Épargne et investissement. L épargne...
|
|
- Marie-Claire Lussier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.3 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables) Elle fait face à de nombreux coûts de départ : Meubles, ordinateurs, classeurs, etc.. Comment se procurer les fonds nécessaires à cet investissement en capital physique? 2 1
2 l investissement... Utiliser son épargne passée Emprunter d un ami ou d une banque (paiement d intérêt) Emprunter en promettant au prêteur une part des profits futurs Dans les deux derniers cas, l investissement est financé par quelqu un d autre 3 et le système financier Le système financier consiste en une série d institutions qui facilitent l appariement entre : L épargne excédentaire des uns et L investissement excédentaire des autres Pour en savoir +, prenez le cours ECO
3 Les intermédiaires financiers Incluant les institutions de dépôts Banques, caisses pop, etc. Rôles des institutions de dépôts : Accepter des dépôts Effectuer des prêts Coordonner le passage de l épargne à l investissement 5 Les principaux marchés financiers Les marchés financiers sont des marchés de gros, hautement industrialisés et informatisés. Les intervenants sont: des banques centrales, des institutions financières (banques à chartes, gestions collectives, assureurs, hedge funds, etc), des sociétés (marché primaire des émissions) ou des particuliers. 1-Les dépots (prêts d un épargant) etles emprunts bancaires(pour consommation et investissements) 6 3
4 2-Le marché monétaire (monetary market) (< 1an) -Taux du financement à un jour sur le marché monétaire -Taux des opérations de pension à un jour -T-Bills (vendus à escompte) -Bons du Trésor à 1,2,3,6 mois et à 1 an -Papier commerciaux -Papier de premier choix des sociétés non financières à 1,2 et 3 mois -Acceptations bancaires 7 Note: Le taux directeur est 1% 8 4
5 3- Le marché obligataire (bonds) (> 1an) -Obligations d'épargne du Canada (Canada Savings Bonds) -Rendements moyens des obligations négociables du gouvernement canadien : 1-3 ans, 3-5 ans, 5-10 ans, +10 ans -Rendements d'obligations types du gouvernement canadien : 2, 3, 5, 7, 10 ans à long terme -Obligations d épargne du Québec
6 4-Le marchés des actions NYMEX (Dow Jones, SP500), Nasdaq, TSE, TSX, Le marché des changes(forex) 6- Le marché des commodités (pétrole, or, métaux ) 7-Le marché des produits dérivés (forwards, futures, options, swaps, etc.) 8- Le marché des assurances 11 Taux d intérêt nominal (en %) sur les gains en capitaux i t P t P P P t t 1 = t : prix du titre financier à la période t i Taux d intérêt nominal sur les gains en capitaux et les dividendes P P + D = 100 div t t 1 t t Pt 1 D t : dividendes distribués à la période t 12 6
7 Rendements nominaux sur les places boursières Re 13 Rendements nominaux sur les places boursières 14 7
8 L épargne et l investissement Y = C + I + G + XN Y = C + I + G Y -C -G = I en économie fermée Donc, S = I Épargne nationale = S 15 L épargne et l investissement S = Y -C G Le revenu disponible est Y d = Y -T S = (Y -T -C) + (T -G) S p :Épargne privée S g : Épargne publique T: Taxes, impôts et tarifs collectés par les gouvernements S p : Épargne privée = épargne des ménages + épargne des entreprises 16 8
9 Solde budgétaire Si S g = T G > 0 on a un surplus budgétaire Si S g = T G = 0 on est à l équilibrebudgétaire Si S g = T G < 0 on a un déficit budgétaire 17 Solde budgétaire 18 9
10 Étude de cas * L épargne et l investissement au Canada Les médias ont fait état de la chute importante du taux d épargne personnelle au Canada Est-ce vrai? Est-ce inquiétant? Ce cas permet de cerner un peu mieux les concepts importants du chapitre * : manuel, p Le marché des fonds prêtables Lieu où se fait la coordination entre l épargne et l investissement On suppose qu il n y a qu un marché qui remplit ce rôle Tous les épargnants y apportent leurs fonds: S Tous les investisseurs s y fournissent: I Il n y a qu un seul taux d intérêt: r 20 10
11 r Marché des fonds prêtables pour S et I O fp Fig. 8.1 r 0 5 % D fp I 0 =S Q fp (en G$) Les facteurs déterminant l offre (épargne) Épargne privée : S p = Y T C Cycle de vie et démographie Revenu courant Revenus futurs anticipés Épargne à des fins de précaution Épargne publique : S g = T -G Modification du solde budgétaire Changements dans les taxes, impôts et tarifs Changement dans les dépenses du gvt. G 22 11
12 r Taux d intérêt réel L offre de fonds pour S O fp (Prêteurs nets de fonds) Fig. 8.1 Derrière l offre nette de fonds prêtable on a: l épargne privée S p (intuitivement les ménages qui prêtent des fonds) et l épargne publique S g (les gouvernements qui prêtent leurs surplus budgétaires) S= S p + S g Q fp Fonds prêtables (en G$) Épargne privée : S p Cycle de vie et démographie Ex. Si on a plus de travailleurs les revenus globaux vont augmenter les ménages vont pouvoir consommer et épargner plus S p Ceci va donc augmenter l épargne nationale S et déplacer la courbe d offre de fonds prêtables O fp vers la droite. Ce qui va diminuer r (car il y a un surplus de fonds disponibles) et ainsi augmenter le niveau d investissement I et d épargne en même temps S. Revenu courant Ex. Si on a une hausse des revenus (par exemple une hausse de la production courante ou une hausse des salaires moyens) les revenus globaux vont augmenter les gens vont pouvoir consommer et épargner plus S p Ceci va donc augmenter l épargne nationale S et déplacer la courbe d offre de fonds prêtables O fp vers la droite. Ce qui va diminuer r (car il y a un surplus de fonds disponibles) et ainsi augmenter le niveau d investissement I et d épargne en même temps S
