Charles WOEHREL. TRAITÉ de PERSPECTIVE. d Architecture Intérieure. Éditions VIAL

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1 Charles WOEHREL TRAITÉ de PERSPECTIVE d Architecture Intérieure Éditions VIAL

2 SOMMAIRE Introduction I. LA SENSATION DE PERSPECTIVE Les stimuli Présence de notre corps à l espace Profondeur, sensation de perspective Le chaos perspectif Les stimuli visuels Nécessaire rationalisation des données Diversité des stimuli visuels, diversité des «impressions de perspective» Image visuelle, image rétinienne Perception intentionnelle, perception contemplative Le phénomène de constance dans la perception Filtrage des stimuli, ce que nous essayons de voir La mise en perspective, diversité des méthodes La loi optique, les données psychologiques L axiome sur la diminution des grandeurs Perspective traditionnelle, perspective curviligne La vision spontanée La perspective centrale, ses aberrations La perspective curviligne, relativité de la ligne droite Comparaison entre les deux méthodes Leurs qualités sont exclusives Le «débat» historique La distance courte, la distance longue La vision naturelle, entre image rétinienne et image mentale le choix de la méthode Difficile unanimité sur la perspective centrale Avantages pratiques qui font préférer la perspective centrale à la perspective curviligne La perspective centrale comme moyen d expression Le champ visuel Vision libre, vision spontanée, mobilité du point de vue La triple vision de l œil à l origine de la perception spontanée

3 II. LA PERSPECTIVE CENTRALE Le champ visuel comme référent Le cône de vision Les rayons visuels Le tableau La distance de visualisation Coïncidence des points de vue du dessinateur et du «regardeur» La ligne d horizon Positionnement de la pyramide visuelle Les dépassements admissibles La pyramide visuelle dans l espace intérieur Perspective centrée, perspective décentrée Les dépassements nécessaires La méthode conique Le point de distance Le principe de rabattement Division de la distance Rabattement des points de distance sur le plan principal de vision Détail de mise en œuvre L échelle des hauteurs Les tracés auxiliaires Simplifier et vérifier Détermination des profondeurs par les points de distance Détermination des profondeurs par un système de diagonales Division d un segment de fuyante Tramage d un angle droit Construction par les points de fuite Construction par points de distance autres que ceux des droites fuyant à Les lignes d horizon accidentelles Le cercle Connaissance abstraite, connaissance intuitive La figure du cercle en perspective est une conique Quelques généralités sur les coniques Les problèmes de représentation La variation des paramètres Les reflets Les reflets dans l architecture intérieure Principe des images réfléchies Images réfléchies sur miroirs inclinés Images réfléchies selon des angles aigus ou obtus Les miroirs incidents Vues plafonnantes, vues plongeantes La verticalité, force dynamique Principe de construction La vue plafonnante dans l espace intérieur La vue plongeante

4 III. LA PERSPECTIVE DE L ESPACE INTÉRIEUR L esquisse Le croquis comme langage Spatialisation des données Le croquis, relevé en trois dimensions Le croquis-projet, présentation d un concept, le croquis-«premier jet» Le croquis pour persuader Le croquis comme rhétorique Un moyen terme : le croquis élaboré Le travail préparatoire L échelle des hauteurs, recherche de F Les repères que procure la perspective construite dans la recherche de F L hypothèse d un tableau, détermination de F Positionnement de la paroi du fond, échelle des profondeurs Tracés intermédiaires, mise au point finale Le cadrage La perspective, création d un lieu Le cadrage sans cadre Le cadrage matérialisé Le cadrage en hauteur Le format carré L organisation de l image Les raccourcis Les premiers plans Les points de vue virtuels Les tracés lacunaires Intérieur-extérieur, transparence Le choix des contraintes Les moyens d expression La mise en œuvre, les techniques Le dessin, le trait Ombre et lumière La couleur La perspective colorée La perspective en couleur Conclusion La perspective, expression d une esthétique La machine ou la main Les différentes appellations de la perspective Bibliographie

