Comptes économiques du Québec

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Comptes économiques du Québec"

Transcription

1 INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE Comptes économiques du Québec 4 e trimestre 2015

2 Pour tout renseignement concernant l ISQ et les données statistiques dont il dispose, s adresser à : Institut de la statistique du Québec 200, chemin Sainte-Foy Québec (Québec) G1R 5T4 Téléphone : ou Téléphone : (sans frais d appel au Canada et aux États-Unis) Site Web : Dépôt légal Bibliothèque et Archives Canada Bibliothèque et Archives nationales du Québec 1 er trimestre 2016 ISSN (version imprimée) ISSN (PDF) Gouvernement du Québec, Institut de la statistique du Québec, 1988 Toute reproduction autre qu à des fins de consultation personnelle est interdite sans l autorisation du gouvernement du Québec. Mars 2016

3 Avant-propos Cette publication de l'institut de la statistique du Québec présente les estimations trimestrielles des principaux agrégats des comptes économiques des revenus et des dépenses du Québec. Les données non désaisonnalisées sont obtenues à partir de données observées ou estimées selon diverses méthodes. Quant aux données désaisonnalisées, elles sont obtenues à l aide des dernières techniques utilisées à Statistique Canada. Toutefois, les données publiées pour un trimestre particulier de l année en cours sont sujettes à révision dans les publications subséquentes, au fur et à mesure que des données révisées servant à la production des comptes trimestriels deviennent disponibles. Cette publication paraît habituellement tous les trimestres, environ quatre semaines après la publication des comptes trimestriels canadiens. Normalement, la publication du premier trimestre est disponible à la fin du mois de juin, celle du deuxième trimestre à la fin du mois de septembre, celle du troisième trimestre à la fin du mois de décembre et celle du quatrième trimestre à la fin du mois de mars. Produire une information statistique pertinente, fiable et objective, comparable, actuelle, intelligible et accessible, c'est là l'engagement «qualité» de l'institut de la statistique du Québec.

4 Cette publication a été réalisée par : Jean-François Fortin, Danielle Bilodeau, Daniel Mercier, Réjean Aubé et Geneviève Renaud, économistes Avec l assistance technique de : Bruno Verreault, technicien en statistique Annie Desjardins, adjointe administrative Direction des statistiques économiques Pierre Cauchon, directeur Pour tout renseignement concernant le contenu de cette publication : Direction des statistiques économiques Institut de la statistique du Québec 200, chemin Sainte-Foy, 3 e étage Québec (Québec) G1R 5T4 Téléphone : Télécopieur : Note au lecteur Les Comptes économique trimestriels du Québec sont produits selon un processus de mise à jour continue des données. Ainsi, les données des Comptes économiques trimestriels du Québec ont été révisées de 1981 à 2014 le 21 janvier 2016 pour intégrer les Comptes économiques provinciaux annuels diffusés par Statistique Canada le 10 novembre Les données les plus récentes sont consultables sur le site Web de l Institut de la statistique du Québec à l adresse suivante : Vous pouvez obtenir de l information supplémentaire (tableau détaillé, définition, méthodologie et classification) sur ces données dans la Banque de données des statistiques officielles sur le Québec à l adresse suivante : Signes conventionnels Abréviations et symboles N ayant pas lieu de figurer M En millions % Pour cent ou en pourcentage

5 Table des matières Chapitre 1 Faits saillants 7 Introduction 7 Le produit intérieur brut selon les revenus 7 Le produit intérieur brut selon les dépenses 8 Le revenu disponible des ménages 10 Chapitre 2 Tableaux statistiques 11 Annexe Notes méthodologiques 41 Les données utilisées pour la confection des comptes trimestriels 41 La désaisonnalisation des données 43

6 Liste des tableaux 1 Produit intérieur brut selon les revenus, données désaisonnalisées au taux annuel, Québec, Produit intérieur brut selon les revenus, Québec, Produit intérieur brut selon les dépenses, données désaisonnalisées au taux annuel, Québec, Produit intérieur brut selon les dépenses, Québec, Produit intérieur brut selon les dépenses, données désaisonnalisées au taux annuel, base 2007, Québec, Compte des ménages, Québec, Compte des ménages, données désaisonnalisées au taux annuel, Québec, Dépenses de consommation finale des ménages par catégorie de dépenses, Québec, Dépenses de consommation finale des ménages par catégorie de dépenses, données désaisonnalisées au taux annuel, Québec, Recettes et dépenses de l'administration provinciale, Québec, Dépenses de consommation finale des ménages par catégorie de dépenses, données désaisonnalisées au taux annuel, base 2007, Québec, Compte extérieur, données désaisonnalisées au taux annuel, Québec, Compte extérieur réel, données désaisonnalisées au taux annuel, base 2007, Québec, Recettes et dépenses de l'administration provinciale, données désaisonnalisées au taux annuel, Québec,

7 Chapitre 1 Faits saillants INTRODUCTION 1 Le produit intérieur brut aux prix du marché (PIB) diminue de 0,1 % en termes réels au quatrième trimestre 2015, comparativement à une hausse de 0,2 % au Canada. Sur une base annualisée, la baisse est de 0,3 %, comparativement à une hausse de 0,8 % pour l économie canadienne. Pour l ensemble de l année 2015, la croissance réelle de l économie québécoise s établit à 1,1 % comparativement à 1,5 % en La diminution du PIB au quatrième trimestre provient essentiellement de l investissement en capital fixe et de la réduction des stocks des entreprises, baisses atténuées par l amélioration du solde du commerce extérieur et des dépenses de consommation finale. qu en Par contre, le revenu mixte net augmente plus rapidement, et l excédent d exploitation net des sociétés diminue. Le revenu disponible des ménages augmente pour sa part plus rapidement qu en 2014 malgré une croissance plus faible du revenu primaire, tandis que les transferts courants reçus croissent plus rapidement qu en Exprimé en termes réels, le revenu disponible augmente aussi plus rapidement qu en Par ailleurs, le taux d'épargne augmente. LE PRODUIT INTÉRIEUR BRUT SELON LES REVENUS % 1,0 0,8 0,6 0,4 0,2 0,0-0,2-0,4 Variation du PIB réel Québec Canada 14-I 14-II 14-III 14-IV 15-I 15-II 15-III 15-IV Le rendement des facteurs de production La rémunération des salariés atteint 201,8 G$ en 2015, et croît ainsi de 2,1 %, à un rythme semblable à celui de 2,2 % affiché en En 2015, la rémunération hebdomadaire moyenne progresse de 2,1 % et l emploi, de 0,9 %. Au quatrième trimestre, la rémunération des salariés augmente de 0,2 %, résultat d une hausse des salaires et traitements (+ 0,1 %) et des cotisations sociales des employeurs (+ 0,4 %). La rémunération hebdomadaire moyenne (+ 0,2 %) ainsi que l emploi (+ 0,1 %) contribuent à l augmentation de la rémunération des salariés. Pour l ensemble de l année, la hausse du PIB provient principalement de l amélioration du solde du commerce extérieur et des dépenses de consommation finale. Par contre, la formation brute de capital fixe affiche une troisième baisse annuelle consécutive. Les exportations totales de biens et services en volume augmentent en ce qui concerne les exportations vers les autres pays, alors que celles vers les autres provinces diminuent légèrement. Les importations totales en volume augmentent moins rapidement que les exportations au quatrième trimestre, de sorte que le solde déficitaire du commerce extérieur s améliore pour un quatrième trimestre consécutif. Sur le plan des revenus, la rémunération des salariés croît substantiellement au même rythme En 2015, l excédent d exploitation net des sociétés diminue de 5,7 %, après avoir enregistré une hausse de 3,8 % en 2014; cet excédent se chiffre à 37,3 G$ en Les sociétés voient leur excédent d exploitation net reculer de 1,3 % au quatrième trimestre, ce qui représente un cinquième trimestre baissier consécutif. Le revenu mixte net croît de 3,0 % en 2015, en raison de deux de ses trois composantes : le revenu des loyers des ménages (+ 4,9 %) et le revenu mixte net non agricole (+ 2,5 %), puisque le revenu mixte net agricole chute de 29,1 %. Au quatrième trimestre, la croissance du revenu mixte net (+ 0,1 %) ralentit. Le revenu des loyers des ménages (+ 1,2 %) vient compenser les baisses des revenus mixtes nets non agricoles ( 1,1 %) et agricoles ( 1,0 %). 1 La description des faits saillants est réalisée à partir des données désaisonnalisées au taux annuel (tableaux 1 à 9).

