Colloque de la SFA consommation contrôlée baclofène mars

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Colloque de la SFA consommation contrôlée baclofène mars"

Transcription

1 Colloque de la SFA consommation contrôlée baclofène mars Vous trouverez ci-dessous un compte-rendu des évocations et réflexions survenues à la suite des travaux de la Société Française d Alcoologie les 22 et 23 mars 2012 à propos des médicaments spécifiquement utilisés en cas de traitement de l alcoolisme et plus particulièrement les dernières conclusions concernant le baclofène. 1. Les essais cliniques : une question de méthode. Lors de cette séance, plusieurs orateurs se sont succédés pour rappeler les principes de rigueur scientifique indispensables à toute recherche. Dr Philippe Batel a rappelé les quatre cibles principales investiguées sur le plan pharmacologique : le système GABA couplé au système MNDA, le système dopaminergique, le système sérotoninergique et le système opioïde. Si les modèles animaux se sont révélés encourageants et prometteurs, les résultats cliniques chez l homme sont insuffisamment probants. Ainsi, le concept d indifférence à l alcool prêté au baclofène repose sur une hypothèse qui n a pas encore été confirmée par un essai de grande ampleur et de qualité scientifique suffisante. Pr Maurice Dematteis a montré qu une méthodologie rigoureuse de recherche sur des effets pharmacologiques en lien à l alcoolisme est très difficile à concevoir vu le nombre de variables dépendantes en jeu. Il a illustré son propos en mettant en évidence la variable répondeur (au médicament) versus non-répondeur. En même temps, il a souligné l intérêt dans l avenir de recherches se centrant sur cette piste de détermination de profils phénotypiques spécifiques à telle ou telle molécule. Discussion Manifestement, cette séance mettant en exergue les conditions nécessaires à une recherche sérieuse visait à relativiser les quelques résultats obtenus avec le baclofène par certains médecins dans le cadre de leur pratique 1 Compte-rendu par Thierry LOTTIN, CHS Clinique Psychiatrique Notre Dame des Anges à Liège. psycho@cnda.be 1

2 2. Comment rationaliser les indications de recours à l offre de soins? Différents exposés ont abordé la question de l offre de soins en France. En exposant les indications d une hospitalisation, Dr A-F Hirsch-Vanhoenacker a rappelé la filière de soins en addictologie en France. Elle a énoncé les intérêts et limites de l hospitalisation en soulignant que celle-ci doit être réservée aux personnes présentant des dommages sévères ou qui nécessitent une mise à l abri de leur milieu de vie. Elle est aussi la seule alternative en cas de sevrage contraint (par la justice par ex.). L hôpital de jour pourrait être un intermédiaire mais jusque-là, cette possibilité n est guère utilisée en France 2. C.Palle a réalisé une enquête (ESPERHA) portant sur les personnes reçues à l hôpital pour addiction. Les conclusions ne mettent en exergue que des données déjà bien connues par l expérience des praticiens. Par exemple, des problèmes liés à alcool et/ou au tabac nécessitent l hospitalisation chez des gens âgés d au moins 45 ans en France ; ce qui n est pas le cas pour les autres produits de dépendance. Pr J-B Daeppen a présenté la réalité suisse en mettant en exergue les critères d indication pour le traitement résidentiel. Il a évoqué le dispositif d indication EVITA (Evaluation, Indication, Traitement, Accompagnement) qui permet d orienter les personnes alcooliques vers le type de traitement le plus adapté pour eux. Ni plus ni moins, il s agit d une expérience de travail en réseau qui s appuie sur une évaluation réalisée par un binôme médico-social qui analyse la demande sur base d un questionnaire standardisé. Cette évaluation envisage six axes : Risque d un sevrage compliqué Problèmes médicaux Comorbidité psychiatrique Répercussions sociales et professionnelles Motivation au changement Environnement familial Toute admission en hôpital pour alcoolisme suppose au préalable d avoir passé EVITA qui détermine l intérêt d une hospitalisation et même pour combien de temps. Cette évaluation est régulière et permet ainsi de modifier l indication d une fois à l autre (ambulatoire ou résidentiel) ; ce qui permet aussi d assurer la continuité dans le parcours de soi. Plus de 1100 usagers ont bénéficié de cet outil sur une durée de deux ans. L efficacité des traitements choisis sur base de ce mode opératoire est attestée par une baisse importante de la consommation d alcool et une amélioration des autres variables médicales et sociales 3. 2 Voir à ce propos le «livre blanc» édité par la SFA en «Intégration des services en toxicomanie», Landry M., Brochu S.., Partenaude C. ed., PU de Laval, coll toxicomanies, pp