13 Épargne privée : S p Revenus futurs anticipés Ex. Si les gens anticipent une baisse des revenus futurs comme ils se soucient de pouvoir maintenir leur niveau de vie dans l avenir, les gens vont diminuer leur consommation C afin d épargner plus S p Ceci va donc augmenter l épargne nationale S à court terme et déplacer la courbe d offre de fonds prêtables O fp vers la droite. Ce qui va diminuer r (car il y a un surplus de fonds disponibles) et ainsi augmenter le niveau d investissement I et d épargne en même temps S. Épargne pour fin de précaution Ex. Lorsque les investisseurs financiers ont pris conscience des pertes subies en termes de richesses, ils ont dû augmenter l'épargne de précaution pour limiter les impacts potentiels de la crise financière, ainsi S p Ceci a donc augmenter l épargne nationale S à court terme et déplacer la courbe d offre de fonds prêtables O fp vers la 25 droite. Etc Épargne publique : S g Solde budgétaire = T G Ex. Si le gouvernement diminue ses dépenses gouvernementales G S g =(T G ) Ceci va donc augmenter l épargne nationale S et déplacer la courbe d offre de fonds prêtables O fp vers la droite. Ce qui va diminuer r (car il y a un surplus de fonds disponibles) et ainsi augmenter le niveau d investissement I et d épargne en même temps S. Ex. Si le gouvernement augmente ses dépenses gouvernementales G S g =(T G ) Ceci va donc diminuer l épargne nationale S et déplacer la courbe d offre de fonds prêtables O fp vers la gauche. Ce qui va augmenter le taux d intérêr r (car il y a une raréfaction des fonds disponibles) et ainsi diminuer le niveau d investissement I et d épargne en même temps S. La hausse des dépenses gouvernementales, qui entraîne un évincement de l investissement 26 privé via une hausse du taux d intérêt s appelle l effet d éviction. 13
14 Épargne publique : S g Solde budgétaire = T G Ex. Si le gouvernement augmente le taux d imposition sur le revenu ou simplement l impôt sur le revenu des particulier, en supposant que les gens vont continuer à travailler environ le même nombre d heures en moyenne, alors le gouvernement devrait voir augmenter ses revenus T S g =(T G) Ceci va donc augmenter l épargne nationale S et déplacer la courbe d offre de fonds prêtables O fp vers la droite. Ici il y a aussi un effet sur S p car lorsque T le revenu disponible diminue de T mais puisque la consommation va diminuer suite à la baisse de T, l effet global est une hausse de S g plus importante que la baisse de S p =(Y-T -C ). Bref, l effet initial sur S g domine et S = S p + S g. Ceci va donc de façon nette augmenter l offre de fonds prêtables O fp et diminuer r (car il y a un surplus de fonds disponibles) et ainsi augmenter le niveau d investissement I et d épargne en même temps S. car 27 Épargne publique : S g Solde budgétaire = T G Ex. Si le gouvernement augmente plus ses revenus de taxation T qu il augmente ses dépenses gouvernementales G S g =(T G ) Ceci va donc augmenter l épargne nationale S et déplacer la courbe d offre de fonds prêtables O fp vers la droite. Ce qui va diminuer r (car il y a un surplus de fonds disponibles) et ainsi augmenter le niveau d investissement I et d épargne en même temps S. Ex. Si le gouvernement diminue moins ses revenus de taxation T qu il diminue ses dépenses gouvernementales G S g =(T G ) Ceci va donc augmenter le solde budgétaire et donc l épargne nationale S et déplacer la courbe d offre de fonds prêtables O fp vers la droite. Ce qui va diminuer r (car il y a un surplus de fonds disponibles) et ainsi augmenter le niveau d investissement I et d épargne en même temps S
15 Épargne publique : S g Plus complexe touchant le solde budgétaire et les ménages Ex. Si le gouvernement augmente les taxes sur la consommation D une part le gouvernement devrait augmenter ses revenus T, ce qui augmente l épargne publique S g =(T G), de plus dans la mesure où l effet de substitution domine l effet de revenu les ménages devraient consommer moins C et donc faire moins d épargne privée mais avec un choc moins fort que celui de l épargne publique S p = (Y T C ) Ceci va donc augmenter l épargne nationale S car S g augmente plus que diminue S p. Alors cela va déplacer la courbe d offre de fonds prêtables O fp vers la droite. Ce qui va diminuer r (car il y a un surplus de fonds disponibles) et ainsi augmenter le niveau d investissement I et d épargne en même temps S
16 Les facteurs déterminant la demande (investissement) Profitabilité anticipée des investissements Impôts sur les profits / crédits d impôts Subventions aux investissements Le concept de VAN Valeur Actuelle Nette d un investissement (voir p. 454 à 456) 31 r Taux d intérêt La demande nette de fonds pour I Fig. 8.1 Derrière la demande nette de fonds prêtable, on a les entreprises qui veulent acheter du capital physique pour produire et faire des profits, afin de se procurer ce capital physique ces entreprises vont emprunter des fonds sur le marché des fonds prêtables. Pour elle le taux d intérêt est donc un coût de production (le coût de location du capital. D fp (Demandeurs nets de fonds) Q fp Fonds prêtables (en G$) 16
