Charles WOEHREL. TRAITÉ de PERSPECTIVE. d Architecture Intérieure. Éditions VIAL
|
|
- Laurence Després
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Charles WOEHREL TRAITÉ de PERSPECTIVE d Architecture Intérieure Éditions VIAL
2 SOMMAIRE Introduction I. LA SENSATION DE PERSPECTIVE Les stimuli Présence de notre corps à l espace Profondeur, sensation de perspective Le chaos perspectif Les stimuli visuels Nécessaire rationalisation des données Diversité des stimuli visuels, diversité des «impressions de perspective» Image visuelle, image rétinienne Perception intentionnelle, perception contemplative Le phénomène de constance dans la perception Filtrage des stimuli, ce que nous essayons de voir La mise en perspective, diversité des méthodes La loi optique, les données psychologiques L axiome sur la diminution des grandeurs Perspective traditionnelle, perspective curviligne La vision spontanée La perspective centrale, ses aberrations La perspective curviligne, relativité de la ligne droite Comparaison entre les deux méthodes Leurs qualités sont exclusives Le «débat» historique La distance courte, la distance longue La vision naturelle, entre image rétinienne et image mentale le choix de la méthode Difficile unanimité sur la perspective centrale Avantages pratiques qui font préférer la perspective centrale à la perspective curviligne La perspective centrale comme moyen d expression Le champ visuel Vision libre, vision spontanée, mobilité du point de vue La triple vision de l œil à l origine de la perception spontanée
3 II. LA PERSPECTIVE CENTRALE Le champ visuel comme référent Le cône de vision Les rayons visuels Le tableau La distance de visualisation Coïncidence des points de vue du dessinateur et du «regardeur» La ligne d horizon Positionnement de la pyramide visuelle Les dépassements admissibles La pyramide visuelle dans l espace intérieur Perspective centrée, perspective décentrée Les dépassements nécessaires La méthode conique Le point de distance Le principe de rabattement Division de la distance Rabattement des points de distance sur le plan principal de vision Détail de mise en œuvre L échelle des hauteurs Les tracés auxiliaires Simplifier et vérifier Détermination des profondeurs par les points de distance Détermination des profondeurs par un système de diagonales Division d un segment de fuyante Tramage d un angle droit Construction par les points de fuite Construction par points de distance autres que ceux des droites fuyant à Les lignes d horizon accidentelles Le cercle Connaissance abstraite, connaissance intuitive La figure du cercle en perspective est une conique Quelques généralités sur les coniques Les problèmes de représentation La variation des paramètres Les reflets Les reflets dans l architecture intérieure Principe des images réfléchies Images réfléchies sur miroirs inclinés Images réfléchies selon des angles aigus ou obtus Les miroirs incidents Vues plafonnantes, vues plongeantes La verticalité, force dynamique Principe de construction La vue plafonnante dans l espace intérieur La vue plongeante
4 III. LA PERSPECTIVE DE L ESPACE INTÉRIEUR L esquisse Le croquis comme langage Spatialisation des données Le croquis, relevé en trois dimensions Le croquis-projet, présentation d un concept, le croquis-«premier jet» Le croquis pour persuader Le croquis comme rhétorique Un moyen terme : le croquis élaboré Le travail préparatoire L échelle des hauteurs, recherche de F Les repères que procure la perspective construite dans la recherche de F L hypothèse d un tableau, détermination de F Positionnement de la paroi du fond, échelle des profondeurs Tracés intermédiaires, mise au point finale Le cadrage La perspective, création d un lieu Le cadrage sans cadre Le cadrage matérialisé Le cadrage en hauteur Le format carré L organisation de l image Les raccourcis Les premiers plans Les points de vue virtuels Les tracés lacunaires Intérieur-extérieur, transparence Le choix des contraintes Les moyens d expression La mise en œuvre, les techniques Le dessin, le trait Ombre et lumière La couleur La perspective colorée La perspective en couleur Conclusion La perspective, expression d une esthétique La machine ou la main Les différentes appellations de la perspective Bibliographie
5 La perspective centrale. Positionnement de la pyramide visuelle Fig. 87 Le point de vue est dans l axe du volume intérieur. La portion d espace théoriquement non représentable (en deçà du tableau) est infime. Fig. 88 La quasi-totalité du volume intérieur est représentée. Par contre, la partie basse du tableau (entre T 1 et T 2 ) reste inexploitée. On en comprend aisément la raison en examinant l élévation de la pyramide visuelle : le plan du sol ne coïncide pas avec la base du tableau (mais cela est un cas de figure courant), il le «traverse», se prolonge sur une courte distance puis s interrompt : le bas du tableau reste vierge car il n y a plus rien à représenter
6 La perspective centrale. Positionnement de la pyramide visuelle 89 Fig. 89 Le point de vue est décentré. La portion d espace théoriquement non représentable reste très faible. Fig. 90 La zone comprise entre T 1 et T 2 s est réduite, mais également la quantité d espace représenté. Le sommet du portique est coupé par le haut du tableau et les murs latéraux ne sont plus à l intérieur de celui-ci Fig. 91 Le point de vue est décentré comme dans la figure précédente, mais cette fois positionné à l intérieur même du volume. Des trois cas de figure, il est le seul qui respecte les contraintes imposées par l espace architectural. Fig. 92 Le tableau est «exploité» dans sa totalité, mais la portion d espace représentée s est considérablement réduite. Il ne nous est plus donné à voir qu une faible partie de cet espace et de sa structure. C est à partir de ce peu qu il nous faut imaginer ce qui nous est caché, pour éventuellement en évaluer les dimensions