3 3. Des médicaments d aujourd hui et de demain. Quelle place pour ces 3 médicaments? par Henri-Jean Aubain Il a rappelé les données essentielles concernant l acamprosate (Campral), le naltrexone et le disulfiram (antabuse). Le succès est beaucoup meilleur si il y a supervision régulière par le psychiatre. Ces médicaments spécifiques à la problématique du traitement de l alcoolisme continuent à être beaucoup utilisés en France. A noter que l effet placebo entraîne autant si pas plus d effets indésirables que le disulfiram. En France, il n y a pas d études qui mettraient en évidence de décès dus au disulfiram. Les médicaments dans les pipelines par François Paille Les médicaments actuellement utilisés ont une efficacité très limitée. Ils sont connus depuis longtemps mais ils sont toujours utilisés et soumis à l étude. Mais finalement, ils seraient sans grand intérêt : Baclofène (voir autres exposés) sodium oxybate (utilisé en Italie et en Autriche)(GHB) topiramate (anti-épileptique Gabaergique) nalméfène (antagoniste des opiacés comme le naltrexone) : résultats d études internationales en attente mais peu convaincants. Les sérotoninergiques (ondansetron ou zophren) utilisés dans les chimiothérapies. Ils seraient intéressant pour ceux qui ont un alcoolisme à début précoce. Associer l acamprosate et la naltrexone n a pas d impact significatif. Il a rappelé que la voie la plus efficace reste la médication conjointe à une psychothérapie. Les pistes à venir tenteraient d affiner l effet d un médicament en cherchant le profil phénotypique (gène ou autre) de ceux qui répondraient le mieux à tel médicament. Par exemple, le naltrexone serait plus efficace chez les patients ayant une réactivité plus élevée devant des images agréables à l alcool. 4. Où en est-on avec le baclofène? Baclofène : état des lieux scientifiques, Dr Bertrand Nalpas. Ce médecin a retracé les grandes lignes de l histoire de ce médicament. Synthétisée depuis longtemps, cette molécule a été commercialisée en 1979 pour le traitement des spasticités d origine médullaire. En 76, Cott et al. montrent que ce médicament est antagoniste dopaminergique et bloque le comportement alcoolique des rats. En 2000,en Italie, Addolorato G. réalise deux études qui ont montré que des doses de 30 mg diminueraient le craving. Il y aurait une réduction significative de la consommation d alcool. Mais c est un échantillon trop réduit que pour une validation scientifique. En 2007, Addolorato sort une étude qui confirme l efficacité du baclofène. En 2011, un nouvel essai met en évidence des résultats plus significatifs pour des doses de 60 mg/jour. En 2010, aux Etats-Unis, Garbutt, ne trouve pas de différences significatives pour des doses de 30 mg. 3

