Jean Léonetti Presse écrite Analyse des pistes de réflexion et des questions en suspens, quinze jours avant le rendu des conclusions.
|
|
- Marguerite Doré
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 18nov Trois débats pour une révision de la loi sur la fin de vie Jean Léonetti Presse écrite Analyse des pistes de réflexion et des questions en suspens, quinze jours avant le rendu des conclusions. 1 - DIFFUSER LA «CULTURE PALLIATIVE» La mission réfléchit au développement des services et à la formation des médecins, avec une attention particulière pour les établissements d hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD). Développer les soins palliatifs : c est probablement la partie la plus consensuelle du travail des députés «Mais il faut le faire, coupe le député Alain Claeys. Nous devons être fortement incitatifs.» Près de quinze ans après la loi érigeant l accès à ces structures en droit du patient, le Comité consultatif national d éthique dénonçait en effet dans son dernier rapport le «scandale» du non-accès à ces soins. Ceux-ci sont «limités à une élite soignante qui s adresse à une sélection de patients, ceux qui connaissent le système de santé, ceux qui ont des réseaux», déplorait aussi le Collectif inter associatif sur la santé (CISS) dans sa dernière note, publiée fin octobre. Proposant «une approche globale et interdisciplinaire» du patient, les 116 unités de soins palliatifs comptabilisées en 2013 ont pour «objectif de soulager les douleurs physiques et les autres symptômes, mais aussi de prendre en compte la souffrance psychologique, sociale et spirituelle (1)». Fixes ou mobiles (se rendant dans les services, les maisons de retraite, au domicile), les unités sont une réponse à beaucoup de souffrances. Mais cette prise en charge est à la fois trop rare et trop tardive, a déploré Jean-Claude Ameisen, président du CCNE, devant la mission. «Quand on ne soigne pas une douleur lorsqu elle apparaît, on a d autant plus de mal à la soigner quand elle est installée. De plus, réserver les soins palliatifs pour la toute fin de vie envoie au patient le signal qu il va mourir incessamment.»
2 Comme pour beaucoup d intervenants, il plaide pour rompre l équation «soins palliatifs = fin de vie». Pour cela, c est ainsi tout une culture médicale qu il faut bouleverser afin que les soins de support, de soulagement «deviennent la base de la médecine, a expliqué Jean-Claude Ameisen. Il faudrait que l oncologue sache en faire, comme le généraliste». Pour les parlementaires, une des pistes serait de renforcer la place des soins palliatifs dans les études de médecine, et donc dans le concours de l internat. Selon le rapport Sicard, remis en décembre 2012, 80 % des médecins n auraient en effet jamais suivi de formation sur la prise en charge de la douleur. Des stages dans des services de soins palliatifs pourraient devenir obligatoires en tout début de formation ou pour les étudiants concernés par les maladies graves. Au-delà de la formation, il s agira aussi de valoriser et de diffuser les bonnes pratiques, comme celles de ces services où un spécialiste des soins palliatifs participe aux réunions interdisciplinaires dès l annonce du diagnostic d une maladie incurable. Le rôle de l Observatoire national de la fin de vie, créé en 2010, pourrait être renforcé en ce sens. Enfin, un nouveau plan de développement des soins palliatifs devrait être décidé, le dernier s étant achevé en Symboliquement, cela marquerait une volonté politique forte et permettrait de «flécher» des moyens pour développer les services et former aux traitements contre la douleur. Le dernier plan de développement avait été financé à hauteur de 229 millions d euros. Dans les propositions des parlementaires, certains lieux ou populations devraient aussi faire l objet d une attention particulière. La situation des établissements d hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) a été largement critiquée. Les personnels formés ou sensibilisés aux soins palliatifs y sont aussi trop rares. En l absence de personnel médical le soir et le week-end, les résidents sont trop souvent envoyés aux urgences inutilement. Chaque année, personnes en provenance d Ehpad décèdent aux urgences dans les heures qui suivent leur admission. 2 - OBLIGER LE MÉDECIN À RESPECTER LES DIRECTIVES DU PATIENT Faisant l objet d un relatif consensus, l «opposabilité» des directives pose néanmoins des questions pratiques et éthiques complexes.