8 8 Les impôts indirects et les subventions En 2015, les impôts moins les subventions sur la production s élèvent de 1,5 % après s être accrus de 3,7 % en Sur une base trimestrielle, leur taux de croissance se chiffre à 0,2 % au quatrième trimestre, taux égal à celui du premier trimestre, mais beaucoup plus lent que ceux de 0,5 % et de 1,6 % observés respectivement aux deuxième et troisième trimestres. En 2015, les impôts moins les subventions sur les produits et les importations (+ 4,6 %) progressent à peine plus rapidement qu en 2014 où la hausse atteignait 4,4 %. Au quatrième trimestre, ils augmentent de 0,6 % après avoir connu deux trimestres d augmentations plus substantielles. En 2015, les impôts indirects de l administration fédérale s élèvent de 4,8 %, en raison principalement de recettes accrues provenant de la TPS (+ 4,0 %), mais aussi de celles provenant des droits de douane (+ 15,1 %). Ceux de l administration provinciale augmentent de 2,4 %, en raison principalement des recettes au titre de la TVQ (+ 3,1 %). Les impôts indirects des administrations locales montent de 2,9 %. Au quatrième trimestre, les impôts indirects de l administration fédérale augmentent de 0,4 % et ceux des administrations locales de 1,1 %, tandis que ceux de l administration provinciale se replient de 0,1 %. En 2015, l administration fédérale réduit ses subventions de 4,1 % et l administration provinciale diminue les siennes quelque peu, soit de 0,1 %, pendant que les administrations locales bonifient les leurs de 1,9 %. Au quatrième trimestre, l administration fédérale (+ 3,8 %) augmente ses subventions pour un quatrième trimestre consécutif, pendant que l administration provinciale ( 1,5 %) diminue les siennes pour un troisième trimestre d affilée et que les administrations locales (+ 0,4 %) augmentent les leurs. LE PRODUIT INTÉRIEUR BRUT SELON LES DÉPENSES 2 Les dépenses de consommation finale des ménages Au quatrième trimestre, la croissance des dépenses des ménages ralentit pour s établir à 0,2 % après avoir enregistré une hausse de 0,6 % au troisième trimestre. Cette progression au quatrième trimestre s'explique principalement par la hausse des dépenses en services (+ 0,4 %). Les dépenses en biens affichent une légère hausse de 0,1 %, la diminution des dépenses en biens durables ( 0,5 %) et non durables ( 0,3 %) ayant compensé l'augmentation des dépenses en biens semi-durables (+ 2,6 %). Les dépenses en articles d habillement et chaussures (+ 4,0 %), en meubles, articles de ménage et autres biens et services liés au logement (+ 0,8 %), en santé (+ 1,1 %) et en loisirs et culture (+ 0,6 %) contribuent à la croissance des dépenses des ménages. Les dépenses en transports ainsi que celles en logement, en eau, en électricité, en gaz et en autres combustibles diminuent de 0,2 %. En 2015, les dépenses de consommation finale des ménages progressent de 1,4 %, sensiblement au même rythme qu en 2014 où elles croissaient de 1,5 %. En 2015, les dépenses en services (+ 1,8 %) augmentent plus rapidement que celles en biens (+ 0,9 %) ce que l on observait également en Les dépenses des ménages en biens durables (+ 3,0 %) et semi-durables (+ 1,0 %) augmentent, tandis que celles en biens non durables se replient de 0,2 %. Les dépenses en logement, en eau, en électricité, en gaz et en autres combustibles (+ 2,2 %), en assurance et en services financiers (+ 4,8 %), en transports (+ 2,2 %) et en santé (+ 3,3 %) affichent de fortes augmentations. Les dépenses publiques en biens et services En 2015, la croissance des dépenses de consommation finale des administrations publiques (+ 0,3 %) s établit à un taux voisin de celui de 0,2 % enregistré en Sur une base trimestrielle, une baisse de 0,2 % est notée au troisième trimestre à la suite d une croissance de 0,3 % au premier trimestre et de 0,2 % au deuxième. Pour terminer l année, une légère augmentation de 0,1 % est enregistrée au quatrième trimestre. En 2015, les dépenses de l administration fédérale croissent de 1,8 % après avoir diminué de 0,5 % en Celles de l administration provinciale se replient de 0,2 %, après avoir crû de 0,3 % en 2014, en raison des baisses de 1,9 % des dépenses en éducation et de 0,4 % de celles du gouvernement puisque celles en santé augmentent de 0,7 %. Le 2 L analyse de cette section se fait en termes réels

9 9 secteur des administrations locales et des Premières Nations voit ses dépenses augmenter de 0,5 % en regard d un taux de 0,4 % en L investissement en capital fixe En 2015, la formation brute de capital fixe des entreprises ( 2,9 %) régresse pour une troisième année consécutive ( 6,5 % en 2014 et 6,1 % en 2013). La baisse est principalement attribuable au recul de l'investissement des entreprises en ouvrages non résidentiels ( 8,1 %). La formation brute de capital fixe des administrations publiques ( 0,3 %) baisse également en 2015, mais après avoir connu une hausse de 0,6 % en Au quatrième trimestre, la formation brute de capital fixe des entreprises (+ 0,1 %) affiche un deuxième trimestre à la hausse, entraînée par le redressement des investissements en ouvrages résidentiels, soit 1,9 % au quatrième trimestre. La formation brute de capital fixe des administrations publiques ( 1,6 %) présente un troisième trimestre baissier d affilée. En 2015, les investissements des entreprises en ouvrages résidentiels des entreprises diminuent de 0,5 %, à la suite d une diminution de 0,1 % en Il s agit d une troisième année consécutive à la baisse. Les dépenses en construction de logements neufs ( 4,9 %) sous-tendent ces résultats baissiers. Les dépenses en rénovation (+ 1,6 %) s accroissent pour une troisième année d affilée, tandis que les coûts de transfert de propriété (+ 4,7 %) connaissent une deuxième année de hausse. Les investissements des entreprises en machines et en matériel se contractent de 1,1 % à la suite de deux baisses plus importantes, soit de 10,7 % en 2014 et de 17,4 % en Les investissements en ouvrages non résidentiels ( 8,1 %) diminuent fortement, mais moins qu en 2014, alors qu ils chutaient de 14,3 %. Les investissements en produits de propriété intellectuelle ( 3,8 %) baissent également, et ce, pour une quatrième année d affilée. Au quatrième trimestre, l augmentation de l investissement des entreprises en construction résidentielle provient de ses trois composantes : l investissement en rénovations (+ 2,5 %), les coûts de transfert de propriété (+ 2,5 %) ainsi que l investissement en construction de logements neufs (+ 0,8 %). Par contre, leur investissement en ouvrages non résidentiels ( 3,0 %) régresse un neuvième trimestre d affilée, et celui en machines et en matériel ( 0,3 %), régresse également, et ce, pour un deuxième trimestre de suite. % 4,0 3,0 2,0 1,0 0,0-1,0-2,0-3,0-4,0-5,0 Variation de l'investissement des entreprises Résidentiel Non résidentiel Machines et matériel Propriété intellectuelle 15-I 15-II 15-III 15-IV La demande intérieure et le commerce extérieur La demande intérieure finale progresse de 0,4 % en 2015, après s être repliée de 0,2 % en Sur une base trimestrielle, la demande intérieure finale varie peu au cours de l année 2015 : la hausse observée au quatrième trimestre est de 0,1 % à la suite de celle de 0,2 % du trimestre précédent. Au quatrième trimestre, les dépenses de consommation finale des ménages (+ 0,2 %) la soutiennent, alors que l investissement en capital fixe ( 0,3 %) se contracte. En 2015, l investissement en stocks se chiffre à 0,8 G$, à la suite d une accumulation de 1,1 G$ en Au quatrième trimestre, il s agit d un désinvestissement en stocks, et ce, pour la première fois depuis le quatrième trimestre Ce désinvestissement se chiffre à 0,9 G$ et succède à un investissement de 0,3 G$ au troisième trimestre. Les exportations totales en biens et en services augmentent de 2,4 % en 2015, après avoir crû de 4,5 % en Ce sont les exportations internationales de biens (+ 4,6 %) qui croissent le plus, les exportations internationales de services s accroissant de 1,2 % et les exportations vers les autres provinces en services de 1,8 %. Seules les exportations en biens vers les autres provinces ( 1,8 %) sont en baisse. Ainsi, les exportations internationales s élèvent de 4,0 %, tandis que celles vers les autres provinces glissent de 0,1 %. Les importations totales en biens et services (+ 0,7 %) affichent un taux supérieur à celui de 0,3 % atteint en Cette augmentation se reflète dans le commerce international (+ 0,8 %) ainsi que dans le commerce interprovincial (+ 0,6 %), plus spécifiquement dans le commerce interprovincial de services (+ 2,4 %), alors que celui en de biens recule de 1,9 %. Du côté des importations internationales, la croissance des importations en biens (+ 0,9 %) surpasse celle des importations en services (+ 0,2 %).