4 D autres essais ont eu lieu mais ceux-ci ne sont pas superposables en raison de variables distinctes comme la dose à prescrire. Le cas clinique du Prof. Ameisen ayant lui-même fait l essai sur sa propre personne montrerait que la clé de l efficacité se logerait dans la dose à prescrire qui doit être élevée (en ce qui le concerne, 270 mg/jour et dose d entretien de 170mg/jour). Il aurait donc un intérêt potentiel mais l effet est variable d un individu à l autre et il nécessiterait une posologie élevée dont la tolérance à de telles doses est mal connue. Cette hypothèse devrait être évaluée par des essais cliniques randomisés et contrôlés évaluant de façon rigoureuse tolérance et efficacité. Bacoflène : Expérience de la prescription à haut dosage par R.Beaurepaire En 2011, Beaurepaire R. a collecté les résultats qu il a obtenus sur une cohorte de 181 patients alcooliques graves sur base d un protocole de type compassionnel (à partir de patients demandeurs et motivés). Sur 100 patients à hauts risques qui ont poursuivi le traitement au moins 3 mois 50 patients ne boivent pratiquement plus ou modérément sans effort donc à risque faible (plus de manifestations de craving), 34 sont devenus à moyen risque et 16 continuent à consommer de manière excessive. Réduction ou disparition du craving chez 92% des patients. Mais beaucoup continuent à boire encore mais modérément. Le plus surprenant tient au fait que sur les 50 patients qui ont retrouvé une consommation d alcool à faible risque, celle-ci continue de perdurer au bout de deux ans. Dix de ces cinquante patients ont arrêté le baclofène contre l avis de Beaurepaire qui craint une reprise de consommation abusive an cas d arrêt du baclofène. La dose moyenne administrée est de 150 mg/j (en moyenne car il a varié les doses selon les patients) après une dose progressive au début de 30mg/j et augmentation de 30 mg par semaine. Vu sa durée de vie de 3 à 4 h, il faut que la prise se fasse au moment de la journée où l individu boit beaucoup et le plus souvent. Beaucoup d effets secondaires sont relevés, surtout fatigue, insomnie, vertige. Selon son expérience, Beaurepaire estime que ces effets sont davantage évitables si on augmente les doses beaucoup plus progressivement. Il lui semble aussi que plus les personnes ont un trouble psychiatrique sérieux, moins le baclofène s avèrerait efficace. Il y aurait aussi une relation entre la quantité d alcool qu il consomme et la quantité de baclofène à prescrire (plus, plus). Essais de compréhension chez ceux qui ont échoué : Manque de motivation Rituels de boissons impossible à changer (sans alcool, ils ne sont plus rien) Identité du patient mise en péril Pathologie mentale sérieuse Baclofène serait moins actif si dose n est pas suffisamment haute (jusqu à 500mg/J) pour les alcooliques à consommation massive Le traitement nécessite d être correctement adapté selon chaque patient (commencer très lentement : maintenant, Beaurepaire préconise un baclofène de 15mg/j pour commencer) en vue d atteindre très progressivement la dose moyenne de 145mg/j. A 4

5 partir de ce moment, le patient est invité à gérer lui-même sa dose par jour et selon le moment où il buvait beaucoup d habitude. Pratiquement, Beaurepaire procède comme suit : Quand on est à la dose efficace, on consolide la suppression du craving pendant quelques mois et on propose au patient de diminuer jusqu à ce que l envie de reboire revienne. Quand l envie de boire de l alcool réapparaît plus forte, il leur demande de remonter un peu la dose (son seuil à lui). Au bout de 2 ou 3 mois, ils peuvent à nouveau essayer de diminuer le seuil. Quand ils vivent un stress, les patients rapportent que l envie de boire revient et ils reprennent du baclofène qui fait effet dans la demi-heure pour les aider à faire face à un craving. Dans cette procédure thérapeutique, il n y a plus de différence entre la dépendance physique et la dépendance psychique. Les gens ne sont pas sevrés pour commencer le baclofène. Beaurepaire ne leur demande donc pas d arrêter de boire de l alcool. Il augmente le traitement jusqu à ce qu ils diminuent eux-mêmes leur consommation. Beaurepaire a l impression que le bacoflène agit comme un médicament de substitution (d où pas de symptômes de sevrage). Quand la personne arrête brutalement le bacoflène, elle a d ailleurs les symptômes de manque! (Crise d épilepsie, etc.). Pour lui, le baclofène est donc le pendant de la méthadone pour l héroïnomane. A noter que le bacoflène est actuellement le seul à agoniste du GabaB. En sait-on assez pour prescrire le baclofène? par Dr Pascal Gache,. Ce médecin suisse se pose les questions : est-il efficace et quels en sont les risques? Prof. Ameisen prétend que si on supprime le craving, on supprime la perte de contrôle de sa consommation dans la mesure où pour lui l alcoolisme est une maladie qui si on supprime le symptôme, on supprime la maladie. Les risques : La somnolence est l effet secondaire le plus manifeste avec les troubles du sommeil la nuit. On relève aussi des vertiges et migraines. Mais les gens veulent continuer malgré ces effets secondaires désagréables qu ils acceptent sans peine de tolérer! Il vaut mieux toutefois avoir le consentement éclairé et écrit du patient (conduite de voiture). Si on arrête le bacoflène, les effets indésirables s arrêtent au bout de 2 jours. Aucune complication irréversible n est à relever même dans des études à prescription de fortes doses. L efficacité : Les impressions cliniques fondées sur des études ouvertes et observationnelles sont très encourageantes. Il y aurait un effet significatif à la diminution du craving, mais il est restreint au craving. En effet, la problématique thérapeutique de l alcoolisme dans sa globalité reste à soigner. Il existe un guide 4 de prescription du bacoflène accessible aux médecins. 4 Disponible sur 5