3 Dès son rapport d évaluation en 2008, Jean Léonetti l affirmait : il faut «rendre les directives anticipées opposables au médecin». Créées par la loi de 2002, celles-ci n ont en effet que la force de «souhaits», dont les médecins doivent seulement tenir compte. C est une des raisons pour lesquelles elles sont peu rédigées par les patients : en 2009, seuls 2,5 % des personnes concernées, c est-à-dire incapables de s exprimer au moment de la décision, avaient rédigé des directives, selon l Institut national d études démographiques (Ined). «En France, nous sommes dans une médecine du consentement et non de la volonté du patient, a analysé François Goldwasser, chef du service de cancérologie de l hôpital Cochin (Paris) devant la mission parlementaire. Nous préconisons des traitements auquel il adhère, mais on ne sait pas réellement ce qu il veut. Or consentir n est pas forcément vouloir.» Un consensus se dégage donc, depuis plusieurs années, pour que les directives soient qualifiées de «contraignantes» ou d «opposables», bref, qu elles s imposent au médecin. Cela pose néanmoins de nombreuses questions éthiques et pratiques. La première : ce que l on veut un jour est-il valable pour toujours? «Nous avons deux libertés fondamentales : celle de choisir et celle de changer d avis», a fait valoir le professeur Axel Kahn lors de son audition. Faudrait-il que la directive soit plusieurs fois réitérée pour qu elle soit contraignante? Pourrait-on imaginer que certaines directives soient opposables et pas d autres? C est la piste privilégiée par la mission. Bien que réunies en un seul document, il y aurait deux types de directives. Les premières, d ordre général, seraient rédigées par la personne en bonne santé pour le cas où elle serait victime d un accident la laissant inconsciente. Ces souhaits auraient une portée indicative. Les secondes, plus précises, pourraient avoir une portée contraignante. L ensemble du document, visé par un médecin, envisagerait ainsi plusieurs scénarios : la personne veut-elle être placée sous respirateur? Accepte-t-elle d être alimentée et hydratée par sonde ou perfusion? Atteinte d une maladie en phase avancée, veut-elle être transférée en réanimation si son état le requiert? Une consultation spécifique consacrée aux directives pourrait même être proposée autour de l annonce d un diagnostic grave. Cela permettrait d évoquer avec le patient des questions précises sur sa fin de vie, en même temps que des questions plus larges sur le parcours de soins. Comme au Pays-Bas, ces directives pourraient être placées en première page du dossier médical et être régulièrement rediscutées avec les personnels soignants. Quel que soit le dispositif choisi, la mission prévoit néanmoins que le médecin puisse se «délivrer» de
4 l opposabilité dans certaines situations précises, par exemple pour les urgences vitales. S il ne suivait pas les directives, le médecin devrait se justifier, soit en convoquant la collégialité, soit en expliquant sa décision par écrit, dans un document cosigné par un confrère, versé au dossier médical et communiqué aux familles. Une procédure aussi cadrée et détaillée, s agissant de situations par nature complexes, douloureuses et évolutives, est-elle envisageable? Certains spécialistes sont sceptiques. Emmanuel Hirsch craint ainsi un double écueil : côté patients, le risque de se voir «condamné à décider», «au prix d y concéder la liberté d une certaine insouciance et ( ) le droit de ne pas savoir, de ne pas avoir à décider de tout». Côté soignants, le risque «de se sentir exonéré de toute autre responsabilité que le strict respect juridique de ce qui est exigé d eux». 3 - LA SÉDATION, UN DROIT Renforcer et de développer l usage de la sédation lorsque les plus puissants antidouleur n ont plus d effet ferait franchir un pas supplémentaire, entre l accompagnement et l aide à mourir. Renforcer et développer l usage de la sédation lorsque les plus puissants antidouleurs n ont plus d effet ferait franchir un pas supplémentaire, entre l accompagnement et l aide à mourir. Pourra-ton demain exiger de son médecin qu il nous endorme définitivement, quelques jours avant notre mort? Tel est l enjeu des débats sur la «sédation profonde et continue jusqu au décès» vers laquelle tendent les députés Alain Claeys et Jean Léonetti. Actuellement, la sédation est possible si le médecin n arrive pas à calmer une douleur ou une souffrance par d autres moyens. Mais elle n est pratiquée qu à l initiative du médecin et de façon réversible : on endort le patient en dosant au plus juste le traitement visant à réduire son état de conscience afin qu il puisse se réveiller de lui-même, par exemple au matin ou lors des visites, ou que le médecin puisse le réveiller, pour vérifier si le symptôme persiste par exemple. Une pratique critiquée par le docteur Bernard Devalois, chef d une unité de soins palliatifs : «Il faut sortir du dogme de la réversibilité. Réveiller un patient pour lui dire : Alors vous souffrez toujours? et le sédater à nouveau, cela peut s apparenter à de la maltraitance.» C est sur ces deux points, initiative du médecin et réversibilité, que les députés veulent clarifier les pratiques. La sédation deviendrait, d abord, un droit du patient : il pourrait l exiger de son médecin. Et ce dernier l endormirait en assumant, dès le départ, l idée de ne pas le réveiller jusqu à son décès.