7 La perspective dans l espace intérieur. Un moyen terme : le croquis élaboré C est ce que l on voit dans notre exemple : le cadrage de l image définitive fait le sacrifice d une grande partie de l épure (fig. 304), et notamment du plafond, et l on serait en droit de reprocher au dessinateur de s être trop complaisamment abandonné au plaisir de la construction et ce au détriment de la vraisemblance. Il est vrai que dans certains cas, l agrandissement excessif du champ malgré les inconvénients que cela comporte peut être un choix motivé par la nécessité, pour ainsi dire «programmatique», de montrer ce qui normalement ne peut être montré (ici le plafond). Mais lorsque ce motif ne s impose pas, mieux vaut se rapprocher du champ le plus plausible puisque c est lui qui est le plus à même de nous procurer l illusion spatiale. Il n en reste pas moins vrai que la représentation de l espace intérieur implique inévitablement la question de l agrandissement, même limité, du champ. Il est d ailleurs remarquable que les termes dans lesquels se pose cette question soient toujours les mêmes alors que la réponse qu on y apporte varie le plus souvent en fonction de ce que l on a convenu de rendre ou non visible et du degré de réalisme dont on est prêt à faire le sacrifice pour atteindre cet objectif (fig. 305, 306 et 307, 308). Inapte à jamais vraiment coïncider avec la loi optique, la perspective de l espace intérieur s apparente plutôt à un système capable de traduire cette spatialisation du temps 89 caractéristique de l image mentale. Et en effet, des fragments d espace, vus séparément, en des laps de temps successifs, se recomposent de manière à former une représentation complète de l espace concerné et à nous en permettre une vue d ensemble (dans certains cas, quasiment «panoramique»). La durée est abolie, le successif devient instantané, contre la logique rétinienne, des objets qui ne le devraient pas coexistent dans la même image, procédé inverse de celui de la caméra qui, lorsqu elle se promène dans un espace dont elle visite toues les parties, développe les images dans le temps. La plasticité est véritablement la qualité première de la perspective telle qu elle peut être pratiquée dans le cadre du croquis élaboré, puisqu elle possède la capacité de restructurer selon un ordre différent les données de la perception. Cette restructuration ne s opère pas sans discipline et sans l acception de certaines conventions, mais elle laisse néanmoins une large place à l initiative personnelle, aux intentions particulières, au «style» de l opérateur et à sa sensibilité, ce qui fait du croquis élaboré un art graphique à part entière. Fig. 304 Le recadrage définitif de l image a fait disparaître un grand tiers du plafond, une partie du sol et, à droite, l amorce d une baie. Ce nouveau format est plus allongé qu il ne devrait l être ; il ne respecte pas les proportions du tableau. Par ailleurs la ligne d horizon, bien que quelque peu recentrée dans l image, reste approximativement située au tiers inférieur de la hauteur, il s ensuit que le plafond, malgré l importante réduction de surface qu on lui a fait subir, demeure la zone la plus sensible aux déformations. Celles-ci restent toutefois acceptables. La partie droite de l image, comme le plafond, a grandement bénéficié de l élargissement du champ sans que les proportions des composants architecturaux en paraissent affectées (peutêtre le dessinateur a-t-il quelque peu infléchi en cet endroit l échelle des profondeurs?). Dans cette zone, le parquet Versailles n a été qu esquissé, c est que, sans être «irreprésentable», son dessin pouvait devenir problématique. Dans l ensemble l image est plutôt satisfaisante, elle rend assez fidèlement les sensations spatiales d un visiteur du lieu réel, et ce malgré d évidentes libertés prises avec les lois de l optique Comme dans la métaphore proustienne du retable et des prédelles qui rassemblent dans un espace unifié, les épisodes épars de la vie d un personnage. 198
8 La perspective dans l espace intérieur. Un moyen terme : le croquis élaboré 305 Fig. 305 Dans cette pièce deux angles de vue étaient également intéressants : celui-ci, montrant la cheminée et son trumeau, ou bien son opposé, nous permettant de découvrir l arrondi que dessine le lambris et qui donne son caractère à la pièce. Le dessinateur a choisi le premier de ces angles de vue, le plus naturel si l on considère l importance de la cheminée dans l organisation de l espace intérieur, classique ou non. Il n a pu cependant se résoudre à ignorer ce que cette pièce avait de plus particulier : la courbure de l un de ses côtés. L évocation de cette courbe, pourtant discrète, a nécessité une importante extension non seulement de la paroi de droite, mais aussi du plafond, qui prend dans l image des proportions considérables. Fig. 306 Cette réduction du champ paraît sévère, et pourtant elle ne respecte toujours pas les limites du tableau, notamment en ce qui concerne sa largeur. En fait, seules les pièces dont le plan est un rectangle allongé autorisent suffisamment de recul pour permettre le développement «légitime» des parois latérales. En diminuant l espace qui nous sépare de la paroi du fond, ce cadrage serré diminue théoriquement l effet de profondeur. Pratiquement, le phénomène est moins simple qu il n y paraît. Le plus grand degré de réalisme de cette vue, qui fait que nous «nous sentons dans la pièce» bien davantage que dans l autre cadrage, compense efficacement la perte de profondeur, les détails paraissent plus vrais, plus en relief ; finalement on peut estimer que chacune de ces deux images répond à une nécessité particulière
