charge en cas de dénutrition protéino-énergétique chez la personne âgée

Stratégie de prise en charge en cas de dénutrition protéino-énergétique chez la personne âgée RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Stratégie de prise en charge en cas de dénutrition protéino-énergétique chez la personne âgée RECOMMANDATIONS Avril 2007 1 L argumentaire scientifique de ces recommandations

Plus en détail

LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE

LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont

Plus en détail

Composition corporelle

Composition corporelle Composition corporelle Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Définition des compartiments... 3 I.1 Le modèle anatomique... 3 I.2 Le modèle biochimique...

Plus en détail

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît

Plus en détail

Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours

Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Septembre 2011 Pourquoi repérer l excès de poids? Que faire chez les sujets ayant un âge physiologique avancé? Quand diagnostiquer

Plus en détail

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE

CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE BAXTER_CLINIMIX N9G15 E et N12G20E_Avis CT_14-02-2007.pdf BAXTER_CLINIMIX N9G15E N12G20E N14G30 N17G35_Avis CT_12-12-2001.pdf BAXTER_CLINIMIX changement

Plus en détail

LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE

LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie

Plus en détail

Maurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC

Maurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC Séance plénière 2 : La collaboration interprofessionnelle entre médecins et infirmières Nous examinerons durant cette séance les questions clés liées à la collaboration interprofessionnelle entre médecins

Plus en détail

Carte de soins et d urgence

Carte de soins et d urgence Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase

Plus en détail

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence

Plus en détail

E04a - Héparines de bas poids moléculaire

E04a - Héparines de bas poids moléculaire E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron

Plus en détail

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression

Plus en détail

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : 1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche

Plus en détail

Insulinothérapie et diabète de type 1

Insulinothérapie et diabète de type 1 Insulinothérapie et diabète de type 1 Introduction: la molécule d insuline L instauration de l insulinothérapie Dispositif d administration de l insuline Les propriétés de l insuline Insuline et schémas

Plus en détail

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines

Plus en détail

Migraine et Abus de Médicaments

Migraine et Abus de Médicaments Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

Infirmieres libérales

Infirmieres libérales Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites

Plus en détail

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller

Plus en détail

Professeur Diane GODIN-RIBUOT

Professeur Diane GODIN-RIBUOT UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en

Plus en détail

L équilibre alimentaire.

L équilibre alimentaire. L équilibre alimentaire. Une bonne nutrition est un incontestable facteur de bonne santé. Dans la médecine traditionnelle chinoise, certains aliments bien utilisés servent de remèdes pour prévenir et traiter

Plus en détail

La chirurgie bariatrique est actuellement reconnue comme une procédure

La chirurgie bariatrique est actuellement reconnue comme une procédure REVUES GENERALES 25 A. SALLE Département d Endocrinologie, Diabétologie, Nutrition, CHU, ANGERS. La chirurgie bariatrique est actuellement le traitement de choix de l obésité morbide. Cette chirurgie n

Plus en détail

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE

PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)

Plus en détail

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,

Plus en détail

Observation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas

Observation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie

Plus en détail

Protéines. Pour des Canadiens actifs. De quelle quantité avez-vous besoin?

Protéines. Pour des Canadiens actifs. De quelle quantité avez-vous besoin? Protéines Pour des Canadiens actifs De quelle quantité avez-vous besoin? 1 Protéines 101 Les protéines sont les principaux éléments fonctionnels et structuraux de toutes les cellules du corps. Chaque protéine

Plus en détail

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE

Plus en détail

DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS

DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS Débuté le Terminé le. FICHE ADMINISTRATIVE PATIENT Nom Prénom Date de naissance / / Téléphone. ADRESSE...... N SS / / / / / // ENTOURAGE-PERSONNE RESSOURCE NOM QUALITE..TEL...