17 Les facteurs déterminant la demande (investissement) Ex. Si on augmente les crédits d impôts des entreprises Les entreprises paieront moins d impôts car la partie imposable va être réduite. Ceci constitue un incitatif à investir; les profits anticipés augmentent. Ainsi, les entreprises vont augmenter leurs investissements, ce qui va faire une pression à la hausse sur la demande de fonds prêtables D fp et déplacer la demande vers la droite. La demande excédentaire va entraîner une hausse du taux d intérêt r et une hausse du niveau d épargne S et d investissement I en même temps. 33 Effets des politiques publiques sur le marché des fonds prêtables L effet de la fiscalité sur l épargne L effet des impôts sur les investissements L effet d un déficit budgétaire gouvernemental 34 17
18 Une réduction des taxes sur l épargne taxes sur l épargne le gain d un report à plus tard de la consommation Les ménages répondent à cette incitation en épargne L offre de fonds prêtables augmente 35 r Réduction des taxes sur l épargne O fp 0 O fp 1 Fig. 8.2 r 0 5 % r 1 4 % D fp I 0 =S I 1 =S Q fp (en G$) 18
19 Une réduction des taxes sur les investissements Un crédit de taxe sur les investissements le profit qu un investissement peut apporter Il y a donc de la demande de fonds pour fins d investissement 37 r Réduction des taxes sur I O fp Fig. 8.3 r 1 6 % r 0 5 % D fp 2 D fp 1 I 0 =S I 1 =S Q fp (en G$) 19
20 Un déficit budgétaire gouvernemental Lorsque le gouvernement dépense plus qu il ne perçoit de taxes, le résultat est un déficit budgétaire L épargne publique est donc négative, ce qui réduit l épargne totale(s) La courbe d offre de fonds prêtables se déplace vers la gauche 39 r Déficit budgétaire gouvernemental O fp 1 Fig. 8.4 O fp 0 6 % 5 % D fp Q fp (en G$) 20
21 L effet d éviction Déficit budgétaire la dette publique et l offre de fonds prêtables le taux d intérêt La du taux d intérêt investissement. Parce que l investissement détermine en partie la croissance de long terme, le déficit réduit la croissance économique 41 Les déficits budgétaires et l endettement (ratio dette fédérale/pib) % Années 42 21
22 Taux d intérêt réels (taux réels moyens oblig. féd. 10 ans) Taux réels (en pourcentage) Années 43 Dette publique et croissance économique Source : Groupe Financier Banque TD, 3 août
Épargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.2 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée Basé sur les notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables) Elle fait
Plus en détailEPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER
EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER Chapitre 25 Mankiw 08/02/2015 B. Poirine 1 I. Le système financier A. Les marchés financiers B. Les intermédiaires financiers 08/02/2015 B. Poirine 2 Le système
Plus en détailL économie ouverte. Un modèle de petite économie ouverte. V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile. Quelques définitions
L économie ouverte Un modèle de petite économie ouverte V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile Quelques définitions Économie fermée Économie ouverte Exportations et importations Exportations nettes
Plus en détail10. L épargne, l investissement et le système financier
10. L épargne, l investissement et le système financier 1. Le système financier Un système financier = ensemble des institutions financières qui ont pour objet de mettre en relation les besoins de financement
Plus en détailChapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite)
Chapitre 6 Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique 1 Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre le stock de capital et de la richesse et le flux de production, de revenu,
Plus en détailLa crise de 1929. Lionel Artige. Introduction à la Macroéconomie HEC Université de Liège
La crise de 1929 Lionel Artige Introduction à la Macroéconomie HEC Université de Liège Expliquer la crise de 1929? La crise de 1929 a été l objet de nombreuses publications tentant d expliquer ses causes,
Plus en détailPerspectives économiques 2013-2014
Carlos Leitao Économiste en chef Courriel : LeitaoC@vmbl.ca Twitter : @vmbleconomie Perspectives économiques 2013-2014 L amélioration de l économie atténuée par l incertitude politique Prix du pétrole:
Plus en détailFINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC
FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC Rabat, 19 octobre 21 M. Ahmed HAJOUB Adjoint au Directeur du Trésor et des Finances Extérieures chargé du pôle macroéconomie I- Consolidation budgétaire: expérience
Plus en détailL Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte
L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en
Plus en détailabri fiscal placement ou autre mécanisme financier qui vous permet de protéger une partie de vos gains de l impôt pendant une certaine période
Voici les définitions de quelques mots clés utilisés dans le cadre du programme Connaissances financières de base. Ces mots peuvent avoir des sens différents ou refléter des notions distinctes dans d autres
Plus en détailA-T-ON DES ATTENTES IRRÉALISTES POUR NOS RÉGIMES PRIVÉS ET PUBLICS DE PENSION?