6 Le baclofène : un phénomène social et médiatique par Eric Hispard Ce médecin met en évidence la manière dont le baclofène a fait irruption dans le paysage alcoologique. Il est parti d un témoignage médiatisé sous forme d un livre et de la circulation sur Internet de ce qu il rapporte. La rumeur fut telle qu il a été repris par les médias de télévision et de radio. Face à la rumeur, le monde médical a réagi de manière critique, exigeant à juste titre des études scientifiques ; cela a été vécu comme une résistance du monde alcoologique par beaucoup, et surtout par ceux vivant un problème d alcoolisme. Cette résistance a été définie comme une crainte de remise en cause de tout le travail de soin et d aide réalisé par les équipes médico-sociales ainsi que les groupements d entraide. Discussion 5 à propos du baclofène : Avec le bacoflène, le patient deviendrait indifférent à l alcool du fait de l annihilation progressive du craving. Si des études scientifiques confirment ce résultat, ce médicament sera très intéressant pour le traitement de l alcoolisme. La perspective changerait : on passe de la recherche de médicaments à visée de maintien ou d abstinence d alcool (par ex, campral) à des médicaments à visée de soutien à la réduction de la consommation d alcool. Ce changement explique le retour en force du concept de consommation contrôlée. Tel qu il a été abordé par certains dans ce colloque, il y a déjà confusion entre consommation modérée (retour à une consommation normale) et consommation contrôlée (consommation prescrite dans un cadre thérapeutique). De plus, en cas d efficacité avérée du baclofène, le risque est grand que patients et professionnels réduisent l alcoolisme à un simple problème de dépendance à l alcool. Or, jusque-là, les observations réalisées retiennent que pour les personnes qui ont un trouble psychiatrique sérieux, le baclofène s avèrerait moins efficace. Ce constat revient à souligner que l alcool de l alcoolique n est que la face émergée d un iceberg qui dissimule en immersion la souffrance qui entretient le recours à l alcool (médicament si efficace contre le mal-être aux effets secondaires si dommageables ). Si le baclofène a l effet prétendu sur le craving, il sera important d adopter une perspective autre en considérant ce dernier comme un moyen de se libérer de la focalisation sur l alcool. En effet, si le combat contre l alcool devient négligeable grâce au baclofène, la fascination exercée par l alcool (et les rechutes) n a plus de raison d être tant pour le patient que pour son thérapeute et l un et l autre peuvent enfin se concentrer pleinement sur le mal-être sousjacent et une qualité de vie à (re)trouver. La question se pose de savoir quel est l intérêt de l utilisation du baclofène en cas d hospitalisation résidentielle? En effet, si le baclofène réduit le craving, on peut faire un constat parallèle : chez beaucoup, l hospitalisation entraîne très rapidement la disparition du besoin de boire de l alcool. A la différence, que l hospitalisation suppose le sevrage d alcool pour un tel résultat, ce qui n est pas le cas du baclofène. Outre la question de l introduction de la consommation contrôlée (que nous avons discuté dans un texte précédent sur ce sujet) lors de l hospitalisation, on peut 5 Ces réflexions n engagent que leur auteur, à savoir Thierry Lottin. 6

7 se poser la question de l utilité du baclofène pendant celle-ci. Compte tenu de tous les éléments rapportés ci-dessus, on pourrait concevoir que l hospitalisation faciliterait l introduction du baclofène (qui devrait être très progressive pour en assurer l effet) et permettrait aussi de mieux en contrôler les effets secondaires indésirables. Si cette molécule se révèle aussi prometteuse, que faire du concept d abstinence? Il y a là matière à réflexion Quoiqu il en soit, pour une part des personnes concernées, il semble que baclofène et abstinence ne soient pas inconciliables. En effet, si le baclofène anéantit progressivement l envie de boire jusqu à l indifférence totale pour l alcool, on peut supposer que pour certains, l abstinence pourra être consécutive à cette indifférence acquise vis à vis de l alcool. En quelque sorte, en ressentant cette indifférence, le patient pourrait décider plus facilement de s en tenir à l abstinence d alcool. 7

Se libérer de la drogue

Se libérer de la drogue Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir

Plus en détail

Migraine et Abus de Médicaments

Migraine et Abus de Médicaments Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité!

testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! : t i u t a r g t i Extra testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! Enoncé Un fan de casino Vous êtes praticien dans la belle ville d Enghien (célèbre pour son casino ). Vous recevez Joël 43

Plus en détail

La migraine : une maladie qui se traite

La migraine : une maladie qui se traite La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus

Plus en détail

EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME

EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.

