ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L EDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE. Discours de M. Federico Mayor

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1 DG/97/43 Original: français ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L EDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE Discours de M. Federico Mayor Directeur général de l Organisation des Nations Unies pour l éducation, la science et la culture (UNESCO) à l ouverture de la Journée nationale française des droits de l enfant UNESCO, 20 novembre 1997

2 Monsieur le Ministre, Mesdames, Messieurs, Chers amis, C est avec un très grand plaisir que je vous accueille ici à l UNESCO à l occasion de cette Journée afin que vous puissiez entamer vos débats sur l application de la Convention relative aux droits de l enfant en France. En effet, depuis 1991, la journée du 20 novembre, date de l adoption de la Convention internationale des droits de l enfant par l Assemblée générale des Nations Unies, donne lieu chaque année en France à un échange entre les pouvoirs publics français et les associations regroupées dans le Conseil français des associations pour les droits de l enfant (COFRADE) sur l application effective de la Convention en France et par la France. Il s agit là d une tradition nouvelle - et je voudrais en féliciter le Ministère de l emploi et de la solidarité, le Centre international de l enfance et de la famille (CIDEF) et le COFRADE. Cette pratique pourrait être avantageusement adoptée par tous les pays. Elle permet en effet de dresser un bilan des progrès réalisés et des obstacles rencontrés, d une part dans le domaine législatif, afin de mettre le droit français en concordance avec les dispositions de la Convention, et d autre part dans le fonctionnement des administrations et des institutions en ce qui concerne l application réelle de la Convention. Nous ne devons pas oublier que cette Journée nationale des droits de l enfant est aussi la Journée internationale des droits de tous les enfants, y compris les enfants du Rwanda, de l Angola ou de l Algérie. Et si nous voulons préserver ces droits, il faut commencer par assurer la paix, condition sine qua non de la vie, élément complémentaire du développement et de la démocratie. Je voudrais d abord rappeler quelques chiffres, qui donnent la mesure du défi à relever: - Au cours de la dernière décennie, environ 2 millions d enfants ont été tués dans les guerres, 4 à 5 millions sont devenus handicapés, 1 million, orphelins et 12 millions, enfants des rues; - En Asie seulement, 1 million d enfants font l objet d exploitation sexuelle dans des maisons de passe, dans des bars ou dans la rue; - Au moins 250 millions d enfants dans le monde sont exploités sur le marché du travail; millions d enfants ne sont pas scolarisés, alors que 30% des enfants des pays développés ne terminent pas leur quatrième année d école;

3 2 - Environ 40 millions d enfants vivent dans les rues des grandes villes du monde; - Dans de nombreux pays industrialisés, y compris quelquesuns d Europe de l Ouest, le pourcentage d enfants vivant dans la pauvreté a augmenté de façon sensible au cours des 10 dernières années. Devant un problème de cette ampleur, nous ne pouvons pas nous contenter de solutions partielles. Il nous faut des décisions politiques. Si l on songe aux budgets nationaux votés pour la défense de nos frontières, comment évaluer le prix de la dignité de nos sociétés? Hier, nous avons payé le prix de la guerre. Aujourd hui, nous devons payer le prix de la paix. Croyez-moi, la facture est moins lourde et quel bénéfice pour l humanité tout entière! Nous devons investir dans l éducation, dans la santé, dans le bien-être de nos enfants. Très récemment, au cours de la vingt-neuvième session de la Conférence générale de l UNESCO, j ai eu l honneur de nommer Mme Kim Phuc Ambassadeur de bonne volonté de l UNESCO pour une culture de la paix. Souvenez-vous, Kim Phuc était en 1972 la petite fille vietnamienne que le monde entier a vu courir, toute nue, hurlant de douleur, le dos en feu, fuyant sa maison et son village bombardé au napalm. Elle a survécu à ses terribles brûlures, elle a elle-même eu des enfants et aujourd hui, elle est porteuse d un message à l échelle mondiale : Plus jamais de guerre. D autres enfants ne survivent pas à leurs blessures : leurs corps trop frêles ne vont pas au bout de l enfance, ou alors, ils sont brisés d avoir été abandonnés, brutalisés, exploités; ils n ont pas d espoir. Leur voix, leur silence, nous appellent à travers les différents articles de la Convention relative aux droits de l enfant. Avec la chute du Mur de Berlin en 1989 s est effondré un système fondé sur l égalité, mais qui avait oublié la liberté. Aujourd hui, nous courons le risque que le système dans lequel nous vivons, fondé sur la liberté, ne s effondre pour avoir oublié l égalité. La clé du problème réside sans doute dans la solidarité, c est-à-dire, selon la terminologie de la Révolution française, dans la fraternité. Sur la table de travail de l Abbé Pierre, dans son bureau des environs de Paris, une phrase est encadrée, qui résume parfaitement cette idée: Il n y a qu une seule urgence: partager - partager nos richesses, mais aussi notre temps, notre savoir, notre intérêt. Et où se tient donc l éducation dans cette lutte pour les droits des enfants? Car il convient de le redire encore,