10 10 En 2015, le solde du commerce extérieur se réduit à 10,8 G$. Cette situation résulte d un solde déficitaire du commerce international qui se réduit de façon plus importante que la baisse du surplus du solde interprovincial. LE REVENU DISPONIBLE DES MÉNAGES La provenance Le revenu primaire des ménages, soit celui provenant de leur participation au processus de production en tant que détenteur de facteurs de production, croît de 2,4 % en 2015 comparativement à 2,8 % l année précédente. Les revenus du travail (rémunération et revenu mixte hors loyers) augmentent de 2,1 %. Par ailleurs, le revenu net de la propriété augmente de 3,4 % en 2015, après une hausse de 9,8 % en Cet écart de croissance s explique à la fois par une hausse plus modérée des revenus de la propriété reçus et par une diminution plus faible des revenus de la propriété payés. La croissance des transferts en provenance des administrations publiques s intensifie par rapport à 2014 pour s élever à 5,3 % en Les transferts de l administration fédérale augmentent de 8,2 % en 2015 (+ 2,2 % en 2014). Les prestations de l'assuranceemploi, augmentent de 2,8 % en 2015, une hausse légèrement supérieure à celle enregistrée en 2014 (+ 2,3 %). Les versements de la prestation fiscale pour enfants augmentent de 2,2 % comparativement à une légère diminution de 0,1 % en Par ailleurs, les prestations de la sécurité de la vieillesse augmentent de 3,5 %, après une hausse de 4,1 % en Finalement, les transferts divers, incluant les versements de la prestation universelle pour garde d enfants, augmentent de 31,7 % en 2015, suivant un léger repli en Les transferts de l administration provinciale, qui avaient augmenté de 0,4 % en 2014, croissent plus rapidement en 2015 (+ 1,4 %). Les prestations du Régime québécois d assurance parentale (RQAP) augmentent (+ 1,7 %) après une hausse de 1,2 % en 2014, alors que les indemnités de la CSST diminuent de 3,6 % (+ 6,9 % en 2014) et que les prestations d'aide sociale varient de + 0,7 %. Par ailleurs, les transferts divers augmentent de 2,8 % après s être repliés de 1,1 % en Enfin, les prestations du Régime de rentes du Québec (RRQ) s établissent à 12,9 milliards en 2015, en hausse de 5,0 %, et celles du Régime de pensions du Canada (RPC) sont stables par rapport à 2014 (153 ). L utilisation Les transferts courants payés aux administrations publiques augmentent de 3,3 %, après une hausse de 3,4 % en L impôt sur le revenu croît de 4,2 %, après une hausse de 3,4 %. Les recettes au chapitre de l'impôt provincial sur le revenu (+ 4,1 %) et celles au chapitre de l impôt fédéral (+ 4,3 %) augmentent à des rythmes semblables en Les cotisations aux régimes d assurance sociale augmentent moins rapidement qu en 2014 (+ 2,0 % contre + 3,6 %). Le ralentissement en 2015 provient principalement du RQAP (+ 0,9 % contre + 2,6 %) et du RRQ (+ 2,5 % contre + 4,8). Les cotisations à la CSST diminuent de 1,5 %, après une hausse de 0,6 % en 2014, alors que les cotisations à l assurance-emploi augmentent de 3,5 % en 2015 comparativement à 2,3 % en % 2,4 2,0 1,6 1,2 0,8 0,4 0,0-0,4-0,8-1,2-1,6 Variation du revenu disponible réel Québec Canada 14-I 14-II 14-III 14-IV 15-I 15-II 15-III 15-IV Le revenu disponible des ménages augmente de 3,1 % en 2015, comparativement à 2,2 % en Exprimée en termes réels, la croissance du revenu disponible s établit à 2,1 %, une croissance significativement supérieure à celle enregistrée en 2014 (+ 0,8 %). Comme le revenu disponible nominal (+ 3,1 %) croît plus rapidement que les dépenses de consommation (+ 2,4 %), l épargne des ménages augmente et s établit à 9,4 G$ comparativement à 8,5 G$ en Le taux d'épargne passe alors de 4,0 % en 2014 à 4,2 % en 2015, avec un creux de 3,4 % au quatrième trimestre, pendant qu au Canada, il emprunte un chemin similaire, passant de 4,2 % à 4,4 % sur une base annuelle.

11 Chapitre 2 Tableaux statistiques Les tableaux 1 à 9 présentent des données désaisonnalisées au taux annuel, c est-à-dire corrigées des variations saisonnières et ramenées sur une base annuelle. Les tableaux 10 à 14 présentent des données brutes, c est-à-dire non désaisonnalisées. Les données des Comptes économiques trimestriels du Québec ont été révisées de 1981 à 2014 le 21 janvier 2016 pour intégrer les Comptes économiques provinciaux annuels diffusés par Statistique Canada le 10 novembre 2015.

12 12 Tableau 1 Produit intérieur brut selon les revenus¹, données désaisonnalisées au taux annuel, Québec, Rémunération des salariés ,8 0,9 0,9 1,0 4,1 1,1 0,4 0,7 0,5 3,3 02 Salaires et traitements ,7 0,9 0,8 0,8 3,8 0,9 0,1 0,6 0,4 2,5 03 Cotisations sociales à la charge des employeurs 1,3 1,3 1,7 2,1 5,9 2,2 2,0 1,4 0,7 7,4 04 Excédent d'exploitation brut ,5-1,0-1,3 0,9-0,9-1,4-2,1-0,4 2,2-2,9 05 Excédent d'exploitation net : sociétés ,7-3,5-3,8 0,6-5,4-3,6-5,8-1,4 4,5-9,7 06 Consommation de capital fixe : sociétés ,6 1,3 1,1 1,1 3,6 1,1 1,3 0,1 0,0 3,8 07 Consommation de capital fixe : administrations publiques et institutions -0,6 2,3 1,7 1,6 5,2-0,4 1,3 1,2 1,2 4,1 sans but lucratif au service des ménages 08 Revenu mixte brut ,1 0,1 1,5 0,3 1,9 0,0 0,7 2,2-1,5 2,3 09 Revenu mixte net ,4-0,3 0,9 0,9 1,7 0,0-0,3 1,6-0,2 1,5 10 Consommation de capital fixe : entreprises individuelles -1,0 1,3 3,4-1,5 2,4 0,3 3,8 4,2-5,2 4,9 11 Impôts moins les subventions sur la production 0,3 1,6 0,5 1,6 2,5 2,6 1,3-0,7 1,0 5,5 12 Impôts moins les subventions sur les produits et les importations 2,7 0,7 1,7 1,5 6,4 0,9 1,4 2,5 2,0 5,9 13 Divergence statistique Produit intérieur brut aux prix du marché -0,2 0,4 0,5 1,0 2,7 0,4 0,0 0,7 0,8 2,0 1. À chacune des variables, les données de la première ligne correspondent à la valeur de la variable et celles de la deuxième ligne indiquent la variation en pourcentage par rapport au trimestre précédent. Source : Institut de la statistique du Québec, Direction des statistiques économiques.

13 Rémunération des salariés 01 0,3 0,8 1,0-0,1 2,2 0,7 0,9 0,3 0,2 2, Salaires et traitements 02 0,4 0,8 1,0-0,2 2,1 0,7 0,9 0,3 0,1 2, Cotisations sociales 03 0,1 0,9 0,8 0,1 2,9 0,6 1,0 0,4 0,4 2,3 à la charge des employeurs Excédent d'exploitation brut 04 1,2 0,9 1,4-0,7 3,4-1,2-0,7 0,9 0,1-1, Excédent d'exploitation net : sociétés 05 0,9 1,6 2,3-2,6 3,8-3,0-2,1-1,0-1,3-5, Consommation de capital fixe : sociétés 06 1,9-0,1 0,3 0,8 2,5 0,8 0,0 2,2 1,3 3, Consommation de capital fixe : 07 0,6 1,2 1,2 1,2 4,2-0,7 1,2 2,6 0,7 3,5 administrations publiques et institutions sans but lucratif au service des ménages Revenu mixte brut 08-0,6 1,3 0,8 0,3 1,0 0,8 0,9 0,8 0,4 2, Revenu mixte net 09-1,5 1,9 1,0 0,4 1,0 0,7 0,9 0,8 0,1 3, Consommation de capital fixe : 10 2,1-0,5 0,4 0,1 0,9 1,3 0,7 0,7 1,3 2,6 entreprises individuelles Impôts moins les subventions 11 2,8-0,1 0,4-0,1 3,7 0,2 0,5 1,6 0,2 1,5 sur la production Impôts moins les subventions 12-0,4 1,5 0,7 0,9 4,4 0,3 2,7 1,3 0,6 4,6 sur les produits et les importations Divergence statistique Produit intérieur brut 14 0,5 0,8 1,0-0,2 2,5 0,2 0,6 0,6 0,2 1,6 aux prix du marché

14 14 Tableau 2 Produit intérieur brut selon les dépenses¹, données désaisonnalisées au taux annuel, Québec, Dépenses de consommation finale ,5 0,2 0,7 0,8 2,8 1,6 0,4 0,9 1,0 3,6 02 Ménages ,7-0,1 0,5 0,8 2,7 1,0 0,6 0,9 1,0 3,1 03 Biens ,5-1,1 0,4 0,7 1,7 1,1 0,4 1,1 1,5 2,8 04 Services ,8 1,0 0,7 0,8 3,7 1,0 0,9 0,8 0,6 3,4 05 Institutions sans but lucratif au service des ménages 0,6 0,2 0,7 0,6 3,1 2,1 0,0 0,4 0,7 3,4 06 Administrations publiques ,2 0,8 1,2 0,8 3,0 2,9-0,3 0,7 0,9 4,7 07 Formation brute de capital fixe ,9 1,2-0,3-0,5 5,7-1,3-4,0 1,3-1,7-4,3 08 Entreprises ,6 1,3-0,4-0,5 7,8-1,4-4,4 0,7-2,3-5,1 09 Bâtiments résidentiels ,4 1,7-0,6-0,5 3,4-1,2-3,1-0,1-2,0-4,3 10 Ouvrages non résidentiels ,6 2,0 0,5 3,0 24,3 2,3-6,7 4,9-3,5 1,5 11 Machines et matériel ,5 0,6-1,1-4,3 4,6-7,4-6,6-3,3-2,4-17,0 12 Produits de propriété intellectuelle ,4 0,1-0,6-1,8-1,5-1,5-0,3-0,3-0,2-3,6 13 Institutions sans but lucratif au service des ménages 5,3 5,0 2,4 0,0 13,6-0,2 0,8 0,8 0,8 3,4 14 Administrations publiques ,5 0,4 0,2-0,8-1,7-0,7-2,8 3,6 0,2-1,4 15 Construction ,3 1,5 1,0-1,0-1,5-2,0-6,2 4,6-0,3-4,4 16 Machines et matériel ,5-3,7-2,6-0,6-5,5 3,4 5,3 4,7 4,5 8,3 17 Produits de propriété intellectuelle ,0-0,1-0,7-0,3 0,0 0,7 1,7 0,6-0,9 1,5 18 Demande intérieure finale ,0 0,4 0,5 0,5 3,4 1,0-0,5 1,0 0,4 1,9 19 Investissements en stocks Solde du commerce extérieur Divergence statistique Produit intérieur brut aux prix du marché -0,2 0,4 0,5 1,0 2,7 0,4 0,0 0,7 0,8 2,0 1. À chacune des variables, les données de la première ligne correspondent à la valeur de la variable et celles de la deuxième ligne indiquent la variation en pourcentage par rapport au trimestre précédent. Source : Institut de la statistique du Québec, Direction des statistiques économiques.