5 La perspective centrale. Positionnement de la pyramide visuelle Fig. 87 Le point de vue est dans l axe du volume intérieur. La portion d espace théoriquement non représentable (en deçà du tableau) est infime. Fig. 88 La quasi-totalité du volume intérieur est représentée. Par contre, la partie basse du tableau (entre T 1 et T 2 ) reste inexploitée. On en comprend aisément la raison en examinant l élévation de la pyramide visuelle : le plan du sol ne coïncide pas avec la base du tableau (mais cela est un cas de figure courant), il le «traverse», se prolonge sur une courte distance puis s interrompt : le bas du tableau reste vierge car il n y a plus rien à représenter

6 La perspective centrale. Positionnement de la pyramide visuelle 89 Fig. 89 Le point de vue est décentré. La portion d espace théoriquement non représentable reste très faible. Fig. 90 La zone comprise entre T 1 et T 2 s est réduite, mais également la quantité d espace représenté. Le sommet du portique est coupé par le haut du tableau et les murs latéraux ne sont plus à l intérieur de celui-ci Fig. 91 Le point de vue est décentré comme dans la figure précédente, mais cette fois positionné à l intérieur même du volume. Des trois cas de figure, il est le seul qui respecte les contraintes imposées par l espace architectural. Fig. 92 Le tableau est «exploité» dans sa totalité, mais la portion d espace représentée s est considérablement réduite. Il ne nous est plus donné à voir qu une faible partie de cet espace et de sa structure. C est à partir de ce peu qu il nous faut imaginer ce qui nous est caché, pour éventuellement en évaluer les dimensions

7 La perspective dans l espace intérieur. Un moyen terme : le croquis élaboré C est ce que l on voit dans notre exemple : le cadrage de l image définitive fait le sacrifice d une grande partie de l épure (fig. 304), et notamment du plafond, et l on serait en droit de reprocher au dessinateur de s être trop complaisamment abandonné au plaisir de la construction et ce au détriment de la vraisemblance. Il est vrai que dans certains cas, l agrandissement excessif du champ malgré les inconvénients que cela comporte peut être un choix motivé par la nécessité, pour ainsi dire «programmatique», de montrer ce qui normalement ne peut être montré (ici le plafond). Mais lorsque ce motif ne s impose pas, mieux vaut se rapprocher du champ le plus plausible puisque c est lui qui est le plus à même de nous procurer l illusion spatiale. Il n en reste pas moins vrai que la représentation de l espace intérieur implique inévitablement la question de l agrandissement, même limité, du champ. Il est d ailleurs remarquable que les termes dans lesquels se pose cette question soient toujours les mêmes alors que la réponse qu on y apporte varie le plus souvent en fonction de ce que l on a convenu de rendre ou non visible et du degré de réalisme dont on est prêt à faire le sacrifice pour atteindre cet objectif (fig. 305, 306 et 307, 308). Inapte à jamais vraiment coïncider avec la loi optique, la perspective de l espace intérieur s apparente plutôt à un système capable de traduire cette spatialisation du temps 89 caractéristique de l image mentale. Et en effet, des fragments d espace, vus séparément, en des laps de temps successifs, se recomposent de manière à former une représentation complète de l espace concerné et à nous en permettre une vue d ensemble (dans certains cas, quasiment «panoramique»). La durée est abolie, le successif devient instantané, contre la logique rétinienne, des objets qui ne le devraient pas coexistent dans la même image, procédé inverse de celui de la caméra qui, lorsqu elle se promène dans un espace dont elle visite toues les parties, développe les images dans le temps. La plasticité est véritablement la qualité première de la perspective telle qu elle peut être pratiquée dans le cadre du croquis élaboré, puisqu elle possède la capacité de restructurer selon un ordre différent les données de la perception. Cette restructuration ne s opère pas sans discipline et sans l acception de certaines conventions, mais elle laisse néanmoins une large place à l initiative personnelle, aux intentions particulières, au «style» de l opérateur et à sa sensibilité, ce qui fait du croquis élaboré un art graphique à part entière. Fig. 304 Le recadrage définitif de l image a fait disparaître un grand tiers du plafond, une partie du sol et, à droite, l amorce d une baie. Ce nouveau format est plus allongé qu il ne devrait l être ; il ne respecte pas les proportions du tableau. Par ailleurs la ligne d horizon, bien que quelque peu recentrée dans l image, reste approximativement située au tiers inférieur de la hauteur, il s ensuit que le plafond, malgré l importante réduction de surface qu on lui a fait subir, demeure la zone la plus sensible aux déformations. Celles-ci restent toutefois acceptables. La partie droite de l image, comme le plafond, a grandement bénéficié de l élargissement du champ sans que les proportions des composants architecturaux en paraissent affectées (peutêtre le dessinateur a-t-il quelque peu infléchi en cet endroit l échelle des profondeurs?). Dans cette zone, le parquet Versailles n a été qu esquissé, c est que, sans être «irreprésentable», son dessin pouvait devenir problématique. Dans l ensemble l image est plutôt satisfaisante, elle rend assez fidèlement les sensations spatiales d un visiteur du lieu réel, et ce malgré d évidentes libertés prises avec les lois de l optique Comme dans la métaphore proustienne du retable et des prédelles qui rassemblent dans un espace unifié, les épisodes épars de la vie d un personnage. 198