5 Dans le détail, les députés distinguent deux situations. La première concerne les patients hors d état d exprimer leur volonté. Lors d un arrêt des traitements, la mise en place d une sédation continue jusqu au décès deviendrait une obligation pour le médecin. Pour les patients conscients, la sédation deviendrait un droit à trois conditions : être en phase terminale (pronostic vital engagé «à court terme»), avoir demandé l arrêt de tous les traitements et ressentir des souffrances physiques et psychiques réfractaires aux traitements. Ce sommeil induit pourrait-il ou devrait-il accélérer, par effet secondaire ou de façon assumée, la survenue du décès? Pour les uns, assumer l accélération du décès, si le patient demande «à ce que ça ne dure pas trop», se rapproche d une pratique euthanasique. La Société française d accompagnement et de soins palliatifs (Sfap) se méfie ainsi de la création d un «droit créance» à la sédation : «Sa mise en place créerait une confusion majeure sur la finalité de cette pratique, a expliqué le docteur Vincent Morel lors de son audition. Le parallèle entre euthanasie et sédation pourrait alors être effectué.» La Sfap souhaite que la décision soit soumise à une décision médicale collégiale. Mais alors, il ne s agirait plus d un droit du patient. De son côté, le Conseil national de l ordre des médecins réclame que ce droit s accompagne d une «clause de conscience» pour les médecins. «Soulager est un devoir du médecin, a répondu Jean Léonetti. Depuis quand un devoir devrait-il s accompagner d une clause de conscience?» Pour lui, comme pour le Comité consultatif national d éthique, la question de la survenue de la mort importe finalement peu. Une sédation sur un corps en fin de vie qui n est plus alimenté ni hydraté entraîne, de fait, la mort dans les jours qui suivent. Mais elle n est qu un effet secondaire, l intention étant bien de soulager. Source : la Croix Flore Thomasset 17/11/2014
Droits des malades en fin de vie. Connaître la loi Leonetti et l appliquer
Droits des malades en fin de vie Connaître la loi Leonetti et l appliquer Lorsque la médecine trouve ses limites et que la personne, avec ses proches, se situe dans la perspective d une échéance annoncée,
Plus en détailRAPPORT DE PRESENTATION ET TEXTE DE LA PROPOSITION DE LOI DE MM. ALAIN CLAEYS ET JEAN LEONETTI
RAPPORT DE PRESENTATION ET TEXTE DE LA PROPOSITION DE LOI DE MM. ALAIN CLAEYS ET JEAN LEONETTI CREANT DE NOUVEAUX DROITS EN FAVEUR DES MALADES ET DES PERSONNES EN FIN DE VIE Nous remercions Catherine Hesse,
Plus en détaildroits des malades et fin de vie
DOCUMENT à CONSERVER ET À EMPORTER si VOUS êtes HOSPITALISé droits des malades et fin de vie La loi Leonetti Le respect de la personne Le rôle de votre médecin L accès aux soins palliatifs Photo couverture
Plus en détailPRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE
PRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE POSITION DU CONSEIL NATIONAL DE L ORDRE DES INFIRMIERS Décembre 2013 POSITION DE L ORDRE NATIONAL DES INFIRMIERS «PRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE» Le Président de la
Plus en détailPrésentation de la note Perspectives & Propositions Fin de vie, penser les enjeux, soigner les personnes
Présentation de la note Perspectives & Propositions Fin de vie, penser les enjeux, soigner les personnes par Dominique Folscheid et Brice de Malherbe, co-directeurs du département d Ethique biomédicale,
Plus en détailLE MALADE EN FIN DE VIE
LE MALADE EN FIN DE VIE Un précepte, donc à suivre scrupuleusement, est celui de ne jamais abandonner un malade même en état de mort imminente et de tout mettre en œuvre pour relever les forces, et soulager
Plus en détailNe prenons pas le problème à l envers!
Ne prenons pas le problème à l envers! Déclaration sur la fin de vie Mardi 20 janvier 2015 1. Nous saluons avec admiration l effort des équipes médicales et des bénévoles qui, avec compétence et dévouement,
Plus en détailLA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES. Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone
LA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone SOMMAIRE 1. La mort aux urgences 2. Les Limitations et Arrêts des Thérapeutiques
Plus en détailQuelles attitudes en fin de vie? Acharnement? Euthanasie? Soins palliatifs?
Quelles attitudes en fin de vie? Acharnement? Euthanasie? Soins palliatifs? Dr Christophe TRIVALLE Service de Gérontologie et Soins Palliatifs Hôpital Paul Brousse «Nombre de débats actuels initiés par
Plus en détailRapport du CCNE sur le débat public concernant la fin de vie.