15 Dépenses de consommation finale 01 0,5 1,1 0,4 0,6 2,9 0,4 0,7 0,9 0,3 2, Ménages 02 0,3 1,2 0,4 0,6 3,0 0,3 0,6 1,1 0,3 2, Biens 03-0,4 1,1-0,2 0,3 2,1 0,0 0,2 1,1 0,1 1, Services 04 0,9 1,4 1,1 0,9 3,8 0,6 1,0 1,1 0,5 3, Institutions sans but lucratif 05-1,9 2,8 0,0 3,0 1,7-2,1 1,8 1,0 2,2 3,2 au service des ménages Administrations publiques 06 1,1 0,5 0,3 0,3 2,7 0,7 0,9 0,4 0,2 2, Formation brute de capital fixe 07-1,4 0,8 0,2 0,4-2,3-0,7-0,2 0,7 0,6 0, Entreprises 08-1,8 0,4-0,2 0,2-4,0-1,2-0,1 1,4 1,0-0, Bâtiments résidentiels 09 1,5 2,9 0,9 0,7 1,9-2,9-0,7 3,9 2,7 0, Ouvrages non résidentiels 10-6,7-1,9-2,7-2,7-11,6-1,4-0,9-1,9-2,5-7, Machines et matériel 11-3,2-2,1 1,4 4,4-8,0 2,9 1,9 0,1 1,5 8, Produits de propriété intellectuelle 12-0,1-0,5-0,7-0,7-1,3-0,5 0,7 1,0 0,5-0, Institutions sans but lucratif 13 1,0 2,3 1,5 0,7 4,8 1,4-1,4-0,7 2,9 2,6 au service des ménages Administrations publiques 14-0,3 2,0 1,5 0,9 3,4 1,0-0,4-1,7-0,8 1, Construction 15-1,5 1,8 1,2 0,9 1,0 0,6-0,7-2,6-1,5 0, Machines et matériel 16 3,8 4,0 3,7 2,0 17,1 3,1-0,1-0,7 1,9 7, Produits de propriété intellectuelle 17 0,3 1,2 1,1 0,3 1,8 0,4 0,2-0,1-1,0 1, Demande intérieure finale 18 0,1 1,0 0,4 0,6 1,9 0,1 0,5 0,9 0,4 1, Investissements en stocks Solde du commerce extérieur Divergence statistique Produit intérieur brut 22 0,5 0,8 1,0-0,2 2,5 0,2 0,6 0,6 0,2 1,6 aux prix du marché

16 16 Tableau 3 Produit intérieur brut selon les dépenses¹, données désaisonnalisées au taux annuel, base 2007, Québec, Dépenses de consommation finale ,1-0,1 0,3 0,4 1,0 0,6 0,2 0,4 0,7 1,5 02 Ménages ,2-0,3 0,1 0,4 1,0 0,7 0,4 0,5 1,0 1,8 03 Biens ,3-1,1-0,4 0,2-0,1 1,2 0,3 0,7 1,9 2,0 04 Services ,7 0,4 0,5 0,5 2,1 0,3 0,5 0,3 0,4 1,6 05 Institutions sans but lucratif au service des ménages -1,6 1,6 0,8 1,0 0,6 0,3 1,3-1,8-1,5 1,5 06 Administrations publiques ,1 0,2 0,5 0,3 0,8 0,3-0,3 0,4 0,3 0,8 07 Formation brute de capital fixe ,3 0,9-0,2-0,7 3,5-1,8-4,1 0,5-2,3-5,5 08 Entreprises ,0 1,0-0,1-0,7 5,8-2,0-4,2 0,2-3,0-6,1 09 Bâtiments résidentiels ,2 1,5-0,7-1,3 0,7-1,3-2,5 0,1-2,7-4,7 10 Ouvrages non résidentiels ,2 3,0-0,4 2,5 22,6 1,9-7,1 4,1-4,4-0,2 11 Machines et matériel ,5-1,0 1,1-3,5 4,3-8,0-7,3-4,2-2,8-17,4 12 Produits de propriété intellectuelle ,3-1,8-0,4-0,6-3,9-3,3-1,1 0,4-2,1-5,5 13 Institutions sans but lucratif au service des ménages 5,3 4,2 2,5-0,2 12,1-0,4-0,4 0,4 0,4 1,7 14 Administrations publiques ,3 0,3-0,9-1,0-4,4-0,7-3,6 1,6 0,2-3,7 15 Construction ,1 1,9-0,3-1,3-5,3-2,3-6,6 4,0-0,9-6,1 16 Machines et matériel ,7-4,1-0,8 0,5-3,2 2,7 4,4 3,4 3,9 7,8 17 Produits de propriété intellectuelle ,8 0,5-1,8-0,7-1,9 1,5-2,2-3,6 0,8-3,1 18 Demande intérieure finale ,5 0,1 0,1 0,1 1,5 0,1-0,7 0,4 0,2 0,0 19 Investissements en stocks Solde du commerce extérieur Divergence statistique Produit intérieur brut aux prix du marché -0,2 0,4 0,5-0,2 1,0 0,6-0,3 0,8 0,7 1,2 1. À chacune des variables, les données de la première ligne correspondent à la valeur de la variable et celles de la deuxième ligne indiquent la variation en pourcentage par rapport au trimestre précédent. Source : Institut de la statistique du Québec, Direction des statistiques économiques.

17 Dépenses de consommation finale 01-0,3 0,4 0,1 0,4 1,0 0,4 0,0 0,4 0,2 1, Ménages 02-0,2 0,5 0,2 0,6 1,5 0,5-0,1 0,6 0,2 1, Biens 03-0,9 0,2-0,2 0,7 1,2 0,6-1,0 0,9 0,1 0, Services 04 0,4 0,7 0,4 0,4 1,8 0,3 0,7 0,3 0,4 1, Institutions sans but lucratif 05-4,8 0,0-1,9 1,2-7,1-1,3 2,0-0,2-0,1 0,0 au service des ménages Administrations publiques 06-0,2 0,2-0,1-0,1 0,2 0,3 0,2-0,2 0,1 0, Formation brute de capital fixe 07-2,2 0,1-0,3-0,1-4,8-1,3-0,6-0,5-0,3-2, Entreprises 08-2,6-0,4-0,9-0,3-6,5-1,9-0,5 0,2 0,1-2, Bâtiments résidentiels 09 0,9 2,1 0,1 0,3-0,1-2,9-0,8 3,6 1,9-0, Ouvrages non résidentiels 10-7,5-2,7-3,4-3,1-14,3-1,5-0,8-1,5-3,0-8, Machines et matériel 11-4,0-2,1 0,4 2,2-10,7-0,5 0,5-4,3-0,3-1, Produits de propriété intellectuelle 12-1,9-0,6-0,8-0,5-4,5-1,7-0,8-1,4 0,0-3, Institutions sans but lucratif 13 0,0 1,9 1,2 0,2 2,5 1,2-0,6-1,4 2,2 1,8 au service des ménages Administrations publiques 14-1,2 1,4 1,4 0,4 0,6 0,5-0,6-2,5-1,6-0, Construction 15-2,2 1,1 0,8 0,7-1,2 0,6-0,7-2,3-1,8-0, Machines et matériel 16 2,5 3,8 2,4-0,2 12,6-0,6-1,2-5,1-0,1-2, Produits de propriété intellectuelle 17-1,6 1,0 2,7 0,5-1,2 0,3-0,5-1,6-3,3 0, Demande intérieure finale 18-0,7 0,3 0,0 0,3-0,2 0,1-0,1 0,2 0,1 0, Investissements en stocks Solde du commerce extérieur Divergence statistique Produit intérieur brut 22 0,0 0,5 0,4 0,2 1,5 0,4 0,1 0,4-0,1 1,1 aux prix du marché

18 18 Tableau 4 Compte des ménages¹, données désaisonnalisées au taux annuel, Québec, Rémunération des salariés ,0 1,1 1,0 1,0 4,5 1,0 0,3 0,7 0,5 3,3 02 Plus : revenu mixte net ,4-0,3 0,9 0,9 1,7 0,0-0,3 1,6-0,2 1,5 03 Non agricole ,1-1,0-0,6-0,4-0,5-0,2-1,3 3,9-2,2-0,6 04 Agricole ,1 1,9 12,9 10,9 6,8-9,8-17,9-15,2-3,1-17,4 05 Revenu des loyers des ménages ,1 0,5 2,0 1,7 4,1 0,7 1,8-0,1 2,1 5,0 06 Plus : revenu net de la propriété ,4 0,9-0,7 2,8 4,4-6,7 0,2 1,2-0,8-4,3 07 Revenu de la propriété reçu ,7 0,7-0,2 1,9 5,8-4,0 0,3 1,2-0,5-1,9 08 Moins : revenu de la propriété payé ,6 0,2 1,0-0,4 9,4 2,9 0,4 1,1 0,2 4,0 09 Égale : revenu primaire des ménages ,2 0,9 0,8 1,2 4,2 0,1 0,3 0,8 0,3 2,3 10 Plus : transferts courants reçus ,3 0,9 0,7 1,1 5,7 2,0 1,7 0,1 1,1 5,1 11 Des administrations publiques ,8 1,6 0,5 1,0 5,0 1,8 1,3 0,7 0,4 4,7 12 Des institutions sans but lucratif au service des ménages 1,8 1,8 1,4 0,8 3,6-3,6 0,6 0,7 1,0-0,9 13 Des sociétés ,1-0,9 1,3 1,4 8,3 3,0 2,9-1,5 3,0 6,7 14 Des non-résidents ,4 1,7-0,6 1,2 1,2 0,2 1,8 1,2 0,2 3,3 15 Moins : transferts courants payés ,3 3,4-0,1 1,5 5,3-0,9 0,7 2,0 1,3 2,9 16 Aux administrations publiques ,6 4,8-0,6 1,9 5,3-0,5 0,7 1,8 1,2 3,5 17 Impôt sur le revenu personnel ,5 3,1-0,1 1,6 4,9-0,1 0,0 1,9 1,5 3,2 18 Autres transferts courants ,8 8,4-1,6 2,4 6,2-1,4 2,1 1,5 0,7 4,1 19 Dont : cotisations aux régimes de l'assurance sociale -3,5 9,6-2,3 2,7 7,0-1,8 2,4 1,1 0,0 3,6 20 Aux institutions sans but lucratif au service des ménages 1,8 1,6 1,1 0,7 3,5-4,6 0,2 0,4 0,9-2,6 21 Aux sociétés ,1 0,2 1,0 0,6 5,4-1,5 0,7 2,7 1,6 1,7 22 Aux non-résidents ,9 2,3 0,7 1,3 2,3 5,7-0,4 0,7 0,3 7,7 23 Égale : revenu disponible des ménages ,5-0,3 1,3 1,0 4,1 1,2 0,5 0,1 0,0 2,9 24 Moins : dépenses de consommation finale des ménages 0,7-0,1 0,5 0,8 2,7 1,0 0,6 0,9 1,0 3,1 25 Plus : Variation des droits à pension ,5 1,5 0,6-0,3 2,4-6,7-2,1 8,2 0,1-3,9 26 Égale : épargne nette des ménages ,0-3,5 16,8 4,0 40,8-5,7-5,6-8,4-24,1-10,2 27 Taux d'épargne des ménages 4,8 4,6 5,3 5,5 5,0 5,1 4,8 4,4 3,3 4,4 1. À chacune des variables, les données de la première ligne correspondent à la valeur de la variable et celles de la deuxième ligne indiquent la variation en pourcentage par rapport au trimestre précédent. Source : Institut de la statistique du Québec, Direction des statistiques économiques.