8 La perspective dans l espace intérieur. Un moyen terme : le croquis élaboré 305 Fig. 305 Dans cette pièce deux angles de vue étaient également intéressants : celui-ci, montrant la cheminée et son trumeau, ou bien son opposé, nous permettant de découvrir l arrondi que dessine le lambris et qui donne son caractère à la pièce. Le dessinateur a choisi le premier de ces angles de vue, le plus naturel si l on considère l importance de la cheminée dans l organisation de l espace intérieur, classique ou non. Il n a pu cependant se résoudre à ignorer ce que cette pièce avait de plus particulier : la courbure de l un de ses côtés. L évocation de cette courbe, pourtant discrète, a nécessité une importante extension non seulement de la paroi de droite, mais aussi du plafond, qui prend dans l image des proportions considérables. Fig. 306 Cette réduction du champ paraît sévère, et pourtant elle ne respecte toujours pas les limites du tableau, notamment en ce qui concerne sa largeur. En fait, seules les pièces dont le plan est un rectangle allongé autorisent suffisamment de recul pour permettre le développement «légitime» des parois latérales. En diminuant l espace qui nous sépare de la paroi du fond, ce cadrage serré diminue théoriquement l effet de profondeur. Pratiquement, le phénomène est moins simple qu il n y paraît. Le plus grand degré de réalisme de cette vue, qui fait que nous «nous sentons dans la pièce» bien davantage que dans l autre cadrage, compense efficacement la perte de profondeur, les détails paraissent plus vrais, plus en relief ; finalement on peut estimer que chacune de ces deux images répond à une nécessité particulière