L épargne, la fiscalité et les régimes de retraite Congrès 2012 de l ASDEQ, Session 1, conférence 3, A-T-ON DES ATTENTES IRRÉALISTES POUR NOS RÉGIMES PRIVÉS ET PUBLICS DE PENSION? Jean-Pierre Aubry, fellow
Plus en détailChapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 décembre 2014 à 14:22 Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale? Ce chapitre ne fait plus partie du programme, mais il est conseillé de
Plus en détailRevue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013
Revue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013 Daniel Denis kpmg.ca L environnement externe ÉCONOMIE CONSOMMATEUR TECHNOLOGIE DÉMOGRAPHIE Secteur de l assurance
Plus en détailLa monnaie, les banques et les taux d intérêt
Chapitre 10 La monnaie, les banques et les taux d intérêt 1 Objectifs Définir ce qu est la monnaie et décrire ses fonctions Expliquer les fonctions économiques des banques canadiennes et des autres intermédiaires
Plus en détailLA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS
LA DETTE PUBLIQUE DU QUÉBEC ET LE FARDEAU FISCAL DES PARTICULIERS FÉVRIER 2002 DOSSIER 02-02 La dette publique du Québec et le fardeau fiscal des particuliers Le premier ministre du Québec se plaisait
Plus en détailActif (Asset) Bien de valeur d une entreprise, d un ménage ou d un particulier. Ce qui appartient à une entreprise après le paiement des dettes.
A Actif (Asset) Bien de valeur d une entreprise, d un ménage ou d un particulier. Ce qui appartient à une entreprise après le paiement des dettes. Actif à court terme (Current assets) Ressources précieuses
Plus en détailMacroéconomie. Catherine Fuss Banque Nationale de Belgique catherine.fuss@nbb.be
Macroéconomie Catherine Fuss Banque Nationale de Belgique catherine.fuss@nbb.be Macroéconomie Monnaie Fonction de la monnaie Moyen de paiement: troc incompatible avec une forte division du travail acceptation
Plus en détailEconomie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech
Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à
Plus en détailTD n 1 : la Balance des Paiements
TD n 1 : la Balance des Paiements 1 - Principes d enregistrement L objet de la Balance des Paiements est de comptabiliser les différentes transactions entre résidents et non-résidents au cours d une année.