19 Rémunération des salariés 01 0,4 0,8 1,0-0,1 2,3 0,7 0,9 0,3 0,2 2, Plus : revenu mixte net 02-1,5 1,9 1,0 0,4 1,0 0,7 0,9 0,8 0,1 3, Non agricole 03-2,7 1,7 1,2 0,9-0,7 0,2 0,5 0,8-1,1 2, Agricole 04 18,3 12,9-9,0-17,9 0,0-7,9-6,1-8,4-1,0-29, Revenu des loyers des ménages 05-1,0 1,6 1,2 0,6 2,9 1,4 1,5 1,1 1,2 4, Plus : revenu net de la propriété 06 7,7 1,7-1,1 4,5 9,8-3,6 7,4-2,5-0,9 3, Revenu de la propriété reçu 07 3,2 1,5-1,0 3,4 5,0-2,3 5,1-2,4-1,2 2, Moins : revenu de la propriété payé 08-7,1 0,9-0,8 0,2-6,0 1,4-0,9-2,4-1,9-0, Égale : revenu primaire des ménages 09 0,8 1,0 0,8 0,4 2,8 0,2 1,5 0,0 0,0 2, Plus : transferts courants reçus 10 0,6 0,2 1,9 1,1 3,3 2,3 1,6 2,2 0,7 6, Des administrations publiques 11 0,2 0,6 0,9 1,1 2,4 3,1 0,8 0,2 0,2 5, Des institutions sans but lucratif 12-0,3 1,0 0,7 0,6 2,2 0,1 0,6 0,1 1,2 1,9 au service des ménages Des sociétés 13 1,7-0,9 4,7 1,2 5,9 0,2 3,8 7,6 1,8 10, Des non-résidents 14 2,6 0,2-1,7 2,1 3,6 4,2 0,7 3,4 1,1 7, Moins : transferts courants payés 15 3,0-2,2 1,7 0,1 4,3 3,0-0,9 1,0 1,1 3, Aux administrations publiques 16 2,7-2,6 1,7-0,7 3,4 3,3-0,9 1,4 1,2 3, Impôt sur le revenu personnel 17 3,3-3,7 2,4-1,2 3,4 4,9-1,8 1,8 1,8 4, Autres transferts courants 18 1,6-0,3 0,5 0,4 3,5 0,2 0,9 0,5 0,0 1, Dont : cotisations aux 19 1,7 0,0 1,1 0,8 3,6-0,1 0,9 0,6-0,1 2,0 régimes de l'assurance sociale Aux institutions sans but lucratif 20-0,2 1,0 0,7 0,4 1,9 0,3 0,4 0,3 0,9 1,9 au service des ménages Aux sociétés 21 4,0-1,9 1,9 1,8 6,8 2,5-1,0 0,4 0,8 4, Aux non-résidents 22 2,8 1,3-1,3-0,1 3,5 4,3 1,5 0,9 1,2 5, Égale : revenu disponible des ménages 23-0,4 2,6 0,6 0,8 2,2-0,6 2,9 0,2-0,3 3, Moins : dépenses de consommation finale 24 0,3 1,2 0,4 0,6 3,0 0,3 0,6 1,1 0,3 2,4 des ménages Plus : Variation des droits à pension 25 6,8-2,9-1,5 2,5 7,9 5,5-6,7-9,2-0,9-4, Égale : épargne nette des ménages 26-5,1 33,3 1,6 7,5-7,5-11,5 44,6-26,6-16,7 10,1 3,2 4,1 4,2 4,4 4,0 4,0 5,6 4,1 3,4 4,2 Taux d'épargne des ménages 27

20 20 Tableau 5 Dépenses de consommation finale des ménages par catégorie de dépenses¹, données désaisonnalisées au taux annuel, Québec, Produits alimentaires et boissons non alcoolisées 0,2-0,3 0,1 0,4 1,2 0,7 0,5 0,0 0,5 1,5 02 Boissons alcoolisées et tabac ,6 1,0 0,9 0,3 3,1 1,2 0,1 0,4 0,7 2,5 03 Articles d'habillement et chaussures ,8-1,7-0,2 0,9 2,6 2,9-1,3 1,6 1,0 3,2 04 Logement, eau, électricité, gaz et autres combustibles 1,1 0,9 1,2 1,0 3,5 1,1 1,0 0,5 2,1 4,4 05 Meubles, articles de ménage et autres biens et services liés au logement -0,2-0,8 0,0-0,3 0,1 0,3 0,0-0,4 0,1-0,3 06 Santé ,5 1,0 1,8 0,7 4,2 1,8 2,2 1,7 2,2 6,6 07 Transports ,8-2,7-0,4 1,7 3,9 1,0 0,4 2,3 0,8 3,1 08 Communications ,8 1,2 0,8 1,5 5,1 1,6 1,1 0,4 0,6 4,6 09 Loisirs et culture ,5-0,4 0,1 0,4 0,0-0,1 0,3 1,1 1,1 1,2 10 Enseignement ,0 0,9 1,3 1,6 6,3 1,2 1,3 1,2 1,2 5,2 11 Services de restauration et d'hébergement ,8 0,7 0,3 0,6 3,9 1,1 0,7 0,6-0,2 2,7 12 Assurance et services financiers ,1 1,6 0,7 0,0 1,0 1,7 0,9 1,4 0,3 3,9 13 Biens et services divers ,5 0,8 1,1 0,8 2,7 0,2 0,7 1,1 1,1 3,0 14 Dépenses nettes à l'étranger ,8 7,0 2,1 0,4 6,6-0,6 3,0-2,7 2,0 3,9 15 Biens ,5-1,1 0,4 0,7 1,7 1,1 0,4 1,1 1,5 2,8 16 Biens durables ,6-3,1-0,2 0,3 0,4 0,6 1,8 1,0 0,5 2,0 17 Biens semi-durables ,1 0,1 0,8 0,8 2,6 1,3-0,8 1,3 1,0 2,6 18 Biens non durables ,2-0,5 0,5 0,9 2,0 1,2 0,0 1,1 2,1 3,2 19 Services ,8 1,0 0,7 0,8 3,7 1,0 0,9 0,8 0,6 3,4 20 Dépenses de consommation finale des ménages 0,7-0,1 0,5 0,8 2,7 1,0 0,6 0,9 1,0 3,1 1. À chacune des variables, les données de la première ligne correspondent à la valeur de la variable et celles de la deuxième ligne indiquent la variation en pourcentage par rapport au trimestre précédent. Source : Institut de la statistique du Québec, Direction des statistiques économiques.

INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE. Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec

INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE. Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec Édition 2013 Pour tout renseignement concernant l ISQ et les données statistiques dont il dispose, s

Plus en détail

Courtage de détail. en valeurs mobilières au Québec INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC. Premier trimestre 2015. ÉCONOMIE // Finance.