4 3 l éducation est la clé. Les fondations de l autonomie, du respect de soi-même et des autres, de la justice, de la liberté, du sens du bien et du beau, se créent dans la petite enfance. C est pourquoi l UNESCO préconise des politiques en faveur de la famille et des programmes en matière de petite enfance. A la dernière session de la Conférence générale, plus de 40 Etats membres ont approuvé une résolution visant à renforcer l éducation du jeune enfant, afin de reconnaître l importance capitale des systèmes d apprentissage fondés sur la communauté et la famille. D égale importance est l éducation permanente, moyen fondamental de favoriser la cohésion sociale et, ainsi, de prévenir l exclusion et de reconstruire des communautés éclatées. C est l éducation qui apporte la connaissance et permet aux citoyens de contribuer de façon efficace à la société, à travers leur travail et leurs activités de loisir. Sans éducation, la démocratie ne peut exister. L article 29(d) de la Convention l illustre bien : l éducation de l enfant doit viser à (...) préparer l enfant à assumer les responsabilités de la vie dans une société libre. Je crois d ailleurs noter qu après une certaine inertie à l égard de l application de cet Article en général, qui traite du contenu d une éducation humaniste, les Etats parties commencent à prendre conscience de l importance de ses dispositions - en particulier celles qui concernent l enseignement des valeurs et la construction de l identité. La France, pour ne citer qu elle, a entrepris de revitaliser les fonctions d éducation morale et civique de son système éducatif, et je m en réjouis. Bien que l UNESCO ait à plusieurs reprises fait remarquer au Comité des droits de l enfant l insuffisance de l éducation en matière de civisme et de valeurs dans la plupart des programmes scolaires, 2 Etats seulement (sur les 49 Etats parties ayant présenté leur rapport au Comité) ont déclaré avoir révisé en fonction de cet Article leurs programmes scolaires. La formation morale et civique des futurs citoyens est au moins aussi importante que leur formation intellectuelle et professionnelle. Aussi ne serais-je trop insister sur la pertinence de cet Article 29, d autant plus fondamental que le développement actuel des comportements violents et intolérants nous préoccupe tous. Nous sommes donc heureux que votre rencontre d aujourd hui se prolonge, les deux jours suivants, par une conférence internationale qui permettra une réflexion sur la Convention et l éducation. A l occasion de sa Conférence générale, l UNESCO a publié un Manuel pour l enseignement des droits de l homme, que j ai le plaisir de mettre à votre disposition. Il y aura un suivi de cette réunion dans une monographie de l UNESCO qui proposera des lignes d action aux autorités scolaires en ce qui concerne l école en tant que communauté éducative, basée sur le respect des principes de la Convention.

5 4 Monsieur le Ministre, Mesdames, Messieurs, tous mes voeux vous accompagnent dans vos travaux.

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