9 La perspective dans l espace intérieur. Un moyen terme : le croquis élaboré C est ce que l on voit dans notre exemple : le cadrage de l image définitive fait le sacrifice d une grande partie de l épure (fig. 304), et notamment du plafond, et l on serait en droit de reprocher au dessinateur de s être trop complaisamment abandonné au plaisir de la construction et ce au détriment de la vraisemblance. Il est vrai que dans certains cas, l agrandissement excessif du champ malgré les inconvénients que cela comporte peut être un choix motivé par la nécessité, pour ainsi dire «programmatique», de montrer ce qui normalement ne peut être montré (ici le plafond). Mais lorsque ce motif ne s impose pas, mieux vaut se rapprocher du champ le plus plausible puisque c est lui qui est le plus à même de nous procurer l illusion spatiale. Il n en reste pas moins vrai que la représentation de l espace intérieur implique inévitablement la question de l agrandissement, même limité, du champ. Il est d ailleurs remarquable que les termes dans lesquels se pose cette question soient toujours les mêmes alors que la réponse qu on y apporte varie le plus souvent en fonction de ce que l on a convenu de rendre ou non visible et du degré de réalisme dont on est prêt à faire le sacrifice pour atteindre cet objectif (fig. 305, 306 et 307, 308). Inapte à jamais vraiment coïncider avec la loi optique, la perspective de l espace intérieur s apparente plutôt à un système capable de traduire cette spatialisation du temps 89 caractéristique de l image mentale. Et en effet, des fragments d espace, vus séparément, en des laps de temps successifs, se recomposent de manière à former une représentation complète de l espace concerné et à nous en permettre une vue d ensemble (dans certains cas, quasiment «panoramique»). La durée est abolie, le successif devient instantané, contre la logique rétinienne, des objets qui ne le devraient pas coexistent dans la même image, procédé inverse de celui de la caméra qui, lorsqu elle se promène dans un espace dont elle visite toues les parties, développe les images dans le temps. La plasticité est véritablement la qualité première de la perspective telle qu elle peut être pratiquée dans le cadre du croquis élaboré, puisqu elle possède la capacité de restructurer selon un ordre différent les données de la perception. Cette restructuration ne s opère pas sans discipline et sans l acception de certaines conventions, mais elle laisse néanmoins une large place à l initiative personnelle, aux intentions particulières, au «style» de l opérateur et à sa sensibilité, ce qui fait du croquis élaboré un art graphique à part entière. Fig. 304 Le recadrage définitif de l image a fait disparaître un grand tiers du plafond, une partie du sol et, à droite, l amorce d une baie. Ce nouveau format est plus allongé qu il ne devrait l être ; il ne respecte pas les proportions du tableau. Par ailleurs la ligne d horizon, bien que quelque peu recentrée dans l image, reste approximativement située au tiers inférieur de la hauteur, il s ensuit que le plafond, malgré l importante réduction de surface qu on lui a fait subir, demeure la zone la plus sensible aux déformations. Celles-ci restent toutefois acceptables. La partie droite de l image, comme le plafond, a grandement bénéficié de l élargissement du champ sans que les proportions des composants architecturaux en paraissent affectées (peutêtre le dessinateur a-t-il quelque peu infléchi en cet endroit l échelle des profondeurs?). Dans cette zone, le parquet Versailles n a été qu esquissé, c est que, sans être «irreprésentable», son dessin pouvait devenir problématique. Dans l ensemble l image est plutôt satisfaisante, elle rend assez fidèlement les sensations spatiales d un visiteur du lieu réel, et ce malgré d évidentes libertés prises avec les lois de l optique Comme dans la métaphore proustienne du retable et des prédelles qui rassemblent dans un espace unifié, les épisodes épars de la vie d un personnage. 198

10 La perspective dans l espace intérieur. Un moyen terme : le croquis élaboré 305 Fig. 305 Dans cette pièce deux angles de vue étaient également intéressants : celui-ci, montrant la cheminée et son trumeau, ou bien son opposé, nous permettant de découvrir l arrondi que dessine le lambris et qui donne son caractère à la pièce. Le dessinateur a choisi le premier de ces angles de vue, le plus naturel si l on considère l importance de la cheminée dans l organisation de l espace intérieur, classique ou non. Il n a pu cependant se résoudre à ignorer ce que cette pièce avait de plus particulier : la courbure de l un de ses côtés. L évocation de cette courbe, pourtant discrète, a nécessité une importante extension non seulement de la paroi de droite, mais aussi du plafond, qui prend dans l image des proportions considérables. Fig. 306 Cette réduction du champ paraît sévère, et pourtant elle ne respecte toujours pas les limites du tableau, notamment en ce qui concerne sa largeur. En fait, seules les pièces dont le plan est un rectangle allongé autorisent suffisamment de recul pour permettre le développement «légitime» des parois latérales. En diminuant l espace qui nous sépare de la paroi du fond, ce cadrage serré diminue théoriquement l effet de profondeur. Pratiquement, le phénomène est moins simple qu il n y paraît. Le plus grand degré de réalisme de cette vue, qui fait que nous «nous sentons dans la pièce» bien davantage que dans l autre cadrage, compense efficacement la perte de profondeur, les détails paraissent plus vrais, plus en relief ; finalement on peut estimer que chacune de ces deux images répond à une nécessité particulière

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