Courtage de détail. en valeurs mobilières au Québec INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC. Premier trimestre 2015. ÉCONOMIE // Finance. ÉCONOMIE // Finance INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC Courtage détail en valeurs mobilières au Québec Juin 2015 Premier trimestre 2015 L Enquête sur le courtage détail en valeurs mobilières au Québec,

Plus en détail

Rémunération des salariés

Rémunération des salariés INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC TRAVAIL ET RÉMUNÉRATION Rémunération des salariés État et évolution comparés 2013 Pour tout renseignement concernant l ISQ et les données statistiques dont il dispose,

Plus en détail

Étude : Épargne nationale au Canada et aux États-Unis, 1926 à 2011 Diffusé à 8 h 30, heure de l'est dans Le Quotidien, le jeudi 26 juin 2014

Étude : Épargne nationale au Canada et aux États-Unis, 1926 à 2011 Diffusé à 8 h 30, heure de l'est dans Le Quotidien, le jeudi 26 juin 2014 Étude : Épargne nationale au Canada et aux États-Unis, 1926 à 11 Diffusé à 8 h 3, heure de l'est dans Le Quotidien, le jeudi 26 juin 14 Le taux d'épargne s'entend du rapport entre l'épargne brute et le

Plus en détail

L ÉTAT QUÉBÉCOIS STRUCTURE ET TAILLE DE L ÉTAT LA DETTE. L'Observatoire de l administration publique - ENAP Été 2008

L ÉTAT QUÉBÉCOIS STRUCTURE ET TAILLE DE L ÉTAT LA DETTE. L'Observatoire de l administration publique - ENAP Été 2008 L ÉTAT QUÉBÉCOIS EN P E R S P E C T I V E STRUCTURE ET TAILLE DE L ÉTAT LA DETTE L'Observatoire de l administration publique - ENAP Été 2008 Aucun élément du contenu du présent document ne peut être utilisé,

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

Observation et Conjoncture Économique. Économie Nationale approche par les revenus

Observation et Conjoncture Économique. Économie Nationale approche par les revenus Observation et Conjoncture Économique Économie Nationale approche par les revenus qu est ce que le Revenu? La rémunération des facteurs de production? Le capital Le travail La consommation intermédiaire

Plus en détail

Chapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite)

Chapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite) Chapitre 6 Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique 1 Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre le stock de capital et de la richesse et le flux de production, de revenu,

Plus en détail

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008

Plus en détail

Situation financière des ménages au Québec et en Ontario

Situation financière des ménages au Québec et en Ontario avril Situation financière des ménages au et en Au cours des cinq dernières années, les Études économiques ont publié quelques analyses approfondies sur l endettement des ménages au. Un diagnostic sur

Plus en détail

Les opérations et autres flux

Les opérations et autres flux Les opérations et autres flux Les nomenclatures présentées ici sont celles du Système européen des comptes 2010 (SEC 2010). Nomenclature des opérations Opérations sur produits (biens et services) (P) P.1

Plus en détail

LES PRESTATIONS D ASSURANCE TRAITEMENT (Pour une invalidité de 104 semaines et moins)

LES PRESTATIONS D ASSURANCE TRAITEMENT (Pour une invalidité de 104 semaines et moins) FÉDÉRATION DU PERSONNEL DE SOUTIEN DE L ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR GUIDE POUR LES MEMBRES DU PERSONNEL DE SOUTIEN DES COLLEGES LES PRESTATIONS D ASSURANCE TRAITEMENT (Pour une invalidité de 104 semaines et

Plus en détail

Tendances sur le plan de l'épargne et du prêt net dans les comptes nationaux

Tendances sur le plan de l'épargne et du prêt net dans les comptes nationaux N o 13-604-MIF au catalogue N o 049 ISSN: 1707-1844 ISBN: 0-662-70787-7 Document de recherche Comptes des revenus et dépenses série technique Tendances sur le plan de l'épargne et du prêt net dans les

Plus en détail

Tendances récentes dans les industries automobiles canadiennes

Tendances récentes dans les industries automobiles canadiennes N o 11 626 X au catalogue N o 26 ISSN 1927-548 ISBN 978--66-2984-5 Document analytique Aperçus économiques Tendances récentes dans les industries automobiles canadiennes par André Bernard Direction des

Plus en détail

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013 Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de

Plus en détail

CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO-

CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- ALIMENTAIRE AU QUÉBEC RÉSULTATS D UNE CONSULTATION DES ACTEURS DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE AU SUJET DE LEUR CONFIANCE ENVERS LEURS PERSPECTIVES FUTURES Préparé pour l Union

Plus en détail

APPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES

APPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES 4 mars 1996 FRANCAIS Original : RUSSE COMMISSION DE STATISTIQUE et COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'EUROPE CONFERENCE DES STATISTICIENS EUROPEENS OFFICE STATISTIQUE DES COMMUNAUTES EUROPEENNES (EUROSTAT) ORGANISATION

Plus en détail

Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC

Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC Automne 2014 Le point sur la situation économique et financière du québec NOTE La forme masculine utilisée dans le texte désigne

Plus en détail

Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient

Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues

Plus en détail

La séquence des comptes

La séquence des comptes La séquence des comptes Comptes des institutions sans but lucratif au service des ménages I: Compte de production P.2 Consommation intermédiaire B.1b Valeur ajoutée brute P.51c Consommation de capital

Plus en détail

LA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS

LA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS LA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS FÉVRIER 2002 DOSSIER 02-02 La dette publique du Québec et le fardeau fiscal des particuliers Le premier ministre du Québec se plaisait

Plus en détail

Sage 50 Comptabilité (Lancement 2015.1)

Sage 50 Comptabilité (Lancement 2015.1) Sage 50 Comptabilité (Lancement 2015.1) Décembre 2014 Table des matières Sage 50 Comptabilité Édition canadienne (Lancement 2015.1) 1 Sage 50 Comptabilité Lancement 2015.1 1 Quoi de neuf et améliorations

Plus en détail

CANADA. Les dépenses sociales sont exprimées en millions de dollars canadiens (CAD).

CANADA. Les dépenses sociales sont exprimées en millions de dollars canadiens (CAD). CANADA Nomenclature AC Assurance chômage AE Assurance emploi (remplace l AC depuis le 1 er juillet 1996) RAPC Régime d'assistance publique du Canada RPC et RRQ Régime de pensions du Canada et Régime de

Plus en détail

Vous fournissez un service d aide à domicile

Vous fournissez un service d aide à domicile Vous fournissez un service d aide à domicile à une personne handicapée ou en perte d autonomie Les services d aide à domicile et le chèque emploi-service Vous commencez à offrir de l aide à une personne

Plus en détail

Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé

Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique

Plus en détail

Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL

Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL Au Canada, en vertu de la loi, les prêteurs assujettis à la réglementation fédérale et la plupart des institutions financières assujetties à une

Plus en détail

Formules pour le calcul informatisé des retenues sur la paie

Formules pour le calcul informatisé des retenues sur la paie Formules pour le calcul informatisé des retenues sur la paie 100 e édition En vigueur le 1 er janvier 2015 T4127(F) Rév. 15 Ce guide s adresse-t-il à vous? Utilisez ce guide si vous êtes un développeur

Plus en détail

Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES

Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Communauté locale de la Vallée de la Missisquoi Nord MRC de Memphrémagog Ce que les chiffres

Plus en détail

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections

Plus en détail

LEVET COMMUNE DE LEVET

LEVET COMMUNE DE LEVET LEVET COMMUNE DE LEVET Conseil Municipal du 4 juin 2015 Le Compte Administratif présenté aujourd hui découle de la gestion de l exercice 2014 : il constitue notre socle de gestion pour l avenir. Compte

Plus en détail

3C HAPITRE. 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties

3C HAPITRE. 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties IEOM RAPPORT ANNUEL 2008 3C HAPITRE 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties 54 3 < L ÉVOLUTION MONÉTAIRE EN 2008 L ÉVOLUTION

Plus en détail

L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1

L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1 Affaires étrangè et Commerce International Canada Le Bureau de l économiste en chef Série de papiers analytiques L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada

Plus en détail

Le présent chapitre porte sur l endettement des

Le présent chapitre porte sur l endettement des ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation

Plus en détail

Les perspectives économiques

Les perspectives économiques Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois

Plus en détail

À quoi le Québec ressemblera-t-il en 2030?

À quoi le Québec ressemblera-t-il en 2030? À quoi le Québec ressemblera-t-il en 2030? Nicholas-James Clavet (CIRPÉE) Jean-Yves Duclos (CIRPÉE, CIRANO) Bernard Fortin (CIRPÉE, CIRANO) Steeve Marchand (CIRPÉE) 1 / 23 De grandes questions En quoi

Plus en détail

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015 Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la

Plus en détail

Quand arrive la retraite

Quand arrive la retraite Quand arrive la retraite Régime de rentes du Québec La rente de retraite du Régime de rentes du Québec et les autres sources de revenu à la retraite Ce document n a pas force de loi. En cas de conflit

Plus en détail

15-10 UNE ALTERNATIVE À LA RÉFORME DU FINANCEMENT DES SERVICES DE GARDE AU QUÉBEC CAHIER DE RECHERCHE WORKING PAPER

15-10 UNE ALTERNATIVE À LA RÉFORME DU FINANCEMENT DES SERVICES DE GARDE AU QUÉBEC CAHIER DE RECHERCHE WORKING PAPER 15-10 UNE ALTERNATIVE À LA RÉFORME DU FINANCEMENT DES SERVICES DE GARDE AU QUÉBEC CAHIER DE RECHERCHE WORKING PAPER Nicholas-James Clavet et Jean-Yves Duclos Juin / June 2015 La Chaire de recherche Industrielle

Plus en détail

Le système de retraite québécois : constats et grands enjeux

Le système de retraite québécois : constats et grands enjeux Le système de retraite québécois : constats et grands enjeux Colloque sur la retraite au Québec Cercle finance du Québec Roland Villeneuve Vice-président aux politiques et aux programmes Le 31 octobre

Plus en détail

Notes de recherche de l

Notes de recherche de l Notes de recherche de l DÉCEMBRE 2009 Portrait général des régimes complémentaires de retraite au Canada Mathieu St-Onge, Étudiant, Département de sociologie, Université du Québec à Montréal décembre 2009

Plus en détail

Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs?

Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? En ces temps de crise économique et de crise des dettes souveraines (ou publiques), tous les hommes politiques de gauche comme de droite

Plus en détail

CHAPITRE 1 CALCULS MATHÉMATIQUES...

CHAPITRE 1 CALCULS MATHÉMATIQUES... Table des matières CHAPITRE 1 CALCULS MATHÉMATIQUES... 1 LA CALCULATRICE COMMERCIALE... 1 OPÉRATEURS ET OPÉRANDES... 9 La priorité des opérateurs... 9 Les propriétés des opérateurs... 11 Application des

Plus en détail

Épargne et investissement. L épargne...