9 La perspective dans l espace intérieur. Un moyen terme : le croquis élaboré C est ce que l on voit dans notre exemple : le cadrage de l image définitive fait le sacrifice d une grande partie de l épure (fig. 304), et notamment du plafond, et l on serait en droit de reprocher au dessinateur de s être trop complaisamment abandonné au plaisir de la construction et ce au détriment de la vraisemblance. Il est vrai que dans certains cas, l agrandissement excessif du champ malgré les inconvénients que cela comporte peut être un choix motivé par la nécessité, pour ainsi dire «programmatique», de montrer ce qui normalement ne peut être montré (ici le plafond). Mais lorsque ce motif ne s impose pas, mieux vaut se rapprocher du champ le plus plausible puisque c est lui qui est le plus à même de nous procurer l illusion spatiale. Il n en reste pas moins vrai que la représentation de l espace intérieur implique inévitablement la question de l agrandissement, même limité, du champ. Il est d ailleurs remarquable que les termes dans lesquels se pose cette question soient toujours les mêmes alors que la réponse qu on y apporte varie le plus souvent en fonction de ce que l on a convenu de rendre ou non visible et du degré de réalisme dont on est prêt à faire le sacrifice pour atteindre cet objectif (fig. 305, 306 et 307, 308). Inapte à jamais vraiment coïncider avec la loi optique, la perspective de l espace intérieur s apparente plutôt à un système capable de traduire cette spatialisation du temps 89 caractéristique de l image mentale. Et en effet, des fragments d espace, vus séparément, en des laps de temps successifs, se recomposent de manière à former une représentation complète de l espace concerné et à nous en permettre une vue d ensemble (dans certains cas, quasiment «panoramique»). La durée est abolie, le successif devient instantané, contre la logique rétinienne, des objets qui ne le devraient pas coexistent dans la même image, procédé inverse de celui de la caméra qui, lorsqu elle se promène dans un espace dont elle visite toues les parties, développe les images dans le temps. La plasticité est véritablement la qualité première de la perspective telle qu elle peut être pratiquée dans le cadre du croquis élaboré, puisqu elle possède la capacité de restructurer selon un ordre différent les données de la perception. Cette restructuration ne s opère pas sans discipline et sans l acception de certaines conventions, mais elle laisse néanmoins une large place à l initiative personnelle, aux intentions particulières, au «style» de l opérateur et à sa sensibilité, ce qui fait du croquis élaboré un art graphique à part entière. Fig. 304 Le recadrage définitif de l image a fait disparaître un grand tiers du plafond, une partie du sol et, à droite, l amorce d une baie. Ce nouveau format est plus allongé qu il ne devrait l être ; il ne respecte pas les proportions du tableau. Par ailleurs la ligne d horizon, bien que quelque peu recentrée dans l image, reste approximativement située au tiers inférieur de la hauteur, il s ensuit que le plafond, malgré l importante réduction de surface qu on lui a fait subir, demeure la zone la plus sensible aux déformations. Celles-ci restent toutefois acceptables. La partie droite de l image, comme le plafond, a grandement bénéficié de l élargissement du champ sans que les proportions des composants architecturaux en paraissent affectées (peutêtre le dessinateur a-t-il quelque peu infléchi en cet endroit l échelle des profondeurs?). Dans cette zone, le parquet Versailles n a été qu esquissé, c est que, sans être «irreprésentable», son dessin pouvait devenir problématique. Dans l ensemble l image est plutôt satisfaisante, elle rend assez fidèlement les sensations spatiales d un visiteur du lieu réel, et ce malgré d évidentes libertés prises avec les lois de l optique Comme dans la métaphore proustienne du retable et des prédelles qui rassemblent dans un espace unifié, les épisodes épars de la vie d un personnage. 198
10 La perspective dans l espace intérieur. Un moyen terme : le croquis élaboré 305 Fig. 305 Dans cette pièce deux angles de vue étaient également intéressants : celui-ci, montrant la cheminée et son trumeau, ou bien son opposé, nous permettant de découvrir l arrondi que dessine le lambris et qui donne son caractère à la pièce. Le dessinateur a choisi le premier de ces angles de vue, le plus naturel si l on considère l importance de la cheminée dans l organisation de l espace intérieur, classique ou non. Il n a pu cependant se résoudre à ignorer ce que cette pièce avait de plus particulier : la courbure de l un de ses côtés. L évocation de cette courbe, pourtant discrète, a nécessité une importante extension non seulement de la paroi de droite, mais aussi du plafond, qui prend dans l image des proportions considérables. Fig. 306 Cette réduction du champ paraît sévère, et pourtant elle ne respecte toujours pas les limites du tableau, notamment en ce qui concerne sa largeur. En fait, seules les pièces dont le plan est un rectangle allongé autorisent suffisamment de recul pour permettre le développement «légitime» des parois latérales. En diminuant l espace qui nous sépare de la paroi du fond, ce cadrage serré diminue théoriquement l effet de profondeur. Pratiquement, le phénomène est moins simple qu il n y paraît. Le plus grand degré de réalisme de cette vue, qui fait que nous «nous sentons dans la pièce» bien davantage que dans l autre cadrage, compense efficacement la perte de profondeur, les détails paraissent plus vrais, plus en relief ; finalement on peut estimer que chacune de ces deux images répond à une nécessité particulière
La perspective conique
La perspective conique Définitions et principes. Deux cas de la perspective conique : la perspective conique oblique et la perspective conique centrale. Principe de la perspective conique : . La perspective
Plus en détail7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision.
7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision. 7.1 Pour la myopie (mauvaise vue de loin) : Test de vision de loin Sur le mur d un pièce, fixez l illustration ci-dessous que vous
Plus en détailDr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes.