Plus en détail

Le guide du bon usage des médicaments

Le guide du bon usage des médicaments Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour

Plus en détail

Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction

Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction OFDT Note n 2010-12 Saint-Denis, le 09/08/2010 Introduction Les premières structures

Plus en détail

Compte Rendu. Première réunion publique sur le baclofène à haute dose dans le traitement des addictions

Compte Rendu. Première réunion publique sur le baclofène à haute dose dans le traitement des addictions Pour que chacun d entre nous devienne, au quotidien, un acteur pour faire reconnaitre l efficacité du baclofène dans le cadre de la guérison des addictions. Première réunion publique sur le baclofène à

Plus en détail

Placebo Effet Placebo. Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes

Placebo Effet Placebo. Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes Placebo Effet Placebo Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes Plan Définitions Placebo dans les essais thérapeutiques Effet placebo Médicaments

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

Recommandation Pour La Pratique Clinique

Recommandation Pour La Pratique Clinique Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de

Plus en détail

Migraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans?

Migraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans? Migraine : traitement de la crise Comment utiliser les triptans? 6 ème congrès national de lutte contre la douleur 19-20 Mars Alger Alain Serrie Service de Médecine de la douleur, médecine palliative et

Plus en détail

I.TRAITEMENT DE CRISE -ANTALGIQUES SIMPLES -ANTINFLAMMATOIRES BIPROFENID -TRIPTANS

I.TRAITEMENT DE CRISE -ANTALGIQUES SIMPLES -ANTINFLAMMATOIRES BIPROFENID -TRIPTANS TRAITEMENT DE LA MIGRAINE I.TRAITEMENT DE CRISE -ANTALGIQUES SIMPLES PARACETAMOL PEU OU PAS EFFICACE ASSOCIATIONS ASPIRINE-METOCLOPRAMIDE (CEPHALGAN MIGPRIV ) -ANTINFLAMMATOIRES -TRIPTANS BIPROFENID 1

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail

JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE!

JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE! rétablissement et psychose / Fiche 1 JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE! JJérôme s énerve : «Je ne suis pas psychotique! Vous ne dites que des conneries! Je suis moi, Jérôme, et je ne vois pas le monde comme vous,

Plus en détail

L abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois

L abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois L abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois 2. Elle est présente : 15 jours/mois pour les antalgiques non opioïdes (paracétamol, aspirine,

Plus en détail

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation

Plus en détail

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines

Plus en détail

SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5

SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N

Plus en détail

PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR

PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR SOMMAIRE COMMENT SE FAIT LA RECHERCHE SUR UN NOUVEAU MÉDICAMENT?...p. 3 À QUOI SERT LA RECHERCHE?...p. 4 QUELLES SONT LES GARANTIES?...p.

Plus en détail

Les Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est

Plus en détail

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet

Plus en détail

QUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC?

QUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC? QUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC? On vous a diagnostiqué une leucémie myéloïde chronique (LMC) et il se peut que vous ayez déjà débuté un traitement. Le traitement de la LMC dépend largement

Plus en détail

7- Les Antiépileptiques

7- Les Antiépileptiques 7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité

Plus en détail

La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant

La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin

Plus en détail

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles

Plus en détail

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence

Plus en détail

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé

Plus en détail

JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER

JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER ALS (séance du 11 mai 2003) 48 Jeu video : un nouveau compagnon (Colette KELLER-DIDIER)

Plus en détail

CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT

CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page

Plus en détail

Insuffisance cardiaque

Insuffisance cardiaque Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles

Plus en détail

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme) La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire

Plus en détail

LE JEU EXCESSIF. Dr Christine Davidson M.Philippe Maso. Décembre 2011

LE JEU EXCESSIF. Dr Christine Davidson M.Philippe Maso. Décembre 2011 LE JEU EXCESSIF Dr Christine Davidson M.Philippe Maso Décembre 2011 Qu est-ce qu un Joueur Occasionnel? Joue pour le plaisir Accepte de perdre l argent misé. Ne retourne pas pour se refaire. Joue selon