Plus en détailThème 2 : la monnaie et les banques : le carburant de notre économie
Thème 2 : la monnaie et les banques : le carburant de notre économie L activité économique repose sur trois rouages : Monnaie besoins production répartition consommation Échanges Marché 2 «La monnaie n
Plus en détailLa séquence des comptes
La séquence des comptes Comptes des institutions sans but lucratif au service des ménages I: Compte de production P.2 Consommation intermédiaire B.1b Valeur ajoutée brute P.51c Consommation de capital
Plus en détailACTIONS ET OBLIGATIONS Les placements financiers en quelques mots
Aperçu des actions et des obligations Qu est-ce qu une action? Une action est une participation dans une entreprise. Quiconque détient une action est copropriétaire (actionnaire) de l entreprise (plus
Plus en détailObservation et Conjoncture Économique. Économie Nationale approche par les revenus
Observation et Conjoncture Économique Économie Nationale approche par les revenus qu est ce que le Revenu? La rémunération des facteurs de production? Le capital Le travail La consommation intermédiaire
Plus en détailChapitre 3. La répartition
Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations
Plus en détailLE GUIDE DE L INVESTISSEUR
LE GUIDE DE L INVESTISSEUR Nous avons élaboré un guide des principes de base en investissement. Si vous les comprenez bien et les respectez, vous obtiendrez plus de succès dans vos investissements et par
Plus en détailChapitre 5 Qu est-ce que la globalisation financière?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 12 mars 2015 à 13:47 Chapitre 5 Qu est-ce que la globalisation financière? Introduction La globalisation financière est à la fois la condition d un système financier
Plus en détailRAPPORT D'EXPERT SUR LE COÛT DE LA DETTE FINANCIÈRE BANQUE NATIONALE
A Demande R-3541 2004 RAPPORT D'EXPERT SUR LE COÛT DE LA DETTE FINANCIÈRE BANQUE NATIONALE LOUIS SIMARD ET PAUL-ANDRÉ PINSONNAULT Original: 2004-09-30 HQD-11, Document 8 Page 1 de 33 LE FINANCEMENT D
Plus en détailBAX MC Contrats à terme sur acceptations bancaires canadiennes de trois mois
BAX MC Contrats à terme sur acceptations bancaires canadiennes de trois mois Groupe TMX Actions Bourse de Toronto Bourse de croissance TSX Equicom Produits dérivés Bourse de Montréal CDCC Marché climatique
Plus en détailAntécédents de crédit Banque Bon d études canadien Calendrier des dépenses Carte de crédit Carte de débit CELI Chèque du Gouvernement du Canada
Antécédents de crédit Les renseignements rassemblés qui montrent le temps que cela vous prend à payer l argent que vous avez emprunté. Banque Une institution financière qui dépose de l argent, prête de
Plus en détailLes mécanismes de transmission de la politique monétaire
Chapitre 5 Les mécanismes de transmission de la politique monétaire Introduction (1/3) Dans le chapitre 4, on a étudié les aspects tactiques de la politique monétaire Comment la BC utilise les instruments
Plus en détailLe Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté
18 ans après le référendum de 1995 Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté présenté par Marcel Leblanc, économiste pour le comité de travail sur la souveraineté
Plus en détailAnalyse Financière Les ratios
Analyse Financière Les ratios Présenté par ACSBE Traduit de l anglais par André Chamberland andre.cham@sympatico.ca L analyse financière Les grandes lignes Qu est-ce que l analyse financière? Que peuvent
Plus en détailChapitre 8 L évaluation des obligations. Plan
Chapitre 8 L évaluation des obligations Plan Actualiser un titre à revenus fixes Obligations zéro coupon Obligations ordinaires A échéance identique, rendements identiques? Évolution du cours des obligations
Plus en détailÉtude : Épargne nationale au Canada et aux États-Unis, 1926 à 2011 Diffusé à 8 h 30, heure de l'est dans Le Quotidien, le jeudi 26 juin 2014
Étude : Épargne nationale au Canada et aux États-Unis, 1926 à 11 Diffusé à 8 h 3, heure de l'est dans Le Quotidien, le jeudi 26 juin 14 Le taux d'épargne s'entend du rapport entre l'épargne brute et le
Plus en détailQu est-ce que l effet de levier?
EMPRUNTER POUR INVESTIR : CE N EST PAS POUR TOUT LE MONDE Qu est-ce que l effet de levier? L effet de levier consiste à investir en empruntant une partie ou la totalité des sommes. De cette façon, vous
Plus en détailChapitre X : Monnaie et financement de l'économie
Chapitre X : Monnaie et financement de l'économie I. Le financement de l'économie Financement = fait d'apporter des fonds à un individu, une entreprise, ou à soi-même. A) Les différents types de financement
Plus en détailPréambule Autodiagnostic 1) QRU - La Banque centrale est : 2) QRU - L encadrement du crédit était une technique :
Préambule Nous vous proposons en préambule d estimer votre niveau de connaissances bancaires et financières en répondant à cet auto diagnostic. Que celui-ci vous soit prétexte à valider et à approfondir
Plus en détailCaractéristiques et Règlement du Régime
Caractéristiques et Règlement du Régime En tout temps, les dispositions du Régime ainsi que celles de la Loi ont préséance sur toute information contenue dans le présent document. Il vous est possible
Plus en détailAnnexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif
Annexe 1 Stratégie de gestion de la dette 2014 2015 Objectif La Stratégie de gestion de la dette énonce les objectifs, la stratégie et les plans du gouvernement du Canada au chapitre de la gestion de ses
Plus en détailChapitre 4 : cas Transversaux. Cas d Emprunts
Chapitre 4 : cas Transversaux Cas d Emprunts Échéanciers, capital restant dû, renégociation d un emprunt - Cas E1 Afin de financer l achat de son appartement, un particulier souscrit un prêt auprès de
Plus en détailDocument de réflexion - RACHETER OU NE PAS RACHETER?