La photographie intra buccale : méthode de réalisation. Dr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes. La photographie numérique est un formidable outil de communication pour nos patients
Plus en détailLa construction du temps et de. Construction du temps et de l'espace au cycle 2, F. Pollard, CPC Bièvre-Valloire
La construction du temps et de l espace au cycle 2 Rappel de la conférence de Pierre Hess -Démarche de recherche: importance de se poser des questions, de chercher, -Envisager la démarche mentale qui permet
Plus en détailInfolettre #18 : Les graphiques avec Excel 2010
Infolettre #18 : Les graphiques avec Excel 2010 Table des matières Introduction... 1 Hourra! Le retour du double-clic... 1 Modifier le graphique... 4 Onglet Création... 4 L onglet Disposition... 7 Onglet
Plus en détailGMEC1311 Dessin d ingénierie. Chapitre 1: Introduction
GMEC1311 Dessin d ingénierie Chapitre 1: Introduction Contenu du chapitre Introduction au dessin technique Normes Vues Traits Échelle Encadrement 2 Introduction Les dessins ou graphiques sont utilisés
Plus en détailÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC (ERP) INSTALLATIONS OUVERTES AU PUBLIC (IOP) NOTICE D ACCESSIBILITÉ AUX PERSONNES HANDICAPÉES
ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC (ERP) INSTALLATIONS OUVERTES AU PUBLIC (IOP) NOTICE D ACCESSIBILITÉ AUX PERSONNES HANDICAPÉES Textes de référence : Champ d application : Code de la Construction et de
Plus en détailAccessibilité ERP Guide des obligations liées à l accessibilité des personnes handicapées dans les bâtiments ERP existants.*
Accessibilité ERP Guide des obligations liées à l accessibilité des personnes handicapées dans les bâtiments ERP existants.* *Application de l arrêté du 21 mars 2007, de l arrêté du 1er août 2006 et de
Plus en détailSOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique
SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des
Plus en détailLes mesures à l'inclinomètre
NOTES TECHNIQUES Les mesures à l'inclinomètre Gérard BIGOT Secrétaire de la commission de Normalisation sols : reconnaissance et essais (CNSRE) Laboratoire régional des Ponts et Chaussées de l'est parisien
Plus en détailaccessibilité des maisons individuelles neuves
accessibilité des maisons individuelles neuves Conseil d Architecture, d urbanisme et de l environnement du Gard 2012 Depuis la loi de Février 2005, toutes les constructions neuves de type logement individuel
Plus en détailVu le dahir du 7 kaada 1371 (30 Juillet 1952) relatif à l urbanisme et, notamment, son article 18 ;
Décret n 2-64-445 du 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964) définissant les zones d habitat économique et approuvant le règlement général de construction applicable à ces zones. (B.O. n 2739 du 28-4-1965,
Plus en détailL éclairage naturel première partie : Principes de base
Suzel BALEZ L5C 2007-08 L éclairage naturel première partie : Principes de base Hertzog et Partner Bât. De bureaux à Wiesbaden Plan Notions préliminaires La vision Grandeurs photométriques Le flux lumineux
Plus en détail(B.O. n 2739 du 28-4-1965, page 489) LE PREMIER MINISTRE,
DECRET N 2-64-445 DU 21 CHAABANE 1384 (26 DECEMBRE 1964) DEFINISSANT LES ZONES D HABITAT ECONOMIQUE ET APPROUVANT LE REGLEMENT GENERAL DE CONSTRUCTION APPLIABLE A CES ZONES (B.O. n 2739 du 28-4-1965, page
Plus en détailLES REPRESENTATIONS DES NOMBRES
LES CARTES A POINTS POUR VOIR LES NOMBRES INTRODUCTION On ne concevrait pas en maternelle une manipulation des nombres sans représentation spatiale. L enfant manipule des collections qu il va comparer,
Plus en détailÉclairage naturel L5C 2009/2010. Aurore BONNET
Éclairage naturel L5C 2009/2010 Aurore BONNET Introduction : Les 2 aspects de l éclairage naturel : Introduction : Les 2 aspects de l éclairage naturel : l ensoleillement et l éclairage diffus L ENSOLEILLEMENT
Plus en détailLe plombier chauffagiste a aussi besoin de cette représentation pour savoir ce qu il y a à l intérieur de la maison au niveau des hauteurs.
Les informations du plan Vous connaissez trois types de représentation d un pavillon : 1 : La perspective 2 : Les façades (page 2 ) 3 : La vue en plan (page 3) Observer attentivement la vue de la page
Plus en détailFÊTE DE LA SCIENCE 2005 (Village des Sciences)
FÊTE DE LA SCIENCE 2005 (Village des Sciences) Présentation des applications de réalité virtuelle et augmentée présentées par le Laboratoire LISA les samedi 15 et dimanche 16 octobre 2005 à l Ecole Supérieure
Plus en détailF3. NORMES TECHNIQUES RELATIVES A L ACCESSIBILITE AU CABINET MEDICAL
Le pour les I - Les cheminements extérieurs Article 2 «[ ] Lorsqu une dénivellation ne peut être évitée, un plan incliné de pente inférieure ou égale à 5 % doit être aménagé afin de la franchir. Les valeurs
Plus en détailmodélisation solide et dessin technique
CHAPITRE 1 modélisation solide et dessin technique Les sciences graphiques regroupent un ensemble de techniques graphiques utilisées quotidiennement par les ingénieurs pour exprimer des idées, concevoir
Plus en détailNOM équipement. Notice accessibilité pour les établissements recevant du public
NOM équipement Notice accessibilité pour les établissements recevant du public Textes de référence : Loi n 2005-102 du 11 février 2005 Décret n 2006-555 du 17 mai 2006 Arrêté du 1er Règles en vigueur considérées
Plus en détailAccessibilité locaux existants ERP 5ème catégorie
Auto-évaluation(1) Accessibilité locaux existants ERP 5 ème catégorie (Est considéré comme Etablissement Recevant du Public de 5 ème catégorie tout magasin de vente dans lequel l effectif du public admis
Plus en détailProcap Accessibilité et intégration. Adresses web. www.goswim.ch Accès sans obstacles aux piscines
Adresses web Le Guide des piscines pour personnes avec handicap www.goswim.ch Bureau fédéral de l égalité pour les personnes handicapées BFEH www.edi.admin.ch/ebgb Procap Accessibilité et intégration www.procap.ch
Plus en détailSavoir construire une photographie. Connaitre la base en technique photographique. Savoir traduire le message du mouvement en image.