Plus en détail

CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:

CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail

Plus en détail

DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers)

DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers) DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers) Chère Consœur, Cher Confrère, Ces renseignements médicaux

Plus en détail

"Formation et évaluation de la compétence du pharmacien clinicien expérience suisse"

Formation et évaluation de la compétence du pharmacien clinicien expérience suisse "Formation et évaluation de la compétence du pharmacien clinicien expérience suisse" Journées Franco-Suisses de Pharmacie Hospitalière 23 avril 2015, Mâcon Dr Vera Jordan-von Gunten Pharmacien d hôpital,

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

MÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC

MÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC MÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC Québec, le 21 février 2000 2. PRÉAMBULE La Fédération des médecins

Plus en détail

Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier?

Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP

Plus en détail

PROCEDURE SUR DEMANDE D UN TIERS OU EN CAS DE PERIL IMMINENT

PROCEDURE SUR DEMANDE D UN TIERS OU EN CAS DE PERIL IMMINENT PROCEDURE SUR DEMANDE D UN TIERS OU EN CAS DE PERIL IMMINENT Thème ANCIENNES DISPOSITIONS NOUVELLES DISPOSITIONS Appellation Hospitalisation sur demande d un tiers Soins psychiatriques sur demande d un

Plus en détail

23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement

23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d

Plus en détail

QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?

QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de

Plus en détail

La raison d être des systèmes d information

La raison d être des systèmes d information La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi

Plus en détail

Ordonnance collective

Ordonnance collective Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant

Plus en détail

La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs

La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre

Plus en détail

La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde

La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant

Plus en détail

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension

Plus en détail

27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013

27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse

Plus en détail

L enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé

L enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé L enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé 3 e conférence sur les traitements de la dépendance aux opioïdes Genève, 19 octobre 2012 Nicolas Bonnet, directeur du Respadd Anne

Plus en détail

Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique

Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier

Plus en détail

SOCIETE MEDICALE DES HOPITAUX DE PARIS Association reconnue d utilité publique - FMC n 11752573775

SOCIETE MEDICALE DES HOPITAUX DE PARIS Association reconnue d utilité publique - FMC n 11752573775 SOCIETE MEDICALE DES HOPITAUX DE PARIS Association reconnue d utilité publique - FMC n 11752573775 Hôpital Cochin - Service Médecine Interne du Pr Le Jeunne 27, rue du Faubourg Saint Jacques - 75014 PARIS

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

Plan de la présentation

Plan de la présentation De «pair patient» à «pair aidant» : vers de nouvelles fonctions des destinataires de l action médico-sociale? Présentation Association Trait d Union 07.02.2014 Esther Hartmann, Pro Mente Sana Florence

Plus en détail

Formation sur la sécurisation du circuit du médicament

Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE

Plus en détail

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE

Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING

Plus en détail

SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres

SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6

Plus en détail

Les recommandations de recherche de l expertise INSERM sur la RdR. Patrizia Carrieri INSERM U912 - ORSPACA

Les recommandations de recherche de l expertise INSERM sur la RdR. Patrizia Carrieri INSERM U912 - ORSPACA Les recommandations de recherche de l expertise INSERM sur la RdR Patrizia Carrieri INSERM U912 - ORSPACA Plan de la présentation Recommandations de recherche de l expertise INSERM Etat d avancement des

Plus en détail

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures

Plus en détail

Évaluation et recommandations

Évaluation et recommandations ÉVALUATION ET RECOMMANDATIONS 13 Évaluation et recommandations Les personnes souffrant de troubles mentaux s intègrent mal sur le marché du travail. En Belgique, par rapport aux personnes qui ont une bonne

Plus en détail

CEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX

CEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX CEPHALEES CHRONIQUES QUOTIDIENNES AVEC ABUS MEDICAMENTEUX Groupe de travail du RRDBN Y.Perier, A.S.Sergent, E.Touchard, V.Lepelletier, S.Sladek FMC 2009 1 PLAN Migraine sans aura Epidémiologie Critères