Document de réflexion - RACHETER OU NE PAS RACHETER? Version janvier 2015 Ce document est destiné aux personnes participantes du Régime et vise à les aider à déterminer si le rachat d une rente pour service
Plus en détailCHAPITRE 17. Opérations relatives aux titres. - Les bourses sont des marchés qui fonctionnent dans le cadre du jeu de l offre et de la demande.
CHAPITRE 17 Opérations relatives aux titres - Les bourses sont des marchés qui fonctionnent dans le cadre du jeu de l offre et de la demande. - Il y a par ex: o Bourses des valeurs pour le commerce des
Plus en détail6.0 Dépenses de santé et situation budgétaire des gouvernements provinciaux et territoriaux
6.0 Dépenses de santé et situation budgétaire des gouvernements provinciaux et territoriaux En 2013, on prévoit que les dépenses de santé des gouvernements provinciaux et territoriaux atteindront 138,3
Plus en détailPeut on taxer les revenus du capital?
Peut on taxer les revenus du capital? observatoire français des conjonctures économiques centre de recherche en économie de Sciences Po www.ofce.sciences po.fr xavier.timbeau@ofce.sciences po.fr 01 44
Plus en détailCoup d oeil sur les produits d investissement
Coup d oeil sur les produits d investissement Autorités canadiennes en valeurs mobilières Les autorités provinciales et territoriales en la matière se sont regroupées pour former les Autorités canadiennes
Plus en détailPrésentation des indicateurs techniques du Budget Général
Présentation des indicateurs techniques du Budget Général Thomas Duquesne Février 2015 Pourquoi utiliser des indicateurs techniques? Notre compte administratif (bilan comptable annuel) est contrôlé par
Plus en détailLe compte d épargne libre d impôt (CELI)
Le compte d épargne libre d impôt (CELI) Faits saillants du CELI Les intérêts et autres revenus de placement, ainsi que les gains en capital, sont exonérés d impôt. Votre CELI peut accueillir plusieurs
Plus en détailEpargne et investissement
Epargne et investissement Nature du sujet : Sujet de type «mise en relation». Mots-clés / Définitions : Tous! «Epargne» : Part du revenu qui n est pas consommée Epargne des ménages : - Concept le plus
Plus en détailLes difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient
PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailFaut-il encourager les ménages à épargner?
Faut-il encourager les ménages à épargner? Analyse du sujet : Nature du sujet : Sujet de type «discussion». Problématique explicite. Mots-clés : Ménages ; épargner épargne des ménages Encourager Epargne
Plus en détailChiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008
Chiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008 O:\Ifw-daten\IFW-FF\14 FinMaerkte_FinPlatzPolitik\143.2 FM CH Statistik\Publ Kennzahlen\Kennzahlen_Dezember08\Internet\Kennzahlen_CD-
Plus en détailBarèmes des commissions et frais généraux
Barèmes des commissions et frais généraux En vigueur le 1 er décembre 2014 Barème des commissions Transactions effectuées par l entremise de nos systèmes électroniques (site Web et site mobile) Tarification
Plus en détailNature et risques des instruments financiers
1) Les risques Nature et risques des instruments financiers Définition 1. Risque d insolvabilité : le risque d insolvabilité du débiteur est la probabilité, dans le chef de l émetteur de la valeur mobilière,
Plus en détailDocument de réflexion - RACHETER OU NE PAS RACHETER?
Document de réflexion - RACHETER OU NE PAS RACHETER? Version fin mai 2012 Ce document est destiné aux personnes participantes du Régime et vise à les aider à déterminer si le rachat d une rente pour service
Plus en détailBASE DE DONNEES - MONDE
BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar
Plus en détailPrésentation des indicateurs techniques du Budget Général
Présentation des indicateurs techniques du Budget Général Thomas Duquesne conseil du 17 octobre 2014 Pourquoi utiliser des indicateurs techniques? Notre compte administratif (bilan comptable annuel) est
Plus en détailDans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude
localnova OBS Observatoire des finances locales des Petites Villes de France novembre # Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude financière prospective
Plus en détailCommission des Affaires économiques. «De gauche et fier de l être!» Lutter contre les idées reçues les plus répandues
Commission des Affaires économiques «De gauche et fier de l être!» Lutter contre les idées reçues les plus répandues La protection des épargnants «Le Gouvernement ne protège pas les petits épargnants comme
Plus en détailMobiliser l épargne pour l investissement productif. Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle
Mobiliser l épargne pour l investissement productif Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle 18 Juin 2014 1. Introduction La frilosité de l épargnant belge suite
Plus en détailINTERROGATION ECRITE N 3 PFEG INTERROGATION ECRITE N 3 PFEG
Q1 - Quelle est la différence entre une banque de détail et une banque de gros ou universelle? Une banque de détail reçoit des dépôts de ses clients et leur accorde des crédits. Elle se limite aux métiers
Plus en détailCHAPITRE 1 CALCULS MATHÉMATIQUES...