Savoir construire une photographie Connaitre la base en technique photographique Savoir traduire le message du mouvement en image. Son contenu Sa composition La technique photographique L œil du photographe
Plus en détailRéalisation de cartes vectorielles avec Word
Réalisation de cartes vectorielles avec Word Vectorisation de la carte Après avoir scanné ou avoir récupéré un fond de carte sur Internet, insérez-la dans votre fichier Word : Commencez par rendre visible
Plus en détailLes bases de l optique
Vision to Educate Les 10 pages essentielles Edition 2014 Introduction Edito Si résumer le métier d opticien dans un livret de 12 pages n est pas possible, nous avons essayé dans ce document d apporter
Plus en détailProgramme de formation Photoshop : Initiation 24 heures de formation (3 jours) 1/2
Programme de formation Photoshop : Initiation 24 heures de formation (3 jours) 1/2 Graphistes, photographes, webmasters, ou toute autre personne en charge de la création de visuels pour le web ou le print.
Plus en détailREFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES
REFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES DOSSIER DE PRESSE FICHE 1 Une réforme pour réduire le coût des crédits renouvelables et
Plus en détailLES ESCALIERS. Les mots de l escalier
Les mots de l escalier L escalier :ouvrage constitué d une suite régulière de plans horizontaux (marches et paliers) permettant, dans une construction, de passer à pied d un étage à un autre. L emmarchement
Plus en détailLecture graphique. Table des matières
Lecture graphique Table des matières 1 Lecture d une courbe 2 1.1 Définition d une fonction.......................... 2 1.2 Exemple d une courbe........................... 2 1.3 Coût, recette et bénéfice...........................
Plus en détailNOS DESSIN FORMATIONS. PAOMULTIMEDIAWEB3DCINEMAAUDIOVISUEL La formation idéale existe, nous l avons inventée!
NOS FORMATIONS DESSIN PAOMULTIMEDIAWEB3DCINEMAAUDIOVISUEL La formation idéale existe, nous l avons inventée! Karine > 01.43.80.23.51 06.82.25.59.49 karine@ellipseformation.com www.ellipseformation.com
Plus en détailDécrète : Ce règlement est applicable aux zones définies à l'article premier. Fait à Rabat, le 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964). Ahmed Bahnini.
Décret n 2-64-445 du 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964) définissant les zones d'habitat économique et approuvant le règlement général de construction applicable à ces zones.( BO n 2739 du 28 Avril 1965)
Plus en détailDistribution d électricité et réseaux souterrains
Distribution d électricité et réseaux souterrains Cabos 09-2 - 3 octobre 2009 Maceió, Alagoas, Brésil Les réseaux de distribution : un enjeu essentiel Les réseaux de distribution constituent une infrastructure
Plus en détailMANUEL UTILISATEUR. Application 4trip
* MANUEL UTILISATEUR Application 4trip Table des matières 1. Introduction... 1 1.1. Description globale du produit... 1 1.2. Description de la finalité du manuel... 1 2. Manuel d utilisation... 2 2.1.
Plus en détailProblèmes sur le chapitre 5
Problèmes sur le chapitre 5 (Version du 13 janvier 2015 (10h38)) 501 Le calcul des réactions d appui dans les problèmes schématisés ci-dessous est-il possible par les équations de la statique Si oui, écrire
Plus en détailJustine Ludi. HEAD Genève
Justine Ludi HEAD Genève Laura Wohlgehaben HEAD Genève Karine Laurence EAVM Montréal Projet Évolution chronologique du projet. Nos projets étaient quasi identiques lors de la formation des groupes. Dans
Plus en détailDETERMINER LA LARGEUR DE PAGE D'UN SITE et LES RESOLUTIONS d'ecran
DETERMINER LA LARGEUR DE PAGE D'UN SITE et LES RESOLUTIONS d'ecran dossier par Clochar SOMMAIRE 1. LES RESOLUTIONS d'ecran... 1 2. RESOLUTION de l écran et choix de la TAILLE DE LA PAGE... 2 3. AGRANDISSEMENT
Plus en détailLPP SAINT JOSEPH BELFORT MODE OPERATOIRE ACTIVINSPIRE. Bonne utilisation à toutes et tous! UTILISATION DES TBI LE LOGICIEL ACTIVINSPIRE
LPP SAINT JOSEPH BELFORT MODE OPERATOIRE ACTIVINSPIRE Utilisation des TBI UTILISATION DES TBI LE LOGICIEL ACTIVINSPIRE T B utoriel de base, ce mode d emploi a pour objectif de vous présenter les principales
Plus en détailLa visio-conférence holographique : Pourquoi? Comment?