Plus en détail

Introduction au droit La responsabilité professionnelle

Introduction au droit La responsabilité professionnelle Introduction au droit La responsabilité professionnelle I. Introduction au droit 2 ordres de juridiction : Judiciaire : o Juridiction civiles : conflit entre particulier Tribunal de gde instance : litige

Plus en détail

Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique

Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique Université d été E-Santé Castres-Mazamet 4, 5, 6 juillet 2012 «Des supports numériques au service de l éducation thérapeutique des patients» Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique

Plus en détail

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,

Plus en détail

Repérage de la perte d autonomie

Repérage de la perte d autonomie Repérage de la perte d autonomie France Morissette, MSc. Inf Directrice, Opérations soins 24 novembre 2014 LE GROUPE MAURICE PROFIL CORPORATIF, EN BREF Fondé en 1998 Un seul créneau : l habitation pour

Plus en détail

«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»

«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» «Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture

Plus en détail

J aimerais garder les hypoglycémies sous contrôle - Que puis-je faire?

J aimerais garder les hypoglycémies sous contrôle - Que puis-je faire? Simon Equilibré grâce à sa pompe depuis 2004 J aimerais garder les hypoglycémies sous contrôle - Que puis-je faire? L hypoglycémie peut être l une des préoccupations majeures des diabétiques de type 1,

Plus en détail

ALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement

ALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de

Plus en détail

Con ditions complément aire s. Edition janvier 1997

Con ditions complément aire s. Edition janvier 1997 H O S P I TAL «Royal Plus» (H1). Varia nte Economy Assurance des frais hospitaliers pour la couvert u re complémentaire des frais en division privée c h a m b re à 1 lit dans tous les hôpitaux de Suisse

Plus en détail

La prise en charge d un trouble bipolaire

La prise en charge d un trouble bipolaire GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge d un trouble bipolaire Vivre avec un trouble bipolaire Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer

Plus en détail

Évaluation du régime général d assurance-médicaments

Évaluation du régime général d assurance-médicaments Évaluation du régime général d assurance-médicaments mémoire présenté à la Commission parlementaire des affaires sociales par la Fédération de médecins omnipraticiens du Québec LE RÉGIME GÉNÉRAL d assurancemédicaments

Plus en détail

FORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES. Promouvoir les soins pharmaceutiques

FORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES. Promouvoir les soins pharmaceutiques FORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES Promouvoir les soins pharmaceutiques PRÉSENTATION DE LA FORMATION Contexte Le métier du pharmacien est en pleine évolution. Un concept qui va

Plus en détail

Le retour au travail après une absence prolongée en

Le retour au travail après une absence prolongée en Le retour au travail après une absence prolongée en raison de trouble mental transitoire: des pistes d'encadrement de la démarche. Marie-José Durand, PhD, Professeure titulaire, Directrice du CAPRIT Les

Plus en détail

Comment la proposer et la réaliser?

Comment la proposer et la réaliser? RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Communiqué de presse. Merck Serono. 18 septembre 2008

Communiqué de presse. Merck Serono. 18 septembre 2008 Communiqué de presse 18 septembre 2008 Merck Serono annonce le lancement de l'essai clinique ORACLE MS destiné à évaluer la cladribine en comprimés chez des patients à risque de développer une sclérose

Plus en détail

Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales.

Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. 1 Les outils de mesure existants et description du handicap épileptique Il ne s agit pas ici de mesurer

Plus en détail

La prise en charge. de votre affection de longue durée

La prise en charge. de votre affection de longue durée La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin

Plus en détail

N 2737 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI

N 2737 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI N 2737 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 TREIZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 13 juillet 2010. PROPOSITION DE LOI visant à mieux garantir le droit

Plus en détail

2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS CANCER ET ACCOMPAGNEMENT DU PHARMACIEN : UN PREMIER PAS VERS LA RÉSILIENCE.

2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS CANCER ET ACCOMPAGNEMENT DU PHARMACIEN : UN PREMIER PAS VERS LA RÉSILIENCE. 2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS Avec le Haut Patronage de Madame Roselyne BACHELOT-NARQUIN, Ministre de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative CANCER ET ACCOMPAGNEMENT

Plus en détail

Avis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.