21 octobre 2014 Rapport du CCNE sur le débat public concernant la fin de vie. Ce document constitue le rapport du Comité Consultatif National d Ethique qui rend compte du débat public concernant la fin
Plus en détailL euthanasie et l assistance au suicide
L euthanasie et l assistance au suicide Loi du 16 mars 2009 français 25 questions 25 s L euthanasie et l assistance au suicide Loi du 16 mars 2009 En collaboration avec le Ministère de la Sécurité sociale,
Plus en détailDémence et fin de vie chez la personne âgée
Démence et fin de vie chez la personne âgée Dr C le Provost Gériatre C.H.B.A Vannes Dr M Michel Gériatre C.H.U Rennes Démence et fin de vie Sujet grave: la mort la «de mens» = être privé de son esprit
Plus en détailAssises Nationales du Maintien à Domicile 14 17 juin 2000 La douleur Les soins palliatifs. EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS
EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS INTRODUCTION (Présentation de l'association François-Xavier Bagnoud) L'Association L'association qui porte le nom de François-Xavier Bagnoud est une
Plus en détailGuide sur le processus décisionnel relatif aux traitements médicaux dans les situations de fn de vie
Guide sur le processus décisionnel relatif aux traitements médicaux dans les situations de fn de vie Guide sur le processus décisionnel relatif aux traitements médicaux dans les situations de fn de vie
Plus en détailDroits des personnes malades en fin de vie
R S L S Droits des personnes malades en fin de vie Dr. R. Mislawski Médecin coordonnateur, Docteur en droit Sommaire Introduction 1 Domaine de la loi 2 Conditions de fond de mise en œuvre de la loi 3 Critères
Plus en détailLa prise en charge de votre affection de longue durée. Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous?
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous? Sommaire Edito Votre prise en charge à 100 % Comment cela
Plus en détailNEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF
NEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF ASSOCIATION LOI 1901 CONVENTION CONSTITUTIVE SOMMAIRE ARTICLE 1 OBJET DU RESEAU ET OBJECTIFS POURSUIVIS ARTICLE 2 AIRE GEOGRAPHIQUE DU RESEAU ET POPULATION CONCERNEE ARTICLE
Plus en détail2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS CANCER ET ACCOMPAGNEMENT DU PHARMACIEN : UN PREMIER PAS VERS LA RÉSILIENCE.
2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS Avec le Haut Patronage de Madame Roselyne BACHELOT-NARQUIN, Ministre de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative CANCER ET ACCOMPAGNEMENT
Plus en détailPrise en charge palliative chez les personnes ayant une démence
Prise en charge palliative chez les personnes ayant une démence Concept Équipe multidisciplinaire 7 personnes travaillant sur le terrain 1 personne de référence par 2 UV Avoir au moins 160h de formation
Plus en détailSOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres
SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6
Plus en détailASSOCIATION DES USAGERS DES BANQUES ET ETABLISSEMENTS FINANCIERS DE COTE D'IVOIRE (A.U.B.E.F C.I)
ASSOCIATION DES USAGERS DES BANQUES ET ETABLISSEMENTS FINANCIERS DE COTE D'IVOIRE (A.U.B.E.F C.I) ASSOCIATION POUR LA PROTECTION DES INTERETS ET LA DEFENSE DES DROITS DES USAGERS DES BANQUES ET ETABLISSEMENTS
Plus en détailLa notion de soutien dans le cadre d une équipe belge de soins palliatifs à domicile INTRODUCTION
La notion de soutien dans le cadre d une équipe belge de soins palliatifs à domicile INTRODUCTION Le concept d équipe de soutien dans les soins palliatifs à domicile belges est récent. On évoque aussi
Plus en détailPatients atteints de maladie grave ou en fin de vie
Document réservé aux professionnels de santé - État des connaissances - Mai 2009 Repères pour votre pratique Patients atteints de maladie grave ou en fin de vie Soins palliatifs et accompagnement Les progrès
Plus en détailRésidence MBV Les FIGUERES -Capendu-
Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Accompagnement de fin de vie: un travail d équipe Fin de vie en EHPAD Quel que soit le lieu de la «toute fin de vie» et du décès des résidents d Ehpad, l accompagnement
Plus en détailQuel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs?
Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Aude Le Divenah Praticien hospitalier, chargée de mission, Direction de l hospitalisation et de l organisation des soins Les soins palliatifs se
Plus en détailDélivrance de l information à la personne sur son état de santé
Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du
Plus en détailEthique, don d organe et Agence de la Biomédecine
Ethique, don d organe et Agence de la Biomédecine Patrick Niaudet Président du Conseil d Orientation de l ABM Servie de Néphrologie Pédiatrique Hôpital Necker-Enfants Malades, Paris Mon intervention ne
Plus en détailCharte de protection des mineurs
«Mes enfants, soyez joyeux!» Charte de protection des mineurs Au sein de l Académie Musicale de Liesse Mise à jour août 2014 L ensemble des adultes intervenant au sein de l Académie Musicale de Liesse
Plus en détailDemande de règlement d invalidité de longue durée
Régime d assurance pour les cadres de gestion de la Fonction publique Demande de règlement d invalidité de longue durée Industrielle Alliance, Assurance et services financiers inc. Police collective n
Plus en détailDéclarations anticipées concernant mes soins de santé et ma fin de vie
Déclarations anticipées concernant mes soins de santé et ma fin de vie Nom et prénom: Adresse: Numéro de registre national: Mes valeurs et convictions personnelles Outre les déclarations anticipées expressément
Plus en détailAttirez-vous les Manipulateurs? 5 Indices
Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent 1 Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent Mini livre gratuit Sherpa Consult Bruxelles, Mai 2012 Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction
Plus en détailFIN DE VIE LES CLÉS DU DÉBAT DOSSIER
FIN DE VIE LES CLÉS DU DÉBAT Dossier réalisé par Jean Matos, chargé de mission pour les questions éthiques, en partenariat avec RCF Alpha. Au cours des semaines à venir, le débat sur la fin de vie va sans
Plus en détailVotre épargne s épanouit dans une mutuelle qui n oublie pas d être une mutuelle, elle
Votre épargne s épanouit dans une mutu qui n oublie pas d être une mutu, Votre épargne a tout à gagner des valeurs qui nous animent, Éditorial Fondée à l origine par et pour les anciens combattants, la
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailObjectif de progression Actions Indicateurs chiffrés. Diligenter une enquête auprès des salariés pour connaitre précisément leurs besoins
Articulation entre la vie professionnelle et l exercice de la responsabilité parentale (ces exemples visent à accompagner les partenaires sociaux dans leur négociation, ils ne sont pas exhaustifs des bonnes
Plus en détailTNS Behaviour Change. Accompagner les changements de comportement TNS 2014 TNS
Accompagner les changements de comportement TNS 2014 Comprendre et accompagner les changements de comportement Inciter et accompagner les changements de comportements des individus est un enjeu fondamental
Plus en détailpour personnes atteintes de la maladie de Parkinson
Confidentiel Parkinson Schweiz Suisse Svizzera Dispositions de fin de vie (DocumentHumain) pour personnes atteintes de la maladie de Parkinson Mes volontés juridiquement valables concernant ma vie, mes
Plus en détailLes limitations et arrêt des thérapeutiques en Service de Réanimation Adulte
Institut de Formation en Soins Infirmiers De Savoie CHAPILLON Elodie Les limitations et arrêt des thérapeutiques en Service de Réanimation Adulte Mémoire de fin d études présenté en vue de la validation
Plus en détailDouleur et gestion de la douleur. Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au
Douleur et gestion de la douleur Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au French - Pain Management Department of Health and Ageing Financé par le gouvernement
Plus en détailLa responsabilité des infirmiers et des établissements de santé
La responsabilité des infirmiers et des établissements de santé I. Généralités Notion de responsabilité : Seules les personnes sont juridiquement responsables : o Personnes physiques (particuliers, professionnels)
Plus en détailAssurance invalidité de courte durée. Guide du salarié
Assurance invalidité de courte durée Guide du salarié Assurance invalidité de courte durée Le présent guide contient les formulaires à remplir pour demander des prestations d invalidité et certains renseignements
Plus en détaille guide DON D ORGANES : DONNEUR OU PAS, je sais pour mes proches, ils savent pour moi L Agence de la biomédecine
le guide L Agence de la biomédecine L Agence de la biomédecine est un établissement public national de l État créé par la loi de bioéthique de 2004. Elle exerce ses missions dans les domaines du prélèvement
Plus en détailFiche d information relative au fonctionnement des garanties «responsabilité civile» dans le temps
GENERALI assurances Société Anonyme d Assurances Au capital de 53 193 775 EUR Entièrement versé. Entreprise régie par le code des Assurances Siège social : 7, boulevard Haussmann 75456 Paris Cedex 09 552