La visio-conférence holographique : Pourquoi? Comment? Francis Felix Labo LSIS / Arts & Métiers Paritech (ENSAM) 2 Cours des Arts et Métiers 13100 Aix-en-Provence Thierry Henocque AIP-Primeca Dauphiné
Plus en détailSillage Météo. Notion de sillage
Sillage Météo Les représentations météorologiques sous forme d animation satellites image par image sont intéressantes. Il est dommage que les données ainsi visualisées ne soient pas utilisées pour une
Plus en détailACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 21
ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 21 HYGIENE ET SÉCURITÉ JUIN 2001 Francis MINIER Inspecteur d Hygiène et de Sécurité Correspondant académique à la sécurité Tel : 02 38 79 46 64 Secrétariat
Plus en détailTSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1
TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun
Plus en détailINTRODUCTION À L ANALYSE FACTORIELLE DES CORRESPONDANCES
INTRODUCTION À L ANALYSE FACTORIELLE DES CORRESPONDANCES Dominique LAFFLY Maître de Conférences, Université de Pau Laboratoire Société Environnement Territoire UMR 5603 du CNRS et Université de Pau Domaine
Plus en détailNormes techniques d'accessibilité
Normes techniques d'accessibilité Informations tirées du site de la CRIPH (Cellule de Recrutement et d Insertion des Personnes Handicapées) La notion d accessibilité intègre plusieurs composantes : l accès
Plus en détailMy Custom Design ver.1.0
My Custom Design ver.1.0 Logiciel de création de données de broderie Mode d emploi Avant d utiliser ce logiciel, veuillez lire attentivement ce mode d emploi pour bien l utiliser correctement. Conservez
Plus en détail«Aucune investigation humaine ne peut être qualifiée de science véritable si elle ne peut être démontrée mathématiquement.
«Aucune investigation humaine ne peut être qualifiée de science véritable si elle ne peut être démontrée mathématiquement.» Léonard de Vinci MATHEMATIQUES Les mathématiques revêtaient un caractère particulier
Plus en détailCréation d une SIGNATURE ANIMÉE avec PHOTOFILTRE 7
Création d une SIGNATURE ANIMÉE avec PHOTOFILTRE 7 L animation est obtenue par défilement des images décomposant le mouvement de traçage de la signature. Les étapes successives seront : 1. Choix de la
Plus en détailBien concevoir son projet de SALLE DE BAINS
Bien concevoir son projet de SALLE DE BAINS Une salle de bains bien pensée...... Lapeyre vous aide à la réaliser Un projet bien préparé, c est la clé de la réussite. Avant de rencontrer un conseiller LAPEYRE,
Plus en détailPROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F)
PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F) LIGNES DIRECTRICES POUR LE PARCOURS À OBSTACLES VERSION 4.1 CANADIENNE-FRANÇAISE Les activités d entraînement et d évaluation du WSP-F 4.1 peuvent se dérouler
Plus en détailVOCABULAIRE LIÉ AUX ORDINATEURS ET À INTERNET
VOCABULAIRE LIÉ AUX ORDINATEURS ET À INTERNET Brancher / débrancher l ordinateur de la prise Allumer / éteindre l ordinateur : pour allumer ou éteindre l ordinateur vous devez appuyer sur le bouton On/off
Plus en détailTechniques d interaction dans la visualisation de l information Séminaire DIVA
Techniques d interaction dans la visualisation de l information Séminaire DIVA Zingg Luca, luca.zingg@unifr.ch 13 février 2007 Résumé Le but de cet article est d avoir une vision globale des techniques
Plus en détailAnnexe 3. Le concept : exemple d une situation d apprentissage.
Annexe 3. Le concept : exemple d une situation d apprentissage. Le concept choisi ici comme exemple est une figure arbitrairement définie, appelée «WEZ», reprise d une expérience de Smoke cité dans un
Plus en détailAC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x =
LE NOMBRE D OR Présentation et calcul du nombre d or Euclide avait trouvé un moyen de partager en deu un segment selon en «etrême et moyenne raison» Soit un segment [AB]. Le partage d Euclide consiste
Plus en détailCOMMERCES. Auto-évaluation accessibilité ERP existants 5 ème catégorie
Auto-évaluation(1) Accessibilité locaux existants ERP 5 ème catégorie (Est considéré comme Etablissement Recevant du Public de 5 ème catégorie tout magasin de vente dans lequel l effectif du public admis
Plus en détailVision industrielle et télédétection - Détection d ellipses. Guillaume Martinez 17 décembre 2007
Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses Guillaume Martinez 17 décembre 2007 1 Table des matières 1 Le projet 3 1.1 Objectif................................ 3 1.2 Les choix techniques.........................
Plus en détail1S9 Balances des blancs
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S9 Balances des blancs Type d'activité Étude documentaire Notions et contenus Compétences attendues Couleurs des corps chauffés. Loi de Wien. Synthèse additive.
Plus en détailNOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE Les ERP
Loi pour l Égalité des Droits et des Chances, la Participation et la Citoyenneté des Personnes Handicapées (EDCPCPH) NOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE Les ERP 1 1 Quel classement pour les ERP? Le classement
Plus en détailQUELQUES ACTIVITES RELATIVES A LA PARTIE A Propagation d une onde ; onde progressive. Comment installer le format de compression divx?