Avis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA. COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste

Plus en détail

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé

Plus en détail

Efficacité de la réalité virtuelle pour faciliter la prévention de la rechute auprès de joueurs en traitement

Efficacité de la réalité virtuelle pour faciliter la prévention de la rechute auprès de joueurs en traitement Efficacité de la réalité virtuelle pour faciliter la prévention de la rechute auprès de joueurs en traitement Stéphane Bouchard*, Ph.D. Département de Psychoéducation et de Psychologie Université du Québec

Plus en détail

OBSAqim médias. Fréquence d utilisation, intérêt et qualité perçus par les médecins des différents canaux d information sur les médicaments

OBSAqim médias. Fréquence d utilisation, intérêt et qualité perçus par les médecins des différents canaux d information sur les médicaments par les médecins des différents canaux d information sur les médicaments Découvrez comment s informent les médecins sur les médicaments : quels médias utilisent-ils, comment les jugent-ils, quel est le

Plus en détail

d a n s l e t r a i t e m e n t d e

d a n s l e t r a i t e m e n t d e La buprénorphine d a n s l e t r a i t e m e n t d e la dépendance aux opioïdes Lignes directrices du Collège des médecins du Québec et de l Ordre des pharmaciens du Québec juin 2009 table des matières

Plus en détail

Aujourd hui, pas un seul manager ne peut se dire à l abri des conflits que ce soit avec ses supérieurs, ses collègues ou ses collaborateurs.

Aujourd hui, pas un seul manager ne peut se dire à l abri des conflits que ce soit avec ses supérieurs, ses collègues ou ses collaborateurs. MANAGERS : COMMENT PRENEZ-VOUS EN CHARGE LES CONFLITS? AUTO-EVALUEZ-VOUS! Dans un contexte économique morose et qui perdure, nous sommes confrontés à un grand nombre de difficultés et de frustrations.

Plus en détail

Un danger vous guette Soyez vigilant

Un danger vous guette Soyez vigilant Un danger vous guette Soyez vigilant Vous prenez un sédatif-hypnotique Alprazolam (Xanax ) Chlorazépate Chlordiazépoxide Chlordiazépoxideamitriptyline Clidinium- Chlordiazépoxide Clobazam Clonazépam (Rivotril,

Plus en détail

Sans remettre en cause le fait de punir les criminels, les psychiatres. s intéressent de plus en plus à la prise en charge des pédophiles.

Sans remettre en cause le fait de punir les criminels, les psychiatres. s intéressent de plus en plus à la prise en charge des pédophiles. 1 Peut-on soigner les pédophiles? Sans remettre en cause le fait de punir les criminels, les psychiatres s intéressent de plus en plus à la prise en charge des pédophiles. Une prévention est même envisagée.

Plus en détail

Céphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS

Céphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine

Plus en détail

Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative

Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative BULLETINS DU PIRAP Volume 1, numéro 11 : Février 2013 Programme d'aide et d'accompagnement social : Le PIRAP comme PAAS-

Plus en détail

ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains

ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains Adoptée par la 18e Assemblée générale de l AMM, Helsinki, Finlande,

Plus en détail

LE CENTRE 92 (BOULOGNE/CLAMART)

LE CENTRE 92 (BOULOGNE/CLAMART) le trait d union L année 2010 a permis de stabiliser l intégration du Trait d Union et des services de prévention issus de la fusion de l AD2P au sein de l association Oppelia. Rappelons que le Trait d

Plus en détail

La migraine : quelle prise de tête!

La migraine : quelle prise de tête! La migraine : quelle prise de tête! Introduction La migraine est une véritable «prise de tête» pour les personnes qui en souffrent! Bien au-delà d un mal physique, cette réelle maladie engendre également

Plus en détail

Info. Ligue contre l Epilepsie. Epilepsie. Qu est-ce que c est une crise épileptique ou une épilepsie?

Info. Ligue contre l Epilepsie. Epilepsie. Qu est-ce que c est une crise épileptique ou une épilepsie? Ligue contre l Epilepsie Ligue Suisse contre l Epilepsie Schweizerische Liga gegen Epilepsie Lega Svizzera contro l Epilessia Swiss League Against Epilepsy Info Epilepsie Qu est-ce que c est une crise

Plus en détail

Maurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC

Maurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC Séance plénière 2 : La collaboration interprofessionnelle entre médecins et infirmières Nous examinerons durant cette séance les questions clés liées à la collaboration interprofessionnelle entre médecins

Plus en détail

Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy

Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan

Plus en détail