Plus en détailSYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois
SYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois La télémédecine au service des soins de 1 er recours et de l aménagement du territoire dominique.depinoy@acsantis.com Pourquoi
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailLE JOURNAL DES PATIENTS DE NOUVEAUX OUTILS DE COMMUNICATION ET D INFORMATION 3 OUVRAGES
LA NEWSLETTER / LIGUE REIN ET SANTÉ / AVRIL 2015 #19 NOUVEAUTÉ 2015 / DES PAGES À PHOTOCOPIER DESTINÉES À VOS PATIENTS LE JOURNAL DES PATIENTS DE NOUVEAUX OUTILS DE COMMUNICATION ET D INFORMATION 2 SITES
Plus en détailSynthèse des 8 rencontres départementales sur les questions que pose la fin de vie,
Synthèse des 8 rencontres départementales sur les questions que pose la fin de vie, organisées par l Espace de Réflexion Ethique Bourgogne / Franche-Comté A. Eléments de contexte et synthèse de la démarche
Plus en détailSITES INTERNET CREATION ET FONCTIONNEMENT D UN SITE INTERNET POUR UN LABORATOIRE DE BIOLOGIE MEDICALE
SECTION G CREATION ET FONCTIONNEMENT D UN SITE INTERNET POUR UN LABORATOIRE DE BIOLOGIE MEDICALE SITES INTERNET Recommandations du Conseil central de la section G ONP/CCG Janvier 2012 A l heure où les
Plus en détailLa prise en charge. de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin
Plus en détailCompte rendu du séminaire sur les RPS qui a eu lieu mardi 4 février à la MMSH
Compte rendu du séminaire sur les RPS qui a eu lieu mardi 4 février à la MMSH En introduction : référence au site rps.hypotheses.org Un questionnaire anonyme sera mis en ligne d ici peu. Un petit film
Plus en détailCONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI
CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI Comprendre ses propres stratégies d échec et de réussite Mettre à jour ses freins, ses propres croyances Développer son potentiel et repousser ses
Plus en détailNOUVEAU TEST DE PLACEMENT. Niveau A1
NOUVEAU TEST DE PLACEMENT Compréhension écrite et structure de la langue Pour chaque question, choisissez la bonne réponse parmi les lettres A, B, C et D. Ne répondez pas au hasard ; passez à la question
Plus en détailDes solutions pour les seniors à revenus insuffisants
Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants IStock - FredFroese Source de croissance de d opportunités, le vieillissement de la population française constitue cependant un défi pour notre pays.
Plus en détailLe prélèvement d organes anticipé/prémédité. Ethique et Greffe Journée du 9 octobre 2012 Dr Laurent Martin-Lefèvre Réanimation La Roche-sur-Yon
Le prélèvement d organes anticipé/prémédité Ethique et Greffe Journée du 9 octobre 2012 Dr Laurent Martin-Lefèvre Réanimation La Roche-sur-Yon Déclaration des conflits d intérêt Médecin de la coordination
Plus en détailOn a souvent entendu que l information c est le pouvoir. En fait, c est le pouvoir d agir.
Le droit d être informé prend sa source dans les droits fondamentaux de la Charte des droits et libertés québécoise. L article 44 confirme que tout Québécois a droit à l information, sous réserve de la
Plus en détailUN MARCHE DU RECRUTEMENT DU MARCHE COMPTABLE
UN MARCHE DU RECRUTEMENT EN PHASE AVEC l EVOLUTION DU MARCHE COMPTABLE RECRUTEMENT 74% DES EMPLOYEURS ONT RECRUTE SUR L ANNEE 2013/2014 Raisons des recrutements quelles évolutions depuis 3 ans? Le recrutement
Plus en détailLa mort imminente à domicile
Renseignements pour les personnes soignantes La mort imminente à domicile À quoi s attendre? Que faire? Table des matières À quoi s attendre?... 1 Quand une personne est mourante... 2 Au moment de la mort...
Plus en détailComment se déroule le droit de visite et d hébergement d un parent en cas de fixation de la résidence habituelle chez l autre parent?
Comment se déroule le droit de visite et d hébergement d un parent en cas de fixation de la résidence habituelle chez l autre parent? Lorsque l enfant vit au domicile de l un de ces parents, ce qui est,
Plus en détailAteliers Santé Ville de Marseille
Ateliers Santé Ville de Marseille QUESTIONS-REPONSES SUR LES DROITS A LA COUVERTURE MALADIE Dernière mise à jour : 30 janvier 2008 Ce document est destiné aux professionnels concernés par les questions
Plus en détailLa planification familiale
La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup
Plus en détailARBITRAGE DE GRIEF EN VERTU DU CODE DU TRAVAIL DU QUÉBEC (L.R.Q., c. C-27) CENTRE HOSPITALIER LE GARDEUR
ARBITRAGE DE GRIEF EN VERTU DU CODE DU TRAVAIL DU QUÉBEC (L.R.Q., c. C-27) ENTRE : SYNDICAT DES INFIRMIERS ET INFIRMIÈRES DU CENTRE HOSPITALIER LE GARDEUR ET : ET : CENTRE HOSPITALIER LE GARDEUR JULIENNE
Plus en détailVers la naissance de bureaux de patients en France Le projet de Pôle Universitaire Patient Partenaire (PU2P)
Vers la naissance de bureaux de patients en France Le projet de Pôle Universitaire Patient Partenaire (PU2P) Plan de la présentation I. Contexte français II. Contexte international III. Le processus IV.