Lycée Bi h t QUELQUES ACTIVITES RELATIVES A LA PARTIE A Propagation d une onde ; onde progressive Il semble nécessaire d utiliser des fichiers images, de grande taille généralement, aussi, nous proposons
Plus en détailEXERCICES DE REVISIONS MATHEMATIQUES CM2
EXERCICES DE REVISIONS MATHEMATIQUES CM2 NOMBRES ET CALCUL Exercices FRACTIONS Nommer les fractions simples et décimales en utilisant le vocabulaire : 3 R1 demi, tiers, quart, dixième, centième. Utiliser
Plus en détailL'accessibilité des bâtiments d'habitations collectifs neufs
L'accessibilité des bâtiments d'habitations collectifs neufs (Arrêté du 1 août 2006 modifié par l'arrêté du 30 novembre 2007) Direction Départementale de l'équipement des Hautes-Alpes - SAUL/HG - 05/11/09
Plus en détailDans l idéal, ceci devrait être fait en amont pour chaque image envoyée sur l espace de stockage de votre site internet.
1- Optimiser le poids de votre image : Dans l idéal, ceci devrait être fait en amont pour chaque image envoyée sur l espace de stockage de votre site internet. Tous les types d utilisateurs (auteur, publicateur,
Plus en détailCours de tracés de Charpente, Le TRAIT
Page 1/5 Cours de tracés de Charpente, Le TRAIT Recherches de vraies grandeurs, angles de coupes, surfaces. Les Méthodes : Le tracé et les calculs Chaque chapitre ou fichier comportent une explication
Plus en détailMéthode du commentaire de document en Histoire
Méthode du commentaire de document en Histoire I. Qu est-ce qu un commentaire de document? En quelques mots, le commentaire de texte est un exercice de critique historique, fondé sur la démarche analytique.
Plus en détailPRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS
PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance
Plus en détailAccessibilité d'un bâtiment d habitation collectif neuf
Accessibilité d'un bâtiment d habitation collectif neuf Points examinés R = 1. Généralités L opération de construction entre dans la définition des bâtiments d habitation collectifs ("oui" aux 2 critères
Plus en détailLa micro be. Image Sébastien PLASSARD, Baigneuse 2014
h c a La micro be DROITE Image Sébastien PLASSARD, Baigneuse 2014 PAR L I G N E 26 JUIN - 31 JUILLET 2015 La micro beach Achetez de l art les pieds dans le sable! Pour fêter sa première année d existence
Plus en détailManuel de dessin Floorplanner. Floorplanner. Manuel de dessin. Page. Sujet. Sujet. Page 3-4. 4. Floorplanner Avancé. 1.
Floorplanner Manuel de dessin Floorplanner Manuel de dessin Floorplanner vous laisse facilement créer des plans d aménagement interactifs ainsi que de pouvoir les publier en ligne. Ce guide explique l
Plus en détailCollection de photos échantillons
Collection de photos échantillons SB-800/600 Entrez dans le monde passionnant du Système d Eclairage Créatif de Nikon avec le SB-800/600. Les numéros de page se rapportent aux explications dans le manuel
Plus en détailQu est-ce qui différencie une bonne photo d une mauvaise? Trois éléments sont importants : La composition L éclairage La qualité et la résolution
PRENDRE DE MEILLEURES PHOTOS 101 Par Lesley Ouimet Rien de plus facile que de prendre une photo numérique, mais c est un peu plus difficile de prendre une bonne photo numérique. Qu est-ce qui différencie
Plus en détailCorefris RAPPORT ANNUEL 2011. Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France?
Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France? (DGTrésor) 1. Indépendamment de facteurs d offre et de demande, qui jouent indéniablement sur les prix,
Plus en détailAccessibilité des ERP existants
CONSEIL D ARCHITECTURE D URBANISME ET DE L ENVIRONNEMENT DU TARN Accessibilité des ERP existants 27 janvier 2015 www.caue-mp.fr 188, rue de Jarlard 81000 ALBI - Tél : 05 63 60 16 70 - Fax : 05 63 60 16
Plus en détailCours de numérisation sur Epson Perfection
Cours de numérisation sur Epson Perfection 1- Vérifiez la propreté de la vitre, placez l original sur celle-ci. À savoir, on peut numériser des transparents avec ce scanner ; il a un capteur CCD dans le
Plus en détailMaps Tableau de bord avec MindManager et Power Markers
Maps Tableau de bord avec MindManager et Power Markers Nick Duffill, Harport Consulting traduction Martine Jésus Qu est-ce exactement qu une map tableau de bord? Qu est-ce qu une map tableau de bord? N
Plus en détailSAVOIR SE RECENTRER : UN ATOUT AU QUOTIDIEN
SAVOIR SE RECENTRER : UN ATOUT AU QUOTIDIEN QUE SIGNIFIE "ÊTRE CENTRÉ"? Etre centré signifie être aligné entre Ciel et Terre. C'est-à-dire connecté à l'énergie du Ciel et ancré dans l énergie de la Terre;
Plus en détailCADRE BATI : ERP NEUFS ET EXISTANTS
3ème RENCONTRE TECHNIQUE DE L'ACCESSIBILITE CADRE BATI : ERP NEUFS ET EXISTANTS Patricia QUOY et Carole ROUGEOLLÉ DDT 91 - STANE 29/06/12 CADRE REGLEMENTAIRE Définition d'un ERP (R.123-2 du CCH) = lieu
Plus en détailExercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part
Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version
Plus en détailLa caméra Embarquée et subjective
La caméra Embarquée et subjective La caméra embarquée et subjective L utilisation de la caméra subjective permet une très forte identification du spectateur aux personnages et par conséquent des sensations
Plus en détailExercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part
Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version
Plus en détailChapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide
Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide I Rappels : Référentiel : Le mouvement d un corps est décris par rapport à un corps de référence et dépend du choix de ce corps. Ce corps de référence
Plus en détailPrincipe de fonctionnement de la façade active Lucido. K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.