Plus en détail

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

ESPRICO Complément alimentaire. pour la stimulation de la concentration et de l attention chez l enfant

ESPRICO Complément alimentaire. pour la stimulation de la concentration et de l attention chez l enfant ESPRICO Complément alimentaire pour la stimulation de la concentration et de l attention chez l enfant ESPRICO Composition Capsules à mâcher 60 pce Capsules à mâcher 120 pce seulement 2 x 2 capsules par

Plus en détail

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les

Plus en détail

Programme de certification sans gluten. Jim McCarthy Directeur général Association canadienne de la maladie cœliaque

Programme de certification sans gluten. Jim McCarthy Directeur général Association canadienne de la maladie cœliaque Bienvenue Jim McCarthy Directeur général Association canadienne de la maladie cœliaque Le droit à la sécurité alimentaire et le Programme de certification sans gluten QMI-SAI Global Symposium sur la sécurité

Plus en détail

Charte nutritionnelle

Charte nutritionnelle Charte nutritionnelle NOTRE MISSION : CONSTRUIRE ET PRESERVER LE CAPITAL SANTE L équilibre alimentaire est un enjeu majeur de santé publique. De ce contexte, Nutrisens s engage à maintenir et à renforcer

Plus en détail

Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant

Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement

Plus en détail

La filtration glomérulaire et sa régulation

La filtration glomérulaire et sa régulation UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»

INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque

Plus en détail

SOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles

SOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du

Plus en détail

Suivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale

Suivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude

Plus en détail

Cordarone et Thyroïde par François Boustani

Cordarone et Thyroïde par François Boustani Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir

Plus en détail

AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE

AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin

Plus en détail

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation

Plus en détail

UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014

UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014 UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS

Plus en détail

prise en charge paramédicale dans une unité de soins

prise en charge paramédicale dans une unité de soins Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en

Plus en détail

Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011

Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011 Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011 Bureau 4A : Nutrition & Information sur les denrées alimentaires Novel Food, Adjonction V&M, SBNP Compléments

Plus en détail

Livret d accompagnement destiné aux professionnels de santé

Livret d accompagnement destiné aux professionnels de santé En tant que professionnel de santé, vous informez et conseillez les personnes âgées en forme, et, plus tard, les accompagnez lors d un stress physique ou psychique. Vous pouvez également être amené à échanger

Plus en détail

En savoir plus sur le diabète

En savoir plus sur le diabète En savoir plus sur le diabète 2 Qu est-ce que le diabète? Le diabète se caractérise par un excès de sucre dans le sang, on appelle cela l hyperglycémie. Le diabète est une maladie chronique qui survient

Plus en détail

La consultation diététique réalisée par un diététicien

La consultation diététique réalisée par un diététicien Recommandations pour la pratique clinique La consultation diététique réalisée par un diététicien Recommandations Janvier 2006 Avec le partenariat méthodologique et le soutien financier de la Tous droits

Plus en détail

sous-estimée et sous-diagnostiquée

sous-estimée et sous-diagnostiquée La carence en vitamine B 12 sous-estimée et sous-diagnostiquée Lucie Bergeron et Francine Pouliot Les nutritionnistes du CHSLD Ladouceur ont présenté au D r Léveillé, omnipraticien, les résultats de l

Plus en détail

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux

Plus en détail

TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»

TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation

Plus en détail

Bonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici

Bonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général

Plus en détail

Les anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008

Les anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008 Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE

Plus en détail

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT Les étapes du don de rein DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT concerner CHACUN le don du vivant 3 /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////

Plus en détail

La santé bucco-dentaire au cabinet OMS. Problèmes majeurs. Santé bucco-dentaire et santé générale. Santé. Déterminants sociaux et santé bucco-dentaire

La santé bucco-dentaire au cabinet OMS. Problèmes majeurs. Santé bucco-dentaire et santé générale. Santé. Déterminants sociaux et santé bucco-dentaire La santé bucco-dentaire au cabinet Santé OMS Déterminants sociaux et santé bucco-dentaire Colloque MPr 14 septembre 2011 Dr J-P Carrel Division de stomatologie, chirurgie orale et radiologie dento-maxillo-faciale

Plus en détail

Les compléments alimentaires

Les compléments alimentaires Les compléments alimentaires Vigilance et Respect des bonnes pratiques Les cahiers du collectif Eps N 2 Olivier COSTE Médecin conseiller Direction régionale Jeunesse, Sports et Cohésion Sociale «C Définition

Plus en détail

RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé.

RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé. RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. Dé nomination du mé dicame nt Bisolax 5 mg comprimés enrobés. 2. Composition qualitative e t quantitative Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl

Plus en détail

Mieux informé sur la maladie de reflux

Mieux informé sur la maladie de reflux Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de

Plus en détail

SONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES

SONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES Page 1 of 10 SONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES Le Groupe de travail canadien sur la malnutrition (GTCM) a mené une étude à l échelle nationale de 2010 à 2013 afin de déterminer la prévalence de la malnutrition

Plus en détail

Programme de réhabilitation respiratoire

Programme de réhabilitation respiratoire Programme de réhabilitation respiratoire Dr Jean-Marc Perruchini Service de Réhabilitation R respiratoire, Clinique de Médecine Physique Les Rosiers 45, Bd Henri Bazin, 21002 DIJON Cedex Mle Carine Lopez

Plus en détail

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. 1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises

Plus en détail

Dextro Energy gel Liquid Apple

Dextro Energy gel Liquid Apple Dextro Energy gel Liquid Apple Un concentré glucidique pour les sportifs d endurance. Au parfum pomme. Eau, dextrose, sirop de sucre inverti, acidifiant (acide citrique), arôme, colorant (E 150c). 809

Plus en détail

Apport hydrique et boissons

Apport hydrique et boissons Besoin hydrique de l organisme L eau représente chez l homme adulte 60% de la masse corporelle, 50% chez la femme adulte et jusqu à 80% chez le nouveau-né. Par exemple un homme qui pèse 80 kilos est constitué

Plus en détail

Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique

Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique Université d été E-Santé Castres-Mazamet 4, 5, 6 juillet 2012 «Des supports numériques au service de l éducation thérapeutique des patients» Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique

Plus en détail

Le VIH et votre foie

Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)

Plus en détail

BESOIN DE MANGER ET BOIRE chez BB. Besoin d'eau : 125cc/kg/jour Maximum 1 litre.

BESOIN DE MANGER ET BOIRE chez BB. Besoin d'eau : 125cc/kg/jour Maximum 1 litre. BESOIN DE MANGER ET BOIRE chez BB Besoin d'eau : 125cc/kg/jour Maximum 1 litre. Besoin alimentaire Allaitement maternelle : 1er jour=colostrum riche en protéines et en glucides Contient des AC Laxatif

Plus en détail

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient! Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique

Plus en détail

Table des matières Introduction Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l eau*de*roche

Table des matières Introduction Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l eau*de*roche Table des matières Introduction! *! Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse! 1.1!Les!matériaux! 1.2!Solides,!liquides!et!gaz 1.3!Gaspiller!de!l énergie! 1.4!Le!carburant!du!corps! Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l

Plus en détail

Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente

Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente Examens périodiques de santé pour tout assuré social (sauf RSI) Les examens périodiques de santé Pour qui? En règle générale Pour tous les assurés sociaux

Plus en détail

Livret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation

Livret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT

Plus en détail

Tâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.

Tâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive. 13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser

Plus en détail

Parcours du patient cardiaque

Parcours du patient cardiaque Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,

Plus en détail

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet

Plus en détail

Logiciel «My-Labo Cool!»

Logiciel «My-Labo Cool!» Capitalisez vos Connaissances et votre Expérience des Compléments Alimentaires! Logiciel «My-Labo Cool!» La Solution pour optimiser votre Compétence sur les Compléments Alimentaires, que vous soyez Thérapeute

Plus en détail