Plus en détailCahier de l OPEQ n 136 Avril 2007. OPEQ Chambre Régionale de Commerce et d'industrie Champagne-Ardenne 10 rue de Chastillon BP 537
LA PROFESSION D AMBULANCIER EN CHAMPAGNE-ARDENNE Cahier de l OPEQ n 136 Avril 2007 OPEQ Chambre Régionale de Commerce et d'industrie Champagne-Ardenne 10 rue de Chastillon BP 537 51011 Châlons en Champagne
Plus en détailCONDITIONS GENERALES D ACHAT
CONDITIONS GENERALES D ACHAT Article 1 ACCEPTATION/ ACCUSE DE RECEPTION Sauf accords contraires et écrits entre AIRMETEC et le fournisseur, les présentes conditions s appliquent impérativement, à l exclusion
Plus en détailProyecto Telemedicina
Seminario Internacional Desarrollo de Servicios Sociales para Personas Mayores 3-4 octubre 2013 Proyecto Telemedicina Dr Jean-Philippe Flouzat Médico geriatra, Consejero Médico Social de la Agencia Regional
Plus en détail2. Mise en œuvre de la réglementation sur la tacite reconduction
2. Mise en œuvre de la réglementation sur la tacite reconduction À la suite des auditions et des réponses écrites au questionnaire, il s avère qu en pratique, la loi «Chatel» suscite peu de difficultés
Plus en détailHISTORIQUE DES SOINS PALLIATIFS ET ENJEUX POUR LE FUTUR
HISTORIQUE DES SOINS PALLIATIFS ET ENJEUX POUR LE FUTUR CHANTAL COUVREUR Sociologue, Docteur en Santé Publique Présidente de «Mediteam» Si l on s intéresse à l histoire des soins palliatifs, on constate
Plus en détailCONTRAT DE BAIL POUR UN APPARTEMENT Entre : 1. Monsieur... et Madame... domicilies a... ci-apres denomme bailleur - et 2. Monsieur... et madame...
CONTRAT DE BAIL POUR UN APPARTEMENT Entre : 1. Monsieur... et Madame... domicilies a... ci-apres denomme bailleur - et 2. Monsieur... et madame... domicilie actuellement a... ci-apres denomme locataire
Plus en détailREFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE
REFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE Le monde de la formation est en plein bouleversement,
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailAPRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations.
PROCESSUS D ASSURANCE QUALITE MIS EN ŒUVRE APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE 1. Identification des circonstances déclenchantes de l acte de maltraitance. 2. Définition des objectifs correctifs. 3. Elaboration
Plus en détailCAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne
CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne Les patients ont besoin d une réponse de proximité et d une prise en charge globale qui nécessite une
Plus en détailDomaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé
Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules
Plus en détailFACE A UNE DEMANDE D EUTHANASIE
FACE A UNE DEMANDE D EUTHANASIE Groupe de Travail sur l Euthanasie Pôle Ethique et Recherche Société Française d Accompagnement et de Soins Palliatifs Octobre 2004 1 SOMMAIRE Cadre et historique du projet
Plus en détailCONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:
CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail
Plus en détailCroissance spirituelle : Vieillir le cœur en paix!
Croissance spirituelle : Vieillir le cœur en paix! Bien vieillir, c est beaucoup plus que faire de l exercice, surveiller son alimentation, se distraire, voyager, etc. C est une question psychologique
Plus en détailLe suivi des règlements clients. Céline MONNIER Rapport de stage UE 7 Relations professionnelles DCG Session 2009
Le suivi des règlements clients Céline MONNIER Rapport de stage UE 7 Relations professionnelles DCG Session 2009 SOMMAIRE La mise en relation des parties La facturation Les délais de règlement Le paiement
Plus en détailAméliorer l efficacité de votre fonction RH
Améliorer l efficacité de votre fonction RH Des tendances accentuées par un environnement économique et social en constante évolution La fonction RH doit répondre à des exigences croissantes en termes
Plus en détail«AMICALE DES CADRES DE LA POLICE NATIONALE ET DE LA SECURITE INTERIEURE» «ACPNSI»
«AMICALE DES CADRES DE LA POLICE NATIONALE ET DE LA SECURITE INTERIEURE» «ACPNSI» Mutuelle régie par les dispositions du Livre III du Code de la mutualité et immatriculée au registre national des mutuelles
Plus en détailLES BASES JURIDIQUES DE LA RESPONSABILITE & DE L ASSURANCE EN MATIERE DE RECHERCHE BIOMEDICALE DIU-FARC-TEC 04/11/2009 1
LES BASES JURIDIQUES DE LA RESPONSABILITE & DE L ASSURANCE EN MATIERE DE RECHERCHE BIOMEDICALE DIU-FARC-TEC 04/11/2009 1 1ère Partie : La recherche biomédicale en France Historique Responsabilité et Assurance
Plus en détailLe guide. pour tout comprendre. Agence relevant du ministère de la santé
DON D ORGANES, IL SUFFIT DE LE DIRE. MAINTENANT. Le guide pour tout comprendre Agence relevant du ministère de la santé La greffe D organes comment s y prendre? des vies La greffe d organes est un acte
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailethique Acharnement thérapeutique Q ua nd s e p o s e la que s t i o n du juste soin... du juste soin...