Table des matières CHAPITRE 1 CALCULS MATHÉMATIQUES... 1 LA CALCULATRICE COMMERCIALE... 1 OPÉRATEURS ET OPÉRANDES... 9 La priorité des opérateurs... 9 Les propriétés des opérateurs... 11 Application des
Plus en détailDocument d information n o 4 sur les pensions
Document d information n o 4 sur les pensions Épargnes privées de retraite Partie 4 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition,
Plus en détail1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs?
Ménages et consommation 1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? question 1: comment le revenu des ménages est-il réparti? question 2: quelle est l influence
Plus en détailTendances sur le plan de l'épargne et du prêt net dans les comptes nationaux
N o 13-604-MIF au catalogue N o 049 ISSN: 1707-1844 ISBN: 0-662-70787-7 Document de recherche Comptes des revenus et dépenses série technique Tendances sur le plan de l'épargne et du prêt net dans les
Plus en détailTrousse des nouveaux arrivants. Impôt sur le revenu. Feuilles de travail
Trousse des nouveaux arrivants Impôt sur le revenu Feuilles de travail Ottawa Community Loan Fund Fonds d emprunt Communautaire d Ottawa 22 O Meara St., Causeway Work Centre, Ottawa, ON K1Y 4N6 Tel: 613-594-3535
Plus en détailStratégies relatives au compte d épargne libre d impôt
Stratégies relatives au compte d épargne libre d impôt Le gouvernement du Canada a annoncé la création du compte d épargne libre d impôt (CELI) à l occasion de son budget de 2008, puis a procédé à son
Plus en détailArithmétique appliquée aux finances
Arithmétiue appliuée aux finances MAT-1101-3 Activité notée 2 Note : Date de correction : Signature du correcteur : Identification de l'élève Nom : Adresse : Courriel : Téléphone : Date d envoi : MAT-1101-3
Plus en détailLES BANQUES. I. Les différents services proposés par les banques :
LES BANQUES I. Les différents services proposés par les banques : Les services bancaires représentent l ensemble des produits proposés par une banque. Les services bancaires les plus connus sont : Epargne
Plus en détailUne nouvelle vision de l épargne-retraite collective ÉPARGNE-RETRAITE COLLECTIVE. Produits d épargne-retraite collective
Une nouvelle vision de l épargne-retraite collective ÉPARGNE-RETRAITE COLLECTIVE Produits d épargne-retraite collective Comment choisir votre régime d épargne-retraite collective? Si vous êtes à l étape
Plus en détailRapport du comité d experts du Québec sur les moyens de pérenniser le système de retraite
Le 19 avril 2013 Rapport du comité d experts du Québec sur les moyens de pérenniser le système de retraite Le comité d experts a été formé vers la fin de 2011, et on lui a donné le mandat de formuler des
Plus en détailLes Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales
1 Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales Gilles TESTUD, ECOFINANCE Frédéric ric DUPUIS, DEXIA CL Réunions avec les élus du Territoire de Belfort 07 juin 2012 Sommaire 2 1. Introduction
Plus en détailPROGRAMME AEC COMPTABILITÉ FINANCIÈRE INFORMATISÉE
PROGRAMME AEC COMPTABILITÉ FINANCIÈRE INFORMATISÉE Numéro Liste de compétences - cours Introduction aux mathématiques comptables et financières Utiliser à des fins de gestion des méthodes statistiques
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailDocument de recherche n 1 (GP, EF)
Conservatoire National des Arts et Métiers Chaire de BANQUE Document de recherche n 1 (GP, EF) Taxation de l épargne monétaire en France : une fiscalité potentiellement confiscatoire Professeur Didier
Plus en détailS informer sur. Les obligations
S informer sur Les obligations Octobre 2012 Autorité des marchés financiers Les obligations Sommaire Qu est-ce qu une obligation? 03 Quel est le rendement? 04 Quels sont les risques? 05 Quels sont les
Plus en détailBILAN 2011. - Le résultat comptable est en bonne évolution après avoir été limité en 2010 et 2009
BILAN 211 - Le résultat comptable est en bonne évolution après avoir été limité en 21 et 29 - Les dépenses de fonctionnement sont en baisse et les recettes augmentent - Ainsi la capacité d autofinancement
Plus en détail75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010
75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en
Plus en détailDIAGNOSTIC SOCIO-ÉCONOMIQUE ET FINANCIER LE BILAN-SANTÉ DES COMMUNES
LE BILAN-SANTÉ DES COMMUNES EYSINES FÉVRIER 214 POPULATION Population 1999 (sans double compte) Population 26 (municipale) Population 211 (municipale) Classement en fonction de la population (211) Rangs
Plus en détailb ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)
b ) La Banque Centrale Notre système bancaire se complexifie puisqu il se trouve maintenant composer d une multitude de banques commerciales et d une Banque Centrale. La Banque Centrale est au cœur de
Plus en détailCalcul et gestion de taux
Calcul et gestion de taux Chapitre 1 : la gestion du risque obligataire... 2 1. Caractéristique d une obligation (Bond/ Bund / Gilt)... 2 2. Typologie... 4 3. Cotation d une obligation à taux fixe... 4
Plus en détailExiste-t-il un taux d endettement optimal des États?