Épargne et investissement. L épargne... Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.3 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)

Plus en détail

Imposition partielle des rendements provenant de participations détenues dans la fortune privée et limitation de la déduction des intérêts passifs

Imposition partielle des rendements provenant de participations détenues dans la fortune privée et limitation de la déduction des intérêts passifs Département fédéral des finances DFF Administration fédérale des contributions AFC Division principale de l'impôt fédéral direct, de l'impôt anticipé, des droits de timbre Impôt fédéral direct Berne, 16

Plus en détail

Calcul du versement périodique 2015 GUIDE. www.csst.qc.ca

Calcul du versement périodique 2015 GUIDE. www.csst.qc.ca Calcul du versement périodique 2015 GUIDE www.csst.qc.ca Ce guide a pour but de faciliter la compréhension des modalités relatives au calcul du versement périodique. Il n a aucune valeur juridique et ne

Plus en détail

Cet article s attache tout d abord

Cet article s attache tout d abord Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de

Plus en détail

Chiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008

Chiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008 Chiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008 O:\Ifw-daten\IFW-FF\14 FinMaerkte_FinPlatzPolitik\143.2 FM CH Statistik\Publ Kennzahlen\Kennzahlen_Dezember08\Internet\Kennzahlen_CD-

Plus en détail

www.csst.qc.ca Calcul du versement périodique 2014 Guide détaillé

www.csst.qc.ca Calcul du versement périodique 2014 Guide détaillé www.csst.qc.ca Calcul du versement périodique 2014 Guide détaillé Partenariat avec Revenu Québec Pour permettre l application du nouveau mode de paiement de la prime d assurance instauré le 1 er janvier

Plus en détail

CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU

CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU 1. Le compte de production... 129 2. Le compte d exploitation... 129 3. Le compte de revenu d entreprise... 130 4. Les indicateurs de revenu

Plus en détail

August 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances

August 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances August 2014 ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances Résumé L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises membres

Plus en détail

KU Leuven. Étude sur l importance du crédit à la consommation et du crédit hypothécaire dans l économie belge

KU Leuven. Étude sur l importance du crédit à la consommation et du crédit hypothécaire dans l économie belge Étude sur l importance du crédit à la consommation et du crédit hypothécaire dans l économie belge Prof. Dr Nancy Huyghebaert Professeur Corporate Finance Département «Accountancy, Finance & Insurance

Plus en détail

Dépenses nationales totales 3.0 3.4 2.3

Dépenses nationales totales 3.0 3.4 2.3 Chiffres clés pour l'économie belge Pourcentages de variation en volume - sauf indications contraires Dépenses de consommation finale des particuliers 2.0 2.6 1.4 Dépenses de consommation finale des pouvoirs

Plus en détail

Note méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1.

Note méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1. Version intégrale Note méthodologique 1. Les tableaux des ressources et des emplois dans les comptes nationaux L élaboration des comptes nationaux de la Belgique s effectue conformément à la méthodologie

Plus en détail

Flash économique. Agglomération de Montréal. Faits saillants. Septembre 2011

Flash économique. Agglomération de Montréal. Faits saillants. Septembre 2011 Septembre 2011 Faits saillants Selon les données émises par la Chambre immobilière du Grand Montréal, la revente de résidences dans l agglomération de Montréal a atteint les 16 609 transactions en 2010,

Plus en détail

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel. Janvier 2015

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel. Janvier 2015 Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel Janvier 2015 Avertissement : les indicateurs mensuels repris dans le «Tableau de bord» ne deviennent définitifs

Plus en détail

VOTRE BILAN. VOTRE ACTIF Vous Votre conjoint. Liquidités Comptes chèques Comptes épargne Obligations d épargne Autres. Sous-total!

VOTRE BILAN. VOTRE ACTIF Vous Votre conjoint. Liquidités Comptes chèques Comptes épargne Obligations d épargne Autres. Sous-total! VOTRE BILAN 6455, rue Jean-Talon Est VOTRE ACTIF Vous Votre conjoint Liquidités Comptes chèques Comptes épargne Obligations d épargne REÉR et régimes de retraite Placements garantis Fonds d investissement

Plus en détail

Investissements des entreprises au Québec et en Ontario : amélioration en vue?

Investissements des entreprises au Québec et en Ontario : amélioration en vue? 28 avril 2015 Investissements des entreprises au Québec et en Ontario : amélioration en vue? Beaucoup d espoir repose sur les entreprises du centre du pays pour permettre à la croissance économique de

Plus en détail

travail MRC Vaudreuil-Soulanges Recensement 2006 Présenté par Hubert Létourneau Le 28 janvier 2009

travail MRC Vaudreuil-Soulanges Recensement 2006 Présenté par Hubert Létourneau Le 28 janvier 2009 Lemarché du travail MRC Vaudreuil-Soulanges Recensement 2006 Présenté par Hubert Létourneau Le 28 janvier 2009 600, boul. Casavant Est, Saint-Hyacinthe (Québec) J2S 7T2 450 773-7463 Plan de la présentation

Plus en détail

Guide de planification du revenu de retraite

Guide de planification du revenu de retraite Guide de planification du revenu de retraite Guide de planification du revenu de retraite 3 Votre plan de revenu de retraite Comment assurer la stabilité du revenu à la retraite Chaque personne vit la

Plus en détail

Sujets abordés dans chacun des travaux suggérés. Problèmes de Sujets abordés Exercices compréhension. La détermination d une paye brute 1 1, 3

Sujets abordés dans chacun des travaux suggérés. Problèmes de Sujets abordés Exercices compréhension. La détermination d une paye brute 1 1, 3 8 La paye Sujets abordés dans chacun des travaux suggérés Problèmes de Sujets abordés Exercices compréhension Salaires ou honoraires? 1 La détermination d une paye brute 1 1, 3 Les retenues salariales

Plus en détail

DOCUMENT D INFORMATION. Septembre 2014 LA FISCALITÉ DES PARTICULIERS AU QUÉBEC

DOCUMENT D INFORMATION. Septembre 2014 LA FISCALITÉ DES PARTICULIERS AU QUÉBEC DOCUMENT D INFORMATION Septembre 2014 LA FISCALITÉ DES PARTICULIERS AU QUÉBEC document d information Septembre 2014 La fiscalité des particuliers au Québec NOTE La forme masculine utilisée dans le texte

Plus en détail

Les régimes d avantages sociaux au Canada

Les régimes d avantages sociaux au Canada Les régimes d avantages sociaux au Canada Les Canadiens vivent de plus en plus longtemps et doivent plus que jamais faire face à leur responsabilité d épargner pour la retraite. Leur espérance de vie étant

Plus en détail

Royaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers

Royaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation

Plus en détail

Revue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013

Revue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013 Revue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013 Daniel Denis kpmg.ca L environnement externe ÉCONOMIE CONSOMMATEUR TECHNOLOGIE DÉMOGRAPHIE Secteur de l assurance

Plus en détail

L équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance

L équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance IV) l équilibre ressources - emplois et son interprétation Cet article fait suite à ceux du 19 janvier et du 18 février 2013. Il en est le complément logique sur les fondamentaux macro- économiques d un

Plus en détail

Bulletin trimestriel de conjoncture n 59

Bulletin trimestriel de conjoncture n 59 Bulletin trimestriel de conjoncture n 59 2 ème trimestre 2013 Repli accentué au 2 ème trimestre (-2%) du volume de travaux d entretienrénovation de logements Cette baisse d activité correspond à une baisse

Plus en détail

Épargne et investissement. L épargne...

Épargne et investissement. L épargne... Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.2 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)

Plus en détail

Association canadienne de la construction. Mémoire prébudgétaire 2015

Association canadienne de la construction. Mémoire prébudgétaire 2015 Association canadienne de la construction Mémoire prébudgétaire 2015 Synopsis L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises de construction non résidentielle au Canada.

Plus en détail

Article. Bien-être économique. par Cara Williams. Décembre 2010

Article. Bien-être économique. par Cara Williams. Décembre 2010 Composante du produit no 89-503-X au catalogue de Statistique Canada Femmes au Canada : rapport statistique fondé sur le sexe Article Bien-être économique par Cara Williams Décembre 2010 Comment obtenir

Plus en détail

Trébeurden Synthèse financière

Trébeurden Synthèse financière Jeudi 27 juin 2013 Trébeurden Synthèse financière Yvan Pellé Réunion publique Méthodologie (1) 2 Charges courantes ( personnel, fluides, entretien, contrats..) Excédent brut courant Produits courants (impôts,

Plus en détail

Statistiques de finances publiques consolidées

Statistiques de finances publiques consolidées Statistiques de finances publiques consolidées Introduction Le concept de la consolidation est couramment utilisé dans le domaine de la comptabilité, tant dans le secteur privé que public. Définie simplement,

Plus en détail

S@voir.stat. Points saillants

S@voir.stat. Points saillants SCIENCE, TECHNOLOGIE ET INNOVATION INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC Bulletin S@voir.stat Mars 2014 Volume 14, numéro 2 Prochain bulletin S@voir.stat Le prochain numéro du bulletin portera sur les dépenses

Plus en détail

RÉSUMÉ DES BAISSES D IMPÔTS ET DES CHANGEMENTS FISCAUX

RÉSUMÉ DES BAISSES D IMPÔTS ET DES CHANGEMENTS FISCAUX PRB 06-40F RÉSUMÉ DES BAISSES D IMPÔTS ET DES CHANGEMENTS FISCAUX FÉDÉRAUX INTRODUITS ENTRE 1998 ET 2005 Alexandre Laurin Alexandre Martin Division de l économie Le 28 août 2006 PARLIAMENTARY INFORMATION