ethique Acharnement thérapeutique Q ua nd s e p o s e la que s t i o n du juste soin... du juste soin... education permanente 1 «Chacun doit avoir le droit de faire respecter ses volontés, y compris éventuellement
Plus en détailPrise de position du CNUE concernant la proposition de directive horizontale relative aux droits des consommateurs
Prise de position du CNUE concernant la proposition de directive horizontale relative aux droits des consommateurs Les notaires d Europe réunis au sein du CNUE suivent avec grand intérêt les travaux des
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailConseils pour réaliser un tableau de sortie
Conseils pour réaliser un tableau de sortie Ne pas oublier d adapter le langage au patient ou à l institution! Attention au langage trop scientifique ; mais rester cependant clair et précis ; faire passer
Plus en détailProchaine rencontre: jeudi 15 mai, 10h00/12h00 Maison des Habitants Centre-ville - 2 rue du Vieux Temple - Grenoble
Prochaine rencontre: jeudi 15 mai, 10h00/12h00 Maison des Habitants Centre-ville - 2 rue du Vieux Temple - Grenoble mortderuegrenoble.wordpress.com La «barque-mémoire» et «la passerelle», construits en
Plus en détailLe compte épargne temps
2010 N 10-06- 05 Mi à jour le 15 juin 2010 L e D o i e r d e l a D o c 1. Définition Sommaire 2. Modification iue du décret n 2010-531 3. Principe du compte épargne temp Bénéficiaire potentiel Alimentation
Plus en détailL accès aux soins dans l Union européenne. Information sur les droits des patients en Europe. Finances. Achats. e-commerce. Santé. Tourisme.
Finances Achats e-commerce Santé Tourisme Véhicules Immobilier énergie Justice L accès aux soins dans l Union européenne Information sur les droits des patients en Europe Sommaire L accès aux soins La
Plus en détailwww.assuranceintel.ca
AUGMENTEZ VOS VENTES ET GAGNEZ DU TEMPS GRÂCE À DE L INFORMATION AU BOUT DE VOS DOIGTS AssuranceINTEL : Un outil essentiel dans un marché en constante évolution CARACTÉRISTIQUES DES PRODUITS DISPONIBLES
Plus en détailAprès les années MEP, les années mis. Pour ma mutuelle, je sais où je vais
Après les années MEP, les années mis Pour ma mutuelle, je sais où je vais Bienvenue dans vos années mis Vos études sont terminées, il vous faut donc passer de votre mutuelle étudiante à une mutuelle spécialisée
Plus en détailQUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS.
QUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS. Mémoire de D.E.S.C. de Médecine d Urgence Olivier Vuillot Matériel et Méthode : Design
Plus en détailTitre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID. Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues.
Titre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues. Date de présentation : 2014 Lieu : Roubaix. Mis à disponibilité sur le site
Plus en détailENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l asthme de votre enfant
ENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l astme de votre enfant Membre de la Fédération Française de Pneumologie Avec le soutien de la Direction Générale de la Santé et le parrainage
Plus en détailCONTRAT D EXERCICE EN COMMUN AVEC PARTAGE DES FRAIS
CONTRAT D EXERCICE EN COMMUN AVEC PARTAGE DES FRAIS Commentaires du modèle de l Ordre national des infirmiers Rappel : La liberté contractuelle est un principe fondamental en droit civil français. Ainsi
Plus en détailURGENCES. Conférence sur la nouvelle téléphonie et l informatique au sein du Centre de réception et de régulation des appels.
Chapitre 113 Conférence sur la nouvelle téléphonie et l informatique au sein du Centre de réception et de régulation des appels I. MONSEUR, N. LUBINSKI, V. DUPONT, Dr SICOT, C. MINNE, Dr GOLDSTEIN 1 re
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailColloque International IEMA-4
Comment mettre en place un dispositif coordonné d intelligence collective au service de la stratégie de l entreprise. Conférence de Mr. Alain JUILLET - Le 17/05/2010 IEMA4 Pour ne pas rester dans les banalités
Plus en détailLe CONTRAT TRIANGULAIRE en coaching Le contrat tripartite Fanita English, et la Négociation des Contrats Prescrits'
Le CONTRAT TRIANGULAIRE en coaching Le contrat tripartite Fanita English, et la Négociation des Contrats Prescrits' Le Contrat Triangulaire ou tripartite est inventé par Fanita English. Il illustre la
Plus en détail