Existe-t-il un taux d endettement optimal des États? Nicolas Marceau, CIRPÉE et UQÀM mai 2003 Existe-t-il un taux d endettement optimal des États? 1 Plan de la présentation 1. Équivalence ricardienne 2.
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailLes opérations et autres flux
Les opérations et autres flux Les nomenclatures présentées ici sont celles du Système européen des comptes 2010 (SEC 2010). Nomenclature des opérations Opérations sur produits (biens et services) (P) P.1
Plus en détailComment avoir accès à la valeur de rachat de votre police d assurance vie universelle de RBC Assurances
Comment avoir accès à la valeur de rachat de votre police d assurance vie universelle de RBC Assurances Découvrez les avantages et désavantages des trois méthodes vous permettant d avoir accès à vos fonds.
Plus en détailChapitre 2 : l évaluation des obligations
Chapitre 2 : l évaluation des obligations 11.10.2013 Plan du cours Flux monétaires, prix et rentabilité Bibliographie: caractéristiques générales Berk, DeMarzo: ch. 8 obligations zéro-coupon obligations
Plus en détailCHAPITRE 4 MARCHES et EPARGNE
CHAPITRE 4 MARCHES et EPARGNE Section 1. Les marchés de capitaux I. Le marché financier Dans un sens plus étroit, c'est le marché où s'échangent les titres à moyen et long terme (valeurs mobilières) contre
Plus en détailOPTIMAXMD. GUIDE DU PRODUIT Assurance vie permanente avec participation L avenir commence dès aujourd hui RÉSERVÉ AUX CONSEILLERS
OPTIMAXMD GUIDE DU PRODUIT Assurance vie permanente avec participation L avenir commence dès aujourd hui RÉSERVÉ AUX CONSEILLERS FAITS SAILLANTS Options de primes Optimax 100 Optimax 20 primes Options
Plus en détailPrésentation au conseil municipal 16 décembre 2014. Débat. d Orientation. Budgétaire 2015
Présentation au conseil municipal 16 décembre 2014 Débat d Orientation Budgétaire 2015 Le budget 2015 sera le premier de ce nouveau mandat 2014-2020 Il est construit sur le Plan de mandat financier en
Plus en détailRésumé... 1. I. Introduction... 5. II. Épargner pour notre vieillesse collective... 7. III. Macroéconomie de l épargne et des placements...
TABLE DES MATIÈRES Résumé... 1 I. Introduction... 5 II. Épargner pour notre vieillesse collective... 7 III. Macroéconomie de l épargne et des placements... 11 IV. Incitatifs à épargner des ménages individuels...
Plus en détailDOCUMENT D INFORMATION. Septembre 2014 LA FISCALITÉ DES PARTICULIERS AU QUÉBEC
DOCUMENT D INFORMATION Septembre 2014 LA FISCALITÉ DES PARTICULIERS AU QUÉBEC document d information Septembre 2014 La fiscalité des particuliers au Québec NOTE La forme masculine utilisée dans le texte
Plus en détailJournée des CPA 2012
Journée des CPA 2012 Le rôle du CPA pour l inscription en bourse : plus que de l information financière Jérôme Minier, CPA, CA Objectifs aujourd hui Examiner les principaux défis de financement pour les
Plus en détailMonnaie, Banque et Marchés Financiers
Collection FlNANCE dirigée par Yves Simon, Professeur à l'université Paris-Dauphine, et Delphine Lautier, Professeur à l'université Paris-Dauphine Monnaie, Banque et Marchés Financiers Didier MARTEAU C
Plus en détailLa fiscalité nous permet de nous offrir collectivement des services et une qualité de vie supérieurs. Les revenus de l État sont à la baisse
La fiscalité nous permet de nous offrir collectivement des services et une qualité de vie supérieurs En moyenne, chaque personne au Québec reçoit (de tous les paliers gouvernementaux) l équivalent de près
Plus en détailRégime enregistré d épargne-études (REEE) Le REEE, un jeu d enfant
Régime enregistré d épargne-études (REEE) Le REEE, un jeu d enfant Pour un avenir de classe Conçu pour vous aider à financer des études postsecondaires à temps plein ou à temps partiel, le REEE vous donne
Plus en détailLES SIIC. Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF. Étude réalisée par. Les SIIC et la retraite 1
LES SIIC et la retraite Étude réalisée par Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF Les SIIC et la retraite 1 23 juin 2014 2 Les SIIC et la retraite La retraite est, avec l emploi et
Plus en détail