Principe de fonctionnement de la façade active Lucido K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.doc 0. Préambule Le présent document est élaboré dans le but
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailLES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE
LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE 2. L EFFET GYROSCOPIQUE Les lois physiques qui régissent le mouvement des véhicules terrestres sont des lois universelles qui s appliquent
Plus en détailAdobe Illustrator Logiciel de dessin vectoriel et de Cartographie Assistée par Ordinateur
Adobe Illustrator Logiciel de dessin vectoriel et de Cartographie Assistée par Ordinateur I- Ouverture d une nouvelle feuille de travail Fichier / Nouveau (ou ctrl + N) Indiquer dans la fenêtre qui s ouvre
Plus en détailSeconde Généralités sur les fonctions Exercices. Notion de fonction.
Seconde Généralités sur les fonctions Exercices Notion de fonction. Exercice. Une fonction définie par une formule. On considère la fonction f définie sur R par = x + x. a) Calculer les images de, 0 et
Plus en détailTBI et mathématique. Pour vous soutenir dans votre enseignement des mathématiques. Les outils du logiciel Notebook. les ressources internet
TBI et mathématique Pour vous soutenir dans votre enseignement des mathématiques Dessin tiré du site www.recitus.qc.ca Les outils du logiciel Notebook et les ressources internet Document préparé par France
Plus en détailLindab Poutres climatiques. Terminaux à eau. Avantages Larges gammes de poutres certifiées EUROVENT
lindab poutres Avantages Larges gammes de poutres certifiées EUROVENT Eco-énergétique Applications Tertiaires (bureaux, hôpitaux, hôtels...) Modularité et design Neuf et rénovation Simplicité de montage
Plus en détailLa réglementation et les obligations qui en découlent
Accessibilité en milieu urbain La réglementation et les obligations qui en découlent Actualités : les BEV La norme Afnor NF P 98-351 relative aux caractéristiques et essais des dispositifs podotactiles
Plus en détailLes escaliers nécessitent quelques particularités pour assurer la sécurité de tous.
SUJETS DE LA FICHE-CONSEILS 1. Marches et contremarches 2. Mains-courantes 3. Dégagement sous une volée d escaliers 4. Surfaces repères et sécurité fonctionnelle Les escaliers nécessitent quelques particularités
Plus en détailLocalisation des points d accès sans fil non autorisés
Localisation des points d accès sans fil non autorisés Un point d accès non autorisé peut compromettre la sécurité du réseau de l entreprise en l exposant au monde extérieur. Pour remédier à cette menace,
Plus en détailSur une aire de stationnement, accessible par tranche de 50 places.
Handicap : Les normes d'accessibilité La loi du 11 février 2005 est l'une des principales lois sur les droits des personnes handicapées, depuis la loi de 1975. Elle réaffirme que les locaux d habitation,
Plus en détailSystèmes de portes coulissantes automatiques
Systèmes de portes coulissantes automatiques La qualité est notre moteur En collaboration avec des partenaires reconnus, TORMAX réalise dans le monde entier des solutions de portes automatiques pour différents
Plus en détailLoi pour l Égalité des Droits et des Chances, la Participation et la Citoyenneté des Personnes Handicapées (EDCPCPH)
1 Loi pour l Égalité des Droits et des Chances, la Participation et la Citoyenneté des Personnes Handicapées (EDCPCPH) NOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE ERP Principales nouveautés du décret : «ERP NEUFS»
Plus en détailTombez en amour avec Charlie Brown et les
Tombez en amour avec Charlie Brown et les! Chère enseignante/cher enseignant, Vous connaissez et aimez fort probablement déjà les personnages intemporels de la bande de Peanuts. La bande dessinée la plus
Plus en détailGuide des autorisations d urbanisme
Guide des autorisations d urbanisme de Service Urbanisme Villenoy 2014 TABLE DES MATIERES QUEL DOSSIER DEPOSER POUR MON PROJET?... 2 QUELQUES NOTIONS POUR BIEN DEMARRER.... 2 MON PROJET EST-IL SOUMIS A
Plus en détailC est un mouvement plan dont la trajectoire est un cercle ou une portion de cercle. Le module du vecteur position OM est constant et il est égal au
1 2 C est un mouvement plan dont la trajectoire est un cercle ou une portion de cercle. Le module du vecteur position est constant et il est égal au rayon du cercle. = 3 A- ouvement circulaire non uniforme
Plus en détailévaluez votre accessibilité
évaluez votre accessibilité Auto-évaluation pour les ERP de 5 e catégorie de type commerce, artisanat ou service Entrée du magasin L enseigne est lisible L entrée unique présente un marquage au sol repérable
Plus en détailTECHNIQUES DE STORYBOARDS
TECHNIQUES DE STORYBOARDS Traduction et adaptation Bertrand Perrotin W e n d y T u m m i n e l l o CHAPITRE 3 Les caractéristiques fondamentales du plan Le cinéma, l animation et les jeux vidéo sont des
Plus en détailMario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE
ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...
Plus en détailRampes, marches et escaliers
Rampes, marches et escaliers Marches et escaliers représentent un obstacle à la mobilité de nombreuses personnes, même si certaines solutions techniques telles que mains courantes et paliers - permettent
Plus en détailSituation d apprentissage Les traits vivants avec le logiciel LopArt DUO (#P002)
(#P002) Situation Description... 2 Compétences visées... 2 Préparation (Environ 30 minutes)... 3 Réalisation (Environ 45 minutes)... 4 Intégration (Environ 15 minutes)... 5 Réinvestissement... 5 Fiche
Plus en détail