Plus en détail

FAQ LES ÉTUDIANTS INTERNATIONAUX ET L IMPÔT SERVICE DE SOUTIEN À LA DÉCLARATION DE REVENUS 2012

FAQ LES ÉTUDIANTS INTERNATIONAUX ET L IMPÔT SERVICE DE SOUTIEN À LA DÉCLARATION DE REVENUS 2012 FAQ LES ÉTUDIANTS INTERNATIONAUX ET L IMPÔT SERVICE DE SOUTIEN À LA DÉCLARATION DE REVENUS 2012 Ce document ne contient que des informations générales sur les étudiants internationaux et l impôt. Pour

Plus en détail

T1 GÉNÉRALE 2011 Déclaration de revenus et de prestations

T1 GÉNÉRALE 2011 Déclaration de revenus et de prestations Agence du revenu Canada Revenue du Canada Agency T1 GÉNÉRALE 2011 Déclaration de revenus et de prestations Remplissez toutes les sections qui s'appliquent à votre situation afin de bénéficier des montants

Plus en détail

Les comptes nationaux et le SEC 2010

Les comptes nationaux et le SEC 2010 Les comptes nationaux et le SEC 2010 7 ème séminaire de la Banque nationale de Belgique pour enseignants en économie du secondaire Bruxelles, le 22 octobre 2014 Catherine RIGO Plan de l exposé Introduction

Plus en détail

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 212 1 1 - -1-1 -2-2 -3-3 22 23 24 2 26 27 28 29 21 211 212 Série dessaisonalisée

Plus en détail

10. L épargne, l investissement et le système financier

10. L épargne, l investissement et le système financier 10. L épargne, l investissement et le système financier 1. Le système financier Un système financier = ensemble des institutions financières qui ont pour objet de mettre en relation les besoins de financement

Plus en détail

Arithmétique appliquée aux finances

Arithmétique appliquée aux finances Arithmétiue appliuée aux finances MAT-1101-3 Activité notée 2 Note : Date de correction : Signature du correcteur : Identification de l'élève Nom : Adresse : Courriel : Téléphone : Date d envoi : MAT-1101-3

Plus en détail

Trousse des nouveaux arrivants. Impôt sur le revenu. Feuilles de travail

Trousse des nouveaux arrivants. Impôt sur le revenu. Feuilles de travail Trousse des nouveaux arrivants Impôt sur le revenu Feuilles de travail Ottawa Community Loan Fund Fonds d emprunt Communautaire d Ottawa 22 O Meara St., Causeway Work Centre, Ottawa, ON K1Y 4N6 Tel: 613-594-3535

Plus en détail

FORMULAIRE lll. (Règles 26 à 30) CANADA PROVINCE DE QUÉBEC COUR SUPÉRIEURE DISTRICT DE Chambre de la famille N o - - Partie: c.

FORMULAIRE lll. (Règles 26 à 30) CANADA PROVINCE DE QUÉBEC COUR SUPÉRIEURE DISTRICT DE Chambre de la famille N o - - Partie: c. (Règles 26 à 30) FORMULAIRE lll CANADA PROVINCE DE QUÉBEC COUR SUPÉRIEURE DISTRICT DE Chambre de la famille N o - - Partie: c. Partie: ÉTAT DES REVENUS, DÉPENSES ET BILAN Je, soussigné(e), domicilié(e)

Plus en détail

Fasken Martineau DuMoulin S.E.N.C.R.L., s.r.l.

Fasken Martineau DuMoulin S.E.N.C.R.L., s.r.l. Bulletin Fiscalité Mars 2009 Fasken Martineau DuMoulin S.E.N.C.R.L., s.r.l. Ontario : Élimination de la taxe de vente provinciale à compter du 1 er juillet 2010 et harmonisation avec la TPS fédérale Ottawa

Plus en détail

MÉTHODOLOGIE POUR LE CALCUL DE L AMORTISSEMENT ET DE LA VALEUR DU STOCK NET DOMICILIAIRE DIVISION DE L INVESTISSEMENT ET DU STOCK DE CAPITAL

MÉTHODOLOGIE POUR LE CALCUL DE L AMORTISSEMENT ET DE LA VALEUR DU STOCK NET DOMICILIAIRE DIVISION DE L INVESTISSEMENT ET DU STOCK DE CAPITAL MÉTHODOLOGIE POUR LE CALCUL DE L AMORTISSEMENT ET DE LA VALEUR DU STOCK NET DOMICILIAIRE DIVISION DE L INVESTISSEMENT ET DU STOCK DE CAPITAL STATISTIQUE CANADA 15 FÉVRIER 2002 1 MÉTHODOLOGIE POUR LE CALCUL

Plus en détail

Taxes indirectes. Concepts de base. Premières Nations du Québec

Taxes indirectes. Concepts de base. Premières Nations du Québec Taxes indirectes Concepts de base Premières Nations du Québec Conférence sur la fiscalité autochtone 4 septembre 2013 Mise en garde Ce document a été conçu uniquement à des fins de formation et ne doit,

Plus en détail

Comparaisons internationales de la dette

Comparaisons internationales de la dette Annexe 2 Comparaisons internationales de la dette Faits saillants Selon les statistiques officielles publiées par le Fonds monétaire international (FMI) et l Organisation de coopération et de développement

Plus en détail

UNIVERSITÉ D OTTAWA Ressources financières

UNIVERSITÉ D OTTAWA Ressources financières UNIVERSITÉ D OTTAWA Ressources financières Guide sur l application des TAXES À LA CONSOMMATION (incluant la TVH pour la province de l Ontario en vigueur le 1 er juillet 2010) Mai 2010 Guide sur l application

Plus en détail

Quand arrive la retraite La rente de retraite du Régime de rentes du Québec et les autres sources de revenu à la retraite

Quand arrive la retraite La rente de retraite du Régime de rentes du Québec et les autres sources de revenu à la retraite Quand arrive la retraite La rente de retraite du Régime de rentes du Québec et les autres sources de revenu à la retraite Tout sur le Web Les renseignements contenus dans ce document se trouvent également

Plus en détail

La fiscalité nous permet de nous offrir collectivement des services et une qualité de vie supérieurs. Les revenus de l État sont à la baisse

La fiscalité nous permet de nous offrir collectivement des services et une qualité de vie supérieurs. Les revenus de l État sont à la baisse La fiscalité nous permet de nous offrir collectivement des services et une qualité de vie supérieurs En moyenne, chaque personne au Québec reçoit (de tous les paliers gouvernementaux) l équivalent de près

Plus en détail

COMMENTAIRE LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Services économiques TD

COMMENTAIRE LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Services économiques TD COMMENTAIRE Services économiques TD mai LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Faits saillants Le fait que la Banque du Canada ait récemment indiqué que les taux d intérêt pourraient

Plus en détail

Rapport sur. La situation financière de l ensemble des retraités Québécois et des secteurs public et parapublic du Québec

Rapport sur. La situation financière de l ensemble des retraités Québécois et des secteurs public et parapublic du Québec Rapport sur La situation financière de l ensemble des retraités Québécois et des secteurs public et parapublic du Québec François Vaillancourt CIRANO et Université de Montréal et Viorela Diaconu Université

Plus en détail

RÉGIMES D ASSURANCE SALAIRE (RAS) MISE À JOUR DE 2012-2013

RÉGIMES D ASSURANCE SALAIRE (RAS) MISE À JOUR DE 2012-2013 RÉGIMES D ASSURANCE SALAIRE (RAS) MISE À JOUR DE 2012-2013 L Association canadienne de la paie (ACP) a collaboré avec l Agence du revenu du Canada (ARC) pour s assurer que toute l information associée

Plus en détail

Un changement important s appliquera à votre rente à vos 65 ans

Un changement important s appliquera à votre rente à vos 65 ans À quel moment la coordination au RRQ prend-elle effet? À votre retraite, la coordination au RRQ prendra effet le mois suivant l atteinte de vos 65 ans, âge auquel la rente du RRQ devient payable sans réduction.

Plus en détail

MÉMOIRE CONSEIL QUÉBÉCOIS DU COMMERCE DE DÉTAIL SUR LE DOCUMENT DE CONSULTATION VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET PLUS ÉQUITABLE

MÉMOIRE CONSEIL QUÉBÉCOIS DU COMMERCE DE DÉTAIL SUR LE DOCUMENT DE CONSULTATION VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET PLUS ÉQUITABLE MÉMOIRE DU CONSEIL QUÉBÉCOIS DU COMMERCE DE DÉTAIL SUR LE DOCUMENT DE CONSULTATION VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET PLUS ÉQUITABLE PRÉSENTÉ À LA COMMISSION DES AFFAIRES SOCIALES AOÛT 2009

Plus en détail

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de

Plus en détail

Une étude de différentes analyses réalisées par le BIT

Une étude de différentes analyses réalisées par le BIT Association internationale de la sécurité sociale Quinzième Conférence internationale des actuaires et statisticiens de la sécurité sociale Helsinki, Finlande, 23-25 mai 2007 Comparaison des hypothèses

Plus en détail

Le dilemme de la rémunération : Toucher un salaire ou des dividendes?

Le dilemme de la rémunération : Toucher un salaire ou des dividendes? décembre 2013 Le dilemme de la rémunération : Toucher un salaire ou des dividendes? Jamie Golombek Avec l arrivée prochaine de la fin d exercice de plusieurs entreprises, les propriétairesdirigeants devront

Plus en détail

75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010

75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010 75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en

Plus en détail

Sources de revenu et autonomie des immigrants âgés au Canada SOMMAIRE

Sources de revenu et autonomie des immigrants âgés au Canada SOMMAIRE Sources de revenu et autonomie des immigrants âgés au Canada SOMMAIRE Préparé pour la Conférence économique 2005, Ottawa 10 mai 2005 Colleen Dempsey Recherche et statistiques stratégiques Citoyenneté et

Plus en détail